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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Tourisme gourmand : les bonbons entrent au musée
« Whaou, on va au musée ! » Pour entendre cette exclamation (plutôt rare !) sortir de la bouche de vos enfants, emmenez-les dans l’un des trois musées que nous avons sélectionnés.
Leur particularité : ils sont tous consacrés aux bonbons, douceurs, chocolats…
Chocolatrium :
tradition chocolat Manufacture Cluizel Ouvert en 2002, ce musée dépend de la manufacture Cluizel, créé par la famille du même nom et établie en haute Normandie depuis plusieurs générations. Au menu, explication de la fabrication du chocolat et son histoire.
Une visite de l’atelier est organisée, durant laquelle on peut voir les anciennes machines servant à confectionner les chocolats. Cerise sur le gâteau : la dégustation à la fin de la visite !
Informations pratiques :
La Manufacture Cluizel – Route de Conches – 27240 Damville – France Tel : 02 32 35 60 00
Ouvert du mardi au samedi de 10h à 16h45
(Adulte : 5,50€, enfants et étudiants : 4€, moins de 6 ans : gratuit)
Musée du bonbon Haribo :
du sucre et de la couleur Haribo Situé près de Nîmes, à Uzès, voici le royaume des amoureux des bonbons. Tout l’univers d’une des marques préférées des enfants est présenté. Vous pourrez découvrir l’ensemble des bonbons et assister à la fabrication de certains dans la salle des machines.
Des jeux permettent aux petits de s’amuser quand les parents pourront craquer à la boutique. Un vrai paradis « pour les grands et les petits ». On parie que vous ne repartirez pas les mains vides et avec un grand sourire.
Informations pratiques :
Pont des Charrettes, 30700 Uzès Tél : 04 66 22 74 39
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 13h et de 14h à 18h.
(Adulte : 7€, 5 à 15 ans : 5 €, moins de 5 ans : gratuit)
Palais des Bonbons et du Nougat: indémodable Musée des bonbons et du nougat Montélimar Ici on mélange les goûts pour encore plus de gourmandises. C’est à Montélimar que l’on retrouve ce site dédié au monde de l’enfance et des souvenirs. Vous pourrez visiter ce lieu sucré en famille et éveiller vos sens en touchant, goûtant et testant des gourmandises.
De nombreux jeux, films interactifs et jouets permettent à chacun de s’amuser en découvrant l’univers des bonbons. Le musée du nougat situé juste à côté vous fera goûter à la fabrication artisanale de ce produit typique.
Un lieu parfait pour un moment familial !
Informations pratiques :
100 Route de Valence, 26200 Montélimar Tel : 04 75 50 62 66
Ouverts le lundi de 14h à 17h30 et du mardi au dimanche de 10h à 11h30 et de 14h à 17h30.
(Adulte : 10,50 €, 6 à 12 ans : 8,50 €, 3 à 6 ans : 6,00 €, moins de 3 ans : gratuit)
Grande première: des chercheurs américains créent une cape d’invisibilité
«C’est la première fois qu’un objet en trois dimensions de forme quelconque a ainsi été rendu invisible», a expliqué un des créateurs.
Une cape d’invisibilité fine et souple prenant la forme de l’objet à dissimuler vient d’être mise au point aux Etats-Unis, marquant un nouveau progrès dans les efforts des chercheurs pour faire de la science-fiction une réalité.
Cette cape est encore microscopique: à peine 80 nanomètres (un nanomètre équivaut à un milliardième de mètre). Mais ses fondements scientifiques devraient permettre d’en augmenter les dimensions pour faire disparaître des objets beaucoup plus grands, à l’instar de celle de l’apprenti-sorcier Harry Potter.
Elle a été conçue au Lawrence Berkeley National Laboratory, qui dépend du ministère américain de l’Energie. Les chercheurs ont ainsi recouvert un objet tri-dimensionnel de la taille de quelques cellules biologiques avec cette pellicule d’invisibilité, le faisant littéralement disparaître.
«C’est la première fois qu’un objet en trois dimensions de forme quelconque a ainsi été rendu invisible», explique Xiang Zhang, directeur de la division des sciences des matériaux au Laboratoire national Lawrence Berkeley.
«Notre cape ultra-fine ressemble bien désormais à une cape. Elle est simple à concevoir et à faire fonctionner et pourrait être fabriquée en tailles normales pour dissimuler des objets macroscopiques», assure le scientifique.
Ecole primaire : une dictée par jour et du calcul mental dès la rentrée 2016
La ministre de l'Educaton Najat Vallaud-Belkacem et le président François Hollande lors d'une visite dans une école primaire le 1er septembre 2015 à Paris
Ce vendredi matin sur Europe 1, Najat Vallaud-Belkacem a annoncé qu'il y aurait une dictée quotidienne à l'école primaire dès la rentrée 2016. Sur le même sujet L'épreuve du feu pour Najat
«Cela permettra de garantir que les apprentissages des élèves sont solides, et pour bien maîtriser ça passe par de l'entraînement quotidien», a ajouté la ministre de l'Education nationale. Le calcul mental, la lecture à voix haute seront également quotidiens. Najat Vallaud-Belkacem s'est exprimée avant la présentation officielle des nouveaux programmes scolaires.
La première mouture, élaborée par le Conseil supérieur des programmes, avait été très critiquée au printemps dernier. L'enseignement de l'histoire, jugé par certains «culpabilisant» et sans chronologie, avait notamment suscité une levée de bouclier. Là aussi, des changements ont été apportés (voir encadré). Michel Lussault, président du CSP, avait prévenu il y a quelques jours que les nouveaux programmes ne feraient pas encore l'unanimité.
Les programmes #CSP ne satisferont pas tt le monde— impossible :-), mais chacun pourra constater l'importance et la cohérence du travail.
«Ce qui est nouveau, c'est que pour la première fois, les programmes de la scolarité obligatoire, du CP à la 3e, ont été pensés ensemble, et ça n'était jamais arrivé», s'est félicité Najat Vallaud-Belkacem.
Dans une tribune publiée dans Le Monde daté de samedi, la ministre défend également ce choix de «dictées quotidiennes» et le travail du gouvernement pour l'école. «Non, écrit-elle, en dépit des caricatures et des outrances polémiques, l’avenir de notre école n’est ni le déclin ni la médiocrité promise par ceux-là mêmes qui, pendant dix années, l’ont condamnée à l’abandon, aux baisses de résultat, au nivellement par le bas de notre jeunesse».
Selon Najat Vallaud-Belkacem, de nombreuses recherches «démontrent l'impact des exercices fréquents pour fixer les fondamentaux, qui consolident les savoirs les plus simples avant de développer les plus complexes». Cette mesure a été saluée avec ironie ce vendredi matin par François Fillon sur RTL. «La sagesse revient au ministère de l'Education nationale», a estimé l'ancien Premier ministre en jugeant que ce n'était «pas inutile, quand on regarde l'orthographe de nos concitoyens».
La députée les Républicains des Bouches-du-Rhône Valérie Boyer s'est elle moquée de ces annonces sur twitter, estimant que cela se faisait déjà. Révolution ! Selon .@najatvb, nos enfants feront tous les jours de la lecture, calcul et écriture... activités habituelles depuis des années
Certains professeurs ont également réagi mais visiblement sans grand enthousiasme. Une dictée par jour en primaire ? On progresse. Je propose de mettre en place les coups de règle sur les doigts, c'est moderne. vaste programme. Moi, je dicterais... La date du jour ;-)
L'écrivain Serge Joncour, lui, a réagi avec bonne humeur, truffant à dessein sa réaction de fautes d'orthographes. Quoi! C'est une honte.. La ministre de l'éducation serais pour une dictée qotidienne a l'écaule... sa alor, j'vois pas l"intérait...!
Conseil supérieur des programmes (CSP) a modifié les programmes d'histoire qui avaient été au coeur de la polémique au printemps dernier. Désormais, il n'y aura plus que des thèmes obligatoires, et non plus des périodes «facultatives» laissées au choix des enseignants.
L'enseignement de la période des Lumières est ainsi gravé dans le marbre du programme de 4e. La Première guerre mondiale sera étudiée en 3e et non en fin de 4e, comme l'avait précédemment proposé le CSP. Enfin, le judaïsme et la naissance du christianisme seront étudiés en 6e quand la naissance et l'expansion de l'islam seront abordées en 5e.
Réussir sa vie: Près de la moitié des Français (47%) considère "passer à côté de sa vie" et la population dans son ensemble juge que son niveau de bien être est "médiocre", selon un sondage Ipsos publié ce jeudi 17 septembre.
Les Français attribuent la note globale de 6,3 sur dix à leur niveau de bien-être et considère, pour 58% d'entre eux, que ce niveau connaît des variations importantes au cours d’une même année (58%), selon cette enquête réalisée du 3 au 12 août auprès d'un échantillon représentatif de la population comprenant 1005 personnes, à l'occasion des "Trophées du bien être" qui seront décernés lundi. Une majorité des Français avoue chercher "constamment" à gagner du temps (55%), notamment parce qu’ils ont trop de choses à faire dans leur vie(54%).
Chez plus d’un tiers d’entre eux, "cela génère une dévalorisation de soi-même, le sentiment de ne pas être reconnu à sa juste valeur (36%), de ne pas être bien dans son corps (35%) et suscite même des envies de tout quitter et de changer de vie(39%), détaille l'enquête.
Elle révèle aussi que plus d’un Français sur deux se déclare souvent stressé (54%), un stress qui concerne plutôt les femmes puisque 59% d'entre elles estiment subir des niveaux de stress plus forts que les hommes (+10 points par rapport aux messieurs).
Une majorité de femmes (61%) estiment ne pas avoir de temps pour s’occuper d’elles (+4 points par rapport aux hommes).
Les aides dont bénéficient les migrants en France
Face à la crise migratoire que traverse l'Europe, Manuel Valls vient d'annoncer le déblocage de 613 millions d'euros pour 2016 et 2017, pour financer l'accueil des réfugiés et des demandeurs d'asile en France.
Passage en revue des droits dont bénéficient les migrants en France. Quand il s'agit de se partager un problème, l'Union européenne ne sait toujours pas faire.
Les susceptibilités nationales des États membres bloquent toute perspective rapide d'une stratégie d'envergure pour faire face à la crise des migrants.
En attendant, les migrants affluent par la Grèce, la Hongrie, la Serbie, la Croatie, la Roumanie... Débordés, l'Autriche et l'Allemagne ont dû réinstaurer des contrôles à certaines frontières, et la France «n'hésitera pas» à le faire temporairement, a assuré Manuel Valls ce mercredi après-midi.
À ce stade, la France a prévu d'accueillir 24.031 réfugiés (en plus des 9100 initialement annoncés), principalement des Syriens, des Irakiens et des Érythréens.
En 2014, un peu moins de 15.000 demandes d'asile avaient obtenu le statut de réfugié, soit 22% des dossiers contre 45% en moyenne en Europe.
Pour 2015, François Hollande estime à environ 60.000 les demandes d'asile cette année, soit un niveau sembable à 2014, et comparable aux crises de 2001-2004 (ex-Yougoslavie, Bosnie, Algérie, Tchéchénie) mais bien moindre qu'en 1989 (Turcs et Zaïrois).
«La solidarité, c'est garantir un accueil des réfugiés et demandeurs d'asile», a estimé ce mercredi Manuel Valls, qui a annoncé le déblocage de 613 millions d'euros supplémentaires d'ici à 2017. En France, «toute personne qui souhaite solliciter la protection de notre pays doit être certaine (...) de bénéficier d'un accueil, d'un hébergement et d'une prise en charge optimaux», peut-on lire sur le site du ministère de l'Immigration.
Le Figaro fait le tour des aides sociales dont bénéficient les migrants qui fuient les guerres, selon qu'ils sont demandeurs d'asile - hébergés ou non - ou réfugiés.
• Le demandeur d'asile ne peut pas prétendre aux mêmes droits sociaux que les Français Pour rappel, un «migrant» devient un «demandeur d'asile» dès lors qu'il a formulé une demande d'asile. Le demandeur d'asile devient «réfugié» s'il obtient une réponse favorable à sa demande. En France, la demande d'asile se fait auprès de l'Ofpra, l'Office français de protection des réfugiés et apatrides. Entre le jour de la demande d'asile et la réponse (positive ou négative) de l'Ofpra, le migrant ne peut pas prétendre aux aides et droits sociaux dont les Français et les étrangers «en situation régulière» peuvent bénéficier. En revanche, il peut toucher des aides spécifiques pour survivre.
• L'allocation temporaire d'attente Tant que le demandeur d'asile ne bénéficie pas d'un hébergement d'urgence, il peut toucher une «allocation temporaire d'attente» (ATA), qui s'élève à 11,45 euros par jour, soit 343,50 euros par mois (pour un mois de 30 jours). Un montant est révisé une fois par an, en fonction de l'évolution des prix (hors tabac) prévue dans le rapport économique, social et financier annexé au projet de loi de finances de l'année. Elle est versée par Pôle emploi. L'ATA est donc versé le temps de la procédure de la demande d'asile, et peut être maintenue en cas de réexamen de la demande. L'allocation ne peut être demandée qu'une fois. L'ATA est également ouverte aux bénéficiaires de la «protection temporaire» - un dispositif décidé au niveau européen en cas d'afflux massif de personnes déplacées -, ainsi qu'aux bénéficiaires de la «protection subsidiaire». Ce dernier s'adresse à un étranger qui ne remplit pas les conditions d'obtention du statut de réfugié, mais qui prouve qu'il est exposé à un risque d'atteinte grave (peine de mort ou torture notamment) dans son pays d'origine. Dans tous les cas, pour obtenir l'ATA, il faut justifier de ressources inférieures au RSA (524,16 euros pour une personne seule). Outre l'ATA, pour ceux qui ne sont pas hébergés, les plate-formes d'accueil pour les demandeurs d'asile (les Pada, il y en a 34 en France) leur proposent un accompagnent administratif et social.
• L'allocation mensuelle de subsistance Dès lors que le migrant demandeur d'asile se voit proposer un hébergement en Centre d'accueil de demandeurs d'asile (Cada), il peut toucher, à la place de l'ATA, l'«allocation mensuelle de subsistance» (AMS), qui atteint 91 euros par mois. Soit trois euros par jour. Le montant plafond de cette AMS atteint 718 euros par mois, pour une famille avec 6 enfants (voir ici pour consulter les montants des allocations prévues en fonction des situations). Cette allocation est versée par le Cada. En France , on comptait 25.000 places Cada en juin 2015. Le taux d'occupation frôlait alors les 95%. C'est ainsi que le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a annoncé qu'une prime de 1000 euros par place serait versée aux communes créant des hébergements supplémentaires d'ici à 2017. Le coût de l'hébergement des demandeurs d'asile est estimé à près de 350 millions d'euros par an. Si le demandeur d'asile refuse la place d'hébergement proposée, il ne peut prétendre à aucune aide financière de la part de l'État français.
• L'accès aux soins, un droit fondamental Tout demandeur d'asile en cours de procédure a accès au régime général d'assurance maladie, ou «couverture de base», qui est considéré comme un droit fondamental. Ils sont dispensés de la condition de résidence en France depuis plus de 3 mois pour en bénéficier. Les demandeurs d'asile qui souhaitent bénéficier de la couverture complémentaire (CMU-C) peuvent en faire la demande en même temps qu'ils constituent leur dossier de demande d'affiliation à la CMU de base, ce qui leur assure une prise en charge complète des frais de santé. Toutefois, les droits à la CMU-C ne sont ouverts qu'un mois après l'enregistrement du dossier.
• Les APL ne concernent pas les demandeurs d'asile... Les demandeurs d'asile ne touchent pas d'allocations logement. Pour les étrangers, percevoir des APL nécessite de justifier d'un titre de séjour en cours de validité, ce qui n'est pas le cas des demandeurs d'asile. Idem pour l'allocation de logement sociale (ALS), qui cible principalement les jeunes, les étudiants, les ménages sans enfants et les personnes âgées et handicapées. Ainsi que l'allocation de logement familiale (ALF). En revanche, c'est le cas des réfugiés: quand l'Ofpra accepte la demande d'asile, le candidat reçoit un récépissé de trois mois renouvelables portant la mention «reconnu réfugié». Ce qui lui ouvre le droit à la délivrance d'une carte de résident renouvelable tous les 10 ans, facilite son accès à la nationalité française et lui permet d'accéder aux mêmes droits sociaux (RSA, prestations familiales, CMU, APL, etc.) que les nationaux. Les réfugiés peuvent donc faire une demande de logement social, par exemple. Dans certaines situations de vulnérabilité particulières, l'accès à des centres provisoires d'hébergement (CPH) est ouvert. En échange de ces droits, le réfugié doit suivre une formation civique et linguistique avant de passer un bilan de compétences professionnelles.
• ...tout comme le RSA Pour toucher le RSA (Revenu de solidarité active), il faut avoir au moins 25 ans et être «en situation régulière en France», quelle que soit la nationalité. Cela signifie, pour un non-Européen, qu'il faut justifier d'une carte de résident, ou de justifier depuis au moins cinq ans d'un titre de séjour permettant de travailler en France. Avant la «loi Sarkozy» sur l'immigration de 2003, c'était trois ans. Les demandeurs d'asile n'ont donc pas accès au RSA. En revanche, les réfugiés, les apatrides et les bénéficiaires de la protection subsidiaire peuvent prétendre au RSA, sans condition de résidence de 5 ans en France.
• Accès au marché du travail Les demandeurs d'asile peuvent déposer une demande d'autorisation de travail lorsque l'Ofpra n'a pas rendu sa décision dans le délai de neuf mois (un délai écourté de trois mois dans le cadre de la loi du 29 juillet 2015 relative à la réforme du droit d'asile) suivant l'enregistrement de la demande d'asile. Dans ce cas, le demandeur d'asile est soumis aux règles de droit commun applicables aux travailleurs étrangers pour la délivrance d'une autorisation de travail. Les réfugiés, eux, dès lors qu'ils ont leur récépissé, peuvent accéder au marché du travail de la même manière que les Français.
• L'éducation des enfants Les demandeurs d'asile sont soumis à l'obligation scolaire dès lors que leurs enfants ont entre 6 et 16 ans. «Le droit à la scolarité est garanti dans notre pays et je veillerai (...) à ce que partout sur les territoires, on puisse assurer à ces enfants, à ces jeunes, un accès à l'école ou à l'université, bref la poursuite de leurs études qui leur permettront de s'insérer normalement dans notre pays», a assuré Najat Vallaud-Belkacem, la ministre de l'Éducation. Les services du ministères ont estimé l'accueil d'enfants de réfugiés entre 8000 et 10.000 sur deux ans.
• Des aides locales disparates Gratuité des transports en commun, de la cantine pour les enfants, inscription à une épicerie sociale: les collectivités locales proposent aussi des aides beaucoup plus faciles à toucher pour les ressortissants étrangers. Ces aides sont en effet allouées, outre sur conditions sociales (petits revenus, chômage, etc.), à ceux qui habitent dans la commune ou dans l'agglomération.
Gigantesque : il poste la bête qu'il a attrapé près de Fukushima
Étant un amoureux de la pêche, Hirasaka Hiroshi poste souvent ses exploits sur les réseaux sociaux.
Mais celle-ci est la plus bonne de tous : il est tombé sur un poisson-loup long de 2 mètres au large des cotes de l'île d'Hokkaido.
Un vrai monstre de mer avec une taille dépassant la taille normale : 1.2 mètres.
Est-ce dû à l'accident de la centrale de Fukushima ou un simple phénomène naturel ?
En tout cas, c'est une belle récolte !
Ce qu'il fait avec sa fille malade après le bain vous laissera sans voix. Sublime
L'histoire incroyable de la petite Brenna et de ses merveilleux parents ! La vie de Courtney et Evan Westlake ressemblait à celle d'un couple idéal.
Les deux jeunes gens sont beaux, ils s'aiment et de leur amour est né le petit Connor. Tout va pour le mieux, et le couple décide d'avoir un second enfant. Comme n'importe quel autre couple, Courtney et Evan attendaient les résultats de chaque échographie avec anxiété et espoir et ils étaient fous de joie à chaque fois qu'on leur disait "tout va bien". Un jour on a ajouté : "Vous allez être les heureux parents d'une petite fille".
Le bonheur du couple est à son comble. Les amoureux complices imaginent leur futur avec sérénité : "En tout cas, c'est toi qui lui fera ses tresses", rigole le papa, Evan.
Le grand jour arrive quelques jours avant la date prévue et là, tout s'effondre. La petite Brenda est emportée immédiatement aux soins intensifs après sa naissance. Elle ne bouge pas, elle a beaucoup de fièvre et des blessures sur tout le corps
Elle a une maladie grave connue sous le nom de ictiosis. La composition de sa peau est anormale, ce qui se traduit par une peau très rouge qui pèle énormément.
Courtney et Evan ne sont autorisés à tenir leur petite fille dans leurs bras que deux semaines après sa naissance ! A partir de ce jour-là, on leur apprend qu'ils devront réaliser des soins particuliers pour la peau de leur fille tous les jours.
Au-delà de l'effort physique que cela suppose, c'est aussi un choc émotionnel. Où qu'ils aillent avec leur fille, les autres enfants la remarquent, la montrent du doigt, posent des questions inappropriées à leurs parents...
Cela rend Courtney très triste. La jeune maman comprend ces enfants qui s'interrogent de manière tout à fait légitime, puisque la petite Brenna est différente, en effet. Mais elle ne comprend pas la réaction de leurs parents, qui préfèrent les faire taire plutôt que de leur donner des explications.
Pourquoi la barrière entre nous semble-t-elle insurmontable ?
Pourquoi n'utilisez-vous pas l'exemple de notre famille pour expliquer à vos enfants que la différence n'est pas un mal ?
Elle aurait aimé que ces parents prennent un peu de leur temps pour parler avec elle de la petite Brenna. Courtney leur aurait expliqué qu'elle est très fière de sa petite fille, que rien n'impressionne et que son grand-frère adore !
Ce que Courtney ne comprend pas, c'est pourquoi les autres parents et les personnes en général évitent de parler des gens qui ont une apparence différente
De quoi ont-ils/elles peur ?
Il/elles pourraient s'approcher et me demander quel âge à ma fille, pour que leurs enfants voient que tout est normal. Et quand un enfant demande pourquoi Brenna est si rouge, pourquoi ne pas dire simplement : 'Je ne sais pas, mais l'apparence n'est pas importante parce que nous sommes tous différents', non ?
Evan, le papa de Brenna, est lui aussi très fier de sa fille. Et un jour, Courtney a été témoin d'une scène magnifique et émouvante entre ce papa et sa fille. Evan donne le bain à la petite Brenna tous les soirs. Cela fait partie des soins particuliers qu'il faut prodiguer à leur fille. Après chaque douche, il doit lui sécher la peau avec beaucoup de délicatesse, et la tête de manière un peu plus énergique pour permettre à ses rares petites boucles blondes de pousser.
Et tous les soirs, l'homme qui avait dit avant la naissance de sa fille que jamais il ne s'occuperait de ses cheveux répète le même processus. Avec sa femme, il fait une petite tresse à Brenna à l'endroit où elle a le plus de cheveux. La petite fille est alors tellement fière de sa coiffure !
A ce moment-là, ses parents sont persuadés que leur Brenna sera capable de grande chose dans la vie, peu importe son apparence. Si vous aussi, vous trouvez que la force de cette famille est extraordinaire et que vous voulez que les gens changent leur manière de juger sur les apparences, vous êtes invités à partager cette formidable histoire d'amour.
Merci !
Longjumeau : un bébé de 17 mois contrôlé positif au cannabis
Longjumeau, archives. Un homme de 25 ans est sorti de ses gonds à l’hôpital, refusant de voir son fils gardé en observation. Il sera jugé demain au tribunal d’Evry pour violences envers le personnel et sa compagne.
La drogue était visiblement mal dissimulée. Un bébé de dix-sept mois a été contrôlé positif au cannabis, ce dimanche, à l’hôpital de Longjumeau après avoir absorbé une boulette de shit, qui traînait dans l’appartement de ses parents, à Epinay-sur-Orge.
Le voyant tituber en début d’après-midi à leur domicile, la mère de l’enfant, qui s’occupe alors de son nouveau-né d’un mois, décide de l’emmener aux urgences.
Elle ignore alors totalement ce qui arrive à son fils. Le père, prévenu par téléphone, rejoint sa compagne de 22 ans à l’hôpital. Il suggère alors la possibilité d’une absorption de stupéfiants.
Le test confirme ses craintes. Si l’enfant n’est pas en danger, le personnel de santé décide de le garder l’enfant hospitalisé pour la nuit.
Le père s’en prend au personnel de l’hôpital Selon les premiers éléments de l’enquête, le père serait alors sorti de ses gonds, voulant à tout prix ramener son fils à la maison.
Il aurait insulté le personnel de l’établissement, s’en prenant notamment à une infirmière puis à sa femme, lui reprochant de ne pas avoir été assez attentive. Prévenus par l’hôpital, les policiers ont interpellé dimanche soir le jeune homme de 25 ans et l’ont placé en garde à vue au commissariat de Longjumeau.
Le père de famille sera déféré ce mardi matin au parquet d’Evry avant d’être jugé en comparution immédiate.
Une mère achète 12 sachets de cocaïne pour le 18ème anniversaire de sa fille
Près de 6 grammes de cocaïne ont été retrouvés par la police chez une mère britannique, qui a expliqué à son procès vouloir les offrir à sa fille pour célébrer son 18ème anniversaire.
Elle a écopé de 9 mois de prison avec sursis et 250 heures de travaux d’intérêt général.
Elle pensait faire une petite surprise à sa fille pour être sûre qu’elle et ses amis "passeraient un bon moment".
Nicola Austen, une mère britannique de 37 ans, a acheté près de 6 grammes de cocaïne qu’elle avait l’intention d’offrir à sa fille pour son 18ème anniversaire, rapporte le quotidien The Telegraph.
Déjà condamnée six fois, dont une pour possession d’amphétamine en 2010, cette femme vivant à Southborough, dans le comté du Kent, au sud-est de Londres a été arrêtée en janvier dernier avec pour 300 livres (un peu plus de 400 euros) de cocaïne en sa possession.
La drogue -quelque 5,65 grammes au total- était cachée dans sa chambre. Prison avec sursis Nicola Austen a expliqué avoir réservé un trajet en limousine jusqu’à Londres et acheté 12 pochons de cocaïne pour le 18ème anniversaire de sa fille.
"Elle voulait être sûre qu’ils passeraient un bon moment", a souligné le procureur lors de son procès. Mais la bande n’aura finalement pas pu en profiter: la drogue a été retrouvée par un chien renifleur lors d'une visite de la police. La mère a écopé vendredi dernier d’une peine de 9 mois de prison avec sursis et à 250 heures de travaux d’intérêt général.
Selon le site kentonline.co.uk, elle s’est présenté devant la cour avec un sac prêt pour aller en prison. Mais elle ne s’est finalement pas retrouvée derrière les barreaux, son avocat expliquant qu’un séjour en prison aurait un effet néfaste sur son jeune fils.
Migrants : à quelles allocations ont-ils vraiment droit ?
Vous avez dû voir passer nombre de messages dénonçant des allocations dont bénéficieraient les migrants qui arrivent en France . Ce genre de message dénonce parfois même de prétendus meilleurs traitements offerts aux migrants qu'aux SDF "bien français".
Comparer les misères, ce n'est pas très élégant. Asséner des mensonges sur le sujet, cela devient obscène. APL, RSA, AMS, ATA, etc. Metronews fait le point sur ce qui est vrai et (surtout) sur ce qui est faux.
? "Les migrants touchent 524 euros de RSA" C'est faux. Le RSA est accessible aux Français et aux étrangers en possession d'un titre de séjour et d'une attestation de la préfecture indiquant que la personne est autorisée à travailler depuis 5 ans, comme le détaille le site service-public.fr. Ce dont les migrants ne disposent pas.
? "Les migrants bénéficient des allocations logement" C'est faux. Pour exactement les mêmes raisons, les migrants arrivés sur le territoire n'ont pas accès à des allocations logement. Si le statut de réfugié finit par leur être accordé, ils peuvent alors y avoir accès (encore un lien service-public.fr)... si tant est qu'ils trouvent un logement conventionné.
? "Les migrants touchent 1000 euros d'aides spécifiques" C'est faux. 340 euros mensuels d'allocation temporaire d'attente + 718 euros d'allocation mensuelle de subsistance. Avec des chiffres sourcés "ministère de l'Intérieur" (et un choix d'illustration digne de Robert Ménard), certains sont prêts à vous faire croire que chaque migrant piochera 1000 euros de ressources françaises chaque mois... ...Sauf que c'est d'une mauvaise foi admirable. Car voici ce qui est vrai.
? "Les migrants bénéficient de 11,45 euros par jour d'Allocation temporaire d'attente" C'est vrai.
Les migrants peuvent bénéficier en réalité d'une seule de ces deux aides : - 11,45 euros par jour d'allocation temporaire d'attente (ATA), s'ils ne bénéficient pas d'un hébergement d'urgence. - 91 euros par mois d'Allocation mensuelle de subsistance (AMS), s'ils sont hébergés en Centre d'accueil de demandeurs d'asile (CADA).
Soit entre 3 et 11,45 euros par jour. Les 718 euros mensuels, c'est le maximum d'AMS prévu pour une famille totale de 6 personnes. Mais attention, pour pouvoir bénéficier de ces allocations, les migrants doivent obligatoirement faire une demande de droit d'asile.
En attendant la décision administrative sur leur sort, ils disposent d'une autorisation provisoire de séjour mais demeurent en situation irrégulière sur le territoire.
Tous les migrants n'en font pas la demande mais ces aides sont un minimum vital pour se nourrir dans l'urgence. En outre, la France prévoit que personne ne soit laissé sans soin sur son sol et qu'aucun enfant ne soit laissé sur le bord du chemin de l'école. Là aussi, tous les migrants n'en profitent pas. Il faut déjà être au courant de ces droits.