santé
Publié à 19:57 par fandeloup
Tags : vie
Il y a deux semaines Els Winne a été euthanasiée. Elle avait 48 ans. Elle souffrait d'une fibromyalgie depuis 6 ans. En plein débat sur l'extension de la loi sur l'euthanasie, rappelons qu'une personne ne doit pas forcément être condamnée par la médecine pour avoir le droit de demander une euthanasie. Els Winne n'était pas en phase terminale, parce qu'on ne meurt pas de fibromyalgie, mais elle souffrait terriblement.
La fibromyalgie ne se voit pas. Et pourtant, elle gâche la vie de Christine depuis plus de 20 ans : "C'est une douleur permanente, 24 heures sur 24, qui est usante, autant physiquement que moralement, il y a des jours où je ne quitte même pas mon lit parce que j'ai trop mal et malheureusement dans mon cas, même la morphine ne fait plus d'effet".
Parfois, le syndrome est plus fort que la volonté de vivre. Els Winne, 48 ans, vient d'être euthanasiée par le docteur Declercq, à Ostende. Pourtant, la fibromyalgie ne tue pas. Et la recherche avance à grands pas depuis quelques années.
Nathalie Roussel, docteur en sciences médicales, fait partie d'un groupe de recherche de l'université d'Anvers sur les douleurs chroniques : "On a su démontrer qu'il y a un dérèglement du système nerveux qui est probablement à l'origine des douleurs chroniques des patients avec la fibromyalgie ainsi que d'autres troubles qu'on pensait inexplicables jusqu'à présent".
Il y a donc un espoir, même si Nathalie Roussel nuance, on est encore loin du remède miracle.
Mais imaginons que dans 5 ans, on trouve un médicament, le docteur Declercq regrettera-t-il d'avoir pratiqué cette euthanasie sur sa patiente ? : "Non parce qu'on a fait le choix avec tous les arguments qu'on a maintenant, c'est bien possible qu'on trouve une solution, espérons qu'on la trouve dans 5 ans, mais pour ces gens-là, c'est trop tard, 5 ans."
85 médecins, pour la plupart généralistes et qui se définissent d’abord comme des médecins de terrain ont lancé hier un appel qui pourrait faire date en Limousin et a d’ailleurs été largement répercuté hier dans les médias nationaux.
Cet appel, lancé dans le cadre de la Semaine nationale pour les alternatives aux pesticides, interpelle les autorités régionales en leur demandant de s’engager pour une réduction de 50 % de l’usage des pesticides en Limousin à l’horizon 2020.
« Trop de signaux de danger sont au rouge, explique le Dr Michel Perinaud, porte-parole des médecins, dont le mouvement fait boule de neige depuis le mois dernier dans les cabinets médicaux des trois départements de la région. Cancers, maladie de Parkinson, troubles de la fertilité, troubles du développement neurologique chez des enfants exposés in utero et imprégnation générale de la population à ces produits, sont inquiétants du point de vue sanitaire et pas seulement environnemental. Même si cet aspect est évidemment incontournable et lié. Dans une région agricole comme le Limousin, avec des activités utilisant énormément de pesticides – la culture de la pomme pour ne citer que celle-là – il nous a semblé important de tirer la sonnette d’alarme et de préconiser la mise en place de mesures de précaution relativement simples comme par exemple des distances de sécurité avec les habitations pour protéger les riverains qui vivent à proximité de ces cultures ou encore favoriser des cultures biologiques près des cours d’eau eux aussi largement touchés par l’usage intensif des pesticides. » La France étant, pour rappel, le 3e utilisateur mondial de pesticides et le 1er en Europe avec 75.000 tonnes par an, 90 % de la population française est contaminée par les organophosphorés.
Permettre une transition écologiquePour les médecins signataires de l’appel, « la notion de faible dose n’est pas plus rassurante car de nombreux pesticides s’avèrent être des perturbateurs endocriniens soupçonnés d’une recrudescence d’infertilité dans la population française ». Pour eux « les mesures sont à prendre très vite et leur crainte serait le lancement d’une énième enquête qui viendrait se superposer à des enquêtes internationales aujourd’hui incontestées. Des liens ont en effet été établis en milieu professionnel agricole entre l’utilisation des pesticides et certaines pathologies : lymphomes, tumeurs cérébrales et cancers hormono-dépendants. Les liens entre maladie et pesticides sont d’autant plus difficiles à démontrer que près d’un millier de molécules a été mis sur le marché en France. Les risques liés à ces molécules ne peuvent être évalués faute de données toxicologiques et épidémiologiques suffisantes. »
Si l’an passé la maladie de Parkinson a été reconnue comme maladie professionnelle chez les agriculteurs, ce n’est qu’au terme d’un long combat. En attendant ces données – si elles arrivent un jour – les 85 se déclarent solidaires « des demandes d’interdictions d’épandages aériens, des collectivités territoriales signataires de la charte zéro pesticide et de toutes les initiatives qui permettront une transition écologique vers des filières agricoles n’utilisant pas de pesticides ».
Publié à 07:45 par fandeloup
Tags : bébé
Un nouveau-né né par césarienne tout en préservant le sac amniotique intact. Cette photographie étonnante nous permet de voir comment nous sommes protégés dans le ventre de notre mère. L'affaire inhabituelle a eu lieu aux États-Unis, la mère a eu ce nouveau-né par césarienne et immédiatement le médecin s'est rendu compte que le bébé est venu enveloppé dans le sac amniotique... Il n'a pas perdu l'occasion de photographier cette affaire inhabituelle
Des cellules de foetus avortés pour réhausser le goût : Obama a dit oui !
11 mars 2013
La société Pepsi, en vue de lancer son produit « Pepsi Next », afait face à la réaction d’une partie de la population américaine laquelle, pro-vie, appelait au boycott. Et pour cause, la société utilise dans ses recherches des cellules issues de foetus avortés afin de réhausser le goût de la boisson. Eh bien Pepsi a obtenu gain de cause grâce à l’aide de l’administration Obama : la Security and Exchange Commission, mise en place par le président Obama, a statué et rendu publique sa décision le 28 février : le laboratoire Semonyx, filiale de recherche du groupe PepsiCo’, est autorisé à utiliser des restes de foetus avortés comme rehausseurs de goût.
Signe avancé d’une société de mort qui se substitue à la Civilisation. Le fœtus n’est-il donc qu’un amas de cellule ? Qu’un matériau à la disposition de la toute puissance d’un homme qui a voulu se faire Dieu ? Ou bien n’est-ce pas d’abord une vie humaine qui a été conçue ? N’est-ce pas plutôt un être humain en gestation ?
Mais le pire, c’est qu’en plus de légiférer sur un usage que condamnent tous les principes traditionnels sur lesquels s’est bâtie la civilisation occidentale, et dont témoigne par exemple le serment d’Hippocrate, l’administration Obama considère cet usage comme des « opérations commerciales ordinaires ». Ou comment banaliser la culture mort… Ignoble !
Publié à 13:39 par fandeloup
Tags : soi
Il n’est pas rare de voir apparaître ce fameux mal de gorge qui vient vous surprendre chaque année à
la même époque.
Il y a une solution toute simple, un remède complètement naturel à faire soi-même pour se soigner :
Verser du thé dans un bocal combiné à des tranches de citron, du miel et du gingembre coupé en tranches.
Fermer le récipient et le mettre dans le réfrigérateur, une gelée se forme.
Pour servir, prendre une cuillère de cette gelée dans une tasse et versez de l’eau bouillante dessus.
Conservez au réfrigérateur 2-3 mois.
Selon une étude accablante pour big pharma, aucun vaccin antigrippal n’a de valeur…
Cette étude est accablante pour l’industrie pharmaceutique entière et ses sbires, l’industrie de test des médicaments et le système médical qui dépendent d’elle et font sa promotion. Les vaccins antigrippaux n’ont aucun intérêt et entraînent de graves préjudices.
Publiée dans Cochrane Library, une étude remarquable n’a constaté aucune évidence de l’utilité des vaccins contre la grippe. E...lle éreinte aussi la qualité des études sur ces vaccins, en disant que la grande majorité des essais sont lacunaires. D’après les auteurs, les seules études montrant des avantages sont financées par l’industrie. Ils ont aussi fait remarquer que ces études financées par l’industrie sont plus susceptibles d’être publiées dans les revues les plus prestigieuses… et une autre chose : Ils ont découvert des cas de graves dommages dus aux vaccins, malgré les carences en matière de couverture des effets indésirables.
L’étude, Vaccines for preventing influenza in healthy adults [Vaccins préventifs de la grippe chez l'adulte en bonne santé, est accablante pour la totalité de l’industrie pharmaceutique et ses sbires : l’industrie de test des médicaments et le système médical qui dépendent d’elle et font sa promotion.
Dans le style euphémique habituel de la revue scientifique, les auteurs concluent : Les conclusions de cet examen semblent décourager le recours au vaccin antigrippal chez l’adulte en bonne santé, au titre de mesure de santé publique routinière. Du fait que les adultes en bonne santé ont un faible risque de complications dues aux maladies respiratoires, l’usage du vaccin peut être conseillé uniquement dans des cas spécifiques, comme mesure de protection individuelle contre les symptômes. L’étude
Les auteurs ont tenté de retrouver et d’analyser toutes les études d’évaluation des effets des vaccins antigrippaux chez les adultes en bonne santé âgés de 18 à 65 ans. Pour ce faire, ils « ont fait des recherches dans le Cochrane Central Register of Controlled Trials (CENTRAL) (Cochrane Library, 2010, numéro 2), dans la MEDLINE (de janvier 1966 à juin 2010) et dans EMBASE (de 1990 à juin 2010). » Ces bases de données comprenaient 50 rapports. Quarante d’entre eux étaient des essais cliniques comptant au total plus de 70.000 personnes. Deux, qui ne signalaient que les effets délétères, n’ont pas été inclus dans cette méta-analyse. Des études de tous les types de vaccins antigrippaux ont été incluses : vaccins avec virus vivants, atténués et tués – ou fractions de virus tués.
Les auteurs de la méta-étude ont cherché en premier le nombre de cas et la gravité de la grippe et des maladies de type grippal. Ils ont aussi examiné le nombre et la gravité des dommages consécutifs aux vaccins. Ils ont tenté de rassembler les données manquantes en écrivant personnellement aux auteurs des études. Ils décrivent les réponses comme « décevantes ». En fin de compte, ils ont gardé 50 études et en ont écarté 92, à cause surtout de très graves défauts, du genre : usage de contrôles inadéquats, essais de contrôle non randomisés, données présentées incohérentes, plan d’étude manquant, définitions imprécises, compte-rendu inconsistant, absence des données brutes, et absence de placebo.
Ce que les auteurs ont constaté : Les vaccins administrés par voie parentérale, c’est-à-dire, autrement que par voie digestive – généralement par injection – réduisent les symptômes de type grippal d’à peine 4%. Ils n’ont trouvé aucune preuve que la vaccination empêche la transmission du virus chez les adultes sains ! (Adieu l’argument de l’immunité collective !) C’est particulièrement important parce que, comme l’ont noté les études, on sait que les vaccins inactivés marchent mieux chez les adultes en bonne santé. Ils n’ont pas trouvé non plus de preuve montrant que les vaccins contre la grippe évitent les complications. Ils ont tenté de déterminer la gravité des complications, et, bien qu’elles en aient rapporté certaines, la plupart des études ont tout simplement oublié la question ou l’ont abordée de manière inadéquate.
Publié à 07:49 par fandeloup
Tags : bonne
Du venin d’abeille pour détruire le virus du Sida
Voilà une nouvelle bonne nouvelle dans la lutte contre le virus du sida. Une équipe de chercheurs américains a mis au point des nanoparticules chargées d’une toxine provenant du venin d’abeille, capable de détruire le virus du sida.
À terme, cette découverte pourrait aboutir à la production d’un gel vaginal qui limiterait le risque de contamination par le VIH.
« Nous espérons que dans les zones où le taux de prévalence du VIH est important, les gens pourront utiliser ce gel comme un moyen de prévention pour empêcher l’infection initiale, » explique Joshua L. Hood de la Washington University de Saint Louis.
Comment ? Grâce à cette toxine, la mellitine, un poison capable de percer l’enveloppe protectrice de plusieurs virus dont le VIH.
Véhiculée dans l’organisme grâce à ces nanoparticules, la mellitine aurait un effet dévastateur sur le virus. Le principal auteur de l’étude avait déjà montré qu’en addition aux traitements anti-rétroviraux que nous connaissons aujourd’hui, Samuel Wickline, cette toxine était capable de tuer les cellules tumorales infectées par le virus. Restait à trouver le moyen de permettre à la mellitine de s’attaquer au virus sans détruire les cellules saines. C’est désormais chose faite.
Des pare-chocs pour mieux cibler le VIH
Pour y parvenir, Joshua Hood a équipé les nanoparticules de pare-chocs moléculaires de sorte à ce qu’elle rebondisse sur les cellules normales, qui sont bien plus grandes. En revanche, le VIH étant bien plus petit que ces nanoparticules, le virus passe entre ces pare-chocs, se retrouvant alors en contact avec la mellitine.
Cette technique offre plusieurs avantages.
Alors que les traitements antirétroviraux empêchent le virus de se multiplier, ces nanoparticules ont l’avantage de le détruire. Elles peuvent donc prévenir l’infection là où les traitements classiques n’opèrent de manière générale qu’a posteriori.
Second avantage de cette nouvelle technique, en s’attaquant à la structure physique du virus on élimine le risque que celui-ci mute comme cela peut être le cas face à certains traitements.
D’autres applications possibles
« La particule que nous utilisons a été développée il y a plusieurs années en tant que sang artificiel » explique Hood, « Elle n’était pas particulièrement efficace pour apporter de l’oxygène dans l’organisme, en revanche elle y circule sans danger et constitue une bonne base pour travailler contre différentes infections. »
Ces nanoparticules pourraient aussi être utilisées pour lutter contre les hépatites B et C dont les enveloppes protectrices sont elles aussi vulnérables à la mellitine.
Selon Joshua Hood, il serait aussi possible de produire un gel qui s’attaque à la fois au sperme qu’au virus du sida. Alors que ces nanoparticules n’ont pour l’instant été mise à l’épreuve qu’en laboratoire, les chercheurs estiment qu’il serait facile de les produire en grandes quantités. De l’utilité de sauver les abeilles.
De la viande, oui, mais à l’acide !..
Désormais, les carcasses bovines peuvent être traitées à l’acide lactique en Europe. Va-t-on s’arrêter aux poulets chlorés ? dit Test-Achats
Pendant que Bruxelles annonçait à grand bruit le retour des farines animales dans la gamelle des poissons, volailles et cochons, une autre bonne nouvelle est passée quasiment inaperçue. Il s’agit de la publication du règlement européen 101/2013, qui autorise l’«utilisation de l’acide lactique pour réduire la contamination microbiologique de surface des carcasses de bovins».
L’avantage du badigeonnage à l’acide lactique, c’est qu’on peut ainsi transformer une bidoche pas très nette en morceau de barbaque propre comme un sou neuf. Largement utilisée aux États-Unis, cette éponge magique faisait envie à l’Union Européenne du commerce du bétail et de la viande (le lobby des industriels du steak), qui tentait depuis trois ans de nous l’imposer. Enfin, c’est gagné !
Certes, toute la bidoche ne sera pas astiquée à l’acide lactique. Mais, comme le règlement n’impose pas de mettre au parfum le consommateur, les seuls qui seront informés que la barbaque qu’ils achètent a été nettoyée ainsi sont les grossistes et les semi-grossistes en viandes…
Pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Quand donc Bruxelles autorisera-t-elle aussi le poulet Javel, que les Américains tiennent absolument à nous faire déguster ? « Blanchir » les carcasses de volailles contaminées en leur faisant faire trempette dans des bains d’eau javellisée, ce serait pourtant très pratique.
Et, pendant qu’on y est, pourquoi pas la colle à viande ? Il y a trois ans, le Parlement européen avait, in extremis, retoqué la proposition de la commission européenne d’autoriser la thrombine comme additif alimentaire. Cet enzyme extrait du sang de boeuf ou de porc peut servir de colle pour agglomérer des chutes de découpes à l’abattoir et reconstituer ainsi la viande qu’on trouve dans les plats cuisinés.
Pratique pour donner au consommateur l’illusion qu’il a des morceaux entiers dans sa barquette de cassoulet, alors qu’il s’agit de bouts de barbaque provenant de différents animaux recollés ensemble ! Il y a des jours comme ça où l’Europe ça colle aux dents…
Merci à Marie Arbassette
Résidus de pesticides dans les aliments
Résidus de pesticides dans les aliments : l’enquête annuelle de l’EFSA confirme la présence importante de résidus de pesticides dans l’alimentation. Générations futures appelle par ailleurs la France à améliorer sa surveillance analytique des pesticides dans les aliments pour une meilleure sécurité alimentaire.
Comme tous les ans, l’EFSA vient de publier son rapport sur les résidus de pesticides dans les alim...ents. La contamination des aliments reste à un haut niveau, avec 65% des fruits et 39% des légumes contenant des résidus en moyenne en Europe selon le plan de surveillance.
Le niveau de multirésidus est aussi toujours inquiétant, avec 26.6% des échantillons de ce plan de surveillance contenant 2 résidus de pesticides ou plus.
Si la France semble se situer en dessous de ces chiffres moyens avec 53% des fruits et 30% des légumes contaminés par des résidus de pesticides, Générations Futures s’étonne cependant des différences entre les chiffres français et, par exemple, les données allemandes, pays ou le document de l’EFSA nous dit que 77% des fruits et 50% des légumes contiennent des résidus de pesticides. Pourquoi une telle différence entre deux pays voisins ? Générations Futures remarque d’abord que l’Allemagne teste entre 2 fois et demi et 3 fois plus d’échantillons de fruits et de légumes que la France. La France se situe ainsi parmi les derniers pays européens au nombre d’échantillons analysés par tranche de 100 000 habitants. Ensuite nous notons que l’Allemagne recherche 788 molécules différentes dans les fruits et légumes alors que la France n’en recherche que 332 !Bien évidemment plus on recherche de pesticides différents plus on va en trouver, c’est une évidence.
« Générations futures demande donc que la France aligne ses standards sur ceux de l’Allemagne en matière de recherche de résidus de pesticides, en augmentant fortement le nombre de molécules recherchés et le nombre d’échantillons analysés afin d’offrir à nos concitoyens la meilleure sécurité sanitaire possible. » déclare François Veillerette, porte parole de Générations Futures.
« Enfin, sur la question des dépassements des Limites Maximales en résidus ( LMR) le rapport de l’EFSA reconnait que la forte baisse du pourcentage de non-conformité des produits français analysés n’est due qu’à l’augmentation de la marge d’incertitude des mesures fixée à 50%. Générations Futures avait il y a quelques semaines dénoncé ce tour de passe- passe qui donne une impression d’amélioration de la situation totalement artificielle. » ajoute t’il
Contact presse : François Veillerette 06 81 64 65 58 mdrgf@wanadoo.fr
FAITES TOURNER . EXTRÊMEMENT IMPORTANT !
Le Zyprexa, un médicament qui bousille le pancréas : Prescrit à gogo en France !…
Exclusif ! Faites circuler l’info partout où vous le pouvez. Merci pour toutes les victimes des laboratoires pharmaceutiques.
Des études cliniques ont montré que le médicament Zyprexa risque de causer de graves dommages à plusieurs fonctions pancréatiques, y compris sensibilité à l’insuline et réduit des niveaux élevés de sucre dans le sang.
La combinaison de ces facteurs, ainsi que des altér...ations métaboliques provoquées par la consommation de drogue Zyprexa peut irriter le pancréas et causer d’importants dommages à long terme. Cela se traduit souvent par une condition appelée pancréatite aiguë, qui dans bien des cas, peut être potentiellement mortelle.
L’inflammation du pancréas est appelée pancréatite chronique et peut être causée par des médicaments tels que le Zyprexa. Cette inflammation peut occasionner des douleurs abdominales, des vomissements et de la fièvre.
La survie de la pancréatite repose sur un diagnostic rapide et un traitement immédiat. La plupart des gens qui prennent Zyprexa ne sont pas conscients des dangers potentiels pour leur pancréas et beaucoup ignorent souvent les symptômes jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
Un article de T Going, publié par resource4zyprexainfo.com, traduit de l’anglais et relayé par SOS-planete
Note de TS, dont un membre est victime du Zyprexa, synthétisé par les laboratoires Lilly (1) :
Nous avons mené notre enquête. Aux Etats Unis, le Zyprexa fait l’objet d’une énorme bataille juridique. Des associations de malades se mobilisent pour attirer l’attention des politiques. Ce médicament -une manne pour les laboratoires pharmaceutiques !- devrait être rapidement interdit aux USA, pour les ravages occasionnés sur le pancréas, sans comparaison possible avec les soi-disants bénéfices apportés aux patients souffrant de dépression. Des tribunaux ont déjà indemnisé les malheureuses victimes…
En France, en Europe, et bien c’est la loi du silence. Eh oui ! Les psychiatres continuent à prescrire le Zyprexa à tour de bras, la plupart du temps en cas de dépression, pour « épauler » les anti-dépresseurs.
Et après les gens -les victimes de cette ignominie !- doivent vivre le restant de leurs jours avec des douleurs abdominales, atroces et sans rémissions, qui nécessitent parfois l’utilisation du sulfate de morphine. Sans parler du recours obligatoire à un régime à vie quasiment totalement dépourvu de graisses, des séjours répétés aux urgences entraînant à chaque fois des pertes de poids spectaculaires ! Et, si la mort n’est pas au rendez-vous, pour couronner le tout, l’installation d’un diabète morbide et d’une insulino-dépendance, qui vient engraisser bien sûr -cerise sur le gâteau !- les laboratoires pharmaceutiques, responsables de ce chaos.
Qu’est-ce qu’on dit à la médecine moderne ? On dit merci merci Médecine, merci Technologie, merci Mesdames et Messieurs les laboratoires pharmaceutiques, merci pour tous vos bienfaits !!!
(1) Sur le site des laboratoires Lily, cette phrase en page « Responsabilité sociale » :
« … Nous nous engageons à rechercher, développer et commercialiser nos produits d’une façon morale et transparente, et à les fabriquer sans porter atteinte aux patients, à l’environnement, à la santé et la sécurité de nos salariés et des communautés qui accueillent nos sites. »