Thèmes

aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)

Derniers commentaires Articles les plus lus

· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien

· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "fandeloup" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


Rechercher

Faut-il fermer les abattoirs ?

Publié à 10:47 par fandeloup Tags : france animaux animal mode histoire mort société article homme monde vie paris
Faut-il fermer les abattoirs ?

Faut-il fermer les abattoirs ?

Le 7 juin à Toulouse et le 14 juin à Paris aura lieu la troisième édition de la marche pour la fermeture des abattoirs.

Cet événement "s'inscrit dans un mouvement qui souhaite une société attentive aux besoins de tous les êtres sensibles à l'opposé des courants prônant discrimination, haine ou xénophobie" comme on peut le lire sur le site de l'organisation.

"Abolir la viande" serait le moyen de mettre fin à l'une des plus grandes formes d'injustice institutionnalisées de notre histoire. Mais pourquoi les animaux devraient bénéficier de notre compassion? "Ce à quoi je dois veiller, à tout le moins, c'est à ne pas me prêter au mal que je condamne" .

Cette règle formulée en 1849 par Henry David Thoreau pourrait paraître comme une évidence. Nombreux sont ceux qui éprouvent un sentiment d'indignation lors de la médiatisation de faits de maltraitance sur des animaux familiers. Ces personnes ne songeraient, à aucun moment, à encourager, directement ou indirectement, les sévices faits sur ces animaux.

Ce "mal", auquel notre sens moral s'oppose, est pourtant quotidiennement alimenté par nos choix, même de manière indirecte. Ce "mal", c'est l'enfer opaque des abattoirs et de l'exploitation animale en général.

Car comment qualifier autrement cette aliénation infernale qu'est la condition des animaux asservis aux intérêts des hommes? Ce court-métrage réunit des images filmées dans des élevages et abattoirs français.

Les chiffres parlent d'eux-mêmes: 63 milliards d'animaux terrestres tués, 1000 milliards de poissons pêchés et 80 milliards de poissons d'élevage abattus chaque année dans le monde pour satisfaire les intérêts d'une seule espèce. Cette entreprise de la mort, presque personne n'ose la voir.

Mais tous la côtoient et l'entretiennent. Une violence nécessaire?

Les études récentes mettent de plus en plus à mal l'idée, pourtant toujours répandue (particulièrement en France), que consommer des produits d'origine animale serait nécessaire pour la santé.

Au contraire, la hausse croissante à travers le monde de maladies cardiovasculaires, de cancers ou du diabète, laisse à penser que l'alimentation "standard", riche en viande et autres produits d'origine animale, n'est pas la plus optimale sur le plan de la santé.

S'il nous était impossible de nous passer de produits d'origine animale pour assurer notre survie, les questions morales ne pourraient sérieusement se poser. Le cannibalisme de survie, par exemple, est rarement condamnable, comme en témoigne le cas des rescapés de la cordillère des Andes.

L'exploitation des animaux, en cas de nécessité, ne serait pas immorale mais a-morale, c'est-à-dire étranger au domaine de la morale. En l'absence de nécessité, qu'est-ce qui explique que nous continuions malgré tout à consommer des animaux?

La perception que nous nous faisons des animaux explique une partie du problème. Ceux-ci sont perçus tantôt comme des animaux d'"agrément", tantôt comme des aliments qui nous procurent du plaisir. Seule la destination que nous attribuons aux animaux transformés en aliment justifie leur exploitation.

C'est la raison pour laquelle beaucoup s'imaginent avoir le "choix" de pouvoir continuer à consommer des animaux puisque ces personnes les perçoivent comme des aliments parmi d'autres.

La différence avec d'autres aliments est que ces animaux, auxquels nous avons attribué cette étiquette de manière aléatoire, sont des êtres vivants doués de sensibilité.

À partir de ce constat, une exigence s'impose: celle de prendre leur sensibilité en considération. Comment expliquer de manière rationnelle l'exploitation et la mise à mort d'êtres sensibles alors même que cela n'est pas nécessaire?

Quand tuer devient la norme Salomon Asch effectue dans les années 50 une expérience qui révolutionne la psychologie sociale. Des sujets devaient évaluer la taille de plusieurs lignes et choisir quelle ligne correspondait à la ligne modèle. Un exercice d'une grande simplicité. Seulement, des complices, présents dans la salle, donnaient intentionnellement des réponses erronées afin de constater la réaction des autres sujets.

Résultat:

un grand nombre tombe dans le piège et se conforme aux réponses erronées données par les complices. L'indifférence à l'égard de l'exploitation des animaux repose sur des mécanismes psychologiques similaires. Depuis l'enfance, nous apprenons que consommer des animaux est "normal", qu'il s'agit d'un "mal nécessaire".

Là où nous voyons un choix, il y a en fait un choix par défaut. Cette expérience démontre à quel point nos jugements peuvent se laisser influencer par l'opinion commune, quand bien même celle-ci ne repose sur aucune une structure rationnelle.

Exploiter des animaux devient une habitude que la norme justifie pleinement. Des bêtes au service de l'homme La norme est pourtant un dogme bien fragile. L'idée de réduire des hommes à l'esclavage paraît aujourd'hui comme immorale.

L'esclavage était pourtant, durant la majeure partie de l'histoire humaine, institutionnalisé par le droit. Le Code noir de 1685, dans son article 44, faisait des esclaves des "meubles", à l'instar des animaux. Le Conseil d'État décide d'ailleurs dans un arrêt de 1684 que "les nègres et les bestiaux sont réputés meubles, quoique insaisissables" 

L'esclave, en étant animalisé, devient de manière légale une chose appropriable. L'esclave, comme l'animal, est celui qui "de fait ou droit est ou est placé hors du groupe légitime de référence" .

Ce "groupe légitime de référence", c'est celui qui se considère de manière unilatérale comme supérieur et s'autorise, par là même, à exploiter ceux auxquels il attribue une valeur moindre. C'est celui qui réduit des hommes à l'état d'esclave, des animaux à l'état de moins-que-rien. L'exploitation animale n'est pas, par conséquent, de l'ordre du "naturel".

Au même titre que l'esclavage n'a rien à voir avec l'idée de naturalité, malgré les arguments de ses partisans qui voyaient dans cette institution une pratique immémoriale, donc naturelle. L'exploitation des animaux ne s'explique aujourd'hui que par les choix aléatoires d'un "groupe légitime de référence", c'est-à-dire l'homme autoproclamé comme supérieur.

Comme l'écrivait Schopenhauer, "le monde n'est pas une fabrique et les animaux ne sont pas des produits à l'usage de nos besoins" . Puisqu'il n'est pas nécessaire d'exploiter les animaux, nous devons mettre fin à une injustice qui a trop longtemps été excusée.

Il est possible de ne pas encourager ce système qui institutionnalise la mort de milliards d'animaux sensibles en adoptant un mode de vie végan.

La marche pour la fermeture des abattoirs est le symbole d'une société qui tend progressivement à considérer les animaux, non plus comme des produits, mais comme ce qu'ils sont, à savoir des êtres sensibles dont la vie n'a pas à être évaluée en fonction de critères illusoires.

Les attouchements

Publié à 09:32 par fandeloup Tags : amis monde vie société femme cadre fille nuit femmes
Les attouchements

Les attouchements dans le cadre familial ne justifieront plus la prison…

C’est dimanche. La famille est réunie pour fêter la naissance du petit dernier. Tonton est là, et pour fêter l’événement dans les règles, il a un peu forcé sur l’apéro et le reste. Il fait sauter son adorable petite nièce sur ses genoux et, il faut le comprendre, il ne sait plus très bien ce qu’il fait.

Ses mains, à force de chatouiller le petit corps tout frais tout beau, deviennent malencontreusement baladeuses.

Bah, tout le monde étant peu ou prou dans le même état que lui, personne ne le remarquera et puis la petite, hein, elle n’ira pas raconter ce que lui a fait le gentil tonton.

Eh bien, même si la petite allait rapporter la scène à ses parents, même si ces derniers portaient plainte pour attouchements sur mineur de moins de 15 ans, bientôt, grâce à la loi Taubira, tonton – coup dans le pif ou non – ne risquera plus rien… C’est ce qu’on apprend dans Le Figaro.

Selon les cas d’application de la nouvelle contrainte pénale , « les attouchements dans le cadre familial ne justifieraient plus la prison » parce qu’« il y a des infractions sexuelles qui ne signalent pas un ancrage dans une délinquance particulière », a expliqué le rapporteur de la loi, le député PS Dominique Raimbourg.

Des femmes sexuellement agressées la nuit, c’est grave, dit-il. Mais violer l’intimité d’une petite fille ou d’un petit garçon de sa famille, c’est… un non-événement ?

D’ailleurs, alors que ne devaient être au départ concernées par cette réforme pénale que les peines inférieures ou égales à cinq ans de prison – ce qui était déjà très inquiétant –, un amendement déposé par deux femmes députés PS – Élisabeth Pochon et Colette Capdevielle – doit l’étendre à l’ensemble des délits comme celui, donné en exemple par Dominique Raimbourg, du « petit trafiquant » qui fume du cannabis dans une soirée entre amis (et risque actuellement dix ans de prison).

En somme, en famille ou entre amis, tout devient permis. C’est un bon début. Devons-nous être surpris quand les standards européens de l’éducation sexuelle prônent la masturbation dès le berceau ?

Devons-nous être surpris quand le Guide d’intervention dans les collèges et lycées écrit que « les élèves devront avoir pris conscience que la sexualité commence dès la naissance, évolue à chaque phase de la vie et ne se résume pas au seul acte sexuel » ?

C’est tonton qui va être content. Coup dans le nez ou pas, avec Taubira, il va avoir le droit. Les temps changent, la société évolue, dit-on. Des faiseuses d’anges ont été exécutées. Maintenant des Audrey Pulvar demandent « À partir de quand une femme aurait-elle trop avorté ? ».

Bernard Hanse, professeur injustement accusé de pédophilie, s’est suicidé. Aujourd’hui, les oncles ou grands-pères pédophiles ont le champ libre. On commence par la pédophilie en famille et le cannabis entre amis. Le cannabis et la pédophilie en famille et entre amis, c’est pour demain ?

liberté

Publié à 08:36 par fandeloup
liberté

Etre libre c'est aussi ne pas agir en fonction du regard d'autrui. L'important c'est de se sentir libre.

baisse

Publié à 08:25 par fandeloup Tags : lecture
baisse

Quand les médias révèlent que le niveau des élèves baisse en lecture, en vocabulaire, en orthographe, en résolution de problèmes, en gestion de données et en géométrie mais qu’en revanche, ils maîtrisent de mieux en mieux la technique de la soustraction.

pétition

Publié à 08:08 par fandeloup
pétition

Trois soldats vietnamiens arrêtés pour avoir torturé et écorchés vifs un singe femelle qui étais enceinte et à laquelle ils ont fait fumer une cigarette avant leur acte de cruauté envers ce singe femelle. Ses individus sont la honte de leur pays et doivent être punis pour leurs actes je vous prie donc de signer cette ;

Pétition :

http://www.change.org/fr/pétitions/petition-charge-soldiers-who-tortured-monkeys-with-treason-against-vietnam?share_id=lzDMFmCMuT&utm_campaign=autopublish&utm_medium=facebook&utm_source=share_petition

bienvenue

Publié à 07:34 par fandeloup

bonne nuit

Publié à 20:41 par fandeloup

a vous

Publié à 20:34 par fandeloup Tags : enfant merci vie monde amour enfants coeur aimer
a vous

Vous mes enfants,quand vous etes venu au monde, mon coeur a explosé et s'est inondé d'un amour d'une puissance que je ne pouvais imaginer même dans mes rêves les plus intenses. L'amour que j'éprouve pour vous est un amour dont seul les étoiles peuvent en comprendre le langage. Ce jour-là, à votre naissance, jour gravé à vie dans le plus profond de mon coeur et de mon âme, vous etes devenus mon étoile terrestre. Vous etes ma chair, mon sang, ma vie, et je vous dis ces mots en sachant que je suis ici pour vous accompagner, que vous etes les enfats de l'Univers et que vous ne m'appartenez pas. Je vous dis ces mots en vous faisant la promesse de vous donner au mieux tout ce je pourrai, que je suis une mère avec ses faiblesses, ses failles et ses défauts, que je veillerai sur vous et vous protégerai, avec immensément d'amour et de respect,souvenez-vous mes enfants, qu'une maman parfaite n'existe pas, mais que mon amour indéfinissable dépasse la perfection tellement il est grand et puissant. À vous mes enfants, merci pour l'immense privilège que vous m'offresz qui est celui de vous aimer, de vous chérir et surtout de pouvoir m'appeler maman. Merci mes enfants, Merci mes étoiles de vie. Votre maman

abandon

Publié à 19:47 par fandeloup
abandon

Une séparation, rupture, perte d'un être cher est une étape difficile et douloureuse, parfois même déchirante. Le manque fait mal, souffrir, peut même se manifester par une extrême souffrance.

chemin

Publié à 19:30 par fandeloup Tags : voyage vie heureux
chemin

Il n'y a pas de chemin vers le bonheur. Le bonheur est le chemin ! et même si sur le chemin de la vie, il y a parfois des épreuves, des obstacles à traverser... Il n'y a pas de meilleur temps pour être heureux que maintenant. Le Bonheur est un voyage. Vivez et profitez du moment présent. La vieest bien trop courte pour ne pas l'apprécier aujourd'hui même !