Fandeloup

La Suisse interdit l'Etat islamique sur son territoire

 La Suisse s'inquiète de la présence de djihadistes liés à l'Etat islamique sur son territoire et souhaite renforcer son arsenal législatif contre eux.

Elle a pris une mesure plus dissuasive que réellement efficace.

La Suisse interdit l'Etat islamique sur son territoire Plusieurs rapports signalent la présence en Suisse de djihadistes liés à Daech. afp.com/Fabrice Coffrini La mesure n'aura pas un effet "très important", reconnaît le ministre de la Défense suisse Ueli Maurer.

Le Conseil fédéral vient pourtant d'approuver une ordonnance d'une validité de six mois pour interdire en Suisse l'Etat islamique et les organisations apparentées.

Seront sanctionnées toutes les actions visant à apporter un soutien financier, en matériel ou en personnel, ou à recruter de nouveaux membres, rapporte Le Matin.

Après plusieurs rapports signalant la présence en Suisse de djihadistes, le Conseil fédéral souhaite également une loi, qui le doterait de plus de pouvoir pour lutter contre les organisations terroristes. Pourtant, comme le remarque Le Matin, l'organisation Etat islamique (EI ou Daech) était déjà de facto illégal, puisqu'une ordonnance édictée après le 11 septembre 2001 et régulièrement reconduite interdisait Al-Qaïda et les organisations apparentées.

MASSY : UNE POULE TORTURÉE AVEC DES ÉPINGLES À NOURRICE

 Une poule a été découverte, le corps mutilé par des épingles à nourrice. L’effroyable découverte a été faite, jeudi par une habitante et les employés d’une entreprise en charge de travaux.

Dans un regard, profond de 70 centimètres, situé chemin de la Gravelle à Massy, une poule était attachée par la patte, le corps mutilé par des épingles à nourrice et avait un ergot sectionné.

« Quand nous sommes intervenus, l’animal était vivant. La poule restait prostrée et tremblait de tout son corps », témoigne un policier municipal. Pour l’heure, aucune hypothèse ne permet d’expliquer pourquoi le gallinacé avait le bec et les yeux transpercés par des épingles à nourrice.

Immédiatement conduite chez le vétérinaire par la police municipale, la poule est aujourd’hui tirée d’affaire.

 « La vétérinaire lui a retiré les épingles et lui a donné un traitement. Un de ses yeux est même sauvé », rassure son collègue. Une fois guérie, une nouvelle vie attend l’animal : une habitante s’est proposée de la recueillir.

Ouvrons grand nos coeurs et notre âme rêveuse et fermons les yeux sur ce monde qui nous entoure.. Oublions nos doutes, nos vies, rangeons nos peines et nos larmes et volons vers ce que vraiment nous sommes au fond de nous.. ce moi interieur qui n'appartient a personne d'autre qu'á nos songes et nos anges... Dormez d'une nuit tranquille et reposante et rêvez follement et magiquement jusqu'a demain.

Il y a quelques jours a été cette triste et malheureuse réalité qu'endurent un etre : sans nourriture et suspendu par une corde d'une maison. Nous pouvons sentir la peine que Angel a dû vivre depuis les deux jours et a éprouvé angoisse et tristesse.Aujourd'hui Angel est mort, a quitté ce monde laissant une leçon : nous ne devons jamais fermer les yeux sur l'injustice, nous ne devons jamais sentir avec le droit de prendre la vie d'un autre être, et nous devons nous battre pour la liberté de tous les individus.

repose en paix Angel...petit pere......ne fermez jamais les yeux sur la maltraitance

Le préfet du Val d'Oise «lève la suspicion» de cas d'Ebola à Cergy

Un bâtiment de la DDASS de Cergy-Pontoise (Val-d'Oise) avait été boulé ce jeudi après-midi par les autorités en raison d'un cas suspect d'Ebola. La suspicion a été levée en début de soirée.

 Les locaux des services sociaux à Cergy (Val-d'Oise) ont été bouclés en raison de cas suspects d'Ebola pendant une heure et demi. Les autorités avaient mis en place un périmètre de sécurité et enfermé soixante personnes, dont certaines étaient passées par la Guinée.

Le préfet du Val d'Oise a précisé dans un premier temps qu'il s'agissait d'une «simple mesure de précaution» avant de lever toute suspicion en début de soirée. «La suspicion est levée, les personnes sont ressorties», a assuré Jean-Luc Nevache, le préfet. Les personnes confinées à l'intérieur du bâtiment ont toutes été évacuées. Aucune n'a été gardée en observation.

Quatre personnes d'origine africaines, étaient suspectés d'avoir été contaminés par le virus Ebola. Parmi les quatre personnes, l'une d'entre-elles fait un malaise. C'est un jeune homme africain, arrivé en France et passé par la Guinée. Il était accompagné de trois autres personnes elles aussi africaines, dont l'une au moins présentait également des symptômes grippaux.

Selon le conseil général du Val-d'Oise, ces quatre mineurs étrangers étaient venus en fin d'après-midi pour un suivi auprès des services sociaux. Dès les premiers symptômes, ils avaient été isolés, en compagnie de sept autres personnes qui avaient été contact avec eux: des personnels de l'accueil et des pompiers intervenus sur place. toutes les personnes qui auraient été en contact plus ou moins proche avec les malades potentiels ont été également isolé.

Ce sont finalement les médecins qui ont permis de lever le doute en procédant à des examens médicaux. L'équipe du Samu qui s'était rendue sur place était équipée pour les prendre en charge. L'épidémie du virus Ebola a déjà tué 3.900 personnes, pour la quasi-totalité dans des pays africains (Guinée, Liberia, Sierra Leone notamment).

Le premier malade à avoir été diagnostiqué hors d'Afrique, un Libérien, est mort mercredi à Dallas (Etats-Unis) où il était hospitalisé. En Espagne, l'état de santé de la première personne contaminée hors du continent africain, une aide-soignante espagnole, s'est dégradé. L'inquiétude a grandi jeudi en Europe et dans le monde sur les risques de propagation d'Ebola.

Les contrôles aux frontières ont notamment commencé à être renforcés en Amérique du Nord. En France, la ministre de la Santé Marisol Touraine a déclaré qu'elle travaillait aussi «avec les autorités des pays concernés - qui sont des autorités souveraines - pour voir dans quelles conditions nous pourrions renforcer les contrôles au départ». À l'heure actuelle, aucun cas autochtone d'Ebola n'a été détecté en France.

Ce n’est pas en France que l’on verrait ça ! Au mois d’août, dans les Hautes-Alpes, une louve a été retrouvée blessée suite à une collision et a été placée dans une clinique vétérinaire pour être soignée. La préfecture a d’ores et déjà annoncé que si la louve survit, elle ne sera pas relâchée, mais placée dans un parc animalier…

Autre pays, autre mentalité : début 2014, en Italie, deux louveteaux ont été retrouvés mourants (blessures + gale) par des randonneurs. Ils ont été pris en charge par un centre de soins.

Après avoir totalement récupéré, il ont été tout naturellement relâchés dans la nature munis de petites caméras pour que l’ on puisse à travers leurs yeux découvrir leurs premiers pas en liberté

 Impossible de ne pas faire le parallèle entre ses deux histoires… D’un côté des Alpes on relâche ses loups dans la nature, et de l’autre côté on les enferme à vie! Après plusieurs exemples de loups blessés, soignés et relâchés en nature, l’Italie montre une fois de plus une approche bien différente de celle de la France concernant la place de ses animaux sauvages et les efforts mis en oeuvre pour leur conservation.

De plus, ces exemples italiens nous montrent que cela est possible, contrairement à ce que pense le Préfet des Hautes-Alpes affirmant que dès lors qu’un loup avait eu un contact avec l’homme, il ne serait plus relâchable car trop imprégné.

L’AMENAGEMENT DES PEINES DE PRISON FERME

Formation de 2 heures validantes en Droit pénal, et pour le compte du CDL Dispensée par Maître Pierre-Henry BILLARD, Organisée par Maître Nicolas PANIER.

« Une formation pensée par les jeunes avocats, pour tous les avocats ». Salle des avocats

- Cour d'appel de DIJON

- En partenariat avec le Centre de Défense des Libertés – Ordre de DIJON

Chronique de la lacheté francaise Residence des cedres ,rue auguste bosc30900 NIMES

un chien est tabassé et hurle tous les jours par Mr di chritophe . Vous voyez les photos, le chien hurle tous les jours, mais c'est un immeuble cossu, personne ne veut avoir de problemes alors les gens ferment leur fenetres pour ne pas entendre les hurlements

La police est venu 2 fois, mais bvien sur , si il ouvre la porte, il tape pas le chien , donc pas de PV Voila , c'est a Nimes, un pauvre labrador est massacré tous les jours, mais chutttttttttttttttttttttttttttttttt

On est en France

Nous traversons le présent les yeux bandés.... Plus tard seulement, quand est dénoué le bandeau et que nous examinons le passé, nous nous rendrons compte de ce que nous avons vécu et nous en comprenons le sens.

Liège: 110 veaux sacrifiés à Droixhe, Christine Defraigne s'inquiète des conditions d'abattage

 Le week-end dernier se déroulait la traditionnelle fête musulmane de l’Aïd El Kebir, plus connue sous le nom de fête du Sacrifice.

Depuis quelques années, les services publics, communes en tête, veillent à éviter toute forme d’abattage sauvage avec, notamment, des conditions d’hygiène déplorables et des carcasses abandonnées en pleine nature.

 La Ville de Liège envoie à ce titre des lettres à toutes les ASBL musulmanes ainsi qu’aux mosquées afin de rappeler les règles en vigueur et dispositifs mis en place.

Concrètement, cela se traduit par la mise à disposition de l’abattoir de Liège, à Droixhe, et par l’installation, face à ce dernier, d’un abattoir temporaire.

Cette année, deux éléments nouveaux ressortent. Primo, la forte hausse du nombre d’animaux abattus.

En 2014, on arrive à un total de plus de 500 bêtes. Dont 286 égorgées selon le rite traditionnel au sein de la structure provisoire de l’abattoir. À titre comparatif, ce nombre était de 86 en 2012.

L’augmentation est toutefois à relativiser. Avant cette date, de nombreux abattages avaient lieu clandestinement. Autre point significatif : la très nette augmentation de veaux sacrifiés en lieu et place des habituels moutons.

On en a dénombré 110 cette année, contre une soixantaine il y a deux ans. En général cinq, six voire sept familles se regroupent pour en acheter un. Alors que l’on compte habituellement un mouton par famille. Ce nombre sans cesse plus important de veaux sacrifiés inquiète la libérale Christine Defraigne.

Cette dernière, cheffe de groupe MR au conseil, a ainsi interrogé le bourgmestre : « L’abattage de veaux est un phénomène nouveau. Certes, il existait déjà, mais il prend aujourd’hui des proportions importantes. Je m’inquiète dès lors de savoir quelles sont les conditions de cet abattage ?

Dans la chaîne normale, les veaux sont étourdis avant d’être abattus, est-ce la même chose ici ? Il n’y a pas de raison que les conditions soient plus précaires dans le cas de la fête du Sacrifice qu’habituellement. »