aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Ces prochains jours, le soleil est de retour. L'anticyclone semble vissé à perte de vue
La maladie à corps de Lewy en chiffres
Changements imprévisibles dans la concentration, l’attention, la vigilance et l’éveil… la maladie à corps de Lewy (MCL) frappe environ 200 000 personnes en France.
C’est la seconde maladie neurodégénérative à impact cognitif la plus fréquente après la maladie d’Alzheimer.
200 000 Nombre estimé de personnes atteintes par la maladie en France.
20 % Pourcentage que représente la maladie dans les cas de démences
. 67 % Part des personnes malades qui ne sont pas diagnostiquées. Âge à partir duquel se déclare la maladie qui touche plus particulièrement les hommes.
80 % des personnes malades ont des hallucinations visuelles, parfois auditives 2 à 20 ans
C’est l’espérance de vie à partir du moment où la maladie est diagnostiquée. Une évolution rapide Si certains symptômes concordent avec ceux des maladies d’Alzheimer et de Parkinson en début d’évolution, la MCL se distingue par une évolution plus rapide et par la détérioration marquée des facultés mentales.
Les principaux signes cliniques
Fluctuation des performances cognitives avec des variations prononcées de l’attention et de la vigilance,
Sensibilité sévère aux neuroleptiques (antipsychotiques),
Hallucinations visuelles et auditives,
Chutes fréquentes,
Syncopes et/ou pertes de conscience transitoires,
Délires systématisés,
Troubles du comportement en sommeil paradoxal.
Une maladie incurable Il n’existe pas de traitement curatif de la maladie mais seulement la possibilité de traiter certains symptômes cognitifs, moteurs, ainsi que les troubles du comportement et de l’humeur.
Avec la naissance d'un jour, la terre commence son tour, les riviéres suivent leurs parcours
La pilule contre le chagrin d’amour arrive en France
Anne, dévastée par son divorce difficile, se remet grâce au Propranolol, un cachet qui atténue ses émotions.
Le chercheur canadien qui a mis au point cette très sérieuse thérapie est en train de former des médecins en France. A chaque rayon de soleil, Anne remonte le long du fleuve Saint-Laurent, à Montréal, s’enivrant d’air frais, elle dont le souffle fut coupé pendant des mois. C’était lors de sa descente aux enfers.
« Aujourd’hui, je vais bien, d’une manière inespérée par rapport à ce que j’ai vécu », s’enthousiasme celle qui fut « dévastée », dit-elle, par un divorce dont la procédure est toujours en cours. Un chagrin d’amour, un chagrin d’estime, qui l’a submergée physiquement et moralement. Et dont cette Française de 55 ans, installée au Québec depuis cinq ans, a été guérie grâce à… un petit comprimé. Son nom : le Propranolol.
Son surnom : « pilule de l’oubli ».
Un médicament, associé à une thérapie très encadrée, que les victimes des attentats, notamment de ceux du 13 novembre 2015 à Paris, connaissent bien. Dans le cadre d’un essai clinique unique au monde, 360 d’entre elles, souffrant de stress post-traumatique, ont suivi ce protocole innovant.
Il a la capacité, non pas de détruire un souvenir mais d’en atténuer l’intensité négative. « Ce médoc m’a sauvé la vie », nous avait confié Max, 55 ans, lorsque nous l’avions rencontré en novembre 2017.
Ce Parisien, qui a accompagné jusqu’à son dernier souffle une des victimes des attentats du 13 Novembre (il était au café A la Bonne Bière) a été le premier patient à intégrer l’essai clinique Paris Mémoire vive, mené par l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris. Soigner les cœurs brisés Face aux résultats prometteurs, le psychiatre et chercheur canadien Alain Brunet a élargi sa thérapie à la rupture amoureuse.
Encadré par un psychologue ou un psychiatre, le patient prend un comprimé et écrit son souvenir traumatique. Une heure plus tard, il lit son récit. La pilule, un bêtabloquant, fait effet. Elle interfère au moment où le souvenir passe de la mémoire de court à long terme en lui faisant perdre de son intensité. Le traumatisme reste mais devient un souvenir, certes mauvais, mais vivable. « Le chagrin d’amour, cela a l’air léger.
Et pour cause, il ne présente pas de menace vitale. Mais si certaines personnes réagissent bien, pour d’autres, le sol se dérobe sous leurs pieds. Il peut alors engendrer un trouble de l’adaptation, au même titre que le stress post-traumatique. Ce sont des pensées répétitives, une envie dévorante de pleurer, des nausées, de la détresse. C’est à ces patients que la thérapie s’adresse », décrypte le professeur Brunet.
Nous l’annonçons, il forme depuis janvier des médecins français qui vont, comme lui l’a fait avec Anne à Montréal, soigner les cœurs brisés de l’Hexagone. «Pour moi, c’était la thérapie des soldats en Afghanistan»
Anne a épousé celui qui deviendra le papa de ses trois enfants en 1991. Elle l’a précédé de quelques mois dans leur projet commun d’expatriation au Canada. Lui, finalement, ne déménagera pas.
« Un matin, j’apprends que je suis en train de divorcer depuis quatre mois. 25 ans qui se terminent ainsi », nous confie-t-elle. Son divorce, elle le vit alors comme « une claque de première catégorie » et perd confiance en elle. « Le jour, je gardais mon côté rationnel mais la nuit, je faisais sans cesse des cauchemars horribles. La fatigue s’accumulait, je limitais mes sorties au strict minimum, je sursautais. J’étais comme sidérée », détaille-t-elle.
Un jour, elle se rend à l’hôpital de Montréal où le diagnostic de stress post-traumatique est posé. Elle intègre le dispositif d’Alain Brunet.
« C’était un peu dingue car pour moi, c’était la thérapie des soldats en Afghanistan ! Je me suis dit, c’est sérieux, académique, tente, tu n’as rien à perdre ». Gagné : en sept séances intenses, parfois très difficiles, puis seize semaines de stabilisation, elle remonte la pente. « La blessure reste, note-t-elle, mais son impact est moins fort. Je ne rumine plus, j’avance », explique-t-elle. Anne le concède, il est très difficile de « parler rupture ».
Si elle le fait aujourd’hui, « c’est parce que j’ai compris qu’il n’y a pas de honte à souffrir d’une séparation. J’espère que d’autres oseront demander de l’aide. »
Une rose parle de l'amour en silence dans une langue connue seulement au ♥.
La population mondiale pourrait décliner à partir de 2050
Selon deux journalistes canadiens, la transition démographique mondiale arrivera plus tôt que prévu.
Et si l’humanité se dirigeait non pas vers la surpopulation, mais vers un déclin démographique ?
Dans leur ouvrage Empty Planet : The Shock of Global Population Decline (Penguin, Random House), publié le 5 février, John Ibbitson et Darrel Bricker remettent en question les prédictions de l’ONU en la matière.
Selon les deux journalistes canadiens, la transition démographique mondiale arrivera plus tôt que prévu. Partout, l’explosion démographique semble s’être imposée comme une évidence. 9 milliards d’êtres humains en 2050, 11 milliards d’ici 2100 : les chiffres des Nations Unies indiquent une claire augmentation de la population mondiale au cours des prochaines décennies, portée notamment par une explosion démographique jugée interminable en Afrique.
Et avec elle, une hausse des émissions de gaz à effet de serre, de la pollution plastique et de la consommation globale. Ces prédictions n’auraient toutefois rien d’évident, à en croire Empty Planet, publié le 5 février par deux journalistes canadiens. Comme l’indique le titre de ce livre, John Ibbitson et Darrel Bricker tablent plutôt, à terme, sur une réduction du nombre d'êtres humains vivant sur Terre :
« Dans une trentaine d'années, la population mondiale commencera à décliner. Une fois que le déclin aura commencé, il ne s’arrêtera plus », écrivent-ils, précisant qu'un nombre croissant de démographes commence à revoir les prédictions de l'ONU à la baisse. « L’organe reproducteur humain le plus important est l’esprit »
« Nous allons faire face non pas à une explosion de la population, si présente dans l'imaginaire collectif, mais à un déclin implacable de l'humanité, un massacre génération après génération. C'est du jamais vu. D'après ces démographes, la population de la planète plafonnera à neuf milliards entre 2040 et 2060 avant de décliner. D'ici la fin du siècle, on pourrait être de retour aux chiffres actuels avant de poursuivre son déclin », détaillent-ils dans cet extrait du livre publié sur la plateforme Medium
. La clé : l’éducation des femmes
La thèse du déclin démographique n’est pas tout à fait neuve. On avait déjà entendu parler de la tendance à la baisse de fertilité masculine, qui pourrait mener, à terme, à une extinction pure et simple de l'humanité. Mais les auteurs, eux, insistent plutôt sur la transformation du mode de vie des femmes : « Les prédictions de l’ONU reposent sur trois paramètres : les taux de fécondité, de migration et de décès », explique Darrel Bricker au magazine Wired.
« Elles ne prennent pas en compte l’expansion de l’éducation des femmes, ni la vitesse de l’urbanisation croissante (qui sont en partie liées) ». Selon le démographe autrichien Wolfgang Lutz, interrogé par les deux journalistes, si l’on inclut l’éducation des filles dans l’équation, les humains ne devraient être que 8 ou 9 milliards en 2100, et non 11 milliards comme l’estime l’ONU. « Lutz dit souvent que l’organe reproducteur humain le plus important est l’esprit.
Si vous changez la vision qu’ont les gens de la reproduction, vous changez tout », poursuit John Ibbitson dans cette même interview, validant l'équation suivante : niveau d'éducation plus important + carrière professionnelle = plus petit nombre d'enfants. Et les deux co-auteurs d’accuser, toujours dans Wired, l’ONU d’avoir une « vision sinistre » de l’Afrique : l’organisation internationale ne prédirait quasiment aucun changement dans les taux de fécondité des femmes africaines pendant le premier quart de siècle.
Or, rappellent les auteurs, le taux d’urbanisation de nombreuses régions d'Afrique serait deux fois plus rapide que la moyenne observée à l'échelle mondiale. Le déclin a déjà commencé Les journalistes ont donc mené leur propre enquête, interrogeant des femmes dans vingt-six pays – de l’Inde au Brésil en passant par la Belgique et le Kenya – sur leurs intentions de maternité. Partout, la réponse tourne autour de deux enfants par femme, révèlent-ils.
« Les populations sont déjà en train de décliner dans une douzaine de pays. D'ici 2050, ce chiffre sera multiplié par trois », lit-on dans le livre. Parmi les principaux pays touchés par ce déclin aujourd'hui : le Japon, la Corée du Sud, l'Espagne, l'Italie, ainsi qu'une majorité de pays d'Europe de l'Est.
La Chine devrait suivre dans quelques années. Puis le Brésil et l'Indonésie, d'ici le milieu du siècle. Même l'Inde, qui pourrait devenir - voire serait déjà - le pays le plus peuplé de la planète, devrait voir sa population se stabiliser d'ici une génération avant de décliner. Idem en Afrique sub-saharienne et au Moyen-Orient, qui connaissent aujourd'hui des taux de fécondité très élevés, mais dont la fin du baby-boom devrait arriver plus vite que ne l'estime l'ONU.
Une bonne nouvelle pour l’humanité
? Mais l'issue ne sera pas forcément joyeuse, notamment d'un point de vue économique. Le vieillissement de la population qui se profile, précisent les auteurs dans leur ouvrage, devrait peser sur les actifs, qui crouleront sous les frais d'assurance santé et de retraite. Et inciter les couples à avoir plus d'enfants serait vain : « Une fois que la norme d'un ou deux enfants s'impose, on ne peut plus revenir en arrière. »
« Une fois que la norme d'un ou deux enfants s'impose, on ne peut plus revenir en arrière » Si les auteurs disent vrai, et que la transition démographique mondiale arrive plus vite que prévu, cela pourrait bien limiter un peu les dégâts infligés à l’environnement – et faciliter la réalisation des objectifs fixés en vue d’un monde durable. À condition de ne pas oublier la fameuse équation IPAT : baisser la population ne servira à rien si l'on ne diminue pas les autres facteurs de l'équation, notamment celui du niveau de consommation par individu.
UNE COUR D’APPEL ORDONNE DE COUPER LES CORDES VOCALES DE CHIENS QUI ABOIENT TROP Par CNEWS
Une telle pratique suscité la controverse dans le pays.
La Cour d'Appel de l'État d'Oregon (États-Unis) a décidé mercredi 30 août qu'un couple devait faire taire ses chiens en les faisant opérer pour qu'ils n'aient plus de cordes vocales. Selon la justice, cette pratique serait la meilleure solution pour mettre fin à un conflit de voisinage qui dure depuis plus de dix ans. Les six chiens, des Mastiffs tibétains et des Pyrénées, ont commencé à poser problème au couple Krein en 2002, mais c'est seulement en 2012 qu'ils ont pris la décision de poursuivre leurs propriétaires en justice, explique The Oregonian.
Selon le couple de plaignants, les aboiements débutaient à 5h du matin et se poursuivaient tout au long de la journée. Impossible alors de dormir ou encore d'inviter du monde chez eux.
SUR LE MÊME SUJET GAME OF THRONES
Les fans de GoT sont priés de ne plus acheter de huskies Un premier jugement avait été rendu en avril 2015 et les propriétaires des chiens avaient été condamnés à verser une amende de 238.000 dollars (environ 200.491 euros). Ce qui n'avait pas réglé le problème des aboiements intempestifs. Face à la presse, les proprétaires ont expliqué que les canidés protégeaient les moutons de leur ferme et que les empêcher d'aboyer pouvait menacer la sécurité des bêtes. Pour l'instant, seul un chien n'a plus ses cordes vocales. Le couple ignore encore s'il va faire appel de la décision ou l'accepter.
UNE PRATIQUE POLÉMIQUE
Le sujet est controversé aux États-Unis. Plusieurs associations de défense des animaux ont manifesté leur désaccord et six États interdisent cette pratique. Les partisans assurent que cela peut empêcher un animal de se faire euthanasier si cela est fait correctement et qu'ils peuvent toujours s'exprimer avec un léger aboiement. Les opposants dénoncent de leur côté une pratique cruelle.
2018 a été la quatrième année la plus chaude de l’Histoire
Changement climatique Explorer les derniers développement stratégiques, recherches et analyses
L’année 2018 a été marquée par des actualités régulières concernant la hausse des températures à travers la planète, mais également le réchauffement des océans, et le fait que l’Arctique a perdu 95% de ses glaces les plus anciennes.
Février 2019, l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique et la NASA ont publié les résultats d’une étude qui démontre que 2018 est la quatrième année la plus chaude de l’histoire, après 2016, 2015 et 2017.
Pour arriver à ces conclusions, la NASA a rassemblé des données récoltées auprès de plus de 6000 stations météorologiques et auprès d’instruments installés sur des bateaux et dans les stations de recherche de l’Antarctique. De manière générale, l’année 2018 a été plus chaude de 0,83°C que la normale. Le docteur Amir Jina, un professeur assistant en environnement et développement économique à l’université de Chicago, à la Harris School of Public Policy, a déclaré :
« Nous avons des preuves que la hausse des températures va affecter la santé, la croissance économique, la productivité du travail, l’agriculture, les crimes et les conflits », il a également ajouté :
« De ce fait, le réchauffement climatique ne concerne pas seulement les changements environnementaux mais également notre santé, notre richesse et notre bonheur ». Cependant, toutes les parties du monde ne vivent pas le réchauffement climatique de la même manière étant donné que les changements de température varient selon les régions.
La région Arctique a été la victime du plus grand réchauffement de 2018, tandis que la fonte des glaces au Groenland et en Antarctique ont causé une montée des eaux généralisée et ont contribué à la durabilité du réchauffement qui a entraîné des feux de forêts importants et de graves événements météorologiques. Selon le docteur Jina, « les impacts directs sont bien pires sur les zones côtières et plus particulièrement dans le sud. Ces zones font face à de nombreuses menaces telles que la hausse des températures, la montée des eaux, et de graves tempêtes ».
L’Agence météorologique du Japon a également déclaré que 2018 a été la quatrième année la plus chaude de l’histoire. Selon le programme Copernicus de l’Union européenne, les températures de 2018 ont été plus chaudes que la moyenne de celles de 1981 à 2010, et les concentrations de gaz à effet de serre et de dioxyde de carbone ont augmenté l’année dernière. De plus, plus de 90 % des années les plus chaudes de l’histoire, qui recouvrent 136 années, sont des années postérieures à 2001.
Bien que les températures de 2019 soient plus froides aux États-Unis pour le moment, avec notamment des températures plus basses que celles de l’Antarctique à Chicago fin janvier, l’Australie connaît en ce moment l’une de ses plus grandes vagues de chaleur. Cependant, le vortex polaire d’Arctique qui a erré dans le sud n’est pas révélateur d’un réchauffement du climat. En fait, c’est la hausse des températures qui serait responsable de la visite du vortex polaire aux États-Unis.
Cette année risque d’être la plus chaude de l’histoire notamment du fait de la forte probabilité d’un nouvel épisode du phénomène El Niño. « Nous poussons la planète vers des extrêmes jamais connus auparavant », témoigne le docteur Jina, « Le fait que nous vivions tous dans une économie connectée signifie que nous allons tous ressentir les effets de ces dégâts, même dans les régions intérieures ».
L’Homme, cause de mortalité majeure pour les animaux… encore et toujours !
Selon une étude, 59 % de la mégafaune (tout vertébré excédant 45 kg) serait en voie d'extinction notamment à cause d'une consommation excessive de leur viande /©Pixabay pour participer aux combats menés par la Fondation 30 Millions d'Amis ! Découvrir nos combats Sur un ensemble d'animaux vertébrés terrestres retrouvés morts dans le monde, un peu plus d’un quart sont morts directement à cause de l’Homme, selon une étude du College of Environmental Science and Forestry (USA). 30millionsdamis.fr a examiné ces chiffres alarmants pour l’avenir de la faune.
« L’Homme est le plus grand prédateur de ce monde ».
Cette sentence, lue et entendue malheureusement maintes fois, prend encore aujourd’hui tout son sens. Une équipe de chercheurs du College of Environmental Science and Forestry (Syracuse, État de New York, USA) a étudié l’impact réel de l’Homme sur la mortalité des animaux à l’échelle globale. Parmi les vertébrés pris en compte : des mammifères, des oiseaux, des reptiles et des amphibiens suivis à l'aide de balises, morts sur les cinq continents entre 1970 et 2018.
Rassemblant les résultats de 1114 études, les chercheurs se sont penchés sur la mort de 42 775 animaux dans le monde. Résultat ? Pas moins de 28 % des individus auraient été décimés par l’Homme, en grande partie par la chasse autorisée (17 %) mais aussi par le braconnage ou encore les collisions avec les véhicules. Les 72 % restants correspondraient à des causes naturelles, principalement la prédation par d’autres animaux (55 %). Une estimation bien en deçà de la réalité Déjà extrêmement élevé, ce chiffre de 28 % ne comprend que les décès liés ‘’directement’’ à l’Homme.
« Lorsque vous prenez également en compte la croissance urbaine et d’autres modifications de l’utilisation des terres qui réduisent l’habitat, il devient évident que les humains ont un effet disproportionné sur les autres vertébrés terrestres », indique Jerrold L. Belant, l’un des auteurs de l’étude. Les chercheurs ont aussi démontré que les animaux les plus grands étaient bien plus susceptibles de mourir des mains de l’Homme que les plus petits.
Une observation qui vient confirmer une étude parue en février 2018 dans le journal Conservation Letters, selon laquelle 59 % de la mégafaune (rassemblant tout vertébré dont le poids excède 45 kg) serait aujourd’hui en voie d’extinction. En cause là encore, les activités humaines destructrices et la consommation excessive de la viande de ces animaux.
Funeste parallèle entre espèces menacées et population humaine Bien que cette étude comporte quelques biais (données provenant essentiellement des Etats-Unis, groupes d’animaux absents de l'étude comme les chauves-souris et les singes), ces résultats restent toutefois un signal d’alarme fort. Une prise de conscience, collective et urgente, est nécessaire pour que ces êtres sensibles continuent à prospérer.
Pour Jerrold L. Belant, cette étude est un « appel au réveil » et un « exemple supplémentaire de l'effet que nous avons sur la planète ». Car si la population humaine explose, le nombre d’espèces en voie de disparition ne cesse de croître également, dans un funeste parallèle …"Une prise de conscience, collective et urgente, est nécessaire pour que ces êtres sensibles continuent à prospérer. Pour Jerrold L. Belant, cette étude est un « appel au réveil » " L'humain responsable de tous les maux ? Ce n'est pas un scoop !!!
Et ce n'est certainement pas ces alertes, répétées maintes et maintes fois depuis des années que cela changera quelque chose !! Les politiques sont plus attentifs à choyer les lobbies qu'à la protection de la biodiversité et certaines populations ne voient pas plus loin que le bout de leur fusil ou de leurs cultures intensives.
L'avenir pour eux, c'est aujourd'hui ou .......demain matin !!!! et l'on ose comparer l'intelligence humaine et animale !!! Le constat est que nous ne tenons pas la distance !!
Ces funambules électriques sont mis à l'honneur via l'image du jour. C'est cela le Service Public de l'énergie