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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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l'impensable est proposé à la famille

Publié à 07:42 par fandeloup
l'impensable est proposé à la famille

Nancy: En pleine inhumation, l'impensable est proposé à la famille de la défunte

Pour faire rentrer le cercueil dans le caveau familial, des solutions étranges ont été proposées…

En juillet 2015, dans la banlieue de Nancy, deux frères qui devaient inhumer leur mère se sont aperçus, pendant la cérémonie funéraire, que le cercueil ne rentrait pas dans le caveau de trois places vendu à la famille.

Le cercueil est donc resté posé sur des madriers. Selon la famille, le service des pompes funèbres leur a proposé de pencher le cercueil, d’en limer les angles ou encore de raboter les bords du caveau, rapporte l’Est Républicain.

La famille s’est alors opposée à l’inhumation expliquant qu’avant la cérémonie, le cercueil initial avait été changé car leur mère était trop forte et qu’il fallait prendre un autre modèle sauf, (ce seraient les mots employés), à « lui casser les épaules ».

Finalement, le corps a été inhumé le lendemain dans un caveau « au béton raboté », mais un litige subsiste quant au prix et au choix de la  pierre tombale … et d’un problème d’infiltration d’eau. La sépulture est toujours à nu et la famille a saisi un avocat

turquie

Publié à 08:02 par fandeloup Tags : vie homme photo carte google
turquie

Turquie : un homme est resté 47 ans à l'hôpital avant de mourir

Un septuagénaire turc, décédé vendredi dans un hôpital public de Bursa (notre photo), dans le nord ouest du pays, avait passé quarante-sept ans de sa vie dans une des chambres de l'établissement.

Un septuagénaire turc, décédé vendredi dans un hôpital public de Bursa (notre photo), dans le nord ouest du pays, avait passé quarante-sept ans de sa vie dans une des chambres de l'établissement.

Il était resté 47 ans dans une chambre d'hôpital avant de mourir. C'est ce qui est arrivé à un septuagénaire turc, décédé vendredi dans un hôpital public de Bursa, dans le nord ouest du pays.

L'homme avait passé quarante-sept ans de sa vie dans une des chambres de l'établissement «parce qu'il s'y trouvait bien», a rapporté mardi l'agence de presse Dogan.

Abdullah Kozan, qui souffrait d'asthme et de diabète, avait été admis pour la première fois dans cet hôpital en 1968 pour de simples maux de tête, alors qu'il effectuait son service militaire dans une garnison de l'ancienne capitale impériale ottomane.

Il ne l'a, depuis, jamais quitté parce qu'il n'avait «aucun autre endroit où aller et s'entendait très bien avec le personnel de l'établissement», ont confié des employés à Dogan.

A la fin de chacune de ses hospitalisations, il y était automatiquement réadmis comme un nouveau patient, ont-ils expliqué. «Il faisait partie de l'hôpital.

Nous le protégions parce qu'il avait la +carte verte+ (une carte émise par la sécurité sociale turque pour les plus démunis, ndlr). Mais nous n'avons pas pu le sauver lorsque son état s'est dégradé au deuxième jour de la fête de l'Aïd (jeudi dernier), a raconté un des salariés de l'hôpital.

L'agence Dogan a publié mardi une photo non datée de son plus ancien patient, assis sur son lit dans un pyjama gris et bordeaux, un docteur à ses côtés.

Rentrée réussie

Publié à 13:53 par fandeloup Tags : travail bonne
Rentrée réussie

Rentrée réussie pour le centre de la capacité en droit de Chalon

 Jeudi 24 septembre, l’équipe pédagogique du centre de la Capacité en Droit de CHALON SUR SAONE faisait sa rentrée, en présence de nombreux étudiants, dans les locaux du média pôle de la CCI.

Accueillis par le directeur de l’IUT de Chalon (Pascal Mauny), qui a rappelé à quel point il tenait à ce que les étudiants de la capacité en droit bénéficient des mêmes droits et du même traitement que leurs congénères de l’IUT, l’équipe pédagogique de la capacité en droit a fait sa rentrée, devant un public d’une cinquantaine de personnes.

Et parmi ces dernières, fait remarquable : pas mal d’anciens étudiants, venus dire tout le bien de la formation qu’ils ont suivi avec succès, pour le plus grand plaisir du directeur des études de ce diplôme : Denis Blondaux.

Une équipe renouvelée et féminisée

C’est par une équipe renouvelée et féminisée que les étudiants de cette formation seront encadrés cette année. En effet, si de nombreux enseignants font depuis longtemps partie de l’aventure - comme par exemple Sylvain Brossaud (droit commercial), Denis Blondaux (droit civil, droit des successions), Philippe Viellard (droit du couple), Sébastien Ragot (droit social) ou encore Joffrey Burnier (droit administratif) –, les étudiants de la première année auront un nouveau professeur de droit public : M. Samuel Bon.

Quant à ceux de deuxième année, ces derniers pourront vérifier que l’équipe pédagogique, auparavant exclusivement masculine, s’est féminisée, avec l’arrivée de Mme Pascale Dumas (procédure civile et pénale) et de Mme Catherine Bert (droit des contrats).

Renouvelée et féminisée, cette équipe s’est présentée devant les étudiants, chaque enseignant expliquant brièvement en quoi consistera la matière qu’il aura pour charge d’enseigner.

Un diplôme exigeant Fier de « son » équipe, Denis Blondaux a rappelé que celle-ci était là pour aider les étudiants à préparer un diplôme qui « n’est pas un sous-diplôme, les matières étudiées en ‘’capa’’ couvrant presque quatre années d’un cursus ‘’normal’’ d’études juridiques en faculté de droit, l’obtention de la capacité nécessitant un énorme travail de la part de ceux qui le préparent ».

Car, a-t-il tenu à souligner, « il faut travailler pour réussir cette formation ». Un point de vue partagé par Joffrey Burnier pour qui « la disponibilité des enseignants et leur accessibilité ne doit jamais faire oublier leur rigueur et leur exigence lorsqu’il s’agit de corriger les copies des étudiants, au moment des examens ».

Comprendre : si les études se passent dans une très bonne ambiance et dans de très bonnes conditions, une caractéristique relevée par les anciens étudiants présents dans l’assistance, ces dernières supposent travail , méthode et discipline de la part de deux qui les suivent. P.R. Informations pratiques Les cours débuteront cette semaine.

Il reste encore quelques places. Pour vous inscrire ou obtenir de plus amples formations, contactez Mme Pascale Sarrazin au 03.85.42.36.86 ou consultez le site de la Capacité en droit :

http://www.capacite-en-droit.net/-Chalon-sur-Saone-.html

Mon père m'a séquestrée

Mon père m'a séquestrée

Mon père m'a séquestrée pendant 14 ans: seule, dans le noir, je devais méditer sur la mort

LE PLUS. Maude Julien a vécu cloîtrée de 4 à 18 ans. Séquestrée par ses parents, elle n’a jamais eu de relation avec le monde extérieur. Son père, qui voulait faire d’elle un "sur-être", lui a donc donné un enseignement très particulier : tenir l’alcool, supporter des décharges électriques sans réagir, etc.

Quarante ans après les faits, elle a publié un livre témoignage, "Derrière la grille" (Editions Stock).

Maude Julien a écrit une livre témoignage intitulé "Derrière la grille" (Éditions Stock/Alain Schmidt)

Bien des années avant ma naissance, mon père avait mis en place un projet vertigineux dans lequel je devais tenir le rôle central. Ma mère a été sa première victime.

Elle était la dernière enfant d’une famille pauvre et n’avait que six ans quand mon père a proposé à ses parents de "prendre soin" d’elle : il lui ferait faire de belles études, elle mangerait à sa faim, ne manquerait de rien, en échange de quoi sa famille s’engageait à ne pas la revoir, ni à la reprendre.

La proposition a été acceptée et ma mère est partie vivre chez mon père. Ma mère a donc fait de belles et longues études. Le but étant que, le jour où elle mettrait au monde l’enfant de son "protecteur", cette enfant puisse éviter d’être scolarisée.

La loi permettait en effet d’éduquer un enfant à domicile à condition que l’un des parents soit diplômé du supérieur. Les années ont passé, ma mère a épousé son tuteur comme prévu.

Je suis née en 1957. Pour mon père, je devais "relever l’humanité" Mes premiers souvenirs remontent à mon arrivée dans cette maison lugubre du nord de la France.

J’avais trois ans, et tout ce que je retiens de ce moment, c’est cette sensation d’écrasement qui m’a immédiatement envahie. Je garde le souvenir de cette grille qui se ferme, de son bruit métallique, de ma main qui empoigne fermement le manteau rouge que je portais. Les sons et les images me reviennent, mais le reste est flou.

À partir de ce jour-là, il a été décidé que je suivrais un enseignement à domicile. Mon père me disait sans cesse que tout ce qu’il faisait était pour mon bien. Il voulait me former, me façonner pour que je devienne l’être exceptionnel qu’il espérait tant.

Je devais être prête pour le jour où je serais appelée à "relever l’humanité". Ma mère se chargeait de me donner des cours à l’étage. Elle s’appuyait sur les cours de l’école Universelle, un centre d’enseignement par correspondance, mais mon emploi du temps était bien plus dense.

C’était un véritable entraînement que je subissais chaque jour, sans relâche. J’ai appris à jouer de dix instruments de musique

Levée à 6 heures du matin, je suivais un programme minutieusement chronométré. Cours de latin, de musique, enseignements ésotériques, etc., je n’avais aucune respiration. J’ai compris plus tard que pour mon père, c’était le meilleur moyen de m’empêcher de réfléchir, de conserver l’emprise qu’il avait sur moi.

Même pour aller aux toilettes, je n’avais le droit qu’à quelques secondes. Dans ma tête, c’était un tic-tac incessant. Cet enseignement était un véritable méli-mélo et contrairement à ce que l’on pourrait croire, j’ai eu la sensation d’être très bête – trop de connaissances sans cohérence – quand je suis sortie de cette maison à 18 ans.

Mon père accordait une importance toute particulière à la musique. Selon lui, la maîtrise de cet art était la meilleure technique pour que je puisse survivre dans les pires circonstances. Il était en effet persuadé que nous n’en avions pas fini avec les nazis, que les camps de concentration allaient revenir.

En étant capable de jouer de plusieurs instruments de musique, je pourrais endormir la vigilance des gardiens et sauver ma peau. J’ai appris au total à jouer de dix instruments différents. Il n’y avait ni beauté ni émotion dans ce j’apprenais. Juste cette obsession de faire de moi une virtuose surhumaine.

Je n’ai jamais remis en cause l’enseignement que je recevais pour la bonne raison que mes parents prenaient toujours soin d’affirmer les choses. Nous ne discutions jamais ensemble. Avec le recul, j’ai le sentiment d’avoir été gavée d’informations toute mon enfance.

Ce n’est que bien plus tard que j’ai réalisé toutes les erreurs et approximations dont ma tête était farcie. Je n’avais par exemple aucun sens de la chronologie. J’étais capable de mettre Cléopâtre à la même époque que Voltaire.

La peur de ne pas être à la hauteur

En tant qu’enfant, je me sentais étrange, différente. Comme je ne rencontrais personne, je ne pouvais pas me comparer aux autres, ni relativiser mes échecs. Je ne cessais de me dire que j’étais nulle, incapable, que je n’étais pas à la hauteur des espérances de mon père.

"Est-ce que j’ai bien fait ? Est-ce que j’ai réalisé correctement la mission donnée par mon père ?", voilà le genre de questions que je me posais continuellement.

Je ne voulais pas décevoir mes parents, trahir leurs efforts et leurs espérances. C’était devenu une obsession. Cela ne fait aucun doute à mes yeux aujourd’hui : j’étais dans une secte, même si elle n’était composée que de trois personnes. Tenir l’alcool, découper des animaux…

Les repas de famille étaient eux aussi chronométrés. Nous avions quinze minutes, pas une seconde de plus. Après avoir mangé, je rangeais mes couverts et mon assiette dans un set de table au motif écossais, sans les laver.

Faire la vaisselle était considéré comme une perte de temps. Mon père m’interdisait de manger des aliments mous. Pour lui, il n’y avait que les faibles qui mangeaient ça.

Pour me rendre plus forte, je devais ingurgiter des tranches de pain rassis. À huit ans, mon père a commencé un entraînement pour m’apprendre à tenir l’alcool. Je devais boire du pastis, du cognac. Et ensuite être capable de marcher droit sur une ligne blanche.

Parmi les mauvais souvenirs, je garde par exemple une aversion pour certaines odeurs. Nous ne sortions pas faire de courses. Nous n’allions pas chez le boulanger, nous faisions notre pain nous mêmes. Nous n’allions pas chez le boucher, mon père faisait livrer des animaux vivants.

Un tueur venait les abattre et ma mère et moi devions les découper en morceaux pour les congeler. L’odeur de cette viande était horrible et elle est toujours imprégnée en moi. Des nuits dans la cave pour méditer sur la mort

Si je n’arrivais pas à surmonter les épreuves imposées par mon père, j’étais parfois condamnée au silence. C’était une punition très difficile à vivre, la pire de toutes. Cela pouvait durer des jours, voire des semaines. Par mépris, il lui arrivait également de me vouvoyer. Ou bien il enfermait le chien plus longtemps que son temps d’enfermement "prévu" pour exprimer son mécontentement à mon égard.

Toute mon enfance, j’ai vécu dans la peur de ne pas bien faire. Mon père m’imposait des exercices censés fortifier mon courage et ma volonté. Parfois, en plein milieu de la nuit, il me demandait d’aller tout seule faire un tour dans le parc plongé dans le noir.

Tremblante de terreur, je devais allumer des lumières au fur et à mesure de mon trajet qu’il contrôlait de sa fenêtre. Il y avait aussi ces nuits passées dans la cave. Seule, dans le noir complet, je devais méditer sur la mort. Pour mon père, c’était une façon de me familiariser avec les "esprits" qui, plus tard, allaient m’aider à réaliser ma grande mission.

Ces heures où j’étais contrainte de rester immobile dans le noir étaient une pure épouvante, non à cause des morts qui étaient censés me "traverser" mais à cause des rats que j’entendais s’agiter autour de moi. Il était interdit de se toucher Je ne pense pas que l’on puisse dire que j’avais des "relations" avec mes parents. Notamment, parce que mon père avait une règle d’or : interdiction totale de se toucher.

L’affection, je l’ai connue grâce aux animaux . Eux, je pouvais les caresser, enfouir ma tête dans la fourrure du chien, etc. Aujourd’hui encore, l’odeur du chien, celle d’Arthur, le petit cheval que j’ai aimé et qui m’a aimée, sont toujours en moi.

Ce sont de bons souvenirs. Nous n’avions quasiment aucun contact avec le monde extérieur. Mon père invitait parfois quelques personnes triées sur le volet. Rien que le son de voix différentes de celles de mes parents me mettait du baume au cœur.

Les sorties étaient rarissimes. Petite, mes parents m’emmenaient à Lille chez une prof de piano. Puis, quand j’ai eu six ou sept ans, nous avons progressivement cessé de sortir.

Les livres m’ont permis de m’évader Ma mère est peut-elle celle qui m’a fait le plus souffrir. Aujourd’hui, j’ai conscience qu’elle était sous l’emprise de mon père, mais sa hargne envers moi était terrible. J’avais souvent le sentiment qu’elle me haïssait. Quoi que je fasse je n’étais qu’une déception pour elle.

Je pense qu’elle n’avait pas pu apprendre à m’aimer, peut-être parce que mon père l’avait totalement chosifiée par rapport à moi. Il lui disait parfois :

"Toi, tu es l’écrin qui a porté le joyau" J’ai eu de vrais moments de désespérance pendant lesquels je pensais à la mort. Ce qui m’a sauvée, ce sont les animaux et les livres. Lire Dostoïevski ou les aventures d’Edmond Dantès d’Alexandre Dumas était pour moi une forme d’évasion. Il m’arrivait aussi de m’identifier à Gregor dans "Les Métamorphoses" de Kafka.

Dans notre jardin, entre deux pierres, il y avait un chardon qui poussait régulièrement. Mon père était obsédé par cette plante et me demandait sans cesse de l’arracher. Moi, elle m’émerveillait. Je voulais être comme elle. "Je suis dans ta tête" Mon père ne cessait de répéter qu’il était omniscient : "Maude, je suis dans ta tête. Ne l’oublie pas."

A force de lire, j’ai découvert qu’il existait d’autres modes de vie, et j’ai commencé à avoir des doutes. J’ai alors fait ce que j’appelle de la désobéissance muette. J’ai tenté de tester la toute-puissance de mon père, devoir s’il y avait des brèches dans le système. Par exemple, il m’arrivait de dormir à même le sol au lieu d’être dans mon lit, pour voir si mon père s’en rendait compte.

Au lieu de faire quelque chose en une minute comme il l’exigeait, j’essayais de grappiller quelques secondes. Ça n’a l’air de rien, ces mensonges microscopiques, mais avec le temps – il m’a fallu des années – j’ai commencé à réaliser qu’il n’était pas partout, qu’il ne voyait pas tout. Et un jour, un prof de musique m’a fait sortir Un jour, quand j’ai eu 17 ans, un prof de musique a compris ce qui se passait chez nous. Il a réalisé que nous étions tous sous l’emprise de ce despote à la voix de stentor.

Au lieu de lui dire frontalement les choses, il est rentré dans son jeu. Prétextant que l’enseignement de musique que je recevais à la maison n’était pas assez "dur", il a réussi à lui faire croire que si j’allais chez lui, il me soumettrait à des méthodes bien plus strictes. Il lui a fallu beaucoup de temps pour le convaincre, mais mon père a fini par céder.

J’ai donc obtenu l’autorisation d’aller travailler une fois par semaine dans le magasin qu’il tenait à Dunkerque. Petit à petit, il est arrivé à convaincre mon père de m’y envoyer tous les jours. C’est là que j’ai rencontré Richard, un grand jeune homme de 25 ans, huit ans de plus que moi. Mon père a décidé que je l’épouserais, mais il m’a fait promettre de divorcer six mois plus tard et de revenir à la maison afin d’achever mon "initiation".

J’ai promis, j’ai juré. Je lui ai désobéi. La sortie de la maison a été très difficile. Je n’avais quasiment jamais vu l’extérieur. Par exemple, je ne savais pas marcher dans la rue, je devais dessiner une partition dans ma tête pour être capable de tenir mon rythme sans me laisser emporter par celui des autres passants.

Mon père est décédé quand j’avais 22 ans. Sa mort n’a pas suffi à mettre fin à son emprise. Il m’a fallu de longues années et beaucoup de rencontres exceptionnelles pour en être complètement libérée. J’ai compris plus tard qu’il avait emprunté sa vision très noire du monde à une obédience maçonnique ésotérique dont il avait été un haut dignitaire.

Il se voyait réellement comme un "élu" chargé de "sauver" l’esprit tombé dans le cloaque de la matière. J’étais moi aussi une "élue", en fait un prolongement de lui-même, et il devait m’armer pour gagner le combat final dans cette lutte cosmique. Avec le temps, ses croyances se sont rigidifiées.

L’isolement aidant, il n’y avait plus rien qui puisse arrêter le délire. Aujourd’hui, je suis thérapeute Longtemps il m’est arrivé d’avoir des flashs, et de me retourner pour m’assurer que mon père ne se tenait pas debout derrière moi.

Dès que j’entendais une voix qui ressemblait à la sienne, des frissons parcouraient mon corps. J’aime marcher, me dire qu’il n’y aucune grille qui m’arrête. J’ai alors un sentiment de liberté totale. Pourtant, j’ai été et je suis peut-être encore la personne la plus phobique que vous rencontrerez.

Avec le temps, j’ai eu envie de comprendre le fonctionnement du cerveau humain et je me suis tournée vers des études de psychologie. Aujourd’hui, je suis thérapeute spécialisée dans les questions d’emprise.

Je reçois régulièrement des patients qui ont été victimes de sectes mais aussi d’emprise familiale. Mon témoignage est une histoire parmi d’autres. Il y a beaucoup d’autres personnes qui se retrouvent dans des situations de même nature, même si ce n’est pas tout à fait au même degré.

Je suis retournée récemment dans la maison. Aujourd’hui, elle est devenue un lieu de détention pour adolescentes. Le contexte est différent, mais quand je mets les pieds à l’intérieur, les sons sont les mêmes. Je réentends la grille qui grince en se fermant lentement.

génie

Publié à 10:58 par fandeloup Tags : france
génie

A 12 ans, il fait sa rentrée à la fac de Perpignan

Quand ceux de son âge viennent de faire leur entrée en 5ème, lui est inscrit à l’université !

Maximilian Janisch, un Suisse de 12 ans, est entré cette semaine en maths à l’université de Perpignan, devenant ainsi le plus jeune étudiant de France, raconte l'Indépendant.

Ce petit génie des maths n’en est pas à son coup d’essai : a dix ans, ce fils d’un professeur de mathématiques à la retraite et d’une doctorante en économie d’entreprise avait réussi l'épreuve de maths du baccalauréat suisse en obtenant la meilleure note du pays !

Suite à cet exploit, le jeune garçon, qui déplorait alors de ne trouver personne pour parler d'Archimède ou du mathématicien du XIXème Gauss à la récré, avait intégré une classe pour lycéens surdoués à l’université de Zurich.

Des cours de niveau licence Maximilien est inscrit en France sous la forme d’un séjour linguistique d’un semestre. Un «séjour linguistique» qui n'est qu'un prétexte administratif puisque le garçon parle déjà trois langues (allemand, anglais et français).

L’université de Perpignan a mis en place un programme spécial pour l’adolescent. Ce qui lui permettra de perfectionner en «algèbre linéaire, structures algébriques et fonctions de plusieurs variables», explique Le Figaro.

Puis il reprendra son cursus normal (voire ennuyeux pour ce jeune surdoué) dans son collège, tout en suivant des cours spéciaux de licence à l’université de Zurich. Il devrait passer son bac d’ici trois ans.

honteux

Publié à 10:08 par fandeloup Tags : chez france paris internet animal animaux chien
honteux

Vol de chien à un SDF par "Cause Animale Nord" : le sans-abri a porté plainte

Alors que la mobilisation pour venir en aide au SDF qui s'est fait voler son chien à Paris par "Cause Animale Nord" n'en finit plus d'enfler depuis 24 heures, le sans-abri a déposé une plainte au commissariat du 1er arrondissement de la capitale pour récupérer l'animal.

 

Iulian Vaduva, SDF à Paris, s'est fait volet son chiot le 19 septembre par les militants de Cause Animale Nord © DR © DR Iulian Vaduva, SDF à Paris, s'est fait volet son chiot le 19 septembre par les militants de Cause Animale Nord 14k Le SDF roumain de 59 ans dont le chiot lui a été brusquement volé dans la rue par des militants de l'association lilloise "Cause Animale Nord" le 19 septembre dernier à Paris, a déposé plainte contre "X" juste après l'agression dont il a été victime.

 

Un peu plus d'une demi-heure après le vol, il a déposé plainte pour "arrestation, enlèvement, séquestration ou détention arbitraire" au commissariat du premier arrondissement de Paris, comme en atteste le procès verbal qui circule sur les réseaux sociaux. "

 

3 personnes lui ont arraché son chien des mains" peut-on lire sur le procès verbal de la plainte déposée par le SDF © DR © DR "3 personnes lui ont arraché son chien des mains" peut-on lire sur le procès verbal de la plainte déposée par le SDF La police nationale confirme sur sa page Facebook qu'une enquête a été ouverte "Cause Animale Nord" aux abonnés absents, grande mobilisation pour le SDF Alors que le scandale a pris une tournure nationale dans la journée de jeudi avec la propagation virale de la vidéo où l'on voit le président de l'association lilloise Anthony Blanchard et deux complices saisir de force le chiot du SDF en pleine rue, plus personne ne répond chez "Cause Animale Nord".

 

Néanmoins, leur page Facebook est toujours active, avec plusieurs publications ayant pour but de justifier l'enlèvement de la chienne de deux mois, dont le président estimait qu'elle avait été droguée. Ce qui n'a a priori pas été prouvé.

 

Impossible pour la rédaction de France 3 de les joindre, nous devons jusqu'à présent nous contenter de leurs posts. En revanche, la pétition exigeant que "cet animal soit rendu à son propriétaire avec dédommagements" n'en finit plus de mobiliser.

 

Environ 158.000 personnes ce vendredi vers 17h30, dont le président de la LPA de Lille et Roubaix Grégory Malfait, qui s'est dit "profondément choqué" par l'action menée ce 19 septembre par les militants de "Cause Animale Nord".

 

Par ailleurs, des éditeurs de sites internet spécialisés sur les animaux basés à Arras ont lancé une collecte pour venir en aide au SDF et à son chien, s'il le récupère.

 

157 personnes étaient prêtes vendredi en fin d'après-midi à lui donner plus de 1800 euros.

 

Une page Facebook de soutien a également été créée, elle réunit plus de 42.000 utilisateurs du réseau social. Pour rappel, une association de protection animale ne peut saisir une bête que sur réquisition judiciaire ou le cas échéant avec l'accord du propriétaire.

ss

Publié à 19:14 par fandeloup Tags : chez enfants france travail carte
ss

Sécurité sociale : ce qui va changer en 2016

Améliorer l'accès aux soins tout en réduisant le déficit de l'Assurance maladie : tel est le défi du projet de plan de financement de la Sécurité sociale pour 2016 présenté ce jeudi par Marisol Touraine, la ministre de la Santé.

La réforme de la ministre de la Santé, Marisol Touraine, ne passe toujours pas auprès des médecins. Ils se disent décidés à engager de Beaucoup d’économies et des nouveautés, notamment en faveur des retraités.

Marisol Touraine a présenté ce jeudi midi le Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2016. Une feuille de route pour l’Assurance maladie, les Allocations familiales, les accidents du travail-maladies professionnelles et les retraites, qui sera débattue devant le Parlement à partir d’octobre.

Détail des nouveautés que contient ce projet de loi dont l’objectif premier est de trouver 3,4 milliards d’économies en améliorant l’accès et la qualité des soins, a insisté Marisol Touraine. Déficit sous les 10 milliards en 2016.

La présentation du PLFSS a débuté par une mauvaise nouvelle. En 2015 encore, le déficit de la Sécurité sociale sera abyssal : 12,8 milliards d’euros, selon les dernières projections. C’est néanmoins mieux qu’en 2014 (- 13,2 milliards).

Ce déficit est fortement impacté par l’assurance maladie dont les dépenses seront encore supérieures aux dépenses de 7,5 milliards d’euros.

En revanche, les mesures d‘économies présentées et l’amélioration de la branche vieillesse, qui sera dans le vert pour la première fois depuis 2004, doivent permettre de faire passer ce déficit sous la barre des 10 milliards d’euros l’an prochain, à -9,7 milliards, tout de même.

Pour tenir cet objectif, 3,4 milliards d’économies devront être faites, dont beaucoup ont déjà été évoquées, notamment dans le Parisien - Aujourd’hui en France (notre édition du 21 septembre).

Et des nouveautés ou concrétisations d’annonces font leur apparition. Meilleur accès aux soins et prévention de l’obésité. Petite révolution cachée dans ce PLFSS : en 2016 doit être créé le principe de «protection maladie universelle».

Si tout Français a théoriquement accès à l’Assurance maladie, dans les faits un déménagement, changement de profession... rend souvent compliqué l’application de ce principe ancien. Dorénavant, après simplification du système, le simple fait de résider en France ouvrira le droit à une prise en charge automatique.

Autre sujet visant à améliorer l’accès aux soins : pour réduire le délais d’attente chez l’ophtalmo (jusqu’à 10 mois dans certaines régions), le ministère de la Santé a décidé de participer au financement de la modernisation des cabinets d’ophtalmologie afin de faciliter et d’accélérer la collaboration des orthoptistes.

L’accès anonymisé des mineures à la contraception sera, lui, amélioré grâce à la prise en charge à 100% de la consultation médicale. Plus de trace de la visite au médecin sur les relevés de carte Vitale des parents.

Enfin, un plan de prise en charge des enfants à risque d’obésité va être lancé, avec prise en charge à 100% des consultations psychologiques et diététiques des enfants à risque. Aide aux parents isolés, et aux retraités.

Coté Caisse d’allocations familiales, le PLFSS crée une garantie contre les impayés de pension alimentaire (GIPA). Expérimentée dans 20 départements, cette garantie va être étendue à l’ensemble du pays et permettre à chaque parent isolé dont la pension alimentaire n’est pas versée par l'ex-conjoint, de percevoir rapidement un minimum de 100€ par mois et par enfant.

Somme que la CAF devra récupérer auprès du parent débiteur. Concernant l’accès à une complémentaire santé, l’ANI, accord nationale interprofessionnel, impose aux employeurs, dès janvier 2016, de proposer en la co-finançant une complémentaire santé.

Mais des interrogations subsistaient sur certaines catégories de Français. Le PLFSS s’attaquera en 2016 aux précaires et retraités dont la facture complémentaire s’envole dès qu’ils ne sont plus actifs.

Pour les CDD, les employeurs devront verser une aide à la complémentaire santé au prorata du temps passé dans l’entreprise. Pour les retraités, dont la facture s’envole en moyenne de 150% dès qu’ils quittent leur dernier employeur, il est prévu de plafonner les hausses de cotisations, avec un étalement de la hausse sur trois à cinq ans. De plus, le ministère lancera un appel d’offres pour labelliser des complémentaires à bon rapport qualité-prix pour les retraités.

défense des droits de l’homme

Publié à 17:45 par fandeloup Tags : photo sorcellerie vie monde travail mort femmes voiture internet
défense des droits de l’homme

Arabie saoudite : défense des droits de l’homme le lundi, décapitation le jeudi

Le roi saoudien Salman et le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, en février à Riyadh.

  Lundi 21 septembre, la nomination de l’Arabie saoudite à la tête d’un groupe consultatif qui propose des experts pour le Conseil des droits de l’homme des Nations unies est rendue publique ; jeudi 24, elle devrait décapiter, puis crucifier Ali Mohammed Al-Nimr, un opposant chiite de 21 ans, dont le corps, monté sur une croix, sera exposé publiquement jusqu’au pourrissement de ses chairs.

La nomination du royaume wahhabite au sein de ce groupe – qui n’est pas la présidence du Conseil des droits de l’homme contrairement à ce qui a pu être écrit ici ou là – n’a pas manqué de placer les Nations unies sous le feu des critiques tant l’Arabie saoudite ne brille pas – c’est peu dire – par son exemplarité en matière de droits de l’homme.

L’un des plus grands exécuteurs de la planète Depuis le début de l’année, le royaume a déjà exécuté 134 condamnés, soit 44 de plus que l’an dernier.

Entre janvier 1985 et juin 2015, au moins 2 208 personnes ont été victimes de la peine de mort, parmi lesquelles plus d’un millier d’étrangers, des mineurs et des handicapés mentaux.

134 PERSONNES ONT ÉTÉ EXÉCUTÉES DEPUIS LE DÉBUT DE L’ANNÉE, SOIT 44 DE PLUS QUE L’AN DERNIER

En mars 2015, Amnesty International s’était inquiétée du nombre de décapitations pour des affaires de stupéfiants – la moitié des exécutions.

Riyad affirme appliquer la peine capitale pour les crimes graves, sur la base de la charia, la loi islamique : meurtre, viol, trafic de drogue, vol à main armée, enlèvement, mais aussi apostasie (refus de la religion), adultère et « sorcellerie».

 Peine de mort : combien d'exécutions dans le monde en 2014 ?

Des blogueurs fouettés

Dix ans de prison, dix ans d’interdiction de sortie du territoire et mille coups de fouet pour « insulte à l’islam » : le blogueur Raïf Badaoui a payé cher ses appels à réformer le royaume.

Farouche défenseur de la liberté d’expression, il avait demandé sur son site internet la fin de l’influence religieuse dans les décisions du gouvernement.

DIX ANS DE PRISON, DIX ANS D’INTERDICTION DU TERRITOIRE ET 1 000 COUPS DE FOUET POUR AVOIR APPELÉ À RÉFORMER LE ROYAUME

Mais en Arabie saoudite, toute critique contre la famille royale, les institutions religieuses et l’islam est passible de poursuites. Sous couvert de lutte contre la cybercriminalité, de nombreux militants ont été condamnés et leurs comptes ont été fermés. Lire : Un blogueur saoudien fouetté en public pour « insulte à l’islam »

Des femmes mineures à vie Pas à une contradiction près, le royaume a ratifié en septembre 2000 la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, sans être tenue de respecter toute disposition contraire à la loi islamique. On a peine, au final, à voir laquelle elle respecte, même si on peut constater une – très – lente évolution sur ce sujet.

DEPUIS 2015, LES FEMMES ONT LE DROIT DE VOTER, MAIS TOUJOURS PAS DE CONDUIRE

Si les femmes ont ainsi acquis en 2015 le droit de voter et d’être éligibles aux élections municipales, elles restent traitées en éternelles mineures : citons l’obligation du recours à l’autorisation d’un tuteur masculin pour voyager, se marier, accéder à des études supérieures, etc. Elles ne peuvent en outre toujours pas conduire une voiture. Des migrants frappés et expulsés…

Passages à tabac, conditions de détention déplorables : la campagne d’expulsion de centaines de milliers de travailleurs migrants « sans papiers » menée depuis 2013 a entraîné un grand nombre d’abus, selon un rapport de l’ONG Human Rights Watch.

« Un grand nombre d’entre eux sont retournés dans leurs pays démunis, incapables d’acheter de la nourriture ou de payer pour le transport vers leurs régions d’origine, dans certains cas parce que des fonctionnaires saoudiens ont arbitrairement confisqué leurs biens personnels. » « De nombreux migrants ont été renvoyés vers des lieux où leur sécurité est menacée », note l’ONG, à l’image des Somaliens renvoyés à Mogadiscio.

EN MOINS D’UN AN, 36 000 SOMALIENS, 163 000 ETHIOPIENS ET 613 000 YÉMÉNITES EXPULSÉS

En moins d’un an, l’Arabie saoudite a expulsé 36 000 Somaliens, 163 000 Ethiopiens et 613 000 Yéménites, selon l’Organisation internationale des migrations. Ceux qui sont en « règle » le sont en vertu de la Kafala, un système qui oblige les migrants à travailler sous l’égide d’un parrain, en général leur employeur.

Ce système empêche les employés de changer librement de patron, même quand les conditions de travail sont devenues inacceptables pour eux, mais aussi de quitter le pays – leur passeport leur étant souvent « confisqué » à leur arrivée pour n’être rendu qu’au terme de leur période de travail.

En 2014, 90 organisations non gouvernementales avaient appelé les pays du Golfe à réformer ce système.

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Publié à 15:17 par fandeloup Tags : argent afrique
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De la cocaïne dans des sacs de riz d'un programme alimentaire de l'ONU

Quelque 920 sacs de riz imprégné de cocaïne ont été interceptés le week-end dernier dans le port de Rosario, en Argentine Quelque 920 sacs de riz imprégné de cocaïne ont été interceptés le week-end dernier dans le port de Rosario, en Argentine

Pour passer de la cocaïne d'Amérique du Sud en Afrique, des trafiquants argentins et colombiens ont trouvé une nouvelle méthode : imprégner de drogue du riz destiné à un programme de l'ONU de lutte contre la faim.

Le chargement -920 sacs- a été intercepté le week-end dernier dans le port de Rosario, en Argentine, a annoncé mercredi le directeur général des douanes du pays, Guillermo Michel, jugeant le procédé «sophistiqué et innovant».

Un coup d'essai

D'après les enquêteurs, les trafiquants comptaient d'abord envoyer la marchandise au Brésil, première étape d'un long périple avec l'Europe comme destination finale.

Il y avait au plus 30 kg de cocaïne. «C'était certainement un essai, et si cela avait fonctionné, ils auraient continué avec des quantités plus importantes», a estimé le fonctionnaire argentin. Sept Colombiens soupçonnés de liens avec le cartel del Norte del Valle, quatre Argentins et un Guatémaltèque ont été arrêtés lors du coup de filet de la police argentine.

L'Argentine est essentiellement un pays de transit et de blanchiment de l'argent de la drogue, provenant des régions andines et destinée au marché européen.

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Publié à 10:57 par fandeloup Tags : monde homme chez fond animaux chien chevaux chiens
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Un retraité de 80 ans construit un petit train pour emmener en balade les chiens abandonnés

Eugène Bostick peut avoir officiellement pris sa retraite il ya 15 ans, il mène aujourd'hui un tout autre combat.

Sa nouvelle carrière : conducteur de train pour chiens errants secourus.

Le natif de Forth Worth, au Texas, n'avait pas franchement prévu de dédier ses plus belles années à aider les animaux dans le besoin. Mais la cruauté des autres en aura décidé autrement.

L'homme, qui vit avec son frère au fond d'une voie sans issue, dispose d'une grange avec des chevaux.

L'endroit idéal pour abandonner son chien me direz-vous. Car oui, de temps en temps, Eugène récupère les chiens laissés ici par leur "maître". Alors il les nourrit, et les emmene chez le vétérinaire pour les stériliser ou les castrer.

Les chevaux ont alors fait un peu de place, pour les chiens. Sauf qu'à 80 ans, l'homme ne peut se permettre de promener tout le monde.

Comment lui en vouloir ?

Mais qu'à cela ne tienne. Bien que les chiens aient beaucoup d'espace pour courir et jouer dans la ferme, Eugène, bricoleur et ancien soudeur, a tout bonnement construit un petit train fait de barils en plastique pour emmener ses chiens en balade. Voil