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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Bientôt un vaccin contre la dengue
C’est la deuxième maladie tropicale, après le paludisme.
Sanofi-Pasteur vient de se lancer dans la production du premier vaccin contre la dengue.
En 2015, les doses seront commercialisées.Après deux décennies de recherches, voilà que se profile un vaccin contre la dengue.
Celle qu’on appelle aussi la « grippe tropicale » ou « fièvre rouge » est la deuxième maladie tropicale après le paludisme, touchant chaque année jusqu’à 100 millions d’individus, dont 500000 cas graves de fièvres hémorragiques atteignant surtout des enfants.
Sous l’effet du développement de l’activité aérienne, la dengue, transmise par le moustique-tigre, gagne chaque année du terrain, essentiellement en Asie du Sud-Est et sur le continent sud-américain, sans qu’aucun traitement vienne l’entraver. On commence même à recenser quelques cas dans le sud de la Fra
nce depuis 2010, introduits par des voyageurs porteurs du virus. Trois ans de gagnés
C’est à Neuville-sur-Saône, près de Lyon, que Sanofi-Pasteur vient de se lancer dans la production du premier vaccin contre la dengue.
Il devrait être mis sur le marché fin 2015 à raison de 100 millions de doses par an. Ce vaccin aura l’avantage de s’attaquer aux quatre souches de la maladie. « C’est un quatre en un » résume Olivier Briand, directeur de la production du site de Neuville.
L’injection sera administrée en trois fois, à six mois d’intervalle, et devrait être efficace pendant toute la vie du patient.
Les enfants pourront être vaccinés à partir de l’âge de 2 ans.
Cela fait vingt ans que les laboratoires Sanofi-Pasteur investissent dans la recherche pour mettre au point ce vaccin.
Il y a quatre ans, considérant être tout près du but, Sanofi a décidé d’accélérer la marche. « En 2009, on a décidé de gagner du temps pour mettre le vaccin le plus vite possible sur le marché », explique Antoine Quin, directeur du site de vaccin de Neuville.
Pour cela, le premier groupe pharmaceutique français n’a pas hésité à brûler les étapes en se lançant dans la fabrication du vaccin avant d’avoir obtenu les autorisations de mise sur le marché et d’avoir reçu les résultats des études cliniques, gagnant trois ans sur le calendrier.
Quarante-cinq mille volontaires testent actuellement le vaccin en Asie et en Amérique latine.
Les conclusions de ses tests ne seront connues que fin 2013 et 2014, mais le groupe a parié sur leur validation.
Il a investi 300 millions d’euros dans un nouvel outil de production, basé à Neuville-sur-Saône, site qui vient de faire l’objet d’une vaste reconversion industrielle.
Sanofi a décidé d’arrêter son unité de chimie fine, jugée peu rentable, pour se lancer dans la fabrication du vaccin contre la dengue qui laisse entrevoir des perspectives florissantes sur le plan économique.
L'Agoraphobie est la peur de se retrouver dans une foule ou parler en public
Été : les recommandations face à la chaleur.
Un anticyclone s'est installé sur l'Hexagone et l'été est annoncé au moins jusqu'au week-end prochain. Le beau temps ne doit pas faire perdre de vue les bonnes habitudes, pour éviter que la chaleur ne se transforme en danger. Le point sur les recommandations pour limiter les risques.
Premier mot d'ordre : l'hydratation
Petits et grands doivent impérativement s'hydrater de façon régulière en cas de fortes chaleurs. Les nourrissons, les jeunes enfants et les personnes âgées sont les populations les plus concernées par la déshydratation. Ces derniers doivent donc boire abondamment de l'eau, de préférence, et surtout des boissons non alcoolisées. À noter, les sportifs et les travailleurs en plein air sont également appelés à boire régulièrement de l'eau tout au long de la journée en cas de vague de chaleur.
Le cas des personnes âgées
Particulièrement sujettes à la déshydratation et à l'hyperthermie, les personnes âgées doivent absolument se protéger de la chaleur. Dans un premier temps, les seniors sont invités à passer plusieurs heures par jour dans une zone fraîche ou climatisée. Il est également recommandé de se passer un linge humide sur le visage, le cou, les bras et de vaporiser régulièrement de l'eau sur le visage. Par ailleurs, les personnes âgées doivent boire près de 1,5 litre d'eau par jour, et manger suffisamment pour réduire les risques de déshydratation, d'hyperthermie et d'hyponatrémie.
Éviter les longues expositions au soleil
En cas de forts pics de chaleur, les vacanciers doivent éviter de passer du temps à l'extérieur, notamment entre 12h et 16h. Nourrissons, jeunes enfants, et seniors sont invités à rester le moins possible exposés à la chaleur. Il est également préconisé de fermer les volets et les fenêtres de son habitation afin de se protéger de la canicule et de passer un maximum de temps dans une pièce rafraîchie.
Ne pas sortir sans crème solaire
Si le soleil peut être, à petites doses, bénéfique pour la santé, il est également responsable de coups de soleil, de vieillissement cutané et de certains cancers tels que le mélanome. En conséquence, les particuliers sont invités à appliquer régulièrement de la crème solaire adaptée à leur type de peau lorsqu'ils s'exposent au soleil. Il est recommandé de porter des vêtements légers de couleur claire, un chapeau et des lunettes pour chaque exposition.
Une alimentation adaptée aux fortes chaleurs
Travailleurs et vacanciers sont invités à consommer des aliments riches en eau tels que les fruits (melon, pastèque ou pêches) et les crudités (concombres, tomates ou courgettes) afin de réduire les risques de déshydratation. Seules les personnes victimes de diarrhées ne doivent pas suivre ce régime alimentaire riche en eau. À noter, il est recommandé d'accompagner la prise de boissons non alcoolisées d'une alimentation solide.
Des conseils à l'attention des automobilistes
Il est important de faire des pauses fréquentes à l'ombre, de s'humidifier et de boire régulièrement lors d'un long trajet. Les automobilistes sont également appelés à ne jamais laisser un enfant seul dans un véhicule.
Protéger les animaux domestiques
Chiens et chats peuvent également être victimes de déshydratation. Ainsi, chacun ne doit pas négliger l'alimentation de son animal de compagnie durant la période estivale. En outre, il est impératif que les animaux aient toujours à boire.
Ne pas hésiter à consulter un médecin
Selon l'InVS, les fortes chaleurs peuvent provoquer une aggravation de pathologies préexistantes ou d'un état de santé fragile et même entraîner un décès. Si des symptômes tels qu'une grande fatigue ou une faiblesse inhabituelle surviennent, il est fortement conseillé de contacter un professionnel de santé, pour une prise en charge précoce. En outre, les patients suivant un traitement ne doivent pas l'arrêter en raison de la chaleur. Néanmoins, il est préconisé de consulter un médecin ou un pharmacien si les usagers ressentent des symptômes inhabituels.
Trisomie 21: le chromosome en trop neutralisé en laboratoire.
Des chercheurs ont réussi à neutraliser le chromosome en excès responsable de la trisomie 21 dans des cellules mises en culture, une percée qui devrait, selon eux, contribuer à mieux comprendre cette pathologie, voire à ouvrir, peut-être un jour, la voie à des traitements.
La trisomie 21 ou syndrome de Down est un handicap incurable dont la fréquence était estimée, en France, au début des années 1990 à 1 cas pour 800 naissances environ, en l'absence de dépistage et à 1cas pour 2. 000 naissances depuis que le dépistage est proposée à l'ensemble des femmes enceintes (environ 800.000 par an).
Cause de déficiences mentales, la trisomie 21 comporte un risque accru de malformations cardiaques, de dysfonctionnements du système immunitaire et de survenue d'une démence d'Alzheimer précoce.
Les être humains ont normalement 23 paires de chromosomes, inclus les deux chromosomes sexuels, soit au total 46 chromosomes, porteurs des gènes indispensables à la vie.
Les individus atteints de syndrome de Down sont nés avec trois, au lieu de deux, copies du chromosome 21.
Jusque là la correction d'un chromosome entier était restée hors de portée, y compris in vitro, selon Jeanne Lawrence, auteur principal de l'article des chercheurs de l'école de médecine de l'Université du Massachusetts publié mercredi par la revue scientifique Nature.
Les chercheurs ont inséré un gène dans le chromosome excédentaire et l'ont utilisé comme interrupteur pour l'éteindre en quelque sorte. Pour aboutir à ce résultat, ils se sont servis d'un gène appelé "XIST", qui intervient au cours du développement embryonnaire, pour inactiver l'un des deux chromosomes X des femelles chez les mammifères.
L'expérience a été conduite à partir de cellules provenant de trisomiques et reprogrammées pour retourner à un état quasi embryonnaire, de cellules souches pluripotentes induites (iPS), afin d'obtenir différentes sortes de tissus de l'organisme.
L'équipe teste à présent ce nouvel outil pour voir si la "thérapie du chromosome" peut corriger les pathologies chez des souris modifiées génétiquement afin d'être atteintes de trisomie 21.
Les résultats devraient être connus "d'ici un an", indique la chercheuse.
Elle reconnaît volontiers qu'on ne peut pas forcément transposer aux humains ce qui se passe chez des souris, les tests sur les animaux de laboratoires faisant partie d'un long processus de recherche qui peut déboucher ou non sur des traitements efficaces pour les humains.
Mais selon elle, c'est un verrou conceptuel sur la thérapie chromosomique qui vient de sauter.
Elle diffère de la thérapie génique qui consiste le plus souvent à remplacer un gène déficient par un gène sain.
La thérapie génique a permis de traiter avec succès des "bébés bulles" frappés de déficits immunitaires sévères ou encore de traiter pour la première fois une maladie génétique grave du sang, la béta-thalassémie.
Protéger les enfants des UV
80 000 cancers de la peau sont diagnostiqués chaque année.
En ligne de mire ? Les enfants particulièrement vulnérables aux effets du soleil.
Conseils pour les protéger.
Du 1er juillet au 1er septembre, le Ministère de la Santé et l’INPES lancent une vaste campagne de sensibilisation aux risques solaires.
En effet, en 2010, environ 1600 personnes sont décédées à la suite d’un mélanome résultant, à 70%, d’une surexposition au soleil.
Particulièrement vulnérables aux UV, les moins de 15 ans ne possèdent pas de défenses suffisamment opérationnelles avant la puberté.
Conséquence ?
Les coups de soleil reçus dans l’enfance créent des dommages irréversibles pour l’épiderme et la vue, à l’âge adulte.
Pour les protéger des rayons ultraviolets, il est donc nécessaire d’éviter toute exposition entre 12h et 16h, au moment où le soleil est le plus dangereux.
Même à l’abri d’un parasol, les enfants doivent porter des lunettes de soleil, un tee shirt et un chapeau à bords larges.
Indispensable, enfin, la crème solaire à appliquer en couche épaisse toute les deux heures sur toutes les zones du corps exposées au soleil.
Privilégiez les indices de protection solaire élevés (30 à 50) et pensez à renouveler l’application après la baignade.
Les aliments les plus riches en calcium ne sont pas forcement ceux que l'on croit... Et le calcium des produits laitiers n'est que très peu assimilé contrairement au calcium contenu dans les végétaux! Donc aucune excuse de "santé" pour en consommer... Au contraire meme vu qu'ils favorisent les allergies de tous types, y compris au pollen!
L'argile en voie externe
On utilise le plus communément de l'argile verte, soit déjà humectée (disponible sous forme de tubes souples), soit concassée, soit en poudre. L'argile en poudre fine peut être appliquée "à sec" sur des zones irritées, comme des eczémas ou des plaies de léchage
Un saupoudrage deux fois par jour entraîne une amélioration immédiate et une ré-épidermisation rapide.
Si vous avez des chats, chien, rongeurs, lapins, poissons, chevaux, ayez toujours dans votre pharmacie votre sachet d’argile afin de l’appliquer immédiatement en cas de douleur,inflammations, morsures, griffures, brûlures, ulcérations diverses, ainsi que toute légion cutanée, eczéma, prurit, pelade, teigne, piqûres, etc…
Une autre utilisation permet de soigner les animaux hyperkératosiques (avec cette caractéristique "odeur de vieux chien") :
un saupoudrage régulier joue un rôle de déodorant naturel et de cicatrisant.Mais il faut alors brosser l'animal tous les deux jours. Elle draine hors du corps les impuretés, les toxines, les bactéries et les sanies (pus, mucus...).
Elle absorbe également les gaz et les odeurs. C'est un excellent cicatrisant car elle accélère la formation de tissus "à l'identique" des zones organiques lésées.
On assiste alors à une cicatrisation rapide et peu fibrosée, donc sans séquelle à long terme.
L'argile a une action antiseptique, par un phénomène purement physique que l'on n'a toujours pas compris. Les microbes pathogènes ne survivent pas au contact de l'argile, alors que la flore biotique naturelle est préservée, comme par exemple dans l'intestin ou dans la bouche (utilisation de l'argile en dentifrice).
L'argile est stimulante et régénérante. Elle renforce les défenses de l'organisme, tant au plan local (sur une plaie) que dans tout l'organisme.
• Préparation d'un cataplasme
Il existe de l'argile toute prête en tube... Mais, il n'est pas inutile de savoir comment ça se présente. Préparation avec de l'argile concassée :
-Broyez les morceaux d'argile avec un pilon de bois, jamais en métal.
-Placez la poudre obtenue dans un saladier en verre ou porcelaine (éviter même un récipient en plastique qui diminue l’efficacité de l’argile).
Si la météo le permet, laissez cette argile quelques heures au soleil. L'efficacité thérapeutique de l'argile sera d'autant plus importante que celle-ci aura été exposée au soleil, à l'air et même à l'eau des intempéries.
-Recouvrez d’eau la moins minéralisée possible (Volvic ou filtrée grâce à une cartouche par exemple) sans en mettre trop (certaines argiles absorbent plus d’eau que d’autres).
Pensez qu’il est plus facile d’épaissir un mélange trop fluide en rajoutant de l’argile que de fluidifier une préparation trop épaisse !
-LAISSEZ REPOSER SANS TOUCHER.
En effet, elle se désagrège toute seule. Résistez à la tentation de la remuer pour en faire une pâte lisse.
Elle deviendrait collante et difficile à utiliser !
La consistance doit être assez ferme pour ne pas couler, tout en n’étant pas trop épaisse. La pratique vous démontrera vite la bonne méthode.
Placez cette argile sur un linge assez épais (coton et lin de préférence) ou une compresse, sur une surface nettement supérieure à celle de la zone à traiter.
Appliquez à l’aide d’une spatule en bois (surtout pas de métal, inox, etc…) le cataplasme sur la peau recouverte d'une seule épaisseur de compresse de coton et, pour la maintenir, réalisez un bandage pas trop serré.
D’autres spécialistes recommandent de laisser l’argile en contact direct avec la peau.
L'application sera courte une demi-heure, dans le cas d'un abcès, d'une plaie purulente ou plus longue, deux heures, pour traiter des organes plus profonds (arthrose, hématomes etc...).
Après le temps imparti, retirez le cataplasme et rincez à l’eau claire (pas d’alcool ou autres !) les zones où subsiste un peu d’argile.
ATTENTION, on ne traite qu’un seul endroit à la fois et on ne réutilise jamais l’argile ! Le cataplasme -chargé de toxines et poisons divers- doit être jeté (a la poubelle, ou au compost) après utilisation.
Il faut même éviter de le manipuler ! Par contre la pâte d'argile préparée mais non utilisée, peut-être gardée et utilisée. Si elle a séché, il suffit de rajouter de l'eau.
*Pour les dermatoses surinfectées :
on peut incorporer du romarin fraîchement broyé au cataplasme.
*Mamelles engorgées de lait (après le sevrage des petits ou en cas de lactation nerveuse) :
on pourra étendre du persil haché fin, directement sur la mamelle, avant d’appliquer le cataplasme d’argile.
L’argile en voie interne
• Complément alimentaire :
comme le font (sans trop le dire) les fabricants d’aliments pour chiens et chats, vous pouvez systématiquement additionner un peu d’argile (jusqu’à 3%) dans la ration alimentaire de votre compagnon. Vous pouvez aussi, par périodes de cure, additionner à l’eau de boisson de votre animal trois cuillères à café d’argile pour un litre d’eau. Je suis tombée sur des bouquins préconisants jusqu’à quatre cuillères à soupe par litre d’eau…
• L’argile par voie buccale est souveraine dans notamment les cas suivants : Affections digestives Gastrites et gastro-entérites Déséquilibres hormonaux Infections généralisées (viroses, staphylococcies) Anémies Déficiences immunitaires Etc… La forme la plus active, autant pour les animaux que les humains d’ailleurs, de l’argile est « l’eau argileuse », le matin à jeun. On la prépare le soir, à raison d’une cuillère à café d’argile pour un demi-verre d’eau de source. Bien remuer. Laisser reposer toute la nuit et, le matin, remuer à nouveau la solution pour en faire prendre entre 3 et 20 ml (avec une seringue en plastique -sans l'aiguille...-), selon le poids de l’animal.
PRECAUTIONS :
ne pas faire prendre d’eau argileuse à un animal présentant une hernie, ou en cas de constipation. Eviter la prise simultanée d’huile de paraffine. Vérifier que l’animal s’abreuve correctement. Un diagnostic préalable est bien sûr nécessaire car tel suintement mammaire peut s’avérer tumoral etc. L’argile est un remède puissant qui risque d’occasionner des réactions fortes de l’organe traité : il est donc sage de ne pas en abuser et d’éviter les applications trop répétées qui risqueraient de fatiguer un organisme déjà affaibli. Soyez donc mesuré, ce qui vous permettra d’obtenir de ce merveilleux remède les meilleurs résultats. Si vous êtes l’heureux propriétaire d’un cheval, ayez recours à l’argile pour toute inflammation des paturons et gonflements des articulations : appliquez des cataplasmes que vous pourrez laisser en place toute la nuit… et appréciez les résultats.
EVITEZ D’INTERROMPRE UN TRAITEMENT COMMENCE MEME PROVISOIREMENT.
L’action de nettoyage est tellement puissante qu’elle peut donner l’apparence d’une aggravation du mal, correspondant en fait à l’action de drainage de la partie traitée : cette « aggravation » apparente ne présente aucun danger et prouve au contraire l’action bienfaisante de l’argile. Par exemple, un abcès ou un ulcère a des chances de commencer par s’agrandir et se creuse en laissant s’écouler du pus et du sang ; c’est bon signe ! Une guérison rapide et totale est au bout du chemin.
Le syndrome des jambes sans repos (impatience dans les jambes).
Le syndrome des jambes sans repos, appelé aussi impatiences dans les jambes ou impatiences nocturnes, est un trouble neurologique qui cause un besoin irrépressible de bouger les jambes.
Ce besoin naît d’un inconfort dans les membres inférieurs
- fourmillements, picotements, sensations de brûlure dont l’intensité varie beaucoup d’une personne à l’autre.
Ces sensations désagréables surviennent particulièrement durant les périodes de détente ou d'inactivité.
Par conséquent, il peut être très difficile de simplement se reposer, ou encore de rester assis pour assister à une réunion ou de voyager en avion, par exemple.
Puisque les symptômes ont tendance à s’aggraver le soir et la nuit, l'assoupissement est plus ardu.
L’insomnie chronique qui peut en résulter entraîne fatigue et somnolence durant le jour, altérant énormément la qualité de vie. Certaines personnes racontent même avoir la sensation, au réveil, d’avoir marché toute la nuit.
Le syndrome des jambes sans repos est mieux connu en médecine depuis le début des années 1980. Mais, il a été décrit pour la première fois dans la littérature médicale en 1945.
Qui est touché?
En Amérique du Nord et en France, environ 1 personne sur 10 souffre du syndrome des jambes sans repos.
Selon des études épidémiologiques, il serait plus fréquent dans certaines populations :
c’est le cas des Italiens du Nord et des Canadiens français1.
Au Québec, environ 15 % des gens sont atteints de ce syndrome2.
Cela est attribuable à une anomalie génétique, transmise d’une génération à l’autre. Les hommes et les femmes sont à peu près également touchés quoique les femmes le seraient légèrement plus, selon des études.
Le syndrome des jambes sans repos est plus fréquent à partir de 45 ans, mais survient à un plus jeune âge lorsqu’il y a une prédisposition héréditaire (habituellement dans la vingtaine).
Les enfants peuvent aussi en être atteints, mais cela demeure exceptionnel.
Causes
Pour la majorité des cas, la cause reste inconnue. Sur le plan physiologique, on sait qu’il s’agit d’un trouble neurologique qui impliquerait un manque de dopamine dans le cerveau et la moelle épinière.
La dopamine est un composé chimique important qui permet aux nerfs de communiquer entre eux et de réguler les mouvements. Voici quelques causes possibles.
Une prédisposition héréditaire.
Au Québec, environ 1 cas sur 2 de syndrome des jambes sans repos survient chez des personnes qui sont prédisposées à cette maladie dès la naissance10.
Une carence en fer. Le manque de fer pourrait entraver la production de dopamine, même si la carence n’est pas suffisante pour parler d’anémie. Le fer est impliqué dans la production de dopamine dans le cerveau.
Une maladie chronique :
le diabète, une insuffisance rénale (4 patients sur 10 en dialyse en souffrent10), la fibromyalgie ou la polyarthrite rhumatoïde pourraient contribuer au syndrome des jambes sans repos.
Mais la plupart du temps, le syndrome des jambes sans repos survient en l’absence d’une autre maladie.
La grossesse.
Elle peut déclencher les symptômes, surtout durant le dernier trimestre, ou les aggraver.
Dans le premier cas, ceux-ci ont tendance à disparaître dans les 2 semaines suivant l’accouchement.
Une carence en acide folique (vitamine B9).
La prise de certains médicaments, comme les antidépresseurs tricycliques, le lithium, les antinauséeux et les antipsychotiques.
La caféine.
Évolution Le syndrome tend à s’aggraver avec l’âge. Les symptômes initialement ressentis dans les mollets, par exemple, peuvent s’étendre aux cuisses, et survenir plus souvent.
Dans les formes plus graves de la maladie, les bras peuvent aussi être atteints. Certaines personnes arrivent à très bien contrôler le syndrome en modifiant leurs habitudes de vie.
Des cas de rémission spontanée ont été décrits10. Mentionnons que le syndrome des jambes sans repos n’augmenterait pas le risque de maladie de Parkinson, bien qu’il s’agisse aussi d’un problème de dopamine.
Diagnostic
Pour poser un diagnostic, le médecin se base sur la description des symptômes, l’histoire médicale et les antécédents familiaux. Certains tests musculaires ou sanguins (taux de ferritine, d’hémoglobine, d’acide folique, de vitamine B12, de glucose et de créatinine) sont parfois suggérés.
Si nécessaire, le médecin propose de consulter un neurologue. Celui-ci pourra, au besoin, observer au polygraphe la qualité du sommeil durant une nuit passée dans un centre d’étude du sommeil. N’hésitez pas à consulter!
Certaines personnes n’osent pas consulter un médecin, car elles banalisent leurs symptômes ou croient qu’elles ne seront pas prises au sérieux.
De nos jours, il existe des moyens efficaces de les soulager. Pour votre premier rendez-vous, ayez en main un journal décrivant vos symptômes et les moments où ils se manifestent.
L'essor des thérapies quantiques
Basée sur les découvertes de la physique quantique, une nouvelle façon de se soigner fait de plus en plus parler d’elle.
Son postulat :nos cellules émettent des informations, qui déterminent notre état de santé et sur lesquelles il est possible d’agir.
Explications.quantique thérapie quantique « Il y a dix ans, on m’a diagnostiqué un lupus érythémateux, une maladie auto-immune chronique, raconte Lucia, une artiste de 50 ans.
Depuis, suivie à l’hôpital, j’en étais arrivée à prendre onze médicaments par jour…
Il y a six mois, un ami est venu me voir bouleversé après avoir essayé une nouvelle technique de soin qui, disait-il, n’avait rien à voir ni avec la médecine conventionnelle, ni avec les médecines naturelles.
Une “machine” donnait des résultats dont l’exactitude l’avait dérouté. Je suis cartésienne et je n’ai pas peur des expériences nouvelles.
J’ai donc consulté un thérapeute qui utilise cet appareil de biofeedback.
En quelques minutes, l’écran a affiché clairement tout mon parcours médical !
Puis cette machine a effectué un traitement très étrange, consistant à envoyer des “informations” dans le corps.
Après quelques séances, la plupart de mes symptômes ont disparu et, aujourd’hui, avec l’accord de mon médecin, je ne prends plus qu’un médicament par jour. »
Un diagnostic global quantique
Un appareil capable d’effectuer un diagnostic précis et de traiter aussi rapidement une maladie auto-immune ?
Si un cas ne vaut pas pour tous, les résultats sont étonnants.
Et ce n’est qu’un des aspects de cette approche de la santé physique et psychique, qui se répand au point que certains médecins et chercheurs n’hésitent plus à dire qu’un changement de paradigme est en train de s’opérer.
Le premier congrès sur les thérapies quantiques d’Aix-en-Provence, en novembre 2010, a réuni des scientifiques du monde entier, parmi lesquels l’équipe du professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine 2008.
Depuis, les livres sur le sujet, les congrès affichant complets, les appareils de biofeedback ou les méthodes quantiques se multiplient… quantique thérapie quantique
Les « thérapies quantiques », ou la « médecine quantique », nous demandent de voir la vie, la santé et la maladie d’une tout autre façon : notre corps n’est plus un assemblage d’organes à traiter séparément, comme le fait la médecine conventionnelle, c’est un champ vibratoire et énergétique constitué de milliards de particules de lumière – des photons – qui échangent en permanence des informations, un univers lumineux dans lequel l’esprit et la matière ne font qu’un.
Avec une idée clé: ce ne sont pas les échanges biochimiques de nos cellules qui déterminent notre état de santé, mais les informations qu’elles se communiquent entre elles.
Ici, l’origine de la maladie n’est donc pas un problème purement biologique, mais un défaut d’information ;
le symptôme n’est qu’une réaction à ce dernier. quantique thérapie quantique Pour celui qui ne connaît pas le monde scientifique, l’idée peut sembler délirante.
Pourtant, elle repose sur des dizaines d’années de recherches, commencées il y a un siècle avec Albert Einstein et ses travaux sur la nature de la lumière.
Au fil des décennies, la physique quantique – qui décrit le comportement des atomes et des particules subatomiques – s’est développée en marge de la physique classique, car elle ne répond pas aux mêmes règles.
La plus importante, pour comprendre le fondement de la médecine quantique : les ondes électromagnétiques sont en même temps des photons.
Ces photons du corps humain sont loin d’être des vues de l’esprit : au cours des années 1970, Fritz-Albert Popp, un biophysicien allemand, a découvert l’existence de ce qu’il a appelé les « biophotons », des particules de lumière émises par nos cellules, qu’il a réussi à filmer.
Ces minuscules courants lumineux, invisibles à l’œil nu, portent les informations et contrôlent notre organisme.
Mais pas n’importe comment.
Des capacités d’autoguérison stimulées quantique
L’une des découvertes les plus importantes de la physique quantique, reprise et développée dans la thérapie quantique, est, en effet, la théorie des « champs énergétiques » : ce sont eux qui organisent et contrôlent notre corps. Ils forment un tout.
En somme, le corps humain est une structure organisée d’informations.
Ce que les Chinois ont compris depuis longtemps avec l’acupuncture, qui traite les flux d’énergie du corps ; ou les Indiens, avec leur médecine ayurvédique qui traite le « corps de lumière » et ses chakras… quantique thérapie quantique
Les appareils de biofeedback quantiques sont conçus pour détecter les ondes électromagnétiques, les « fréquences » émises par chacune des cellules de notre corps.
Lorsque certaines sont brouillées ou « fausses », l’appareil renvoie des fréquences « justes » afin de corriger le problème. Imaginez que vous ayez un coup de déprime. Vous appelez votre meilleur ami.
Ses paroles rassurantes vous remontent le moral et vous retrouvez assez d’énergie pour reprendre le cours normal de votre vie.
L’aide reçue n’est pas « physique », mais vient des mots réconfortants. Or ce flot d’informations vous a été transmis par les fréquences du téléphone.
Voilà, de manière imagée, comment fonctionnent les appareils de médecine quantique : ils envoient des ondes extrêmement fines qui « parlent » à nos cellules et leur transmettent des informations, elles-mêmes portées par les photons.
Pour reprendre la métaphore, on pourrait dire que les fréquences sont les phrases réconfortantes de votre ami ; et les photons, les mots, avec leur sens. quantique
Si la thérapie quantique fait usage d’appareils électroniques de plus en plus sophistiqués, comme le Scio, le Korotkov, le Mora ou le Life, cette approche de la médecine n’est pour autant pas mécaniste : les machines ne fonctionnent pas seules. « En “dialoguant” avec notre champ d’informations, ces appareils stimulent nos capacités d’autoguérison, explique la journaliste et conférencière Lynn McTaggart, auteur du Lien quantique (Macro 2012).
Mais rien ne peut se faire sans la présence d’un médecin ou d’un thérapeute. »
Une interaction d’autant plus importante que cette nouvelle vision de la santé, donc de la vie, implique non seulement une relation entre le corps et l’esprit, mais l’union fondamentale de l’esprit et de la matière.
Erik Pigani Journaliste, psychologue et psychothérapeute www.psychologies.com