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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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sida

Publié à 15:28 par fandeloup Tags : société monde homme histoire animal afrique congo
sida

Sida : l'histoire génétique du VIH reconstituée pour la première fois

C'est une première. Des chercheurs en reconstitué le cheminement du virus responsable du Sida, découvert en 1981 et responsable de 36 millions de morts. Selon leurs conclusions, la pandémie a débuté à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, dans les années 20, avant de se propager dans le monde en pleine mutation.

L'origine de l'épidémie, une transmission à Kinshasa

Cette équipe internationale de recherche a pu reconstituer l'histoire génétique du rétrovirus VIH (virus de l'immunodéficience humaine) responsable du sida, se concentrant sur la souche du groupe M, la plus fréquente. «Pour la première fois, nous avons analysé toutes les données génétiques disponibles en recourant aux dernières techniques phylogéographiques pour estimer statistiquement l'origine du virus», explique le professeur Oliver Pybus du département de zoologie d'Oxford, l'un des principaux auteurs de l'étude. «Nous pouvons ainsi dire avec un degré élevé de certitude d'où et quand la pandémie est partie», a-t-il dit. Les résultats de ces travaux parus jeudi dans la revue américaine Science suggèrent que l'ancêtre commun du VIH est «très probablement» apparu à Kinshasa vers les années 1920.

Rembobinons l'histoire d'un siècle : les virologues savaient déjà que ce rétrovirus a été transmis des singes à l'homme au moins à treize reprises, mais qu'une seule de ces transmissions est responsable de la pandémie humaine. C'est seulement cette transmission spécifique qui a abouti à l'émergence du VIH-1, à l'origine de la pandémie qui a entraîné près de 75 millions d'infections à ce jour, la plus grande partie en Afrique subsaharienne.

L'urbanisation et le chemin de fer, facteurs de propagation

La suite est résumée par le professeur Pybus : «notre recherche suggère qu'après la transmission initiale du virus de l'animal à l'homme par la chasse et la consommation de viande de brousse, il y a eu une brève fenêtre à l'époque du Congo belge qui a permis à cette souche particulière du VIH d'émerger et de se propager». Les analyses du groupe de chercheurs des universités britannique d'Oxford et belge de Louvain laissent en effet penser qu'entre les années 1920 et 1950, une combinaison de facteurs, dont l'urbanisation rapide, la construction des chemins de fer en République démocratique du Congo (RDC), alors le Congo belge, ainsi que des changements dans le commerce du sexe, a favorisé l'émergence et la propagation du sida à partir de Kinshasa.

Un des facteurs analysés laisse penser que le développement des chemins de fer, en particulier au Congo belge, a joué un rôle clé dans le développement de la pandémie à ses débuts en faisant de Kinshasa une des villes les mieux desservies de toute l'Afrique centrale, une plaque-tournante. «Les informations des archives coloniales indiquent qu'à la fin des années 40 plus d'un million de personnes transitaient par Kinshasa par le train chaque année», précise Nuno Faria, de l'Université d'Oxford, également l'un des principaux auteurs.

«Nos données génétiques nous disent aussi que le virus VIH s'est propagé très rapidement à travers le Congo , d'une superficie équivalente à l'Europe de l'Ouest, se déplaçant avec des personnes par les chemins de fer et les voies d'eau», souligne-t-il. Ainsi, le VIH a pu atteindre Mbuji-Mayi et Lubumbashi dans l'extrême Sud et Kisangani dans le Nord entre la fin des années 30 et le début des années 50.

Propagation mondiale à la fin des années 70

Ces migrations ont permis au virus d'établir les premiers foyers secondaires d'infection dans des régions qui disposaient de bons réseaux de communication avec des pays du sud et de l'est de l'Afrique, selon ces chercheurs. «Nous pensons que les changements dans la société qui se sont produits au moment de l'indépendance du Congo en 1960 ont aussi probablement fait que le virus a pu s'échapper de petits groupes de personnes séropositives pour infecter des populations plus étendues, avant de se propager dans le monde» à la fin des années 70. Le VIH a été identifié pour la première fois en 1981.

Outre le développement du transport, certains changements dans les attitudes sociales, notamment parmi les travailleurs du sexe, ainsi qu'un plus grand accès aux seringues que se partageaient les toxicomanes, dont certains étaient infectés, ont fait flamber l'épidémie.

solitude

Publié à 14:07 par fandeloup Tags : fleurs
solitude

Je voudrais tant que tu sois là pour réveiller mes fleurs éteintes .Ton absence comme une plainte vient toujours me parler de toi

DAVID LANAUD DU GRAY SE LÂCHE

Publié à 13:39 par fandeloup Tags : moi vie monde homme bonne france fond travail heureux cadre film concours solidarité
DAVID LANAUD DU GRAY SE LÂCHE

DAVID LANAUD DU GRAY SE LÂCHE

Une campagne décalée suivie, en mars dernier, d’un score surprise de près de 9% au premier tour à l’élection municipale à Dijon. David Lanaud du Gray avait alors marqué les esprits avant de se montrer plus discret durant le printemps. Mais les chaleurs de l’été ont, semble-t-il, réveillé le chef d’entreprise avec notamment sur Twitter un buzz avec Franck Dubosc. Gazette INFO est retourné à la rencontre du Dijonnais, qui n’a toujours pas sa langue dans la poche.

GazetteInfo : Depuis votre score surprise de 8,55% au premier tour de la campagne municipale, vous avez donné le sentiment d’être beaucoup moins présent…

David Lanaud du Gray :

Contrairement aux politiques, j’ai un vrai métier. Je continue ma vie de citoyen « normal » en travaillant tous les jours comme la plupart des Dijonnais… Puisque je n’ai pas été élu, je n’avais pas à interférer sur le cours et la mise en place du nouveau conseil municipal. Mais je n’ai jamais cessé de rester en lien avec les Dijonnais via ma page Facebook « David Lanaud du Gray Dijonnons Ensemble » dont le nombre de membres ne cesse d’augmenter. Il va atteindre les 11 000 followers. Je n’ai jamais cessé de poster mes sauts d’humeur, mes coups de gueule et mon état d’esprit sur l’actualité de notre ville, en dénonçant gentiment ce que je pense de sa gestion et ce qui s’y passe. Je lance des débats avec les membres de ma page, qui sont même parfois repris par la presse et qui influent parfois les différents services de la municipalité.

Justement, comment jugez-vous l’action d’Alain Millot, le nouveau maire de la ville ?

Ah bon ? On a un nouveau maire !!!???… (rires).

Vous trouvez qu’on ne le voit pas assez ?

Je plaisante… J’ai un grand respect pour Alain Millot qui est connu et respecté pour être un homme de dossier très compétent. Il a été un excellent premier adjoint depuis 2001. Mais en tant que maire, il donne le sentiment de jouer les remplaçants ou l’intérimaire de service pendant que François Rebsamen est ministre. Il tient son rôle du « fidèle meilleur ami » qui fait le job simplement, sans prendre de grandes décisions et qui démissionnera quand le ministre aura décidé de revenir. Pas facile de passer derrière François Rebsamen, c’est sûr. Surtout qu’Alain Millot sait très bien que les Dijonnais n’ont, à la base, pas voté pour lui. Mais le simple fait que des rumeurs courent qu’il n’occuperait même pas physiquement le bureau de son successeur peut en dire long… Cela dit, je lui reconnais d’être un homme tempéré qui essaye de fédérer et d’être réellement présent sur le terrain. Il essaie de se faire un nom. Alain Millot fait moins apparatchik… Certes, c’est un peu tôt pour juger, mais donnons lui sa chance… Cependant, il va falloir passer à la vitesse supérieure afin d’amener une nouvelle dynamique à la ville. Le monde doit savoir que notre ville est une capitale de près de 300 000 habitants et non pas un bourg de 20 000 personnes. Ce n’est pas pire que le Docteur Alain Houpert qui semble inexistant, que l’on n’entend plus, et qui semble juste obsédé par sa campagne pour les sénatoriales. C’est dommage, ces communiqués étaient rigolos. Il nous manque ! (rires) On se demande presque pourquoi il s’est fait élire au conseil municipal finalement… Quant à Edouard Cavin, lui se contente de lire les missives nationales de son parti sur lesquelles il doit juste remplacer France par Dijon… Bref, tout ça est un peu léger et pas trop à la hauteur des attentes des Dijonnais…

François Rebsamen ? Le « ministre du comptage des nouveaux chômeurs du mois »

Vous pensez vraiment que François Rebsamen reprendra le poste de maire ?

C’est très courageux de sa part d’avoir accepté de prendre un poste aussi difficile que celui de ministre du travail. Si ça continue d’ailleurs, le nom du ministère devrait être changé en « Ministère du comptage des nouveaux chômeurs du mois ». Avec ce poste, il est condamné à se faire haïr par toute la France . Il était tant aimé par une large majorité ici, à Dijon, après avoir su transformer la ville. Quand on aime le pouvoir, on veut toujours un poste plus important. Il a bien du sentir que c’était certainement sa dernière chance d’être ministre. Finalement, ma lettre de recommandation que j’avais envoyée à François Hollande pendant la campagne a fonctionné… (rires) Malheureusement, malgré toute sa bonne volonté et son énergie, il aura bien du mal à contrecarrer les réalités économiques et à inverser la courbe du chômage.

Si vous aviez été élu au conseil municipal, quelles auraient été vos propositions ?

Tout d’abord, nous nous serions positionnés en prenant l’opinion de la population en amont, via une vraie démocratie participative. La ville de Besançon avait montré l’exemple. Les Bisontins ont pu voter pour la couleur de leur tram. Cela peut paraître anecdotique mais c’est la vie des citoyens au quotidien. Quant à la place du Théâtre, il aurait été normal de faire un concours d’architectes locaux . Les Dijonnais auraient voté pour définir le cadre dans lequel ils évoluent tous les jours.

Il n’y a pas d’argent public, il n’y a que l’argent du contribuable

On va vous reprocher de faire de la démagogie…

C’est bien plus légitime et normal que de laisser choisir au maire et quelques adjoints des projets que l’on va côtoyer au quotidien pendant 20 ans. Dans les prochaines années, il ne restera que la place Grangier à rénover . J’espère qu’ils ne vont pas renouveler leurs erreurs. Que nous n’allons pas retrouver, une fois de plus, une place trop minérale, sans eau et sans verdure. Différents projets architecturaux doivent être soumis à la population. Elle doit pouvoir choisir selon ses attentes et non pas encore se faire imposer des choix. Par ailleurs, ils souvent discutables. Au final, ce sont les Dijonnais qui payent ces grands travaux. Consulter sur des projets d’envergure n’est pas démagogique. N’oublions pas que c’est l’argent du contribuable, et non l’argent public ! Lors du dernier conseil municipal, la 1ère adjointe Nathalie Koenders a manifesté son souhait d’augmenter la place de la démocratie participative à Dijon. Eh bien voilà ! Moi, je leur propose une réelle action de démocratie participative. Un peu plus conséquente que de voter pour choisir 9 chaises à installer dans le centre ville pour les passants. Ce serait une action moins hypocrite et plus marquante.

C’est dans cette logique que vous avez lancé un concours pour refaire le logo de la ville ?

En surfant sur le site de la ville, je me suis rendu compte que notre logo, qui date de 1990, a vraiment mal vieilli. Un logo, c’est un élément de communication tellement important pour l’image que véhicule une cité. Le logo, consciemment ou inconsciemment, véhicule la dynamique de la ville, son originalité, ce qui s’y passe, sa jeunesse, son attrait pour les personnes qui ne connaissent pas Dijon. J’ai alors lancé l’idée de le refaire au goût du jour en lançant un concours citoyen. J’ai reçu plus de cinquante propositions que vous pouvez toutes retrouver sur ma page Facebook « Dijonnons ensemble ». Les habitants prouvent leur envie, même leur profond besoin, de s’investir dans la vie de leur ville, encore plus qu’avant. Il faut le faire plus souvent sur différents sujets. Les Dijonnais ont plein d’idées ! Je suis très heureux en plus, car le service communication de la ville vient d’annoncer que le changement de logo est finalement prévu, pour la rentrée. Est-ce l’engouement suscité ou un simple hasard de circonstance ? … On s’en fout ! L’essentiel est de faire participer les Dijonnais toutes tendances politiques confondues et d’avancer tous, unis dans la même direction.

Vous appeliez durant votre campagne à la mise en place d’un festival important. Plus de 10 000 personnes ont participé à la première édition début juillet de l’Oeno Music Festival. Vous y étiez ?

Tout à fait, je me devais d’y aller par curiosité et par solidarité avec les organisateurs. D’ailleurs, on ne peut que féliciter le risque pris par Pierre-Yves Romano et ses équipes pour la mise en place de ce festival. Une initiative privée qui de nouveau n’aurait pas reçu d’aide financière de la municipalité mais uniquement une aide « matérielle ». Elle aurait pourtant été légitime, au vu de son ambition. Pour une fois notre ville pouvait rayonner par cet événement sur le plan national voir européen… Ce n’est vraiment pas normal. Quand je serai élu maire de Dijon en 2020, je garderai Christine Martin l’adjointe à la culture de Dijon, qui est très compétente pour tout ce qui touche les univers plus élitistes, cercles de culture un peu plus fermés et coûteux que je connais moins… Mais je gérerai moi-même tous les évènements réellement populaires fédérateurs…

Vous avez refait parlé de vous nationalement à travers un échange de tweets avec Franck Dubosc. Que s’est-il passé ?

Il y a quelques jours, je découvre avec joie que Dijon est retenue pour être le cadre de tournage d’un film avec deux acteurs très connus, Thierry Lhermitte et Vincent Elbaz. J’ai juste lancé un petit tweet en me réjouissant de cette bonne nouvelle. J’espérais que Dijon n’avait pas été choisie pour illustrer l’image d’une « petite ville de beaufs ». C’est l’image que donne Franck Dubosc dans le célèbre film Camping. Patrick Chirac, certes, est un personnage attachant et gentil au fond. Mais il est toujours plus agréable pour nous d’entendre parler de Dijon en positif. Pour donner envie de venir à celles et ceux qui ne connaîtraient pas encore notre ville. Rien de plus et de bien méchant.

abandon

Publié à 11:37 par fandeloup
abandon

Je voudrais tant que tu sois là pour te dire ma solitude.Pour te dire ma lassitude

monopoly

Publié à 11:29 par fandeloup Tags : belle internet argent art extrait
monopoly

Paris : 6 M€ de bijoux payés avec... des billets de Monopoly

L'escroquerie est tellement grossière qu'elle paraît tout bonnement incroyable. Et pourtant, un bijoutier de nationalité grecque vient d'en faire l'amère expérience. Venu dimanche à Paris pour finaliser la vente d'un lot de bijoux d'une valeur de 6 M€, il s'est retrouvé en possession d'une valise remplie de billets de 500 €, siglés Monopoly. .. Informé, le parquet de Paris a chargé les enquêteurs de la brigade de répression de la délinquance astucieuse (BRDA) de remonter la piste des escrocs, habiles auteurs de ce tour de passe-passe.

« Ce commerçant a été victime de deux hommes, adeptes de la technique dite du rip deal, comme on l'appelle dans le jargon policier, relate une source proche de l'affaire. Littéralement, il s'agit d'une transaction pourrie au cours de laquelle la victime, attirée par l'appât du gain, croit pouvoir réaliser une belle plus-value en vendant des objets d'art, un bien immobilier ou des bijoux, tout en étant payé avec de l'argent liquide afin d'échapper au fisc. Au final, le vendeur est toujours berné... »

Selon nos informations, le bijoutier hellène avait été contacté, il y a plusieurs semaines, par deux mystérieux clients se disant français et souhaitant acquérir quatre bagues et un collier, présentés comme des pièces rares.

l avait pourtant fait vérifier une liasse Après plusieurs échanges téléphoniques et via internet, vendeur et acheteurs conviennent d'un rendez-vous le 25 septembre, à Paris. Les trois hommes se retrouvent finalement dans un hôtel de la rue des Mathurins dans le VIIIe arrondissement où l'échange doit avoir lieu. « Le bijoutier a présenté les quatre bagues et le collier choisis par ces deux interlocuteurs, indique une source proche de l'affaire.

Ces derniers lui ont ensuite remis une mallette garnie de billets de 500 €. Sur ses gardes, le commerçant en a extrait une liasse avant de se rendre dans un bureau de change, tout proche, pour savoir s'il s'agissait de vrais billets. »

Toujours selon nos informations, le bijoutier, rassuré sur l'authenticité des billets remis par ses acheteurs, a regagné l'hôtel avant de procéder à la vente définitive. C'est alors que le piège se referme. « Après le départ de ses clients, le commerçant a vérifié l'ensemble des billets remis par ces derniers, poursuit la même source. C'est à ce moment-là qu'il s'est aperçu d'un problème. La majeure partie des billets de 500 € contenus dans cette mallette étaient barrés du nom du célèbre jeu Monopoly...

Il a ensuite tenté d'entrer en contact avec ses deux acheteurs. En vain. Il s'est finalement rendu au commissariat du VIIIe arrondissement pour y déposer plainte. »

cochons

cochons

Les cochons : apprenez à les connaître vraiment !

Écrire ou manger comme un cochon, un caractère, une tête, un travail de cochon… autant d’expressions éloquentes associées à cet animal pourtant si sympathique.

Mais qu’en est-il vraiment ?

Les cochons sont-ils si sales que ça ?

Ont-ils mauvais caractère ?

Comment vit un cochon d’abord ? Par Clémentine Griveaud

– Article paru dans Alternatives végétariennes n°117 – 2014-09-19.

Un animal domestique toujours sauvage Le porc domestique (Sus scrofa domestica) est une sous-espèce du cochon sauvage ou sanglier (Sus scrofa).

Suite aux sélections successives pour l’élevage, l’aspect et la physiologie du porc domestique diffèrent un peu de ceux du porc sauvage, mais tous deux gardent la plupart des mêmes caractéristiques comportementales et peuvent toujours se reproduire entre eux.

Leur environnement préféré est la forêt. Vifs et curieux de nature, ce sont des animaux fouisseurs. Leur odorat très développé leur permet de trouver leur nourriture dans les sous-bois ou les prairies. Ils l’aiment variée, composée en grande majorité de végétaux (trèfle, racines, glands, tubercules, baies, châtaignes…), de champignons, ainsi que parfois de petits animaux (vers de terre, escargots, insectes, petits rongeurs…).

Ils savent ainsi parfaitement adapter leur alimentation aux changements de saison. Ils passent une grande partie de la journée à se nourrir, puis se reposent. Ils peuvent dormir jusqu’à douze heures par jour. Contrairement aux humains ou aux chiens, les cochons ne mangent jamais plus qu’ils n’en ont besoin.

Dans la nature, les cochons peuvent marcher des dizaines de kilomètres par jour. Ils sont rapides, peuvent courir jusqu’à 45 km/h et savent très bien nager.

À ce sujet lisez l’histoire extraordinaire de ces cochons abandonnés par un marin sur une île déserte des Bahamas (Big Major Cay) et qui survivent grâce aux touristes ! Monsieur Propre Contrairement aux idées reçues, les cochons sont des animaux très propres : dès l’âge de 5 jours, les petits font leurs besoins en dehors de leur lieu de couchage.

Avant de s’allonger quelque part, ils vérifient la propreté de leur couche et ne s’y allongent jamais si les lieux sont souillés. De même pour la nourriture : ils mangent toujours loin de leur lieu d’aisances. Pourtant ils « se roulent dans la fange », non ?

En fait, les cochons aiment se couvrir de boue pour deux raisons :

pour protéger leur peau très fragile à la fois des parasites et du soleil, et pour se rafraîchir. En effet ils ne transpirent pas ; en cas de grosse chaleur ils peuvent malgré tout faire descendre leur température corporelle en se baignant dans la boue. Rien de sale là-dedans ! Le sens de la famille Les cochons vivent en groupe avec une hiérarchie bien définie et beaucoup de coopération. Les truies mettent au monde une portée de porcelets par an.

Avant la naissance, la truie s’éloigne du groupe et construit consciencieusement un nid pour ses petits avec de la paille ou des végétaux. Elle restera avec eux quasiment tout le temps pendant deux semaines sauf lorsqu’elle s’absente pour aller chercher de la nourriture. Les liens formés entre les porcelets sont très forts. Ils communiquent par un langage complexe composé de cris, de couinements et de grognements.

Au bout de deux semaines, la petite famille rejoint le groupe pour former une grande famille à activité sociale très intense, où les petits jouent entre eux et les mères se partagent les tâches. Intelligence Les études sur les cochons sont nombreuses et les conclusions vont toutes dans le même sens : les cochons sont parmi les animaux les plus intelligents de la planète, potentiellement loin devant les chiens !

Miroir ô mon beau miroir. Une équipe de chercheurs du Centre pour le bien-être animal de Cambridge (Grande-Bretagne), dirigée par le professeur Broom, a montré la capacité des cochons à se reconnaître dans un miroir. Jusqu’alors, les cochons ne prêtaient pas beaucoup d’attention à leur reflet.

Jusqu’à ce que les chercheurs aient eu l’idée d’introduire de la nourriture dans l’expérience ! Ils ont ainsi confronté huit porcs à leur propre reflet, avec un bol de nourriture, visible dans le reflet, installé derrière une barrière. Sept d’entre eux ont réussi à atteindre le bol en moins de 23 secondes, en contournant l’’obstacle, prouvant qu’’ils s’étaient bien reconnus dans le miroir. Pour les chercheurs, ce test démontre « un certain degré de conscience de soi ».

Un tour de cochon. Des expériences réalisées par des chercheurs de l’université de Bristol ont montré que les cochons avaient recours à la tromperie. Pour cela, les chercheurs ont montré à un premier cochon où se cachait de la nourriture.

Dans un deuxième temps, un second cochon a été introduit, et n’a pas tardé à suivre le premier qui connaissait la cachette de la nourriture. Par la suite, celui-ci a fait semblant de ne pas la trouver pour ne pas être suivi. Il n’est allé chercher sa nourriture que lorsque l’autre cochon s’est éloigné dans une autre direction. Cela montre que les cochons ont une conscience d’eux-mêmes, des autres, et une capacité à adapter de leur comportement en fonction de leur entourage (évitement d’un mâle dominant).

Geeks. Pour évaluer les capacités cognitives des cochons, le professeur Curtis et son équipe, de l’université d’État de Pennsylvanie, ont appris à un certain nombre d’individus à jouer à des jeux vidéo sur ordinateur, à l’aide de joysticks adaptés à leurs groins. Ils devaient déplacer le curseur sur un écran jusqu’à une icône afin d’obtenir une friandise, avec un degré de difficulté croissant.

Les cochons ont passé avec succès tous les tests, contrairement aux chiens. Ceci a permis aux chercheurs d’étudier les images que les cochons élaborent de leurs congénères et d’eux-mêmes, ainsi que leur créativité et leur capacité d’anticipation. Tous ces chercheurs sont d’accord pour conclure que les cochons font la preuve d’une habileté indéniable à résoudre des problèmes, possèdent une grande capacité de concentration et une excellente mémoire.

Saints cochons Les cochons se révèlent être des animaux de compagnie très agréables, si la taille de votre maison le permet ! Très attachants et très attachés à leur maître, certains sont mêmes devenus des héros ! En 1984, Priscilla, une jeune truie apprivoisée, est devenue célèbre aux États-Unis pour avoir sauvé un enfant de la noyade.

Au pays de Galles, en 2000, un jeune porcelet de 4 mois nommé « Pru » (diminutif de Prudence), a sauvé sa maîtresse en l’aidant avec une corde à s’extirper de la boue d’un marécage dans laquelle elle s’était empêtrée. Mais l’exemple le plus connu reste certainement celui de Lulu, un cochon nain du Vietnam, qui, en 1999, a sauvé la vie de sa maîtresse à Pittsburg (É.-U.).

Un jour où celle-ci a été victime d’un malaise cardiaque et s’est effondrée sur le sol de la cuisine, Lulu est sorti de la maison pour chercher de l’aide. Il s’est couché sur la route pour attirer l’attention jusqu’à ce qu’une voiture s’arrête, interpelée. Lulu a alors guidé le conducteur vers la maison et sa maîtresse a pu être emmenée aux urgences.

Les cochons ont tout bon

Les cochons sont donc des animaux intelligents, sociables et très sensibles, mais malheureusement toujours victimes d’une mauvaise réputation. Les scientifiques comparent pourtant aisément leurs capacités cognitives à celles des éléphants, dauphins et grands singes. Leurs grandes similitudes physiologiques et émotionnelles avec nous les rendent… presque humains. Alors chassons les idées reçues, et chassons-les de notre menu, ils n’ont absolument rien à faire dans nos assiettes !

La France est finie

Publié à 09:23 par fandeloup Tags : monde france dieu voyage concours
La France est finie

« La France est finie » titre l’ensemble de la presse britannique

 Nos voisins d’outre-Manche sont attristés de voir l’état déplorable de notre pays. Ils l’expriment sans modération à la suite des déclarations d’Andy Street, le PDG de John Lewis, l’équivalent des Galeries Lafayette au Royaume Uni.

Nous évoquions récemment certains articles de presse de nos voisins suisses (ici ou encore ici). Il y a déjà quelques temps, nous évoquions les saillies « discourtoises » du maire de Londres ou l’appel de David Cameron aux entreprises françaises, ou celui encore du Gouverneur du Mississipi.

Il y a eu aussi l’article de Newsweek ou les interventions « musclées » d’officiels allemands ou chinois… Mais nous n’allons pas reprendre la longue litanie des articles de presse étrangers (russes, américains, allemands, danois, hollandais…). Contentons-nous de la dernière.

C’est dans le Times, mais repris dans l’ensemble de la presse britannique, que nous avons pu lire les déclarations dévastatrices tenues par Monsieur Andy Street, à Londres, lors de la remise des prix du concours John Lewis de start-up entreprenantes.

Andy Street y évoque son dernier séjour à Paris, où il reçut une récompense « en plastique, ce qui est révoltant ». Le PDG de John Lewis, l’équivalent des Galeries Lafayette au Royaume Uni, s’est écrié : « La France est finie ! »

Il a décrit notre pays comme sclérosé, nos décideurs économiques comme irrémédiablement pessimistes et a appelé les entrepreneurs britanniques présents sur le marché français à s’en dégager avant la chute finale.

Après avoir répété « La France est finie ! », il a ajouté : « Je n’ai jamais vu un pays malade à ce point… rien ne fonctionne et tout le monde s’en fout ! [...] S’il me fallait la démonstration de ce qu’est un pays en déclin, je l’avais sous les yeux. À chaque instant que je voyais cela, je me disais : « Dieu aide la France! » » Vraiment, si vous avez investi dans du business en France, récupérez les rapidement. La croissance de la deuxième économie de la zone euro est scotchée sous la présidence de François Hollande… »

Revenant sur son récent voyage, il évoque la gare du Nord « que je peux seulement décrire comme la fosse aux immondices de l’Europe », alors que la gare de St Pancras est « moderne et tournée vers l’avenir ».

Soyons clair, aussi choquants que puissent être ces propos, il faut comprendre qu’ils sont prononcés par quelqu’un qui, comme David Cameron, comme Boris Johnson, aime la France, y séjourne régulièrement. Il ne s’agit pas d’un « France bashing » venant de francophobes comme il en existe tant et qui s’expriment si souvent dans des journaux comme le Daily Mirror, par exemple.

Ce sont aussi des propos révélateurs, tout du moins dans leur partie « politique », d’une opinion partagée par de nombreux Britanniques concernant la situation alarmante de la France, seconde économie de l’Union, mais une économie qui, sans croissance, risque d’être distancée par son voisin britannique et d’avoir du mal à rattraper son retard dans les réformes.

Il y a, dans l’écho que ses propos ont eu outre-Manche, une dimension qui très probablement avait échappé à Andy Street. Ils ont été prononcés à trois jours de la visite du Premier ministre français à Londres… et il est certain que bon nombre de journalistes de la presse « sérieuse » ont trouvé là le moyen de dire tout haut par la bouche d’un tiers ce qu’ils pensaient tout bas et auraient trouvé discourtois d’énoncer par eux-mêmes.

En tous cas, l’image de la France telle que la reflète la presse étrangère n’est pas flatteuse. Ce sont souvent les autres qui sont plus lucides sur nous-mêmes, n’est-ce pas ? Mais rassurez vous, pendant ce temps, la presse française fait taire le miroir et vous montre de jolis « Rafale » en train de bombarder les djihadistes… qui vont entrer incessamment dans Bagdad !

bonne nuit

Publié à 20:26 par fandeloup Tags : nuit
bonne nuit

L'heure tourne, l'heure de la nuit, des ténèbres et des rêves.. Les étoiles nous font déjà des clins de lumières .. je vous souhaite donc une douce et merveilleuse nuit... on se voit demain ??

Les allocations familiales baissent

Publié à 20:13 par fandeloup Tags : cadre vie monde bonne france mode enfant solidarité assistante maternelle
Les allocations familiales baissent

CÔTE-D'OR - SOLIDARITÉ

Les allocations familiales baissent, la grogne monte

Baisse des aides à la garde d’enfants, réduction de la prime à la naissance, partage du congé parental : les projets du gouvernement suscitent déjà de nombreuses réactions.

 «un gouvernement de gauche qui commence à toucher aux aides à la famille, ce n’est plus vraiment un gouvernement de gauche. »

La réflexion a beau être lâchée par un quidam sur le zinc d’un café dijonnais, elle a sans doute valeur de symbole. En envisageant un large plan d’économies sur les prestations familiales, le gouvernement veut faire acte de responsabilité, mais il risque aussi de creuser son impopularité.

« Il faut arrêter l’hypocrisie »

La pilule est particulièrement dure à avaler au sujet de la baisse de la prime à la naissance, à partir du deuxième enfant (voir plus bas) : « Il faut arrêter l’hypocrisie, tout le monde y pense au moment de faire un deuxième enfant », clame Alexandra, 24 ans et mère au foyer d’un premier enfant.

« C’est comme les profs qui décident d’avoir un enfant ou de se pacser pour accélérer leur mutation. Une baisse de 600 € de la prime à la naissance à partir du deuxième enfant, c’est énorme. Le but c’est de faire des économies ou de réduire la natalité en France? J’ai lu que le gouvernement se justifiait en considérant que les frais d’équipements sont plus faibles pour accueillir un deuxième enfant que pour le premier.

Ça veut dire que le deuxième n’a pas de chambre ? Pas de lit ? Qu’on prend moins soin de son arrivée ? »

Même les baisses visant les plus riches ne font pas l’unanimité : « Il va devenir tabou de bien gagner sa vie en France», regrette Eric, cadre en entreprise.

« J’ai lu par exemple que le complément de mode de garde versé par les allocations familiales pour aider les parents qui prennent une nounou à domicile ou une assistante maternelle va être réduit pour les familles les plus riches. Mais pour nous non plus, ce n’est pas une dépense anodine ! »

Pourtant, tout n’est pas à jeter dans le projet du gouvernement. Luc Mille, vice-président de l’Union départementale des associations familiales (UDAF) de Côte-d’Or trouve par exemple « plutôt bonne » l’idée d’allonger la part de congé parental possible pour les papas. « Mais cela le deviendra vraiment quand il y aura davantage de moyens de garde d’enfants développés en France et dans le département. » Un héritage difficile Annie, retraitée, veut tout de même rester indulgente :

« Il faut bien réussir à faire des économies, et je trouve que ces nouvelles mesures du gouvernement sont plutôt bien argumentées. Que plusieurs s’attaquent aux plus aisées, ce n’est pas scandaleux ! Et il faut tout de même reconnaître que le gouvernement actuel a hérité d’une situation assez catastrophique laissée par son prédécesseur. »

vaches laitières

Publié à 19:15 par fandeloup Tags : bébé animaux article vie image nature société
vaches laitières

Selon un article dans la publication évaluée par les pairs La Revue vétérinaire , plus de la moitié des vaches laitières souffrent de blessures aux jambes enflammées.

Les blessures sont causées par les environnements stériles contre nature dans lequel les vaches laitières sont obligés de passer leur vie.

L'articulations de la jambe de la vache ne sont pas amorties par la graisse ou le muscle. Par conséquent, ces grands animaux sont particulièrement sensibles à l'inconfort et des blessures quand ils n'ont pas d'autre choix que de se coucher sur les surfaces abrasives dures qui caractérisent les élevages industriels de produits laitiers.