Trie-sur-Baïse. Ivre, il jette un yorkshire par la fenêtre puis l’achève à coups de poêle

Mathieu, 27 ans, se présente dans le box des accusés, l’air inquiet et nerveux.

Il le répétera plusieurs fois au juge : il regrette.

Le 9 mars, il se trouve dans l’appartement d’un ami, à Trie-sur-Baïse, autour d’une bouteille de vodka. Le chien d’un voisin - un yorkshire - est également présent.

«Je jouais avec lui puis il m’a mordu, alors je l’ai jeté d’un geste de la main. Mais je n’avais pas vu que c’était en direction de la fenêtre !».

Le petit chien, lui, tombe dans la rue, un étage plus bas, à l’agonie. Mathieu descend immédiatement, paniqué. Il récupère le chien, le ramène dans l’appartement et tente de le ranimer, en vain. C’est là qu’il saisit une poêle et s’en sert pour achever l’animal. Les coups sont portés tellement fort que le manche se brise. Des faits qu’il nie, mais que ses deux amis, présents sur les lieux, affirment.

«Ce n’est pas moi qui l’ai assommé avec la poêle, c’est juste moi qui prends parce que j’ai le plus gros casier !», se défend-il.

Et le juge d’énumérer les précédents du jeune homme: emprisonné 6 mois, placé en semi-liberté, plusieurs séjours en psychiatrie, addiction à l’alcool… 13 condamnations au total.

Présent pendant l’audience, le propriétaire du chien, visiblement ému, ne réclame aucun dommage. La procureur, elle, ne mâche pas ses mots.

Photo à l’appui, elle insiste sur l’acharnement porté à l’animal et les flaques de sang retrouvées sur place.

6 mois de prison fermes requis, le juge en retient 3 : «De quoi vous laisser le temps de réfléchir à ce que vous avez fait», lui lance le juge.

Dépité, le condamné a juste le temps de lâcher, dans son box : «Je vais me couper un doigt et l’envoyer au juge».

Mustapha Masri, le président de la société SOVIALIM porteuse du projet a annoncé officiellement qu'il jetait l'éponge. Le maire de Guéret, Michel Vergnier, a confirmé l'information.

Depuis plusieurs mois le projet d'abattoir halal du patron de la SOVIALIM avait crée une polémique qui avait fini par résonner bien au delà des frontières de la Creuse.

Les défenseurs de la cause animale du NARG avaient su médiatiser leur lutte. Une nouvelle manifestation était prévue à la fin de mois.

Quant à Michel Vergnier, il avait indiqué en janvier dernier que pour lui, le projet était "suspendu".

Aujourd'hui, c'est l'initiateur du projet lui-même qui annonce la fin de l'aventure dans un communiqué publié cet après-midi. "La société SOVIALIM a le regret d'annoncer qu'elle met fin à son projet d'abattoir sur la Creuse".

Pour expliquer sa décision Mustapha Masri, le patron de SOVIALIM, évoque "l'acharnement" et "les menaces" à l'encontre de ses interlocuteurs Creusois, l'absence de soutien politique à son projet, la "stigmatisation des juifs et des musulmans autour de ce projet" et le "tapage" orchestré par le collectif NARG.

Mustapha Nasri rappelle aussi que son projet était censé répondre à une demande de viande Halal d la part des grands pôles urbains français qui est de plus en plus alimentée par des importations de viande étrangère.

Il évoque aussi les 30 emplois que devait créer son projet dans le 4ème département d'élevage français ... aujourd'hui dépourvu d'abattoir.

En Afrique du Sud, Gerdi McKenna est une femme atteinte d’un cancer du sein qui a perdu ses cheveux suite aux séances de chimiothérapie.

En Février 2014, toutes ses amies ont décidé de surmonter cette maladie avec elle.

Les 11 copines se sont réunies pour faire une surprise à Gerdi McKenna. Elles se sont toutes rasées le crâne dans un salon de coiffure puis ont attendues leur amie dans un restaurant, afin de lui montrer qu’elles s’étaient toutes rasées la tête pour la soutenir.

Un photographe a été engagé afin d’immortaliser cette journée en photo. Une belle preuve d’amitié !

Les trafiquants de drogue sont prêts à défier tout pour leur valeureuse marchandise.

User d’objets de passe, d’animaux, d’hommes et on vient désormais d’apprendre qu’ils usent des grand-mères.

Une femme de 94 ans a été arrêtée au poste de la frontière mexicaine de Nogales, en Arizona, elle est confrontée pour trafic de stupéfiants.

La grand mère traversait la porte piétonne de Morley lorsque les agents frontaliers l’ont choisi au hasard pour une inspection plus poussée, selon un communiqué de la « US Customs and Border Protection ».

Les agents ont précisé qu’ils ont trouvé six paquets de marijuana soit environ 6kg attaché de son torse à ses jambes. La marijuana a été évalué à $5250. La grand mère qui n’est toujours pas identifiée a séjourné quelques jours au poste de police de la ville de Nogales, elle vient d’être transféré à la garde de « l’US Immigration and Customs Enforcement ».

Parmi les dernières techniques en date, nous trouvons le jet de cannabis par catapulte, un tunnel creusé en dessous du poste frontière, et enfin la nouvelle technique du sous-marin téléguidé pour passer la marchandise, malin !

Le ministère de la santé recommande aux personnes vulnérables ou sensibles (femmes enceintes, enfants de moins de 5 ans, personnes de plus de 65 ans, asthmatiques, diabétiques ou malades cardiaques) de réduire leurs activités physiques intenses, surtout en extérieur, et d’éviter de sortir en début de matinée ou en fin de journée, notamment aux abords des axes routiers fréquentés. Ces conseils ne s’appliquent à la population générale qu’en cas de gêne inhabituelle (fatigue, mal de gorge, toux, essoufflement, palpitations).

L’air intérieur des habitations et des bureaux peut également être affecté par la pollution extérieure. « Il reste nécessaire d’aérer – au moins dix minutes par jour – les espaces intérieurs et de s’assurer que les systèmes de ventilation fonctionnent correctement », préconise Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe). Il est par contre inutile de se protéger avec un foulard ou un masque de chirurgie, seuls certains masques équipés de filtres à charbon peuvent être efficaces, selon Airparif.

Quant au mode de déplacement, mieux vaut privilégier le vélo ou à la marche à pied à la voiture , en raison de l’absence d’environnement confiné et de la possibilité de s’éloigner du flux de circulation grâce, par exemple, aux pistes cyclables. Et à condition de pédaler à un rythme modéré afin d’éviter l’hyperventilation et donc l’inhalation excessive de polluants.

Son incroyable histoire avait fait le tour du monde. Un vieil homme de Lexington (Mississippi) s'était réveillé aux pompes funèbres, après avoir été déclaré mort.

Jeudi, deux semaines jour pour jour après la funèbre mésaventure, Walter Williams, 78 ans, est mort de causes naturelles, a annoncé la famille interrogée par la station

Déclaré mort, un Américain se réveille aux pompes funèbres «Ils sont revenus et l'ont repris à 4H15 du matin», a indiqué Eddie Hester, un neveu, «je crois qu'il est bien parti cette fois, même si ce fut un miracle de l'avoir encore deux semaines avec nous».

Il y a deux semaines, le vieil homme avait été transporté aux pompes funèbres, après avoir été déclaré mort chez lui par le médecin légiste local.

Il s'était ensuite réveillé dans sa housse mortuaire, alors qu'il allait être embaumé, tapant de l'intérieur pour pouvoir en sortir.

Un mélange de médicaments pourrait avoir provoqué l'absence de signes vitaux, avaient estimé les médecins de l'hôpital où cet ancien agriculteur avait été brièvement transporté avant d'être ramené à son domicile.

Elle laisse son bébé dans la voiture avec une note: « Appelez en cas de besoin » bebe voiture

En Nouvelle-Zélande, une maman a laissé son bébé dans sa voiture pendant qu’elle faisait du shopping.

Elle avait tout de même laissé une note sur celui-ci, précisant le numéro de téléphone à appeler en cas de problème.

Laisser son bébé de quelques semaines, seul dans une voiture, est-ce une bonne idée?

Cette maman, habitant Wellington, en Nouvelle-Zélande, n’y a en tout cas vu aucun problème.

Certains passants ont quant à eux trouvé cet acte choquant et n’ont pas hésité à diffuser la photo du bébé sur le Net pour dénoncer l’attitude d’une mère qu’ils considèrent comme irresponsable.

Et vous, qu’en pensez-vous?

Si de bon matin, il y a bien quelque chose qui peut nous mettre de mauvaise humeur, ce sont les voitures mal garées. Déjà qu’en soi, se dire qu’il n’y a pas de places c’est désagréable, voir qu’il y aurait LARGEMENT la place pour se garer mais que le gougnafier qui est passé avant a décidé de faire fi des règles de courtoisie et du code de la route, c’est insupportable. Joignant les actes à l’envie, Jason Roberts, un YouTubeur américain a décidé de faire une petite frayeur aux conducteurs égoïstes en traçant à la bombe les limites à peu près précises des places de parking en question sur la carrosserie de leur voiture.

ENLEVÉE PAR SA BELLE-FAMILLE QUI VOULAIT LA FAIRE AVORTER EN ESPAGNE

C’est sa mère qui a prévenu les secours. Une Grenobloise de 31 ans, enceinte de cinq mois et demi, a été enlevé par son compagnon, sa belle-sœur et son beau-frère, mardi soir.

La belle-famille de la jeune femme avait pour objectif d’emmener la victime en Espagne afin de la forcer à avorter. Mais ils ont été interpellés avant d’avoir pu passer la frontière espagnole, rapporte le « Dauphiné libéré ».

Mardi soir à Grenoble, la trentenaire est embarquée de force dans une voiture. Le compagnon de la jeune femme, qui serait âgé de 28 ans selon le quotidien régional, son frère et sa sœur, prennent la route, direction l’Espagne.

La victime réussit à envoyer un texto à sa mère qui prévient alors les pompiers de l’Isère. La police des frontières est alors mobilisée et intercepte le véhicule à quelques kilomètres seulement de la frontière.

Choquée, la jeune femme est hospitalisée

Le compagnon de la jeune femme et ses deux complices ont été placés en garde à vue au commissariat de Grenoble et doivent être présentés à un magistrat instructeur ce jeudi après-midi, précise le « Dauphiné libéré ».

Une information judiciaire pour « enlèvement » a également été ouverte par le parquet du tribunal de grande instance de la ville.

Très choquée, la jeune femme a quant à elle été hospitalisée à Perpignan.

Un lutteur vomit à cause d’une flatulence de son adversaire petelutte2

Lors d’un championnat à Las Vegas (NAGA Grappling Championship), un lutteur de « grabbling », un dérivé de lutte au sol, a été victime de la malice de son adversaire.

Pour se débarrasser de lui, ce dernier n’a pas hésité à lâcher une flatulence dans son visage. Pris d’un malaise à cause de ce coup bas, le premier combattant a directement vomi.

Il a tenté d’expliquer les causes de son malaise à l’arbitre. « Il m’a pété au visage », lance-t-il, furieux et dégoûté.

Pas très classe.