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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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greffe

Publié à 18:39 par fandeloup Tags : monde chez bonne enfants france coeur femme travail animal femmes bébé
greffe

Première mondiale en Suède : un bébé naît grâce à un utérus greffé..

Pour la première fois au monde, une femme a pu donner naissance à un enfant après avoir subi une transplantation d'utérus, une prouesse médicale suédoise présentée comme une percée majeure dans la lutte contre l'infertilité.

La mère, dont l'identité n'a pas été révélée, est une Suédoise de 36 ans, qui, en raison d'une affection génétique, était née sans utérus, selon la prestigieuse revue médicale britannique The Lancet, qui révèle samedi cette opération.

Ella a accouché en septembre d'un garçon en bonne santé pesant 1,775 kg, après 31 semaines de grossesse. La mère et l'enfant se portent bien, précise la revue.

Cette première a été réalisée par une équipe conduite par le professeur Mats Brännström, spécialiste de gynécologie obstétrique à l'université de Gothenburg, après plus de dix années de recherche. Elle offre un espoir aux femmes qui ne peuvent pas avoir d'enfants parce qu'elles sont nées sans utérus ou qu'elles souffrent d'une malformation ou encore qu'elles ont subi une ablation de l'utérus en raison d'un cancer ou d'une hémorragie lors d'une précédente grossesse.

Et pourrait éviter à certaines le recours à une mère porteuse. L'utérus provient d'une femme ménopausée L'absence d'utérus «était le seul type d'infertilité féminine jusque là considéré comme au delà des ressources thérapeutiques», soulignent les spécialistes à l'origine de cet exploit dans le Lancet.

L'utérus qui a été transplanté sur la jeune femme provenait d'une amie de la famille âgée de 61 ans, ménopausée depuis sept ans lorsqu'elle a été opérée. La mère est sortie de l'hôpital trois jours après l'accouchement et le bébé a quitté l'unité néonatale dix jours après sa naissance.

Ce «succès est basé sur plus de dix ans de recherches intensives sur l'animal et d'entraînement chirurgical de notre équipe et il crée la possibilité de traiter bon nombre de jeunes femmes dans le monde qui souffrent d'infertilité utérine», explique dans la revue le Pr Brännström. «De surcroît, nous avons démontré la faisabilité de la transplantation de l'utérus d'une donneuse vivante, même lorsque cette dernière est ménopausée», souligne-t-il.

La jeune femme traitée, dont les ovaires étaient intacts, était capable de produire des ovules qui ont été fécondés par les techniques de fécondation in vitro (FIV) avant la greffe. Ce qui a permis d'avoir onze embryons congelés. Une année après la transplantation de l'utérus, les chercheurs ont transféré un seul embryon dans l'utérus greffé, obtenant ainsi une grossesse. «Nous n'avons observé qu'un seul épisode de faible rejet durant la grossesse qui a été traité avec succès avec des corticostéroïdes, et la femme a travaillé à plein temps jusqu'à la veille de l'accouchement, a souligné le Pr Brännström.

Souffrant d'hypertension, la jeune femme a subi une césarienne La croissance du foetus et l'irrigation sanguine via les artères utérines et le cordon ombilical ont été normaux durant les 31 premières semaines de grossesse. Mais la jeune femme a été hospitalisée à la 31e semaine en raison d'une pré-éclampsie (une pathologie marquée notamment par une hypertension et qui présente un risque pour le foetus) et a subi une césarienne.

La maman est l'une des neuf Suédoises qui avaient eu une greffe d'utérus de donneuse vivante en 2013. Elle était atteinte comme sept d'entre elles du syndrome MRKH, qui conduit à l'absence, totale ou partielle, du vagin et de l'utérus. Une condition qui touche une femme sur 5 000 à la naissance.

Rien qu'au Royaume-Uni, on estime à plus de 12 000 le nombre de femmes en âge d'avoir des enfants, qui présentent des facteurs d'infertilité d'origine utérine, rappelle le Lancet. Avant cette prouesse médicale, d'autres tentatives de greffes avaient été faites, avec des utérus provenant de donneuses vivantes ou non, mais s'étaient soldées par des échecs.

La première, en Arabie Saoudite en 2000, avait échoué au bout de trois mois, l'utérus de la patiente se nécrosant. Une autre en Turquie en 2011, réalisée avec un utérus de donneuse décédée, avait permis un début de grossesse mais celui-ci s'était soldé par un avortement.

Une «étape comme la greffe du coeur» Le professeur René Frydman, père scientifique du premier bébé éprouvette français, a salué samedi «avec enthousiasme» la naissance du bébé dont la mère a eu un utérus greffé, «une étape» comme celle de «la greffe du coeur pour les pathologies cardiaques».

«Je salue avec enthousiasme l'équipe de Mats Brännströmm (le professeur suédois à la tête de l'équipe ayant réalisé cette première mondiale) parce que c'est un long travail, des années d'étapes menées chez l'animal», a-t-il expliqué sur la radio France Info.

«C'est incontestablement une étape comme la greffe du coeur pour les pathologies cardiaques», a-t-il poursuivi. «C'est la première fois qu'un enfant s'est développé dans l'utérus d'une autre dame porté par celle qui va être la mère de cet enfant et ça, c'est quand même chapeau». Il a estimé qu'une «centaine de patientes pourraient être demandeuses en France» de cette technique. Mais si cette première médicale «ouvre des perspectives, elle pose aussi des questions» éthiques, a-t-il noté.

Les donneuses pour la greffe d'utérus «peuvent être des donneuses vivantes, provenant de l'entourage (de la patiente) et ça mérite des précautions, ça mérite simplement qu'on y réfléchisse», a-t-il expliqué, posant notamment la question de la relation entre la mère, la donneuse et l'enfant. «Ça mérite simplement qu'on ne considère pas qu'il suffit d'un claquement de doigt et de dire oui. Ça mérite une réflexion», a-t-il insisté.

souffrance

Publié à 17:16 par fandeloup Tags : animal
souffrance

"Pourriez-vous regarder un animal dans les yeux et lui dire," mon appétit est plus important que ta souffrance

Alzheimer

Publié à 17:09 par fandeloup Tags : monde vie animal travail france
Alzheimer

Santé : vers un diagnostic plus précis pour Alzheimer

Un tiers des patients diagnostiqués souffriraient en fait d’autres démences. De nouveaux critères permettront de distinguer les vrais malades des autres, et d’adapter les traitements

 

La découverte

Nous connaissons tous quelqu’un touché par la maladie d’Alzheimer…

Normal, avec près de 900 000 cas en France. Mais est-ce bien de cette maladie que ces gens sont atteints ? Il est difficile de le certifier, car les critères de détection actuels sont imprécis pour une maladie aux expressions diverses.

Et quand on demande aux spécialistes le nombre de diagnostics erronés de la maladie d’Alzheimer, la réponse surprend par son importance : plus d’un tiers !

Il fallait affiner la méthode. Mission remplie par l’équipe coordonnée par le Pr Bruno Dubois, neurologue et directeur de recherche à l’Inserm (hôpital de la Salpêtrière). Après dix ans de travail, elle vient de publier dans Lancet Neurology une démarche diagnostique simplifiée et plus fiable.

« On est au bout du chemin, on arrive à l’essentiel, émanant d’un consensus international », indique le Pr Dubois. La maladie d’Alzheimer est la plus fréquente des démences. Si elle est rare avant 65 ans, sa proportion augmente avec l’âge, et donc avec l’espérance de vie. Elle devrait atteindre 1,3 million de personnes dans six ans. Elle est due à une destruction de neurones au niveau du cerveau par l’accumulation anormale de certaines protéines cérébrales (protéines béta-amyloïde et Tau).

 

 

Comment ça marche

Les perturbations de la mémoire sont les premiers signes connus de la maladie. Plus tard peuvent survenir des troubles pénibles pour la personne et son entourage : s’égarer sur un trajet habituel, perdre la notion de mois ou d’année, ne plus savoir comment se servir de son téléphone… Tout cela a des conséquences sur l’autonomie. Mais ces symptômes ne sont pas spécifiques de la maladie d’Alzheimer.

Et tout l’enjeu est de savoir distinguer cette pathologie d’autres démences (il en existe une demi-douzaine) car les traitements ne sont pas les mêmes, et on peut freiner ou du moins limiter l’évolution de certaines d’entre elles.

C’est pourquoi cette nouvelle stratégie diagnostique est un véritable tournant dans la pratique médicale. Elle comporte tout d’abord un nouveau test de mémoire, mis au point par le Pr Dubois, qui se compose de listes de mots à mémoriser.

Ne pas pouvoir les restituer, même avec un indice (par exemple « animal », pour retrouver « souris »), est le signe d’une perturbation spécifique de l’Alzheimer : on ne stocke plus les informations. Un tests clinique, mesurant des « marqueurs techniques » (accumulation anormale de protéines cérébrales), doit confirmer le soupçon.

On peut effectuer soit une ponction lombaire, pour déterminer la concentration des protéines beta-amyloïde et Tau, soit un PET scan, une technique d’imagerie cérébrale consistant à injecter un liquide radioactif pour révéler les anomalies du cerveau.

Les plaques amyloïdes (issues de l’accumulation anormale de protéines cérébrales) apparaissent alors en couleur. Pour le Pr Dubois, « le diagnostic de la maladie d’Alzheimer repose désormais sur ce seul couple de critères (test de mémoire et mesure de l’un des marqueurs techniques, soit par ponction lombaire, soit par PET scan, voir schéma ci-dessus, NDLR) pour tous les stades de la maladie ». En complément, si nécessaire, l’IRM du cerveau peut montrer la diminution de taille d’une zone en charge de la mémoire (hippocampe) qui est touchée précocement dans la maladie.

 

Les perspectives

Bien sûr, on ne va pas faire passer tous ces examens à tout le monde, ils concerneront surtout les sujets les plus jeunes et ceux pour lesquels on a des doutes. Cela permettra de tester de nouveaux traitements sur des patients dont on est sûr qu’ils ont bien Alzheimer. Les mauvais résultats actuels des médicaments sont peut-être liés à ce tiers de faux diagnostics. Les trous de mémoire sont le lot de beaucoup. Quand ils durent, préoccupent la personne ou l’entourage, il faut consulter son médecin, qui pourra vous orienter vers l’un des 400 centres mémoire hautement spécialisés dans ce diagnostic.

lynx

Publié à 16:14 par fandeloup Tags : voiture
lynx

REQUIEM POUR LE LYNX DES VOSGES

C’était parce que l’une de ses oreilles était coupée en partie que les spécialistes du CROC (Carnivores-Recherche-Observation-Communication) et ceux de l’ONG naturaliste Férus, avaient baptisé ce lynx « Van Gogh ».

Selon Anthony Kholer, l’animateur de Férus dans les Vosges, Van Gogh aurait été percuté par une voiture , un petit matin frisquet de mars dernier dans le massif du Donon sur une route forestière dans le secteur de Valscheid en Moselle.

« L’automobiliste m’a contacté une semaine plus tard pour me dire qu’il avait écrasé un lynx. Sa description correspondait. Il m’a précisé aussi qu’il avait fait une déclaration en mairie, mais quelques heures après l’accident, la carcasse avait disparu. J’ai demandé une enquête à l’Office national de la chasse et de la faune sauvage… ».

Mais faute de cadavre ou d’indices probants sur les lieux du clash, l’ONCFS ne s’est jamais prononcé . Le fauve à l’oreille coupée était toutefois le dernier témoin visuel de la présence de l’espèce dans les Vosges. Depuis, plus rien, dans le Donon ou ailleurs.

Aucune trace. Requiem pour le lynx des Vosges

ébola

Publié à 15:49 par fandeloup Tags : article texte vie homme chez france mort annonce message fille afrique
ébola

Ebola : des scientifiques prédisent son arrivée en France d'ici la fin du mois

Des scientifiques britanniques estiment que le virus a 75 % de chance d'être diagnostiqué en France d'ici la fin du mois d'octobre.

Alors que le premier France d'Ebola diagnostiqué hors Afrique était entre la vie et la mort à Dallas (Etats-Unis) lundi, des scientifiques britanniques estiment que le virus a 75 % de chance d'être importé en France d'ici le 24 octobre.

début de psychose liée au virus Ebola dans une école primaire Par ailleurs, le quatrième Américain contaminé au Liberia, un journaliste recruté par la chaîne NBC, a été évacué vers le Nebraska. Il est le premier journaliste étranger atteint depuis le début de l'épidémie, qui a emporté plusieurs journalistes locaux. Ebola en France avant fin octobre ?

Des scientifiques de l'université de Lancaster (Royaume-Uni), cités par Reuters, estiment que la maladie d'Ebola a 75 % de chance d'être importée en France d'ici le 24 octobre. Leur calcul repose sur les données connues sur la propagation du virus et sur l'hypothèse d'un trafic aérien normal. Une diminution de 80 % du trafic aérien avec les pays touchés permettrait d'abaisser cette probabilité à 25 %.

«Si le virus continue à faire rage en Afrique de l'Ouest et empire, comme on le prédit, ce n'est qu'une question de temps avant que ces cas se retrouvent dans un avion pour l'Europe», affirme Derek Gatherer de l'université de Lancaster.

Pour le Royaume-Uni, ces chiffres sont respectivement de 50 % (trafic normal) et de 15 % (trafic réduit). Fin juillet, Marisol Touraine avait affirmé, dans les colonnes du «Parisien», que le risque d'importation du virus en Europe était «faible» et que le cas échéant, la France serait capable de «faire face».

Samedi, la ministre de la Santé a annoncé que la jeune infirmière de MSF contaminée au Liberia et hospitalisée à Saint-Mandé était guérie. VIDEO. Ebola : l'infirmière française est «totalement guérie», annonce Marisol Touraine.

Le journaliste américain infecté a quitté le Liberia. Le cameraman américain qui a contracté le virus au Liberia a été évacué dimanche de Monrovia vers un centre spécialisé du Nebraska, aux Etats-Unis. Ashoka Mukpo, recruté par la chaîne de télévision américaine NBC, était en quarantaine depuis mercredi dans un centre de traitement de l'Ebola de Médecins sans frontières (MSF), à la limite est de la capitale libérienne.

«Les médecins sont optimistes sur son cas», avait indiqué vendredi le père du cameraman, Mitchell Levy, dans un message publié par la chaîne. «Par principe de précaution», le reste de l'équipe, ne présentant pourtant aucun symptôme, devait être «rapatrié par vol spécial» et être placé en quarantaine. Fausse alerte pour un ancien malade américain.

Un médecin américain de nouveau hospitalisé au cours du week-end après avoir été traité en septembre contre Ebola ne souffre d'aucune nouvelle infection liée à cette maladie, a-t-on appris dimanche. Ancien missionnaire, Rick Sacra, 51 ans, avait contracté le virus Ebola en effectuant une césarienne dans un hôpital au Liberia. Il avait ensuite été déclaré guéri et avait pu sortir du centre du Nebraska, le même qui a accueilli Ashoka Mukpo.

Samedi, il a de nouveau dû être hospitalisé dans un centre médical dans le Massachusetts, avec un rhume et une fièvre élevée, puis placé en quarantaine. Le Libérien contaminé au Texas est «dans un état critique». Thomas Duncan, premier malade d'Ebola diagnostiqué hors d'Afrique, est entre la vie et la mort, a affirmé dimanche le Dr Thomas Frieden, un responsable des centres pour le contrôle et la prévention des maladies, la principale autorité sanitaire aux Etats-Unis. Aucun des traitements expérimentaux qui lui ont été administrés à l'hôpital de Dallas (Etats-Unis) où il est en isolement depuis le 28 septembre, n'aurait été efficace jusqu'à présent.

Thomas Eric Duncan était entré en contact avec le virus quelques jours avant son départ le 19 septembre en portant assistance à Marthalyn Williams, fille de son bailleur, à Paynesville, une banlieue de l'est de Monrovia, la capitale, selon la famille Williams. VIDEO. Nettoyage de l'appartement d'Eric Duncan, atteint d'Ebola Un cas mortel confirmé en Ouganda.

Un cas mortel de contamination par la fièvre hémorragique à virus de Marburg a été recensé en Ouganda, chez un membre du personnel d'un hôpital de Kampala, a annoncé dimanche le gouvernement ougandais. Le virus de Marburg est de la même famille que celui d'Ebola et figure comme lui parmi les agents pathogènes les plus virulents chez l'Homme, selon l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). La victime est un technicien en radiographie de 30 ans, qui travaillait à l'hôpital Mengo de Kampala.

Il a commencé à se sentir mal le 17 septembre et est décédé le 28 septembre dans cet établissement, a expliqué le ministère ougandais de la Santé dans un communiqué. Les tests se sont avérés positifs le 30 septembre.

hommage

Publié à 14:47 par fandeloup Tags : monde amis animaux pensée
hommage

4 Octobre, Journée Mondiale des Animaux 

La journée mondiale des animaux est une occasion de plus de rendre hommage à nos amis à poils, plumes ou écailles et dénoncer les souffrances qui leur sont infligées quotidiennement dans le monde entier. Une pensée toute particulière pour les dizaines de milliers de moutons qui vont être égorgés en pleine conscience pour la 'fête' du sacrifice aujourd’hui même.

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usb

Publié à 14:39 par fandeloup Tags : livre texte histoire article
usb

UBS : la Suisse livre à Paris les noms de 300 français soupçonnés d'évasion fiscale

Selon l'hebdomadaire Sonntags Zeitung, la Suisse aurait remis les documents de 300 clients de la banque UBS, soupçonnés d'évasion fiscale Selon l'hebdomadaire Sonntags Zeitung, la Suisse aurait remis les documents de 300 clients de la banque UBS, soupçonnés d'évasion fiscale

La Suisse fait un pas supplémentaire vers la fin du secret bancaire. Les autorités helvètes ont remis à Paris des documents sur 300 clients français de la banque UBS soupçonnés d'évasion fiscale, selon le journal SonntagsZeitung (article en allemand) cité par Reuters.

Affaire UBS : les Bleus, la banque suisse et le fisc Ces documents ont été envoyés aux autorités judiciaires françaises aux cours des dernières semaines, sans que les clients concernés n'en aient été informés, précise l'hebdomadaire. Des informations que ni UBS ni le département fédéral suisse des Finances n'ont souhaité commenter. A Paris, le parquet n'a pas confirmé les révélations du journal dominical suisse.

La communication des documents aurait été rendue possible par une révision de la loi suisse sur l'assistance administrative en matière fiscale, entrée en vigueur le 1er août, qui facilite l'obtention d'informations par des pays tiers sur des évadés fiscaux présumés. UBS est déjà sous la menace d'une enquête des juges d'instruction français Guillaume Daïeff et Serge Tournaireq ui soupçonnent UBS d'avoir mis en place un système de blanchiment permettant à des résidents français de dissimuler leurs avoirs au fisc entre 2004 et 2012.

La banque risque de se voir infliger une amende record de 4,88 milliards d'euros si elle est reconnue coupable des faits qui lui sont reprochés, a annoncé une source proche du dossier samedi, citée par Reuters.

braconnage

Publié à 13:36 par fandeloup Tags : afrique animaux nature monde animal
braconnage

Afrique du Sud: des milliers de manifestants dénoncent le braconnage de rhinocéros et d'éléphants

Des milliers de Sud-Africains sont descendus dans la rue samedi pour exiger des mesures d'urgence contre le braconnage des éléphants et des rhinocéros d'Afrique, en déclin rapide, ont constaté des journalistes de l'AFP.

"Nous dénonçons les responsables politiques qui dans le monde entier n'ont pas le courage et la volonté politique de changer leurs législations", a expliqué à l'AFP l'un des organisateurs du mouvement, Dex Kotze.

Les manifestants ont défilé dans dix-sept villes d'Afrique du Sud, pays où le braconnage de rhinocéros notamment, abattus pour leur corne, est particulièrement important. La corne, réduite en poudre, est utilisée en médecine traditionnelle asiatique, notamment au Vietnam et en Chine. Elle est revendue au poids et vaut à peu près le même prix que l'or sur le marché final, selon des experts. Dex Kotze a souligné que les manifestations ciblaient tout particulièrement un groupe de 19 pays (dont la Chine, le Kenya et l'Angola), épinglés par la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction) pour ne pas avoir pris de mesures suffisantes pour combattre le trafic d'ivoire.

"Ces pays doivent changer leur législation", a insisté Dex Kotze. L'Afrique du Sud abrite autour de 20.000 rhinocéros, soit 80% de la population mondiale, mais le massacre s'intensifie d'année en année, avec plus de 700 rhinos déjà tués en 2014.

La justice sud-africaine pour sa part commence à avoir la main très lourde. Un braconnier a été condamné en juillet à 77 ans de prison. Plus de 35.000 éléphants sont aussi tués chaque année en Afrique pour leurs défenses. Il ne reste que 400.000 éléphants en Afrique , selon Dex Kotze, qui affirme que près de 9% d'entre eux sont tués chaque année.

Si la Chine ne ferme pas ses 37 usines de traitement de l'ivoire, "nous allons perdre tous les éléphants", prévient-il. Les manifestations, organisées par un groupement de militants, d'ONG et de sponsors privés, se sont aussi tenues dans plusieurs ville à travers le monde, comme San Francisco et Tokyo.

"Le trafic d'animaux sauvages génère un chiffre d'affaires de 20 milliards de dollars par an", selon Dex Kotze, qui souligne que cette forme de criminalité n'affecte pas seulement les animaux: "Des organisations terroristes comme les Shebab somaliens utilisent le trafic de l'ivoire, qu'ils échangent contre des armes".

Quelques centaines de personnes ont aussi manifesté à Nairobi et à Iringa (Tanzanie). "Nous défilons pour sauver les vies des éléphants et des rhinocéros au Kenya, qui ont atteint un niveau critique. Nous ne voulons pas attendre le jour où il n'y aura plus un seul éléphant au Kenya", a déclaré Nyokabi Gethaiga, fondatrice du mouvement Laisser vivre.

Le porte kenyan de Mombasa est le premier centre d'exportation d'ivoire au monde, ont aussi dénoncé les manifestants kenyans. Selon les chiffres officiels, près de deux fois plus de rhinocéros ont été tués par des braconniers au Kenya en 2013 (59) par rapport à 2012 (30). En Tanzanie, la population d'éléphants a été divisée par deux en sept ans, selon des relevés aériens.

"Je ne veux pas devoir aller au musée pour voir des éléphants. C'est dans la nature qu'ils doivent être", a assuré Kendall Marillier, 7 ans, défilant à Iringa, à quelques 200 km du parc national de Ruaha. Quelques 300 personnes se sont aussi rassemblées à Paris autour de représentants d'associations du bien-être animal.

J'ai été un enfant "placé" pendant 14 ans

J'ai été un enfant "placé" pendant 14 ans

J'ai été un enfant "placé" pendant 14 ans : mes parents m'ont jeté comme un vieux chiffon

En 2011, ils étaient environ 148.000 enfants et adolescents à ne pas vivre dans leur famille. On les appelle les enfants "placés". Pendant près de 14 ans, Adrien Durousset a été l’un d’entre eux.

Trimballé de foyers en familles d’accueil, à 22 ans, il est aujourd’hui sorti du circuit. Meurtri mais grandi, il revient sur son histoire. Édité et parrainé par Louise Auvitu

 En France, 148.000 enfants sont placés hors de leur milieu familial. (AFP/M. BUREAU) J’ai 22 ans et j’ai été un enfant "placé" pendant près de 14 ans.

De foyer en foyer, j’ai grandi sans mes parents. Aujourd’hui, je suis sorti du circuit. Mon histoire, c’est celle d’un enfant né de parents qui n’ont pas pris leurs responsabilités quand ils le devaient. Avoir des enfants, ça demande d’en prendre soin. Moi, je n’ai rien demandé à personne, je n’ai pas choisi ma famille, mais je l’ai subie de plein fouet. Je vivais dans un climat malsain

Mes parents se sont rencontrés à Lyon. Leur amour a tout de suite posé quelques problèmes. Il était inconcevable pour la famille de ma mère qu’elle puisse sortir avec un musulman d’origine algérienne. Ma mère a finalement cédé, sans pour autant renoncer totalement à mon père. Ils ont eu un premier enfant, Christelle.

Au bout d’un an, elle a été placée dans une famille d’accueil qui a finalement demandé son adoption. Ma mère a accepté et a abandonné ma sœur. Aujourd’hui, je ne sais pas ce qu’elle est devenue. Je suis né le 8 juillet 1992.

Mon père m’a reconnu, mais je n’ai aucun souvenir de lui car il ne vivait pas avec nous. Ma mère, elle, souffrait d’un handicap mental. Quand j’ai eu trois ans, elle a rencontré un nouveau compagnon et mon demi-frère est né. Pendant deux ans, j’ai vécu en compagnie de cet homme alcoolique et violent. J’avais conscience que je vivais dans un climat malsain, que je ne mangeais pas suffisamment, que j’étais vêtu d’habits sales et que notre vétuste appartement ne convenait absolument pas à des enfants...

Mais ma mère s’en fichait, elle ne cherchait même pas à faire le strict minimum pour nous. J’étais un vieux chiffon qu’on jette En 1997, alors que j’étais âgé de 5 ans, j’ai compris que ça ne pouvait plus durer. Ma mère était suivie par une assistante sociale qui avait déjà signalé dans son rapport nos horribles conditions de vie. Souvent mon beau-père saoul laissait ses magazines pornographiques traîner.

Nous, on les feuilletait. Un jour, en venant à la maison, l’assistante sociale a appris que mon beau-père et son collègue de bistrot étaient soupçonnés de viol. Moi, je ne savais même pas ce que voulais dire le mot "viol". Ça a été la goutte d’eau.

Elle en a immédiatement référé au parquet pour mineurs. Le 10 mai 1997, la justice décidait de retirer à ma mère la garde de ses enfants. Je ne retiens pas grand-chose de ce moment, juste que ma mère ne s’est pas battue pour me garder. J’avais 5 ans, mon demi-frère un an. J’avais l’impression qu’on se débarrassait de moi, qu’on me jetait comme un vieux chiffon.

Un foyer austère peuplé d’inconnus Nous avons été envoyés dans un foyer d’urgence, un institut départemental enfance et famille (IDEF). Mon demi-frère et moi étions devenus des "placés". Petit mot sec qui devint en un rien de temps une étiquette indélébile. Pour sortir de ce type d’établissement, il n’y a que deux options : soit votre situation familiale se stabilise, soit vous trouvez un autre lieu d’accueil.

Face à cette grande bâtisse austère peuplée d’inconnus, j’avais l’impression de rentrer à l’hôpital sans être malade. Assez rapidement, j’ai été séparé de mon demi-frère. J’ai dû prendre un rythme qui ne laissait aucune place à l’imagination, je me suis retrouvé très rapidement isolé des autres enfants. Sans ami, sans famille. Les week-ends nous rentrions à la "maison". Mais nous n’étions pas un foyer.

Nous ne le serons jamais. J’en voulais toujours à ma mère : pourquoi n’avait-elle rien fait pour nous récupérer ? Elle ne s’est jamais remise en question. J’espérais encore que ma mère change Finalement en 1998, mon demi-frère et moi avons été placés dans une famille d’accueil qui avait déjà trois enfants. Elle n’était pas méchante, mais j’ai tout de suite compris que nous ne ferions jamais partie de leur famille. Aucun lien du sang ne nous unissait.

Au bout d’un an et demi, nous sommes retournés à la case départ, au foyer. À ce moment-là, j’espérais toujours que ma mère change, qu’elle décide de quitter son compagnon, de déménager en nous amenant avec elle… En vain. Quand les choses ne s’améliorent pas, elles s’aggravent.

Quelques mois plus tard, nous avons alors été placés dans une nouvelle famille d’accueil près de Villeurbanne. Ses membres étaient de confession musulmane. Au départ, tout semblait bien se passer bien, mais j’ai vite compris que certains sujets restaient tabou (la violence, le sexe, l’alcool). J’avais l’impression de n’être plus rien Progressivement, la mère de famille s’est radicalisée. Elle priait sans cesse, me demandait de me comporter comme un individu reniant mes origines. Elle voulait que je sois comme eux. Je me suis renfermé au point de faire, en 2008, une tentative de suicide. C’est grâce à des amis que je m’en suis sorti.

Hospitalisé, j’avais l’impression de n’être plus rien. Juste une chose qu’on se passe de famille en famille. Personne ne se préoccupait de moi ou de mon avenir. J’ai toujours eu du mal avec les études. Cette année-là, j’ai raté mon brevet. Il a fallu que j’intègre un foyer de jeunes travailleurs pour me reprendre en main (BEP, bac pro et bientôt licence).

Cette soudaine indépendance m’a beaucoup aidé. Je me suis investi dans divers colloques, assises de la jeunesse et je porte à présent des combats politiques. Mes parents sont des "assistés" Mon père, je l’ai revu à l’âge de 17 ans, mais nous n’avions plus rien à nous dire. Il a volontairement refusé de m’aider quand j’ai eu besoin de lui. Je n’ai plus de nouvelles de ma mère depuis quelques mois. Pendant des années, elle a vécu grâce à ses allocations sans jamais chercher à s’en sortir. Moi, je n’ai jamais rien reçu à part des aides des services sociaux et un peu de travail.

Où est la justice dans tout ça ? Mes parents sont des "assistés".

Mes mots sont durs, mais ils expriment le fond de ma pensée. J’ai aussi le droit aux allocations, mais je préfère encore travailler. J’ai tout de même intenté une action en justice à l’encontre de mes parents au titre de l’obligation alimentaire. Je suis un jeune homme comme un autre

On n’a pas cessé de me faire comprendre que devais me responsabiliser, grandir vite. Aujourd’hui, j’ai mon "chez moi". Quand je sors dans la rue, je n’ai plus l’impression d’avoir cette étiquette de "jeune confié" ou d’"enfant placé". Je suis enfin devenu un jeune homme comme un autre. J’ai des amis qui sont là et je les remercie avant tout. Je ne suis qu’au début de ma vie de jeune adulte, j’ai plein de chose encore à découvrir.

découverte d'un nid de frelons asiatiques

Publié à 09:51 par fandeloup Tags : enfants france
découverte d'un nid de frelons asiatiques

Blâmont (54) : découverte d'un nid de frelons asiatiques

En bricolant dans atelier, un habitant de Blâmont a découvert un énorme nid de frelons. Il s'agirait de l'espèce "vespa velutina" dite "asiatique".

Ce serait le deuxième cas en Lorraine.

Notre journaliste Eric Molodtzoff était en fin de matinée avec un spécialiste qui a confirmé qu'il s'agissait de frelons européens et non asiatiques comme le pensait le découvreur du nid à Blâmont.

Eric Molodtzoff René Friang reconnaît avoir eu "une petite frayeur". Il avait bricolé toute la matinée dans son atelier, jusqu'à ce qu'il voit par terre un frelon. Il a fait le tour de son local pour découvrir entre le plancher supérieur et le toit un énorme nid de frelons de plus de 70 cm de haut et près de 50 de large.

C'est une architecture exceptionnelle et absolument magnifique, raconte René. Les frelons d'Europe que j'avais déjà vus nichent habituellement dans des anfractuosités de roches ou des troncs d'arbres, ajoute-t-il, mais ici c'est vraiment une autre espèce pour construire un nid si important et ils continuent à l'agrandir. Les insectes sont plus gros que mon doigt.

Monsieur Friang, qui a prévenu la mairie de la présence de l'essaim, souhaiterait qu'il soit vu par les enfants des écoles ou du collège. Les frelons asiatiques arrivés en France il y a environ 8 ans sont entrain de coloniser notre territoire. Des investigations sont en cours à Blâmont pour savoir s'il s'agit bien de l'espèce "vespa velutina".