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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Remèdes naturels contre l’hypertension Remèdes naturels contre l’hypertension L’hypertension est l’augmentation de la pression artérielle, c’est-à-dire que le cœur travaille plus qu’il ne le devrait pour pomper le sang. Lorsque la pression augmente, l’organisme est affecté de bien des façons, et l’on risque davantage de souffrir de maladies graves qui peuvent même conduire à la mort.
Cette maladie est connue dans le monde entier comme l’assassin silencieux à cause de ses effets sur la santé et de la façon dont elle touche notre organisme. Parmi les principales causes de l’hypertension se trouvent les habitudes sédentaires, le surpoids, le diabète, les maladies rénales, les maladies cardiovasculaires, la prise de drogues, certains médicaments, etc.
Comment détecter l’hypertension ?
L’hypertension ne s’accompagne d’aucun symptôme concret qui puisse révéler la présence de cette maladie. Toutefois, il est prudent de consulter un spécialiste si vous souffrez de l’un des symptômes suivants :
Maux de tête constants
Nausées Transpiration excessive
Pouls rapide Troubles de la vue
Bourdonnement dans les oreilles
Difficultés à respirer
Nervosité Fatigue
Insomnie
Palpitations
Rougeur faciale
Comment prévenir et traiter l’hypertension ? L’hypertension est une maladie qui peut être évitée grâce à des habitudes de vie saines comme suivre une bonne alimentation et pratiquer de l’activité physique. Nous pouvons inclure dans notre régime certains aliments qui aident à réduire l’hypertension, et prendre des remèdes naturels pour la combattre. Lisez la suite de cet article pour savoir quels sont les remèdes naturels pour lutter contre l’hypertension.
L’ail
Ail Les propriétés de l’ail contribuent à réduire le taux de mauvais cholestérol, et favorisent la circulation sanguine. Des études menées par l’université de l’Indiana, aux États-Unis, ont démontré que la consommation d’une gousse d’ail par jour pendant trois mois réduit de 7 à 8 % la pression artérielle. Cet aliment peut se manger cru, en salade, en poudre, ou même en capsules.
Smoothie de persil et citron
Le citron et le persil sont des ingrédients diurétiques capables de faciliter l’élimination des liquides retenus. La combinaison de ces deux ingrédients permet de combattre efficacement l’hypertension, car ils aident à évacuer les substances qui sont à l’origine de cette maladie.
Ingrédients
1 citron entier Branches de persil Préparation Mettez tout le citron (avec l’écorce) dans le mixeur. Ajoutez le persil, puis mixez. Buvez ce smoothie à jeun de façon régulière. Il est également bon pour l’organisme de boire, à jeun, un verre d’eau tiède avec du citron pour pallier à ce problème.
Le citron vert
citron-prolix6x Le citron vert est riche en flavonoïdes et en vitamine C qui contribuent à redonner de l’élasticité aux artères, et à éviter que les veines ne se dégradent. Manger des citrons verts entiers ou boire leur jus est idéal pour les personnes qui souffrent d’hypertension, car ce fruit les aide à maîtriser cette maladie, évitant à la fois l’apparition d’hémorroïdes, de varices, de bleus, et de saignements nasaux.
L’avoine
L’avoine est un aliment qui possède de multiples bienfaits pour l’organisme, et parmi eux, se trouve la capacité de faire baisser la pression artérielle. Une étude réalisée par l’université de Columbia a révélé que la consommation d’avoine permet non seulement de réduire le taux de mauvais cholestérol, mais aussi de renforcer les fonctions neurologiques.
Smoothie à la carotte et à l’orange
Jus carotte Ce smoothie est excellent pour réguler l’hypertension, car il possède des propriétés qui participent à l’élimination des toxines présentes dans l’organisme, à la lutte contre le mauvais cholestérol, et à l’évacuation des liquides retenus.
Ingrédients
1 carotte
1 orange
1 tranche de melon
coupée en morceaux
Du miel d’abeille
Préparation
Lavez, pelez et coupez en morceaux la carotte et le melon. Pressez le jus de l’orange Passez tous ingrédients au mixeur, et buvez ce smoothie à jeun de préférence.
Le céleri
Le céleri est considéré comme un excellent diurétique pour l’organisme. Ses propriétés antioxydantes et dépuratives favorisent l’élimination des toxines et permettent de combattre la rétention de liquides. Ses bienfaits sur la santé vont même jusqu’à aider certaines fonctions de l’organisme comme combattre l’hypertension.
Pour jouir des bienfaits du céleri contre l’hypertension, il est conseillé de le préparer en infusion à l’aide de quelques branches de céleri et d’un litre d’eau. Faites bouillir l’eau, puis ajoutez les branches. Laissez infuser pendant 10 minutes avant de la boire. Cet ingrédient peut aussi être ajouté à vos salades et diverses préparations culinaires
Signes avant-coureurs du cancer du col de l’utérus
Tout type de cancer est extrêmement dangereux et doit être détecté suffisamment tôt, être traité de façon adaptée et être suivi rigoureusement. Parmi tous les cancers existants, nous avons choisi de parler dans cet article du cancer du col de l’utérus.
Plusieurs groupes d’investigation contre le cancer sont d’accord pour dire qu’une série de signes alarmants doivent être connus par tout le monde. Ils recommandent également de se rendre chez le médecin le plus tôt possible dès le moindre symptôme inquiétant.
Il existe 7 signes qui apparaissent de façon précoce sur n’importe quel type de cancer.
Les 7 signaux d’alerte pour détecter le cancer:
Habitudes intestinales ou urinaires modifiées. Ulcère sur la peau sans cicatrisation. Hémorragies ou sécrétions sans aucune raison. Présence de nodules. Toux ou enrouement persistants. Indigestion ou difficulté à déglutir. Changements ou altérations d’un grain de beauté.
Principaux facteurs de risque du cancer du col de l’utérus
Nous devons tous savoir qu‘un facteur de risque est tout ce qui augmente les probabilités de contracter une maladie, dans ce cas le cancer du col de l’utérus. Les facteurs de risque sont variables selon le type de cancer qui peut affecter les personnes, comme le cancer de la peau, entre autres.
Au moment de détecter les facteurs de risque, nous devons nous concentrer sur ce que nous devons changer ou éviter, comme par exemple la cigarette ou le fait d’être atteinte du VPH ou virus du papillome humain, et ne pas se focaliser sur les facteurs que nous ne pouvons malheureusement pas changer, comme l’âge ou les antécédents familiaux. Nous allons à présent énumérer quelques uns des facteurs de risque qui influent sur le développement du cancer du col de l’utérus.
Le virus du papillome humain ou VPH
Ce virus est considéré comme le facteur de risque le plus important concernant la contraction d’un cancer du col de l’utérus. Les médecins supposent qu’une femme a forcément contracté le VPH avant de développer un cancer du col de l’utérus, même s’il découle sûrement d’une infection qui peut être plus ou moins dangereuse. Environ deux tiers de tous les cancers du col de l’utérus sont générés par le VPH 16 ou 18.
La tabagisme
Les femmes fumeuses ont deux fois plus de risque de contracter un cancer du col de l’utérus que les femmes non fumeuses. En effet, fumer soumet le corps à de nombreuses substances chimiques cancérigènes qui peuvent affecter d’autres organes, en plus des poumons. Malheureusement, ces substances arrivent jusqu’au flux sanguin, via les échanges gazeux. De plus, fumer fragilise le système immunologique qui devient moins efficace devant le VPH.
L’immunosuppression
Le virus qui cause le SIDA, aussi appelé VIH, provoque de gros dommages dans le système immunologique et fait que les femmes ont plus de risques d’être infectées par le VPH. Cela pourrait aider à expliquer la plus grande propension à contracter un cancer du col de l’utérus pour les femmes atteintes du SIDA. Le chlamydia C’est une infection bactérienne qui peut affecter le système reproducteur et peut se contracter à travers les relations sexuelles.
Des études affirment que la femme qui a souffert ou qui souffre d’une infection de chlamydia, a plus de risque d’avoir un cancer du col de l’utérus.
L’alimentation
Graisses Les femmes ayant de mauvaises habitudes alimentaires, carencées en fruits, en salades et en légumes présentent de gros risques de souffrir d’un cancer du col de l’utérus.
La pilule contraceptive
Beaucoup d’études qui se sont penchées sur ce sujet affirment que les femmes qui prennent la pilule ont plus de propension à contracter le cancer du col de l’utérus, surtout si elles la prennent pendant des périodes prolongées. Le risque est diminué dès lors que la femme arrête la pilule. Il est cependant plus intense lorsque la prise de pilule dure 5 ans ou plus.
Signaux et symptômes du cancer du col de l’utérus
Les symptômes ne sont généralement pas visibles avant que le pré-cancer ne se transforme en un cancer invasif véritable et qu’il commence à se propager vers les tissus adjacents. Lorsque cela arrive, les symptômes les plus communs sont alors: Saignements vaginaux anormaux. Sécrétions vaginales inusuelles. Douleur pendant les relations sexuelles.
Attention, ces symptômes sont complexes et peuvent être causés par d’autres types de pathologies.
Quelques conseils pour éviter et guérir les cystites
La cystite est une infection de la vessie causée par des bactéries, c’est pourquoi ce problème est souvent gênant et douloureux. Les causes des cystites sont diverses et variées, mais elles sont généralement dues à des réactions à certains médicaments, à une mauvaise hygiène, ou à d’autres maladies
Le traitement habituel pour guérir ce type d’infection est la prise d’antibiotiques. Toutefois, il existe certains aliments qui aident à la combattre, comme les diurétiques et les antioxydants, car ils favorisent l’élimination des liquides.
Symptômes
Douleur au niveau de l’abdomen Sensation de brûlure au moment d’uriner Frissons Mal-être général Fièvre Conseils pour éviter les cystites
Boire suffisamment d’eau
Il est nécessaire que le corps dispose de suffisamment d’eau pour maintenir le bon fonctionnement de l’organisme. Quand nous parlons « d’eau », nous faisons également référence aux infusions, thés, bouillons, boissons, et en général, tout liquide qui hydrate votre corps. Si vous souffrez déjà d’une cystite, buvez autant d’eau que possible. C’est souvent le meilleur remède, car pour soulager la cystite, il faut uriner un maximum pour expulser les bactéries de la vessie. Buvez donc beaucoup d’eau !
Recommandations additionnelles :
Buvez un verre d’eau avec deux cuillères de vinaigre de cidre avant les repas.
Buvez une infusion de persil à jeun.
Buvez trois verres de jus d’airelle par jour. Elles sont très bonnes pour le corps, car elles contiennent une substance qui empêche les bactéries de se fixer sur les parois des voies urinaires, ce qui facilite leur expulsion dans l’urine.
Faites bouillir une cuillerée de pouliot blanc dans une tasse d’eau, buvez cette infusion après chaque repas.
N’attendez pas pour aller aux toilettes
Le pire que vous puissiez faire est d’attendre pour aller aux toilettes, car la vessie s’affaiblit à force de garder l’urine. Il est important de permettre au corps d’éliminer ces déchets qui sont composés de substances dont le corps n’a pas besoin.
La chaleur
Faites chauffer un peu d’eau, et trempez une serviette dedans. Faites attention à ce qu’elle ne soit pas trop chaude, puis posez-la sur votre vessie. La chaleur va aider à soulager la douleur et à combattre l’inflammation et le gonflement. C’est également une bonne méthode pour apaiser la tension musculaire.
Veillez à avoir une excellente hygiène
Tout facteur qui augmente l’humidité de la zone vaginale peut activer des infections. Tout d’abord, l’utilisation d’un protecteur intime est remise en question par les spécialistes, car ce type de produits a été mis en relation en relation avec différentes infections vaginales. En effet, il accroît les conditions d’humidité et la transpiration au niveau de la vulve.
De plus, si vous ne changez pas régulièrement de protecteur, vous risquez de développer des infections externes pendant assez longtemps pour que celles-ci envahissent les voies urinaires. Maintenant, passons aux relations sexuelles, car il est indispensable de conserver une bonne hygiène afin d’éviter les cystites.
Demandez à votre partenaire de bien se laver les parties intimes, et n’oubliez pas que le port du préservatif est toujours utile. Une fois les rapports terminés, urinez et rincez-vous à l’eau tiède, car les fluides qui restent sur les parties intimes peuvent causer des infections. Portez des sous-vêtements larges
Cela est recommandé pour maintenir la zone génitale sèche, car si vous portez des sous-vêtements trop serrés, vous aurez tendance à transpirer, et ce, à cause de la chaleur corporelle. Comme nous l’avons mentionné précédemment, l’idéal est que la zone vaginale reste à la même température, et au même pH.
Quand consulter votre médecin ?
Allez consulter votre médecin quand les complications suivantes apparaissent : Vomissements Tremblements Sang dans les urines
Comment traiter naturellement le zona
Comment traiter naturellement le zona Le zona, communément appelé «herpès zoster», est un trouble qui provient du même virus que celui qui cause la varicelle, qui est «endormi» dans le corps et se « réveille » pour des raisons diverses. Sachez-en un peu plus sur cette maladie et comment la traiter naturellement
Comment traiter naturellement le zona Comment traiter naturellement le zona Le zona, communément appelé «herpès zoster», est un trouble qui provient du même virus que celui qui cause la varicelle, qui est «endormi» dans le corps et se « réveille » pour des raisons diverses. Sachez-en un peu plus sur cette maladie et comment la traiter naturellement
Cela peut durer d’une à quatre semaines. Par la suite, une croûte va et vient, mais les marques restent toujours. Une caractéristique du zona est le fait qu’il ne se manifeste que sur un seul côté du corps, généralement dans la poitrine, mais il y a aussi des cas sur les cuisses ou sur le visage.
Lorsque les ampoules sont sèches, une vive douleur très dérangeante peut parfois apparaître.
Remèdes maison et connus contre le zona
Appliquer un pansement humide sur les éruptions cutanées quand elles sont avancées. Trempez une serviette dans de l’eau froide, la tordre et laisser quelques minutes jusqu’à ce qu’à ce qu’elle soit à température ambiante. Placer une poignée de farine d’avoine ou de fécule de maïs dans l’eau de la baignoire. Rester immergé pendant environ 20 minutes. Répéter tous les jours avant de se coucher pour soulager les démangeaisons. Appliquer de l’eau hydrogénée non diluée sur chacune des ampoules avec une bout de coton ou au compte-goutte si elles sont infectées.
Étaler du miel pur sur les éruptions ou du jus de poireau frais plusieurs fois par jour. Cela permettra de soulager
Faire bouillir 50 grammes de verveine dans un verre d’eau pendant cinq minutes. Étaler sur un chiffon et placer sur la peau sur la zone touchée. Répétez l’opération puis séchez.
Verser quelques gouttes d’huile d’arbre à thé sur un bout de coton et passer doucement sur la zone touchée par le zona. Versez deux cuillères à soupe de plantain par tasse d’eau bouillante. Couvrir et laisser refroidir. Mettre un coton sec et utiliser comme une compresse sur la zone touchée.
Faire bouillir pendant cinq minutes une poignée de bardane laissée dans un litre d’eau. Retirer du feu, laisser refroidir et tremper un chiffon de coton qui sera ensuite appliqué sur la zone touchée, laisser agir pendant une demi-heure. Faire bouillir une poignée de pissenlit dans un litre d’eau pendant quinze minutes. Boire trois tasses par jour.
Faire bouillir deux poignées de feuilles d’oseille par litre d’eau pendant dix minutes. Retirer du feu, laisser refroidir et tremper un chiffon dans cette infusion. Placez-le sur les ampoules. Mélangez une demi-carotte hachée et cuite à l’eau pour obtenir une pâte ou une purée. Appliquer comme un cataplasme sur les zones touchées par le zona.
Boire plusieurs tasses de thé avec du baume de citron tous les jours pour profiter de ses propriétés antivirales. Cela prévient la propagation du virus à d’autres parties du corps. Conserver les sachets de thé dans le réfrigérateur et appliquer sur les ampoules.
Faire une crème avec des graines de piment de Cayenne et du gel d’aloe vera (ou crèmes qui ont cet ingrédient). Vous pouvez également ajouter du poivre à l’alimentation quotidienne, afin de profiter de la capsaïcine (ça peut être acheté dans les pharmacies qui ont certaines crèmes).
Une très bonne plante est la mélisse, puissante et efficace pour guérir l’herpès zoster ou le zona naturellement. Elle est apaisante, analgésique et a des effets antispasmodiques. Faire un thé avec une bonne quantité de cette herbe et laisser refroidir. Appliquer sur la zone avec un coton-tige ou un chiffon, au moins quatre fois par jour.
Si vous buvez du thé, vous pouvez combattre les malaises associés (comme la fièvre ou la douleur généralisée). Une autre plante médicinale pour le zona fortement recommandée est la « griffe du chat». Il n’est pas recommandé pour les femmes enceintes. C’est un puissant antiviral et anti-inflammatoire. Faire une infusion et répétez les étapes indiquées pour la mélisse.
Recommandations pour prévenir ou traiter le zona ou l’herpès zoster
Consommez des aliments riches en vitamines B et C, car ils sont un très bon stimulant du système immunitaire et des nerfs. Évitez n’importe quel tissu ou matériel chaud près des ampoules, comme la laine, car cela augmente la douleur et l’inconfort.
Ayez des vêtements amples, en coton, les textiles synthétiques peuvent causer plus de démangeaisons et de douleur. Ne pas éclater les cloques, vous pouvez laisser des marques sur la peau et faire rejaillir de la douleur ou de l’inconfort.
Évitez les gens qui ont des problèmes immunitaires, comme les jeunes enfants, les greffés, les personnes vivant avec le VIH ou le cancer, etc. Vous pouvez les infecter.
Détendez-vous et laissez aller le stress ou l’anxiété, en utilisant des techniques qui sont les plus utiles pour vous, du yoga à la méditation, ou l’auto-hypnose.
Évitez les changements brusques de température ou les courants d’air, parce que ça envoie des signaux pour activer les nerfs et la douleur.
Exposez-vous à des endroits où vous pourrez profiter de la lumière du soleil quelques minutes afin d’accélérer le processus de guérison, et « sécher » la zone.
Les 12 meilleurs laxatifs naturels
La constipation est un mal très banal et gênant qui est causé par de mauvaises habitudes de vie, une mauvaise nutrition, certains médicaments, et des problèmes liés au système digestif. La plupart des personnes risquent de souffrir un jour ou l’autre de constipation passagère, mais il faut savoir que certaines en souffrent constamment. Vous pouvez avoir recours à différents aliments naturels qui fonctionnent comme des laxatifs pour résoudre ce mal de façon rapide et simple.
La constipation est un mal très banal et gênant qui est causé par de mauvaises habitudes de vie, une mauvaise nutrition, certains médicaments, et des problèmes liés au système digestif.
La plupart des personnes risquent de souffrir un jour ou l’autre de constipation passagère, mais il faut savoir que certaines en souffrent constamment. Vous pouvez avoir recours à différents aliments naturels qui fonctionnent comme des laxatifs pour résoudre ce mal de façon rapide et simple.
Vinaigre de cidre
Vinaigre de cidre Le vinaigre de cidre contient de l’acide malique, du calcium, de la pectine, de la cendre, et de l’acide acétique, lesquels stimulent les intestins afin de faciliter leur motilité et leur fonction. Il est recommandé d’ajouter trois cuillères de vinaigre de cidre à un verre d’eau, et de le boire à jeun.
Les prunes
Les prunes sont une excellente source d’antioxydants, de vitamine A, de potassium, de fer, et de fibres diététiques. Elles sont connues de tous pour leurs propriétés laxatives naturelles, car elles apportent des bactéries bénéfiques pour les intestins, lesquelles stimulent leur motilité, améliorant ainsi la digestion
Aloe vera
Aloe-vera L’aloe vera est connu à l’échelle mondiale pour tous ses bienfaits sur notre santé, aussi bien sur le plan physique qu’interne. Le cristal d’aloe vera se compose de 99 % d’eau, et le 1 % qui reste contient au moins 75 nutriments connus, parmi lesquels on retrouve les vitamines, les minéraux, les acides aminés, etc. Boire du jus d’aloe vera au quotidien est idéal pour soulager la constipation. Pour cela, il suffit de mixer le cristal d’aloe vera avec un peu d’eau et de miel, ou alors, vous pouvez incorporer le cristal d’aloe vera à un jus naturel.
Les fruits secs
Tous les fruits secs sont riches en fibres et en huiles qui font de ces aliments des laxatifs naturels efficaces. Ajouter des fruits secs à votre régime est une façon idéale d’éviter la constipation et de conserver des intestins en bon état de fonctionnement.
Le thé vert
Thé vert Parmi tous les bienfaits que possède le thé vert se trouve la propriété de laxatif naturel. En effet, il permet de stimuler les bactéries qui sont bénéfiques pour les intestins, participant ainsi à la régulation de leurs fonctions et à la bonne digestion. Pour traiter la constipation, il est recommandé de boire une tasse de thé vert avant d’aller se coucher, et le matin au réveil. Il ne faut pas consommer trop de thé vert, car il peut entraîner des effets secondaires sur l’organisme, surtout sur le système digestif.
L’eau
L’eau peut agir comme un laxatif puissant si elle est consommée en grande quantité au cours de la journée. L’eau ramollit les selles, facilite leur évacuation, et stimule également le transit intestinal. Il est recommandé de boire au moins huit verres d’eau par jour, surtout le matin.
L’huile de coco
Huile de coco Consommer de l’huile de coco favorise la digestion, et la fonction intestinale. Ses propriétés font de cette huile un excellent calmant pour la douleur et les irritations causées par les hémorroïdes. De plus, elle permet de réduire l’inflammation et de stimuler le système digestif.
Les céréales complètes
Les fibres sont des aliments qui aident à nettoyer les intestins et à stimuler leur fonction. Les céréales complètes sont riches en fibres, ainsi, si nous les incorporons à notre régime, nous pourrons combattre la constipation de façon naturelle et saine.
Le kiwi kiwi
Le kiwi permet de stimuler efficacement la motilité intestinale et ses fonctions. Pour soulager la constipation, il est recommandé de manger des kiwis à jeun pendant une semaine, vous obtiendrez des résultats très rapidement.
Ebola en France : les 6 questions que vous vous posez
Quels sont les conseils à suivre en cas de suspicion ?
Comment est pris en charge un malade suspect ou avéré ?
Eléments de réponse. Marisol Touraine, ministre de la Santé.
1
Combien de cas suspects jusqu'à présent en France?
Un total de 350 "signalements" de personnes revenant des pays touchés en Afrique ont été répertoriés par l'Institut de veille sanitaire (InVS) chargé de recevoir ces signalements, selon la ministre de la Santé Marisol Touraine.
Sur ce total, 11 cas ont été considérés comme "possibles" et ont fait l'objet d'analyses de contrôle au laboratoire du Centre national de référence des fièvres hémorragiques virales de Lyon (Institut Pasteur/Ciri).
L'ensemble de ces analyses se sont révélées "négatives", selon Marisol Touraine. Parmi ces cas, figure celui d'une personne hospitalisée à l'hôpital parisien Bichat vendredi, pour laquelle la suspicion a été écartée.
A ce jour, depuis le début de l'épidémie en Afrique de l'Ouest, seule une infirmière française de Médecins sans Frontières (MSF), contaminée par Ebola au Liberia en septembre, a été soignée en France et est désormais guérie. Un numéro vert (0800 13 00 00) a été mis en place depuis samedi à 9 heures afin de répondre aux questions du public. Un point de presse hebdomadaire avec les agences sanitaires sera aussi mis en place la semaine prochaine.
2
Quels conseils pour les personnes de retour d'un des pays africains touchés par l'épidémie ?
Les voyages vers les zones contaminées sont "vivement déconseillés". De retour d'une zone contaminée, les voyageurs sont invités à surveiller quotidiennement leur température.
Toute fièvre supérieure ou égale à 38°C est considérée "suspecte". Le malade (ou sa famille) doit obligatoirement se signaler au Centre 15.
La maladie se déclare par une forte fièvre après une période d'incubation du virus allant de 2 à 21 jours (8 jours en moyenne).
3
Quels contrôles dans les aéroports ? La France n'a pour l'instant pas mis en place de contrôle sanitaire à l'arrivée dans les aéroports pour les voyageurs. "La situation étant évolutive, un renforcement des contrôles, au départ comme à l'arrivée, pourrait intervenir dans les jours qui viennent", a précisé vendredi la ministre.
Marisol Touraine veut aussi œuvrer au renforcement des contrôles à l'embarquement dans les pays africains contaminés par le virus. Une réunion européenne est prévue le 17 octobre pour étudier un éventuel renforcement des contrôles.
4
Quelle prise en charge pour un cas suspect ? Si une personne déclare une forte fièvre de retour d'un pays infecté, le centre d'urgence 15 contacté doit établir en fonction de l'interrogatoire avec le malade (ou ses proches) s'il s'agit d'un cas "possible" ou bien si la maladie est exclue (la grande majorité des cas pour l'instant)."Les patients qui vont directement aux urgences sont un risque"
5
Quelle prise en charge pour les cas "possibles" d'infection par Ebola ? Pour les cas "possibles", des analyses sont réalisées au plus vite pour déterminer si la personne est infectée ou non par le laboratoire de Lyon.
Ces cas sont isolés et pris en charge dans l'un des 12 hôpitaux de référence pour recevoir des cas suspects ou avérés d'Ebola en France, dont les hôpitaux Bichat et Necker à Paris. Pour ces cas, "les examens biologiques et les contacts doivent alors être réduits au minimum", souligne la ministre de la Santé. Il faut alors "éviter tout contact physique avec le patient".
6
Quelle prise en charge pour les malades avérés d'Ebola ? Un cas avéré serait immédiatement mis en quarantaine dans une unité spéciale, avec chambre à "pression négative" pour éviter que le virus ne s'échappe et un personnel soignant dédié, protégé par des tenues spéciales, pour assurer des "conditions de sécurité maximale". C'est ce qui s'est passé pour l'infirmière de MSF soignée à l'hôpital militaire Bégin de Saint-Mandé, près de Paris. Cet hôpital militaire a été désigné comme hôpital de destination prioritaire pour le rapatriement d'un cas avéré ou pour la prise en charge d'un cas hautement probable.
Les compléments alimentaires ne sont pas anodins »
Marc Mortureux, le directeur de l'Anses, a présenté hier les résultats d'une étude sur ces gélules consommées par un Français sur cinq. Gare à leur interaction avec d'autres médicaments !
Paris (XVIIIe), hier.
Caroline, pharmacienne, prend toujours le temps d’écouter ses clients et de leur prodiguer ses conseils, notamment quand ils souhaitent acheter des compléments alimentaires. Il faut éviter toute interaction et prévenir les effets secondaires.
« Des compléments alimentaires ? Oui, j'en prends contre mon cholestérol qui a un peu augmenté maintenant que j'ai passé les 55 ans ; enfin, j'en prends parce que ma femme m'oblige à le faire. Mais bon, après tout, ça ne peut pas me faire de mal. »
Faux, Jean-François ! Cela peut vous faire du mal. C'est d'ailleurs le message adressé hier par l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) qui présentait un bilan de sa mission de nutrivigilance lancée en 2010.
Cette dernière a pour objectif d'identifier d'éventuels effets indésirables liés à la consommation grandissante de compléments alimentaires et de certains autres produits, comme les boissons énergisantes.
« Cette offre ne cesse de se développer avec des produits qui revendiquent des effets contre le petit coup de fatigue ou la perte de cheveux. Le problème est que beaucoup les considèrent comme anodins. Ce qui n'est pas le cas », insiste Marc Mortureux, directeur général de l'Anses.
Depuis la mise en place de son dispositif, l'agence a reçu plus de 1 500 signalements d'effets indésirables, émanant essentiellement des professionnels de santé (médecins, pharmaciens, diététiciens...). Parmi eux, 76 % sont liés à la consommation de compléments alimentaires, ces gélules, comprimés, ampoules... qui contiennent notamment des vitamines, des nutriments ou des plantes.
Ils s'adressent en priorité aux personnes pouvant présenter des carences transitoires (grossesse, régime, fatigue hivernale...) mais pas seulement. « Avant l'été, depuis deux ans, je fais une cure de compléments alimentaires pour brûler les graisses et donc perdre un peu de poids. Mais, du coup, comme je fais aussi attention à ce que je mange pendant cette période, je ne sais pas si c'est vraiment pour cette raison que cela marche un peu », reconnaît Djamilla, 21 ans.
Sa copine Myriam est, elle, adepte de pilules préparant la peau pour le bronzage. Elles sont loin d'être des exceptions puisqu'un adulte sur cinq mais aussi un enfant sur dix en consomment au moins occasionnellement. Le tiercé de tête des domaines privilégiés ? La minceur, les cheveux et le cholestérol. Et pour 71 % des usagers, le consommateur est une femme.
Les principaux effets indésirables recensés par l'agence sont principalement des troubles du foie, digestifs et allergiques. Car beaucoup sont pris en effet sans conseil médical, achetés directement dans les rayons des supermarchés, voire sur internet. Mais, selon l'Anses, qui lance un appel à la vigilance, ce n'est pas tant le produit qui pose problème que l'interaction avec d'autres médicaments, le non-respect du dosage ou encore l'absorption de produits qui ne sont pas compatibles avec son état physiologique, l'allergie à une plante par exemple.
Plusieurs centaines de cas d'intoxications ont ainsi été signalés. Dans une pharmacie du XVIIIe arrondissement de Paris, le personnel a bien constaté que la cote de ces gélules souvent présentées comme miraculeuses avait explosé il y a deux ou trois ans, témoigne Danièle. Et à chaque saison, à chaque âge : un produit phare.
« En ce moment, ce qui est très demandé, ce sont les compléments alimentaires qui boostent l'immunité avant l'hiver », explique Caroline. Pas question ici de remettre le produit sans prodiguer des conseils et poser quelques questions. « Contre la fatigue, certains contiennent de l'iode. Or, si vous avez des problèmes de thyroïde, c'est contre-indiqué. Le millepertuis, qui est considéré comme un antidépresseur naturel, eh bien, il diminue l'efficacité de la pilule contraceptive et ne peut pas être administré si vous prenez des anticoagulants », prévient-elle. Alors, oui, les compléments alimentaires ne sont décidément pas des bonbons.
Ils sont dans le collimateur Les 1 565 signalements qui ont été remontés auprès de l'Anses ont donné lieu à une dizaine d'avis de l'agence, mais pas que sur les compléments alimentaires. Les boissons énergisantes. Ce sont des sodas qui ont une teneur élevée en caféine. Associées à la pratique sportive ou à une consommation d'alcool, elles peuvent générer des accidents cardiaques chez les consommateurs porteurs de prédispositions génétiques et généralement non diagnostiquées.
La levure de riz rouge. Présente dans certains compléments alimentaires anticholestérol, cette levure contenant des substances proches des statines peut notamment exposer les consommateurs à des atteintes musculaires ou hépatiques.
La synéphrine. On la trouve par exemple dans l'écorce d'orange amère (ou citrus) et dans des compléments alimentaires ayant une visée minceur. L'Anses déconseille de l'associer à la caféine, à l'activité physique, si vous êtes enceinte ou si vous allaitez votre enfant.
Le thé vert. Peu de cas ont été signalés (17), toutefois pour les hépatites qui se seraient manifestées après la consommation de compléments alimentaires avec du thé vert, « presque la moitié des cas sont d'imputabilité vraisemblable ou très vraisemblable. Dans ce contexte, il convient de poursuivre une surveillance attentive », précise l'agence
Peu de risques concernant votre mug de thé vert au petit déjeuner ou après le repas : un seul cas est remonté et concerne une consommation excessive de ce breuvage à la mode. Les boissons végétales à la place du lait maternel. Aux amandes ou au soja, l'Anses montre que ces boissons, dans leur grande majorité, ne permettent pas de couvrir les besoins nutritionnels des nourrissons de moins de 1 an.
Sida : l'histoire génétique du VIH reconstituée pour la première fois
C'est une première. Des chercheurs en reconstitué le cheminement du virus responsable du Sida, découvert en 1981 et responsable de 36 millions de morts. Selon leurs conclusions, la pandémie a débuté à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, dans les années 20, avant de se propager dans le monde en pleine mutation.
L'origine de l'épidémie, une transmission à Kinshasa
Cette équipe internationale de recherche a pu reconstituer l'histoire génétique du rétrovirus VIH (virus de l'immunodéficience humaine) responsable du sida, se concentrant sur la souche du groupe M, la plus fréquente. «Pour la première fois, nous avons analysé toutes les données génétiques disponibles en recourant aux dernières techniques phylogéographiques pour estimer statistiquement l'origine du virus», explique le professeur Oliver Pybus du département de zoologie d'Oxford, l'un des principaux auteurs de l'étude. «Nous pouvons ainsi dire avec un degré élevé de certitude d'où et quand la pandémie est partie», a-t-il dit. Les résultats de ces travaux parus jeudi dans la revue américaine Science suggèrent que l'ancêtre commun du VIH est «très probablement» apparu à Kinshasa vers les années 1920.
Rembobinons l'histoire d'un siècle : les virologues savaient déjà que ce rétrovirus a été transmis des singes à l'homme au moins à treize reprises, mais qu'une seule de ces transmissions est responsable de la pandémie humaine. C'est seulement cette transmission spécifique qui a abouti à l'émergence du VIH-1, à l'origine de la pandémie qui a entraîné près de 75 millions d'infections à ce jour, la plus grande partie en Afrique subsaharienne.
L'urbanisation et le chemin de fer, facteurs de propagation
La suite est résumée par le professeur Pybus : «notre recherche suggère qu'après la transmission initiale du virus de l'animal à l'homme par la chasse et la consommation de viande de brousse, il y a eu une brève fenêtre à l'époque du Congo belge qui a permis à cette souche particulière du VIH d'émerger et de se propager». Les analyses du groupe de chercheurs des universités britannique d'Oxford et belge de Louvain laissent en effet penser qu'entre les années 1920 et 1950, une combinaison de facteurs, dont l'urbanisation rapide, la construction des chemins de fer en République démocratique du Congo (RDC), alors le Congo belge, ainsi que des changements dans le commerce du sexe, a favorisé l'émergence et la propagation du sida à partir de Kinshasa.
Un des facteurs analysés laisse penser que le développement des chemins de fer, en particulier au Congo belge, a joué un rôle clé dans le développement de la pandémie à ses débuts en faisant de Kinshasa une des villes les mieux desservies de toute l'Afrique centrale, une plaque-tournante. «Les informations des archives coloniales indiquent qu'à la fin des années 40 plus d'un million de personnes transitaient par Kinshasa par le train chaque année», précise Nuno Faria, de l'Université d'Oxford, également l'un des principaux auteurs.
«Nos données génétiques nous disent aussi que le virus VIH s'est propagé très rapidement à travers le Congo , d'une superficie équivalente à l'Europe de l'Ouest, se déplaçant avec des personnes par les chemins de fer et les voies d'eau», souligne-t-il. Ainsi, le VIH a pu atteindre Mbuji-Mayi et Lubumbashi dans l'extrême Sud et Kisangani dans le Nord entre la fin des années 30 et le début des années 50.
Propagation mondiale à la fin des années 70
Ces migrations ont permis au virus d'établir les premiers foyers secondaires d'infection dans des régions qui disposaient de bons réseaux de communication avec des pays du sud et de l'est de l'Afrique, selon ces chercheurs. «Nous pensons que les changements dans la société qui se sont produits au moment de l'indépendance du Congo en 1960 ont aussi probablement fait que le virus a pu s'échapper de petits groupes de personnes séropositives pour infecter des populations plus étendues, avant de se propager dans le monde» à la fin des années 70. Le VIH a été identifié pour la première fois en 1981.
Outre le développement du transport, certains changements dans les attitudes sociales, notamment parmi les travailleurs du sexe, ainsi qu'un plus grand accès aux seringues que se partageaient les toxicomanes, dont certains étaient infectés, ont fait flamber l'épidémie.
Première mondiale en Suède : un bébé naît grâce à un utérus greffé..
Pour la première fois au monde, une femme a pu donner naissance à un enfant après avoir subi une transplantation d'utérus, une prouesse médicale suédoise présentée comme une percée majeure dans la lutte contre l'infertilité.
La mère, dont l'identité n'a pas été révélée, est une Suédoise de 36 ans, qui, en raison d'une affection génétique, était née sans utérus, selon la prestigieuse revue médicale britannique The Lancet, qui révèle samedi cette opération.
Ella a accouché en septembre d'un garçon en bonne santé pesant 1,775 kg, après 31 semaines de grossesse. La mère et l'enfant se portent bien, précise la revue.
Cette première a été réalisée par une équipe conduite par le professeur Mats Brännström, spécialiste de gynécologie obstétrique à l'université de Gothenburg, après plus de dix années de recherche. Elle offre un espoir aux femmes qui ne peuvent pas avoir d'enfants parce qu'elles sont nées sans utérus ou qu'elles souffrent d'une malformation ou encore qu'elles ont subi une ablation de l'utérus en raison d'un cancer ou d'une hémorragie lors d'une précédente grossesse.
Et pourrait éviter à certaines le recours à une mère porteuse. L'utérus provient d'une femme ménopausée L'absence d'utérus «était le seul type d'infertilité féminine jusque là considéré comme au delà des ressources thérapeutiques», soulignent les spécialistes à l'origine de cet exploit dans le Lancet.
L'utérus qui a été transplanté sur la jeune femme provenait d'une amie de la famille âgée de 61 ans, ménopausée depuis sept ans lorsqu'elle a été opérée. La mère est sortie de l'hôpital trois jours après l'accouchement et le bébé a quitté l'unité néonatale dix jours après sa naissance.
Ce «succès est basé sur plus de dix ans de recherches intensives sur l'animal et d'entraînement chirurgical de notre équipe et il crée la possibilité de traiter bon nombre de jeunes femmes dans le monde qui souffrent d'infertilité utérine», explique dans la revue le Pr Brännström. «De surcroît, nous avons démontré la faisabilité de la transplantation de l'utérus d'une donneuse vivante, même lorsque cette dernière est ménopausée», souligne-t-il.
La jeune femme traitée, dont les ovaires étaient intacts, était capable de produire des ovules qui ont été fécondés par les techniques de fécondation in vitro (FIV) avant la greffe. Ce qui a permis d'avoir onze embryons congelés. Une année après la transplantation de l'utérus, les chercheurs ont transféré un seul embryon dans l'utérus greffé, obtenant ainsi une grossesse. «Nous n'avons observé qu'un seul épisode de faible rejet durant la grossesse qui a été traité avec succès avec des corticostéroïdes, et la femme a travaillé à plein temps jusqu'à la veille de l'accouchement, a souligné le Pr Brännström.
Souffrant d'hypertension, la jeune femme a subi une césarienne La croissance du foetus et l'irrigation sanguine via les artères utérines et le cordon ombilical ont été normaux durant les 31 premières semaines de grossesse. Mais la jeune femme a été hospitalisée à la 31e semaine en raison d'une pré-éclampsie (une pathologie marquée notamment par une hypertension et qui présente un risque pour le foetus) et a subi une césarienne.
La maman est l'une des neuf Suédoises qui avaient eu une greffe d'utérus de donneuse vivante en 2013. Elle était atteinte comme sept d'entre elles du syndrome MRKH, qui conduit à l'absence, totale ou partielle, du vagin et de l'utérus. Une condition qui touche une femme sur 5 000 à la naissance.
Rien qu'au Royaume-Uni, on estime à plus de 12 000 le nombre de femmes en âge d'avoir des enfants, qui présentent des facteurs d'infertilité d'origine utérine, rappelle le Lancet. Avant cette prouesse médicale, d'autres tentatives de greffes avaient été faites, avec des utérus provenant de donneuses vivantes ou non, mais s'étaient soldées par des échecs.
La première, en Arabie Saoudite en 2000, avait échoué au bout de trois mois, l'utérus de la patiente se nécrosant. Une autre en Turquie en 2011, réalisée avec un utérus de donneuse décédée, avait permis un début de grossesse mais celui-ci s'était soldé par un avortement.
Une «étape comme la greffe du coeur» Le professeur René Frydman, père scientifique du premier bébé éprouvette français, a salué samedi «avec enthousiasme» la naissance du bébé dont la mère a eu un utérus greffé, «une étape» comme celle de «la greffe du coeur pour les pathologies cardiaques».
«Je salue avec enthousiasme l'équipe de Mats Brännströmm (le professeur suédois à la tête de l'équipe ayant réalisé cette première mondiale) parce que c'est un long travail, des années d'étapes menées chez l'animal», a-t-il expliqué sur la radio France Info.
«C'est incontestablement une étape comme la greffe du coeur pour les pathologies cardiaques», a-t-il poursuivi. «C'est la première fois qu'un enfant s'est développé dans l'utérus d'une autre dame porté par celle qui va être la mère de cet enfant et ça, c'est quand même chapeau». Il a estimé qu'une «centaine de patientes pourraient être demandeuses en France» de cette technique. Mais si cette première médicale «ouvre des perspectives, elle pose aussi des questions» éthiques, a-t-il noté.
Les donneuses pour la greffe d'utérus «peuvent être des donneuses vivantes, provenant de l'entourage (de la patiente) et ça mérite des précautions, ça mérite simplement qu'on y réfléchisse», a-t-il expliqué, posant notamment la question de la relation entre la mère, la donneuse et l'enfant. «Ça mérite simplement qu'on ne considère pas qu'il suffit d'un claquement de doigt et de dire oui. Ça mérite une réflexion», a-t-il insisté.
Santé : vers un diagnostic plus précis pour Alzheimer
Un tiers des patients diagnostiqués souffriraient en fait d’autres démences. De nouveaux critères permettront de distinguer les vrais malades des autres, et d’adapter les traitements
La découverte
Nous connaissons tous quelqu’un touché par la maladie d’Alzheimer…
Normal, avec près de 900 000 cas en France. Mais est-ce bien de cette maladie que ces gens sont atteints ? Il est difficile de le certifier, car les critères de détection actuels sont imprécis pour une maladie aux expressions diverses.
Et quand on demande aux spécialistes le nombre de diagnostics erronés de la maladie d’Alzheimer, la réponse surprend par son importance : plus d’un tiers !
Il fallait affiner la méthode. Mission remplie par l’équipe coordonnée par le Pr Bruno Dubois, neurologue et directeur de recherche à l’Inserm (hôpital de la Salpêtrière). Après dix ans de travail, elle vient de publier dans Lancet Neurology une démarche diagnostique simplifiée et plus fiable.
« On est au bout du chemin, on arrive à l’essentiel, émanant d’un consensus international », indique le Pr Dubois. La maladie d’Alzheimer est la plus fréquente des démences. Si elle est rare avant 65 ans, sa proportion augmente avec l’âge, et donc avec l’espérance de vie. Elle devrait atteindre 1,3 million de personnes dans six ans. Elle est due à une destruction de neurones au niveau du cerveau par l’accumulation anormale de certaines protéines cérébrales (protéines béta-amyloïde et Tau).
Comment ça marche
Les perturbations de la mémoire sont les premiers signes connus de la maladie. Plus tard peuvent survenir des troubles pénibles pour la personne et son entourage : s’égarer sur un trajet habituel, perdre la notion de mois ou d’année, ne plus savoir comment se servir de son téléphone… Tout cela a des conséquences sur l’autonomie. Mais ces symptômes ne sont pas spécifiques de la maladie d’Alzheimer.
Et tout l’enjeu est de savoir distinguer cette pathologie d’autres démences (il en existe une demi-douzaine) car les traitements ne sont pas les mêmes, et on peut freiner ou du moins limiter l’évolution de certaines d’entre elles.
C’est pourquoi cette nouvelle stratégie diagnostique est un véritable tournant dans la pratique médicale. Elle comporte tout d’abord un nouveau test de mémoire, mis au point par le Pr Dubois, qui se compose de listes de mots à mémoriser.
Ne pas pouvoir les restituer, même avec un indice (par exemple « animal », pour retrouver « souris »), est le signe d’une perturbation spécifique de l’Alzheimer : on ne stocke plus les informations. Un tests clinique, mesurant des « marqueurs techniques » (accumulation anormale de protéines cérébrales), doit confirmer le soupçon.
On peut effectuer soit une ponction lombaire, pour déterminer la concentration des protéines beta-amyloïde et Tau, soit un PET scan, une technique d’imagerie cérébrale consistant à injecter un liquide radioactif pour révéler les anomalies du cerveau.
Les plaques amyloïdes (issues de l’accumulation anormale de protéines cérébrales) apparaissent alors en couleur. Pour le Pr Dubois, « le diagnostic de la maladie d’Alzheimer repose désormais sur ce seul couple de critères (test de mémoire et mesure de l’un des marqueurs techniques, soit par ponction lombaire, soit par PET scan, voir schéma ci-dessus, NDLR) pour tous les stades de la maladie ». En complément, si nécessaire, l’IRM du cerveau peut montrer la diminution de taille d’une zone en charge de la mémoire (hippocampe) qui est touchée précocement dans la maladie.
Les perspectives
Bien sûr, on ne va pas faire passer tous ces examens à tout le monde, ils concerneront surtout les sujets les plus jeunes et ceux pour lesquels on a des doutes. Cela permettra de tester de nouveaux traitements sur des patients dont on est sûr qu’ils ont bien Alzheimer. Les mauvais résultats actuels des médicaments sont peut-être liés à ce tiers de faux diagnostics. Les trous de mémoire sont le lot de beaucoup. Quand ils durent, préoccupent la personne ou l’entourage, il faut consulter son médecin, qui pourra vous orienter vers l’un des 400 centres mémoire hautement spécialisés dans ce diagnostic.