aimer amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne chat
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Le pharaonique projet de rénovation de la tour Montparnasse Quartier Montparnasse (XVe).
Voici à quoi pourrait ressembler le quartier de la Tour Montparnasse à l’horizon 2024 (agence Duthilleul/Arep.)
Gommée la façade noire, qui se voilera d’une verrière claire et luminescente sur ses 210 m de hauteur. Oubliée l’impression de descendre vers les bas-fonds de Paris en pénétrant dans le centre commercial. Demain, c’est-à-dire à l’horizon 2025 — les initiateurs du projet rêvent même de 2024, pile à temps pour des Jeux olympiques parisiens — c’est tout le quartier de la tour et de la gare Montparnasse qui devrait changer de décor et d’atmosphère.
C’est en tout cas l’ambition du bien nommé « Demain Montparnasse », un projet travaillé depuis plus de 3 ans entre les 280 copropriétaires de l’Ensemble Immobilier Tour Maine-Montparnasse (EITMM) et ses partenaires publics, dont la mairie de Paris.
Visiblement le « travail de conviction » revendiqué par Patrick Abisseror, président de Demain Montparnasse et patron du très touristique Montparnasse 56 à la vue panoramique, commence à porter ses fruits.
Lundi dernier, les copropriétaires ont validé le principe d’une nouvelle gouvernance, qui permettra de développer le projet « courant 2016 », précise le porte-parole.
Ambitieux dans la forme, inévitablement vorace côté investissement, il est estimé entre 550 et 750 M€, portés par les copropriétaires. Si l’on n’est pas encore aux concours d’architecture et encore moins aux premières pierres, l’esquisse d’ensemble s’est affinée au fil des quelque 200 réunions menées depuis le début de l’année pour y rallier les copropriétaires.
La tour : ce sera le premier grand chantier, pour transformer la sombre et monolithique arête en phare transparent. « Ce sera l’acte fondateur du projet d’ensemble », prédit l’architecte coordonnateur de Demain Montparnasse.
Son ambition ?
« Repenser le rapport de la tour avec le ciel, et que les Parisiens rêvent en la regardant ! » Un rêve à environ 150 M€, dont le concours d’architecture devrait être lancé dès 2016, pour une rénovation « avant 2020 ».
Reste aussi à choisir entre les trois scénarios de ce relooking : sur une tour entièrement fermée, à moitié ou par quarts, alternativement vidés de leurs salariés durant 3 ans. « Rien n’est décidé, cela dépendra aussi de l’ampleur globale du projet sur lequel s’accorderont les copropriétaires, même si une fermeture totale semblerait plus avantageuse », admet Gilles Vuillemard, représentant des copropriétaires.
Le centre commercial :
l’objectif est de l’agrandir et de l’aérer. L’esplanade actuelle donnerait un troisième étage et jusqu’à 10 000 m2 supplémentaires aux galeries, et pourrait accueillir deux hôtels. Dégagé de ses sombres arcades de ceinture, le centre deviendrait une rue piétonne, entre la gare Montparnasse et le haut de la RUE DE RENNES. Au-delà de ces deux pôles, la grande rénovation concernera tous les bâtiments de l’EITMM, y compris le CIT, (Centre international du textile).
Le tout inscrirait dans la requalification beaucoup plus large de tout le secteur Montparnasse. La maire de Paris voudrait y voir un futur « Time Squareparisien », on saura en 2017 si les copropriétaires sont prêts à le financer à la mesure de l’ambition, après une première rénovation de façade et 250 M€ investis dans le désamiantage de la tour. Visiteurs et commerçants attendent « la lumière »
AU PIED DE LA TOUR, dans les galeries du centre commercial voisin, sous les arcadesde la rue de l’Arrivée et de la rue du Départ, visiteurs et travailleurs sont unanimes : c’est « trois fois oui » à la rénovation. « Depuis TANT d’années que je viens ici plusieurs fois par an, rien n’a bougé, je retrouve toujours les mêmes choses aux mêmes endroits, alors c’est certes familier, mais c’est vieillot, ça manque de modernité ! » sourit par exemple Hélène, cliente du centre commercial.
« Il serait temps de secouer le cocotier », estime-t-elle en rêvant d’un endroit « plus lumineux ». Tous espèrent la venue de nouvelles enseignes De la lumière, les commerçants en espèrent de l’ambitieux projet. « Pour que le lieu soit attractif, il faut qu’il soit lumineux », s’accordent la plupart d’entre eux
« On attend de savoir vraiment ce qui se fera, ce n’est pas assez concret, mais si le projet est bien d’ouvrir le centre sur l’extérieur et d’ajouter un étage, cela fera venir de nouvelles enseignes et ça redynamisera l’ensemble », suggèrent les commerçants. Quant à la tour, « elle fait partie du paysage, c’est un repère », reconnaisent-ils, favorables autant que la plupart des visiteurs à « son habillage lumineux forcément plus joli, surtout si l’on y met du verre ! »
Une fourmilière de 8 000 salariés 1 000 000 le nombre de visiteurs par an, faisant de la tour de 210 m le 14e monument parisien le plus visité. 300 000 m2 la surface de l’ensemble immobilier de la tour Maine-Montparnasse dont 103 000 m2 de bureaux. 30 000 m2 de commerces et autant de parkings (1 850 places de stationnement). 8 000 personnes y travaillent chaque jour, dont 5 000 dans les 53 étages de bureaux de la seule tour, qui en comte 59 en incluant le toit terrasse, et le RESTAURANT PANORAMIQUE du 56e.
280 copropriétés dans la tour, ce qui en fait une des plus importantes du tertiaire privé d’Europe, occupées par 450 sociétés et une cinquante dans le centre commercial.
Un pompier au grand ♥ qui apporte son aide à un cochon victime d' un accident de la route sur le chemin de l' abattoir . Pouvez-vous imaginer un monde dans lequel les victimes d'un accident sont secourues , pour pouvoir être ensuite tuées et mangées ? . Ca n' a aucun sens n' est-ce pas ?. Si votre réflexe aurait été à vous aussi de sauver ce bébé : vous croyez déjà au véganisme .
Corny-sur-Moselle : Un casque et un crâne de soldat retrouvés 70 ans après
Un promeneur a fait cette découverte exceptionnelle dimanche : il pourrait s'agir d'un soldat allemand de la Seconde Guerre mondiale.
" Je cherchais des champignons, dimanche après-midi, sur un secteur que je connais bien puisque j’y suis chasseur. Au pied d’un ravin dans le bois communal de Corny-sur-Moselle, mon regard a été attiré par un petit bout de ferraille d’une dizaine de centimètres. Comme je suis collectionneur d’objets militaires depuis 40 ans et président de l’amicale du Fort Driant, ça m’a tout de suite interpellé. J’ai immédiatement pensé avoir trouvé un beau vestige pour le musée de notre association, raconte Jacques Noel . Je suis retourné à ma voitute pour y chercher une pelle. Et là, j’ai exhumé un casque avec le propriétaire en dessous, à savoir le crâne et la mâchoire. J’ai continué jusqu’à trouver quelques vertèbres et une clavicule. J’ai déjà trouvé des casques américains mais c’est la première fois que je tombe sur des ossements. »
Conscient d’avoir fait une découverte extraordinaire, Jacques Noel l’enfouit dans la terre et marque l’arbre pour le retrouver facilement. Il prévient immédiatement la brigade de gendarmerie locale d’Ars-sur-Moselle. « Le reste est sous une énorme racine d’arbre. Même si c’était un Allemand, c’était un combattant. Il mérite de sortir de cette sépulture où il est depuis plus de 70 ans et de trouver un ossuaire. » L’homme, passionné d’histoire, poursuit :
« Je pense qu’à 95 % c’est un soldat de la 17e Götz Von Berlinchingen, qui était une division SS.
Le 7 septembre 1944, ils étaient positionnés en repos sur les hauteurs de Corny. Les Américains lançaient une tête de pont à Dornot pour traverser la Moselle.
La division SS est intervenue et a causé de grosses pertes aux Américains dans le bois du Fer à cheval notamment. » « Émouvant de le trouver ainsi » Et de renchérir :
« Il se pourrait aussi que ce soit un soldat de la Wehrmacht venu, après octobre 1944, entre les forts d’intervalle. Sa plaque d’identité et sa boucle de ceinturon devraient permettre de le savoir. À condition qu’il ait encore sa plaque et qu’elle soit bien conservée. Parfois, les soldats inscrivaient leur nom dans leur casque. C’était vraiment émouvant de le trouver ainsi, dans sa position de combat. Les soldats creusaient des trous pour se protéger des éclats d’obus. J’aimerais vraiment être là quand il sera exhumé. »
Lundi, les services de déminage de la préfecture de la Moselle se sont rendus sur place pour prendre en charge une grenade offensive qui se trouvait juste à côté de la dépouille.
Un technicien de la Cellule d’identification criminelle (CIC) de la compagnie de gendarmerie de Metz s’est rendu sur place pour examiner le crâne. Selon un premier examen de la mâchoire, il pourrait s’agir d’un jeune soldat âgé de 19-20 ans Une enquête pour déterminer les causes de la mort a été ouverte au parquet de Metz.
Si le squelette peut être identifié et qu’il s’agit bien d’un soldat allemand de la Seconde Guerre mondiale, ses ossements seront remis par l’Office national des anciens combattants à la fondation Volksbund Deutsche Kriegsgräberfürsorge (VDK).
Sinon, les ossements pourraient être confiés à l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) pour une datation au carbone 14. Si le crâne et le casque sont désormais abrités à la BT d’Ars-sur-Moselle, le reste des ossements devraient être récupérés prochainement. Un arrêté a été pris pour sécuriser le périmètre
« Apparemment, le corps de ce soldat est enchevêtré dans des racines, explique Denis Blouet, le maire de Corny-sur-Moselle, joint par téléphone. Un périmètre de sécurité a été dressé pour protéger le site où il va falloir organiser des recherches plus scientifiques. Un arrêté va être pris pour que des fouilles soient interdites au grand public et autoriser seulement aux personnes habilitées. Il devrait être applicable dès demain jeudi.
Je ne veux pas que des fouilles sauvages soient mises en place. Il faut respecter ce soldat pour le sortir dignement et respectueusement de sa sépulture guerrière. J’ai demandé aux gendarmes d’effectuer des rondes régulières. » D.-A.D.
Un Montréalais condamné pour avoir dépecé un chat errant afin de satisfaire sa faim
Jean-Benoît Richer avait consommé de la drogue pendant trois jours lorsqu’il a dépecé un chat de ruelle pour satisfaire une faim qu’il était incapable de combler.
Un Montréalais s’en est sorti avec des travaux communautaires pour avoir dépecé un chat errant dans une ruelle, pour satisfaire une faim «que même la nourriture ne pouvait pas combler».
Jean-Benoît Richer, 21 ans, était dans un intense trip de speed lorsqu’il a commis son crime en juin 2014. Il en avait consommé pendant trois jours, et n’avait ni dormi ni mangé pendant 48 heures.
«Il a alors eu une sensation de faim que même la nourriture ne pouvait pas combler», a expliqué Me Audrey Amzallag de la défense. Il est allé dans une ruelle, il a trouvé un chat errant et l’a dépecé, pour ensuite retourner chez lui avec les pattes (de l’animal).»
Sauf que les personnes chez qui Richer habitait n’étaient pas enclines à le laisser cuisiner le félin. Horrifiés par cette prise, ils ont vite appelé le 911.
«Ça n’a pas de bon sens, s’est exclamée la juge Marie-Josée Di Lallo en condamnant l’accusé il y a quelques jours au palais de justice de Montréal. Ils ont bien fait d’appeler les policiers, car ce que vous avez fait est inacceptable. »
Santé mentale Richer, qui avait plaidé coupable pour cruauté animale, n’ira toutefois pas en prison pour son geste. Et ce, même s’il ne semble pas regretter son crime.
«Mais il regrette d’avoir perdu ses amis , a précisé Me Amzallag à la cour. On voit son état d’esprit, où il n’a même pas ciblé le sérieux du geste qu’il a fait. »
Outre les 100 heures de travaux communautaires qu’il devra effectuer dans l’année, Richer devra suivre des thérapies et respecter une probation de 30 mois, entre autres. Il lui sera aussi interdit de se trouver seul en présence d’animaux domestiques.
Au Pérou, la naissance d'un enfant a ému tout le monde et bouleverse aujourd'hui la planète web.
Il s'agit du petit "Angelito" ("Petit Ange"), comme il a été surnommé par ses parents. La particularité de ce nouveau-né : il n'a pas de nez mais plutôt deux sortes de petites trompes.
Cette anomalie est due à une Trisomie 13, communément appelée "Syndrome de Patau".
Sa mère, âgée de 20 ans, explique que les médecins vont l'opérer afin de lui greffer un nez.
"Il n'a aucune difficulté respiratoire, mais nous avons de lui faire de la chirurgie esthétique" a expliqué Carlos Arrestegui Ramos, le chef de la maternité en question, relayé par The Daily Mail.
Ca recommence ! Des clowns armés terrorisent des collégiens dans le Pas-de-Calais
Il tirait avec un pistolet à billes sur les élèves de l'école primaire en bas de chez lui
L’été joue les prolongations dans le Nord Une association de défense des animaux arrache un chien à un SDF : la vidéo qui indigne Trois collégiennes de Boulogne-sur-Mer ont été poursuivies mardi par une bande de clowns armés, provoquant la panique chez les jeunes filles rapporte La Voix du Nord. Une affaire qui rappelle les attaques de clowns qui avaient intrigué la France l'an dernier.
À la sortie du collège, mardi après-midi à Boulogne-sur-Mer, trois filles de onze ans ont été attaquées et terrorisées par trois clowns, raconte La Voix du Nord.
Armés de couteaux de cuisine, selon les déclarations des collégiennes, les agresseurs déguisés, âgés de 18 à 22 ans, ont poursuivi les jeunes filles en les insultant et en les menaçant. Interrogé par le quotidien, le père d'une des victimes explique que "sa fille est choquée et terrorisée à l'idée de repasser par ce chemin pour aller à l'école".
Preuve de l'émotion provoquée : deux plaintes ont été déposées au commissariat de Boulogne afin de stopper ces agissements. Contactés par La Voix du Nord, via leur page Facebook "Les clown (sic) de Boulogne-Sur-Mer", affirment qu'ils voulaient "faire comme aux Etats-Unis" et se défendent d'avoir voulu semer la panique.
"On voulait juste faire des blagues", expliquent-ils.
"On voulait faire peur aux enfants et ensuite aller les voir pour leur dire que ce n'était pas vrai."
Depuis vendredi dernier pourtant, des messages sont postés chaque jour appelant les clowns à faire peur autour des collèges et lycées. L'automne, saison des clowns Cette affaire rappelle la frénésie d'attaques de clowns qui avait frappé la France l'année dernière, à la même période.
En Nord-Pas-de-Calais déjà, un homme avait été condamné à six mois de prison avec sursis pour avoir fait peur à un enfant de six ans. Dans le Haut-Rhin et l'Hérault, des attaques similaires avaient également été recensées. À quelques semaines d'Halloween, les clowns vont de nouveau être très surveillés.
Sécurité routière : coup d'accélérateur sur les radars
Selon nos informations, le Premier ministre, confronté à la hausse des accidents, va notamment annoncer aujourd'hui la mise en place de plusieurs centaines de cabines supplémentaires.
Rien de tel que la peur du gendarme ou de se faire flasher pour inciter les Français à lever le pied au volant. Afin de lutter plus efficacement contre la vitesse excessive, le Premier ministre, Manuel Valls, annoncera ce matin lors d'un comité interministériel à la sécurité routière une refonte complète du plan radars.
Sous la pression des associations qui n'ont de cesse de fustiger l'absence de mesures fortes depuis plusieurs années, le gouvernement va multiplier de « manière substantielle » le nombre de zones sécurisées par des cabines fixes ou des appareils mobiles embarqués. Selon nos informations, plusieurs centaines de radars supplémentaires devraient progressivement être INSTALLÉS dans l'Hexagone alors que le compteur était bloqué à 4 200.
Depuis l'inauguration, le 27 octobre 2003, du premier radar de vitesse FIXE à La Ville-du-Bois (Essonne) sur la N 20, le nombre de morts sur les routes a pratiquement été réduit de moitié en France, passant de plus de 6 000 à 3 388 l'an dernier.
Mais les mauvais chiffres 2014 (+ 3,4 % de morts) et la hausse de 4,6 % du nombre de tués depuis huit mois ont convaincu le gouvernement que les radars méritaient une cure de jouvence. Les plus vieilles cabines fixes seront donc toutes remplacées.
Depuis deux ans, 260 véhicules de police banalisés sont par ailleurs équipés de radars mobiles de nouvelle génération utilisant un flash infrarouge invisible.
Bientôt des machines multifonctions, plus intelligentes
Constatant une « sous-utilisation » de ces machines embarquées, le gouvernement souhaite que les forces de l'ordre y aient davantage recours.
Les cabines fixes ont, en effet, montré leurs limites. Si la sécurité routière affirme que le nombre de morts a été réduit de 66 % à proximité des radars depuis leur installation, une étude de l'Insee, datant de novembre 2013, relativise leur impact sur la durée.
D'après les chercheurs, les cabines fixes ont « un effet important après leur installation mais réduit à long terme ». « Localement, les gens finissent par s'habituer à la présence des radars fixes dont ils connaissent l'emplacement par coeur et beaucoup ont tendance à freiner juste avant la cabine et à réaccélérer juste après », constate un expert de la sécurité routière.
Dans le cadre de ce plan de modernisation, il faut aussi s'attendre à l'arrivée prochaine de nouveaux radars multifonctions, plus intelligents, capables, par exemple, de détecter à la fois un excès de vitesse et un comportement dangereux (franchissement de ligne blanche, dépassement par la droite...).
Des radars leurres pourraient aussi faire leur apparition le long de nos routes.
La mission de ces fausses cabines comme il en existe en Belgique et en Grande-Bretagne : faire ralentir par réflexe, mais sans contravention à la clé.
Le déploiement de ces machines se fera à l'échelle départementale, sur la base d'une analyse précise de l'accidentologie locale par les préfets. Alors que plus de 20 millions de véhicules ont été flashés l'an dernier, le gouvernement martèle qu'il ne souhaite pas « faire du chiffre » mais « cibler les comportements dangereux ».
Reconnaissant que les accidents sont multifactoriels, la sécurité routière estime toutefois que les radars ont permis, depuis leur installation, de sauver plus de 30 000 vies. A chacun sa mesure Si la lutte contre les excès de vitesse (plusieurs centaines de nouveaux radars à la clé) figurera ce matin en priorité dans son discours, le Premier ministre annoncera pas moins de vingt-deux nouvelles mesures visant différents publics.
Casque obligatoire pour les enfants à vélo
L'an dernier, 458 enfants de moins de 15 ans ont été accidentés à vélo, dont seize ont perdu la vie. Le gouvernement souhaite donc rendre obligatoire le port d'un casque pour les enfants âgés de moins de 12 ans. Parmi les blessures sévères, 19 % concernent la tête chez les moins de 10 ans. Or, d'après le Conseil national de la sécurité routière (CNSR), le port du casque réduit de 70 % le risque de blessure à la tête.
Dans un avis rendu au gouvernement en décembre dernier, les experts du CNSR recommandaient d'ailleurs de promouvoir son usage lors de campagnes de prévention.
Gants obligatoires pour les deux-roues
« En situation de chute ou d'accident, les mains sont mises en grand danger car, dans un geste réflexe, elles sont au premier plan pour amortir le choc et peuvent donc subir l'abrasion du bitume pendant toute la durée de la glissade », souligne la Sécurité routière. Traumatismes, amputations, paralysies, coupures, fractures, contusions... la liste des séquelles fait froid dans le dos.
Le gouvernement a donc décidé de rendre cet accessoire obligatoire. Permis à points virtuels pour les étrangers Plus de 3 millions d'infractions sont commises chaque année par des conducteurs étrangers de passage sur les routes hexagonales, soit 13 % du total des infractions.
Parce que ces conducteurs échappent aujourd'hui au retrait de points, le gouvernement souhaite créer une sorte de permis à points virtuel. Un conducteur étranger qui aurait épuisé ses douze points à force d'avoir été flashé en France n'aurait plus le droit de conduire sur le territoire.
Sanction renforcée pour les véhicules de fonction
Lorsqu'une infraction est commise avec un véhicule d'entreprise ou d'administration, elle se solde par une amende mais rarement par un retrait de points pour le salarié flashé au volant de son véhicule de fonction.
Il n'y aura désormais plus d'échappatoire, le gouvernement prévoyant une amende renforcée pour les entreprises ou services administratifs qui refuseraient de désigner le conducteur fautif.
Davantage d'éthylotests antidémarrage pour les récidivistes
Les experts du CNSR le réclamaient depuis des années : le gouvernement compte développer l'usage d'éthylotests antidémarrage (EAD) dans les voitures dont les conducteurs ont été condamnés à plusieurs reprises pour avoir conduit sous l'emprise de l'alcool.
A l'heure actuelle, trente-sept départements seulement disposent d'installateurs d'EAD agréés. Les préfets auront la possibilité de conditionner la restitution de son permis à un conducteur multirécidiviste à la pose obligatoire d'un éthylotest dans son véhicule.
Les Employés Municipaux se Trompent et Plantent du Cannabis au lieu de la Pelouse
C'est un fail à peine croyable et pourtant vrai qui est en train de faire le tour du monde via les réseaux sociaux...
Et c'est dans la ville de Krasnoïarsk en Russie que l'impensable s'est produit : Les employés municipaux ont confondu les sacs contenant les graines de gazon avec du Cannabis...
Le résultat est édifiant au pied des HLM !! A quand la même chose en France?
Finlande : l'infirmier avait violé 27 vieillards
Un infirmier de 24 ans a été condamné ce mercredi à neuf ans de prison pour le viol de 27 patients âgés, dont une personne centenaire, a indiqué l'agence de presse finlandaise STT.
Les victimes, résidant dans une maison de retraite médicalisée dont la localisation a été gardée secrète, avaient de 74 à 100 ans.
Jugé par le tribunal de la région de Pirkanmaa (sud-ouest), l'homme risquait 12 ans de prison, mais sa peine a été moins longue car il a entièrement collaboré à l'enquête sur des faits «qui ont eu lieu sans témoin et que les victimes n'étaient pas en mesure de dénoncer du fait de leur état de santé».
Ces victimes souffraient toutes de sénilité et certaines étaient handicapées. Le prévenu avait réclamé la clémence, avec un suivi judiciaire et des travaux d'intérêt général.
Mais considérant qu'il avait agi «de manière systématique», le tribunal l'a envoyé en prison et l'a par ailleurs condamné à indemniser ses victimes pour un total de 18 000 €. Pour protéger l'identité de ces dernières, le tribunal n'a pas indiqué où avaient eu lieu les viols.
Marseille : un entraîneur de foot mis en examen pour des agressions sexuelles sur mineurs
Un entraîneur de football, qui encadrait des jeunes de l'association sportive de Gignac-la-Nerthe (Bouches-du-Rhône), près de Marseille, a été mis en examen ce mercredi pour des agressions sexuelles sur des mineurs de moins de 15 ans, des faits qui auraient fait au moins 4 victimes.
Une information judiciaire pour corruption de mineurs de 15 ans et agressions sexuelles de mineurs de 15 ans a été ouverte mercredi. L'entraîneur, âgé de 54 ans, a été mis en examen et laissé libre sous contrôle judiciaire.
Le quinquagénaire, qui «reconnaît en partie les faits» qui lui sont reprochés, n'a pas d'antécédent judiciaire. «Pour l'instant, il y aurait quatre victimes, mais on ne sait pas s'il y en a d'autres qui vont se manifester», a poursuivi le parquet.
L'affaire a démarré avec une plainte déposée par une des victimes présumées il y a quelques jours. L’enfant a déclaré qu'il a subi des attouchements sexuels de la part du suspect, selon les informations de M6. L'entraîneur avait été interpellé et placé en garde à vue lundi au commissariat de Marignane.