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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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Métier : maréchal ferrant ...

Publié à 15:01 par fandeloup Tags : photos
Métier : maréchal ferrant ...

c'est bien de partager toutes ces belles photos

nouvelles espèces

Publié à 14:44 par fandeloup Tags : france aime vie sur fond belle mode animaux loisirs jardin anniversaire
nouvelles espèces

Paris : 5 ans, 5 nouvelles espèces au Parc Zoologique

Rouvert en 2014 après 6 ans de travaux, l’ancien « Zoo de Vincennes » devenu Parc zoologique de Paris abrite aujourd’hui plus de 2 000 animaux de 180 espèces.

Malgré son déficit, le zoo du Muséum national d’Histoire naturelle fêtera l’anniversaire de sa réouverture en accueillant de nouveaux animaux, et mise sur les visites en immersion pour raviver la fréquentation Contre mauvaise fortune, bon cœur et conjuration du sort.

Au mois d’avril prochain, le Parc Zoologique de Paris (XIIe) fêtera les 5 ans de sa réouverture en accueillant progressivement 5 nouvelles espèces, dans chacune des 5 « bio zones » correspondant aux milieux géographiques des espèces. « Nous verrons arriver des otaries à fourrure, puis des Suricates, puis… puis ce sera la surprise ! », lâche avec gourmandise Bruno David, le président du Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN), dont le parc zoologique est l’un des 3 « piliers » avec le Musée de l’Homme (XVIe) et l’ensemble du Jardin des Plantes .

Va pour la surprise, le projet en est presque un lui-même, tant il est un défi au déficit chronique de plus de 7 M€ qui fragilise toujours le parc. Un trou financier qui découle largement, comme l’avait d’ailleurs sévèrement épinglé la Cour des comptes en 2017, du financement de sa rénovation par un partenariat public-privé, dont la redevance étrangle le zoo.

Sur fond d’une fréquentation en chute continue *, donc de recettes anémiées et de capacité d’investissement peau de chagrin, le Parc Zoologique choisit malgré tout d’avancer.

« Accueillir ces nouvelles espèces est aussi une façon de montrer que le zoo est bien vivant », insiste Bruno David. Face au trou financier du parc animalier, le président ne fait pas l’autruche mais se veut pragmatique :

« Un parc zoologique est un parc de loisirs , donc cela suppose des réinvestissements réguliers, sinon ça ne marche pas », souligne-t-il. A vivre depuis 5 ans sur l’attrait novateur de ses 5 « bio zones », qui recréent leurs milieux d’origine aux animaux, et sur la magie de nouvelles formules de visites, le Parc zoologique de Paris comptait sur un engouement et un renouvellement plus durable du public.

Mais les naissances toujours, les petits-déjeuners avec les girafes et les visites en immersion des « Rendez-vous sauvages » ne suffisent plus, au bout de 5 ans à faire oublier les 15 à 20 € du billet d’entrée.

Pas les moyens d’investir fortement « Il faudrait investir 2 M€ par an dans le zoo, alors que les crédits d’investissement accordés sont de zéro… souligne Bruno David. Nous faisons face à des concurrents, comme Beauval notamment, qui ont une capacité d’investissement gigantesque que nous n’avons pas. »

Alors oui, la fréquentation se dégrade « mais nous agissons, nous nous bougeons à la hauteur de nos moyens », défend le président avec enthousiasme, et l’année du 5e anniversaire de la réouverture sera une année festive.

« Le véritable bouleversement serait l’ouverture d’une 6e bio zone, par exemple asiatique, mais cela suppose des millions de crédits d’investissements que nous n’avons pas », regrette-t-il. La fête sera belle quand même : pour chacune des 5 nouvelles espèces accueillies, une dans chaque bio zone du parc animalier, sera organisée des « Rendez-vous sauvages » au cours desquels le public apprendra tout du mode de vie de ces nouveaux animaux, de leur environnement, et de la nécessité de les protéger.

Parce que c’est aussi cela, « émerveiller pour instruire », comme aime à dire Bruno David pour évoquer la vocation de l’ensemble des sites du MNHN. * 274 000 entrées au premier semestre 2018, contre 341 000 pour le premier semestre 2017, soit une baisse de 19,5 %. Le parc avait fini 2017 avec 635 000 visiteurs, cette année risque d’à peine franchir les 500 000.

hypnose

Publié à 11:54 par fandeloup Tags : image société coeur infos monde france homme sur saint bleu
hypnose

Un homme de 88 ans opéré du cœur sous hypnose, à Lille

 Une opération délicate qui, en temps normal, nécessite une anesthésie générale. Il a parlé de ses voyages en Thaïlande, en Egypte ou encore en Tunisie, du jardinage et de ses passions... pendant qu’un chirurgien lui opérait le cœur.

Gérard Courtois, 88 ans, se remet très bien de l’intervention qui a été menée sous hypnose, la semaine dernière au CHU de Lille. Une première dans le Nord-Pas-de-Calais tandis que cette alternative à l’anesthésie se démocratise de plus en plus en France. Un réveil moins difficile

L’intervention chirurgicale cardiaque de cet habitant de Saint Jans Cappel était considérée comme « lourde » par les médecins du CHU. Il s’agissait en effet de remplacer une valve aortique de Gérard, avec une incision dans chacune de ses artères fémorales pour y introduire deux fils remontant tout le corps jusqu'au cœur, détaille France Bleu Nord.

Une opération délicate qui, en temps normal, nécessite une anesthésie générale tout aussi lourde. De quoi engendrer des difficultés pour un patient âgé, parfois des effets secondaires irréversibles.

 C’est ainsi que l’équipe médicale a décidé de se passer de la morphine ou bien des anxiolytiques habituels. Avant l’opération, une infirmière a donc hypnotisé Gérard. Hélène Sergent est la première du CHU à avoir été formée, tandis que quatre autres du service cardiologie devraient bientôt l’être.

« Je suis allée le voir la veille. Nous avons discuté de son environnement, de ses passions, ce qui m'a permis de l'amener dans un monde qu'il aimait », a-t-elle expliqué au micro de France Bleu . Pendant l’opération, Hélène lui a reparlé de toutes ces choses qu’il apprécie afin qu’il soit totalement détendu.

Si bien que Gérard s’est endormi sur la table d’opération ! Une technique qui se démocratise « On oublie totalement ce qu'il se passe, on est transféré ailleurs », confie le patient à peine 48 heures après l’intervention.

D’autres devraient également en bénéficier puisque chaque année, 400 interventions du cœur sont pratiquées au CHU de Lille et que l’hypnose effraie bien moins qu’avant chirurgiens et patients. Tous ne sont toutefois pas aptes à profiter de ses bienfaits.

Ce n’est pas tant une question de difficulté de l’opération mais plutôt de l’état du patient, de son état de conscience et sa sensibilité à l’hypnose. A Paris, plusieurs hôpitaux ont peu à peu intégré la technique qui se perfectionne de jour en jour. Au Kremlin-Bicêtre par exemple, les chirurgiens qui opèrent le cerveau sont parfois assistés par des orthophonistes (en plus d’anesthésistes classiques) qui étudient le dossier du patient, ses passions également ou encore ses chansons préférées.

Pendant l’intervention, ils leur posent des questions sur ce qu’ils ont appris d’eux ou les font chanter afin de s’assurer que le chirurgien n’est pas en train de toucher une zone sensible du cerveau. Un feedback (retour, ndlr) direct et précieux sur l’opération. Les déclinaisons sont multiples et la formation s’organise désormais en France.

éléphant

Publié à 11:02 par fandeloup Tags : afrique animaux sur
éléphant

Namibie : Les éléphants « fantômes » du Parc national d’Etosha

C’est l’un des parcs nationaux les plus singuliers en Afrique. Le Parc national d’Etosha, en Namibie, est célèbre pour son immense désert de sel (le pan d'Etosha) qui s’étend sur 5000 km2, et qui recouvre 23% de la superficie totale du Parc.

Visible depuis l’espace, le pan d’Etosha est en fait un lac de sel asséché, qui ne se remplit d’eau qu’à la saison des pluies, à partir d’octobre. Outre ses paysages lunaires, le Parc offre un refuge pour une foule d'animaux grâce à la présence de nombreux points d’eau.

Zèbres, gnous, lions, springboks, girafes… ou encore des éléphants à l’apparence pour le moins unique. Les éléphants d'Etosha sont connus pour leur aspect fantomatique, qui s'explique naturellement par la présence d'argile blanche sur les parterres du Parc.

Ceux que l’on surnomme les « great white ghosts » passent en effet la journée à s’éclabousser de boue autour des points d’eau pour se rafraîchir. Résultat, lorsque leur peau sèche, elle se retrouve en partie ou complètement recouverte de terre blanche. Etosha, qui signifie "la grande blanche" n'a pas volé son nom !

pain

Publié à 10:29 par fandeloup Tags : sur france saint
pain

La baguette de Paris bientôt classée au patrimoine mondial par l’Unesco

 C’est le souhait de certains élus parisiens. Le Conseil de Paris va examiner un vœu concernant le classement de cet emblème au patrimoine immatériel de l’Unesco.

Et si la baguette de tradition française était inscrite au Patrimoine mondial immatériel de l’humanité par l’Unesco ?

Ce mardi ou mercredi selon le déroulement du Conseil, le groupe Parisien Progressistes Constructifs et Indépendants (macronistes de droite) demandera à la maire de Paris de soutenir le processus engagé par la confédération nationale de la boulangerie-pâtisserie française pour obtenir le classement de cet emblème.

Pour Jérôme Dubus, porte-parole du groupe PPCI, « Paris, en tant que capitale de la France, se doit de faire la promotion de ce symbole national. Notre vœu vise à préserver l’excellence et le savoir-faire de tous les acteurs de la chaîne de fabrication, du céréalier au boulanger ».

10 millions de baguettes vendues chaque jour à Paris Chaque jour, plus de 30 millions de baguettes sont vendues en France dont 10 millions à Paris où 1 500 boulangeries ont pignon sur rue. Les gourmets n’hésitent pas à traverser Paris pour acheter la meilleure baguette, une récompense décernée chaque année par la Ville.

Dominique Anract, président de la Confédération nationale de la boulangerie-pâtisserie française (CNBPF) est à l’origine de cette initiative de faire classer ce savoir-faire cher aux Français au patrimoine immatériel de l’Unesco. Ce propriétaire de la boulangerie parisienne la Pompadour (XVIe) vient de créer un comité de soutien Parisien à la candidature.

Ce lundi, le patron de la CNBPF a convié les parlementaires et élus de tous bords à se déplacer sur l’île Saint-Louis, au syndicat des boulangers de Paris pour signer un manifeste pour demander le classement de la baguette au patrimoine immatériel de l’Unesco. L’initiative de Dominique Anract, a déjà reçu l’aval d’Emmanuel Macron.

« La baguette est le pain quotidien des Français. Notre initiative bénéficie déjà de nombreux soutiens. Ce vœu d’élus parisiens témoigne de l’engouement que suscite notre proposition. J’espère que notre dossier sera sélectionné en mars prochain par le ministère de la Culture », commente le patron de la confédération nationale de la boulangerie-Pâtisserie française.

a savoir

a savoir

❌ EN DÉFENSE DES ACTIVISTES INCULPÉ.E.S POUR LES BLOCAGES D'ABATTOIRS ET LES CAILLASSAGES DE BOUCHERIES : UN MOUVEMENT DE JUSTICE SOCIALE N’EXISTE PAS SANS ENNEMIS DÉSIGNÉS ET CIBLÉS !

[En résumé : Ces actions directes ciblées redonnent de la puissance politique au mouvement antispéciste. Répéter constamment que nous luttons contre un "système" et non contre des individu.e.s est le meilleur moyen de rendre inoffensif et inefficace notre mouvement de justice sociale !

Privé de toute perspective de confrontation directe avec celles et ceux qui font l’Etat et l’économie spéciste, il semble condamné au registre purement symbolique dans un espace public sous contrôle.

On peut s’interroger : pourquoi les mots « opposition », « ennemi », « pouvoir » sont-ils bannis de nos répertoires militants ? Pourquoi avons-nous si peur de nous positionner clairement « contre » ?

Les institutions de domination que nous combattons s'incarnent dans des individus bien réels. Elles ne sont pas que de vagues entités inatteignables car non définissables. Nos ennemis ont un nom et un visage ; il faut les nommer, les viser par notre activisme. Face à la répression déployée par l’Etat, nous devons faire bloc derrière les activistes inculpé.e.s et pratiquer massivement l’action directe. Les "grandes" associations animalistes qui s’empressent de se désolidariser de ces actions par pur souci "marketing", craignant de perdre leurs dons et adhésions, ne sont pas seulement inutiles mais néfastes au mouvement de libération animale.]

 

ACTUALITÉ

• Nous avons assisté, cette semaine, à une inquiétante instrumentalisation de l’appareil répressif contre des activistes antispécistes, et ce dans le but clairement affiché de freiner la pratique de l’action directe. Ce double phénomène de criminalisation des opposant.e.s à un système d’oppression et de dépolitisation de leurs actes devant les tribunaux de droit commun doit être dénoncé avec force.

♦️ Lundi, ce sont des activistes de l’organisation 269 Libération Animale qui ont été condamnés à 3000 euros d’amende chacun pour avoir, avec 70 autres militant.e.s, occupé un abattoir et bloqué son activité durant plusieurs heures. Une condamnation qui s’ajoute à une longue série de mesures répressives que subissent les deux fondateurs et activistes de cette organisation :

www.politis.fr/articles/2018/06/tribune-halte-a-la-repression-de-la-cause-animale-38910/

Mais pendant que le bâton de la justice vient sévèrement frapper ces activistes, rappelons que Monsieur Vincent Harang, directeur de l’abattoir du même nom, demeure impuni. Il a pourtant, au cours de cette action, plaqué violemment au sol un jeune photographe accompagnant les activistes, puis placé un couteau sur sa gorge et enfin prononcé des menaces de mort explicites à son encontre. Qu’attend la procureure de Versailles pour le mettre en examen ?

♦️Mardi, ce sont des activistes lillois.es suspecté.e.s d’avoir caillasser des boucheries qui ont été perquisitionné.e.s et placé.e.s en garde à vue dans des conditions absolument honteuses et en totale méconnaissance de leurs droits. Suite à ce coup d'éclat d'une police à la solde des lobbies spécistes, une activiste que nous connaissons et qui participe par ailleurs aux actions dites de "désobéissance civile" de notre association, se trouve placée sous contrôle judiciaire jusqu’à son procès.

Nous lui témoignons aujourd'hui tout notre soutien. La disproportion des moyens répressifs mis en oeuvre contre ces personnes montre une instrumentalisation inquiétante de l'appareil judiciaire. Mais le plus grave demeure sans aucun doute l’absence de soutien de l’ensemble du mouvement antispéciste, à commencer par les représentants des grandes associations.

 

POURQUOI SI PEU DE SOUTIEN ?

• Ces activistes, qu'ils agissent dans le cadre d'actions organisées par 269 Libération Animale ou de manière autonome, sont globalement peu soutenus dans un milieu animaliste si attaché au regard de la “sainte” opinion publique (instrument au service des dominants), incapable de sortir du dogme de la non-violence et de comprendre qu’on ne combat pas un système d’oppression en convertissant les gens.

Aucun mouvement de justice sociale n'a jamais réussi à atteindre son objectif en utilisant, comme stratégie majoritaire, le prosélytisme consistant à changer le comportement des citoyens dans leur vie privée ! Jamais. Il faudrait peut-être que les militant.e.s se montrent plus curieux sur l’histoire des luttes et apprennent à réfléchir par eux-mêmes, au lieu d’attendre les directives données par des associations devenues de véritables entreprises de la “protection animale”.

Oser faire les louanges a posteriori et de façon révisionniste de la non-violence est uniquement permise par une situation initiale de privilège et une volonté de mettre en scène les luttes.

« En 1906, l’opinion publique était largement favorable au droit de vote féminin mais en quoi cela servit il la cause ? Nous demandions au public beaucoup plus que de bons sentiments. Nous l’appelions à exiger du gouvernement de céder à l’opinion publique et de donner le droit de vote aux femmes . Nous déclarions la guerre non seulement à toutes les forces anti-vote mais aussi à toutes les forces neutres et inactives. Chaque homme ayant un vote serait considéré comme un ennemi du vote des femmes à moins qu’il ne s’engage activement pour notre cause. »

(Extrait de l’autobiographie d’Emmeline Pankhurst, « Suffragette. Genèse d’une militante », éd. Ampelos, 2016)

 

ISOLEMENT DES ACTIVISTES RADICAUX

• La police, les médias et la justice construisent une "narration" mensongère de ces actions aujourd’hui incriminées : elles seraient l’expression de la violence propre à une petite minorité au sein du mouvement antispéciste, une minorité animée par des idées « gauchistes », « insurrectionnelles », etc. Cette vision réductrice de ce qui se passe empêche toute appréhension politique de cette séquence, le mouvement antispéciste ne semble pas percevoir l’importance de faire « bloc » derrière ces activistes inculpé.e.s alors même qu’ils sont parvenus à créer une brèche médiatique énorme.

Nous sommes nous-mêmes accusés par les autorités (et indirectement les médias) d'avoir encouragé ce type d'activisme en défendant ouvertement la pratique de l'action directe. Peut-être. Peut-être que le fait d'avoir (enfin !) oser parler d’échec de la cause animale, d’avoir montré que nous pouvons affronter des puissants sur les lieux même d’exploitation, d’avoir fait se rencontrer des activistes, d'avoir politisé le discours antispéciste et enseigné les modes de lutte ont inspiré en partie ce type d'actions mais pourquoi faudrait-il s'en offusquer ? 269 Libération animale n’a jamais été pensée comme une “association” classique, elle est un déclencheur.

Elle a réussi à amorcer une réflexion stratégique dans le mouvement ; son objectif : “mettre le feu aux poudres” et montrer que nous pouvons être puissants et que nous devons engager une véritable lutte. Elle a toujours encouragé l’autonomie et une pratique populaire de l’action directe. Elle se réjouit aujourd’hui que des activistes puissent agir de manière autonome sans étiquette car c’est ainsi qu’adviendra une véritable révolution. Tant que la protestation ne s’exercera que par le biais des associations, rien n’adviendra de concret pour la libération animale.

Lancer des frappes contre des cibles symboliques participe d’une nécessaire propagande par le fait : d’une part, cela permet d’exprimer ouvertement une critique radicale envers certaines industries, et le système spéciste en général et, d’autre part, de ternir l’aura sacrée qui entoure les biens de consommation dans notre société (et mettre en lumière les liens existant ente les luttes antispéciste et anticapitaliste). Désigner nos ennemis, les viser, les cibler par des blocages, des occupations ou d’autres actions permet d'engendrer un rapport de force et par conséquent un mouvement social à même de gagner en puissance politique.

 

L’ÉTAT, NOTRE ENNEMI

• Face à cette répression, nous avons un ennemi commun : l’Etat, c'est lui qui occasionne ce "radicalisme". Si les tracts et pétitions avaient suffit, si nous avions des résultats pour les opprimés avec un militantisme "gentillet", ces actions directes n'existeraient peut-être même pas. Les luttes sociales sont des situations au cours desquelles l'ordre des discours dominants peut être rompu collectivement et par lesquelles on peut apprendre ensemble à penser les racines des oppressions.

L'Etat n'est pas un allié de notre combat ni celui auquel nous devons quémander des réformettes législatives. Passer à l’action directe (et potentiellement à la violence) est ainsi lié au constat que la revendication de l’égalité ne peut être adressée pacifiquement à l’Etat puisque ce dernier est le principal instigateur des inégalités, qu’il est vain de lui demander justice car il est précisément l’instance première qui institutionnalise l’injustice sociale, qu’il est donc illusoire de se mettre sous sa protection puisqu’il soutient les mêmes dispositifs qui vulnérabilisent, qu’il est même insensé de s’en remettre à lui pour défendre les animaux. Surtout, il maîtrise aujourd’hui la contestation et « quand l’Etat se pose comme détenteur d’un droit de regard sur la protestation, quand il refuse qu’elle trouble l’ordre public alors que c’est sa fonction, il dénaturalise ce droit. »

(Geoffroy de Lagasnerie : https://blogs.mediapart.fr/geoffroy-de-lagasnerie/blog/200216/sortir-de-notre-impuissance-politique)

Les activistes qui empruntent le chemin de l’action directe sont accusés de provoquer un « engrenage de la violence », mais pourquoi se focaliser sur les actions alors que le problème réside dans le fait qu’elles soient réprimées ? C’est bien contre cela qu’il faut lutter. Car la répression est fonction des lois en vigueur, autant que de l’identité assignée aux personnes qui en sont cibles. C’est un outil dont l’État se sert pour diviser et catégoriser des groupes afin de mieux régner. Les gouvernants décident à un moment T qui va être réprimé.e et pour quelles pratiques.

 

PRATIQUER L’ACTION DIRECTE POUR SORTIR DE L’IMPUISSANCE POLITIQUE

• Nous, les activistes de toutes les luttes confondues, avons aujourd’hui beaucoup de mal à orienter les choix de nos gouvernements. Bien sûr, il n’y a rien de nouveau à ce que les Etats soient animés par des logiques contre lesquelles nous nous battons.

Mais ce qui est spécifique, c’est notre incapacité à influencer le cours des choses : lorsque nous intervenons, lorsque nous protestons, lorsque nous manifestons, cela débouche de moins en moins sur des transformations effectives : « Il faut regarder le présent avec lucidité.

Il ne faut pas se raconter d’histoire comme nous avons parfois tendance à le faire pour ne pas tomber dans une forme de désespoir. Il faut partir de la vérité : depuis quelques années, lorsque nous nous situons dans le camp du progrès et de l'émancipation, nous perdons les combats.

Nombreux sont ceux qui, aujourd’hui, vivent leur vie politique sur le mode du désarroi et de la tristesse. »

Penser notre impuissance politique et tenter d’y remédier impose d’abord de réfléchir sur nos modes d’actions ! Nous tirons trop peu les conséquences du fait que l’espace de la contestation est peut être l’un des plus codifiés de la vie sociale : les protestations se déroulent selon des formes établies. Des institutions, solidement installées, structurent le temps et l’espace de la contestation démocratique :

« Nous devons nous interroger sur ce que nous faisons lorsque nous utilisons les modes institués de la contestation démocratique.

Est-ce que nous agissons? Ou est-ce que nous nous contentons de protester, d'exprimer notre désaccord – avant de rentrer chez nous ?

Si nos protestations ne changent rien - ou, en tout cas, n'ont d'effets réels qu'exceptionnellement - cela ne signifie-t-il pas que les formes d'actions traditionnelles fonctionnent comme des pièges et des ruses de la raison étatique : lorsque nous y recourrons, nous avons le sentiment d'avoir agi quand, en réalité, nous n'avons rien fait de plus qu'exprimer notre mécontentement. D’autre part, ces formes ne se sont-elles pas routinisées avec le temps ?

N’ont-elles pas perdu leur efficacité ? Si nous voulons mettre en crise l’Etat, ne devons-nous pas inventer des modes de protestation qui surprendraient l’Etat et ne seraient plus prescrits par le système ? »

Justement, l’action directe change complètement le rapport du militantisme à l’Etat : fini le rapport de soumission, de négociation… C’est un rapport de force qui s’installe : « elle met hors service le Gouvernement et c’est là l’élément essentiel de toute révolte, peu importe comment on y parvient. » (Howard Zinn, « A flash of the possible », The Progressive, volume 64, n°1, janvier 2000)

 

POURQUOI NOUS OPPOSER OUVERTEMENT AUX ASSOCIATIONS ANIMALISTES TRADITIONNELLES ?

• Ces associations ont besoin, afin d'augmenter leur nombre d'adhérent.e.s, d'annoncer des succès alors très souvent leurs dirigeants surestiment la signification de réformes à vrai dire très mineures (voire purement symboliques) pour les animaux, sans voir ce qu’a d’inquiétant la situation globale. On finit par sous-estimer le rôle des entreprises et de l’État dans la défense d’une société basée sur l’exploitation animale et les grandes ONG animalistes finissent par s’intégrer au système, en collaborant de manière à peine déguisée avec l’industrie - une industrie assez avisée pour savoir que la contestation qu’elle affronte est susceptible d’être résorbée par le partenariat avec des associations et la promotion d’une viande et d’un abattage « éthiques ». Enfin, par ignorance et surtout par lâcheté, les associations collaborationnistes rejettent massivement l’usage de stratégies offensives et refusent toute discussion sur l'usage de la violence, qui ont pourtant fait leurs preuves dans tous les mouvements sociaux et sont absolument nécessaires pour politiser la question animale.

 

LA QUESTION DE LA VIOLENCE

• Inutile d’en user comme d'un épouvantail contre des militant.e.s qui décident de sortir de la passivité pour co-résister avec les opprimé.e.s ; la violence, elle est cachée là, derrière les portes des élevages et des abattoirs. Les activistes antispécistes obtiennent rarement plus qu'une citation de deux lignes ou de dix secondes dans les médias ; ainsi lorsque les dirigeants des “grandes” associations animalistes sont interrogés et critiquent fermement cet activisme plus offensif, ils gaspillent leur minute d'audience en se mettant sur la défensive et en faisant passer leur cause au second plan par rapport à la critique de l'action directe. Une nouvelle preuve que la non-violence conduit aussi à de mauvaises stratégies médiatiques...

Ils critiquent les plus courageux qu'eux pour renforcer leur conformité idéologique et pour asseoir leur leadership sur le milieu militant. Ils s'en servent aussi comme d'une assurance, afin de pouvoir protéger leur organisation d'être diabolisée dans les médias. Ils ressortent alors le code de la non-violence comme preuve qu'eux ne sont pas responsables de la violence et se prosternent devant l'ordre régnant : « (...) La défense dogmatique de la non-violence est trop souvent une manière de se présenter comme politiquement et moralement supérieur aux yeux des autres, y compris des autorités politiques, de la police et des médias publics et privés. (...) Prôner la non-violence à tout prix, c'est adopter une approche autoritaire des luttes sociales et des mobilisations populaires. » (Peter Gelderloos, Comment la non-violence protège l’Etat ?, éd. Libre, 2018)

NOUS NE SOMMES PAS LÀ POUR JUGER LES ACTIVISTES I

antan

Publié à 08:16 par fandeloup Tags : moi heureux
antan

Moi ! Hélas, car cela me ramène très loin, mais c était le temps heureux de l'enfance insouciante !

a savoir

Publié à 08:13 par fandeloup Tags : belle mort animaux fleurs sur
a savoir

DU SYMBOLIQUE AU CONCRET : 403 OPPRIMÉ.E.S EXFILTRÉ.E.S DES ABATTOIRS DEPUIS JANVIER 

Depuis le mois de janvier 2018, ce sont 403 opprimé.e.s qui ont été exfiltré.e.s des abattoirs par l’organisation 269 Libération Animale. Ce sont 403 existences soustraites au destin spéciste.

Nous remercions infiniment les activistes qui co-résistent aux côtés des animaux et prennent tous les risques pour mener ces actions, les personnes qui accueillent ces réfugié.e.s et toutes celles et ceux qui nous soutiennent financièrement, notamment en participant à la cagnotte ouverte à cet effet :

https://www.leetchi.com/fr/Cagnotte/40245502/29eb2da8 ❌

Il y a bientôt deux ans, nous en avons eu marre de faire du « théâtre de rue », des happenings qui ne sont que des apparences d’action, des marches festives, d’être ridicules avec nos fleurs et nos pancartes pour lutter contre la mort de milliards d’individu.e.s, de nous mettre perpétuellement en scène, de sensibiliser, de culpabiliser, d’être toujours finalement dans le « symbolique » ; alors nous sommes passé.e.s à l’action directe pour gagner en efficacité et en puissance politique.

Bloquer, occuper, libérer : pour perturber le système concrètement, pour enrayer la machine de mort, pour engendrer de réels impacts, pour des effets concrets sur les opprimé.e.s, par « pragmatisme révolutionnaire », pour « mettre le feu aux poudres » et amorcer un virage stratégique. Ces 403 individus qui vivent aujourd’hui grâce à cette jonction des résistances animale et humaine représentent notre plus belle victoire.

#269LibérationAnimale ~:

Une des petites victimes exfiltrée d’un abattoir de lapins le 6 septembre dernier et qui vit aujourd’hui dans un sanctuaire privé. Sanctuaire 269 Libération Animale

niveau d’affection

Publié à 18:07 par fandeloup Tags : fille sourire monde vie chez sur enfants article 2010 heureux soi maison bébé
niveau d’affection

Le niveau d’affection des parents a un effet profond sur le bonheur des enfants à l’âge adulte

Par Éric Fontaine

Tout le monde a une vie plus ou moins occupée et stressante, des préoccupations infinies en tant que parents, mais il est évident qu’il est essentiel de donner à nos enfants une profonde pression amoureuse. La recherche dirigée pendant la dernière décennie souligne le lien entre l’affection dans l’enfance et la santé et le bonheur à l’avenir.

D’après Child Trends, la principale organisation de recherche à but non lucratif aux États-Unis concentrée sur l’amélioration de la vie et des perspectives des enfants, des jeunes et de leur famille, la science soutient l’idée que la chaleur et l’affection données par les parents à leurs enfants sont bénéfiques pour ces enfants. Une meilleure estime de soi, de meilleures performances scolaires, une meilleure communication parent-enfant et moins de problèmes psychologiques et comportementaux ont été associés à ce genre d’affection.

De plus, les enfants qui n’ont pas de parents affectueux ont généralement une plus faible estime de soi et se sentent plus aliénés, hostiles, agressifs et antisociaux.

Différentes études récentes ont souligné la relation entre l’affection parentale et le bonheur et la réussite des enfants.

En 2010, des chercheurs de la faculté de médecine de l’université de Duke ont découvert que les bébés dont la mère était très affectueuse et attentive grandissaient pour devenir des adultes plus heureux , plus résilients et moins anxieux.

L’étude a impliqué environ 500 personnes suivies depuis leur enfance jusqu’à la trentaine. Quand les bébés avaient huit mois, les psychologues ont observé les interactions de leur mère avec eux pendant qu’ils faisaient des tests de développement. ( Source : Duke University Medical School ) Les psychologues ont évalué l’affection et le niveau d’attention de la mère sur une échelle de cinq points allant de «négatif» à «extravagant».

Près de 10% des mères présentaient un faible niveau d’affection, 85% une affection normale et environ 6% une affection élevée. 30 ans après, ces mêmes personnes ont été interrogées sur leur santé émotionnelle. Les adultes dont la mère présentait une grande affection étaient beaucoup moins susceptibles que les autres de se sentir stressés et anxieux.

Les chercheurs ont conclu que l’ocytocine, l’hormone de l’amour, pouvait être responsable de cet effet. Il a été prouvé que cela aide les parents à créer des liens avec leurs enfants, ajoutant un sentiment de confiance et de soutien entre eux. Ce lien aide notre cerveau à produire et à utiliser de l’ocytocine, faisant ressentir à l’enfant des émotions plus positives. Une autre étude effectuée en 2013 par l’UCLA a indiqué que l’amour et l’affection inconditionnels d’un parent peuvent rendre les enfants plus heureux et moins anxieux sur le plan émotionnel.

Cela a lieu car leur cerveau se modifie vraiment à la suite de l’affection. D’autre part, l’impact négatif de la maltraitance et du manque d’affection de l’enfance a un impact à la fois mental et physique sur les enfants.

Cela peut provoquer toutes sortes de problèmes de santé et d’émotions tout au long de leur vie.

En 2015, une étude de l’Université de Notre-Dame a révélé que les enfants qui recevaient de l’affection de leurs parents étaient plus heureux à l’âge adulte. Plus de 600 adultes ont été interrogés sur la façon dont ils ont été élevés, y compris leur affection physique. Les adultes qui ont déclaré avoir reçu plus d’affection durant l’enfance présentaient moins de dépression et d’anxiété et étaient plus compatissants dans l’ensemble.

Ceux qui ont déclaré avoir moins d’affection ont des problèmes de santé mentale, ont tendance à être plus contrariés dans les situations sociales et s’adaptent moins bien aux perspectives des autres. Les chercheurs ont aussi étudié les avantages du contact peau contre peau chez les nourrissons. Cette interaction particulière entre la mère et son bébé aide à calmer les bébés pour qu’ils pleurent moins et dorment davantage.

Cela stimule également le développement du cerveau. D’après un article de Scientific American, les enfants qui vivaient dans un environnement défavorisé comme un orphelinat avaient un niveau plus élevé de cortisol, l’hormone du stress, que ceux qui vivaient avec leurs parents. Les scientifiques pensent que le manque de contact physique dans les orphelinats est un facteur essentiel dans ces changements physiques.

Enfin, plusieurs études sur les effets du massage révèlent les avantages qu’elle offre pour diminuer l’anxiété chez les enfants. Le massage est aussi un bon moyen pour les parents de se connecter à leurs enfants, à la fois physiquement et émotionnellement.

À partir de la petite enfance, un parent peut commencer à masser son enfant, ce qui peut créer un lien fort. Des études ont montré que les enfants et les adultes qui reçoivent un massage ressentent moins d’anxiété pendant le stress scolaire, les séjours à l’hôpital et d’autres événements stressants.

À partir du moment où vous ramenez votre bébé à la maison, veillez à le prendre dans vos bras. Passez de nombreux moments précieux à caresser votre bébé pour que sa peau puisse toucher votre peau.

Veillez à faire un câlin à vos enfants à certains moments de la journée, par exemple lorsqu’ils partent à l’école, quand ils rentrent de l’école et avant de se coucher. Une autre idée intéressante consiste à utiliser l’affection tout en disciplinant votre enfant.

Lorsque que vous lui parlez de ce qu’il a fait de mal, mettez votre main sur son épaule et faites-lui un câlin à la fin de la conversation pour qu’il sache que vous l’aimez malgré tout.

Enfin, veillez à ne pas aller dans l’excès et à étouffer vos enfants. Respectez leur niveau de confort personnel et soyez conscient que cela changera lorsqu’ils vivront différentes expériences.

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Publié à 17:03 par fandeloup Tags : air vie sur mort animaux nature base film
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Expériences sur les singes: ce que les laboratoires ne veulent pas vous faire voir

Capturés, enfermés dans des cages aseptiques, torturés, soumis à des années d'expérimentations profondément affligeants et douloureuses, conçues pour provoquer, aggraver et mesurer l'anxiété, la peur, l'agressivité, la dépression et les maladies psychologiques.

Les expériences endurées par les macaques, en grande partie chiots, détenus dans les laboratoires sont effrayantes. Pour être presque toujours caché aux yeux de l'opinion publique.

Heureusement, une découverte récente a été faite à l'institut allemand de tübingen, le Max Planck Institute for biological cybernetics (après 7 ans d'enquête), grâce à l'association britannique contre la vivisection-Buav, en collaboration avec la soko tierschutz.

Mais les centaines d'heures de vidéos et de photographies obtenues par la peta sur les expériences des national institutes of health aux États-Unis, où 60 singes sont élevés chaque année pour développer la dépression et d'autres maladies mentales, sont également claires.

Immobilisation - chaque fois qu'une enquête a été faite dans les laboratoires où se pratique la vivisection, ce sont des emersiorrori et des violences inouïes, dans le cas spécifique de l'enquête buav - diffusée en Italie par le lav - dans ce laboratoire allemand : les singes, Objet de recherches de base au cerveau subissent de graves privations et contraintes physiques avec des implants dans le crâne et des immobilisations dans des structures de contenzionechiamate "naïvement" des chaises de primate.

Les macaques au cours de l'expérience subissent des privations très graves, comme le manque d'eau pendant des jours et sont si soif de boire l'urine des autres singes, en outre les structures de contention entraînent des niveaux élevés de douleur où les animaux terrorisés restent immobilisés de la tête vers le bas avec des installations Électriques dans le cerveau et dans les yeux, qui enregistrent des activités mentales avec des signes de douleur évidents, avec des bleus et des saignements qui durent pendant des semaines.

Privation maternelle des petits d'un demi-siècle après que le tristement célèbre chercheur Harry Harlow en premier prouve que les chiots de singe arrachés de leurs mères souffrent de psychose, peta délivre un film qui révèle comment des centaines de petits singes sont encore aujourd'hui soumis, sans aucune La nécessité scientifique, la privation maternelle, l'isolement social et les expériences traumatisantes.

Comme ceux qui prévoient la sédation des mamans pendant que les chiots sont effrayés par des bruits forts et des rafales d'air puissantes. Les petits crient et essaient de se cacher ou de fuir. Mais ils ne peuvent pas. Ils sont dans une cage vide avec leurs mères, réprimée chimiquement et insérées dans un siège auto, pendant qu'ils essaient frénétiquement de les stériliser pour les stériliser. Dans un film, on entend même les expérimentateurs rire pendant qu'une mère se bat pour rester éveillée et réconforter son petit bouleversé.

La vivisection existe et est (encore) légale : il est absurde de continuer à promouvoir l'expérimentation animale comme une procédure peu invasive où les animaux ne souffrent pas, parce qu'il ne correspond pas à la réalité et à la vérité.

Mais l'horreur a des origines lointaines : comme si cela ne suffisait pas, les macaques proviennent de captures invasives à l'île Maurice où ils sont prélevés dans la nature et, contraints dans des boîtes étroites, à des vols interminables dans l'obscurité et au gel des cales des avions, à l'issue desquels ils arrivent dans Jusqu'à la vie et sous le choc à l'usine fournisseur qui les trie comme marchandise à tous les laboratoires Européens. " ne nous leurrons pas que ces expériences ne se produisent pas en Italie ! - affirme Michela Kuan, biologiste, responsable de la vivisection - malheureusement beaucoup de singes trouvent la mort dans nos laboratoires :

ici aussi on effectue des expériences qui ressemblent aux salles des horreurs, comme dans le cas de l'université de modène, objet de contestations depuis des mois, où sous le Le terme "recherche de base" contient des vis sous la conjonctive oculaire, des fils d'acier dans les muscles de la nuque et des chambres d'enregistrement dans le cerveau : des procédures non seulement éthiquement inacceptables, mais scientifiquement inéligibles. Il est temps d'arrêter de justifier la douleur et la violence, au nom d'une pseudo-science qui ne soigne aucun malade."