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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
L'enfant mort noyé sur une plage fait pleurer le monde entier, moi y compris mais il y a un autre enfant dont la mort est encore plus abominable : celle du petit Bastien, assassiné par son propre père qui l'a noyé dans un lave-linge. Sa photo ne fera pas le tour du monde
Boum! Un cargo d’aide aux « réfugiés » bourré d’armes et de munitions intercepté en Grèce Boum!
Je la sentais venir depuis le début, pendant que les naïfs Européens les accueillent à bras ouverts.
Des containers d’aide aux « pauvres » réfugiés bourrés d’armes et de munitions ont été découverts dans un cargo, en Grèce, par une unité spéciale des gardes cotes au large de la Crète.
Les autorités ont identifié le cargo, Haddad 1. Il avait quitté le port turc de Iskenderun le 29 août et se rendait en Libye.
Les armes découvertes, sans aucun document douanier, devaient servir à l’Etat islamique.
Deux boas, dont un de 130 cm, récupérés par les pompiers à Paris
Deux boas mesurant 130 et 60 cm ont été récupérés vendredi matin dans un appartement près de Bastille par une équipe spécialisée des pompiers.
«Les policiers nous ont appelés vers 7 heures pour nous signaler deux boas qui se seraient retrouvés en liberté dans un immeuble» du 11e arrondissement, a déclaré un porte-parole des pompiers de Paris.
Les deux reptiles ont été trouvés derrière le réfrigérateur dans un des appartements de l'immeuble, sans qu'on sache en l'état s'il s'agit de l'appartement du propriétaire des deux boas.
Ils ont été «récupérés en douceur» par les pompiers du «risque animalier» spécialisés dans les nouveaux animaux de compagnie, et confiés à un établissement spécialisé.
Meurtre du petit Bastien : 30 ans de prison pour le père, 12 ans pour la mère
La cour d'assises de Melun a condamné le père du petit Bastien, enfermé vivant dans un lave-linge, à trente ans de réclusion pour meurtre, mais aussi la mère à douze ans de prison pour complicité.
Christophe Champenois et Charlène Cotte, les parents du petit Bastien. Christophe Champenois et Charlène Cotte, les parents du petit Bastien.
Quatre jours de débats et quatre heures de délibéré. Et hier à 22 heures, la cour d'assises de Seine-et-Marne a rendu son verdict dans le procès de l'affaire Bastien, l'enfant martyr de la machine à laver. Elle a condamné le père, Christophe Champenois, reconnu coupable de meurtre, à trente ans de réclusion criminelle, dont vingt ans de sûreté, et la mère, Charlène Cotte, coupable de complicité de meurtre et violences, à douze ans de prison.
L'accusée, qui comparaissait libre, a été incarcérée sans verser la moindre larme devant ses proches, effondrés. La cour et les jurés n'ont donc pas suivi l'avocat général qui, hier midi, avait requis la perpétuité à l'encontre du père, accusé d'avoir tué son fils de 3 ans en le plaçant dans le lave-linge, mais un acquittement en faveur de la mère pour la complicité, réclamant par ailleurs cinq ans de prison pour les violences.
Le magistrat avait fait une distinction majeure entre les parents impliqués dans cet effroyable infanticide. Plus tôt donc, il avait développé ses arguments.
Eric de Valroger considère que Charlène Cotte n'était pas complice, au sens juridique, du meurtre de son fils, à Germigny-l'Evêque le 24 novembre 2011.
Meurtre de Bastien : le père condamné à 30 ans de réclusion, la mère à 12 ans
« Si je devais requérir sur des principes moraux, je l'enverrais à l'échafaud, a-t-il lancé à l'attention des jurés. Vous n'êtes pas ici pour faire de la morale mais pour prendre une décision fondée sur le droit. »
La chambre de l'instruction avait renvoyé la mère devant les assises pour complicité, estimant qu'elle a voulu détourner l'attention de sa fille en faisant un puzzle avec elle pendant que Bastien mourait dans le lave-linge.
« A quoi cela servait-il de détourner l'attention de M. qui n'avait pas la possibilité d'intervenir à son âge (NDLR : 5 ans au moment des faits) ? » a interrogé Eric de Valroger, qui dépeint une femme dominée, immature, une mère indigne. Quant à Christophe Champenois, il l'a qualifié de cruel, rappelant ses paroles à l'annonce du décès de Bastien :
« Comme ça, il ne nous emmerdera plus [...] On aura une alloc en moins. » Puis l'avocat général a enfoncé l'accusé avec cette citation de Victor Hugo :
« Derrière lui, le meurtre laisse un vomissement, qu'un jour il faudra boire. Le jour est venu de boire, M. Champenois. »
Les avocats de la Voix de l'enfant, Enfance et partage et l'Enfant bleu, trois associations parties civiles, ont, eux, estimé que rien n'aurait été possible sans la mère.
« L'enfant a été replacé dans sa matrice originelle, le tambour d'une machine à laver, comme dans le ventre de sa mère. Charlène Cotte le lave quand il sort en sang, comme lors d'une naissance », plaide Yves Crespin pour l'Enfant bleu.
Avocate de la sœur de Bastien, Me Catherine Bahuchet s'est tue durant une bonne minute pour montrer à la cour que Charlène avait eu « cinq fois plus de temps pour sauver Bastien.
En 2010, elle a la force d'enfermer son compagnon dans la chambre quand il veut emmener M. Comment croire qu'elle n'ait pas eu l'énergie de réagir alors qu'elle sait l'issue de Bastien fatale ? »
Puis elle s'emporte, fixant les parents : « Votre fille sait ce que vous avez fait, elle ne peut pas se construire sur vos mensonges ! » Défenseur du père, Me Jean-Christophe Ramadier a livré une plaidoirie lucide et pleine d'humanité, parlant d'un crime qui dépasse l'entendement. Il a tenté d'expliquer que le père de Bastien appelait au secours :
« Quand il menace, la veille, sur la messagerie d'un travailleur social, de jeter son fils par la fenêtre, c'est un appel au secours. Le week-end du 11 novembre, il était chez ses parents avec Bastien, et lui avait fait un câlin. Il adhérait aux services sociaux. Je porte ce dossier comme un fardeau depuis quatre ans. La grandeur d'un homme, c'est aussi sa fragilité, j'en appelle à votre humanité et à la paix. »
Décrivant la vie de sa cliente, « sous perfusion des allocs, du RSA et des Restos du cœur », Me Gérard Zbili, l'avocat de la mère, a essayé de convaincre que l'absence de larmes n'est pas une absence d'affect. Car, durant ces quatre jours, les témoins étaient émus, certains en pleurs. Jamais Charlène Cotte.
« Mon fils, je l'ai aimé, je n'ai pas voulu sa mort. D'habitude, j'arrivais à calmer Monsieur. Ce jour-là, sa haine était plus forte. Bastien sera toujours dans mon cœur. J'ai grandi, si ça devait recommencer, je parlerais, je n'aurais plus peur », a dit l'accusée hier. Des mots d'amour, enfin.
Un hôpital admet les animaux de ses patients en Italie
C’est une mesure exceptionnelle qu’on aimerait voir arriver en France!
A Treviglio, en Italie, les patients peuvent désormais se faire hospitalier avec leurs animaux de compagnie, à condition toutefois que certaines règles simples soient respectées.
A Treviglio, le Conseil municipal vient d’adopter une mesure qui permet aux chats, aux chiens et aux lapins d’accompagner leurs maîtres lorsque ceux-ci sont hospitalisés (sauf dans les services de réanimation, d’anesthésie et de gynécologie).
Cette décision concerne les 4 hôpitaux publics de la ville de 29000 habitants, et entrera en vigueur mi-septembre. Quelques règles simples Pour que les animaux soient admis dans les services de soins, il suffira de se conformer à quelques règles simples : l’animal devra être à jour de ses vaccins, porter une puce et être détenteur d’un certificat de bonne santé.
Chats et lapins devront avoir une petite cage ou un panier pour dormir, et les promenades dans les couloirs ne seront tolérées qu’en laisse.
Quant aux chiens, la laisse sera obligatoire, de même que la muselière si il s’agit de molosses. Ce dispositif permettra aux personnes n’ayant pas de solution pour faire garder leur animal pendant leur hospitalisation de ne plus s’inquiéter à ce sujet ; et permettra également aux passionnés d’animaux de ne pas être séparés de leur compagnon à des moments où leur réconfort leur manquerait cruellement. La même chose en France? En France, certains centres hospitaliers acceptent la présence sporadique de « chiens visiteurs ».
De nombreux médecins ont constaté que la présence d’animaux aidait les patients à se sentir mieux. Quelques maisons de retraites de l’hexagone commencent à accepter que leurs pensionnaires s’y installent avec leurs animaux de compagnie, pour les mêmes raisons. Alors peut être que bientôt, des hôpitaux français accepteront eux aussi les petits compagnons des malades.
En outre, la Lombardie (région dans laquelle se situe Treviglio) serait sur le point d’adopter une loi régionale donnant accès à tous les lieux publics, sans exception, aux animaux de compagnie. Là encore, voilà une idée qui fait rêver !
Déchirant sdf qui pleure parce qu'il a entendu une dame se plaindre de son odeur. Il s'en excuse et des larmes coulent doucement le long de son visage...
Il dit qu'il ne sait plus où se mettre, que la rue l'a détruit, qu'il se fait honte... Il a le visage de quelqu'un qui boit... Et alors ? Qui peut s'octroyer le droit de le juger ?
Une quarantaine d'années, 7 ans dehors, affamé, malade depuis des jours et avec une chienne, ce qui l'empêche d'accéder à un éventuel lit...
Et pendant ce temps-là de "faux sdf" exploitent la France et nos animaux...
Quelques euros lui ont été donnés. Je le rattrape sur le quai en lui disant de ne plus jamais s'excuser, que c'est aux gens de le faire quand ils se montrent si cruels, qu'on se retrouve du jour au lendemain dans la rue et qu'il ne devrait pas y être, HONTE À LA FRANCE.
Il me dit qu'il n'a rien fait de mal pour être dans la rue et qu'il n'en peut plus, qu'il est sans cesse humilié. Je lui dis de s'accrocher, de garder le moral, de ne pas flancher, que son destin va changer, que c'est une longue étape dans sa vie... il pleure encore... Il répond qu'il va essayer... Je tente de trouver des mots... je ne les trouve pas... Je préférerais pouvoir lui filer ma paye...
Et pendant ce temps-là, je sens une petite langue chaude dans ma main... Sa petite chienne noire me remercie clairement d'être avec son maître, de lui parler sans pitié, sans condescendance, comme à un être humain normal et pas comme à une merde...
Strasbourg : 18 mois de prison ferme pour la nounou violente
Une nourrice a été condamnée par le tribunal correctionnel de Strasbourg à 18 mois de prison ferme pour des violences sur une fillette de 9 mois dont elle avait la garde.
Une assistante maternelle de 49 ans a été jugée coupable de violences sur une fillette de 9 mois dont elle avait la garde en janvier 2014.
Cette femme a été condamnée par le tribunal correctionnel de Strasbourg (Bas-Rhin) à 18 mois de prison ferme.
Le bébé avait dû être hospitalisé pour des fractures aux avants-bras et plusieurs hématomes. Poursuivie pour violences sur mineur de 15 ans, la prévenue qui comparaissait libre, a été condamnée mercredi à une peine de 18 mois ferme aménageable, assortie d'une interdiction définitive d'exercer une activité en lien avec des enfants, selon le greffe du tribunal correctionnel de Strasbourg, confirmant des informations des Dernières Nouvelles d'Alsace.
Le parquet avait requis 4 ans d'emprisonnement dont 2 ans ferme. La nounou a nié les violences Présentée comme une nourrice exemplaire selon des témoins, la prévenue qui totalisait 18 ans d'expérience, s'était vue confier la garde de la victime en janvier 2014.
Durant la garde, elle avait envoyé des SMS à la maman, dans lesquels elle se plaignait du comportement de l'enfant, selon une source proche du dossier.
Venue récupérer son enfant un soir chez cette assistante, le bébé avait été pris de vomissements et, sur les conseils d'un pédiatre, conduit aux urgences du CHU de Strasbourg où des médecins avaient relevé des blessures.
La protection de l'enfance avait alors alerté le procureur de la République et l'enfant avait été retiré à ses parents pour être placé dans une famille d'accueil durant quelque 17 jours d'enquête. Mis en cause par la nourrice, le père avait été entendu par les enquêteurs avant d'être rapidement mis hors de cause.
«La nounou a orienté les recherches sur le papa mais cette piste a été rapidement écartée, il a été relâché», a expliqué l'avocate des parents Me Audrey Infantes.
A la barre, l'assistante maternelle a nié être l'auteur des blessures présentées sur le corps de la jeune victime. Plaidant l'existence d'un «doute» dans cette affaire, son avocat avait plaidé la relaxe de sa cliente.
Un réfugié syrien emporte son chat jusqu’en Grèce
La petite chatte nommée Zeytouna est débarquée saine et sauve sur la plage de Lesbos avec son maître et sa famille.
La petite chatte nommée Zeytouna est débarquée saine et sauve sur la plage de Lesbos avec son maître et sa famille.
Un réfugié syrien, fraîchement débarqué sur une plage de Lesbos, en Grèce, tient un chaton enroulé dans une écharpe contre son cœur; un large sourire illumine son visage.
Un bref moment de bonheur à travers toute l’horreur de la crise des migrants syriens, capté par la militante et anthropologue Tamara van der Putten, en Grèce pour offrir son aide aux familles de réfugiés.
Malgré une traversée mouvementée, la petite chatte nommée Zeytouna («Olive» en arabe) est arrivée saine et sauve en Grèce avec son maître et sa famille.
«Pendant la traversée en bateau, il [son maître] lui a donné un tranquillisant et l’a mise dans une petite boîte. Mais elle a tout de même été mouillée et s’est mise à grelotter, alors il l’a enveloppée dans une serviette pour la garder au chaud», explique van der Putten dans un commentaire sur Facebook.
Ile de Ré : tabassé et abandonné attaché à un arbre pour 200 euros
Trois des quatre agresseurs d'un jeune homme ont été interpellés par les gendarmes de l'île de Ré.
Jeudi après-midi, trois mineurs ont été déférés au parquet de la Rochelle (Charente-Maritime) pour avoir la veille séquestré et roué de coups un jeune homme de 19 ans sur l'île de Ré, rapporte le journal Sud-Ouest. Un quatrième agresseur est activement recherché par les gendarmes.
Pour une modique somme de 200 €, liée à une dette pour l'achat de cannabis, un petit gang de quatre personnes, dont trois mineurs, n'ont pas hésité à se lancer dans une équipée sauvage, très violente, digne de la mafia.
Après avoir attiré leur proie, un jeune homme de 19 ans, dans un guet-apens mardi soir, en lui adressant un texto censé provenir d'un ami, la victime va vivre un véritable calvaire.
Les quatre agresseurs ont attaché le jeune homme à un arbre et armés de clubs de golf l'ont roué de coups avant de l'abandonner en pleine nuit.
Sérieusement blessé (dix jours d'interruption de travail), le jeune homme a finalement été secouru mercredi au petit matin par un promeneur qui a entendu ses cris dans la forêt. Les gendarmes de l'île de Ré sont en charge de l'enquête.