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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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Poignardé par un déséquilibré

Publié à 14:33 par fandeloup Tags : message photo enfants homme pouvoir
Poignardé par un déséquilibré

Poignardé par un déséquilibré, le petit Lucas est toujours dans le coma

A l'arrivée dans l'impasse où le petit garçon s'est fait poignarder à sept reprises, la grand-mère a une nouvelle fois remercié les personnes présentes et a brandi le doudou de son petit-fils.

1 700 personnes ont marché en silence ce dimanche à Joeuf en Meurthe-et-Moselle, en soutien à la famille de Lucas, 7 ans, poignardé jeudi par un homme souffrant de troubles psychiatriques et plongé depuis dans un coma artificiel.

La foule, émue, s'est réunie à 11 heures devant la mairie, où la grand-mère de Lucas a lu un message remerciant, au nom des parents qui se trouvent à l'hôpital, toutes les personnes présentes pour leur soutien.

Le cortège, silencieux, a ensuite marché une demi-heure, sous un ciel gris et par un temps froid, jusqu'au lieu du drame avec en tête le grand frère de Lucas, Paolo, qui portait une photo du jeune garçon.

"Toute mon énergie, je la mets pour mon frère. Je suis sûr qu'il va se réveiller lundi", a-t-il dit. Dans la foule, une maman, venue avec ses deux enfants dont un dans la même école que Lucas, a expliqué, en larmes, que son fils avait insisté pour venir et apporter un petit mot pour la victime, disant que c'était "un super héros".

Au premier rang du cortège se trouvaient des proches de la famille et les grands-parents de Lucas.

Poignardé à 7 reprises par un déséquilibré

A l'arrivée dans l'impasse où le petit garçon s'est fait poignarder à sept reprises jeudi alors qu'il rentrait de l'école dans cette commune de 6 700 habitants à une trentaine de km au nord-ouest de Metz, la grand-mère a une nouvelle fois remercié les personnes présentes et a brandi le doudou de son petit-fils, un coussin avec un mouton dessus.

Le grand-père, effondré, a espéré que son petit-fils se réveillerait "sans séquelle". Lucas, opéré et hospitalisé à Nancy depuis le drame, était toujours dimanche dans un état grave mais stationnaire.

Son agresseur présumé, un homme né en 1985, a été mis en examen vendredi pour "tentative d'homicide aggravé par la circonstance que les faits ont été commis sur mineur de 15 ans" et placé sous mandat de dépôt.

L'homme, mis en fuite au moment des faits par un policier qui n'était pas en service, s'était ensuite rendu au commissariat de police de Briey. Il s'est depuis muré dans le silence devant les enquêteurs sans pouvoir expliquer son geste. D'après un expert qui l'a examiné, l'homme souffre de "troubles psychiatriques" qui ont altéré son jugement, sans toutefois l'abolir.

Il est de ce fait responsable pénalement et encourt la réclusion à perpétuité.

Allemagne

Publié à 11:29 par fandeloup Tags : article femmes bienvenue
Allemagne

Allemagne : Des migrants musulmans louent des femmes pour 10€ la passe

Bienvenue en Allemagne! Les migrants musulmans y vendent ou y louent des femmes pour 10€ la passe.

La violence est aussi un trait commun pour beaucoup de centres pour migrants. Une révolte violente a été prise en vidéo avec un téléphone portable dans le camp de réfugiés de Wilhelmsburg, à Hambourg.

Des douzaines de réfugiés en provenance d’Albanie et d’Afghanistan ont brandi des bâtons et des armes. Il y a eu plusieurs blessés et un grand nombre d’arrestations.

actualité

Publié à 09:55 par fandeloup
actualité

SANS COMMENTAIRE

retrouvaille

retrouvaille

Communiqué officiel de David Sudan, l'avocat de Iulan Vaduva, dans l'affaire du vol de sa petite chienne Linda par des militants de l'association Cause Animale Nord :

"Bonsoir à tous, Je me présente, je m’appelle David Sudan, je suis l’avocat de Iulian Vaduva, le sans-domicile-fixe du quartier des Halles à Paris qui a été violemment agressé par des membres de l’association « Cause Animale Nord », en l’occurrence Monsieur Anthony Blanchard et Madame Evelyne Lombardi, le 19 septembre dernier pour lui voler sa petite chienne « Linda » sur la seule base du fait qu’il était sans-domicile-fixe et, de surcroît, roumain.

Je confirme la nouvelle qui a été très vite été répandue cet après-midi : sa petite chienne Linda lui a été restituée des mains de la Police !

La scène de retrouvailles entre Iulian et Linda a été très émouvante : celui-ci n’a pas pu s’empêcher d’éclater en sanglots lorsque la chienne lui a été remise par un officier de police judiciaire et cette petite chienne, malgré tous les voyages qu’elle a pu subir ces dernières semaines et le choc émotionnel qu’elle a dû ressentir du fait de son enlèvement à son maître, l’a tout de suite reconnu et a remué sa petite queue dans tous les sens en émettant des petits cris de joie !

Un vrai moment de bonheur et de joie pour toutes les personnes qui étaient présentes à ce moment-là. Maintenant que la chienne a été restituée à Iulian, celui-ci tenait à vous dire qu’il a été très touché par l’élan de solidarité et de mobilisation qui s’est créé à travers toute la France pour retrouver sa petite chienne et qu’à ce titre, il tenait à vous remercier infiniment. Je suis de près tout ce qui se dit sur les réseaux sociaux depuis le début de l’affaire (en particulier ce groupe de soutien) et je lui ai fait plusieurs compte-rendu des témoignages de soutien des français et cela l’a vraiment réconforté car, à mille lieues du trafiquant de chiens pour lequel ses détracteurs ont essayé de le faire passer avec à l’appui une vidéo calomnieuse et d’autres articles tout autant calomnieux qui ont été écrits sur lui, c’est un homme tranquille, sympathique et jovial.

J’aimerais revenir sur les événements de cette affaire. Cette affaire n’a pas été facile pour lui : il y à peine trois semaines, ce n’était qu’un sans-abri qui vivait dans le plus grand anonymat dans le quartier des Halles à Paris avec pour seule compagnon de route sa petite chienne Linda comme c’est le cas de dizaines de sans-abris du quartier de nombreux sans-domicile-fixes en France.

Et tout d’un coup ce samedi 19 septembre, alors qu’il n’avait rien demandé à personne et parce qu’il avait le tort d’être sans-abri et d’origine roumaine, il se fait violemment agresser par des activistes de défense de la cause animale sans la moindre enquête préalable sur la seule base de son faciès, comme on faisait jadis dans certains Etats soviétiques.

Tout le monde s’en est pris violemment à Monsieur Anthony Blanchard, mais il n’est pas le seul dans cette affaire. Il s’agit d’un vol commis en réunion avec violence. Tout le monde aura en effet remarqué l’intervention violente et brute de cette fameuse dame blonde dans la vidéo, Madame Evelyne Lombardi, qui se permet de répondre, lorsqu’une passante lui dit à juste titre que ce qu’elle fait est dégueulasse qu’ « il n’a pas droit » et que « c’est interdit par la loi » (sous-entendu il n’a pas droit lui SDF lui d’origine ROUMAINE d’avoir une chienne).

J’ai effectué un cursus de 8 années de droit à l’Université et je ne connais aucune loi en France qui interdise aux SDF d’avoir un chien, et ce quelle que soit leur origine. Lors de son procès, cette dame pourra certainement venir expliquer aux Magistrats ce qui est interdit et permis par la loi en France

Une véritable campagne de diffamation a été menée contre mon client par les membres de l’association « Cause Animale Nord » ainsi que tous les réseaux qui lui sont affiliés de « défense de la cause animale » aux fins de le discréditer et de le faire passer pour un « trafiquant de chien » sur la seule base du fait qu’il était roumain.

Contrairement à ce qui a été affirmé par les militants de l’association « Cause Animale Nord », Linda n’était pas droguée ni amorphe le jour où elle a été volée. La preuve est en qu’à peine le lendemain après l’avoir volée, l’association « Cause Animale Nord » publiait une offre à l’adoption de la même chienne sous le nom de « Vegan » avec comme description « Chienne pleine de joie et très joueuse ».

Il faudra qu’on nous explique comment une chienne peut passer, en l’espace seulement de quelques heures du statut de « droguée » au statut de « chienne pleine de joie », il y a comme une contradiction ! En revanche, je confirme la description de Linda (et non Vegan) dans l’offre à l’adoption publiée par Cause Animale Nord le lendemain de son vol: pour l’avoir vue tout à l’heure lors de sa restitution à son véritable propriétaire, effectivement c’est une chienne pleine de joie ! Sur la vidéo qui a circulé pendant plusieurs jours sur les réseaux sociaux où il est pris en filature alors qu’il parle roumain et, où l’on essaye de faire croire avec des sous-titres français, qu’il serait en train de parler de trafic de chien, la traduction des propos est complément fausse.

En effet, je l’ai soumise à plusieurs à plusieurs personnes qui parlent le français et le roumain qui m’ont tous affirmé qu’à aucun moment dans cette vidéo, il n’était question de trafic de chien. Plutôt que de nous livrer à une chasse à l’homme dans cette affaire, notre priorité fut de récupérer Linda.

Néanmoins, nous ne comptons pas en rester là. Nous avons fait des captures d’écran de tous les propos diffamatoires qui ont été tenus à l’égard de mon client depuis le début de l’affaire et nous allons nous réunir demain pour étudier les suites judiciaires à donner à ces propos. Mon client a véritablement été blessé par les propos diffamatoires voulant le faire passer pour un trafiquant de chien.

Car c’est bien loin de la vérité de ce qu’il est. En effet, il est très apprécié des riverains et des commerçants du quartier des Halles à Paris et tous ceux qui le connaissent me l’ont décrit comme un sans-abri sympathique, discret, loyal et jovial.

Tous m’ont décrit un homme qui ne maltraitait pas sa chienne et, qui bien, au contraire, l’éduquait avec le plus grand amour et la plus grande tendresse qu’on peut donner à un animal. J’ai rencontré un grutier des Halles qui m’a dit que Iulian était même venu de lui-même lui présenter Linda lorsqu’il avait eue avec toute la joie et la fierté qu’un homme peut avoir dans les yeux lorsqu’il présente son petit animal.

Sa chienne a toujours été bien nourrie et bien traitée et, avec le faible butin de sa quête dans la rue, c’est toujours elle qu’il nourrissait en premier avant lui. Ce grutier m’a même dit que Iulian n’hésitait pas à solliciter l’aide d’un de ses collègues connaissant bien les animaux lorsqu’il avait besoin de lui administrer des soins, par souci de faire les choses dans les règles de l’art avec la plus grande délicatesse et que ce soit indolore pour elle.

La vérité sur cette affaire, c’est qu’on a des activistes d’une association de « défense de la cause animale » qui, sans aucun droit ni aucun mandat de la Police, se permettent de violer la loi française en dépouillant un SDF roumain de son chien sur la seule base du fait qu’il était à la rue et roumain (et donc indigne à élever un chien).

On ne va pas se mentir, la maltraitance et le trafic d’animaux sont une réalité en France et en Europe, mais peut-on se permettre, sans aucune enquête préalable sur la base du seule faciès d’un SDF, de le dépouiller de son chien ? NON ! Je ne renie aucunement le travail des associations de la défense des animaux.

Bien au contraire, la plupart des personnes qui m’ont aidé dans le traitement de ce dossier sont des personnes issues du milieu associatif de défense de la cause animale. Je sais que le combat de ces associations est parfois dur, surtout quand il s’agit de lutte contre le trafic d’animaux, mais si vous avez des suspicions de maltraitance ou de trafic d’animaux, il existe une Justice en France avec laquelle vous pouvez travailler main dans la main.

Et croyez-moi bon nombre de procédures engagées dans le trafic d’animaux auprès d’un juge aboutissent à la saisie des animaux maltraités. Enfin sur la cagnotte, mon client a été très touché par l’initiative et est très ému par les montants qui ont été récoltés, surtout à l’approche de l’hiver.

Celui-ci, à l’aide de plusieurs membres d’associations, a créé ce matin un compte bancaire à la Banque Postale et, après discussion avec tous les intervenants des plateformes de cagnottes, il a été convenu que nous ferons appel à une Huissier de justice pour constater le montant des fonds récoltés et ensuite le virement du montant de ces fonds sur son compte bancaire.

Au nom de mon client, je tenais à vous remercier de votre soutien chaleureux ! Bien à vous, David Sudan

PS : Voici une photo de Iulian et de Linda prise aujourd'hui !"

La CGT lance une campagne

Publié à 11:39 par fandeloup Tags : femmes vie france travail
La CGT lance une campagne

La CGT lance une campagne pour les... 32 heures  

Pour le CGT, la réduction du temps de travail permet de «sauver et de créer des emplois». La CGT a donné mardi le coup d'envoi de sa campagne pour la réduction du temps de travail et le passage à 32 heures. «La réduction du temps de travail est une réalité historique» liée «aux gains de productivité et à l'organisation du travail», a lancé Mohammed Oussedik, membre de la direction.

35 heures : recadré par Valls, Macron tente de corriger le tir Une mesure qui permet de «sauver et de créer des emplois», a-t-il plaidé. Mais «le débat aujourd'hui est entre une réduction du temps de travail imposée par le patronat», via notamment les temps partiels, ou une réduction «régulée» par la loi. «Nous sommes favorables à une réduction du temps de travail encadrée par la loi et négociée par accord de branche et d'entreprises et donc choisie par les salariés et non pas subie», a souligné Mohammed Oussedik. La réduction encadrée du temps de travail permet «d'anticiper les progrès technologiques - le numérique et le robotique - qui vont faire disparaître beaucoup d'emplois», selon lui.

La campagne de la CGT intervient «dans un contexte d'attaque généralisée contre les 35 heures», a rappelé le numéro de la centrale Philippe Martinez, pour qui «les Français sont très attachés aux 35 heures». Mohammed Oussedik a souligné qu'aux côtés des secteurs où les 35 heures sont remises en cause notamment à l'AP-HP ou à Smart France où 56% salariés ont dit au retour des 39 heures- «quelque 400 entreprises sont déjà sous la durée légale des 35 heures» en France.

Un «facteur d'égalité entre les femmes et les hommes» Le passage à 32 heures serait «un facteur d'égalité entre les femmes et les hommes»- puisque «le temps de travail est le premier facteur d'inégalité», a-t-il dit.

Elle permet aussi «de concilier la vie professionnelle et la vie privée» et va dans le sens à la fois «du progrès social et de la santé des salariés», selon la CGT. Une durée du temps de travail qui fait rêver la garde des Sceaux, Christiane Taubira.

Elle s'était exprimée dans ce sens en juin (vidéo ci-dessous). Mais le Premier ministre a rapidement clôt le débat comme il l'a fait dans le sens inverse avec le ministre de l'Economie Emmanuel Macron. Dans cette campagne, la CGT veut aussi tirer les enseignements du passage aux 35 heures. La durée de travail en France est actuellement de 36 heures en moyenne (temps partiels inclus) et de 39h30 (temps pleins seuls), souligne la centrale. La CGT mettra ses propositions en débat auprès des salariés avec notamment une journée d'étude le 26 novembre. Elle entend aussi mener en juin prochain une initiative conjointe sur le temps de travail avec la confédération européenne des syndicats (CES).

taxe

Publié à 10:13 par fandeloup Tags : annonce
taxe

Le gouvernement propose de taxer davantage le gazole 

Le gouvernement a décidé de proposer au Parlement de réduire cet écart entre les fiscalités de l'essence et du gazole «en posant le principe d'un rapprochement en 5 ans entre le prix du gazole et celui de l'essence».

A quelques semaines de la COP21, le gouvernement avait confirmé il y a quelques jours qu'il allait prochainement prendre des mesures visant à renchérir le coût du gazole.

Le FN opposé à sa hausse Diesel: Le FN opposé à sa hausse On en sait désormais davantage puisque Matignon a précisé ce mercredi son projet : augmenter d'un centime par litre la taxation du gazole en 2016 et 2017 et réduire du même montant celle de l'essence sur la même période.

 

Le gouvernement a en effet décidé de proposer au Parlement de réduire cet écart entre les fiscalités de l'essence et du gazole «en posant le principe d'un rapprochement en 5 ans entre le prix du gazole et celui de l'essence», a précisé Matignon à l'issue d'une réunion d'arbitrage qui a réuni Manuel Valls, Ségolène Royal (Ecologie), Emmanuel Macron (Economie) et Michel Sapin (Finances).

«Le gazole bénéficie historiquement d'un traitement fiscal favorable, avec une taxation TTC inférieure de près de 20 centimes par litre par rapport à l'essence», relèvent les services du Premier ministre dans un communiqué.

Selon Matignon, cet écart a «induit une diésélisation massive du parc automobile, qui suscite une préoccupation légitime de nombreux Français quant à son impact sur la qualité de l'air». «A cette fin, dès 2016, la taxation de l'essence sera réduite d'1 centime par litre par rapport à son niveau aujourd'hui prévu et la taxation du gazole connaîtra le mouvement inverse, annonce Matignon.

La même évolution sera appliquée pour 2017». «Le gouvernement utilisera cette recette pour financer l'allégement de la fiscalité locale des contribuables modestes, et notamment des retraités, conformément à ses objectifs de justice sociale, partagés par la majorité parlementaire», assure Matignon.

Enfin, «le gouvernement, afin d'accélérer le renouvellement du parc, a décidé de renforcer la prime à la conversion, en élargissant son assiette à tous les véhicules diesels de plus de 10 ans et en portant le montant de la prime d'achat de 500 euros à 1.000 euros».

taxe

Publié à 07:58 par fandeloup Tags : vie article femmes
taxe

Budget 2016 : des députées veulent réduire la «taxe tampon»

Un amendement sur la «taxe tampon» a été déposé dans le projet de loi de finance 2016, examiné ce mercredi soir à l'Assemblée nationale.

L'objectif ?

Faire inscrire les produits hygiéniques dans la catégorie des produits de première nécessité, soumis à une TVA réduite de 5, 5% et non de 20 %.

L'Assemblée nationale pourrait adopter ce soir un amendement qui établirait à 5.5 % la TVA sur les produits hygiéniques. Flickr/Aaron Fulkerson Le projet de loi de Finance 2016 dont l'examen en séance publique a débuté ce mardi recèle quelques surprises.

L'une d'entre elles et non des moindres est un amendement soutenu en commission parlementaire sur les produits de protection hygiénique féminine. Plus exactement sur la taxation de ses produits, plus connu sous le nom de «taxe tampon». Une trentaine de députés dont Sandrine Mazetier et Catherine Coutelle du Parti socialiste portent cet amendement qui vise à rétablir une anomalie du code général des impôts.

Les protections périodiques taxées à 20% «Dans son article 278‑0 bis, le code général des impôts précise la liste des biens et services sur lesquels est appliqué un taux réduit de 5,5 % de TVA.

Il est actuellement mentionné que ce taux réduit s’applique pour l’eau et les boissons non alcooliques ainsi que les produits destinés à l’alimentation humaine (sauf exceptions explicitement mentionnées dans ce même article).

Produits de « première nécessité », les protections périodiques (tampons, serviettes et coupes menstruelles) sont quant à elles encore soumises à une TVA de 20 %.» précise cet amendement dont le but est d'établir «la première nécessité» des produits de protection périodique pour les femmes et donc d'y appliquer une taxe de 5.5 % comme pour les rasoirs dans le cas des hommes... La vigilance des associations

C'est le collectif Georgette Sand qui a porté ce projet de rééquilibrage du code des impôts. Du côté de Osez le féminisme on applaudit l'initiative.

«On va enfin prendre en considération ce qu'est un cycle menstruel pour les femmes ! Les produits périodiques ne sont pas des produits de luxe. Pour des femmes qui sont au RSA, par exemple, c'est un budget important. Il faudra toutefois être vigilants pour que la baisse de la TVA soit répercuté sur les prix et que les fabricants n'augmentent pas leurs marges au passage.» explique Claire Serre-Combe porte-parole de l'association féministe.

«Ce sera aussi intéressant de voir si le Sénat composé à 74 % d'hommes vote cet amendement» ironise la féministe. Le collectif Georgette Sand chiffre la dépense en protections hygiéniques dans une vie à une somme située entre 1500 et 2000 euros. Une baisse de la TVA serait donc significative pour plus de 14, 7 millions de femmes concernées...

«Les règles ne sont pas un choix pour les femmes» L'amendement pourrait même être voté dès ce mercredi soir, au vu de la vitesse des débats à l'Assemblée.

«On parle de taxes roses. Ces produits qui sont vendus aux femmes plus chers que l'équivalent pour les hommes. Le gouvernement avait proposé de réaliser une étude, avec d'autres députés on a devancé l'appel. Les règles ne sont pas un choix pour les femmes, il fallait donc que les produits périodiques soient déclarés comme un produit de première nécessité» renchérit Catherine Coutelle, députée de la Vienne.

«C'est très bien que des femmes comme les blogueuses de Georgette Sand débusquent les inégalités qui se nichent partout» conclut la parlementaire toujours en première ligne pour défendre les droits des femmes.

neige

Publié à 18:49 par fandeloup Tags : écran monde chez hiver neige
neige

De la neige en Belgique mi-octobre, du jamais vu depuis 1975

Il a neigé en Belgique ce mercredi. Une première si tôt dans la saison depuis 1975 !

Neige dans les Hautes Fagnes ce mercredi.

 La neige est tombée ce mercredi en Belgique. Ce devrait encore être le cas ce jeudi. Quelques flocons, pas de quoi faire de la luge ou du ski mais quelques petits centimètres qui ont surpris tout le monde chez nos voisins.

Ces chutes de neige sont exceptionnelles, si tôt dans l'année. Selon l'Avenir, c'est la première que cela arrive depuis 1975. Bien sûr, ces chutes de neige ont eu lieu dans les parties les plus hautes de la Belgique, à l'Est (autour de 400-500 m d'altitude) : Bastogne, Vielsalm, Baraque de Fraiture...

La chaîne de télévision RTL a tourné un reportage dans les Hautes Fagnes. En fin de matinée, la température était de 0 degré dans ce secteur de la Belgique. Mais ça n'a duré que quelques heures, l'hiver ce n'est quand même pas pour tout de suite.

témoignage

témoignage

L'émouvante histoire d'une maman qui a engagé un combat à vie contre la maladie de son enfant.

Eglantine Eméyé, auteur du documentaire "Mon fils, un si long combat" dont la diffusion sur France 5 avait ému plus d'un. Elle nous revient avec son œuvre "Le Voleur de brosse à dents" en donnant des nouvelles de son fils Samy, âgé de 10 ans et polyhandicapé sévère.

Désormais, il vit dans un hôpital à Hyères où on prend bien soin de lui. Son livre est très émouvant, mais il démontre la capacité de résistance et sa détermination à se battre pour rendre heureux son fils.

Elle en parle dans cette interview réalisée par Métronews.fr. Pourquoi revenir sur l'histoire de votre fils Samy dans un livre ?

L'idée ne m'est pas venue naturellement, mais à l'époque du documentaire, Mon fils, un si long combat, j'ai reçu beaucoup de messages de soutien. De nombreux parents me remerciaient notamment d'avoir ouvert la fenêtre sur ce type de handicap. Ils me demandaient d'aller plus loin et de donner des nouvelles de Samy. J'ai finalement rencontré une maison d'édition et je me suis lancée. C'est peut-être utopique, mais j'aimerai que mon livre soit utile. J'espère aussi qu'il aidera mon fils aîné Marco, qui a 13 ans aujourd'hui, à comprendre comment j'ai vécu les choses.

Ce livre, je l'ai aussi écrit pour lui. Samy est très lourdement handicapé depuis sa naissance. Il ne parle pas, ne dort pas, pousse des hurlements et s'automutile. Votre quotidien a longtemps été marqué par une violence inouïe...

C'est vrai que je n'ai pas eu de bol car les enfants handicapés et autistes ne sont pas tous comme Samy. Un jour, un médecin m'a dit que j'avais eu droit à tous les pires trucs (Rires).

Samy est polyhandicapé, épileptique et il a des troubles autistiques. Il a même fait un AVC quand il était bébé. Le plus difficile a été de me battre physiquement avec mon enfant. C'est épouvantable.

Comment peut-on laisser des parents vivre ça seuls ?

La société est hyper mal fichue, égoïste et monstrueuse. Quand on entend des histoires de parents à bout de nerfs qui finissent par tuer leur enfant, je me dis qu'au fond, ce n'est pas de leur faute... Dans la plupart des articles, on vous qualifie de "mère courage".

Qu'en pensez-vous ?

J'ai horreur de cette étiquette qu'on est en train de me coller. Tout comme je ne supporte pas tous les papiers qui ne parlent que de l'aspect négatif du handicap. Vous devriez regarder les autres parents, ils sont tous aussi forts que moi. Nous ne sommes pas exceptionnels, ou plus doués, c'est juste que nous n'avons pas le choix. Et puis, je n'ai pas l'impression de m'être sacrifiée non plus, j'ai toujours continué à vivre, à aller dîner avec des copines, à m'amuser.

Justement, malgré le sujet, il y a beaucoup d'humour dans votre livre. C'était important ?

C'est fondamental. Je voulais montrer qu'on est comme tout le monde. Même si on a un enfant handicapé, la vie ne s'arrête pas pour autant. On peut encore s'amuser et rire. On peut même se moquer de nos enfants ! Quand Samy vivait encore avec nous, j'étais épuisée, frustrée, mais je n'ai jamais été malheureuse. On n'a pas le temps de l'être (Rires).

Le fait d'avoir été déjà maman d'un petit garçon avant d'avoir eu Samy vous a-t-il aidé ?Enormément. Si je n'avais eu que Samy, je n'aurais pas eu de point de comparaison, donc j'aurais moins vite vu qu'il y avait des problèmes. Et puis Marco m'a obligée à être constamment gaie : il s'en fichait que je sois crevée et que j'ai passé la nuit à me battre avec Samy. Je devais être disponible pour jouer avec lui. Ce n'était pas facile mais ça a été drôlement indispensable. Il a aussi satisfait mon envie viscérale de contact que je n'avais pas avec Samy.

Vous racontez aussi que votre couple n'a pas survécu...

L'arrivée d'un enfant déjà c'est compliqué, alors quand celui-ci est handicapé, quel temps pouvez-vous consacrer à votre couple ? Il faut être sacrément solide pour tenir, et nous visiblement, on ne l'était pas. Il y a malheureusement beaucoup de familles monoparentales dans le handicap.

Depuis 2 ans Samy ne vit plus avec vous, mais dans un hôpital à Hyères, dans le Var. Comment va-t-il ? Samy va beaucoup mieux. C'était un enfant qui ne souriait pas beaucoup, et aujourd’hui il a même des éclats de rire. Il vient beaucoup plus vers nous également. Notre vie avec Marco a radicalement changé. J'étais tellement dans la fatigue et dans la violence, que la rupture a été salutaire.

Comment vivez-vous la séparation ?

C'est très compliqué. Je sais que c'est une chance d'avoir trouvé un endroit où il est enfin heureux, mais ça me vrille le cœur de me dire qu'il est mieux à l’hôpital qu'avec moi. Mais les choses étaient vraiment devenues impossibles.

Samy est très grand pour son âge, c'était de plus en plus compliqué pour le nourrir ou lui changer les couches.

Pensez-vous au jour où Samy sera adulte ?

Je me projette peu. Je veux bien changer ses couches à 10 ans, mais le jour où il sera grand et barbu, ça va être compliqué. Là c'est encore un gros bébé, il est attendrissant. Mais je ne sais pas s'il suscitera la même tendresse plus tard.

Comment vais-je faire si l'hôpital ne peut plus le garder un jour ? Je préfère ne pas y penser et vivre au jour le jour.

Marco, votre aîné qui a 13 ans, a-t-il lu votre livre ?

Oui, mais je ne sais pas ce qu'il en a pensé. Par contre, depuis qu'il l'a lu, il est très protecteur envers moi. Quand je rentre de tournage, il me saute dans les bras, me défait ma valise et met la table sans que j'ai besoin de lui demander !

Malgré les difficultés que vous avez rencontré avec Samy, vous avez toujours continué à travailler.

C'était essentiel ? Oui, parce qu'il fallait bien que j'assure financièrement ! Et puis j'ai suivi le conseil des infirmières de Necker qui m'ont fait promettre de ne pas faire comme certains parents et tout arrêter pour me consacrer uniquement à Samy. Ça a véritablement été salutaire. Faire un métier de représentation, où on doit toujours avoir le sourire, ça m'a aidée à ne pas m'enfermer.

Avez-vous pensé à avoir un autre enfant après Samy ?

Non, je n'aurais pas pu. J'aurais eu l’impression de retirer quelque chose à Samy. Prendre du plaisir avec un autre enfant "mieux" que lui, ça m'aurait fait culpabiliser. Sans parler du fait que j'aurais été ultra angoissée pendant la grossesse. Et puis gérer un bébé avec Samy, c'est trop compliqué !

agression

Publié à 15:34 par fandeloup Tags : enfant éléments
agression

Lyon : un enfant en agresse un autre au couteau pour des bonbons

Un enfant de 11 ans a été entendu librement cette semaine par la police de Lyon pour une agression au couteau présumée sur un autre petit garçon âgé de 9 ans Les faits sont survenus le 10 septembre dernier, en fin d'après-midi, dans un centre commercial de Saint-Priest au sein de la Métropole de Lyon.

L'agresseur présumé, un enfant de 11 ans, s'en serait pris à un autre garçon de 9 ans qui venait d'acheter un paquet de bonbons dans un magasin de ce centre commercial.

Selon les premiers éléments de l'enquête, il l'aurait menacé à l'aide d'un couteau pour lui extorquer les précieuses friandises.

L'auteur de cette incroyable agression est poursuivi pour «extorsion sous la menace d’un couteau», indique le site 20 minutes qui cite la direction départementale de la sécurité publique du Rhône.

Il doit comparaître devant la justice le 9 décembre pour expliquer son geste.