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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
L’AUTORITÉ N’EST PAS DE LA SOUMISSION
Il n’y a pas d ‘autorité sans respect mutuel. Une éducation basée sur la peur, l’humiliation et la violence ne mène qu’à un rapport de force avilissant et non à une collaboration valorisante.
L’enfant est traité comme inférieur et soumis dans le premier cas et comme un être en devenir dans le second cas.
La véritable définition de l’autorité, je vous propose de la découvrir dans cette citation d’Arnaud Deroo dans son livre« Abécédaire bien-traitant ».
« L’autorité veut dire « rendre acteur », donc ce n’est pas soumettre ni faire obéir. Poser son autorité consiste à se positionner avec confiance, responsabilité et auhtenticité face à l’enfant. Être en autorité c’est prendre la responsabilité de la relation.
L’autorité ne se joue pas, elle se vit dans le corps, dans le respect mutuel de chacun. Autorité et bien-traitance ne riment pas avec peur, soumission et humiliation. »
Concrètement, cela signifie que le parent : aide l’enfant à identifier, comprendre et exprimer ses émotions propose des choix fixe des règles en collectivité, les rappelle puis passe des accords quand l’enfant grandit ne juge pas la personne mais décrit les actes et comportements exprime des demandes claires au lieu de reproches partage ses propres émotions et fait des demandes pour satisfaire ses propres besoins communique sans violence veille à ce que le réservoir d’amour de l’enfant soit rempli (présence, câlin,…) encourage en se focalisant sur les actes ne substitue pas à l’enfant quand celui-ci sait faire offre la possibilité à l’enfant de réparer ses erreurs offre un exemple à imiter
l'hiver et à nos portes, pour beaucoup de personnes c'est une période de joie, de fêtes, Noël, les cadeaux, le ski, la chaleur des raclettes, mais pour d'autres c'est LA TRISTESSE, LA SOLITUDE, LE FROID, LA PEUR DE COMMENT VONT ILS TENIR SOUS CE FROID, L'ANGOISSE DE TROUVER LE MEILLEUR COIN CHAUD POUR TENIR LA NUIT ET POUR CERTAINS LA MORT...
Si jamais vous avez des couettes, des pulls, pantalons, toutes ces choses qui traînent au fond de vos placards, tiroirs, que ne vous mettiez plus... Si pour vous ce n'est rien, pour d'autres c'est un moyen important de se sentir protéger, pas oublié... Un petit geste peut dégager de grosse émotion et sauver des vies
JEUX DANGEREUX
Vous avez tous parlé à vos enfants des dangers de la route, de l’alcool, du tabac, de la drogue… mais il est plus difficile d’évoquer avec eux le sujet des jeux dangereux de peur de susciter leur curiosité. Loin des jeux traditionnels comme le chat perché ou l’épervier, les «jeux» dangereux sont des pratiques violentes où les enfants se font ou font subir aux autres différentes douleurs. Même les plus jeunes sont concernés par ce phénomène. Il en existe différentes sortes : les «jeux» de non-oxygénation et les «jeux» d’agression dont l’objectif est de faire mal physiquement et gratuitement. Certains enfants participent de leur plein gré à ces jeux mais d'autres enfants subissent cette violence. Les enfants se mettent souvent en danger sans en avoir réellement conscience. Évidemment, ces comportements peuvent avoir des conséquences au niveau de la santé. N’hésitez plus à en parler à vos enfants!
Une étudiante décédée se réveille à la morgue et raconte ce qu’elle a vu avant de réintégrer son corps
rUne étudiante en programmation informatique a subi une intervention chirurgicale au Costa Rica et est décédée. Mais tout ne s’est pas arrêté là : elle a eu une expérience de la vie après la mort ou expérience de mort imminente, puis elle est retournée dans son corps, allongée à la morgue.
Graciela H. a raconté son histoire sur le site Web de la Near Death Experiences Research Foundation (NDERF), et son témoignage de première main est aussi choquant qu’encourageant. Voici son expérience de mort imminente (EMI) : Pendant l’opération, j’ai vu les médecins travailler rapidement sur moi. Ils étaient inquiets. Ils ont pris mes signes vitaux, fait une réanimation cardio-respiratoire. Tout le monde a commencé à quitter lentement la pièce. Je ne comprenais pas pourquoi ils agissaient ainsi. Tout était silencieux, j’ai décidé de me lever. Seul mon médecin était au même endroit, regardant mon corps. J’ai décidé de me rapprocher, je me tenais près de lui, je sentais qu’il était triste et que son âme souffrait. Je me souviens avoir touché son épaule, puis il est parti
Mon corps a commencé à s’élever et à s’élever, je peux dire que j’ai été prise par une force étrange. C’était génial, mon corps devenait de plus en plus léger. En passant par le plafond de la salle d’opération, j’ai découvert que je pouvais me déplacer où je voulais. Cela m’a amenée à un endroit où… les nuages étaient lumineux, dans une une pièce ou un espace. … Tout autour de moi était léger, très lumineux, mon corps était rempli d’énergie et ma poitrine de bonheur… J’ai regardé mes bras, et ils avaient la même forme que les bras humains, mais faits de matériaux différents. La matière était comme du gaz blanc mélangé à une lueur blanche argentée, et il y avait une lueur perlée autour de mon corps. J’étais magnifique. Je n’avais pas de miroir pour voir mon visage, mais… je sentais que mon visage était beau. Je voyais que mes bras et mes jambes étaient habillés de blanc, avec une simple robe longue de lumière… Ma voix était comme celle d’une adolescente mélangée au ton de la voix d’un enfant…
Soudain, une lumière plus brillante que mon corps s’est approchée… Sa lumière m’aveuglait… Il m’a dit d’une voix d’une grande finesse: « Tu ne vas pas pouvoir continuer »… Je me souviens qu’avec mon esprit, je parlais la même langue, lui aussi me parlait avec son esprit. Alors que que je pleurais parce que je ne voulais pas rentrer, il m’a prise dans ses bras. Il s’est tu pendant tout ce temps, il m’a donné de la force. J’ai ressenti de l’amour et de l’énergie. Il n’y a pas d’amour ou d’énergie dans ce monde qui puisse se comparer à cela. … Il m’a dit : « Tu as été envoyée ici par erreur, l’erreur de quelqu’un.
Tu dois y retourner… Pour venir ici, il faut accomplir beaucoup de choses… Essaie d’aider plusieurs personnes »… À la morgue J’ai ouvert les yeux, tout autour de moi il y avait des portes métalliques, des gens sur des tables métalliques, un corps avait un autre corps par-dessus. J’ai reconnu l’endroit : j’étais à la morgue. J’ai senti de la glace sur mes cils, mon corps était froid. Je ne sentais rien… Je ne pouvais même pas bouger mon cou, encore moins parler. J’avais sommeil… Deux ou trois heures plus tard, j’ai entendu des voix et j’ai ouvert les yeux à nouveau. J’ai vu deux infirmières… Je savais que je devais faire… un contact visuel avec l’une d’elles. J’ai à peine eu la force de cligner des yeux encore et encore, mais je l’ai fait. Cela m’a demandé beaucoup d’énergie. L’une des infirmières m’a regardé, effrayée… en disant à sa compagne : « Regarde, regarde, elle bouge les yeux ! » En riant, elle a dit : « Allons-y, cet endroit est effrayant. » A l’intérieur de moi, je criais : « S’il vous plaît, ne partez pas ! »
Je n’ai pas fermé les yeux avant l’arrivée des infirmières et des médecins. Tout ce que j’ai entendu, c’est quelqu’un qui disait : « Qui a fait ça ? Qui a envoyé cette patiente à la morgue ? » Les médecins étaient fous. J’ai fermé les yeux quand j’ai été sûre d’être loin de cet endroit. Je ne me suis réveillée que trois ou quatre jours plus tard.
J’ai eu des épisodes de sommeil pendant de longues périodes… Je ne pouvais pas parler. Au cinquième jour, j’ai recommencé à bouger mes bras et mes jambes… Les médecins m’ont expliqué qu’ils m’ont envoyé là, à la morgue, par erreur… Après une thérapie, ils m’ont aidé à marcher à nouveau. Une des choses que j’ai apprises, c’est qu’il n’y a pas de temps à perdre à faire de mauvaises choses, au contraire, nous ne devons faire que de bonnes actions pour notre propre bien… C’est comme une banque ; si vous économisez beaucoup, vous obtiendrez beaucoup à la fin.
Sensibiliser les enfants au respect de l’animal est un enjeu majeur !
Pourtant essentielle, la sensibilisation au respect des animaux reste absente des programmes scolaires français
Véritable enjeu de société , le respect des animaux doit se développer dès le plus jeune âge. Un apprentissage primordial pour lequel l’Éducation nationale devrait prendre toute sa part, alors que cette thématique reste absente des programmes scolaires français ! La Fondation 30 Millions d’Amis a contribué à l’élaboration d’un livret pédagogique pour sensibiliser les élèves d’école primaire à la protection des animaux.
Apercevant un chat assoiffé, une fillette ouvre le robinet, puis se sert de ses mains comme d’un bol pour faire boire le petit animal… Cette scène touchante – très largement partagée sur les réseaux sociaux – serait emblématique de l’empathie de nos enfants envers d’autres espèces.
« La petite sait intuitivement qu’il est vital pour le chat de boire, car elle s’identifie spontanément à lui, confirme le Pr Hubert Montagner, psychologue et ancien directeur de recherche à l’Inserm, interrogé par 30millionsdamis.fr. De telles situations sont bénéfiques à la fois à l’animal et à l’enfant, qui se sent valorisé d’avoir été utile à un autre être vivant. »
L'empathie spontanée entre enfants et animaux doit être encouragée ! ©Fondation 30 Millions d'Amis « Le respect d’autrui et de la différence est loin d’être anodin » Si cet « enchaînement d’empathie » est bien spontané, les enfants n’ont pas toujours l’occasion d’en faire l’expérience dans leur quotidien. A la maison, la présence d’un chien, chat, lapin ou cochon d’Inde est l’occasion d’accompagner les premières rencontres et d’aborder le respect de l’animal, tout en énonçant quelques règles simples.
Cette sensibilisation n’a pas d’âge… pourvu de prendre certaines précautions avec les plus petits : « À 3 ou 4 ans, leur affection peut être si débordante qu’ils risquent de blesser l’animal sans le vouloir ! », avertit le Pr Montagner, également auteur de “L’enfant et l’animal” (éd. Odile Jacob - 2002). Les enfants ne bénéficiant pas tous de cette compagnie, d’explications claires ni de l’opportunité de questionner plus largement leur rapport à l’animal, l’école a un rôle primordial à endosser.
« Les programmes scolaires devraient intégrer des occasions concrètes de contact entre l’enfant et un animal avec lequel il pourrait interagir – le nourrir, le caresser, jouer… – afin d’explorer ses besoins essentiels tout en préservant son intégrité », recommande le Pr Montagner. D’autant que cet apprentissage se conjugue avec celui du respect d’autrui et de la différence – « ce qui est loin d’être anodin », conclut le spécialiste par cette litote. Pour un retour de l’éthique animale à l’école La protection des animaux, de la biodiversité, sont autant de sujets qui piquent la curiosité des élèves. Nicolas Servant, professeur de SVT
« Dans notre proposition de loi consacrée au bien-être animal, nous souhaitons que soient inscrites dans les programmes de l’enseignement primaire des heures de cours dédiées au respect des êtres vivants, et en particulier des animaux, affirme Loïc Dombreval, député LREM des Alpes-Maritimes et président du groupe Condition animale à l’Assemblée nationale, contacté par 30millionsdamis.fr. Cette sensibilisation est essentielle pour les enfants, mais nous la prévoyons également à destination d’autres publics clés tels que les vétérinaires, les étudiants des filières agricoles ou encore les magistrats et les juges ».
En 2017, une quinzaine de philosophes, chercheurs, juristes, vétérinaires et psychologues signaient déjà une tribune en faveur d’un enseignement de l’éthique animale à l’école (Libération, 20/02/17), déplorant l’absence des « animaux en tant qu’individus » dans les programmes scolaires et suggérant « d’accompagner le questionnement éthique et d’intégrer les notions de respect, de justice et d’empathie envers les animaux dans le cours d’éducation morale et civique (EMC) ». En effet, l’éthique animale n’est plus transmise aux écoliers français depuis… 1923, après avoir pourtant figuré dans les manuels scolaires pendant 40 ans !
En Belgique, les cours de philosophie et de citoyenneté intègrent des thématiques telles que « épargner la souffrance aux animaux » et « comprendre et protéger la vie ». « Un réel support pédagogique pour répondre aux interrogations des élèves » Un livret précis, coloré et amusant. Le respect des animaux devant être inculqué dès le plus jeune âge, le livret « Un animal, des animaux » – réalisé par L214 Éducation avec l’appui de la Fondation 30 Millions d’Amis – propose aux élèves à partir du CE1 un « tour d’horizon de nos connaissances sur les animaux, sur leurs émotions et leur sensibilité » abordant les comportements des animaux, leurs remarquables capacités (mémoire, logique, conscience de soi…), leurs besoins essentiels et les actions simples à mettre en œuvre pour les protéger.
Afin d’en assurer la pertinence pour un public scolaire, ce livret a été élaboré sous le contrôle de spécialistes en pédagogie et en psychologie de l’enfant, en droit animalier, en médecine vétérinaire et en sciences naturelles. « Protection des animaux, biodiversité, autant de sujets qui piquent la curiosité des élèves tout en s'installant comme de grands enjeux de nos sociétés, explique Nicolas Servant, professeur de Sciences de la vie et de la terre. Ce support pédagogique vient répondre à leurs interrogations, en adéquation avec les programmes officiels de l'Éducation nationale. »
Auteur : Un Français Destinataire(s) : Soulèvement du peuple (car le gouvernement ne fait rien et ne fera rien) !
"Nous sommes au XXIème siècle, mais j'ai grand peine a le croire. Dans l’état actuel des connaissances scientifiques, il y a toujours des gens qui entretiennent des idées fausses et elles sont nombreuses, croyez-moi. Pour n’en citer qu’une, il parait qu’il y existerait de la «mauvaise herbe» ce qui nous vaut des tonnes de produits chimiques déversés.
Comment peut-on accorder autant de droits à une poignée d'irréductibles sans cervelle ?
Pour vous dépeindre un peu le tableau, voici ce que l'on peut constater chaque jour dans la petite commune où je réside et ces alentours. Ces messieurs se disent défenseurs de la nature, et bien ce ne sont que balivernes. Pour cela, il est simple de constater que partout où il passent, la nature est un véritable dépotoir. Ils jettent leur détritus sans vergogne n'importe où. Emballages, papiers gras, mégots de cigarette, canettes de bière et autres alcools, sans oublier les cartouches, mélange de plastique et de métal, ainsi que le plomb, qui souillent notre belle nature que, ne l'oublions pas, ils disent protéger.
Vous ne les verrez jamais participer aux initiatives prisent par certaines communes pour ramasser les ordures jetées sauvagement ça et là. Bien sur que non... pourtant ce sont eux qui les balancent pour ne pas s'encombrer durant leur "grand moment de plaisir".
Comment peut-on prendre plaisir à tuer inutilement des animaux ?!
De plus, nous sommes dans une région agricole et ces messieurs n’ont pas de scrupule a mettre du gasoil agricole dans leurs véhicules de chasse, ce qui est rigoureusement interdit. Nous les retrouvons sur le bord des routes fusils à la main et même certains d'entre eux possèdent des fusils à lunette...
Le visage rubicond, preuve d'une consommation excessive d'alcool qui les mènent a confondre un cycliste avec un sanglier ! Il suffirait d'un contrôle d'alcoolémie en règle pour que le droit de posséder une arme leur soit définitivement retiré, ainsi que celui de conduire un véhicule motorisé. Malheureusement, ils ne sont jamais contrôlés.
Ils n'hésitent pas a venir tirer des coups de feu proche des habitations, les samedis et dimanches au petit matin alors que la plupart des gens se reposent d'une semaine déjà bien assez stressante et fatiguante. Nous ne pouvons même plus nous promener dans la nature les weekend par beau temps. Oui par beau temps car dès qu'il pleut... les chasseurs restent chez eux. Ils ne chassent pas pour se nourrir mais bel et bien pour s'amuser.
Ne devraient-ils pas s'acheter une console de jeu pour satisfaire leurs besoins d'amusement ?
Ils possèdent tous plusieurs congélateurs déjà bien plein de viande qu'ils peinent a consommer, raison pour laquelle ils vous proposent volontiers de vous en donner afin de pouvoir encore et sans cesse les remplir de nouveaux cadavres. Un véritable chasseur ne tue pas par plaisir mais par nécessité. Mais celui pour qui c'est nécessaire, n'a pas les moyens de se payer une carte de chasse et s'expose donc à des poursuite judiciaires.
Où se trouve la justice dans tout cela ?
Ils prétendent réguler les espèces alors qu'ils ont eux même croisé les sangliers avec des cochons pour que les portées soient plus importantes. Pour vous parler encore de leur grandeur d’âme et de l’amour qu’ils portent à la nature et aux animaux, il me faut vous parler de leurs chiens qui pour la plupart passent leur journée en cage sans jamais sortir si ce n’est les jours de chasse, et encore, transportés dans d’autres cages. Vous ne les verrez jamais les promener ni même les caresser. Ces chiens enfermés à vie deviennent bien sur irascibles et peuvent se mettre a aboyer sans raison à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, ce qui pour leurs voisins direct et un véritable calvaire !
Sans parler de nos animaux de compagnie, souvent criblés de balles par ces barbares. A qui justice ne sera jamais rendue, de notre tristesse immense, et de cette colère qui monte. Et cette nouvelle loi qui vient d’être pondue, (et je dis bien pondu, en espérant que vous avez bien l’image de la poule qui se retournant s’étonne de ce qui vient de sortir d’elle) est un pousse au crime !
Si je comprends bien, il ne faut pas entraver la chasse car cela coûterait cher aux contrevenants, par contre on peut leur tomber dessus sans raison dans la rue, cela coûterait moins cher. Pourquoi dans ce cas, ne pas inscrire les chasseurs au patrimoine de l’humanité !!! Alors oui, je prétends qu'ils sont des nuisibles et même des inutiles. Ils anéantissent les espoirs d'un environnement plus sain pour nos enfants et cela n'est plus acceptable
." Je lis, écoute, rencontre de plus en plus de gens qui souhaitent que la chasse soit interdite. Que les chasseurs n'existent plus. Tout simplement ! Cette colère contre les chasseurs monte et grandit chaque jours d'avantage. Il va falloir bannir très vite cette pratique. Vous avez lu, plus haut, de nombreux exemples de leur actes inhumains et sans pitié. J'espère que vous aurez conscience, en nous lisant, que vous n'êtes pas seul dans ce combat contre la chasse ! Je vous demande de partager cette pétition en masse, de manifester, de dialoguer, de faire avancer ce combat en vue d'interdire la chasse une bonne fois pour toute ! Cette pétition sera quand même envoyée au Gouvernement (sait-on jamais...).
Ps : la photo est une laie déguisée en chasseur, qui a ensuite été jetée aux ordures par ces monstres. (oui, j'ai envie de vomir).
24 choses très flippantes
Les enfants sont souvent tout mignons même si ils font beaucoup de bêtises. Mais parfois, pour des raisons qu'on ne s'explique pas, ils basculent et disent des choses tout à fait inattendues et extrêmement flippantes. Pire même, on dirait que ce ne sont plus eux qui parlent mais quelqu'un d'autre. Découvrez dans cet article
24 témoignages haletants sur des phrases étranges et très troublantes dites par des enfants ...
Quelque chose s'est passé avec mon fils. Le nom de son ami imaginaire était Jon. Mon frère Jon est mort deux ans avant la naissance de mon fils. J'avais des photos de Jon et j'ai une fois dit à mon fils "Il t'aurait aimé" et mon fils a dit "oh il m'aime, et tu lui manques". J'ai pleuré dans les toilettes.
Quand ma fille avait deux ans, je lui donnais un bain et je soupirais profondément, frustrée par ma fille de 2 ans qui ne voulait pas que l'eau touche son visage. Elle m'a regardée et a dit :
" J'ai juste peur maman, je me suis noyée la dernière fois que j'étais en vie" puis s'est remise à jouer avec les jouets du bain.
Quand mon neveu avait trois ans, il nous a parlé d'un chien au pied de son lit, qui je suppose, le protégeait. Il a décrit exactement le chien de ma famille dont il n'avait jamais vu de photos que nous avons du euthanasier le printemps avant sa naissance.
Quand ma nièce avait 4 ans, en regardant une photo de la tour Eiffel, elle a dit "je déteste cet endroit, c'est là qu'on m'a coupé la tête ".
Quand j'étais petite, j'ai vu une vieille dame me regarder dormir et ma maman pensait que j'étais folle. Je suis maintenant adulte et j'ai trouvé un album photo avec une vieille photo jaunie, c'était mon arrière arrière grand mère et je l'ai reconnue instantanément.
Quand j'étais petite je disais que mon nom était Elizabeth Ann Sullivan et j'aimais avoir de longue robes avec un serre tête. J'ai utilisé ce nom pour jouer à un jeu appelé "Famille démodée". J'expliquais alors à mes frères et sœurs comment être démodé et j'ai découvert des années plus tard quand j'avais la vingtaine que mon arrière grand mère que je n'ai pas vraiment connue (elle est morte quand j'étais jeune) avait une petite sœur née à la fin des années 1800 qui s'appelait Elizabeth Ann Sullivan et qui portait toujours des serre-tête et qu'elle est morte à 3 ans de la grippe.
Depuis que mon frère savait parler, il avait de longues conversations quand il était seul dans sa chambre. Un jour mon papa était dans le hall en train d'écouter (hors de la vue de mon frère) et alors que mon père allait entrer dans sa chambre, mon frère a dit "non, attends, tu vas où ?".
Quand j'avais 10 ans j'ai vu mon grand père (qui vivait à 2000 kilomètres) dans l'embrasure de ma porte le temps d'une seconde. Le jour suivant, en montant dans la voiture avant que ma mère ne puisse dire un mot, j'ai lâché "quelqu'un est mort". Mon grand père était mort pendant la nuit.
Quand j'étais petit je regardais Mary Poppins avec ma nounou et apparemment je me suis tournée vers elle et je lui ai dit "J'ai regardé ça avec toi quand tu était petite fille aussi". Elle m'a demandé quel était mon nom et j'ai répondu Maud, le nom de sa grand mère. Tout le monde était effrayé.
Mon fils est allé dans la maison de mon ex-belle mère pour Noël quand il avait trois ans. Il est revenu et a dit "J'ai vu grand père ! Personne ne pouvait le voir à part moi mais il était heureux . Son grand père est mort quelques mois avant que je tombe enceinte de lui.
Ma fille de trois ans parle souvent de son ami George et du fait qu'il porte des chapeaux amusants et aime faire des bulles. C'est son arrière grand père. Il est mort dix ans avant sa naissance et elle partage sa date d'anniversaire.
Quand j'étais plus jeune j'avais un pic de panique dès que je voyais un volcan à la télé. Je racontais alors à ma mère comment j'étais morte avec mon frère quand et ma famille quand j'étais une petite fille et que de la poussière était sortie d'un volcan et avait brûlé nos torses. Du coup nous sommes convaincus que je suis morte à Pompeii.
Quand mon oncle était jeune il a été "possédé" pendant une heure par sa défunte grand mère. Il parlait italien (il ne connaissait au départ qu'un ou deux mots) dans son dialecte et s'est adressé à des gens morts. Il a juré ne rien se rappeler de cette journée
Quand mon fils avait quasiment deux ans et ne pouvait toujours pas faire de phrases il disait des mots comme "bombes, explosions, oreilles qui sifflent" que nous ne lui avions pas appris et qu'il n'avait vu nulle part. Il aime aussi la musique de la période de la seconde guerre mondiale... étrange...
Quand j'étais petite et que je vivais à St Pete, mon père me voyait beaucoup jouer et parler toute seule et une fois je lui ai dit que Lynn (sa mère que je n'avais jamais rencontrée ou connue avant) m'avait dit de lui dire qu'elle ne souffrait plus (elle est morte d'un cancer).
Quand j'étais jeune je rêvais souvent que des êtres chers meurent. La partie folle... tous les membres de ma famille dont j'avais rêvé sont morts de la façon que j'avais décrite 6 mois/1 an plus tard... Mes parents m'ont emmené voir un thérapeute après le troisième membre de ma famille.
Quand mon fils avait trois ans il m'a dit qu'il était David Ruffin un des membres du groupe Temptaions qui est mort d'une overdose de drogue en 1991. J'ai du faire une recherche sur le nom car je n'avais aucune idée de qui était David Ruffin et mon fils n'aurait pas du savoir non plus. Je garde mes yeux sur ce petit !
J'ai passé beaucoup de temps avec mon grand père (mort avant ma naissance et ayant le même anniversaire que moi) quand j'étais enfant et il a cessé de venir quand j'avais 10-11 ans. Je ne me souviens plus de l'avoir vu, juste d'avoir été capable de lui parler et mon papa est convaincu que c'était vraiment son père.
Dans ma vieille maison quand j'étais petite j'ai montré une photo à ma maman et j'ai dit "c'est mon amie imaginaire Sarah et elle est morte quand elle avait 6 ans" et trois ans plus tard ma petite soeur a montré à ma mère la même photo et a dit la même chose.
Ma cousine qui travaille dans une banque a un jour emmené un de ses fils au travail. Alors qu'ils attendaient un a dit à la dame assise à côté de lui qu'elle était en état d'arrestation et qu'elle avait le droit de rester silencieuse. Dans le même mois, cette femme était arrêtée pour avoir volé des millions à cette banque.
Je me souviens que quand j'avais quatre ans je chantais cette chanson qui m'aidait à m'endormir. Plus tard j'ai entendu ce son en arrière plan dans une cassette et j'ai demandé à ma mère ce que c'était et apparemment c'est une chanson écrite par ma grand mère 20 ans avant ma naissance. Elle est morte 6 ans avant ma naissance.