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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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horreur

horreur

Oise : filmée en train de frapper un lapin, une ado vit un enfer

 Lacroix-Saint-Ouen, vendredi. C’est sur ce chemin de halage, situé entre l’Oise et la forêt, que la courte vidéo de l’ado a été tournée. Une vidéo dans laquelle on voit une jeune fille maltraiter un lapin a été largement relayée sur internet.

Depuis, cette dernière est victime de harcèlement. Son père témoigne. Six petites secondes qui font de son quotidien un vrai calvaire.

Une adolescente de Compiègne, âgée de 14 ans, vit un enfer depuis dimanche, jour de son anniversaire. À cette occasion, comme cela est très répandu chez les jeunes, ses amis ont posté sur les réseaux sociaux des images d’elle.

Sauf que l’une de ses copines, sans penser à mal, a mis en ligne sur Snapchat un film dans lequel on la voit frapper violemment un lapin avec son pied. Rapidement, les images deviennent virales sur les réseaux sociaux. En quelques jours, elles ont été visionnées plus de 40 000 fois.

Et les messages de haine, de menaces, parfois de mort, se comptent par centaines. Une association alsacienne pour le respect des animaux, One Voice, assure même avoir déposé une plainte auprès du parquet de Compiègne, qui n’est pas en mesure de le confirmer pour le moment.

« Elle a voulu, stupidement, abréger ses souffrances »

Cette vidéo, tournée cet été aux abords de la forêt de Lacroix-Saint-Ouen, la jeune fille « avait demandé à son amie de la supprimer », se désole Daniel*, son père abasourdi par tant de violence.

Selon lui, il y a surtout une mauvaise interprétation d’images sorties de leur contexte. « Ma fille a conscience qu’elle a fait une bêtise, elle en a mal au cœur, confie-t-il. Mais le groupe d’amis a ce jour-là croisé un homme qui leur a dit que ce lapin, qui saignait des yeux et des oreilles, n’allait pas s’en sortir. Elle a voulu, stupidement, abréger ses souffrances. »

« Je crois qu’elle a compris son erreur »

Sans ces éléments, les réseaux sociaux ont joué un rôle de tribunal. L’ado a dû supprimer tous ses comptes. « Je crois qu’elle a compris son erreur, a pu s’expliquer avec ses amis. Toute notre famille est impactée. Nous aimons les animaux et nous allons même adopter un chaton », assure son père, très inquiet de voir circuler l’adresse de son domicile sur internet. Il a bien essayé d’endiguer la propagation de la vidéo, en écrivant notamment au ministère de l’Intérieur. En vain. Il a désormais saisi un avocat en droit à l’image pour porter plainte et n’exclut pas de poursuivre en justice toute personne qui menacerait sa fille.

« J’ai été reçu par le responsable de son collège, pour la protéger », raconte ce père, dépassé. Il lance un appel aux parents :

« Prenez garde aux réseaux sociaux avec vos enfants ! Ils ne sont pas prêts à affronter tout cela. »

*Le prénom a été modifié

Que risquent les harceleurs ?

Les messages de haine sont nombreux. Sous la vidéo, relayée par l’association One Voice notamment, l’anonymat des réseaux sociaux a encore fait une victime avec cette jeune fille filmée en train de donner un coup de pied à ce lapin. Si son père tente de l’empêcher d’aller voir tous les messages postés, elle a reçu des centaines d’insultes avant de supprimer ses comptes. Ses amis ont bien essayé de la protéger en la défendant, leurs appels ont été noyés dans le flot d’attaques. Le cyberharcèlement est désormais condamnable.

Depuis quelques années, les personnes majeures qui s’attaquent à des victimes de moins de 15 ans risquent une peine allant jusqu’à 3 ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende. De son côté, la jeune fille peut être punie de 1 500 € d’amende pour avoir blessé ou entraîné volontairement la mort d’un animal. Si les faits sont qualifiés de sévices graves, la peine maximale encourue est de 2 ans d’emprisonnement et 30 000 € d’amende.

justice

Publié à 14:13 par fandeloup Tags : google éléments écran rouge sur femme mort enfant coup chien chat
justice

Il abat son voisin d'un coup de fusil pour venger son chat

Le drame s'est noué dans cette petite impasse de Fuveau.

 Le drame s'est noué ce mardi dans un quartier résidentiel de la petite commune de Fuveau (Bouches-du-Rhône), entre Aix-en-Provence et Marseille, rapporte BFM-TV. Jean-Pierre Moulaire, un grand-père très apprécié de ses voisins, président de l'association de quartier, a été abattu par l'un de ses voisins d'un coup de fusil de chasse, tiré en pleine poitrine, devant son épouse.

Cette dernière n'a rien pu faire pour sauver son mari. Selon les premiers éléments de l'enquête, il a été abattu à bout portant par un autre habitant du quartier, un quinquagénaire sans histoires, qui vivait là depuis plusieurs années avec femme et enfant.

Mais lorsqu'il tombe sur le cadavre de l'un de ses chats, dépecé, il voie rouge: selon lui, c'est le chien du fils de M. Moulaire qui aurait tué son chat. Le grand-père serait alors mort en tentant de protéger son chien. Le tireur s'est d'abord enfui, avant d'être retrouvé en état de choc.

Il a été déféré à Aix-en-Provence, où il devrait être mis en examen pour homicide involontaire.

tristesse

Publié à 11:46 par fandeloup Tags : sur france mort
tristesse

Une louve a été tuée après une traque effectuée par des éleveurs accompagnés de lieutenants de louveterie.

La veille, une attaque du carnivore avait provoqué la mort d'une dizaine de brebis et beaucoup avaient été blessées.

Les bergers sont inquiets sur l'avenir de leur système d'élevage. Après être restés des heures aux aguets, des éleveurs accompagnés de lieutenants de louveterie ont tué une jeune louve de 25 kilos, dans le secteur d'Ancelle, où une dizaine de brebis étaient mortes la veille, victimes du carnivore, et des dizaines d'autres blessées.

Changer de garde

Mais les bergers sont inquiets, car l'attaque nocturne de mercredi a eu lieu non loin du village, près des bergeries. Les éleveurs sont inquiets. Ils rassemblent leurs bêtes pour les garder, mais la menace du loup risque de les obliger à modifier leurs habitudes.

"On ne peut pas avoir plusieurs chiens dans cinq ou six lots", explique l'un d'eux.

"On ne peut pas avoir non plus une surveillance permanente dans cinq ou six lots...

Pour nous, ça va nous compliquer la tâche et même remettre en question notre système d'élevage si le loup se met à attaquer jusqu'au pied des bergeries Depuis le début de l'été, l'un des éleveurs du secteur Christophe Arnaud a perdu une quarantaine de brebis, sur un troupeau de 500 têtes. Cette année, 33 loups ont été prélevés en France.

augmentation

Publié à 11:22 par fandeloup Tags : france prix
augmentation

Les prix du gaz devraient augmenter de 3 % au 1er octobre

Les tarifs réglementés du gaz sont amenés à prochainement disparaître en France Cette majoration va concerner un peu moins de 4,5 millions de foyers. Ils avaient connu une hausse de 7,45 % en juillet. Révisés chaque mois, les prix du gaz devraient augmenter d’environ 3 % en octobre, révèle Le Figaro ce vendredi.

En août et en septembre, l’évolution des prix avait été légère (environ 0,2 %). La forte hausse des prix au 1er octobre s’explique par celle du cours du pétrole et des prix du baril qui ont largement augmenté ces dernières semaines, comme l’explique le quotidien.

Depuis l’ouverture du marché de l’énergie à la concurrence, les 10,6 millions de consommateurs français abonnés au gaz ont le choix entre les tarifs réglementés de l’ancien monopole et les prix de marché, proposés tant par Engie que par ses concurrents.

Cette majoration de 3 % au 1er octobre va concerner les quelque 4,5 millions de foyers qui ont opté pour la première option. Les tarifs réglementés du gaz sont cependant amenés à disparaître prochainement en France. En juillet 2017, le Conseil d’État a jugé les tarifs réglementés contraires au droit européen, imposant donc à l’État de les supprimer.

Le gouvernement envisage une fin progressive, avec leur extinction à l’horizon 2023 pour tous les particuliers.

koalas

Publié à 10:49 par fandeloup Tags : photo sur nature voiture
koalas

Australie : Disparition fulgurante des koalas

Alors qu’on estime à 43 000 le nombre de spécimens encore présents à l’état sauvage, le petit marsupial a été classé comme espèce vulnérable.

De Juliette Heuzebroc Harley, koala menacé, se remet de ses deux pattes cassées à l'Australian Zoo Wildlife Hospital dans le Queensland. Il a été percuté par une voiture , ce qui est fréquent avec les koalas et mortel pour beaucoup.

 Avant l’arrivée des Européens sur le territoire australien, il y a deux siècles, les koalas étaient plus de 10 millions à l’état sauvage. Ils ne seraient aujourd’hui plus que 43 000.

Les koalas sont implantés sur ces terres depuis 25 millions d’années et ils sont aujourd’hui classés comme espèce vulnérable par l’Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN).

Les causes de cette hécatombe sont multiples. Dans un premier temps, les koalas, Phascolarctos cinereus de leur nom scientifique, ont été chassés pour leur fourrure jusqu’en 1930.

Mais c’est l’urbanisation qui leur porte le plus préjudice. La déforestation massive en Australie prive les koalas à la fois d’un habitat et de nourriture. En effet, l’animal emblématique vit et se nourrit grâce aux forêts d’eucalyptus australiennes.

La destruction de cet habitat naturel mène au décès des populations ou à leur retranchement près des zones habitées où elles sont très exposées aux maladies humaines comme les chlamydias ou encore aux maladie débilitantes chroniques.

Beaucoup sont également retrouvés morts suite à des accidents de voiture ou à des attaques de chiens. Sur la côte des Koalas près de Brisbane, environ 80 % de la population a disparu en 18 ans.

D’autres zones d’habitat cruciales voient également le nombre de spécimens diminuer de façon vertigineuse : 53 % des koalas ont disparu dans le Queensland et 26 % en Nouvelle-Galles du Sud alors que ce sont les États d’habitat principaux de l’espèce. Pour ne rien arranger, le changement climatique perturbe l’écosystème des forêts restantes et détériore ainsi la qualité de l’alimentation des petits marsupiaux.

Le gouvernement de Nouvelle-Galles du Sud vient de saisir le problème à bras-le-corps en instaurant un programme de protection de 45 millions de dollars australiens pour venir en aide à l’espèce. Ce programme permettra d’établir des espaces protégés sur plusieurs milliers d’hectares ainsi que de soutenir la recherche, en particulier pour les vaccins et les soins à administrer aux koalas victimes du contact humain.

LE RENARD D'ARCTIQUE

Publié à 08:55 par fandeloup Tags : vie bonne sur article fond animaux place hiver oiseaux neige rouge
LE RENARD D'ARCTIQUE

8 espèces du Grand Nord menacées par le changement climatique

En matière de réchauffement climatique en Arctique, c’est souvent le sort de l'ours blanc qui retient l'attention du grand public. Mais, derrière cet emblème, c’est tout l’écosystème qui est menacé. Découvrez huit espèces du Grand Nord à protéger.

 Les lichens et les plantes vivaces, comme les orpins roses sont caractéristiques des déserts glacés. Avec le verdissement de l’Arctique, ces espèces pourraient bientôt être remplacées par des mousses et des graminées.

 L’augmentation des températures est deux fois plus intense dans les régions arctiques que sur le reste du globe. Adaptées aux climats froids, la faune et la flore du pôle Nord sont donc les premières concernées par la modification soudaine de leur habitat.

En premier lieu, la fonte de la banquise, dont la superficie pourrait atteindre moins de 520 000 km2 d’ici à 2050, contre 7,5 millions de kilomètres carrés dans les années 1980 . Ensuite, le verdissement de l’Arctique. Arbres et buissons sont en train de coloniser la toundra, cette étendue de végétation rase où vivent les rennes et un petit rongeur dont se nourrissent beaucoup d'espèces, le lemming. De plus, les animaux du sud se déplacent vers le nord, entrant en concurrence avec les espèces endémiques déjà fragilisées par les pollutions plastiques, les métaux lourds et les perturbateurs endocriniens.

David Grémillet est le représentant français du groupe CAFF (« Conservation of Arctic Flora and Fauna »), un organisme chargé de la conservation des espèces par le conseil de l’Arctique (un forum intergouvernemental en charge de ce territoire).

Sur sa liste rouge, il y a bien sûr l’emblématique ours blanc (classé « vulnérable » par l'UICN), mais aussi des animaux plus discrets (parfois non classés comme menacés), comme les morues arctiques ou les petites créatures qui constituent le zooplancton, dont la disparition bouleverserait l’équilibre alimentaire des baleines, des phoques, des oiseaux marins. L’écologue présente à National Geographic huit espèces de l’Arctique à surveiller dans les années à venir :

 

 

LA MOUETTE IVOIRE

La première victime du réchauffement en Arctique : la mouette ivoire (Pagophila eburnea).

David Grémillet : « Elle a connu un déclin de 80 % au Canada. C’est peut-être la première espèce qui disparaîtra en Arctique. Il reste aujourd’hui entre 58 000 et 78 000 individus sur l’ensemble du bassin polaire. Ce bel oiseau blanc est fortement affecté par les niveaux de polluants et par les destructions, liées aux activités minières, de ses zones de nidification. Son destin est intimement lié à celui de l’ours blanc puisque l’animal se nourrit souvent des restes de repas du mammifère carnivore. Ils figurent d’ailleurs tous les deux sur la liste des espèces « vulnérables » de l’UICN.

 

 

LE NARVAL

Des narvals évoluent dans le détroit de Lancaster. Ils hivernent dans les eaux glacées, se nourrissant de flétan. Leur défense torsadée, une canine qui peut mesurer plus de 2,5 m de longueur, leur servirait à impressionner les femelles, qui en ont rarement une.

David Grémillet : Avec le béluga, ce mammifère marin est emblématique de l’océan Arctique. Il vit à proximité de la banquise au Canada, au Groenland et en Russie. Il ne figure pas dans le classement UICN des espèces menacées, mais les scientifiques peinent à en dénombrer la population. Narval et béluga sont affectés par des conditions d’englacement des mers arctiques devenues très imprévisibles, qui bouleversent leurs voies migratoires et l’accès à leurs zones d’alimentation ancestrales. Ils sont également sensibles à l’augmentation des taux de polluants dans l’océan, au trafic maritime, aux activités de prospection pétrolière et à la pression exercée par les chasseurs autochtones du Canada et du Groenland.

 

 

LES COPÉPODES

Les copépodes forment un groupe de crustacés constituant le zooplancton, une nourriture essentielle pour les animaux marins. Les deux espèces du Haut-Arctique, Calanus glacialis et Calanus hyperboreus, sont plus grosses et plus grasses que les autres espèces.

David Grémillet : Ils ne sont pas menacés. Au contraire, les copépodes sont probablement les organismes les plus abondants de la planète ! Ces crevettes de quelques millimètres, qui forment la majeure partie du zooplancton, sont néanmoins fortement affectées par le changement climatique. En Arctique, les copépodes vivent normalement dans des eaux très froides, proches de la banquise. Résultat de cet environnement particulier : ils sont de très grande taille et très gras, constituant un aliment riche pour les baleines, poissons et oiseaux marins. Mais avec le réchauffement des eaux de surface, ces espèces sont d’ores et déjà remplacées par des copépodes plus petits et moins gras. Ainsi, leurs prédateurs devront en chasser davantage pour obtenir un apport nutritionnel équivalent : c’est toute la chaîne alimentaire qui s’en verra transformée.

 

 

LA MORUE POLAIRE Une morue polaire (Boreogadus saida).

David Grémillet : C’est le plus arctique de tous les poissons ! Il vit à très haute latitude et a une forte tolérance aux eaux glacées, grâce à ses protéines antigel. Les juvéniles vivent sous la banquise, où ils mangent des petits crustacés qui se nourrissent d’algues des glaces. La morue polaire, comme d’autres poissons, le flétan notamment, voit son aire de répartition reculer vers le nord, au rythme de plusieurs dizaines de kilomètres par décennie. Cette « boréalisation » de l’Arctique est accompagnée par l’arrivée d’espèces venues de latitudes plus basses, comme la morue de l’Atlantique et l’aiglefin. Une bonne nouvelle pour les pêcheurs du Grand Nord !Par ailleurs, dans le bassin de l’Arctique, une zone de la taille de la Méditerranée est en train de se libérer de ses glaces, ménageant un nouvel espace de pêche. Il paraît donc urgent de mieux réglementer la pêcherie, notamment dans les eaux internationales.

 

 

L'HARFANG DES NEIGES

David Grémillet : C'est une espèce emblématique du Grand Nord, qui figure dans de nombreux mythes, légendes et représentations des peuples de l'Arctique. Sa population décline en Amérique du Nord et probablement aussi en Scandinavie et en Russie sans qu’on puisse la chiffrer. L’UICN la classe en conséquence comme « vulnérable ». Sa survie dépend aujourd'hui des ressources en lemmings, qui vivent dans la toundra. Problème : cette végétation est perturbée par le phénomène de verdissement de l'Arctique, se transformant en taïga (forêt du Nord). Les connaissances sur cette chouette populaire sont encore lacunaires, preuve que l’exploration scientifique de l’Arctique est loin d’être achevée.

 

 

LE BŒUF MUSQUÉ 

Pour trouver de la nourrir sous la neige, ces animaux grattent le sol avec leurs sabots  David Grémillet : Ce bœuf sauvage, un peu plus grand qu’un mouton, était historiquement présent du Groenland jusqu’aux Territoires du Nord-Ouest canadien. Il a été réintroduit dans de nombreuses zones suite à une chasse abusive. Résultat : les troupeaux sont aujourd’hui fractionnés et éparpillés autour de l’Arctique. Les bœufs musqués, à l’instar des rennes, sont sensibles aux évènements climatiques extrêmes. En effet, durant l'hiver, ils doivent gratter la couverture neigeuse pour brouter la végétation. Mais, actuellement, les périodes de redoux sont plus fréquentes durant la saison froide, ce qui augmente les précipitations. Lors des périodes de regel, l'eau accumulée créé une couche dure comme du béton. Ce phénomène, d'ores et déjà problématique, augmentera dans les années à venir. S'ajoute à cela que la fonte du pergélisol libére des agents pathogènes, néfastes aux herbivores de l’Arctique, qui peuvent affecter les troupeaux de rennes.

 

LE MERGULE NAIN 

 David Grémillet : L’oiseau figure sur la liste des espèces sensibles au réchauffement climatique. Les mergules ne pèsent que 150 g, mais sont les oiseaux marins les plus abondants de l’Arctique. Il occupe une place centrale au sein des écosystèmes marins côtiers. Les mergules nains nichent dans des pierriers le long des côtes mais s'alimentent au large, près de la banquise, en plongeant à 50 m de fond pour attraper du zooplancton. Problème : les copépodes qu'ils consomment sont aujourd’hui plus petits et plus maigres. Ainsi, le mergule devra en manger plus, nager plus longtemps, sur de plus longues distances et donc dépenser plus d'énergie pour survivre. Ces oiseaux sont également très exposés aux particules de plastique qu'ils confondent avec leur nourriture.

 

 

LE RENARD D'ARCTIQUE

Un renard arctique (Vulpes lagopus) fait une pause sur la glace, à la recherche de nourriture : souvent, les restes de repas des ours polaires.

David Grémillet : C'est une espèce endémique de l'Arctique. Ce renard est magnifiquement adapté à la vie dans les hautes latitudes : trapu, oreilles courtes, petit museau, coussinets recouverts de poils et pelage très dense. Sa couleur varie en fonction des saisons, devenant blanc l'hiver pour ne pas être trop visible sur la couverture neigeuse. Sa population est encore importante aujourd'hui, mais pourrait décliner dans les années à venir. En cause : l'arrivée du renard roux, plus corpulent, qui a le même régime alimentaire que le renard arctique (rongeurs, oiseaux , poissons, baies, restes de poubelles, etc.) et risque de lui transmettre des agents pathogènes.

a savoir

Publié à 08:45 par fandeloup Tags : animaux image monde sur photo coeur femmes pouvoir
a savoir

J'aimerais que cette photo soit publié dans tous les endroits du monde... Dans les palais du pouvoir... Et aussi dans les laboratoires où s'effectuent des essais inutiles sur les animaux. Qu'il soit vu par tous... Petits et grands, noirs et blancs, des hommes et des femmes. Que cette image ouvrez la conscience afin que nous puissions dire clairement que les animaux ont un coeur et des sentiments... Ainsi que nous, les êtres humains. La seule différence entre nos sentiments et celui des animaux , c'est que les animaux sont mille fois plus nobles que nous °!°

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Publié à 18:48 par fandeloup Tags : voiture écran chez enfants sur jeux lecture
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Jeux vidéo, alimentation, éternuement… 5 gestes pour retarder Alzheimer

D’après plusieurs études scientifiques, la pratique du jeu vidéo « booste » le cerveau des seniors.  La recherche ne parvenant pour l’instant à trouver un traitement, l’accent est désormais mis sur la prévention et les bons comportements à adopter pour se prémunir contre la maladie d’Alzheimer.

Alzheimer ne se guérit pas. « Mais on peut retarder de plusieurs années l’apparition des symptômes et donc de la dépendance », assure le professeur Philippe Amouyel, directeur de la Fondation Plan Alzheimer et auteur du passionnant « Guide anti-Alzheimer »

(Cherche midi, 19 euros).

Il donne des astuces du quotidien pour aider le cerveau à résister. Ses conseils sont à mettre en pratique dès 45 ans et à accentuer à 65. Lire tous les jours Un polar, un journal, voire des prospectus… qu’importe le support pourvu qu’il y ait la lecture.

« C’est l’activité anti-Alzheimer par excellence, rappelle le Pr Philippe Amouyel. Lire fait travailler l’ensemble du cerveau. Cela aide à mémoriser, à comprendre, à critiquer ».

S’y adonner tous les jours - avant de dormir, dans les transports - fait augmenter le « capital cerveau », contrairement à la télévision qui rend passif. Accro au petit écran ?

« Au moins, insiste-t-il, ne l’allumez pas pendant les repas et dans la chambre à coucher ».

Jouer à la console

Le jeu vidéo rend hagard ? « Pas si simple… On a vu qu’il boostait le cerveau des seniors », répond le Pr Amouyel, qui s’appuie sur une étude de l’université de Californie à San Francisco. Les chercheurs ont testé un jeu de conduite sur une route sinueuse chez des 60-85 ans. Une meilleure concentration et une amélioration de la mémoire ont été constatées. Pour autant, inutile de choisir des jeux violents et solitaires. « Je conseille Mario Kart, nous indique le médecin. Il entretient la vivacité et les personnes âgées peuvent y jouer avec leurs petits-enfants ou leur entourage ! ».

Adopter le régime méditerranéen

« Inutile d’acheter des compléments alimentaires et autres poudres de perlimpinpin », note la neurologue Marie Sarazin*. Le seul régime validé aujourd’hui est le méditerranéen. Son impact est favorable pour limiter la vitesse du déclin cognitif. Au menu, poissons gras (comme le saumon, le maquereau), fruits, légumes (pas trop cuits) mais aussi de l’huile d’olive (un peu tous les jours), des noix et noisettes.

Limitez les viandes rouges. L’alcool doit être consommé « avec grande modération » et la cigarette, cette ennemie du cerveau, éteinte. Assaisonnez le tout d’activité physique, avec par exemple, 30 minutes de marche par jour.

Vérifier son audition Selon l’Inserm, la perte d’audition chez les plus de 65 ans est « associée à un déclin cognitif », comme une altération de la mémoire, sans pour autant conduire à Alzheimer. Mais d’autres études font le lien entre perte auditive et maladie.

C’est pourquoi les médecins incitent à faire vérifier son audition, si on fait répéter les phrases par exemple, et à envisager un appareil si nécessaire. La vue aussi doit être préservée comme… les dents. Se les brosser deux fois par jour évite les bactéries qui favorisent les inflammations.

Eternuer… sans se retenir

On pense bien faire, on ne veut pas gêner. Mais stop, « ne retenons ni nos éternuements ni nos quintes de toux en fermant hermétiquement la bouche », en appelle solennellement le Pr Amouyel. « Vous retenez un flux expulsé à 50 km/h ! La pression augmente alors dans tout le corps, de la gorge à la boîte crânienne, comme un choc de voiture en somme. Sur le moment, bien sûr, rien ne se passe, mais à force, cela fragilise les vaisseaux, fait disparaître des neurones et joue sur le capital cerveau ». Cela vaut à tout âge.

caribou

Publié à 17:59 par fandeloup Tags : place vie homme sur
caribou

Canada : le caribou pourrait bientôt disparaître

Le caribou, ruminant le plus emblématique du Canada, est classé en voie de disparition par les autorités.

Retour sur les causes de cette extinction.

Feux de forêt, exploitation arboricole, expansion urbaine et présence de l’homme… Autant de raisons qui mènent à la disparition des caribous. Le gouvernement canadien s’est positionné sur le sujet et a demandé aux provinces de prendre leurs responsabilités.

L’entretien des forets et des espaces naturels relève en effet de leurs compétences et le gouvernement pointe du doigt une forte corrélation entre la détérioration des forêts boréales et celle de l’habitat de leurs occupants. L’impact de l'homme sur la vie des caribous s’est intensifié ces 30 dernières années. Les hardes n’ont jamais été si peu nombreuses, certains troupeaux ont vu 95 à 98 % de leurs effectifs disparaître.

Les caribous migrateurs de l’Est étaient recensés à environ 800 000 individus en 1993, ils ne seraient aujourd’hui plus que quelques milliers. Le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC) a décidé de classer l’animal comme étant en « voie de disparition ».

Le caribou étant considéré comme l'un des principaux indicateurs de santé de la forêt boréale, la situation est plus que préoccupante. S'ajoutent à cette inquiétude les 62 espèces du nord canadien considérées comme étant en péril.

L’illustration la plus frappante : la population de morses est désormais considérée comme étant dans une « situation préoccupante » à cause du réchauffement climatique, du recul des glaces, des interactions trop fréquentes avec les touristes et du développement industriel. Le gouvernement canadien tire le signal d’alarme, appuyé par le COSEPAC et Greenpeace pour que les directions provinciales réagissent et mettent en place des dispositifs de protection, bien que la situation puisse déjà être irréversible.

monde

Publié à 17:03 par fandeloup Tags : monde
monde

On as beau essayer de transformer le monde, mais si toi tu ne changes pas , rien ne changera...