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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
L'homme qui ne s'est pas lavé depuis 60 ans
A 80 ans, un Iranien vivant en ermite à l'écart de la ville de Dezgah, ne se serait pas lavé depuis 60 ans. L'homme, qui fait le buzz sur le Net depuis quelques jours, habite dans une sorte de cabane, sans rien, juste avec une pipe en pierre qu'il remplit de déjections animales ramassées çà et là. Amoo Hadji a toutefois l'air heureux d'avoir fait le choix de vivre ainsi
A partir de mai 2014, ce, à travers l'Europe, tout enfant à naître aura pour obligation de recevoir une puce RFID sous-cutanée.
Les hôpitaux publics de l’Union Européenne viennent d’en être avertis. (Une info à prendre au conditionnel ndlr)
Puce obligatoire pour tous les nouveaux nés à partir de mai 2014 ? La puce en question sera fournie avec la feuille relative aux informations du nouveau-né.
Cette puce servira aussi (et surtout) de tatouage bestial ! Elle sera un détecteur GPS puissant qui fonctionnera avec une batterie micro- remplaçable tous les 2 ans dans les hôpitaux d'Etat .
La puce GPS permet une marge d’erreur de 5 mètres, autant dire qu’elle est parfaite.
Elle sera reliée directement à un satellite , qui gérera les connexions. Comme prédit, cette puce sera obligatoire pour tous les enfants nés après mai 2014, avec cependant, un délai de certification courant jusqu’en décembre 2016.
Pour ceux qui veulent en savoir davantage, sachez qu’elle sera implantée sous le coude gauche. Pour rassurer son monde, cette puce « obligatoire » servira aussi à lutter contre les enlèvements et/ou contre tous les criminels en général.
Grâce à l’équithérapie cette petite fille retrouve le sourire au contact des poneys.
www.taraschance.org
Des agriculteurs africains, des ouvriers asiatiques, des interlocuteurs à gogo, des substances chimiques dangereuses, du marketing à foison et des milliers de kilomètres au compteur : il y a tout ça dans nos placards. Visite guidée.
Avant de finir en boule au pied du lit, le T-shirt en coton a poussé dans un champ. Votre préféré, celui avec un marsupilami, mais aussi tous les caracos, foulards, caleçons et pyjamas du monde ont réclamé quelque 36 millions d’hectares de terres agricoles. « Pour un T-shirt de 200 grammes, nécessitant près de 250 grammes de fibres en raison des chutes de transformation, une surface cultivée pendant un an de 5 mètres carrés est nécessaire », explique Gérard Bertolini, dans une étude passionnante publiée dans Le Courrier de l’environnement de l’Inra (Institut national de la recherche agronomique). Comptez le nombre de T-shirts dans votre armoire : parions que certain(e)s d’entre vous ont réquisitionné l’équivalent du Champ-de-Mars !
Le coton
Le premier exportateur mondial de coton, les Etats-Unis, n’a besoin que d’une poignée d’ouvriers pour récolter mécaniquement la plante. En comparaison, l’Afrique de l’Ouest en emploie 18 millions, avec une productivité dix fois moindre. Dans les faits, 99?% des travailleurs du coton vivent dans des pays en développement. Ce sont eux qui arrosent la plante à l’origine de nos T-shirts. Et de l’eau, il en faut. Jusqu’à 17?000 litres pour produire un kilo de coton, soit la quantité nécessaire pour obtenir, après bien des étapes, un T-shirt de 300 grammes. Si le consommateur a eu la bonne idée de réclamer un label biologique, comptez 2?000 litres. Mais le bio ne représente que 0,5?% de la production mondiale de coton, pour un surcoût de matières premières qui oscille entre 30?% et 50?%. Cette solution permettrait pourtant d’éviter les relents de pesticides. Car le coton en absorbe un quart de la consommation mondiale. D’après l’Organisation mondiale de la santé, 1,5 million de travailleurs de cette culture seraient gravement intoxiqués chaque année, et près de 30?000 en mourraient. Pour éviter les produits chimiques, il y a le coton Bt, génétiquement modifié. Il occuperait, d’après l’Isaaa (Organisation internationale de promotion des biotechnologies végétales), plus de 80?% des surfaces mondiales aujourd’hui ! Mais en Inde, les défenseurs des paysans constatent l’échec de ces semences. Ils accusent même le coton transgénique d’être à l’origine d’une gigantesque vague de suicides en milieu rural : un cas toutes les trente minutes. Ces disparitions silencieuses n’ont pas l’écho médiatique d’un immeuble s’effondrant sur des couturières asiatiques. Entre la peste et le choléra, le chemin est étroit.
Une fois récolté, le coton commence alors son voyage vers votre penderie. Un tiers des 26 millions de tonnes de fibres de coton produites par an dans le monde sont exportées, essentiellement depuis les Etats-Unis, les anciens pays d’URSS et les pays africains, vers la Chine et l’Asie de l’Est, où se trouvent les ateliers textiles. Non content de franchir les frontières, le coton entre alors dans les affaires de gros sous. Les cours mondiaux, soumis à la spéculation, varient comme des girouettes. Et le prix de la tonne a été divisé par quatre en trente ans. Depuis quinze ans, les gouvernements américain, chinois et européens – par l’intermédiaire de la politique agricole commune – ont donc versé plus de 47 milliards de dollars (35 milliards d’euros) de subventions pour soutenir leurs producteurs. Les pays pauvres restent, eux, soumis aux prix cassés du marché. Pour contrecarrer l’effet pervers de cette étape, le consommateur pourra choisir une certification équitable sur son T-shirt. Elle garantit un prix minimum au producteur. Selon l’association Max Havelaar, cette aide représenterait 70?% de revenus supplémentaires au Mali et 40?% au Sénégal.
Les produits chimiques
Puis le coton devient tissu. Cardage, étirage, ?lage, bobinage, retordage, enroulage, tricotage, teinture… et le tour est joué. Cette étape requiert peu d’humains. Mais beaucoup de produits chimiques : l’industrie des vêtements en utilise plus de 7?000 sortes. L’année dernière, Greenpeace a passé à la loupe quelques nippes de 20 marques différentes (Esprit, Diesel, Gap…) représentant 20?% du chiffre d’affaires mondial de l’habillement. Sur plus de 140 vêtements testés – fabriqués dans 27 pays –, 63?% contenaient des éthoxylates de nonylphénol. Cette substance soluble dans l’eau se dégrade en libérant un composé toxique qui perturbe le système endocrinien. « Ce n’est bien sûr que la partie émergée de l’iceberg. Là, on retrouve les résidus. Les ouvriers, eux, sont au contact de concentrations infiniment plus élevées », explique Jérôme Frignet, de l’ONG. Est-ce qu’un jour sera compris, dans le prix du T-shirt, son coût pour la santé publique des pays producteurs ?
La confection
Et maintenant, qui va confectionner le T-shirt ? Terra eco a sollicité quatre enseignes françaises de distribution : Kiabi, Etam, Promod et Tex, la marque de vêtements de Carrefour. Combien de T-shirts sont fabriqués pour eux ? Où ? Et à quel prix à la sortie de l’usine ? Une seule, Kiabi, a eu la politesse de nous répondre… que ces informations étaient confidentielles. Deux créateurs indépendants, ayant moins – si ce n’est rien – à cacher, ont bien voulu nous guider dans le découpage du prix de vente. Les T-shirts de la marque Charlotte Sometime sont vendus 70 euros pour les plus chers. Ils sortent d’un atelier de confection français, à Troyes (Aube). La création représente 9?% de ce prix, le tissu 9?% également, la façon, c’est-à-dire la couture, 10?%, et le transport, 4?%. Le T-shirt est donc fabriqué pour un peu plus de 22 euros. Rajoutez à cela la part du distributeur, des boutiques indépendantes multimarque et une bonne tranche de TVA pour trouver les 68?% restants. A ce tarif-là, Charlotte travaille seule, sans pouvoir créer d’emploi, sauf en délocalisant en Pologne, par exemple, ce qu’elle n’envisage pas pour l’instant. « Je ne crée que deux collections par an, en essayant d’avoir le moins de stock possible pour ne pas gâcher, avec l’idée que les gens gardent longtemps le vêtement qu’ils ont acheté », explique-t-elle, dans son show-room parisien. Le découpage du prix est comparable chez G. Kero, qui fait fabriquer 14?000 T-shirts par an au Portugal, avec du coton en provenance d’Egypte ou d’Italie. Le prix de revient est de 14 euros. Il est multiplié par 2,5 pour que les créateurs, Marguerite et Philippe Bartherotte, se payent « au Smic », et encore par 2,5 par le distributeur. Les deux marques témoignent de la même philosophie : qualité des matières premières, transparence de la chaîne de production et prix de vente permettant la viabilité de l’entreprise et l’éthique de sa fabrication. « Ça n’a l’air de rien, un T-shirt, mais c’est beaucoup de boulot », souligne Philippe Bartherotte.
Les salaires
C’est précisément sur cette ignorance du consommateur que joue l’immense majorité des enseignes, qui ont importé, en 2004 – selon l’étude de Gérard Bertolini pour l’Inra –, 2,65 milliards de T-shirts en Europe, pour une valeur de 6,5 milliards d’euros. Le T-shirt de masse est donc arrivé aux frontières de notre continent à 2,5 euros en moyenne. Les sites Internet des quatre grandes enseignes sollicitées par Terra eco vendent des T-shirts entre 6 et 40 euros, soldés jusqu’à -?79?% ! Pour proposer des tarifs aussi bas, il faut, bien entendu, que certaines étapes reviennent le moins cher possible. La mondialisation le permet. En 2010, le salaire horaire moyen dans le textile était de 1,09 euro en Chine, 62 centimes en Inde, pour chuter à 24 centimes au Bangladesh. Les nombreuses heures supplémentaires, souvent évoquées par les ouvriers du textile, sont parfois sollicitées par les travailleurs eux-mêmes… pour compenser leurs maigres revenus. Pour sortir du cercle vicieux, les syndicats asiatiques, épaulés par des chercheurs, ont élaboré un salaire minimum vital. La Fair Wear Foundation (Fondation pour un habillement équitable), un groupement international qui tente de faire évoluer les pratiques industrielles, a appliqué ce salaire-plancher à un T-shirt fabriqué en Inde. En multipliant la rémunération des ouvriers par 2,5, l’impact sur le T-shirt, vendu à l’origine 29 euros à l’arrivée en Europe, ne serait que de 27 centimes ! La part de la main-d’œuvre ne représente en effet qu’à peine 1?% du prix final. Les grandes marques seraient-elles prêtes pour ce battement d’ailes de papillon ? « Encore faut-il que ces centimes d’augmentation aillent dans la poche de l’ouvrier, dans des pays où la transparence n’est pas toujours de mise », souligne Nathalie Ruelle, professeure spécialisée en gestion de la sous-traitance à l’Institut français de la mode. Pour justifier leur immobilisme en matière de prix ou de contrôle des conditions de travail, les enseignes de mode s’abritent volontiers derrière la complexité d’une filière qui comprend au moins huit étapes de la fibre au vêtement fini. « C’est une réalité, mais ils ont voulu ce système, note Elin Wrzoncki, responsable du bureau mondialisation à la Fédération internationale des droits de l’homme. En ne possédant pas leurs propres usines, les enseignes ont externalisé les risques au maximum. » Et, pendant qu’il ne se passe rien, les marges se portent bien. L’étude de Gérard Bertolini montre que celles, cumulées, des grossistes et des détaillants, représentent 72?% du prix de vente au public. « Quand les marques ont leur propre réseau de boutiques, le prix de revient industriel d’un vêtement est multiplié par un coefficient compris entre quatre et dix, dans lequel on trouvera les frais de création , de communication et les dépenses immobilières », explique Nathalie Ruelle. Sur la période 2000-2006, alors que les prix de vente de l’habillement baissaient de moins de 10?%, l’institut statistique européen Euratex a pointé que les prix à la production, eux, diminuaient de 67?%, délocalisation oblige. Grâce à ces économies, on peut faire beaucoup pour continuer à attirer les acheteurs. Terra eco n’a pas été mis dans la confidence, mais il y a fort à parier que le montant du cachet de Vanessa Paradis comme égérie de la collection « Conscious » de H&M, occasionne quelques frais…
L’usage Le T-shirt a atterri sur vos épaules. Si vous avez encore envie de le porter à ce stade, il faudra un jour le laver, voire le sécher. Cette étape représente 70?% à 90?% de l’énergie consommée durant son cycle de vie. Au bout d’un moment – parfois très court –, il deviendra rebut. En France, à peine 105?000 tonnes, soit 15?% du potentiel des textiles usagés, entrent dans les tuyaux de la collecte sélective. Le reste est embarqué par les éboueurs, direction l’incinérateur : il en coûtera trois centimes d’euro par T-shirt à la collectivité. S’ils ont échappé au feu, les plus robustes seront passés sur d’autres épaules, plus pauvres que les nôtres). C’est un autre voyage qui
INSOLITE
Un médecin australien a extrait un cafard de l'oreille d'un homme qui se plaignait de douleurs violentes et qui avait tenté de déloger l'intrus avec un aspirateur.
Le calvaire de Hendrik Helmer a démarré mercredi matin, lorsqu'il a été réveillé par des douleurs aigües dans son oreille droite. "J'espérais que ce n'était pas une araignée empoisonnée", a-t-il raconté à la télévision australienne ABC vendredi.
Alors que la douleur devenait insoutenable, Hendrik, qui habite près de Darwin dans le nord, a tenté d'aspirer l'insecte avec un aspirateur, en vain.
Son colocataire l'a ensuite amené à l'hôpital où un médecin a injecté de l'huile dans le conduit auditif. L'insecte s'est encore enfoncé... avant de rendre l'âme.
Le médecin a alors pris des pinces pour extraire la bête : un cafard de 2 cm. Le patient a indiqué qu'il ne prendrait pas de précautions particulières pour dormir. Mais ses amis, traumatisés par sa mésaventure, s'endorment désormais avec un casque sur les oreilles, a-t-il raconté...
Issac (24) :
pris en flagrant délit de braconnage Les trois hommes ont notamment tué un chevreuil et des oiseaux d'une espèce protégée.
Ils encourent quatre ans de prison Trois hommes ont été interpellés dans la nuit de mercredi à jeudi par les gardes de l'Office national de la chasse alors qu'ils chassaient dans un bois sur la commune d'Issac.
Ce sont des riverains qui ont alerté les gardes, se plaignant d'entendre des coups de feu depuis trois nuits. Ces derniers sont intervenus alors que les trois hommes venaient d'abattre un chevreuil.
Originaires de Saint-Astier, ils ont été remis aux gendarmes et placés en garde à vue, tandis que des perquisitions étaient menées à leur domicile.
Chez l'un d'eux, les militaires ont découvert des pinsons verdiers au congélateur, une espèce d'oiseaux protégée et interdite à la chasse. Le trio a reconnu les faits. Remis en liberté dans la soirée, les trois braconniers seront convoqués en mai devant le tribunal de Bergerac pour y répondre du délit de braconnage nocturne en réunion. Ils encourent quatre ans d'emprisonnement.
Un Allemand de 88 ans a été inculpé pour meurtre et complicité de meurtre pour avoir pris part au massacre d'Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne), au cours duquel 642 habitants de ce village français ont été tués en juin 1944, a indiqué mercredi le parquet de Cologne ( Allemagne). L'octogénaire, qui avait 19 ans au moment des faits et faisait partie du régiment Der Führer de la division blindée SS Das Reich, est accusé du meurtre «collectif de 25 personnes et de complicité de meurtre sur plusieurs centaines d'autres personnes».
Avec d'autres membres du régiment, il aurait d'abord abattu 25 hommes à la mitrailleuse dans une grange. Il se serait ensuite rendu à l'église du village, où étaient regroupées plusieurs centaines de femmes et d'enfants qui ont été massacrés à l'aide d'explosifs, de grenades, d'armes automatiques, avant que l'église soit incendiée, a précisé le tribunal dans un communiqué. L'ex-SS serait complice de cette tuerie en assurant «une garde à proximité de l'église». Il y aurait peut-être même transporté du combustible, a détaillé le parquet.
Robert Hébras, un des survivants «surpris» Robert Hébras, 88 ans, un des derniers survivants du massacre d'Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne), a dit sa «surprise» mercredi après l'inculpation en Allemagne, soixante-dix ans après les faits, d'un ancien SS soupçonné d'avoir pris part à la tuerie.
«J'avais rencontré il y a quelques mois, à deux reprises, le procureur de Dortmund» (ouest de l'Allemagne), Andreas Brendel, qui pilote l'enquête sur Oradour, a révélé Robert Hébras. Il «m'avait alors dit que des personnes» susceptibles «d'avoir participé au massacre avaient été retrouvées». «Est-ce qu'il y aura un procès ensuite? C'est la question que je me pose», a-t-il dit avec prudence.
Egalement joint par l'AFP, le président de l'Association nationale des familles des martyrs d'Oradour, Claude Milord, a quant à lui jugé que cette inculpation était la «suite logique» de l'enquête. «Il n'y a pas de crime de cette nature qui doit rester impuni», a-t-il souligné. «Cela ne ramènera pas ceux qui sont partis, mais qu'on ait retrouvé un coupable» présumé, «que la justice passe», à quelques mois du 70e anniversaire du massacre, «c'est bien pour honorer les victimes», a-t-il considéré.
Cinq autres personnes dans le viseur de la justice
Il est cependant incertain qu'un procès puisse avoir lieu et que ce retraité, qui passe ses vieux jours dans les environs de Cologne, puisse être jugé, a indiqué une source judiciaire allemande. C'est l'Office central chargé d'enquêter sur les crimes nazis, situé à Dortmund (ouest), qui a pris la décision de l'inculper, dans le cadre d'une nouvelle procédure judiciaire sur le massacre d'Oradour-sur-Glane ouverte en octobre 2010. Cinq autres personnes sont dans son viseur pour ces mêmes faits.
Le massacre d'Oradour-sur-Glane est le pire crime nazi que la France a connu durant la Seconde Guerre mondiale. Le 4 septembre dernier, un peu plus de 69 ans après les faits, un hommage binational avait été rendu aux victimes par le président français François Hollande et son homologue allemand Joachim Gauck, le premier chef d'Etat d'Outre-Rhin à visiter ce village martyr.
Les deux chefs d'Etat, à la tête de deux pays autrefois en guerre, s'étaient alors retrouvés main dans la main avec un survivant dans l'église où la tuerie a eu lieu. Une image symbolique qui rappelait la poignée de main, en 1984, de François Mitterrand et du président allemand de l'époque, Helmut Kohl, lors d'une visite historique à Douaumont, près de Verdun (Meuse), où se sont déroulés les combats les plus meurtriers de la Première Guerre mondiale.
VIDEO. Oradour-sur-Glane : Gauck et Hollande main dans la main avec un rescapé
Les deux hommes se sont ensuite dirigés vers le cimetière pour y signer les livres d'or. François Hollande y a témoigné «respect, hommage, mémoire» à la commune d'Oradour. Sans doute pris par l'émotion, il a daté ses lignes du 3 septembre, soit la veille de la visite. M. Gauck, lui, y a fait part de son «humilité et (de sa) profonde reconnaissance pour l'invitation», ainsi que de son «horreur, émotion et dégoût» devant «ce qui s'est passé sous commandement allemand». Il y a également évoqué «la nouvelle Allemagne, pacifique et solidaire», assurant que «les choses resteront ainsi».
«Vous êtes la dignité de l'Allemagne d'aujourd'hui, capable de regarder en face la barbarie nazie d'hier», a lancé François Hollande à son invité alors qu'ils se trouvaient dans le Centre de Mémoire du village. A 73 ans, le président allemand peut revendiquer une longue carrière administrative et politique passée à faire émerger la mémoire de l'Allemagne nazie. Après la réunification, de 1990 à 2000, il a présidé l'organisme chargé des archives de la Stasi, l'ancienne police politique de la RDA. Il s'est également déjà rendu en tant que président sur plusieurs sites de massacres nazis, notamment en octobre 2012 à Lidice, près de Prague (République tchèque), puis en mars 2013 en Toscane (Italie), demandant le pardon pour les fautes de l'Allemagne hitlérienne.
Des voleurs entassent quatre vaches dans une voiture
Des voleurs de vaches ont été contraints d'abandonner leur véhicule qui n'a pas résisté aux poids des bovins.
L'incident s'est produit ce vendredi à Bukit Mertajam, en Malaisie. Des malfrats ont volé quatre vaches dans une ferme du village. Et c'est dans leur voiture que ceux-ci ont embarqué les animaux.
L'une d'entre elles a été placée dans le coffre tandis que les trois autres ont été entassées à l'arrière du véhicule. Un poids très important que la voiture n'a, bien évidemment, pas supporté. Les voleurs sont toujours en fuite.
La plus grande partie du territoire des Etats-Unis et du Canada continuait à grelotter sous l'effet d'une vague de froid historique, à tel point que l'ours polaire du zoo de Chicago a dû être rentré dans son abri.
Et aussi Etats-Unis: les photos et vidéos impressionnantes de la vague de froid New York a enregistré mardi ses températures les plus basses pour un 7 janvier depuis plus de 100 ans, mais c'est le Midwest qui est le plus affecté.
A Embarrass, dans le Minnesota, -37°C ont été enregistrés, le record de mardi pour tous les Etats-Unis.
Il a fait -15,5°C à Central Park à New York mardi matin, où le précédent record pour un 7 janvier datait de 1896, avec -14,4°C.
La température n'a pas dépassé -10° de toute la journée dans la plus grande ville américaine, avec un ressenti de -22°C.
49 records de froid Au total, sous l'effet d'une vague de froid polaire se déplaçant vers l'est, ce sont au moins 49 villes qui ont battu un record de froid pour un 7 janvier, dont Philadelphie (-15,5°C) ou Baltimore (- 16,1°C).
Plus au sud, Atlanta -où il a fait plus froid qu'à Anchorage, la plus grande ville d'Alaska- a affronté des températures descendues jusqu'à -14,4°C, pulvérisant un record datant de 1970.
La température maximale annoncée mardi était de -14°C à Chicago (ressenti de -28°C) et de -7,7°C (ressenti de -12°C) à Nashville, dans le Tennessee (sud).
A Montréal, Ottawa et Toronto, même les Canadiens les plus endurcis se plaignaient du froid et des coupures d'électricité.
Des températures qui peuvent être mortelles Un peu partout aux Etats-Unis, les autorités ont mis en garde la population, soulignant que combinées à des vents en rafales, les températures ressenties pouvaient être mortelles. "Nous demandons aux habitants de rester à l'abri, et de suivre les consignes des autorités locales", a déclaré le porte-parole de la Maison Blanche Jay Carney. "Je demande à tous les New-Yorkais de rester dans un endroit chauffé, pour éviter hypothermie, engelures et autres problèmes qui pourraient mettre leur santé en danger", a également insisté le maire de New York Bill de Blasio.
Les écoles sont restées fermées dans le Minnesota, à Chicago, Atlanta et Nashville notamment, en raison de ce "vortex polaire", des vents froids venant du Pôle nord en raison d'un affaiblissement du courant chaud du jet stream.
18.000 vols annulés depuis jeudi Une alerte au blizzard a été décrétée pour la région de Buffalo, dans le nord de l'Etat de New York, et une alerte à la tempête du New Jersey au Massachusetts, sur la côte nord-est des Etats-Unis.
Les températures devraient commencer à remonter mercredi selon la météo nationale. Mais la situation dans les aéroports restait difficile, avec près de 2500 vols annulés mardi et plus de 6100 retardés. Au total, quelque 18 000 vols ont été annulés aux Etats-Unis depuis jeudi dernier. La compagnie Jet Blue a cependant repris progressivement ses vols à New York et Boston.
Elle les avait tous annulés lundi, ajoutant à la frustration de dizaines de milliers de passagers dont certains ont attendu plusieurs jours un vol pour rentrer chez eux après les fêtes.
New York, Washington, Atlanta, Chicago et Detroit étaient mardi les aéroports les plus perturbés. Toronto, au Canada, a également connu plusieurs heures de chaos, le trafic suspendu pendant six heures, en raison du froid intense gelant certains équipements.
La police a même été envoyée en renfort, pour contenir la colère de certains passagers. Plus de 500 passagers ont également passé la nuit de lundi à mardi dans trois trains bloqués par la neige et la glace près de Mendota, à quelque 120 km à l'ouest de Chicago, par des températures ressenties de -34°C, avant d'être acheminées en lieu sûr mardi matin.
Au moins quinze décès
Certaines administrations ont octroyé un jour de congé à leurs employés. "Nous avons demandé aux employés municipaux jugés non essentiels de rester chez eux", a expliqué une porte-parole de la ville de Milwaukee, sur les bords du lac Michigan, où la température est tombée à -37 °C.
Une quinzaine de morts ont été attribuées au froid depuis le début de l'année, dont quatre hommes de 48 à 63 ans morts ce week-end à Chicago d'une crise cardiaque alors qu'ils déneigeaient devant chez eux. Le corps d'une femme de 90 ans a également été découvert dans la neige près de sa voiture dans l'Ohio lundi.
Le lanceur de couteau de Belgium's Got Talent condamné L'homme est un professionnel du spectacle qui utilise notamment les animaux dans le cadre de ses représentations. Un illusionniste et lanceur de couteaux âgé de 53 ans, qui a participé à l'émission "Belgium's Got Talent", a été condamné mardi par le tribunal correctionnel de Liège à une peine de 6 mois de prison avec sursis, à une amende de 5.500 euros avec sursis pour la moitié et à une interdiction à vie de détenir toute espèce animale. Cet habitant de Faimes (Hannut) avait laissé grandir un chien avec un collier trop serré et lui avait occasionné des souffrances graves. En 2010, la SRPA (Société Royale Protectrice des Animaux) était intervenue au domicile du prévenu, connu sous le nom d'artiste de Francky Tiffany's, pour mettre fin aux souffrances d'un chien. Cet animal avait été retrouvé sous-alimenté, privé de soins et porteur d'un collier trop serré. Le cou du chien s'était développé pendant plusieurs mois autour de ce collier qui s'était incrusté dans la peau au fil de sa croissance. Le prévenu s'était désintéressé du sort de cet animal qui était hébergé chez lui mais qui appartenait à sa belle-fille. Il l'avait laissé dépérir. L'animal avait été euthanasié par la SRPA afin d'abréger des souffrances dues à un étranglement de longue durée. L'homme est un professionnel du spectacle qui utilise notamment les animaux dans le cadre de ses représentations. Il exerce en qualité d'illusionniste et de lanceur de couteaux. Il avait notamment été sélectionné en 2012 par le jury de l'émission de RTL-TVI "Belgium's Got Talent". L'interdiction à vie de détenir un animal l'empêchera d'utiliser encore des animaux dans le cadre de ses activités professionnelles.