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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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etre

Publié à 14:45 par fandeloup
etre

Tu n'es plus la, ou tu etais, Mais tu es partout la ou je sui

volcans

Publié à 14:33 par fandeloup Tags : vie
volcans

Les volcans : ils détruisent et remodèlent notre Terre

Viscosité et gaz La viscosité du magma (et de la lave) dépend de son pourcentage de silice, le minéral le plus répandu sur la Terre. Lorsque le magma fusionne avec les murs de la chambre magmatique, il recueille de la silice et d'autres minéraux.

Un mélange 50/50 (moitié silice et moitié autres minéraux) donne une lave de faible viscosité, comme le basalte. La lave la plus visqueuse est la rhyolite, caractéristique des supervolcans, et contient de 70 à 75 % de silice.

L'andésite et la dacite, qu'on trouve dans les volcans en zone de subduction, se situent entre les deux. Une lave très visqueuse retient le gaz plus facilement qu'une lave plus fluide, et ce, parce que le gaz a plus de difficultés à se dilater et à s'échapper d'un liquide compact plein de molécules de silice étroitement liées.

La viscosité du magma est importante lorsqu'on détermine le degré d'explosivité d'une éruption. Une éruption commence lorsque la chambre magmatique est tellement saturée et subit une telle pression que les roches obstruant le conduit ne peuvent plus retenir la roche en fusion.

Le magma gazeux remonte jusqu'en haut par un conduit, fusant vers l'ouverture du volcan, suivi par le magma moins gazeux. Lorsque la pression du magma baisse, les bulles de gaz s'échappent rapidement. Lorsque le magma est visqueux, mais plein de gaz, ce dernier s'échappe tout à coup, avec une explosion formidable, dispersant la lave émergente sous forme de morceaux de cendres et de roche.

Cette explosion peut également produire des nuées ardentes (« nuages incandescents »), qui sont des gaz surchauffés et des fragments qui jaillissent d'une montagne à des vitesses vertigineuses. Le magma qui suit, moins chargé en gaz, s'échappe avec moins de force.

Ce type d'éruption s'est produit en 1902 au mont Pelée, en Martinique, dans les Caraïbes. Lorsque le magma est basaltique, et donc, moins visqueux, le gaz s'échappe graduellement. L'éruption est alors moins violente, et la lave reste liquide. Les volcans sous-marins sur les dorsales médio-océaniques font doucement suinter de la lave basaltique.

Elle est saturée de gaz, mais l'énorme pression de l'eau qui s'exerce dans les fonds océaniques emprisonne le gaz dans le liquide. Les proportions de gaz, la viscosité, la température et la pression alliées à d'autres facteurs donnent lieu à un éventail de comportements volcaniques.

Il arrive que le magma remonte, mais se refroidisse, retenant ses gaz et empêchant l'éruption. Quelquefois, c'est la chambre magmatique qui explose, détruisant la mon.

Le volcan Galeras, en Colombie, est soudainement entré en éruption, prenant les scientifiques et des touristes par surprise, avec des conséquences tragiques.

Le volcanologue Stanley Williams et son équipe de scientifiques ont vécu une expérience étrange en Colombie, avec le volcan Galeras, en Amérique du Sud. Le 14 janvier 1993, des données relatives à des secousses sismiques indiquèrent une activité en son sein, mais rien de très dangereux.

En fait, aucune explosion ne se produisit ce jour-là. Au lieu de cela, contre toute attente, Williams dit que la montagne s'est « raclé la gorge » juste au moment où les scientifiques finissaient de prélever des échantillons de gaz à l'intérieur et autour du cratère.

Le « hoquet » délogea un bouchon de roche qui bloquait un conduit, libérant une douche mortelle de rochers de la taille d'un téléviseur. Les scientifiques se retrouvèrent comme des fourmis sous un orage de grêle, impuissants, malgré la relative faiblesse de cette explosion. Williams survécut de justesse à de graves blessures, mais six chercheurs et trois touristes perdirent la vie.

Face à une telle puissance, les hommes ont une seule défense : la prédiction des éruptions.

nature

Publié à 11:16 par fandeloup Tags : nature
nature

La Nature est merveilleuse et Elle nous parle en continuation, elle communique avec nous sans arret, et c' est à nous de comprendre ses signes et ses traces

pkoi

Publié à 10:58 par fandeloup Tags : automne mort homme
pkoi

Pourquoi le temps s'écoule-t-il à sens unique ? L'homme ne peut aller que dans une seule direction, de la jeunesse vers la vieillesse, de la naissance vers la mort, de la fraîcheur vers la décrépitude, de l'aube vers le crépuscule. Les cerisiers dépérissent en automne et refleurissent au printemps, dans un éternel recommencement que nous ne connaîtrons pas

Le parc de Virunga

Publié à 10:32 par fandeloup Tags : 2010 société histoire nature hiver afrique oiseaux papier cheval patrimoine congo
Le parc de Virunga

Le parc de Virunga, le petrole constitue-t-elle une menace ultime ?

L'histoire du parc de Virunga Le Parc national de Virunga, anciennement appelé Parc Albert, est le plus ancien parc national de la République démocratique du Congo et d'Afrique créé par le roi Albert 1er de Belgique en 1925.

Étendu sur 790 000 ha, composé des marécages, des plaines, des savanes, des montagnes des Ruwenzori couvertes des neiges éternelles à plus de 5 000 m d'altitude, des volcans actifs de Nyiragongo.

Il est très riche par sa faune (Quelque 20 000 hippopotames fréquentent ses rivières, le gorille de montagne y trouve refuge, et des oiseaux en provenance de Sibérie viennent y passer l'hiver) et sa flore incomparable.

Situé dans l'est de la République démocratique du Congo, doté d'une exceptionnelle biodiversité qui lui a valu d'être élu patrimoine mondial depuis 1974 et inscrit patrimoine en péril depuis 1995.

 

 

SOS du 1er Parc naturel d'Afrique

Dans un papier qu'elle a publié récemment, l’AFP revient sur les menaces que fait peser le pétrole sur le plus vieux parc naturel d’Afrique. AFP note que la plus vieille réserve naturelle d’Afrique qui a surmonté bien des aléas, voit son avenir sérieusement menacé par les convoitises que suscite son sous-sol.

 

En cause :

la détermination d’une petite société britannique, Soco International, à mener, avec l’appui de Kinshasa, des activités d’exploration pétrolière au sein dudit parc, a déploré ce média français.

En effet, plus que la déforestation, le braconnage, la présence de groupes armés, de soldats, ou de populations installées illégalement dans l’enceinte du parc, ce sont les dommages irréparables que causerait une éventuelle exploitation pétrolière.

« Cela constituerait un risque de pollution majeure pour le site situé non loin des sources du Nil », a déclaré au début du mois le commissaire européen au Développement, Andris Piebalgs.

La lutte des ONG environnementales Le média a relevé l’action des opposants à ce projet parmi lesquels le WWF et plusieurs autres associations locales. Ces derniers, note-t-on, trouvent insuffisante la décision du gouvernement de suspendre le permis d’exploitation accordé à l’entreprise Soco qui a obtenu en 2010 du gouvernement congolais un contrat de partage de production pétrolière portant sur une concession à cheval sur une partie des Virunga, dans l’attente des résultats d’une EES.

« Ils arguent que les contrats et permis attribués par l’État violent la loi congolaise sur la conservation de la nature et la convention de l’Unesco sur la protection du patrimoinecmondial. Ils dénoncent le fait que Soco soit déjà à l’œuvre depuis plusieurs mois au sein du parc », a noté AFP.

 

 

Quoi faire pour sauver le parc de Virunga ?

Pour contrer les projets de Soco, le WWF fait campagne pour convaincre sur le fait que la RDC a beaucoup plus à gagner sur le plan économique en protégeant le parc et en y développant le tourisme, une pêche et des projets hydroélectriques durables plutôt que de chercher à y extraire du pétrole dont la présence n’a encore rien d’avéré.

D’ailleurs, regrettant la position du gouvernement annoncée lors d’un atelier dite « d’information sur l’exploration et l’exploitation du pétrole dans les aires protégées du Congo » tenu dernièrement à Kinshasa, René Ngongo de WWF, relevant la valeur touristique du parc de Virunga, a souligné que la RDC aura plus à gagner dans le tourisme sur cette aire protégée que dans l’exploitation du pétrole contenu dans cet espace.

 

 

Que pense le gouvernement de la R D Congo ?

Cependant, le gouvernement continue à brandir la possibilité de cohabitation entre l’exploitation pétrolière et le tourisme. Toute la société civile est sortie déçue de ces assises qu’elle voulait voir servir à des discussions sérieuses et réelles en vue d’un point de vue concerté. Pour les ONG nationales et internationales, avec ces décisions, Kinshasa continue à marcher contre les engagements librement consentis et contre certaines dispositions internationales.

glaciers

Publié à 09:23 par fandeloup Tags : neige monde mer photo
glaciers

Les plus grands glaciers du monde.

Le glacier Lambert, le plus long du monde dépasse 400 km sur 55 km de large, se jette dans l'océan (Ice shelf) puis se détache sous forme d'icebergs tabulaires .

Le glacier Beardmore en Antarctique mesure plus de 160 kilomètres de long. Le plus long glacier du monde hors Indlansis est le glacier Fedchenko dans le Pamir (77 km et jusqu'à 1000 m d'épaisseur), puis le Siachen (72 km) entre l’Inde et le Pakistan, dans le Karakorum, souvent cité à tord comme le plus long. Le Baltoro au Karakoram (Pakistan) , le plus connu mesure 57 km. Le plus grand inlandsis est celui de l'Antarctique avec 13 586 000 km2.

C'est également le plus épais avec un maximum de 4 700 mètres d'épaisseur. L'Indlansis du Groenland fait quant à lui 1 700 000 km2 avec un maximum de 3 000 mètres d'épaisseur.

La plus grande calotte glaciaire est celle du Austfonna (Svalbard) avec 8 200 km2. Celle du Vatnajökull en Islande atteint 8 100 km2 et mille mètres d'épaisseur.

Le plus grand glacier de piémont est le glacier Malaspina en Alaska avec un lobe glaciaire de 3 900 km2. Le plus grand glacier de vallée des Alpes est le glacier d'Aletsch (Suisse) avec 24 kilomètres de long. Le plus grand glacier français est le glacier Cook (Kerguelen). Le plus long glacier français de métropole est la Mer de Glace dans le massif du Mont-Blanc (12 km).

Exemples de progression de glaciers:

la majorité des glaciers de Norvège la majorité des glaciers de Nouvelle-Zélande le glacier Maili en Russie le glacier Abramov au Kirghiztan le glacier Silvretta en Suisse le glacier Perito Moreno en Argentine certains glaciers aux États-Unis, notamment la calotte locale du Mont McKinley et le glacier Hubbard l'Indlansis du Groenland s'épaissit.

Exemples de régressions de glaciers :

les glaciers suisses ont perdus 40% de leur longueur, plus de la moitié de leur masse et une centaine ont disparus entre 1850 et 1999 et continuent de perdre cinquante centimètres d'épaisseur chaque année le glacier du Rhône en Suisse a perdu 2,3 kilomètres de longueur entre 1850 et 1999 le glacier d'Aletsch en Suisse a perdu cent mètres d'épaisseur entre 1870 et 2001 les glaciers de Valsorey et de Tseudet en Suisse ont perdus 1,4 kilomètres de longueur entre 1850 et 1998 le glacier de Grindelwald en Suisse a perdu 1,6 kilomètres de longueur entre 1850 et 2000 le glacier Furtwängler (calotte locale du Kilimandjaro) a perdu 80% de son volume au cours de XXe siècle et disparaitra entre 2015 et 2020, si la situation qui ne lui permet plus de fabriquer de la glace par insuffisamment de neige conservée, perdure. – à Le vêlage du Glacier Viedma, l'un des déversoirs du Hielo continental, dans le lac Viedma.

bonne nuit

Publié à 19:39 par fandeloup Tags : bonne nuit bonne fond coeur cadeau nuit
bonne nuit

Je vous apporte en cadeau une poignée d'étoiles... regardez- les, admirez-les, parlez leur si le coeur vous le dicte... Rien n'est interdit, tout reste au fond de nous, nous avons besoin de cette paix, de ce silence lumineux.. Regarder simplement le ciel la nuit, pour que tout á coup tout reprenne sa place... le grand devient petit et le petit infini... et ça nous apaise l'âme qui retrouve son chemin... Je vous souhaite une douce nuit tranquille un peu .. et rêveuse surtout... a demain

désertification

Publié à 19:15 par fandeloup Tags : afrique vie monde divers création
désertification

LA DESERTIFICATION

La désertificationest définie par la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification comme étant «la dégradation des terres dans les zones arides, semi-arides et subhumides sèches par suite de divers facteurs, parmi lesquels les variations climatiques et les activités humaines.»

La dégradation des terres est à son tour définie comme étant la réduction ou la disparition de la productivité biologique ou économique des zones sèches. Ce rapport évalue l’état actuel de la désertification dans les zones sèches, y compris les zones hyper-arides, en posant des questions ciblées et en y apportant des réponses basées exclusivement sur les rapports produits pour l’EM.

La désertification touche tous les continents sauf l’Antarctique et affecte les conditions de vie de millions de personnes, surtout une grande proportion des pauvres dans les zones sèches.

La désertification sévit dans les zones sèches du monde entier, et ses effets sont ressentis localement, nationalement, régionalement et mondialement. Les zones sèches occupent 41 % de la superficie des terres de la planète et abritent plus de 2 milliards d’individus – le tiers de la population mondiale en 2000.

Près de 120 représentants des 60 plateformes d'information pour l'adaptation en Afrique et d'autres organisations ont stimulé les efforts d'adaptation aux changements climatiques en Afrique, l'un des continents les plus vulnérables aux changements climatiques (restauration de la Mangrove, réhabilitation de petits barrages....etc...) .

Cet objectif a pu être atteint grâce à l'approbation du rôle d'outil essentiel pour la création d'une approche coordonnée du réseau africain d'information pour l'adaptation (AAKNet). L'Afrique est particulièrement vulnérable au changement climatique pour de multiples raisons: sa dépendance à l'agriculture sous pluie, l'approvisionnement limité en eau potable, la pauvreté généralisée et la maladie, la faiblesse des institutions, l'accès limité à l'information et à la technologie, les catastrophes et conflits complexes, et l'accès insuffisant aux services de base.

Les graves sécheresses dans le Sahel en 2012 et dans la Corne de l'Afrique en 2011 ont focalisé l'attention sur les graves conséquences du changement climatique, en montrant qu'il n'y a jamais eu un besoin aussi urgent de faire de l'adaptation une priorité et de fournir des solutions durables pour réduire la vulnérabilité d'un milliard de citoyens en Afrique.

La désertification est le résultat d’une incapacité prolongée à équilibrer l’offre et la demande en services des écosystèmes dans les zones sèches. On assiste actuellement à une augmentation de la pression sur les écosystèmes des zones sèches afin qu’ils fournissent des services tels que nourriture, fourrage, énergie, matériaux de construction ainsi que l’eau pour abreuver les humains et les troupeaux, pour l’irrigation et les besoins sanitaires.

On attribue cette pression croissante à une combinaison de facteurs humains et climatiques. Les premiers comprennent des facteurs indirects, comme la pression démographique, des facteurs socio-économiques et politiques et des phénomènes liés à la mondialisation tels que des distorsions des marchés alimentaires internationaux, et des facteurs directs, comme les pratiques et systèmes d’exploitation des terres et des processus liés au climat.

Les facteurs climatiques préoccupants incluent les sécheresses et la diminution prévue des réserves d’eau suite au réchauffement climatique. Alors que l’interaction de ces facteurs est complexe à appréhender à l’échelon mondial et régional, il est possible de la comprendre à l’échelon local.

Le thème retenu pour la Journée pour combattre la désertification 2013 est la sécheresse et la rareté de la ressource en eau. L'eau douce s'avère très précieuse, représentant seulement 2.5% de toute l'eau sur la terre. De cette eau douce, moins de 1% est disponible pour les écosystèmes et les humains.

Quand la demande en eau surpasse l'offre disponible, il en résulte une pénurie de la ressource. Les terres sèches sont particulièrement vulnérables aux pénuries. En particulier, l'intensification prévue de la pénurie d'eau douce placera les écosystèmes des zones sèches sous de fortes pressions.

Tandis que chaque personne a besoin d'au moins 2000 mètres cubes d'eau chaque année pour son bien-être et développement humain durable, les habitants des terres sèches n'ont qu'accès à environs 1300 mètres cubes.

L'objectif de la Journée mondiale de lutte contre la désertification 2013 est de sensibiliser sur les risques de sécheresse et de la pénurie d'eau dans les zones arides et au-delà, attirant l'attention sur l'importance de maintenir les sols en santé comme partie intégrante de l'agenda post Rio 20 et de l'agenda du développement durable post-2015.

Le slogan de cette année, "N'asséchons pas notre futur" lance un appel à l'action afin de promouvoir la préparation et la résilience face aux pénuries d'eau, à la désertification et à la sécheresse. Nous sommes tous responsables de la conservation des terres et de l'eau et de leur utilisation durable; il existe des solutions à ces problèmes graves de ressources naturelles.

La dégradation des sols n'est pas nécessairement une menace à notre avenir…mais il faut s’engager serieusement .

appel pour l Amazonie

Publié à 18:10 par fandeloup Tags : vie monde création cadre argent nature extrait patrimoine
appel pour l Amazonie

Appel pour l'Amazonie : notre patrimoine naturel pour un futur en or Le biome amazonien est un écosystème unique pour le présent et le futur de notre planète. Il abrite 10% de l’ensemble des espèces vivantes au monde, dont beaucoup restent à découvrir. Il recèle des exemples uniques de communautés humaines vivant en harmonie avec la nature. Il comprend environ un cinquième des réserves mondiales en eau. Il est un des régulateurs climatiques mondiaux majeurs. Il est le bassin de vie de nombreuses populations autochtones, qui participent à la conservation d’une proportion significative du biome via les Terres et Territoires Autochtones, Il héberge certains des programmes de conservation des écosystèmes forestiers tropicaux les plus ambitieux, ayant donné lieu à la création de nombreuses aires protégées ces 10 dernières années.

Dans le cadre de la Conférence des Nations Unies pour le Développement Durable (Rio+20), plusieurs organisations se sont réunies pour échanger et définir les perspectives de l’exploitation aurifère en Amazonie dans le cadre du side-event « L’exploitation aurifère à petite échelle en Amazonie : conséquences socio-environnementales et opportunités de changement régional ». Sur la base des informations échangées, les organisations signataires expriment ici leurs préoccupations et leurs visions dans « l’Appel pour l’Amazonie : Notre patrimoine naturel pour un futur en or ».

L’activité humaine est de plus en plus présente en Amazonie. Les forêts sont détruites pour être transformées en pâturages ou en cultures. En plus de ladéforestation, l’Amazonie doit aussi faire face à l’exploitation minière non durable, l'extraction de gaz et de pétrole et le changement climatique. L’Amazonie a perdu 17 % de sa couverture forestière au cours des 50 dernières années. La déforestation est principalement réalisée au profit de l’élevage. Cette activité représente 80 % du taux de déforestation actuel. Elle est à elle seule, responsable chaque année de l’émission de 340 millions de tonnes de carbone dans l’atmosphère, l’équivalent de 3 à 4 % des émissions globales. La déforestation est aussi causée par : l'expansion de l'agriculture (en particulier le soja) l’abattage non réglementé les feux de forêts la construction de routes et de barrages hydroélectriques l’exploitation minière l’exploration pétrolière et la pose de pipelines Perte de biodiversité Dégradation de l'habitat : les nouvelles routes fragmentent la forêt. Les petites zones formées sont plus sensibles aux sécheresses et aux feux Modification du climat : comme il y a moins d'arbres, les forêts absorbent moins de CO2 (gaz à effet de serre). En même temps, du CO2 est relâché si les arbres sont abattus ou brulés. Perte d'humidité : la déforestation réduit la quantité d'eau émise par les arbres (évapotranspiration).

 

Que fait le WWF ?

Nous voulons établir un plan d’aménagement qui laisse place à la conservation et au développement durable. C’est dans ce but que nous travaillons, entre autres, avec le gouvernement de l’État d’Acre, dans le nord-ouest du Brésil.

 

Les objectifs ?

Créer et renforcer un réseau d’aires protégées de plus de 283 000 km² pour préserver la biodiversité de la région Restaurer 125 000 km² d’aires protégées existantes, mais dégradées. Promouvoir un usage durable des ressources naturelles pour encourager leur protection Promouvoir le projet à travers diverses campagnes de sensibilisation Encourager les politiciens à mettre les enjeux environnementaux à l’agenda des discussions nationales et internationales Avec le soutien de nombreux partenaires, le WWF s'attaque à trois cibles : la création de nouvelles aires protégées, l’amélioration de la gestion et de la protection des aires protégées déjà existantes et la certification de la gestion de l’exploitation forestière afin d’assurer sa durabilité.

 

L'exploitation minière, pétrolière, et gazière

En Amazonie on trouve du cuivre, de l'étain, du nickel, de la bauxite, du manganèse, des minerais d'or et d'argent. Mais même si les technologies s’améliorent, l'exploitation minière reste très polluante.

Consequénces : Pollution de l’eau, des sols et de l’air Déforestation des zones adjacentes : le bois est utilisé pour fabriquer du charbon de bois Pollution par le mercure Invasion des terres indigènes et conflits Perde de biodiversité

Que fait le WWF ? Nous luttons contre l’orpaillage illégal en Guyane Les chiffres parlent d’eux-mêmes 1333 km de cours d’eau directement touchés 12 000 ha de forêt endommagés 1000 tonnes de boue rejetées pour un kilo d’or extrait 5 tonnes de mercure rejetées chaque année dans l’environnement En Guyane, il existe un énorme déséquilibre entre l’or traçable, d’origine légale, et la quantité d’or mal identifiée qui est exportée. En 2003, par exemple, seules 3 tonnes d’or ont été déclarées, alors que plus de 9 tonnes ont été exportées. Afin d’améliorer la lutte contre ce phénomène, nous travaillons avec les autorités françaises.

 

Les objectifs du WWF

Renforcer les barrages de contrôle sur les routes stratégiques Poursuivre en justice tout contrevenant, afin de démanteler les réseaux qui soutiennent la filière clandestine Remonter les filières, afin de toucher les têtes des réseaux clandestins Proposer des sources de revenus alternatives aux travailleurs clandestins Renforcer la surveillance des activités clandestines Assurer une meilleure traçabilité de l’or Restaurer les zones détruites par l’orpaillage illégal Le changement climatique

L'Amazonie joue un rôle important dans le climat régional et mondial. Les forêts absorbent le CO2 et l'eau rejetée par les plantes dans l'atmosphère et dans les océans par les rivières, influence le climat mondial et la circulation des courants océaniques.

Des modèles suggèrent que d’ici 2050, les températures en Amazonie vont augmenter de 2 à 3°. Simultanément, la diminution des pluies durant les périodes sèches vont étendre la sécheresse.

 

Conséquences :

Dégradation des systèmes d'eau douce, perte de la qualité des terres (agricoles et sauvages), augmentation de l'érosion, épidémie de maladies infectieuses, etc.

 

Que fait le WWF ?

Nous mettons tout en œuvre pour obtenir une initiative REDD+ (pour ‘Reducing emissions from deforestation and forest degradation’ initiative internationale visant à lutter contre les émissions de CO2 causées par la déforestation) globale. Cette initiative devra servir à réduire drastiquement les émissions tout en bénéficiant aux populations locales qui dépendent de la forêt pour vivre. Nous travaillons à l’échelle internationale, mais nous soutenons également des projets visant à implémenter REDD+, notamment au Brésil et en Colombie. Nous les aidons à développer des politiques efficaces et des actions concrètes pour réduire les émissions causées par la déforestation et la dégradation des forêts.

jugée trop sexy en moto

Publié à 16:27 par fandeloup Tags : fille femme histoire
jugée trop sexy en moto

Un policier arrête une fille jugée trop sexy en moto Une femme roule en moto en très petite tenue...

En Russie, une femme en moto Honda CBR1000RR filme ses fesses grâce à une caméra placée sur la selle arrière. Elle porte des tenues très légères et sexy durant ses balades en moto, ce qui ne la protège absolument pas en cas de chute et ça, un policier l'a bien compris.

En effet, durant leur balade en moto, un policier motard décide de contrôler la jeune femme et le pilote qui l'accompagne...

Une histoire de papiers, mais oui bien sur.