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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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horreur

Publié à 10:58 par fandeloup Tags : monde sur
horreur

Dors petit, le monde n'est qu'une abomination cruelle ... Chacun de tes souffles n'ont été que souffrances ... Dans tes yeux, tout l'émerveillement d'un être pur qui ne comprend pas l'horreur vécue. Il n'y aura pas de lendemain pour toi allongé sur ce sol, seulement le souvenir d'un enfer intemporel.

TU AS ÉTÉ UNE VICTIME DU SPECISME !

jugements

Publié à 10:27 par fandeloup
jugements

Il y aura toujours des jugements quoi que l'on fasse... Alors ne crains pas de les affronter et de prouver que tu es en harmonie avec toi même dans ce que tu es....

loups

Publié à 10:17 par fandeloup Tags : vie
loups

Malgré les difficultés de la vie , apprend à demeurer paisible , deviens inébranlable et solide comme le chêne face au vent....

don

Publié à 10:10 par fandeloup Tags : france sur bonne chez travail place message carte
don

Don de rein : les généralistes ont une carte à jouer !

Au plus proche de l’environnement familial et psychosocial du patient, le médecin généraliste est un acteur clé pour sensibiliser les proches des patients au don de rein du vivant. C’est une question particulièrement délicate à aborder en consultation : le don de rein. En effet, inciter les proches à donner pour un patient atteint d’insuffisance rénale, cela n’a rien d’aisé. Et pour cause : les freins au don de rein sont nombreux.

Entre l’appréhension du donneur qui craint les conséquences sur sa santé, et le sentiment de culpabilité du receveur qui n’ose pas solliciter ses proches, difficile pour le généraliste de trouver le juste discours

 Et pourtant. En matière de greffe rénale, le médecin traitant joue un rôle essentiel pour aborder la situation. De fait, il est au plus proche des patients atteints d’insuffisance rénale, mais aussi de leur entourage. Cette place privilégiée, à la croisée des donneurs et des receveurs, lui confère plusieurs fonctions centrales.

Relayer l’information « C’est lui qui peut, le mieux, exposer la situation aux patients et à leur famille, discuter dans les grandes lignes de la procédure, proposer aux proches de devenir donneurs tout en les rassurant sur les conséquences. En effet, le plus dur pour nous, c’est de faire passer le message aux familles car nous ne connaissons pas l’entourage du patient comme lui. Le médecin traitant a tout un rôle à jouer en amont des services hospitaliers », explique Dr Ahmed Jeribi, néphrologue au CH d’Antibes.

En première ligne en tant que relai de l’information, le généraliste peut ainsi rappeler les messages clés : on vit en bonne santé avec un seul rein ; l’intervention est à très faible risque ; elle est réalisée après un bilan de santé exhaustif ; la greffe de rein prélevé sur un vivant constitue de très loin le meilleur traitement pour les patients atteints d’insuffisance rénale… En rassurant le donneur, le médecin généraliste déculpabilise aussi le receveur, ce qui facilitera la suite du parcours de l’un et de l’autre.

« C’est aussi lui qui connaît le mieux l’environnement médical et familial du patient, les éventuelles problématiques, la situation psychologique et sociale des donneurs et des receveurs. Ainsi, son avis peut être précieux lorsque nous menons les premières investigations sur les candidats donneurs », précise Hanen Grabsi, infirmière coordinatrice Transplantation Rénale au CHU Nice.

Un acteur de référence dans le suivi Lorsqu’une personne souhaite donner son rein à un proche, son médecin traitant en est préalablement informé. Il peut être consulté sur les antécédents du candidat donneur, livrer son point de vue. Mais le généraliste a également tout un travail à mener au long cours dans la prise en charge du donneur.

En effet, le suivi post-opératoire est d’abord mené par les médecins hospitaliers. Mais un an après l’intervention, le donneur peut choisir de se faire suivre par son médecin traitant.

« Alors, nous travaillons en étroite collaboration avec lui ; il devient un acteur fondamental de la prise en charge », explique Hanen Grabsi. En 2018, 541 personnes ont donné leur rein à un proche ; seuls 15 % des greffons rénaux ont été prélevés sur des donneurs vivants, contre plus 30 % chez nos voisins britanniques, néerlandais ou scandinaves.

« Pour changer la donne, le médecin généraliste a une vraie carte à jouer ! », conclut Ahmed Jeribi. Le don de rein en France… 

En 2018, 5 805 greffes d’organes ont été réalisées, dont 561 à partir de donneurs vivants. En France, plus de 63 000 personnes vivent grâce à un organe greffé. • Le rein est l’organe le plus greffé : 3 567 greffes de rein ont été réalisées pour des malades souffrant d’insuffisance rénale chronique terminale. • Le rein est l’organe pour lequel il y a le plus de patients en attente sur la liste nationale. Au 1er janvier 2018, 14 291 personnes étaient en attente d’un greffon rénal.

horreur

Publié à 08:51 par fandeloup Tags : centre sur vie photo coup société mort animaux air
horreur

Veaux maltraités : la nouvelle vidéo choc de L214

Un employé donne un coup de pied à un veau.

L’association L214, spécialisée dans la lutte contre la maltraitance des animaux, a mis en ligne ce mardi une nouvelle vidéo impressionnante. Cette fois, elle s’attaque à l’élevage des veaux destinés à l’abattoir et à la société Laïta. Ce n'est pas leur coup d’essai.

Après avoir dénoncé la maltraitance des poulets, des lapins, ou encore des cochons dans les élevages français, les militants de l’association L214 s’attaquent désormais à l’élevage des veaux destinés à l’abattoir.

Grâce à un lanceur d’alerte anonyme ayant travaillé comme acheteur de veaux pour cette filière, l’association diffuse ce mardi des images choquantes des conditions de vie et de mort de ces animaux. Dans cette vidéo, dont les images ont été tournées entre juillet et octobre 2019, on peut voir des veaux battus, vivants isolés dans des enclos minuscules ou parqués en groupe, pataugeant dans leurs propres excréments.

On y découvre l’intervention de vétérinaires chargés d’euthanasier les bêtes malades ou trop faibles, ainsi que les cadavres de ces animaux, rongés par les vers.

Où ont été prises ces images ?

Les images ont été tournées dans plusieurs élevages du Finistère et dans un centre de tri affiliés à Ouest Elevage, une filiale du groupe Laïta. Les marques les plus connues de cette entreprise sont Paysan Breton, Mamie Nova ou encore Régilait.

D'où viennent les veaux ?

Les bêtes proviennent de fermes laitières de toute la région bretonne. Comme les vaches doivent enfanter au moins une fois par an pour produire du lait, elles donnent régulièrement naissance à des petits, divisés en deux catégories : les femelles, qui sont réintroduites dans un cheptel pour produire à leur tour du lait, et les mâles, destinés à fournir de la viande. Arrachés à leur mère à leur naissance, les veaux transitent vers un centre de tri pour une période d'un à trois jours. Puis ils restent dans des élevages, avant d’être envoyés à l’abattoir.

Qu’est-ce qui pose problème, selon L214 ?

L’association dénonce plusieurs pratiques. Maltraitance physique. Elle reproche à l’entreprise, par l’intermédiaire de ses employés, de battre les veaux en leur assénant des coups de pied et de les traîner par certaines parties sensibles du corps, comme la queue ou les oreilles. Un employé donne un coup de pied à un veau.

Locaux inadaptés, voire inhumains. Pendant les premières semaines de leur vie, les veaux peuvent être enfermés dans de petits boxs individuels sur un sol nu sans litière. Ils sont ensuite parqués en groupe jusqu'à leur départ pour l’abattoir, à l’âge de 5 ou 6 mois. Ces conditions de détention, alternant entre isolement et promiscuité, ainsi que l’hygiène des lieux (les bêtes vivent souvent sur leurs propres défections selon l’association), favoriserait l’apparition de maladies respiratoires. Les veaux seraient alors gavés d’antibiotiques.

Autre problème selon L214 : certains de ces antibiotiques sont classés "d’importance critique pour les risques d’antibiorésistance engendrés pour la santé humaine". L’importance critique, subdivisée entre Haute priorité et Priorité majeure, est la catégorie la plus élevée décrétée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Un veau dans un box.

Selon l’association, les veaux bénéficient d’une alimentation "pauvre en fibres et en fer". Le but serait d’affaiblir les animaux pour que leur chair "reste claire et corresponde aux attentes des consommateurs".

Des euthanasies trop précoces et parfois violentes. Lors de leur sélection dans le centre de tri, les bêtes qui ne répondraient pas à certains critères physiques ou qui seraient malades seraient alors euthanasiées par un vétérinaire. Un produit létal leur est injecté au niveau de la jugulaire, entraînant une mort quasi-immédiate. Des morts injustifiées pour l’association. Un vétérinaire euthanasiant un veau.

 Le lanceur d’alerte décrit aussi des mises à mort beaucoup plus barbares. Lorsque le vétérinaire n’est pas disponible, des employés pratiqueraient des euthanasies "maison", à l’aide de coups de marteau sur le crâne ou par asphyxie, en pendant la bête à une fourche de tracteur.

Que demande l’association L214 ?

L214 demande un moratoire immédiat sur l’élevage intensif et l’interdiction de nouvelles constructions destinées à élever des animaux sans accès au plein air ; un plan concret de sortie de l’élevage intensif avec accompagnement des personnes qui en dépendent aujourd’hui vers des productions alternatives ; une végétalisation d’ampleur de l’alimentation en restauration collective publique ou privée.

À la suite de ces révélations, l’association a aussi annoncé vouloir porter plainte contre le groupe Laïta pour mauvais traitements, ainsi que sévices graves et cruauté envers des animaux. Nous n'avons pas réussi à joindre l'entreprise Laïta. L'association L214 a récemment réuni 100 000 signatures, dont celles de 200 personnalités, dans un "Appel contre l'élevage intensif"

VIDEO https://youtu.be/MbKRzdT0E2o

scarlatine

Publié à 17:04 par fandeloup Tags : bonne sur enfants coup
scarlatine

Lorsque nos enfants sont frappés d’une maladie, nous sommes désireux de trouver la bonne solution pour les ramener à la santé.

Lorsque la scarlatine frappe, caractérisée par une éruption cutanée, des démangeaisons et des douleurs, nous nous précipitons avec frénésie pour essayer d’y mettre fin. Cette frénésie est devenue plus courante depuis 2015 car il y a eu une forte augmentation des cas de scarlatine, causée par une nouvelle souche agressive.

 Heureusement, nous avons parcouru un long chemin depuis le moyen âge pré-antibiotique et avons développé des moyens d’à la fois traiter les symptômes et de guérir l’infection. Comment attrape-t-on la scarlatine? La bactérie Streptocoque commune (le même type qui provoque une pharyngite), infecte les enfants en sécrétant une toxine.

Les enfants qui sont sensibles à cette bactérie attraperons la scarlatine.  Il en résulte une éruption cutanée semblable à un coup de soleil sur le visage, le cou, le dos et la poitrine, alors que la zone autour de la bouche n’est pas affectée. Vous pouvez lire aussi Comment se débarrasser des graisses du visage en 2 jours seulement. Après six jours, la peau commence à se détacher, parallèlement à d’autres symptômes:

horreur

Publié à 16:29 par fandeloup Tags : sur société afrique monde prix animaux
horreur

Ces lionceaux sont élevés pour être tués par des touristes fortunés

 Une association de défense des animaux est montée au créneau pour dénoncer des fermes sud-africaines qui élèvent des animaux, parfois en danger, dans le seul but d’être chassés par des touristes.

Le tabloïd britannique The Sun a publié plusieurs clichés d’animaux élevés dans le seul but d’être chassés une fois adultes par des touristes.

Ces animaux sont élevés par la société Imberba Rakia, qui organise des safaris de chasse en Afrique du Sud. Sur son site, on découvre que l’on peut chasser des oryx, des zèbres, des impalas ou encore des autruches et des babouins.

Un safari de sept jours, avec cinq chasses à l’arc, coûte par exemple entre 2.550€ et 3.250€ par chasseur. Les prix varient pour le reste entre 200€ et 13.000€ alors qu’il est également possible de chasser des animaux en danger, comme des lions, des tigres et des rhinocéros.

« Imberba Rakia nourrit des tigres, des lions et d’autres félins qui sont ensuite tués par des chasseurs pour le plaisir », confie au Sun Eduardo Goncalves, qui milite dans une association se battant pour bannir les trophées de chasse.

« L’industrie des fermes de félins est en plein boom en Afrique du Sud. C’est un commerce dégoûtant qui exploite cruellement les animaux sauvages du berceau à la tombe »

. Il affirme que les mères sont (ré)inséminées le plus rapidement possible après chaque accouchement dans une optique de productivité avant d’être tuées lorsqu’elles deviennent trop âgées pour procréer. Leurs os sont alors revendus à des « dealers louches » qui les utilisent pour créer de faux médicaments.

Eduardo Goncalves souhaite que les pays du monde imposent un moratoire qui empêche les citoyens de ramener ces trophées de chasse dans leur pays.

humour

Publié à 15:34 par fandeloup

tristesse

Publié à 15:21 par fandeloup Tags : jardin mer
tristesse

Si la lune pouvait m'entendre je lui aurais raconté toutes mes belles histoires. Si la mer pouvait me comprendre je lui aurais chuchoté tous mes rêves .Si la pluie pouvait soulager mes peines, mon jardin serait arrosé de mes larmes. Si le ciel pouvait contenir tous mes espoirs, les étoiles seraient mon aquarelle.

larme

Publié à 14:14 par fandeloup
larme

Une larme ce n’est pas rien. C’est comme un doux refrain. C’est le cœur qui prend la main. On se comprend et tout est bien