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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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enfance

Publié à 07:18 par fandeloup Tags : heureux
enfance

On se contentait de peu et on était heureux ...

stérilisation

Publié à 19:16 par fandeloup Tags : photo chat monde france mer sur animaux cadre message
stérilisation

Journée 'portes fermées' pour réclamer la stérilisation des chats

Partout en France , les refuges fermeront leurs portes le 11 octobre. Le but est d’attirer l’attention sur la situation des structures qui recueillent les animaux abandonnés et la nécessité de rendre la stérilisation des chats obligatoire.

Le 11 octobre, et pour la 4e année consécutive, les 580 associations et refuges partenaires du " Collectif Chats 100% Stérilisation ", fermeront leurs portes. Cette journée de " grève ", très symbolique car certaines associations fonctionnent avec des familles d’accueil uniquement, a pour but d’attirer l’attention du grand public, et de l’Etat, sur la situation des refuges en France et la nécessité de faire bouger la loi concernant la stérilisation des chats.

 

UNE SITUATION CRITIQUE 

Chaque année, le nombre de chats augmente de 20%, déclare Neves Gorete, du refuge ASCLAF et membre du " Collectif Chats 100% Stérilisation". Pour une stérilisation, il y a 20 chatons qui naissent ".

Le problème est que sur les 13,5 millions de chats que possèdent les foyers la France , 50 000 seraient abandonnés chaque année. Les refuges n’ont plus les capacités de les accueillir et Neves Gorete parle désormais d’une peur de répondre au téléphone.

" Dans notre refuge, on a une capacité maximale d’accueil et on réalise seulement 5 adoptions par semaine. Quand il y a 50 demandes dans la semaine, cela veut dire que nous sommes obligés de dire non à 45 personnes et, souvent, on est le dixième refuge qu’ils appellent. Nous sommes dans une impuissance complète… ", raconte-t-elle avec tristesse. Pour de nombreuses associations, la solution à la surpopulation féline est la stérilisation. Celle des chats errants, qui se reproduisent de manière anarchique, mais aussi celle des chats de particuliers qui, si ils ont accès à l’extérieur, peuvent aussi se reproduire. "

 

SOIT ON LES STÉRILISE, SOIT ON LES TUE 

Depuis de nombreuses années, des campagnes médiatiques tentent de faire passer le message pour inviter collectivités et particuliers à faire stériliser les chats errants ou de compagnie. Si certaines villes ont pris le problème à bras le corps en signant notamment des conventions (1300 à ce jour) avec la Fondation 30 millions d’Amis pour stériliser les populations de chats errants et éviter leur euthanasie, la source ne se tarit pas. " Ça n’a rien freiné, déplore la bénévole d’Asclaf, car on ne coupe pas le robinet. C’est un peu comme si on vidait la mer à la petite cuillère. Si les gens continuent à adopter et à relâcher sans faire stériliser, ça va être sans fin ". C’est pourquoi, avec le Collectif Chats 100% Stérilisation, elle souhaite une loi rendant obligatoire la stérilisation. Pour elle, c’est le seul moyen de s’en sortir. " Si une telle loi n’est pas bientôt adoptée, nous courons à la catastrophe. Soit on les stérilise, soit on les tue ". En effet, selon un rapport de 2016 du ministère de l’Agriculture, 36% des chats en fourrière sont euthanasiés. " Or, une euthanasie coûte 2 à 4 fois plus cher pour le contribuable qu’une stérilisation. On alimente un commerce de fourrières, d’euthanasies et de meurtres ", regrette Neve Gorete.

 

UNE LOI EFFICACE DANS D’AUTRES PAYS

Un projet de proposition de loi, qui sera soumis aux députés, a été rédigé par maître Magali Richaud, avocat du Collectif Chat 100% Stérilisation Obligatoire. " Nous demandons la stérilisation obligatoire des chats non LOF de plus de 6 mois, ainsi que des sanctions en cas de manquement ". Cette proposition de loi a été présentée en juin dans le cadre de l’événement organisé par Convergence Animaux Politique qui vise à faire le lien entre le monde politique et les associations de défense des animaux . L’association One Voice soutient cette démarche et a d’ailleurs mis en ligne une pétition. " Beaucoup de pays et communes ont compris l’importance d’une loi rendant la stérilisation obligatoire et l’ont adoptée, nous ouvrant la voie ! ", s’exclame la militante. Pour Neves Gorete, notre pays manque de courage politique : " Je pense qu’il y a des enjeux plus grands qui rendent les politiques frileux. A partir du moment où une mesure coûte cher, ils freinent. Sauf que là, notre mesure fait payer le particulier et non l’Etat ".

appel

Publié à 18:13 par fandeloup Tags : vie moi monde france sur enfants femme gratuit société création femmes cadre place
appel

L’appel poignant de Muriel Robin à Marlène Schiappa

 Comme s’il suffisait de slogans pour bousculer la chape de plomb qui pèse sur les mentalités depuis trop longtemps et pour réactiver un sens civique en voie d’extinction!

Quatre millions d’euros: c’est le coût de l’énième campagne de prévention contre les violences conjugales qui va être diffusée à la télévision à l’initiative de Marlène Schiappa et qui, comme les autres, sera oubliée au bout de cinq minutes et ne permettra en rien d’éradiquer le mal.

Le but? Inciter les témoins de ces violences à réagir. Comme s’il suffisait de quelques slogans pour bousculer la chape de plomb qui pèse sur les mentalités depuis trop longtemps et pour réactiver un sens civique en voie d’extinction. Dénoncer des violences conjugales, c’est d’abord assumer la forte probabilité d’être seul à le faire, de n’être épaulé par personne ou presque, et même d’être accusé de nous mêler de ce qui ne nous regarde pas.

Si elles se déroulent dans votre immeuble, c’est accepter de risque de devoir croiser régulièrement l’auteur des faits que vous aurez désigné. Beaucoup d’entre nous préféreront se coller la tête dans le sable. Dans une société paradoxalement de plus en plus réceptive à la victimisation, les maltraitances exercées dans le cadre privé sur les conjoints ou les enfants ne sont pas toujours prises au sérieux.

Être maltraité vous condamne souvent à la double peine: celle d’encaisser, et celle de n’être pas cru si vous trouvez le courage de parler, surtout dans le cas de sévices psychologiques qui ne laissent pas de traces. La détresse des femmes victimes de violences reste souvent minimisée.

Certains se gausseront de voir leur collègue de bureau débouler une fois de plus avec un cocard. D’autres s’écraseront pour ne pas se brouiller avec un maltraitant qui fait partie de leur famille ou qui bénéficie d’une position sociale avantageuse pouvant leur être utile.

Et peu leur importent les belles paroles d’un spot télévisé, tant qu’ils n’ont pas conscience que leur indifférence s’apparente à de la non-assistance à personne en danger. Le déni est un confort dont on se passe difficilement une fois qu’on y a goûté. Seule l’éducation dès l’enfance, peut permettre, d’une part, de venir durablement à bout du sexisme et des agressions qui vont avec, et d’autre part, d’acquérir un sens du devoir qui vous poussera à intervenir contre les agresseurs.

Qui n’a jamais entendu des discours abjects selon lesquels il y a des femmes battues « parce qu’elles le veulent bien », ou « qui l’ont bien cherché », qui « poussent leur conjoint à bout », et qu’elles « n’ont qu’à se barrer » si leur situation est si épouvantable?

C’est précisément ce que les détracteurs de Jacqueline Sauvage lui reprochèrent en boucle sur les réseaux sociaux: d’avoir attendu 47 ans avant de se dresser contre son tortionnaire. Ils oubliaient juste au passage qu’un individu fracassé par des décennies de torgnoles et d’humiliations ne se comporte pas avec la même logique que celui dont la vie affective est un long fleuve tranquille.

Et que ce n’est pas parce qu’on ne laisse rien transparaître qu’on ne ressent rien. Plus le temps passe, plus la victime perd son estime d’elle-même et trouve des excuses à son oppresseur. Desservie par sa surmédiatisation, Jacqueline Sauvage fut sans doute aussi l’otage d’une lutte entre les tenants d’un antiféminisme crasse, opposés par principe à sa libération conditionnelle après quatre ans de prison, et les mouvements féministes dont elle était devenue l’icône un peu malgré elle.

Un affrontement qui atteignit son point d’orgue avec la grâce, dans un premier temps partielle, accordée par un François Hollande au faîte de son impopularité, qui occulta le vrai débat: faut-il légiférer sur le droit à la « légitime défense différée » comme au Canada?

Peut-on admettre l’idée qu’une femme fragilisée et terrorisée, incapable d’affronter son bourreau au moment des coups, se protège « à retardement » en le tuant? Il est assez déplorable que cette question semble se résumer dans certains esprits friands de caricatures à une vague revendication féministe, car elle concerne dans l’absolu chacun de nous et mérite d’être posée. C’est ce que fait Muriel Robin via une pétition publiée par le JDD, dans laquelle elle demande également une politique plus volontariste pour épauler les victimes.

La comédienne, dont la remarquable prestation dans le biopic télévisé consacré à Jacqueline Sauvage, « C’était lui ou moi », a réalisé un carton d’audience sur TF1 (près de huit millions de téléspectateurs), a lancé un appel à manifester dans toute la France samedi 6 octobre à 14h, notamment à Paris devant le Palais de Justice. On peut toutefois regretter qu’il ait fallu que le monde du showbiz s’empare de ces sujets, notamment depuis l’affaire Weinstein, pour braquer sporadiquement les projecteurs sur des comportements qui furent trop banalisés et qui gangrènent la société de la longue date.

Mais quelles répercussions concrètes peuvent en attendre les citoyennes lambda? Selon un sondage réalisé cette semaine par Harris Interactive pour RTL Girls, 70% des Français sondés estiment que le mouvement #MeToo n’a rien changé. Entre autres mesures annoncées par la secrétaire d’État en charge de l’Égalité femmes-hommes, on retiendra la mise en place d’un outil de géolocalisation des places d’hébergement d’urgence, une subvention supplémentaire de 120.000 euros pour le numéro d’appel gratuit 3919 et la création d’une plateforme de signalement en ligne facilitant le dépôt de plainte.

Encore faut-il que les victimes aient le cran de se manifester et obtiennent l’assurance d’être ensuite en sécurité. Pas sûr que ces dispositifs suffisent à les rassurer. En 2016, 225.000 femmes déclarent avoir subi des violences physiques ou sexuelles. 123 d’entre elles ne s’en sont pas relevée

horreur

Publié à 17:28 par fandeloup Tags : monde animaux
horreur

Le monde de la chasse est à vomir

L’arrêté du 29 janvier 2007 définit les dispositions relatives au piégeage des animaux classés nuisibles. Ainsi, toute personne qui utilise des pièges doit être agréée. L’agrément est délivré par le Préfet de domiciliation du candidat, suite à la participation à la formation dispensée par la Fédération des chasseurs.

hausse

Publié à 17:08 par fandeloup Tags : voiture monde prix message
hausse

Le prix de l'essence. ... c'est juste une honte. 250 €/mois pour une petite voiture juste pour aller bosser ! Il est temps que tout le monde montre son mécontentement. Inondez les réseaux sociaux de ce genre de message pour former la plus grande chaîne de contestation.

STOP À LA HAUSSE DU PRIX DU CARBURANT !

tristesse

Publié à 16:54 par fandeloup
tristesse

Traitement des désordres psychiques à la fin du XIXe siècle...

naissance

Publié à 16:48 par fandeloup Tags : photo merci sur centre
naissance

Villeneuve-lès-Maguelone : des bébés tortues marines nées sur la plage

 La phot exceptionnelle est magique : dimanche, une promeneuse montpelliéraine, Allowen Evin, de l’Institut des sciences de l’évolution qui se trouvait sur une plage de Villeneuve-lès-Maguelone, au sud de Montpellier est tombé sur des bébés tortues marines qui sortaient d’un trou où leur mère a pondu, à deux pas du rivage et du littoral méditerranéen.

Elle a immortalisé ce moment captivant : on voit trois petites tortues marines grimper difficilement sur le sable, au milieu de galets. D’autres promeneurs qui profitaient encore de l’été indien, dimanche après-midi, ont assisté à ce spectacle inédit. Ils ont eu le réflexe d’aviser CESTMed, le Centre d’étude et de sauvegarde des tortues marines de Méditerranée, installé sur l’avenue du Palais de la Mer, au Grau-du-Roi. dans le Gard, une organisation à but non lucratif.

Le maire de Villeneuve-lès-Maguelone, Noël Ségura se félicite ce mardi de la naissance de trois tortues marines, un événement naturel qui va faire le bonheur de Cybelle Planète, une association d’écologie participative pour que les citoyens puissent agir concrètement pour l’environnement -écovolontariat et congés-, dont le siège se trouve dans la commune.

Ses responsables vont prendre attache avec CESTMed. Tortues de mer soignées « Éclosion de tortues marines cet après-midi ! Merci à toutes les personnes présentes sur cette plage qui nous ont alerté. Vous avez été géniaux », lit-on sur la page Facebook de CESTMed.

Surveillés par l’homme, en l’occurence des membres du CESTMed dépêchés du Grau-du-Roi sitôt alertés par Allowen Evin, chercheuse au CNRS de Montpellier, ces bébés ont pu échapper à des prédateurs à l’affût sur les plages et ont été encadrées pour gagner la mer et partir vers une grande et, espérons le, longue aventure sous-marine. Régulièrement, les bénévoles du CESTMed veille sur l’état de santé de tortues récupérées : récemment, c’était le 30 septembre dernier, ils ont ainsi remis à l’eau au large de Sète, la tortue baptisée Pacifique, qui avait été recueillie et soignée sur le site gardois. Et puis, CESTMed reste au chevet de la tortue Caouanne, symbole de la lutte contre la pollution en Méditerranée.

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Publié à 16:16 par fandeloup
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Publié à 16:07 par fandeloup
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métropoles

Publié à 15:54 par fandeloup Tags : centre
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