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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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santé

ébola

Publié à 15:49 par fandeloup Tags : article texte vie homme chez france mort annonce message fille afrique
ébola

Ebola : des scientifiques prédisent son arrivée en France d'ici la fin du mois

Des scientifiques britanniques estiment que le virus a 75 % de chance d'être diagnostiqué en France d'ici la fin du mois d'octobre.

Alors que le premier France d'Ebola diagnostiqué hors Afrique était entre la vie et la mort à Dallas (Etats-Unis) lundi, des scientifiques britanniques estiment que le virus a 75 % de chance d'être importé en France d'ici le 24 octobre.

début de psychose liée au virus Ebola dans une école primaire Par ailleurs, le quatrième Américain contaminé au Liberia, un journaliste recruté par la chaîne NBC, a été évacué vers le Nebraska. Il est le premier journaliste étranger atteint depuis le début de l'épidémie, qui a emporté plusieurs journalistes locaux. Ebola en France avant fin octobre ?

Des scientifiques de l'université de Lancaster (Royaume-Uni), cités par Reuters, estiment que la maladie d'Ebola a 75 % de chance d'être importée en France d'ici le 24 octobre. Leur calcul repose sur les données connues sur la propagation du virus et sur l'hypothèse d'un trafic aérien normal. Une diminution de 80 % du trafic aérien avec les pays touchés permettrait d'abaisser cette probabilité à 25 %.

«Si le virus continue à faire rage en Afrique de l'Ouest et empire, comme on le prédit, ce n'est qu'une question de temps avant que ces cas se retrouvent dans un avion pour l'Europe», affirme Derek Gatherer de l'université de Lancaster.

Pour le Royaume-Uni, ces chiffres sont respectivement de 50 % (trafic normal) et de 15 % (trafic réduit). Fin juillet, Marisol Touraine avait affirmé, dans les colonnes du «Parisien», que le risque d'importation du virus en Europe était «faible» et que le cas échéant, la France serait capable de «faire face».

Samedi, la ministre de la Santé a annoncé que la jeune infirmière de MSF contaminée au Liberia et hospitalisée à Saint-Mandé était guérie. VIDEO. Ebola : l'infirmière française est «totalement guérie», annonce Marisol Touraine.

Le journaliste américain infecté a quitté le Liberia. Le cameraman américain qui a contracté le virus au Liberia a été évacué dimanche de Monrovia vers un centre spécialisé du Nebraska, aux Etats-Unis. Ashoka Mukpo, recruté par la chaîne de télévision américaine NBC, était en quarantaine depuis mercredi dans un centre de traitement de l'Ebola de Médecins sans frontières (MSF), à la limite est de la capitale libérienne.

«Les médecins sont optimistes sur son cas», avait indiqué vendredi le père du cameraman, Mitchell Levy, dans un message publié par la chaîne. «Par principe de précaution», le reste de l'équipe, ne présentant pourtant aucun symptôme, devait être «rapatrié par vol spécial» et être placé en quarantaine. Fausse alerte pour un ancien malade américain.

Un médecin américain de nouveau hospitalisé au cours du week-end après avoir été traité en septembre contre Ebola ne souffre d'aucune nouvelle infection liée à cette maladie, a-t-on appris dimanche. Ancien missionnaire, Rick Sacra, 51 ans, avait contracté le virus Ebola en effectuant une césarienne dans un hôpital au Liberia. Il avait ensuite été déclaré guéri et avait pu sortir du centre du Nebraska, le même qui a accueilli Ashoka Mukpo.

Samedi, il a de nouveau dû être hospitalisé dans un centre médical dans le Massachusetts, avec un rhume et une fièvre élevée, puis placé en quarantaine. Le Libérien contaminé au Texas est «dans un état critique». Thomas Duncan, premier malade d'Ebola diagnostiqué hors d'Afrique, est entre la vie et la mort, a affirmé dimanche le Dr Thomas Frieden, un responsable des centres pour le contrôle et la prévention des maladies, la principale autorité sanitaire aux Etats-Unis. Aucun des traitements expérimentaux qui lui ont été administrés à l'hôpital de Dallas (Etats-Unis) où il est en isolement depuis le 28 septembre, n'aurait été efficace jusqu'à présent.

Thomas Eric Duncan était entré en contact avec le virus quelques jours avant son départ le 19 septembre en portant assistance à Marthalyn Williams, fille de son bailleur, à Paynesville, une banlieue de l'est de Monrovia, la capitale, selon la famille Williams. VIDEO. Nettoyage de l'appartement d'Eric Duncan, atteint d'Ebola Un cas mortel confirmé en Ouganda.

Un cas mortel de contamination par la fièvre hémorragique à virus de Marburg a été recensé en Ouganda, chez un membre du personnel d'un hôpital de Kampala, a annoncé dimanche le gouvernement ougandais. Le virus de Marburg est de la même famille que celui d'Ebola et figure comme lui parmi les agents pathogènes les plus virulents chez l'Homme, selon l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). La victime est un technicien en radiographie de 30 ans, qui travaillait à l'hôpital Mengo de Kampala.

Il a commencé à se sentir mal le 17 septembre et est décédé le 28 septembre dans cet établissement, a expliqué le ministère ougandais de la Santé dans un communiqué. Les tests se sont avérés positifs le 30 septembre.

Maladie d’Alzheimer

Publié à 19:47 par fandeloup Tags : sommaire vie éléments
Maladie d’Alzheimer

Maladie d’Alzheimer Une responsabilité particulière des praticiens et des établissements

La Cour d'appel de Montpellier, le 8 avril 2014, a examiné les obligations de chacun des intervenants dans le suivi et la surveillance de ces patients atteints par la maladie d'Alzheimer, particulièrement fragiles.

Une patiente âgée de 85 ans souffrant de la maladie d'Alzheimer a fugué le soir même de son admission dans un établissement spécialisé avec unité de soins Alzheimer. Elle est retrouvée sans vie, dans un fossé, plusieurs jours après sa disparition. La famille saisit la justice pour manquement de l'établissement à son obligation de sécurité et de surveillance.

 

 

La responsabilité de l’établissement

La responsabilité du médecin traitant Conclusion La responsabilité de l’établissement Les magistrats constatent que l'établissement avait connaissance de l'état de désorientation de la patiente et de la gravité de ses troubles au regard des tests pratiqués par le médecin coordonnateur de l'établissement, à deux reprises, en vue de l'admission. Ces tests avaient confirmé l'absence de cohérence dans le comportement, l'état de dépendance de la patiente tant pour l'orientation dans le temps et dans l'espace que pour les déplacements extérieurs.

Ces résultats avaient abouti à reconnaître une dépendance de type GIR 2, donc très importante. Selon la Cour, ces troubles diagnostiqués laissaient présumer l'existence d'une prédisposition à un risque de fugue dans le nouveau contexte d'un placement en établissement : auparavant la patiente vivait en milieu familial et donc dans un environnement constitué de repères familiers.

Une faute du personnel a été identifiée dans la surveillance : le jour de l'admission, en fin d'après-midi, la patiente est sortie devant la résidence et a entamé une discussion avec des personnes venues vraisemblablement pour rendre visite à un résident.

Une salariée a assisté à cette scène mais, au lieu de raccompagner la patiente à l'intérieur, elle s'est contentée de l'observer en discussion avec des personnes qui lui étaient totalement étrangères. Selon les juges, en ne se préoccupant pas des conséquences qu'allait entraîner cette déambulation pathologique, laquelle était le motif essentiel de son admission dans ce centre disposant d'une unité de soins spécialisés, il y a eu manquement au devoir de surveillance.

Les magistrats relèvent que, certes, le règlement intérieur de l'établissement rappelle le principe fondamental de la liberté de circuler des résidents, mais aussi qu'il contient une restriction à ce principe à raison de l'état de santé et à la condition que cette restriction s'inscrive dans la nécessité d'assumer la sécurité et la protection du résident concerné.

L'établissement ayant formé un appel en garantie contre le médecin traitant, la Cour se prononce sur sa responsabilité.

 

La responsabilité du médecin traitant

La Cour constate que le médecin traitant n'a « dissimulé », dans son certificat rédigé en vue de l'admission en établissement spécialisé, aucune information qui aurait été nécessaire à l'établissement et qui aurait modifié son analyse et celle du médecin coordonnateur quant à l'accueil de la patiente.

En effet le certificat indiquait que le motif de cette entrée était une aggravation de l'état démentiel, avec : Troubles cognitifs sévères Troubles du comportement se manifestant par une déambulation Troubles de l'humeur Etat anxio-dépressif L'établissement reproche au médecin traitant de ne pas avoir signalé une « tendance à la fugue ». La Cour rejette ce reproche car, à la date du certificat, aucun risque de fugue ne s'était encore réalisé.

En effet, dans le contexte de l'époque, la patiente bénéficiait des repères de son environnement habituel et familial, et n'avait donc manifesté aucun signe de fugue. Le médecin traitant « n'avait jamais constaté de tendance à la fugue de sa patiente, ne pouvait ni fournir une information qu'il ne détenait pas, ni valider l'existence d'un risque non avéré à cette date ».

En outre, les magistrats précisent que le médecin traitant ne peut se substituer à l'EHPAD, et notamment à son médecin coordonnateur, dans la réalisation des examens et contrôles pour évaluer l'état de santé de la patiente, puisque ceux-ci participent aux formalités d'admission pour déterminer les traitements adaptés, l'opportunité d'un séjour au sein de cet établissement ainsi que le régime de surveillance ou les restrictions de liberté à envisager, notamment dans les déplacements à l'extérieur.

 

Conclusion

Cet arrêt rappelle certaines précautions importantes à prendre pour l'admission et le séjour en établissements de ces patients :

pour le médecin traitant: rédiger un certificat précis comprenant tous les éléments connus susceptibles d'éclairer l'établissement sur l'opportunité de l'admission et les conditions de séjour ;

pour le médecin coordonnateur : prendre attentivement connaissance du certificat du médecin traitant, puis réaliser des tests complets afin d'éclairer la décision administrative d'admission ;

pour l'établissement: prendre en considération tous les éléments figurant dans le certificat du médecin traitant et les résultats des tests du médecin coordonnateur, sachant que les premiers moments après l'admission présentent un danger spécifique.

1ère cause de décès

Publié à 17:32 par fandeloup Tags : monde chez france 2010 mort nature voiture
1ère cause de décès

Étude : La mort, 1ère cause de décès chez les Français de tous âges

Ce matin, 09 h 30 au siège de l’Institut de Veille Sanitaire (InVS) à Saint-Maurice, dans le Val-de-Marne. La presse a fait le déplacement en masse pour suivre une conférence de presse dont l’importance est à la hauteur de l’affluence.

A 09 h 35 précise, une équipe de chercheurs en biologie de l’InVS a rendu publics les résultats d’une recherche sur les causes de la mortalité chez les Français entre fin 2010 et début 2013. Et surprise.

Alors que la plupart des observateurs scientifiques s’attendaient à voir les tumeurs et autres maladies cardio-vasculaires décrocher la médaille d’or, le verdict des chercheurs a laissé bouche bée tout le monde.

Selon ces derniers, la mort serait en réalité le 1er véritable facteur de décès dans la population française. « Les gens meurent parce qu’ils meurent » Anne Latieule est chercheuse en biologie à l’Institut de Veille Sanitaire.

Elle a participé à cette étude autour de 540 700 cas de décès et son verdict semble sans appel : « Après un listing pour le moins exhaustif de tous les types de morts ces dernières années, on en est venu à cette conclusion aussi simple qu’évidente. Les gens meurent parce qu’ils meurent. Au-delà de la cause secondaire du décès, comme par exemple un cancer, un accident de voiture ou un suicide par pendaison, les Français meurent avant tout parce qu’ils « peuvent » mourir. »

Une cause première visiblement ignorée pendant des années et qui pourtant semble concerner tous les citoyens de la France, comme le souligne Jacques Lafarge qui a piloté cette recherche : « Nous n’avons jusque là trouvé aucun cobaye de nationalité française qui ne pouvait pas mourir. La mort semble donc inhérente à l’existence de chacun des Français et peut-être même à l’existence d’êtres humains de nationalité étrangère. Mais sur ce dernier point, il ne s’agit encore que d’une hypothèse. »

Une idée loin des croyances des Français Le fait d’être mortel comme raison primordiale de l’ensemble des décès dans l’Hexagone et dans les DOM-TOM ? Une vision de notre condition bien loin de ce que la majorité des Français s’imaginait jusque là, comme le souligne très justement Jacques Lafarge :

« Les gens, en tout cas les Français de manière certaine, semblent oublier que la mort fait partie de notre nature apparemment. Et quand quelqu’un qui leur est proche meurt, ils préfèrent se focaliser sur la cause secondaire de la mort et ils s’attristent parce qu’ils se disent que cela aurait pu être évité.

Ou alors ils souffrent tout simplement parce qu’ils ont oublié que nous, Français, nous mourrons. Naturellement. »

choux-fleur

Publié à 11:45 par fandeloup

échange

Publié à 17:08 par fandeloup
échange

C'est la plus heureuse des conversations lorsqu'il n'y a ni compétition, ni vanité, mais un calme échange de sentiments.

Cerveau : une première expérience

Publié à 15:45 par fandeloup Tags : france article société internet message
Cerveau : une première expérience

Des chercheurs affirment avoir transmis pour la première fois un message mental simple entre deux personnes séparées par des milliers de kilomètres, selon un article publié dans la revue américaine PLOS one.

Pour cette expérience, un des sujets situé en Inde porte des électrodes sur la tête transmettant via internet ses activités cérébrales, comme un électroencéphalogramme, alors qu'il pense des messages très simples comme «bonjour» ou «salut».

L'ordinateur convertit ces impulsions électriques en code binaire (le langage machine), puis les envoie à un autre ordinateur qui les transmet au cerveau d'une autre personne en France sous forme de flash lumineux. Le deuxième sujet ne pouvait ni entendre ni voir les mots eux-mêmes, mais a été capable d'interpréter les signaux lumineux pour saisir le message.

En fait, cela revient à transmettre un message par télépathie. «Nous voulions voir s'il était possible de communiquer directement entre deux personnes en lisant les activités cérébrales de la première puis en les transmettant à une autre et ce sur de vastes distances via les systèmes de communication existants comme internet», a expliqué Alvaro Pascual-Leone, professeur de neurologie à la faculté de médecine de Harvard, co-auteur de cette expérience.

Bientôt des interfaces directes entre le cerveau et l'ordinateur Des chercheurs de l'université de Barcelone et de la firme espagnole Starlab ainsi que de la société française Axilum Robotics ont également participé à cette recherche, parue dans PLOS One daté du 19 août. Selon ces scientifiques il s'agit d'un premier pas dans l'exploration d'autres moyens de communication.

«Nous pensons que des interfaces directes courantes entre les ordinateurs et le cerveau humain seront possibles dans un avenir pas si éloigné, permettant une communication directe de cerveau à cerveau de façon routinière (...) et créant de nouvelles possibilités dans les relations sociales», concluent ces chercheurs. Parmi les applications potentielles, ils citent la possibilité de communiquer avec des personnes paralysées et incapables de parler après un accident vasculaire cérébral. Les scientifiques travaillent depuis une dizaine d'années sur les communications télépathiques.

En 2013, des neurobiologistes de l'Université Duke en Caroline du nord (est des Etats-Unis) étaient parvenus à faire transmettre par une forme de télépathie des informations entre deux rats. Comme ils sont tenus de le faire dans les grandes publications scientifiques, plusieurs auteurs signalent des conflits d'intérêt. Ainsi, trois des chercheurs sont salariés de la firme de robotique et de neurosciences Starlab, à Barcelone, qui a financé une partie de la recherche.

amandes

Publié à 19:12 par fandeloup

acariens

Publié à 17:38 par fandeloup Tags : chez vie enfants nuit
acariens

Notre visage abrite plusieurs millions d'acariens

Une étude publiée le 27 août révèle que le visage des adultes est un nid à acariens. Deux espèces se partagent les pores de nos joues, notre front et notre nez.

Vous auriez voulu l'ignorer toute votre vie mais des chercheurs en ont décidé autrement. Une étude publiée mercredi 27 août dans le journal Plos One a révélé la présence de millions d'acariens vivant dans les pores de la peau du visage.

Ce sont précisément deux espèces d'acariens qui squattent notre peau : les "Demodex brevis" et les "Demodex folliculorum".

Les premiers sont nichés dans les glandes sébacées, chargées de produire le sébum protecteur de notre peau, et les autres, bien planqués dans les cellules qui produisent les poils, au niveau des cils, du nez, du front et des joues. Ces petites bêtes sont dotées de 8 pattes, d'un corps en forme de vers et mesurent quelques dixièmes de milimètres de long. Une femelle peut pondre plus de 20 oeufs dans un seul folicule pileux !

Autre information extrêmement rassurante : les Demodex se déplacent surtout la nuit , à la surface de la peau. Des maladies bégnines. Fait surprenant, les acariens vivant sur notre visage sont très semblable, qu'ils aient été observés en Chine ou aux Etats-Unis. Et si les scientifiques n'en ont trouvé que dans 14% des échantillons prélevés sur des individus, 100% d'entre eux portaient une trace génétiques de la présence de ces acariens.

On ignore encore les raisons de la présence de ces habitants microscopiques mais le fait qu'ils soient moins présents chez les enfants laisse penser que la contamination est progressive. Quoi qu'il en soit, la cohabitation avec ces parasites ne semble pas poser de gros problèmes. Ils pourraient être à l'origine de maladie bégnine comme "l'acné rosacée", indique Didier Raoult, professeur de microbiologie à la faculté de médecine "La Timone" à Marseille.

greffe

Publié à 11:08 par fandeloup Tags : femme france histoire femmes bébé
greffe

Février 2013 - Elle s'appelle Amélie Ducourtioux et a 27 ans. Elle a confié son histoire au Parisien, dans l'édition du vendredi 8 février.

L'année dernière, la jeune femme a perdu le bébé qu'elle attendait, à six mois de grossesse. Elle a subi une ablation de l'utérus, à la suite d'une hémorragie massive. Depuis, elle souhaite obtenir une greffe d'utérus. Elle a notamment écrit, à la fin du mois de janvier, à la ministre de la Santé, Marisol Touraine. Elle est également rentré en contact avec le professeur René Frydman, à l'origine de la naissance en 1982 d'Amandine, le premier bébé-éprouvette français, et qui fait actuellement des recherches sur le sujet.

Il assure que le cas de la jeune femme est 'éligible à une telle opération'.

Deux greffes en Suède

L'opération n'a pour le moment jamais été réalisée en France, même si des recherches sont en cours. En octobre dernier, le docteur Pascal Pivier a prélevé un utérus sur une personne décédée.

En Suède, en septembre 2012, deux femmes ont reçu un utérus prélevé sur leurs mères. Elles se portent bien, mais il faut attendre un après la greffe pour tenter une fécondation, afin que le risque de rejet diminue.

Dix autres greffes sont prévues cette année. Le Pr René Frydman rappelle dans Le Parisien qu' 'aucune grossesse menée à terme n'a encore eu lieu'.

greffe

Publié à 10:27 par fandeloup Tags : travail homme image voiture
greffe

Décembre 2013 - L'image, qui vient de Chine, est sidérante et pourtant elle est bien réelle.

Un homme, victime d'un grave accident du travail, s'est fait greffer sa main droite sur sa cheville.

Une opération temporaire réalisée par les chirurgiens de l'hôpital de Changsha, dans la province centrale du Hunan, pour que la main reste irriguée par le sang en attendant de la recoudre au bras. L'accident s'est produit il y a plusieurs semaines.

L'homme, un ouvrier, a eu la main arraché et le bras écrasé. Il a donc fallu trouver une solution pour conserver la main de la victime en attendant de pouvoir remettre son bras en état.

D'où l'idée de recoudre le membre arraché à la cheville du patient. La main a finalement été greffée au bras droit, après un mois de chirurgie reconstructrice.

Selon les médecins en charge de ce cas exceptionnel, le patient devra encore subir d'autres opérations mais les spécialistes de l'hôpital de Changsha sont optimistes quant à ses chances de retrouver l'usage complet de sa main.

Les spécialistes chinois de microchirurgie n'en sont pas à leur coup d'essai en la matière. En septembre dernier, une équipe de l'hôpital universitaire de Fujian (sud-est), avait ainsi réussi la greffe d'un nez, entièrement reconstitué à partir de cartilage sur le front d'un patient, victime d'un grave accident de voiture qui l'avait défiguré.