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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Un loup disséqué devant les enfants DANEMARK
— Le musée d'histoire naturelle d'Aarhus au Danemark a disséqué un loup devant un public majoritairement composé d'enfants.
En réaction à la polémique mondiale née de l'abattage du girafon "Marius" ce dimanche au zoo de Copenhague, le musée d'histoire naturelle d'Aarhus au Danemark a disséqué un loup devant un public majoritairement composé d'enfants.
Les danois avaient été fortement agacés par l'agitation qui avait suivi la mort du girafon et le fait qu'il avait été donné comme repas pour les fauves du zoo.
Pour eux, il n'y avait pas matière à la vague de réactions outrées des défenseurs des animaux.
Ils insistaient sur le côté pédagogique du découpage public de l'animal
Acte II ...mercredi avec cette dissection publique d'un loup, pour laquelle on a convié les familles avec des enfants.
Le collectif Podbete est une équipe de bénévoles passionnés issus de différents milieux : associations, plongeurs, professeurs, photographes, agriculteurs, simples particuliers, qui s’impliquent dans le soutien d’initiatives de conservation et d’information au grand public.
Mission :
Soutien aux Initiatives de conservation des espèces sauvages, des semences et races anciennes et information au près du grand public, sur toutes les espèces de la faune sauvage terrestre ou marine et sur l’urgence de leur situation.
Malgré la gravité du contexte actuel, nous ne voulons pas nous laisser aller à la noirceur et nous ferons en sorte de relayer un maximum d’actions pouvant aboutir sur un résultat positif vers un retour à l'autonomie, que nous pensons au centre de beaucoup des maux de notre planète.
L’éducation et l’information des plus jeunes sont des moyens non négligeables pour arriver à inverser la tendance.
Donc un mot d’ordre :
pas de catastrophisme gratuit, mais au contraire du soutien d’initiatives concrètes de préservation ou d’actions, des fiches techniques, des vidéos, des gestes à faire ou à éviter (que nous évoquons aussi lors de sorties pédagogiques) qui fassent du bien à notre environnement ou tout au moins qui réduisent notre impact sur la nature qui nous entoure pour agir chacun à notre échelle.
Description :
Nous avons créé ce site autour de notre passion commune afin de nous faire l’écho de ceux qui se battent quotidiennement sur le terrain pour la sauvegarde de ce précieux patrimoine inestimable :
La Biodiversité. Sur internet :
La mission que nous nous sommes attribuée est d’informer le plus largement, notamment auprès des scolaires, sur les espèces en voie de disparition.
Notre principale activité se retrouve sur ce site avec les outils que nous proposons au public, aux enseignants, et au travers de nos actions email.
Sur le terrain :
Depuis 2013, la réalisation d'achats groupés afin d'améliorer notre pouvoir d'achat ou nos ressources, diminuer notre impact sur l'environnement et notre santé, dans un cadre humain et social de collaboration, d’entraide et de partage...
Pour 2014, nous allons créer une ferme autonome participative, un lieu associatif où chacun peut se retrouver pour cultiver ses légumes, élever ses animaux de ferme, ou encore réaliser ses propres produits Bio, comme la farine, l'huile ou tout simplement sa confiture.
A terme, c'est un village artisanal complet, avec pour objectif la sauvegarde des métiers, races et semences anciennes qui se développerait autour du groupement d'achats. L’objectif final étant « l'autonomie alimentaire », face au capitaliste galopant, dans un premier temps et pourquoi pas plus par la suite, autonomie vestimentaire, énergétique et bien d'autre.
L vendait de la viande humaine dans Le kebab
Insolite
Trois SDF on été arrêté à Perm, pour avoir tué un jeune homme , mangé une partie de sa chair et vendu les restes de viandes à un kebab.
Les soupçons se sont éveillés après la découverte de restes humains prè d'un arrêt d'autobus à la périphérie de la ville, située à 1150 km de Moscou.
Les trois SDF, déjà connus des services de police, sont soupçonnés d'avoir tué la victime à coups de couteau et de marteau, selon les enquêteurs.
C'est la faim qui les aurait poussés à passer à l'acte. D'après les médias russes, la gargote spécialisée en kebabs et pâtés aurait bel et bien servi à ses clients la viande humaine vendue par les trois marginaux.
On le sait que la chirurgie esthétique peut avoir de nombreux avantages. Mais elle peut également provoquer de graves dégâts.Surtout si l’on décide d’opérer soi-même…
Une Coréenne en a fait la malheureuse expérience.
Âgée d’une quarantaine d’année, Hang Mioku est accro à la chirurgie esthétique depuis 20 ans.
Suite à de multiples refus aux chirurgiens de l’opérer et à une tentative de thérapie, Hang replonge.
Mais elle est à court d’argent.
Elle trouve un médecin qui accepte de lui faire des injections. Il va jusqu’à lui fournir une seringue et du silicone pour qu’elle réalise les démarches suivantes elle-même !
Une fois son stock de silicone terminé, elle continue les injections avec…de l’huile de cuisine !
Le résultat est catastrophique.
La pauvre femme est complètement défigurée.
Elle a pu subir une première chirurgie réparatrice grâce à la générosité de quelques personnes touchées par son histoire mais elle est loin d’avoir retrouvé son joli visage
Kath et Bill ont 91 ans tous les deux et sont mariés depuis 70 ans. Leur secret de longévité est étonnant.
Ils confient qu’ils se disputent une fois par jour et que c’est là que réside le secret de leur bonheur amoureux.
Ils estiment leurs disputes au nombre de 25.550. « Vous devez prendre le tout, le mauvais comme le bon », a confié Kath Shevels, précisant qu’ils riaient aussi beaucoup ensemble.
Le couple s’est rencontré pendant la Seconde Guerre mondiale à Liverpool. Kath avait 20 ans.
Elle a servi à manger à Bill et ce fut le coup de foudre. Ils se sont mariés rapidement, en 1943, au cours d’une sobre cérémonie.
A l’heure de célébrer leur 70e anniversaire de mariage, ils sourient:
« Vous devez être capable de rire de tout. Nous sommes ensemble depuis 70 ans, nous devons avoir bien fait les choses quelque part. »
Les parents des 5 familles qui incriminent les vaccins dans le handicap de leur enfant.
Les enfants, de g. à d.: Naomie, Lolita, Lucia, et Terry. Nello, hospitalisé ce jour-là, n'apparaît pas sur la photo.
Le 07 février 2014 Mise à jour le 07 février 2014 Vanessa Boy-Landry Ensemble, cinq familles demandent des comptes aux laboratoires GSK, Pfizer, et Sanofi.
Elles attendent de la justice la reconnaissance des effets secondaires des vaccins et une indemnisation pour leurs enfants aujourd’hui handicapés. Me Hartemann, leur avocat, a plaidé leurs dossiers, vendredi dernier, devant le Tribunal de Bobigny. A l’issue d’une heure trente de plaidoirie, Me Hartemann se dit « plutôt agréablement surpris » par le verdict de l’audience : les laboratoires ne s’opposent pas au lancement d’expertises médicales pour quatre des cinq dossiers.
Un premier feu vert qui, s’il est confirmé, ouvrira la voie à des examens complémentaires et à la recherche de maladies rares chez ces enfants qui, après avoir reçu des injections de vaccins ont présenté des troubles neurologiques graves.
« Des séquelles comparables à des traumatismes crâniens ou à des épilepsies énormes qui auraient endommagé le cerveau », précise l’avocat. « Il s’agit d’enfants qui ne présentaient aucun problème de santé », explique l’avocat qui insiste sur la similitude des histoires, «et qui, suite à la première injection ou au rappel, ont d’un seul coup arrêté d’évoluer et présenté des dommages très importants ».
Sandrine: «Qu'est-ce qui a pu enlever à Nello la partie du cerveau qui commande tout ce qui est moteur?» Nello (3 ans), Naomie (4 ans et demi), Lucia (3 ans), Lolita (18 mois), Terry (15 ans)… des enfants qui se développaient tout à fait normalement et dont l’état s’est progressivement dégradé dans les jours ou semaines qui ont suivi les vaccinations.
Très forte fièvre, pleurs impossibles à calmer, perte du tonus musculaire, raidissement du corps… autant de signes alarmants observés par leurs parents. Aujourd’hui, ces enfants ne marchent pas ou plus, ne parlent pas, ne tiennent pas leur tête, ont des difficultés pour manger, boire, saisir les objets…
Les divers examens et prélèvements réalisés en neuropédiatrie n’ont pas permis d’identifier la cause de leur affection. Nello a fait une très forte fièvre suite à un rappel de Priorix (vaccin du laboratoire GSK contre la rougeole, les oreillons, la rubéole), à 19 mois. NELLO et son papa Une semaine après, ses parents remarquent qu’il fait du « quatre pattes » les pouces repliés à l’intérieur des mains.
Huit jours plus tard, il prend appui sur les poings, et chute comme « Bambi sur la glace ». Un mois plus tard, Nello part aux urgences : il pousse des hurlements de douleur, son corps est en boule, ses muscles rigidifiés. Une IRM de son cerveau a mis en évidence une atrophie de la substance blanche (myéline).
La batterie d’examens qu’il a subis ont écarté les causes génétiques, infectieuses et traumatologiques. «Qu’est-ce qui a pu lui enlever la partie du cerveau qui commande tout ce qui est moteur? », demande Sandrine, sa mère. « Naomie, née prématurée, allait très bien jusqu’à ce qu’elle reçoive, à 14 mois, une première injection d’Infanrix Hexa (vaccin du laboratoire GSK contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B, la polio, et l’haemophilus influenzae type B) et de Prevenar 13 (vaccin du laboratoire Pfizer contre les infections à pneumocoque)», raconte Sabrina, sa mère.
Après une semaine de pleurs incessants, la petite part aux urgences : strabisme et perte du tonus musculaire (elle ne tient plus assise). Les médecins ne posent pas de diagnostic. Lucia a failli mourir d'une encéphalite qui l'a laissée aveugle et tétraplégique Deux mois après que Lucia, à 18 mois, ait reçu les rappels d’Infanrix Hexa et de Priorix, sa mère la retrouve inconsciente dans son lit, « comme une poupée de chiffon ».
A l’hôpital, les médecins constatent une inflammation au niveau du cerveau. Trois jours après, elle est opérée en urgence d’une encéphalite qui a failli lui coûter la vie et dont elle s’est réveillée, après un mois de coma, aveugle et tétraplégique.
Ni maladie inflammatoire ni virus n’ont été mis en évidence dans cette atteinte neurologique. Pas plus de diagnostic pour la petite Lolita, 18 mois, chez qui les premiers troubles sont apparus quinze jours après la première injection d’Infanrix Hexa et de Prevenar 13, à 2 mois, lorsqu’elle fait une sorte de malaise avant de revenir à elle: « Le corps raidi, elle râlait, bavait, et ne réagissait plus à la lumière », raconte sa mère.
Suite à la deuxième injection, à 3 mois, la petite part aux urgences ophtalmologiques : «Ma fille était comme une larve, les mains fermées, le pouce à l’intérieur, et ne tenait plus sa tête.» Pour Lolita, à ce jour, les recherches génétiques n’ont rien donné. Atteint d’une encéphalite « non étiquetée » à 12 mois, Terry, 15 ans, est aujourd’hui handicapé à 80%.
Chez lui, les premiers signes sont apparus après la première injection, à 2 mois et demi, de Pentacoq, (vaccin Sanofi retiré du marché en 2005, contre la coqueluche, l’haemophilus de type b, la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite): forte fièvre, cris persistants, bronchite chronique et, trois semaines après, paralysie du côté gauche (de la hanche au bras).
Tous les parents témoignent de l’impossibilité d’envisager, auprès des médecins, la responsabilité des vaccins. « Professeurs, médecins et neuropédiatres, tous ont refusé cette hypothèse. C’est un sujet totalement tabou », raconte Lionel, le papa de Nello. «Pour eux, le lien avec les vaccins est impossible car aucune étude scientifique ne le montre», ajoute Sabrina, la mère de Lucia, qui évoque le terrain génétique : « C’est peut-être un risque rare, sur une certaine population d’enfants. »
Le Dr Claude Béraud met en garde sur les conséquences des polémiques sur les vaccins Dans un point nuancé sur les polémiques autour de certains vaccins, le Dr Claude Béraud rappelle que les risques de maladies neurologiques n’ont pas été démontrés par des études cliniques, biologiques, et épidémiologiques. Et précise, pour l’hépatite B et le risque de sclérose en plaques que « si les études ne confirment pas le lien, elles ne permettent pas davantage de l’exclure ».
Pour le médecin, les conséquences de ces polémiques sont graves car « elles induisent, dans une partie de la population le rejet de l’ensemble des vaccins, qui constituent avec les antibiotiques, les deux classes de médicaments les plus utiles à la santé des hommes ».
Aujourd’hui, seules les vaccinations contre la diphtérie, le tétanos, et la polio sont obligatoires. Mais il n’est plus possible pour un enfant de moins de 6 ans de recevoir le DTPolio, qui a disparu du marché en 2008.
Les parents, amers, dénoncent un manque d’information de la part des médecins. Pour la plupart, ils ignoraient le mélange des vaccins obligatoires et recommandés dans le geste médical. « Cet état de fait soulève, selon un expert du médicament, la question des interactions vaccinales, qui est un non-dit. Et cela pose un problème juridique. »
Dans le schéma existant, l’Etat, au titre de la solidarité nationale, répare un dommage imputable directement à une vaccination obligatoire à travers l’Oniam (Office national d’indemnisation des accidents médicaux).
« Même si les juges reconnaissent que c’est bien le vaccin qui a causé l’encéphalopathie, le fait qu’il y ait des valences non obligatoires peut empêcher l’indemnisation de la famille. »
Comment prouver que le dommage a été causé par le vaccin obligatoire ? Me Hartemann, qui sait que les labos vont se battre sur la causalité du vaccin dans le dommage, espère qu’un arrêt de jurisprudence va peser dans la balance.
En 2012, après 17 années de procédure, le Conseil d’Etat a reconnu la responsabilité du vaccin Pentacoq (5 virus) dans l’apparition d’un handicap à 95% chez un bébé de 5 mois.
Pour l’expert du médicament, « c’est un revirement favorable probablement dû à la conscience des juges. Ils ont eu pour la première fois le raisonnement inverse : parce que le Pentacoq mélange les vaccins obligatoires et recommandés, ils ont considéré, par assimilation, que le dommage avait tout aussi bien pu être causé par un vaccin obligatoire ».
L'avocat compte aussi sur le faisceau d’éléments (temporalité, enfants en bonne santé avant la vaccination…) pour que les familles obtiennent réparation. Pour le dossier le plus ancien, celui de Terry, les laboratoires invoquent la prescription.
A moins que ne soit prouvée la responsabilité de Sanofi pour produit défectueux. Prochain rendez-vous le 19 février : les familles sauront si les expertises médicales sont accordées.
Initiative Citoyenne félicite et apporte tous ses encouragements aux courageux parents d’enfants dont la vie a basculé après une vaccination et qui ont choisi de ne pas subir pareille injustice en silence et de se battre par amour pour eux.
Il est évident au vu des statistiques mondiales d’effets secondaires de vaccins que ceux-ci sont DRAMATIQUEMENT sous-estimés et qu’ils grèvent donc lourdement la qualité de vie de la société et des individus, que ceux-ci en soient conscients ou non. Le tabou que ces parents pointent dans le chef du corps médical est une réalité que nous dénonçons déjà depuis des années.
Les effets secondaires graves de vaccins qui sont officiellement recensés ne correspondent qu’à 1 à 10% tout au plus des effets graves réellement attribuables aux vaccins selon des publications scientifiques convergentes (JAMA 1993, Revue du Praticien novembre 2011).
Pour comprendre cette tragédie évitable, il faut oser pointer les vrais problèmes qui sont hélas communs à tous les vaccins et qui concernent la méthodologie précise avec laquelle on évalue leur prétendue sécurité.
Comme l’ont notamment signalé plusieurs auteurs dans la Revue du Praticien -qui est une revue médicale officielle- les essais cliniques pré-commercialisation des vaccins portent sur un nombre insuffisant de sujets pour évaluer les risques statistiquement plus rares mais très graves.
En outre, ils ne portent que sur quelques jours ou semaines et jamais au-delà or on sait de nos jours que les mécanismes du système immunitaire peuvent prendre des mois à « dérailler ».
Comment éthiquement accepter aussi que les vaccinés dans les essais cliniques ne soient jamais comparés à un groupe d’enfants non vaccinés (donc un vrai groupe neutre/groupe placebo), de façon à pouvoir réellement objectiver une sécurité vaccinale qu’on nous prétend pourtant si mirifique que l’ONE ose sans rire encore affirmer que ces cas ne concernent qu’ « un enfant sur 1 million » ?!!
C’est en fait parce que cette méthodologie est biaisée à la base et que la comparaison est rendue volontairement impossible (les enfants vaccinés étant comparés à d’autres enfants ayant reçu d’autres vaccins eux aussi pourvoyeurs de lourds effets secondaires) que l’ONE se croit autorisé à faire croire indéfiniment aux gens que la sécurité des vaccins est bonne.
Selon Initiative Citoyenne, il est indispensable que les médecins qui vaccinent soient également poursuivis et ciblés au même titre que les autorités qui ont conseillé aveuglément des vaccins dont elles ignorent la balance bénéfices/risques globale. Conseiller aveuglément ou même imposer des vaccinations mal évaluées constitue au regard du droit non seulement un délit mais aussi un crime aux conséquences incalculables.
Nous pouvons constater dans les faits que la loi sur les droits des patients n’est jamais respectée par les médecins en matière de vaccins et comme cela a déjà été démontré, les autorités officielles comme celles de la Fédération Wallonie-Bruxelles se sont déjà rendues coupables de publicité vaccinale trompeuse (Jury d’Ethique Publicitaire, décision du 9 novembre 2011).
Si nous ajoutons à cette insouciance, cette ignorance et cette malhonnêteté les conflits d’intérêts à tous les étages, il n’est alors guère difficile de comprendre que SEUL le recours en justice systématique de tous ceux qui s’estiment lésés par les vaccins permettra réellement de rompre la chape de plomb qui pèse sur ce qui est incontestablement le plus grand scandale que la médecine ait jamais connu, que ce soit en termes de durée ou de nombre de victimes.
Mais pendant ce temps bien sûr, certaines « bonnes âmes » appartenant à des médias comme Marianne estiment encore dans leurs pages qu’il est impensable de questionner des vaccins autres que ceux contre le H1N1 ou le HPV.
Le temps presse à nos yeux car la santé générale de la population par ailleurs de plus en plus vaccinée ne cesse de se détériorer en Belgique comme dans le monde:
- la consommation médicamenteuse explose - les taux de cancers ne cessent d’augmenter
- les familles d’autistes qui sont plus de 100 000 en Belgique se font entendre
- un nouveau plan « Maladies rares » vient d’être lancé par Mme Onkelinx mais ce plan qui concerne 700 000 patients en Belgique (près d’1 personne sur 10 !!!!!!!!!!!) ne fait qu’accompagner les malades dans le système médical classique sans s’intéresser le moins du monde aux CAUSES possibles de cette explosion de « maladies rares ». « Comme par hasard », les rares études et enquêtes menées en comparant des enfants vaccinés à des enfants vierges de tout vaccin ont toutes montré que ces derniers jouissaient d’une bien meilleure santé avec moins de maladies neurologiques, de maladies allergiques, auto-immunes etc…
Février 2014. Une enquête de l’ECEAE révèle le peu de moyens consacrés au développement des méthodes alternatives par la plupart des pays européens, malgré leur obligation légale.
La france n’a pas daigné répondre…
Une étude européenne
L’étude, publiée dans la revue scientifique en ligne Altex, a été conduite par les organisations membres de l’ECEAE*, dont One Voice est le représentant français.
Les gouvernements ont été interrogés sur le financement alloué au développement des méthodes alternatives, afin de déterminer s’ils honoraient leurs obligations légales.
Une obligation légale D’après la nouvelle loi européenne sur l’expérimentation animale, la directive 2010/63.EU, entrée en vigueur en janvier 2013, les Etats membres sont légalement tenus de contribuer au développement et à la promotion des méthodes alternatives.
À peine un sur deux a accepté de répondre à notre enquête. Et parmi eux, seulement 7 ont pu justifier de fonds spécifiques : l’Autriche, la Belgique, le Danemark, la Finlande, l’Allemagne, la Suède et le Royaume-Uni.
La france reste silencieuse…
Au total, 18,7 millions d’euros ont été investis dans les méthodes substitutives par ces 7 pays.
Les autres Etats qui ont répondu – la République tchèque, l’Irlande, la Lettonie, le Luxembourg, la Slovaquie et l’Espagne, n’y ont alloué aucun fonds, ni en 2013, ni les années précédentes.
La france, qui continue largement d’expérimenter sur les animaux, n’a pas jugé opportun de répondre.
Des montants dérisoires !
Le financement des méthodes alternatives par les pays qui ont répondu est évalué à seulement 0 à 0,036% des dépenses nationales pour la recherche scientifique…
Concernant ces pays contributeurs, les montants dédiés sont de l’ordre de 1/25ème des financements reçus.
Le Royaume-Uni par exemple, est le plus généreux à la fois en terme de pourcentage et de montant : 11 millions d’euros en 2013, soit 0,036% du budget de la recherche…
Agir Pour encourager à la france à communiquer sur ce qu’elle a concrètement engagé pour respecter ses obligations légales, vous pouvez écrire à :
Mme Fioraso, ministre de la Recherche Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (M.E.S.R.)
1 rue Descartes 75231 Paris cedex 05
*Coalition européenne pour la fin de l’expérimentation animale
Une tempête aussi dévastatrice que celle de 1999 est attendue mercredi en france (mise à jour)
Des vents de 150 km/h pourraient balayer la france. La probabilité de ce scénario catastrophe est de 60% et évolue d’heures en heures.
C’est une bombe qui pourrait arriver sur la france mercredi. Les prévisionnistes de Météo Consult ont les yeux rivés sur les modèles météorologiques et sur l’arrivée possible d’une tempête mercredi avec des vents de 150 km/h.
« Il y aura de toute façon une tempête mercredi, explique Eric Mas, directeur de l’information chez Météo Consult. Et il y a 60% de chance pour que cette tempête ne soit pas standard mais soit violente avec un scénario similaire à celui de 1999 ».
Les météorologues font leurs prévisions avec plusieurs modèles dont le modèle américain, le « GFS », et le modèle européen, le « CEP ».
C’est ce dernier modèle qui laisse envisager pour l’instant une tempête violente pour mercredi.
La france est balayée depuis un mois par une succession de tempêtes. Celle de mercredi pourrait être dévastatrice. Il faut remonter au mois de février 1990 pour voir une telle succession de coups de vent sur l’hexagone.
Durant cet épisode tempétueux, nous avons eu affaire à deux types de tempête. Le scénario du coup de vent de la nuit de ce jeudi à vendredi avec une dépression creuse de l’ordre de 980 hectopascals qui passe rapidement sur la france.
Le scénario de la tempête attendue ce samedi sur la france avec une dépression beaucoup plus creuse qui passe sur l’Irlande mais qui est suffisamment étendue pour nous toucher avec des vents de 100 km/h et surtout qui lève une mer très formée avec des creux de 8 à 9 mètres en entrée de Manche.
Et le scénario de 1999, qui correspond au troisième type de tempête possible : une dépression très creuse (950 hectopascals) qui passe sur la france.
Retrouvez l’information météo et suivez en direct l’évolution des tempêtes sur le site La Chaine Météo.
À Besançon, des néonazis sèment la terreur
Le centre-ville de Besançon pourrait être devenu un terrain de chasse depuis quelques semaines.
Des néonazis, identitaires, ultranationalistes, y sèment la terreur en tabassant les malheureux qui croisent leur chemin.
Le principe est toujours le même : une bande, organisée, armée, et méthodique, débarque soudainement, réalise son « opération », puis disparait aussi rapidement qu’elle est venue.
Et pour quelles raisons… s’en prendre à ceux qu’elle juge être des opposants, anarchistes, antifascistes, gauchistes, qu’ils le soient réellement ou non, mais aussi peut-être des jeunes issus de l’immigration et autres « indésirables » de leur conception.
Une vague de violences de plus en plus brutale et récurrente qui, bien que la population commence à en prendre conscience et à réagir, ne semble toujours pas inquiéter les Autorités.
Des archives sur des cas graves et récents L’énumération des principaux faits similaires était inévitable, et les dossiers à ce sujet ne manquent malheureusement pas.
Car si Besançon est une ville plutôt ancrée à gauche, avec un mouvement libertaire dynamique, il n’en demeure pas moins que des violences émanant de groupes d’extrême-droite y ont toujours été ponctuelles.
Sans reprendre la longue chronologie sur ce sujet, l’évocation des dernières barbaries commises ne peut qu’apporter une lumière sur cette vérité mal connue des Bisontins eux-mêmes.
C’est par exemple le cas des attaques d’avril 2012 en plein centre historique, qui ont défrayé le petit monde local notamment parce que leurs auteurs se sont filmés en train de réaliser leurs actes, et que deux vidéos sont parvenues au grand public.
La seconde vidéo.
L’on y voit dans la première le passage à tabac de deux personnes attablées à un bar, qui s’avéreront issues du monde alternatif, et dans la deuxième la même sanction à l’encontre de plusieurs personnes non identifiées.
Plus récemment milieu décembre dernier, c’est un autre opposant politique qui est pris à parti, en pleine après midi sur la passerelle Battant, par un nationaliste radical.
Les deux gaillards s’étant croisés sur le mince passage, le crâne-rasé lui aurait directement sauté dessus selon la version adverse, et aurait tenté de lui assener deux coups de couteau dans le bas du ventre et à la cuisse, point de vue appuyé par des témoins, entrainant de légères blessures mais heureusement sans gravité.
Une escalade sans précédents Outre ces deux faits graves, et les nombreuses autres altercations régulières, c’est bien l’événement du vendredi 25 janvier au soir qui a marqué un tournant dans l’esprit général.
Car c’est une véritable horde qui a déferlé, en ayant pour cible non pas une ou un petit groupe de personnes, mais toute une foule. Les faits se sont déroulés rue Rivotte, dans un petit café-concert tranquille. Une dizaine d’individus aux crânes-rasés et bombers, véritable formation disciplinée et déterminée, ont alors fait irruption aux abords de l’établissement, gazant avec des bombes lacrymogènes l’ensemble des personnes présentes fumant à l’extérieur, et en frappant certaines.
Tout en scandant « on est chez nous » et « on va revenir avec des cocktails molotov. » Le nuage de gaz et la panique se diffusant, les clients notamment ceux encore à l’intérieur sont pris d’une terreur machinale.
C’est le cas par exemple d’un père de famille avec sa fillette de cinq ans présents pour écouter Prince Ringard, qui témoignera auprès du blogueur Bison Teint.
Prince Ringard - Ze muzic All Besançon - 25/01/2013 Vue de la soirée avant l’agression © Ze muzic All.
Mais les assaillants s’enfuient, finalement plus de peur que de mal. La gérante a décidé de porter plainte, l’instruction étant apparemment en cours. J’ai eu le « privilège » d’engager une conversation avec l’un des auteurs de cette descente, de manière bien sûr anonyme.
Il m’explique avoir agit par esprit de vengeance afin de punir d’anciennes rixes entre des collègues de son milieu et des antifascistes, et des agressions envers « des gens originaires de la campagne. »
Le lieu leur paraissait adéquat « car c’est de la musique d’anar et les participants avaient des crêtes » (référence aux punks et skinheads antifascistes). Lorsque je lui précise qu’ils s’en sont pris à des personnes innocentes et étrangères à leurs problèmes, il affirme que non.
Il terminera par cette phrase : « ce qu’il faut retenir c’est que dorénavant il y aura réponse violente a chacune de vos sorties. » J’espère avoir prochainement une version complète de son point de vue, que je ferai parvenir en totalité et sans altération si un accord est trouvé.
Déjà trois nouveaux actes signalés Peu après cette intervention, le soir même, quatre jeunes issus de la diversité auraient été pris à parti dans une rue adjacente. Ils se seraient fait gazés au niveau de la porte Rivotte.
Le samedi suivant en pleine après-midi, un jeune d’ascendance maghrébine aurait été attaqué au couteau, et ouvert au visage dans l’intention de le « balafrer. »
D’importantes blessures seraient à déplorer, et la victime aurait clairement désigné « des fachos » comme ses bourreaux. Malheureusement ces témoins se sont évaporés sans qu’ils ne laissent plus d’éléments.
Lundi 28 janvier au soir, un libertaire est de nouveau agressé dans les mêmes circonstances alors qu’il promenait son chien. Les faits se seraient déroulés encore une fois dans le centre historique. Plus précisément à proximité crédit Agricole de la rue Goudimel, entre 23h et minuit.
Armée de triplex une bande d’une dizaine d’individus aurait roué de coups le jeune en lui hurlant « Besançon est à nous » et « on va vous chasser. »
Il s’en tirerait « bien » avec quelques lacérations et un coup au crâne entrainant une hémorragie vite maitrisée. Les agresseurs ont été pour la plupart formellement reconnus, d’autres non. Il pourrait s’agir pour ces derniers de connections régionales (Dole et Montbéliard particulièrement) et même de Suisse.
Une prochaine « nuit des longs couteaux » Bisontine ? Ces actes de violences, devenus récurrents voir frénétiques, commencent à éveiller la conscience de la population Bisontine qui jusque là ne connaissait pas ces réalités ou les dénigrait.
De tels agissements ne sont évidemment pas le monopole des nationalistes radicaux, mais l’étendue de leurs cibles potentielles, la fréquence, le niveau de brutalité, et le non-sens des attaques, font qu’ils apparaissent éminemment dangereux pour la société.
Il faut dire aussi que la presse n’a pas toujours été au rendez-vous, considérant ces événements comme des luttes marginales entre extrêmes.
Elle commence timidement à en parler, devant leur retentissement et leur gravité, pour le moment uniquement grâce aux blogueurs qui font pression.
Mais plus inquiétant, c’est les encouragements toujours plus décomplexés de certains politiques à l’égard de thèses répugnantes qui confortent le bien-fondé de ces actes, et l’inactivité des services de police et de justice qui ne semblent toujours pas prendre le problème au sérieux.
Les individus sont pourtant notoirement connus, tâche de décryptage qu’exerce avec talent le site Fafwatch ainsi que le Collectif antifasciste de Besançon.
Pourtant, faute de plaintes dans certains cas, de volonté dans d’autres, ces actes resteront sans suites et donneront une nouvelle fois un sentiment d’impunité totale à leurs auteurs continuant sans relâche leurs exactions. Jusqu’où ira l’emballement de ces néo-fascistes sans scrupules ?
Doit-on attendre une catastrophe ou une opération de plus grande envergure pour leur barrer la route ?
Normalement, non. Car la loi du 10 janvier 1936 sur les groupes de combat et milices privées permet en théorie leur arrêt. Mais d’ici à ce que les Autorités réagissent, leur réseau s’étend et s’implante durablement, avec en conséquence combien d’autres futures victimes peut-être fracassées à coup de batte, jetées dans le Doubs, lardées au canif…
Une Britannique a décidé de se laisser pousser la barbe et la moustache dans le but de participer à une action de solidarité contre le cancer de la prostate.
Siobhain Fletcher (36 ans) est victime de pilosité excessive suite à une maladie incurable.
La jeune femme du syndrome des ovaires polykystiques incurable, une maladie qu’on lui a dignostiqué il y a douze ans de cela.
Depuis, le corps de Siobhain a changé. Outre son excès de pilosité, la trentenaire a également pris beaucoup de poids ce qui lui a vallu une grosse dépression.
Mais désormais les choses ont changé. Siobhain a décidé de vivre avec et de ne plus se cacher.
C’est la raison pour a laquelle elle a décidé de participer à Movember, une action qui se déroule chaque année au mois de novembre et qui invite les hommes à se laisser pousser la barbe et la moustache dans le but de sensibiliser le public au cancer de la prostate.
« Je trouve lamentable que certaines personnes gâchent leur vie parce qu’elles ont trop honte de leur visage », confie celle qui a pourtant longtemps tenté de lutter contre ce changement corporel.
Mais après s’être abîmé la peau avec des crèmes et autres « solutions miracles », Siobhain a décidé de s’accepter telle qu’elle est. « Ce qu’il y a sur votre visage n’est pas important, c’est ce qu’il y a à l’intérieur qui compte! »