aimer air amis amitié amour ange animal animaux article bébé belle bonne
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Abandon et maltraitance image (6098)
· Civilisations (216)
· Actualités (3313)
· Histoire drole (2213)
· Animaux rigolos (2999)
· Image duo et belles images (3685)
· Image message (2781)
· Santé (1083)
· Bonsoir..bonne nuit..bonne soiree (1959)
· Acteur (302)
horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
· Une Tribu Guaranis de la forêt amazonienne
· histoire drole
· joyeux anniversaire
· fumée
· combien
· dragon
· poux
· grande femme
· hola
· emmanuel beart
· pour ne pas avoir les seins qui tombent
· BERGER
· L’araignée Goliath
· fables
· fables
Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
On la croyait spécifique au nord-est de l'océan Pacifique, la célèbre « grande plaque de déchets du Pacifique » a également son équivalent dans l'Atlantique Nord : un nouveau continent de déchets déjà plus grand que la France a été découvert !
En 1997, le capitaine Charles Moore, fondateur de l'Algalita Marine Research Foundation, découvrit la « grande plaque de déchets du Pacifique » (Great Pacific Garbage Patch), une zone océanique dans l'océan Pacifique qui, avec les courants marins, concentre les déchets que nous rejettons directement en mer mais surtout ceux issus de nos activités terrestres.
En 2007, de nouvelles observations avaient montré que cette zone s'accroissait constamment et atteignait déjà 3,43 millions de km², soit une surface plus importante qu'un géant comme l'Inde ! Or, des scientifiques viennent de révéler que cette « plaque » a son équivalent dans l'océan Atlantique !
D'une profondeur estimée à environ 10 mètres et d'une superficie équivalente à la France, la Belgique et la Grèce réunies, cette décharge flottante s'est formée à moins de 1000 kilomètres des côtes américaines.
Elle est située à environ 930 km des côtes américaines, et son centre se trouve à la latitude d'Atlanta.
Cette immonde découverte est le fait de la Sea Education Association (SEA). « Beaucoup de personnes ont entendu parler de la grande plaque de déchets du Pacifique mais ce problème demeurait encore inconnu dans l'Atlantique » a déclaré Kara Lavender Law, un océanologue de la SEA.
Plus de 7000 étudiants encadrés par l'association américaine pendant 22 ans ont pu directement observer et collecter des déchets marins sur une zone située entre 22 et 38 degrés de latitude Nord.
Cette nouvelle alarmante a été révélée lors de la plus grande manifestation concernant les sciences océanographiques : l'American Geophysical Union's 2010 Ocean Sciences meeting qui s'est tenue à Portland, le 23 février 2010.
Et pourtant, cette « zone de concentration, correspondant à la mer des Sargasses, est déjà décrite en 1869 par Jules Vernes ! Elle concentrait alors ces algues brunes flottantes, dont elle tire son nom, et les débris naturels provenant du Mississippi. » précise François Galgani, responsable de projets environnementaux à l'IFREMER.
Un nouveau « continent » de déchets Cette nouvelle « plaque de déchets » résulte de l'accumulation de déchets plastiques : bouteilles vides, bouchons, sacs... et des milliards de débris dont la masse unitaire n'excède pas un dixième de celle d'un trombone.
Dans certaines zones, les observateurs ont relevé jusqu'à 200 000 fragments de déchets par kilomètre !
Ils peuvent s'accumuler jusqu'à 20 mètres de profondeur comme en témoignent les vagues qui les ramènent à la surface. La grande majorité de ces fragments est issue de déchets de consommation qui proviennent de décharges à ciel ouvert et qui ont été emportés par le vent, mais aussi de rejets via les fleuves et les navires en mer.
Guidés par les courants marins, ils s'accumulent ensuite formant des plaques de déchets océaniques. Ces observations confirment qu'il y a sans doute beaucoup d'autres accumulations.
En effet, « compte tenu des courants marins, deux autres zones réserveront probablement d'aussi désagréables surprises au cours des prochaines années, toutes deux au large de l'Amérique du Sud : l'une du côté Pacifique, au large du Chili et l'autre du côté Atlantique, au large de l'Argentine », a précisé l'Agence Science Presse. Ces morceaux de plastique souillent durablement l'océan.
L'Algalita Marine Research Foundation estime qu'ils ont infiltré tous les niveaux de la chaîne alimentaire des océans et entraînent la mort d'environ 100 000 mammifères marins et d'un million d'oiseaux de mer chaque année !
Ce « poison » nous affecte également puisque nous consommons des poissons qui ingèrent ces fragments de plastique. Conséquence directe de notre surconsommation irresponsable, ces déchets plastiques empoisonnent insidieusement des espaces aussi immenses que les océans, le berceau de la vie sur Terre. Or, il est impossible de nettoyer les océans...
Seule solution : freiner sérieusement notre consommation de plastique et opter pour des plastiques rapidement biodégradables. Note Le terme « continent » est bien sûr exagéré, il faut sans doute plus y voir une concentration importante de déchets, la plupart du temps microscopiques, qui flottent et convergent sur une large zone dont la forme et la localisation précises varient au gré des courants.
Mais la superficie de cette zone est comparable à celle d'un continent.
Une nouvelle loi proposée par la Commission européenne souhaite l’illégalité de la pousse, la reproduction ou la vente des semences de végétaux qui n’ont pas été testées et approuvées par une nouvelle autorité, l’Agence européenne des variétés végétales.
En criminalisant la culture privée de légumes, la Commission européenne remettrait le contrôle de l’approvisionnement alimentaire à des sociétés comme Monsanto.
Les eurodéputés verts voient d’un mauvais oeil la proposition de la Commission jugée « contreproductive et dangereuse »: « La biodiversité est en danger.
Les multinationales ont focalisé leurs efforts sur la crèation de plantes à haut rendement, mais qui sont fragiles.
Elles ne peuvent subsister que dans un environnement artificialisé dépendant des engrais chimiques et des pesticides, donc du pétrole », affirme José Bové.
Plus de semences régionales, plus de variétés ancestrales ou endémiques. Bref des semences F1, transgéniques ou pire OGM.
Fin de la bio-variété dans nos jardins. Fini les jardins ouvriers et les marchés d’échanges de plants et semences entre particuliers. Bref finie la bonne bouffe.
Le texte pondu par notre chère commission européenne, rien que le titre vaut le jus : « Des règles plus intelligentes pour des denrées alimentaires plus sûres: la Commission propose un paquet législatif primordial pour moderniser, simplifier et renforcer la filière agroalimentaire en Europe ».
450 euros d’amende pour diffusion de « légumes clandestins » La Commission Européenne va criminaliser presque toutes les semences et plantes non enregistrées auprès des gouvernements États-Unis :
Monsanto propose une loi pour interdire les potagers. Faire son potager pourrait devenir illégal Potagers Interdits
Il n'est pas étonnant que cette échographie ai fait le tour du web en seulement quelques jours! Regardez bien la photo et vous allez vite comprendre le soucis! Enfin soucis?
Moi, ce qui me choque, c'est le chat à droite..
Il est peut-être temps de recréer du lien avec ses voisins, avec les autres, ou tout simplement entre nous tous, non ? Mourir dans l'indifférence, seul, sans que personne ne s'en rende compte et être retrouvé mort 4 ans après. Cette histoire n'est pas arrivée dans une maison isolée dans une campagne perdue au milieu de nul part... Non, non, c'est arrivé à #DIJON dans un quartier où la densité de la population est la plus élevée : à la Fontaine d'Ouche. La solitude existe, elle est tout autour de nous. Que chacun d'entre nous en prenne conscience à chaque fois que vous croisez quelqu'un que vous ne connaissez pas. Parlons à l'autre, recréons des valeurs humaines dignes de ce nom. Et ça, ça ne coûte rien et chacun peut le faire. Quelque soit sa couleur politique. Même les animaux sont devenus plus solidaires entre eux que l'espèce humaine. J'ai dit ! http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2013/10/08/dijon-mort-dans-l-indifference
Lui, tient le sac-poubelle. Elle, pince les déchets. Au pied de l’immeuble, situé 1, allée de Ribeauvillé, dans le quartier de la Fontaine-d’Ouche, à Dijon, la découverte dans un appartement du corps d’un homme de 58 ans, mort depuis quatre ans, jeudi dernier, n’a pas changé les habitudes.
Comme chaque lundi, l’équipe d’entretien astique “à fond” les parties communes. « C’est bizarre », confesse tout de même l’un d’eux. « Nous n’avons jamais senti d’odeur particulière », ajoute un autre. « De mauvaise odeur », précise son collègue.
L’odeur qui aurait pu attirer l’attention et signaler qu’un corps sans vie gisait de l’autre côté d’un des pas-de-porte qu’ils balaient régulièrement.
Soigné en dehors de Côte-d’Or C’est le bailleur social qui a donné l’alerte.
Quatre ans après… « Quand nous sommes face à des locataires pour lesquels nous n’avons pas de plaintes de voisinage, que les loyers sont payés par prélèvements automatiques, il n’y a pas de signes avant-coureurs qui nous mettent la puce à l’oreille », remarque Christophe Berion, le directeur général d’Orvitis, le bailleur.
Mais depuis « le printemps 2012, les loyers n’étaient plus versés ». Une période depuis laquelle, « le compte a dû cesser d’être alimenté », suppose-t-il. Alors pourquoi cette découverte, dix-huit mois après ? « C’est la procédure normale », renchérit le bailleur. « Nous avons envoyé des courriers, appelé.
Mais il est passé entre les mailles du filet », regrette-t-il. Les travailleurs sociaux ont même été alertés. Mais toujours, la porte était close. Une situation qui n’a jamais vraiment inquiété Christophe Berion. « Il habitait le logement depuis 1987 et s’absentait régulièrement pour partir en cure en dehors du département, car il était malade.
J’ai même cru qu’il avait quitté son logement », confie-t-il. Donc, même le courrier qui encombrait la boîte-aux-lettres n’a pas alerté Orvitis.
Jeudi, vers 11 h 15, c’est en procédant à l’expulsion locative que l’huissier, accompagné de policiers de quart de la sécurité publique, a découvert le corps.
Un voisin discret Dans le quartier, un ouvrier, qui l’avait côtoyé « il y a plus de quatre ans », parle d’un homme « extrêmement discret ». Qui « souffrait » et se « déplaçait difficilement ». « Ensemble, nous parlions de temps en temps, trente minutes.
Mais je ne sais rien de lui, de sa vie et de sa famille ». D’après ses informations, « des personnes de l’immeuble lui faisaient ses courses. Mais les gens meurent, déménagent… », note-t-il, pour justifier que le voisinage n’a rien remarqué. « Ici, des morts dans leur appartement, nous en découvrons deux par an ».
À la Fedosad, Olivier Terrade, directeur des services d’aide à domicile, est presque sans voix. « C’est de la responsabilité de nos salariés qui suivent la personne de s’assurer qu’elle va bien. Mais si elle n’a pas de visites régulières à domicile, c’est plus compliqué.
Certaines sont complètement transparentes pour leur entourage. D’autres vivent les fenêtres fermées. C’est alors compliqué de les surveiller. » Ce qu’il s’est passé pour cet homme. Qui vivait seul. Dans son petit logement. De cette grande tour. Presque au dernier étage. Pendant que d’autres continuaient à astiquer et piquer les déchets.
Les pompiers sortent douze animaux d’un incendie à Dison
C’est toute une famille qui a eu chaud ce lundi soir, la propriétaire et ses douze animaux.
Sur le coup de 19h23, les pompiers de Verviers reçoivent un appel pour un début d’incendie rue de Mont à Dison.
La centrale renseigne une personne coincée dans l’immeuble. Les casernes de Verviers et de Battice sont envoyées sur place.
À l’arrivée des pompiers, la propriétaire de la maison a réussi à sortir mais ses animaux demeurent en danger. «J’ai 4 lapins, 4 chiens et 4 chats», confie-t-elle. Les pompiers se mettent à la recherche des animaux en péril. «Il y a beaucoup d’animaux mais l’incendie a été assez vite maîtrisé, informent les pompiers.
Ça a bien chauffé en bas donc la maison ne sera pas habitable.» L’aide des voisins aura permis de recaser la propriétaire et tous les animaux
Moutons, agneaux crucifiés, abattus et chiens pendu.
LAV dénonce le film "L'arbitre" "Un mouton crucifié, un agneau décapité, chiens pendus.
Le film sortira dans quelques jours, "Tonight" de Paolo Zucca , interprété par Stefano Accorsi.
Depuis la société de production Lucky Red n'a pas répondu aux demandes d'éclaircissements quant à l'origine des animaux utilisés, et au-delà de la question éthique, le VBL a déposé une plainte auprès du bureau du procureur de Rome.
L'Association a noté, en effet, que si les animaux avaient été tués spécifiquement pour la scène, ce qui constitue une violation de l'article 544 bis du Code pénal, d'une peine d'emprisonnement de quatre mois à deux ans, et pour ceux qui ont organisé et promu le film, en plus de l'emprisonnement est prévue à l'article 544 amende pouvant aller jusqu'à EUR 15 000.
Source : http://www.all4animals.it/2013/10/05/pecora-crocifissa-agnelli-sgozzati-e-cani-impiccati-lav-denuncia-il-film-larbitro/
Autour de Crolles, apiculteurs amateurs ou professionnels sont un peu surpris en cette fin de récolte.
Lorsqu'ils sortent un cadre de leur ruche, il n'est pas rare de voir des alvéoles virer au vert ou au rouge.
Les abeilles auraient-elles inventé le miel multicolore?
Une récolte inédite
Imaginez la tête de l'apiculteur qui découvre un miel tricolore, jaune (comme d'habitude), vert et rouge!Il y a de quoi désespérer de la nature.
Mais à Crolles, près de Grenoble, l'inquiétude a été de courte durée. Quatre apiculteurs ont vite pensé à l'usine des sirops Teisseire, toute proche.
Un miel multicolore.Ils savent que quand les abeilles ne trouvent pas de quoi se nourrir dans les fleurs, elles délaissent les champs pour aller quelques kilomètres plus loin, butiner des sucreries par exemple.
Mais, l'usine a du mal à comprendre car ses matières premières, comme finies, ne sont pas entreposées à l'air libre. Des apiculteurs seront reçus mercredi 18 septembre par la direction.
En attendant, des analyses doivent être menées de part et d'autre, à l'usine comme sur le miel récolté par les apiculteurs, pour connaître la source de cette "pollution".
Le cas M&M's
Il y a une dizaine d'années, pareille mésaventure était arrivée dans le secteur et Teisseire avait été rendu responsable.
Depuis, un producteur de confitures s'est aussi installé non loin de là.
En août 2012, des abeilles de Ribeauvillé dans le Haut-Rhin avait aussi produit du miel bleu, vert ou marron chocolat...
Après une enquête, les soupçons se sont portés rapidement, et à juste titre, sur une usine qui produisait du biogaz à partir de déchets organiques et de résidus de l'industrie agroalimentaire, stockés en plein air… dont les chocolats M&M’s, enrobés de colorants marron, rouge, jaune, bleu et vert! Le miel était inexploitable.
En Isère, le miel produit est, pour le moment, beaucoup plus sucré qu'à l'habitude mais la "pollution" ne semble pas être terminée si l'on en croit les dernières récoltes.
Une famille qui vivrait comme l’État, ça donnerait quoi ?
Lorsqu'on a un gros, un énorme déficit budgétaire chronique et une dette abyssale, babylonesque, voire une hippopodette, il est difficile d'appréhender l'ampleur du désastre.
Cependant, celui-ci devient évident lorsqu'on ramène l'exercice budgétaire du pays à l'échelle d'un ménage.
Le droit français a longtemps fait du comportement d'un bon père de famille la norme comportementale de bon usage et de saine gestion ; le bon père de famille est soucieux des biens et intérêts qui lui sont confiés comme s'ils étaient les siens propres.
Pour connaître le statut de nos chers dirigeants, ramenons la politique budgétaire de la France à l'échelle d'un ménage.
L’État français disposait, dans le budget 2013, de 240 milliards d'euros de ressources pour 302 milliards d'euros de charges.
La dette publique, elle, se montait à 1 912 milliards d'euros.
Ces chiffres, pleins de zéros difficiles à lire et dans des unités de mesure, la dizaine ou la centaine de milliards, assez difficiles à appréhender, sont des chiffres prévisionnels ; ils ont été votés par les parlementaires, en toute décontraction.
Comme chaque année, il est parfaitement raisonnable d'attendre que la réalité sera encore pire.
Oui. Comparons cela à un ménage moyen. Avec ses 2 410 euros de revenu net mensuel, notre ménage moyen, s'il se comportait comme l’État français, dépenserait 3 032 euros chaque mois - avec un découvert mensuel de 622 euros.
Ramené à l'année, les 28 920 euros de revenus sont loin de suffire pour dépenser 36 391 euros, et le ménage doit donc emprunter 7 471 euros - alimentant un total d'endettement de 230 396 euros.
Oui, 8 fois son revenu annuel. C'est un ménage qui sait vivre, que voulez-vous : on ne vit qu'une fois, autant le faire bien surtout si c'est avec l'argent du banquier.
On comprend mieux, au regard de ces chiffres, la gestion que font les hommes politiques de leur propre patrimoine et leur incapacité à épargner - si tant est que leurs déclarations puissent être crues. Compte tenu du respect qu'ils ont pour la parole publique et les engagements qu'ils prennent, rien n'est moins sûr ; entre Jérôme Cahuzac qui, lui, a su épargner, et la pause fiscale dont tout le monde, meurtri, attend l'arrêt aussitôt que possible, l'honnêteté de nos dirigeants pose question.
Et à bien y réfléchir, la lucidité des créanciers également. Aucun ménage ne parviendrait à faire accepter un découvert de 25% de ses revenus chaque mois, surtout compte-tenu de son profil d'endettement. Les ménages français sont, en moyenne, endettés à hauteur de 80% de leurs revenus, pas 800%, comme l’État actuellement (230 396 euros de dettes pour 28 920 de revenus).
Mais il est vrai qu'aucun ménage n'a la bombe atomique, une armée d'inspecteurs du fisc secondée par une armée de policiers, de gendarmes et de soldats outillés et entraînés pour éviter toute confusion maladroite entre "contribuable" (qui paye et se tait) et "citoyen" (qui est armé et entend se défendre tout seul comme un grand).
Au passage, cette dette génère un coût important pour la famille France; elle paye chaque mois 563 euros pour éponger les intérêts de sa dette, sans même songer à rembourser (rappelons que la famille France s'endette chaque mois, et qu'il lui est impossible, par on ne sait quelle misère, de mettre le moindre sou de côté - le prix du caviar s'envole, dirait-on).
Sur 3 033 euros de dépenses au total, cette hypothétique (mais dépensière) famille France consacre 382 euros à l'achat d'armes diverses, dont des drones dépassés qui font un peu pitié, en plus de 177 euros pour sa sécurité pure, ce qui fait déjà 559 euros.
S'y ajoutent 641 euros pour l'enseignement scolaire et 260 pour l'enseignement supérieur et la recherche, avec un résultat qu'on qualifiera pudiquement de mitigé, pour un total atteignant déjà 1 460 euros sur ces seuls trois postes.
Avec les 563 euros de la dette, c'est déjà plus des 2/3 que la famille France aurait déjà dépensée.
Les autres petits postes de dépense sont aussi édifiants : 26 euros pour la culture (sachons vivre), plus 12 pour les médias, le livre et l'industrie culturelle (sachons vivre) ; 5 euros pour le sport, la jeunesse et la vie associative (sachons vivre, que diable !) ; à côté, 13 euros pour la santé (sachons tomber malade ?) paraissent bien insignifiants à la famille France, qui dépense 103 euros pour favoriser l'emploi.
Sans grand succès.
Si la famille France était notée par des agences de notation, le ménage "État français" serait vraisemblablement assez loin du triple A. Heureusement, rassurez-vous : l’État français n'est pas vraiment un ménage, et personne n'entend considérer que le gouvernement français pourrait se rapprocher d'une gestion de "bon père de famille". Faut pas déconner.
Car le ménage "État français" dispose d'une arme secrète pour se renflouer : le patrimoine de tous les ménages français. Si le ménage France n'existe pas et fait à peu près n'importe quoi de l'argent qui lui est confié, ce n'est heureusement pas le cas de l'écrasante majorité des ménages français, ménages politiciens inclus.
Et ça, l’État l'a bien compris : non content de leur prélever pas loin de la moitié de leurs revenus, il peut à tout moment leur confisquer tout ou partie de leur patrimoine.
Ça s'est déjà vu, dans le passé en France , et récemment en Europe ; les Chypriotes s'en souviennent. Non, décidément, la gestion que font les hommes politiques du budget ne correspond pas à celle qu'en ferait un bon père de famille.
Ou alors, "bon père de famille" comprend l'homme bourru et alcoolique, vivant d'expédients et de petits larcins minables d'une journée à l'autre, frappant femme et enfants lorsque l'argent ne rentre pas assez - ce qui étend la notion très au-delà de ce qu'elle pourrait signifier intuitivement...
Les politiciens comptent sur vous pour, un jour ou l'autre, éponger les dettes, leurs dettes, celles qu'ils ont contractées en votre nom pour non pas vous aider, vous servir, mais pour rester au pouvoir. Et ce jour approche plus que vous ne le croyez. À vous de voir si vous êtes d'accord, mais sachez qu'il faut agir vite : ils ne vous demanderont pas votre avis.
Objectif : passer sous la barre des 2.000 morts sur les routes en 2020.
Comment ? En réduisant la vitesse autorisée à 80 km/h sur les routes où elle est limitée à 90.
C'est en tout cas la solution proposée par le comité d'experts du Conseil national de la sécurité routière (CNSR) dans un rapport, consulté par l'AFP. 450 morts de moins
Selon les spécialistes du CNSR, cette mesure permettrait de sauver 450 vies si elle était appliquée sur l'ensemble du réseau concerné, et au moins 200 vies si elle n'était mise en place que dans les zones dangereuses.
Manuel Valls pourrait baisser la limite de vitesse Ces recommandations du CNSR ont-elles une chance d'être acceptées ? Oui, si on se souvient des déclarations de Manuel Valls en juin dernier : "Je reste convaincu que c'est en baissant davantage la vitesse sur les routes, et notamment les routes secondaires, que nous aurons une baisse de la mortalité", avait-il indiqué, ajoutant : "si demain, il faut des mesures dans ce sens, je n'hésiterai pas à les prendre". Autres propositions
Autres pistes du CNSR pour réduire la mortalité sur les routes : réduire les risques liés aux arbres, murs, poteaux et fossés sur les routes secondaires, qui tueraient "entre 120 et 270 vies" par mois.
Ils suggèrent enfin de lutter contre l'alcool au volant, notamment avec la mise en place d'éthylotests anti-démarrage (EAD) pour les jeunes conducteurs (contre une réduction de leur prime d'assurance).
Ces éthylotests pourraient également être proposés comme mesure alternative aux sanctions pénales traditionnelles pour les personnes contrôlées avec plus 0,8 g/l et pour les multirécidivistes.
Pour discuter de l'ensemble de ces propositions, le CNSR doit encore se réunir le 29 novembre prochain.
Les restrictions budgétaires frappent l’armée comme l’a annoncé hier Jean-Yves Le Drian.
La fermeture de sites militaires devrait avoirdes répercussions économiques dans les communes concernées et provoque déjà la colère des élus.
Le couperet est tombé hier. Un régiment déplacé d’Orange (Vaucluse) à Carpiagne (Bouches-du-Rhône), où un autre est dissous, quatre sites de l’armée de l’air touchés en 2014 : les premières restructurations de la future Loi de programmation militaire (LPM) ont provoqué jeudi la colère et l’inquiétude d’élus des villes concernées.
Au total ces restructurations prévoient la suppression de 23 500 postes entre 2014 et 2019 : 9 000 dans les forces opérationnelles et 14 500 dans le soutien et l’environnement des armées.
Une baisse qui s’ajoute aux 54 000 postes supprimés dans le cadre de la précédente LPM (2008-2013).
Devant la presse, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a assuré qu’il «assumait ces choix» dans le «respect de capacités opérationnelles des armées».
Sur les 7 880 postes supprimés dans le budget 2014, «un tiers concernera les forces», a-t-il ajouté en présentant le projet de loi de finances de la Défense.
Interrogé sur l’inquiétude manifestée par certains hauts responsables des armées, le ministre a répondu qu’il «n’y a pas d’effondrement du moral dans les armées mais un besoin de lisibilité sur l’avenir».
De leur côté les élus des communes concernées ont fait part de leur colère. La dissolution ou le transfert d’un régiment, soit près d’un millier de soldats et de civils - au total avec leurs familles plusieurs milliers de personnes partent - fragilise les entreprises locales.
Le Drian a annoncé que des dispositifs d’accompagnement des restructurations seront mis en place pour les personnels et pour les collectivités. Le 4e Régiment de dragons (RD) et ses chars Leclerc, installé sur le camp militaire de Carpiagne, près de Marseille, sera dissous en 2014.
Le 4e RD compte 1 000 militaires et civils d’active et de réserve.
Le 1er Régiment étranger de cavalerie (REC) ( 900 légionnaires) quittera la ville en 2014 pour s’installer à Carpiagne. «Une catastrophe», pour le député-maire d’Orange Jacques Bompard, et une «mauvaise nouvelle» pour la section PS de la ville qui ont appelé à une manifestation samedi après-midi.
Quatre sites de l’armée de l’air sont touchés par ces restructurations. La base aérienne (BA) 116 de Luxeuil-les-Bains (Haute-Saône) va perdre «Servance», son escadron de défense sol-air (EDSA, 200 hommes). «C’est une perte considérable», a réagi le maire UMP de Luxeuil, Michel Raison.
D’autre part, «l’activité aérienne permanente» de la BA 102 de Dijon sera «arrêtée». L’emprise du détachement air 277 de Varennes-sur-Allier (Allier) sera fermée entre l’été 2014 et l’été 2015, une décision qui a provoqué l’ire du président communiste du conseil général de l’Allier Jean-Paul Dufrègne. Il a dit avoir seulement été informé mercredi.