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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
POUR NOUS LES FEMMES
Mieux se connaître pour mieux reconnaître Les facteurs de risque du cancer du sein Toutes les femmes sont susceptibles d’avoir un jour un cancer du sein. Parmi les facteurs de risque, les deux plus importants sont l’âge et l’hérédité.
- L’âge Plus une femme vieillit, plus son risque d’avoir un cancer du sein augmente.
- L’hérédité Les femmes dont la mère ou les s½urs ont eu un cancer du sein voient leur risque augmenter, surtout si celles- ci ont eu un cancer avant la ménopause ou s’il y a plus d’un cas dans la famille. Plusieurs autres facteurs ont été étudiés, dont l’alimentation, la prise d’hormones et l’âge à la première grossesse, mais leur influence est beaucoup moins grande et certains de ces facteurs font toujours l’objet de débats. Aucun moyen efficace pour prévenir le cancer du sein n’a encore été trouvé. Le dépistage du cancer du sein Un cancer du sein peut prendre plusieurs années à se développer et c’est souvent par hasard qu’on le découvre. En effet, ce type de cancer est rarement douloureux à ses débuts. Il risque donc peu d’attirer l’attention. Le but du dépistage est de repérer les premiers signes de changement qui peuvent laisser entrevoir la possibilité d’un cancer. En le dépistant le plus tôt possible, on peut espérer augmenter les chances de guérison car, en général, les traitements sont plus efficaces lorsque le cancer est peu avancé. Les méthodes de détection du cancer du sein Il existe trois méthodes permettant la détection précoce du cancer du sein
***: La mammographie de dépistage, l’examen clinique des s eins et l’auto-examen des seins. Des études scientifiques ont montré que si la majorité des femmes de 50 à 69 ans passaient régulièrement une mammographie de dépistage, soit tous les deux ans, on pourrait réduire de beaucoup le nombre de décès dus à cette maladie. C’est pourquoi un programme de dépistage du cancer du sein a été mis sur pied pour les femmes de ce groupe d’âge. Les résultats des études ne permettent pas de savoir si cette mesure est aussi efficace pour réduire le nombre de décès dus au cancer du sein pour les femmes de 40 à 49 ans et de 70 ans et plus. Si vous faites partie de ces femmes, informez-vous auprès de votre médecin pour savoir si cet examen pourrait vous être utile. Avant 40 ans, il n’est généralement pas recommandé de passer des mammographies de dépistage. Par ailleurs, peu importe votre âge, si vous décelez vous-même des changements à vos seins, consultez votre médecin sans tarder. Une mammographie diagnostique ou d’autres examens complémentaires pourraient alors vous être prescrits afin de préciser la nature exacte du problème. La mammographie diagnostique s’adresse aux femmes de tous les âges présentant un problème aux seins, détecté lors de l’auto-examen des seins, de l’examen clinique des seins, ou à la suite d’une mammographie de dépistage moi c est fait tout va bien et vous ??????
Le lumbago est une lombagie vive et aigue, pouvant surbenir le plus souvent lors d’un effort effectué dans une mauvaise position : par exemple quand on se relève après s’être penché de façon inadaquate (voyez le chapitre “Prévention des maux de dos“), le plus souvent (mais pas exclusivement) après avoir porté un poids. Un lumbago peut aussi survenir lors d’un fort éternuement si on n’a pas, fléchi les jambes. Le declenchement d’un lumbago survient souvent dans les mêmes circonstances que la lombosciatique. Le résultat du lombago est un blocage par une douleur vive, qui oblige souvent à rester au lit. La prévention et le traitement du lumbago sont identiques à ceux de la sciatique.
Cholestérol et accidents cardiovasculaires : les femmes aussi .A partir de la ménopause, les risques d'accidents cardiovasculaires augmentent chez la femme.
Equilibrez votre alimentation
Les stérols végétaux, également appelés phytostérols, sont en quelque sorte le cholestérol du monde végétal.
Pour protéger son cœur, il est indispensable d'essayer d'avoir une alimentation équilibrée et saine.
Dans ce cadre, fruits et légumes peuvent être consommés à volonté.
Les viandes et poissons doivent être cuisinés avec peu ou pas de matières grasses.
Pensez aux grillades mais aussi aux papillotes ou à la cuisson à la vapeur.
Dans la même veine, oubliez les charcuteries qui sont très grasses.
Cuisine et matières grasses Afin de réduire les risques de maladies cardiovasculaires, l'alimentation doit être allégée en matières grasses : ce sont elles qui sont à l'origine de l'athérosclérose, qui bouche les artères et peut causer un accident cardiaque. De façon plus générale, pensez aux huiles végétales qui sont moins bien assimilées par l'organisme que les graisses animales. Exit le morceau de beurre dans la poêle, prenez plutôt de l'huile d'olive, par exemple. Enfin, les stérols végétaux peuvent également vous aider à améliorer votre alimentation pour protéger votre cœur.
Des études ont montré que ce "cholestérol végétal" consommé quotidiennement (à raison de 2 g de phytostérols par jour), permet une réduction de 10 % du mauvais cholestérol. On trouve désormais de nombreux produits enrichis en phytostérols dans toutes les grandes surfaces.
Surveillez votre poids Précédente
A savoir : La localisation des graisses est importante aussi.
Bien manger contribue à lutter contre le cholestérol et le diabète, facteurs de risques des pathologies cardiaques.
Le diabète multiplie par trois le risque cardiaque. Bien manger permet de lutter contre l'obésité, qui est associée parfois à des complications cardiovasculaires.
La clé d'une bonne alimentation c'est une alimentation équilibrée et variée. Rien ne sert de vous priver. Ce qu'il faut c'est manger de tout en quantité modérée.
Ne boudez donc pas les légumes verts et les fruits et alterner les viandes blanches, rouges, et le poisson. Si vous aimez les plateaux de charcuterie et de fromage, n'en abusez pas. Et surtout évitez le grignotage entre les repas, surtout si ce sont des sucreries.
Enfin, choisissez de l'huile de colza et de l'huile d'olive pour vos assaisonnements, et arrêter le beurre.
Et la taille ? Si le poids est important, la localisation des graisses l'est aussi. En effet, les graisses viscérales qui entourent les organes (dont le cœur) sont les plus dangereuses dans la mesure où elles peuvent justement perturber leur fonctionnement.
Prenez donc l'habitude de mesurer votre tour de taille à l'aide d'un mètre de couturière ou en demandant à votre médecin traitant. Pour bien le faire, il faut placer le centimètre sous la dernière côte flottante. Les valeurs seuils du tour de taille à ne pas dépasser sont :
102 cm pour les hommes
88 cm pour les femmes
Musclez votre cœur
A savoir : Entretenez votre cœur, quel que soit votre âge.
Une heure de marche à l'allure de 6 ou 7 km/h sur terrain plat, trois fois par semaine, permet d'améliorer de 12% les performances de la pompe cardiaque.
En revanche, sans activité régulière, le risque de maladie cardiaque est multilplié par 2.
Le cœur, un muscle comme les autres .Faire de l'exercice ne sert pas uniquement à vous faire de beaux abdos. C'est aussi l'occasion de bouger votre cœur et de le maintenir en forme. Car le cœur est avant tout un muscle. Il a donc besoin d'être entretenu pour rester efficace longtemps. Si vous avez une vie sédentaire, et que vous ne faites jamais d'efforts, votre cœur finit par se ramollir et à être moins performant. A force, il n'arrive plus aussi bien à se contracter, la pompe se fatigue et devient moins efficace.
A contrario, la tension artérielle augmente pour compenser le débit cardiaque, ce qui n'est pas souhaitable.
Votre objectif, c'est donc de faire de l'exercice physique régulièrement.
Mieux vaut faire un peu d'exercice chaque jour, que de vous dépenser excessivement une fois de temps en temps.
Vous n'êtes pas sportif ? Ce n'est pas un problème. L'idéal est de faire au moins 30 minutes d'activité physique par jour. Et pour cela, il suffit de changer quelques unes de vos habitudes : préférer la marche à la voiture quand ce n'est pas indispensable, jardiner plutôt que de rester devant la télévision, faire du vélo d'appartement, avoir le réflexe escaliers plutôt qu'ascenseur, etc.
A retenir : L'activité physique, même a petite dose, a des effets bénéfiques sur le cœur ainsi que sur les facteurs de risque des maladies cardiovasculaires que sont l'hypertension, l'excès de cholestérol, et le diabète. Que du bon
Ne boudez pas les prises de sang
A savoir : Le cholestérol peut augmenter à votre insu. Le cholestérol est le premier facteur de risque d'infarctus du myocarde. Et le lien de cause à effet entre le cholestérol et le risque d'accident cardiaque est connu depuis longtemps : le cholestérol alimente les plaques d'athérome dans les artères avec le risque toujours plus grand de les boucher en créant des caillots sanguins.
Lorsque vous faites un bilan lipidique sanguin, vous pouvez lire votre taux de cholestérol : le taux moyen de cholestérol dans la population française est de 2,30 g/L.
Au dessus, on parle d'hypercholestérolémie. Le taux idéal ne doit pas dépasser 2g/L. Mais le cholestérol total n'est qu'une partie du résultat. L'analyse plus précise des deux types de cholestérol, LDL cholestérol, et HDL cholestérol, est également cruciale. Le premier, le "mauvais" cholestérol, encrasse les artères, alors que le second, le "bon" cholestérol, les nettoie. Autrement dit, un taux élevé de HDL cholestérol peut réduire le risque cardiaque. Quoi qu'il en soit, seul votre médecin traitant ou votre cardiologue, au vu de ces résultats ainsi que de vos autres facteurs de risque, peut vous conseiller et éventuellement vous proposer un traitement, lorsque c'est nécessaire.
A retenir : Faites contrôler votre cholestérolémie régulièrement, car le cholestérol peut augmenter à votre insu, et sans prévenir.
Surveillez votre tension
Tabac et hypertension : un mélange explosif.
La tension artérielle exprime la pression exercée par le sang sur la paroi des artères. Lorsque la tension est supérieure à la normale (au-delà de 14/9), le sang qui arrive au cœur est sous forte pression. Il contraint alors le cœur à fournir plus de travail pour l'expulser vers les organes. A force, le cœur se fatigue et n'arrive plus à jouer correctement son rôle de pompe. Une insuffisance cardiaque peu apparaître.
Par ailleurs, l'hypertension favorise le dépôt de graisse sur les parois des artères et donc l'épaississement de la plaque d'athérome, dont la rupture peut provoquer un caillot sanguin, et par conséquent, un infarctus.
Bref, avoir de l'hypertension artérielle n'est pas bénéfique pour la santé du cœur. L'hypertension est l'un des facteurs de risque des maladies cardiovasculaires, mais il n'est pas le seul. Il existe des causes liées à votre mode de vie, alors que d'autres sont non modifiables (sexe, hérédité, âge).
Mais il est évident, que plus on cumule les mauvais points, plus ce risque augmente. Sachez aussi que l'hypertension comme le tabagisme et l'hypercholestérolémie sont des facteurs de risque majeurs. Si vous les cumulez, le mélange peut être explosif.
A retenir : L'hypertension, ça ne se voit pas et ça ne se sent pas. Autrement dit, même si vous êtes en forme et en bonne santé, vous pouvez avoir une tension artérielle trop élevée. La seule façon pour vous rassurer est très simple, il suffit de faire contrôler votre tension régulièrement, au moins une fois par an, et dès l'âge de 30 ans.
Parce qu'il bat environ 100 000 fois par jour et qu'il alimente notre organisme en expulsant 4 à 5 L de sang par minute, notre ♥ a besoin d'être en forme.
conseils pour tenir ce rythme intensif.
A savoir : L'infarctus touche aussi les jeunes, dès 30 ans. Parmi les décès liés au tabagisme, 35% sont attribuables aux maladies cardiovasculaires, soit deux fois plus que les cancers du poumon. Le tabagisme est le deuxième facteur de risque d'infarctus du myocarde, après le cholestérol.
80% des victimes d'infarctus de moins de 45 ans sont des fumeurs.
60% des décès attribués au tabagisme passif en france seraient dus à un infarctus du myocarde ou à un AVC.
Plus de risque d'infarctus, quelle que soit votre consommation Arrêter de fumer doit être en haut de la liste des choses à changer pour protéger votre cœur.
Et cela, même si vous ne fumez qu'occasionnellement ou depuis peu de temps, par exemple pendant les soirées.
Une étude qui a suivi pendant 30 ans 23 000 hommes et 19 000 femmes a montré que fumer entre 1 et 4 cigarettes par jour, triple quasiment le risque de décéder à la suite d'une maladie du cœur. Conséquences du tabagisme sur la santé pour une consommation de 1 à 4 cigarettes / jour : Multiplication du risque de décès Maladie coronaire Cancer du poumon Hommes Multiplié par 2,74 Multiplié par 2,79 femmes Multiplié par 2,94 Multiplié par 5,03 2005
Le tabac favorise la formation de caillots dans les artères Et bien évidemment, plus on fume, plus le risque d'infarctus du myocarde augmente. La preuve, à partir d'un paquet fumé par jour, le risque d'infarctus est multiplié par 7.
La nicotine et le monoxyde de carbone que le fumeur inhale sont les ennemis des artères : ils diminuent leur ouverture, la circulation du sang vers le cœur, l'oxygénation des tissus... De plus, les plaques de graisses qui recouvrent les artères deviennent "friables" et donc capables de former des caillots. Et qui dit caillots, dit risque d'infarctus.
En outre, contrairement à ce que l'on pourrait penser, l'infarctus n'arrive pas qu'aux séniors. Les jeunes peuvent eux aussi en être victime, dès l'âge de 30 ans.
Pourquoi ? Parce que les plaques de graisse (athérosclérose) se forment dès l'âge de 20-25 ans. Le fait de fumer, peut ainsi accélérer la formation de caillots. Enfin, et c'est une bonne nouvelle : arrêter de fumer est le meilleur traitement contre le risque de récidive après un infarctus. Ainsi, après un infarctus du myocarde, arrêter de fumer diminue de 36 à 50% le risque de faire un nouvel accident dans les cinq ans. Sources : communiqué de presse de la Fédération Française de cardiologie du 18 décembre 2006, et article cœur et santé n°159, janvier-février 2007.
Je fume et estime que dans les bâtiments publics et restaurants où l'on ne fume pas , OK.
Mais je suis contre la tutelle perpétuelle des fumeurs !
Vous souhaitez coller les images horribles sur les paquets de cigarettes ?
Pourquoi ne pas mettre d' images d'enfants affamés dans un McDonald ?
Pourquoi pas des animaux sur les cosmétiques ?
Pourquoi pas des victimes d'accident qui ont été tuées par l'alcoolisme au volant sur les bouteilles de bière et le vin ?
Pourquoi pas des politiciens pleins d'argent sur les déclarations d'impôts ? ça doit être pareil pour tout le monde, non ?