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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Les carottes, bonnes pour la vue, c'est bien connu : qui a déjà vu des lapins avec des lunettes ?
Jeudi 30 janvier, la revue médicale Prescrire a fait paraître sa liste des médicaments à écarter pour mieux soigner.
Elle dénonce ainsi 68 médicaments jugés plus dangereux que bénéfiques pour la santé.
La revue médicale indépendante Prescrire a publié une liste de 68 médicaments jugés “plus dangereux qu’utiles” pour la santé des patients.
Des études, menées entre 2010 et 2013 font apparaître une balance “bénéfices-risques” défavorable pour ces 68 médicaments actuellement sur le marché.
Cette “balance” calcule l’intérêt sanitaire du médicament par rapport aux dangers qu'ils peuvent représenter pour la santé. “Fréquemment, les agences du médicament octroient des autorisation de mise sur le marché (AMM) en l’absence de comparaison à d’autres traitements éprouvés, sans tenir suffisamment compte des risques prévisibles, sans exiger une évaluation probante de la balance bénéfices-risques?” explique la revue Prescrire.
Cancérologie, allergie, dermatologie ou encore nutrition : les médicaments à bannir selon
Prescrire concernent de nombreux domaines médicaux. Il s’agit notamment de médicaments ancien dont les versions nouvelles ont une “balance bénéfices-risques” plus favorable. Ou l’exact contraire : de nouveaux médicaments dont les équivalents plus anciens présentent moins de risques.
On trouve également certains médicaments dont l’efficacité est non avérée ou trop faible par rapport à la gravité des effets secondaires encourus
Viniflunine, dompéridone, trimétazidine...Autant de molécules dont les noms ne vous disent peut-être rien mais que l’on retrouve dans de nombreux médicaments sur le marché et qui présentent de sérieux risques d’effets secondaires graves.
On a beaucoup parlé dans la presse du Motilium, présent sur la liste de Prescrire. Composé de dompéridone, ce médicament prescrit contre les nausées et les vomissements entraînerait des troubles du rythme cardiaque. En 2012, on estime qu’entre 25 et 120 ont été frappées d’une mort subite du fait de l’utilisation de Motilium. Les recommandations de l’agence européenne du médicament (AEM) concernant ce médicament sont attendues pour mars 2014.
Parmi les médicaments mis en cause, le Protelos dont la principale molécule est le strontium ranélate. Utilisé dans le traitement de l’ostéoporose, il pourrait engendrer des troubles neurologiques et cardiovasculaires graves et entraîner la mort.
La Trimétazidine figure également sur la liste de la revue. Ce médicament indiqué notamment contre les angines de poitrine exposerait le patient à des syndromes parkinsoniens, des hallucinations ou une chute du nombre de plaquettes dans le sang.
La Prométhazine, antihistaminique utilisé dans le traitement de l’urticaire sévère présente des risques de thromboses, de nécroses cutanées ou de gangrènes.
L’Orlistat, qui lutte contre l'absorption des graisses alimentaires aurait, toujours selon la revue, une efficacité trop modeste (environ 3,5 kg de perdu en plus en 18 mois qu’avec un placebo) par rapport aux risques qu’il présente : troubles digestifs, atteintes hépatiques, fractures osseuses chez les adolescents, carences alimentaires. Il interagirait également avec la prise d’autres médicaments, antiépileptiques et contraceptifs oraux notamment, annulant leurs effets.
La Quinine employée pour lutter contre les crampes exposerait le patient à des effets indésirables graves, parfois mortels comme des réactions anaphylactiques ou des troubles hématologiques.
Certains médicaments contre la maladie d’Alzheimersont également mis en cause. Leur efficacité étant jugée “minime et transitoire” ils présenteraient des risques disproportionnés par rapport à leurs bénéfices. “Aucun de ces médicaments n’a d’efficacité démontrée pour ralentir l’évolution vers la dépendance et ils exposent à des effets indésirables graves, parfois mortels.” affirme la revue.
Une femme paralysée retrouve l’usage de ses jambes grâce à un impressionnant exosquelette imprimé en 3D C’est une nouvelle qui a de quoi redonner espoir aux personnes paralysées !
Des chercheurs ont mis au point une structure sur-mesure permettant à une femme de remarcher alors qu’elle avait perdu l’usage de ses jambes depuis 22 ans.
Cette merveille technologique a été rendue possible grâce à une imprimante 3D. En 1992, Amanda Boxtel s’est retrouvée paralysée des deux jambes suite à une accident de ski.
Les médecins lui ont assuré qu’elle ne pourrait plus jamais marcher. Elle y est pourtant parvenue 22 ans plus tard, grâce aux chercheurs de 3D Systemset d’EskoBionics.
Ils ont en effet crée un exosquelette grâce à une imprimante 3D qui permet à la femme handicapée de se lever, marcher et se déplacer d’elle-même.
Cette prothèse externe, la première en son genre, a été conçue sur-mesure. Les designers de 3D Systems ont d’abord scanné tout le corps d’Amanda pour numériser les contours de son épine dorsale, ses cuisses et ses tibias, ce qui a permis de modéliser les composants de sa future combinaison robotique.
Ces différentes pièces ont été assemblées et combinées à des contrôles et activateurs fabriqués par EskoBionics. Le résultat aboutit à ce que l’on peut appeler le premier exosquelette fonctionnel destiné au grand public.
Le concept de cet exosquelette est encore très jeune et pour le moment, les pièces qui le constituent sont uniquement disponibles sur-mesure.
Nous espérons qu’il sera très vite démocratisé afin que de nombreuses personnes paralysées puissent de nouveau marcher. Pensez-vous qu’il sera bientôtpossible de croiser dans la rue des gens infirmes marchant grâce à cet exosquelette ?
La grossesse c’est comme un iceberg : il y a la partie visible, celle que tout le monde voit, et ce qu’on peut appeler la partie immergée, celle dont personne ne parle. Le Printemps arrive, c’est la fonte des glaces : on te montre tout ! (On plaisante, hein... Parfois c'est pire :-D)
Un virus géant vieux de 30.000 ans découvert en Sibérie
La découverte du "Pithovirus", dans un sol gelé de Sibérie, porte à trois le nombre de familles de virus géants connues.
Il serait cependant inoffensif. Cette photo a été réalisée par le Centre d'information génomique et structurale de Marseille du CNRS. On y voit le mégavirus Chilensis (famille Megaviridae), découvert par Jean-Michel Claverie et son équipe en avril 2010.
Un nouveau type de virus géant, baptisé "Pithovirus", a survécu plus de 30.000 ans à la congélation, dans une couche de permafrost sibérien contemporaine de l'extinction de l'homme de Neandertal, selon une étude publiée lundi 3 mars.
Ce virus très ancien, capable d'infecter des amibes mais inoffensif pour les humains et les animaux, porte désormais à trois le nombre de familles des virus géants connues, notent les auteurs dans les comptes rendus de l'académie des sciences américaines, les PNAS.
Découvert dans le sol gelé en permanence de l'extrême Nord-Est sibérien (région autonome de Chukotka), Pithovirus est en effet bien différent des virus géants précédemment caractérisés comme Mimivirus (famille Megaviridae), le premier géant découvert en 2003, ou les Pandoravirus, décrits dans la revue Science en juillet dernier. Un virus visible au simple microscope
Les virus géants (d'un diamètre supérieur à 0,5 millionième de mètre) sont, contrairement aux autres virus, aisément visibles avec un simple microscope optique. Ces
virus, qui infectent les amibes, renferment un très grand nombre de gènes par rapport aux virus courants (ceux de la grippe ou du sida n'en contiennent qu'une dizaine).
Leur taille (et leur génome) est comparable à celle de nombreuses bactéries, voire les dépasse. Jean-Michel Claverie, chercheur au CNRS de Marseille dans le laboratoire "Information Génomique et Structurale" est co-auteur de l'étude "Les virus sont ils vraiment des virus ?" :La démonstration que des virus enfouis dans le sol il y a plus de 30.000 ans puissent survivre et être encore infectieux suggère que la fonte du permafrost due au réchauffement climatique et l'exploitation minière et industrielle des régions arctiques pourraient comporter des risques pour la santé publique."
Le retour de virus oubliés ?
La possibilité d'une réémergence de virus considérés comme éradiqués, comme celui de la variole qui se multiplie de façon similaire à celle des Pithovirus, à partir de ce grand frigo qu'est le permafrost, ne relève plus d'un scénario de science-fiction, dit-il, en rappelant que la variole a sévi dans le temps en Sibérie.
Le laboratoire de Jean-Michel Claverie mène une étude "métagénomique" du permafrost qui va permettre d'évaluer ce risque. Il s'agit de chercher de l'ADN, c'est-à-dire les empreintes génétiques de virus (ou de bactéries) pathogènes pour l'Homme pour voir s'il y a par exemple des traces de variole dans des échantillons de cette couche de permafrost pris à 30 mètres de profondeur, explique le chercheur. Ce procédé est sans danger car il ne porte que sur des empreintes qui seront comparées à celles des banques de données existantes" Le "Pithovirus sibericum" rappelle par sa taille et sa forme en amphore les Pandoravirus, mais son génome et son mode de multiplication (en dehors du noyau de la cellule) montrent qu'il en est très différent.
Il n'a qu'un très petit nombre de gènes en commun avec les Pandoravirus et son génome est plus petit, moins de 500 gènes contre plus de 2.500 pour "Pandoravirus salinus". Ces deux virus ne partagent de surcroît qu'une ou deux protéines sur les centaines qui les constituent.
De nombreuses inconnues Selon les chercheurs, cette découverte souligne combien notre connaissance de la biodiversité microscopique reste partielle dès que l'on explore de nouveaux environnements. La région de Chukotka d'où provient le nouveau virus géant abrite de grandes réserves de pétrole, de gaz naturel, de charbon, d'or et de tungstène.
L'étude a réuni des équipes françaises de Marseille et de Grenoble (laboratoire de Biologie à Grande Echelle/CEA-INSERM-Joseph Fourier) et du Génoscope (CEA-CNRS, Evry), ainsi qu'une équipe de l'académie des Sciences de Russie (à Pushchino).
Plus de 25 millions de personnes aux États-Unis souffrent de diabète de type 2, condition attribuable à un processus physiologique clé : la résistance à l’insuline. A cause de cela, leur glycémie se retrouve beaucoup plus élevée que le niveau normal. Cependant, la majorité des personnes atteintes de diabète ne sont pas conscientes de la gravité de leur état de santé, d’autant plus que leurs symptômes semblent beaucoup plus être des désagréments qu’une alerte de condition médicale dangereuse. La meilleure solution serait donc d’effectuer un diagnostic précoce, si vous souhaitez éviter les complications du diabète ; parmi lesquelles les maladies de rein, les problèmes de vision et les problèmes de thyroïde. Voici dix signes avant-coureurs qui indiquent que l’on souffre de diabète de type 2 …
1. Engourdissement
Un engourdissement qui commence comme un picotement dans les mains, les doigts, les jambes et les pieds est un signe d’alerte précoce du diabète. Ceci est dû à une augmentation du taux de sucre dans le sang, provoquant la restriction des vaisseaux sanguins dans les extrémités et éventuellement un endommagement des fibres nerveuses.
2. Augmentation de la miction
En règle générale, ceux qui souffrent de diabète ont presque toujours une envie irrésistible d’uriner, et c’est souvent ce symptôme qui conduit à leur diagnostic. Cette miction accrue résulte souvent en une déshydratation sévère.
3. Perte de poids
Une perte de poids rapide et inexpliquée est un symptôme communément rencontré chez les personnes qui souffrent de diabète. Etant donné que le corps ne peut pas absorber le glucose, les graisses deviennent la source primordiale d’énergie, d’où la perte non- intentionnelle de poids.
4. Augmentation de l’appétit
Avec la perte de poids soudaine, vient une augmentation d’appétit, ce qui pourrait être une sensation plaisante, étant donné que vous êtes libre de manger tout ce qui vous plait pour regagner votre poids. Cependant, votre corps étant dans un état diabétique, vos cellules demeurent privées de glucose, ce qui explique votre faim constante.
5. Troubles de vision
Les troubles de la vision (vision floue, vision brouillée) sont typiques dans les cas de diabète. Cela se produit lorsque le taux de glucose sanguin est au maximum, endommageant ainsi les vaisseaux sanguins et les micro-vaisseaux qui approvisionnent les yeux. Et si le diabète n’est pas diagnostiqué à ce stade, le patient pourrait subir une perte de vision bilatérale et permanente.
6.Démangeaisons et assèchement de la peau
Lorsque le diabète affecte la circulation sanguine, nos glandes sudoripares deviennent dysfonctionnelles, entraînant ainsi la déshydratation de la peau causant irritations et démangeaisons.
7. Fatigue inexpliquée
Nous avons déjà établi que la résistance à l’insuline conduit à une incapacité à absorber l’énergie essentielle (glucose). Lorsque cela se produit, le niveau d’énergie en souffre, causant ainsi une fatigue extrême, physique et mentale.
8. Soif inextinguible
Plus le patient éprouve un besoin constant d’uriner, plus sa soif augmente. L’urination constante met le patient dans un état de déshydratation rapide. Par conséquent, le corps va exiger que les fluides perdus soient restitués, d’où la soif inextinguible qui résulte.
9. Ralentissement du processus de cicatrisation
Vous remarquerez que si vous subissez une coupure ou une ecchymose, le temps de guérison sera beaucoup plus long que normal. Cela est dû au fait que l’hyperglycémie contribue à l’affaiblissement du système immunitaire et ralentit ainsi le processus de guérison.
10. Irritation des gencives
Souvent, les diabétiques remarquent que leurs gencives deviennent rouges, enflées et irritées. Plus l’inflammation persiste, plus les gencives se détériorent et en fin de compte, finissent par disparaitre.
Généralités Le diabète est un désordre métabolique d’origines diverses dont le pronostic est grave avec des risques cardio-vasculaires et de l’existence de micro-angiopathies (affections des petits vaisseaux sanguins) spécifiques (rétine, reins).
Sont considérés comme diabétiques les sujets ayant une glycémie à jeun supérieure à 1.26g/l (ou 7mmol/l).
Il existe différents types de diabètes ayant des thérapeutiques adaptées. On distingue classiquement :
- le diabète insulinodépendant ou type 1 lié à une carence de sécrétion d’insuline par les cellules du pancréas. C’est une affection génétique survenant surtout chez le sujet jeune. Le traitement par insuline est la seule possibilité thérapeutique.
- le diabète non insulinodépendant ou type 2 survenant préférentiellement chez le sujet obèse (diminution des récepteurs insuliniques). chez le sujet normo-pondéral, il s’agit d’une faible réponse à l’insuline. Le traitement fait appel essentiellement au régime et aux substances stimulant la sécrétion insulinique.
La colonne vertébrale: la clé de nos émotions
Nous venons tous au monde avec un SAC à DOS Émotionnel
Les ressentis par le fœtus in – utéro (déjà connecté au système limbique), lors de l’accouchement ainsi que les émotions vécues lors de la petite enfance et durant toute la vie par l’individu, s’inscrivent dans le corps, dans les tissus.
Le corps sait.
Le corps PARLE.
Quand l’individu ne parle plus, le corps PARLE encore.
Selon Henri Laborit, face au danger, il faut fuir ou réagir, sinon on somatise.
Somatiser = imprimer dans les tissus les tensions, les nœuds relatifs au choc émotionnel non-exprimé. Ces nœuds vont désorganiser le système neuro-végétatif (qui commande involontairement les organes) et provoquer la maladie, les troubles psychosomatiques..
La colonne vertébrale, ainsi que les vertèbres qui la composent réagiront comme des fusibles. Le passé est inscrit dans le corps.
Quand l’individu y est confronté, le corps réagit par une « hypersensibilité », une surcharge qui crée cette déstabilisation, ce « pétage de fusible ».
Le passé surgit dans le présent comme un boomerang, avec des effets dévastateurs, mais surtout disproportionnés.
Nos cinq sens (tact, audition, olfaction, vision, goût) sont à l’affut, vigilants, prêts à capter, à recevoir les informations comme des antennes paraboliques, en permanence.
Déjà durant la vie intra- utérine, les informations sont stockées dans la mémoire émotionnelle du corps ; le système limbique.
Nos actes conscients sont guidés par notre mémoire inconsciente (par tout ce qui a été stocké dans l système limbique) et si un danger, selon un contexte bien déterminé, a été stocké dans le système de vigilance, le corps sera influencé dans son comportement quand il sera confronté à ce danger.
Notre subconscient guide notre conscient, malgré nous, sous la dépendance du réflexe de survie. Pourquoi toujours buter sur les mêmes obstacles ?
Car le système de défense n’a pas encore trouvé la clé pour dépasser la mémoire, la peur inscrite dans nos tissus.
Roger Fiammetti a développé ses interventions en ostéopathie selon les axes classiques constitués par l’ostéopathie viscérale, structurelle et crânienne. Un quatrième pôle est venu s’ajouter, à savoir la composante émotionnelle.
Comment ne pas être influencé par les émotions quand on s’intéresse aux patients et leur pathologie ?
Impossible lorsqu’on est à l’écoute des tissus du patient de ne pas percevoir ses émotions, ses ressentis.
Les liens entre les émotions et les désordres neuro-végétatifs encore appelés troubles psychosomatiques sont développés dans les deux ouvrages publiés aux éditions Dervy à Paris : Le Langage émotionnel du Corps 1 et 2 livre1 Amazon.fr livre 2 Amazon.fr
L’Approche Somato-Émotionnelle ‘’méthode Fiammetti Roger’’ est une méthode qui va permettre de donner au corps la possibilité de se libérer de ces contraintes, de ces mémoires inscrites dans les tissus, par les tissus.
Nous serons dans une forme de Tai Chi Chuan ‘’assisté’’. Fort de plus de 20 ans d’expérience professionnelle, Roger Fiammetti nous offre une méthode originale qui permet à tout un chacun de mieux comprendre et surtout de résoudre les conflits causés par des désordres neurovégétatifs à partir de chocs émotionnels non-exprimés.
La culpabilité, les notions de territoire (perdre/ prendre sa place au sein de la fratrie, de l’entreprise ) ,la peur de ne pas y arriver, de l’échec, du passage,la trahison, la honte, l’humiliation,la colère,la reconnaissance,la peur de ne pas être aimé (e ) , l’estime de soi, la confiance en soi etc … sont autant de facteurs susceptibles de modifier le comportement de l’individu , de modifier son adaptabilité au stress avec les désordres et dysfonctions encore appelés maladies psychosomatiques (colon irritable, constipation ou diarrhée chronique, fibromyalgie,migraine,etc… ).
Si on parle de corps et d’émotions, il est impossible d’oublier le pôle RESPIRATION qui va permettre à tout individu de gérer sa fréquence cardiaque (cohérence cardiaque), de gérer ses émotions, son élocution, son sommeil, sa détente,sa force, son souffle.
Fidèle aux traditions chinoises ; le souffle pour activer la circulation et la vie. Vous pourrez découvrir la RESPIRATION TOTALE dans l’ouvrage publié aux éditions Médicis à Paris RESPIRE !
La Respiration totale pour tous L’ostéopathie ‘’classique’’ permettra de libérer les blocages structurels,crâniens,viscéraux. L’Approchee Somato Émotionnelle pemettra de traiter la cause de la cause (les émotions qui causent le stress des tissus qui provoque les ‘blocages’). La Respiration Totale va aider l’individu à entretenir son souffle, son équilibre, son ancrage, sa Vie.
Nous sommes tributaires de notre passé qui nous revient en permanence dans le présent, s’insurgeant et s’imposant à nous, modifiant et parasitant nos actes et pensées . Notre corps est le principal témoin de ce passé.
Le secret qu’il renferme nous apprendra à mieux nous connaître, mieux nous Reconnaître, mieux gérer notre vie. ‘’Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’Univers et les Dieux’’ disait Socrate. Notre corps renferme toute nos mémoires et aller à leur rencontre, c’est aller à la rencontre de soi-même.
Qu'est-ce que la phlébite ?
La phlébite, ou thrombose veineuse, est la formation d'un caillot de sang (thrombus) dans une veine.
Le caillot peut se former dans une veine superficielle, petite veine située entre la peau et les muscles, ou dans une veine profonde de plus gros calibre.
En général, le caillot de sang se forme dans une veine du mollet. À ce stade, le caillot colle à la paroi de la veine et peut y rester plusieurs jours sans s'accompagner de symptômes.
Lorsque l'organisme ne parvient pas à le détruire, il peut s'étendre vers la cuisse, sous la forme d'une partie flottante qui peut se détacher facilement.Il y a alors un risque important d'embolie pulmonaire.
La circulation veineuse des membres inférieurs comprend deux réseaux, un profond et un superficiel, reliés par des veines perforantes.
Les facteurs favorisant la phlébite
Certaines personnes sont plus prédisposées que d'autres aux phlébites. Celles-ci surviennent souvent à la suite d'une situation à risque.
Les situations à risque liées à la stagnation du sang dans les veines La remontée du sang des veines vers le cœur est ralentie. Le sang circule moins et stagne à certains endroits, favorisant la formation de caillots.
C'est le cas, par exemple, lors :
d'une immobilisation prolongée (à la suite d'un accident, d'une opération chirurgicale...) ;
d'un long voyage sans bouger les jambes (en avion, voiture ou train) ;
d'une perte d'autonomie (concernant les personnes âgées, par exemple) ;
ou encore d'une maladie qui comprime certains organes (notamment les cancers et les maladies cardio-vasculaires).
Un déséquilibre de la capacité de coagulation
Chezcertaines personnes, la capacité de l'organisme à former des caillots (coagulation) est augmentée.
C'est le cas avec la prise de certains traitements hormonaux, lors de cancers, de maladies inflammatoires abîmant la paroi des veines ou de maladies génétiques.
Les autres facteurs de risque
D'autres facteurs peuvent favoriser le développement de petites lésions des parois des vaisseaux, propices à la survenue de phlébites : l'obésité, le tabagisme, l'insuffisance cardiaque ou encore une insuffisance veineuse chronique.
Voici le médicament miracle tuant toute forme de cancer
Voici une autre nouvelle diffusée partout dans les médias anglophones, mais qui n’est pas reprise dans les médias québécois, une autre belle nouvelle pour mettre dans notre section Anti-CD47
Les scientifiques ont peut-être trouvé le Graal dans la guerre contre le cancer, un médicament miracle qui a tué toute forme de tumeur cancéreuse avec qui il est entré en contact.
Le médicament bloque une protéine qui se nomme CD47, qui envoie essentiellement le signale « ne pas manger » au système immunitaire du corps selon un article de Science Magazine intitulé “One Drug to Shrink All Tumors” .
La protéine est produite dans des cellules sanguines en santé, mais les chercheurs de l’Université de Stanford ont trouvé que les cellules cancéreuses produisent un nombre anormal de protéines, ce qui fausse le système immunitaire et l’empêche de détruire les cellules dangereuses.
En pensant à cette observation, les chercheurs ont fabriqué un antibiotique qui bloque la protéine CD47 qui est liée au cancer, ce qui fait que le système immunitaire attaque les cellules dangereuses.
Brentuximab Vedotin (ADCETRIS):
un médicament fait disparaitre ses 70 tumeurs cancereuses Jusqu’à maintenant, les scientifiques ont utilisé l’antibiotique sur les souris qui se sont fait injecter des tumeurs cancéreuse humaine pour les seins, ovaires, colon, cerveau, fois et prostate.
Dans chacun des cas, le système immunitaire des souris a tué les cellules cancéreuses. « Nous avons observé que même après que la tumeur se soit rependue, l’antibiotique peut guérir la tumeur ou ralentir considérablement sa progression et prévenir les métastases », explique le biologiste Irving Weissmandu Stanford University School of Medicine à Palo Alto, en Californie.
Un des effets secondaires du traitement est que les cellules en santé étaient à court terme sujettes à des attaques du système immunitaire des souris, mais cet effet n’est rien en comparaison aux dommages faits sur les cellules cancéreuses.
Le groupe de recherche de Irving Weissman a reçu une subvention de 20 millions de dollars pour transférer leurs recherches sur les humains.