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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
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Les pesticides, principale cause de la disparition des oiseaux en France
|En trente ans, l’Europe a perdu plus de 421 millions d’oiseaux. Une situation alarmante due en grande partie au dérèglement climatique mais surtout aux pesticides.
Comment expliquer l'alarmante disparition de millions d'oiseaux ces dernières années ?
Le dérèglement climatique désoriente les oiseaux migrateurs, mais le premier coupable est une molécule chimique : l'imidaclopride, qui agit sur eux comme un poison à mort lente lorsqu'ils picorent par exemple des graines enrobées de pesticides semées dans les champs.
Quels oiseaux sont en déclin ?
Le chardonneret élégant, le coucou, le milan royal, le pigeon ramier, la perdrix grise, l’alouette : la situation est alarmante. Non seulement ces oiseaux disparaissent, mais cette disparition s’est accélérée ces dernières années : "Depuis 1989, on a perdu en France à peu près un tiers des oiseaux des milieux agricoles, constate Frédéric Jiguet, ornithologue et professeur au Centre d'écologie et des sciences de la conservation du Muséum d’histoire naturelle. Les alouettes, les tourterelles des bois, les perdrix, sont des espèces en déclin et dont on perd chaque année 1 % à 2 % des effectifs. On a perdu à peu près un quart des coucous en France, l’une des espèces en déclin marqué."
En tout, près de 275 espèces sont touchées, dont 32 % d’oiseaux nicheurs. Certaines, comme le moineau friquet, ont presque disparu dans toute l’Europe de l’Ouest. D’autres plus gros, comme les merles, les pies ou les corneilles, qui mangent tout y compris des oisillons, survivent mais se réfugient en ville. Le phénomène n’est pas qu’européen. En cinquante ans, près de trois milliards d’oiseaux ont aussi disparu en Amérique du Nord.
Comment sait-on qu’ils disparaissent ?
Des comptages sont effectués chaque printemps par des centaines d’ornithologues et d’amateurs. Ils écoutent et enregistrent les bruits des oiseaux à des points précis et identiques d’une année sur l’autre, et notent toutes leurs observations. En les compilant, ils arrivent au constat que partout en France, ces espèces déclinent. Quand une espèce perd 25 % de ses effectifs en dix ans, comme c’est le cas pour le chardonneret élégant par exemple, il est ajouté à la liste rouge des espèces menacées en France. Cette liste, éditée par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), ne cesse de s’étoffer.
Qui est responsable de la disparition de ces oiseaux ?
Les conséquences des activités humaines sur l'environnement sont, on le sait, une des principales raisons du déclin des espèces animales.
Mais comment cela se traduit-il pour les oiseaux ?
Les effets du changement climatique De nombreux oiseaux qui migrent au printemps et en automne sont perturbés par les effets du dérèglement climatique. Le coucou en fait partie : La femelle a la particularité de ne pas élever son propre poussin et de pondre un œuf dans le nid d'une autre espèce, comme le rouge-gorge, explique Frédéric Jiguet. Avec le changement climatique, les printemps sont de plus en plus précoces en Europe. Quand les coucous arrivent de migration, les rouges-gorges ont déjà pondu leurs œufs, il est donc trop tard pour que les femelles coucous puissent pondre dans un nid de rouges-gorges. Les effets indirects des pesticides Pour protéger les récoltes des insectes et animaux dits nuisibles, les agriculteurs utilisent depuis longtemps toutes sortes de pesticides, insecticides qui sont autant de poisons.
En France, l’agriculture répand chaque année plus de 65 000 tonnes de pesticides pour traiter les céréales, la betterave ou encore les vignes. La plupart de ces produits ont des effets directs sur le déclin des oiseaux, qui se nourrissent de graines, d’insectes ou de petits rongeurs. Parmi eux : La bromadiolone, pesticide répandu depuis les années 70 pour lutter contre les campagnols, tue aussi par ricochet les rapaces, notamment les milans, victimes collatérales de ce raticide. Cet anticoagulant est indirectement ingéré par ces oiseaux, qui s’empoisonnent en se nourrissant de rongeurs. Les vermifuges sont utilisés sur les animaux (chevaux, vaches, moutons) pour éliminer les insectes parasites.
Certaines espèces d’oiseaux comme la bergeronnette, le tarier, ou l’étourneau, se délectent de ces insectes, et sont à leur tour empoisonnés par ces produits vétérinaires. Les néonicotinoïdes, insecticides les plus virulents, sont responsables du déclin des abeilles et de trois quarts des insectes. Commercialisés depuis les années 80, ils sont interdits en France depuis septembre 2018.
En Allemagne, on estime qu’à cause d’eux, la biomasse des insectes a diminué de 80 %. Faute d’insectes, les oiseaux ne peuvent plus nourrir correctement leurs oisillons. Ce constat explique que les oiseaux des champs, directement en contact avec les pesticides, soient plus affectés que ceux des forêts.
Comment les pesticides agissent-ils sur les oiseaux ?
Qu’ils soient insecticides, désherbants, ou fongicides, les pesticides ont tous des effets sur la santé des oiseaux. "Ils vont agir sur plusieurs organes, notamment le foie et l’encéphale, détaille Norin Chaï, vétérinaire à la ménagerie du Jardin des plantes à Paris. Ils vont entraîner des lésions au niveau reproducteur, affiner et fragiliser la coquille des œufs. Les pesticides peuvent aussi entraîner des lésions nerveuses, causer des retards de croissance, une baisse de la fertilité, des pertes de repère dans l'espace, etc."
Les pesticides dérèglent également les hormones thyroïdiennes, indispensables au vol et à la migration des oiseaux, comme le coucou et l’hirondelle.
"Les hormones thyroïdiennes sont essentielles pour la prise de poids et les changements des muscles, précise Barbara Demeinex, biologiste et endocrinologue, et autrice du livre Cocktail toxique : comment les perturbateurs endocriniens empoisonnent notre cerveau (Odile Jacob, 2017). Elles sont indispensables pour la navigation. À cause de l’interférence des pesticides, les oiseaux vont littéralement perdre le Nord."
Plus de 287 produits suspects ont été recensés. Des produits qui ne sont pas seulement cancérogènes mais aussi mutagènes et reprotoxiques, c’est-à-dire qu’ils affectent aussi les mécanismes de la reproduction. Pourquoi on parle d’effets sublétaux Les pesticides causent une mort lente chez les oiseaux. Chez la perdrix grise, le pigeon biset ou chez le ramier, les effets, dans un premier temps, ne sont pas visibles.
"La majorité des pesticides ont des effets sublétaux, c'est-à-dire des effets insidieux, liés à des expositions plus longues où répétées à ces produits", analyse Olivier Cardoso, écotoxicologue à l’ONCFS, l'Office national de la chasse et de la faune sauvage. Avec pour conséquence "des troubles neurologiques, des troubles de l'immunité, des perturbations endocriniennes, qui vont mettre en jeu la santé de l'animal, mais pas forcément de manière foudroyante, violente, et qui vont même avoir parfois des effets transgénérationnels et des effets sur la population globale de ces animaux, avec un affaiblissement général de ces populations."
Pesticides et mortalité des oiseaux : causalité démontrée
En février 2018, l’ONCFS a publié un rapport qui prouve pour la première fois que les oiseaux sont bien exposés aux pesticides, et en particulier l’imidaclopride. Cette molécule appartient à la famille des néonicotinoïdes utilisés dans les champs pendant plus de vingt ans. Ce rapport précise que "sur 3 000 cas suspects d'oiseaux empoisonnés sur 20 ans, 239 carcasses ont été récupérées près de champs fraîchement semés dans les zones de culture céréalière intensive du Nord et du Centre de la France. Plus de cent cas ont été associés à une réelle exposition à l'usage agricole de la molécule insecticide imidaclopride.
Dans les deux tiers des cas, les oiseaux avaient mangé des semences traitées. La mortalité par empoisonnement a donc été déclarée probable dans 70 % des cas." Cas suspects d'oiseaux empoisonnés entre 1995 et 2014, principalement localisés dans le centre-nord de la France, zones de culture intensive de céréales. Cas suspects d'oiseaux empoisonnés entre 1995 et 2014, principalement localisés dans le centre-nord de la France, zones de culture intensive de céréales.
Dans le sillage de ces conclusions, le Museum d’histoire naturelle compte saisir l’Office français de la biodiversité, afin de comparer la carte des achats de pesticides en France avec celle des observations d’oiseaux dans les départements, afin de voir quels produits chimiques peuvent être précisément incriminés dans la diminution des oiseaux.
Comment font les oiseaux pour s’empoisonner avec l’imidaclopride ?
L’imidaclopride est particulièrement facile à repérer et picorer car elle enrobe la semence d’une couleur rose. Les graines ainsi traitées ne sont pas toutes enfouies lors du processus d’ensemencement. Entre 10 et 70 graines par mètre carré restent en surface, ce qui en fait nourriture abondante pour les oiseaux. Or quelques dizaines de ces graines suffisent à déclencher chez eux des effets neurologiques ayant des conséquences sur leur vigilance et leur motricité. Semences certifiées de maïs semblables aux semences enrobées d'imidaclopride. Semences certifiées de maïs semblables aux semences enrobées d'imidaclopride
Pourquoi interdire ne signifie pas la fin des problèmes Malgré sa récente interdiction, les effets de cet insecticide perdurent.
"L’imidaclopride et les molécules de cette famille peuvent rester plusieurs années dans les sols où elles peuvent s'accumuler, affirme Stéphane Foucart, auteur de Et le monde devint silencieux - Comment l'agrochimie a détruit les insectes (Seuil, 2019). On trouve dans le pollen et le nectar des fleurs sauvages, butinées par les papillons et les abeilles en marge des champs, des traces non négligeables et parfois même létales de produits."
Par ailleurs, on détecte encore, cinquante ans après, du DDT, insecticide interdit en France depuis le début des années 70, dans le liquide amniotique des femmes enceintes.
Après les oiseaux, les hommes ?
"Quand des scientifiques vous alertent sur la dangerosité d'un produit, la moindre des choses, c'est de prendre son temps, de réfléchir et d'adapter la production en fonction de ce que l'on vient d'apprendre, estime l’écologiste Fabrice Nicolino, journaliste et auteur du livre Le crime est presque parfait (Les Liens qui libèrent, 2019). Or là, on fait exactement le contraire. Autrefois, les canaris permettaient d’alerter sur l’imminence d’un coup de grisou dans les mines. Eh bien c'est le même message que nous adressent les oiseaux quand ils disparaissent par centaines de milliers. Il faut il faut sonner le tocsin, c'est évident." Le risque à terme, selon les ornithologues : c’est de se retrouver avec un petit nombre d’espèces qui prendraient la place de toutes les autres, avec d’un côté certaines adaptées à la pollution et au changement climatique, et de l'autre des oiseaux d'élevages – poules et autres canards – qui seraient, elles destinés à la consommation.
Ce serait donc la fin de la biodiversité telle qu’on l’a connue jusqu’à présent.
Gel hydroalcoolique ou savon : lequel est le plus efficace ?
Environ 80 % des maladies infectieuses se transmettent par les mains, par contact avec des objets contaminés. C'est pourquoi se laver les mains régulièrement, notamment après avoir voyagé dans les transports en commun ou avant les repas, est indispensable.
Le gel hydroalcoolique présente l'avantage d'être facilement transportable sous forme de petit flacon. Mais selon l'Organisation mondiale de la Santé et l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), l'utilisation de solutions et gels hydroalcooliques est préconisée uniquement en l'absence de point d'eau disponible. Car si l'alcool élimine la plupart des bactéries et virus présents sur la peau, il ne « lave » pas à proprement parler, et ne doit pas être utilisé sur des mains souillées ou des plaies.
Une étude de 2019 a d'ailleurs montré que le gel hydroalcoolique est moins efficace que le lavage des mains. Le meilleur réflexe contre les contaminations reste donc de se laver les mains avec du savon et de l'eau au minimum 20 à 30 secondes, avant rinçage.
Pensez aux zones entre les doigts et aux ongles. Privilégiez un savon liquide, les savons solides ayant tendance à se transformer en nids à microbes.
En revanche, les savons étiquetés antibactériens ne sont pas plus efficaces qu'un savon lambda. Et surtout, séchez vos mains avec un essuie-mains à usage unique !
Encore une histoire de gros sous....dirigée par certains gouvernements !...
TRAITEMENT MÉDICAMENTEUX ET CONDUITE
Les médicaments qui vous sont prescrits à long terme ou pour une affection passagère sont des produits actifs pouvant avoir des effets sur votre attention. Avant de prendre la route, pensez à regarder les différents pictogrammes qui ornent les boîtes de vos remèdes et n'hésitez pas à poser des questions à votre praticien ou à votre pharmacien en cas de doute.
Bonne route et soyez prudents !
Il faut arrêter de tout désinfecter et réintroduire les bactéries dans nos vies
Il est impossible de le nier, le développement de la médecine moderne a sauvé des millions de personnes. Nous vivons aujourd’hui dans une ère de développement et de prospérité jamais vus précédemment. Pendant deux siècles l’Homme a voué une guerre sans pitié aux bactéries. De la découverte des antibiotiques à aujourd’hui, la médecine était loin de se rendre compte des conséquences de la désinfection excessive. Car il ne faut pas l’oublier, on estime que chaque individu possède environ 100 000 milliard de bactéries, une découverte que la médecine commence à peine à réellement comprendre.
Dans ce sens, le New York Post a mis en exergue l’importance de la diversité des bactéries présentes chez un individu. L’histoire européenne a été grandement influencée par une bactérie en particulier : Yersinia pestis, responsable que ce que l’on connaît aujourd’hui comme la peste noire. Cette petite bactérie aurait donc détruit jusqu’à 50 % des populations européennes en seulement 5 ans de 1347 à 1352. C’est donc tout naturel que dans l’inconscient général, les bactéries restent une espèce à détruire. Les bactéries, un partenaire silencieux Les bactéries sont des organismes invisibles à l’œil nu. Il a donc fallu longtemps à l’homme avant de découvrir leur existence.
Pourtant, les microbes existaient bien avant l’Homme tel qu’on le connaît aujourd’hui. Plus encore, sans eux la vie sur Terre aurait été bien plus compliquée voire impossible, en effet l’atmosphère terrestre était totalement dénué d’oxygène. C’est les microbes qui, en absorbant le soleil et en utilisant le dioxyde de carbone, rejettent de l’oxygène. C’est la photosynthèse. Les microbes ont donc mené un rôle absolument clé et ont permis la vie sur Terre. Un rôle qu’on peut donc qualifier d’externe, mais qui ne s’arrête pas là. L’être humain est l’hôte d’un nombre inimaginable de bactéries, soit 1014 micro-organismes présents dans chaque individu, et essentiels à la santé de notre corps. Un équilibre mis en danger Les bactéries présentes dans notre corps sont généralement inoffensives, si tant est que l’équilibre très complexe de ces bactéries ne soit pas perturbé.
En 2008, un village amazonien jusqu’ici complètement isolé a été découvert. Lorsque les scientifiques ont alors comparé leur microbiome au nôtre, le jugement a été sans appel : La diversité et la santé de leur microbiome est bien meilleure que celle de l’Homme civilisé. Malheureusement après des siècles d’utilisation d’antibiotiques, le microbiome de l’Homme occidental est dans un bien piteux état. Réintroduire les bactéries dans nos vies Sans contexte, l’idée n’est pas très intuitive.
Il faudrait donc s’exposer aux bactéries pour être en bonne santé ?
Le Dr Jack Gilbert directeur associé de l’institut Genomic and Systems Biology explique avoir eu un déclic en étudiant les dauphins en captivité. Le docteur remarque que plus l’eau de leur aquarium était sale plus les dauphins étaient en bonne santé. L’idée donc est de reproduire le même concept chez l’être humain, et surtout chez les plus petits. L’ère industrialisée dans laquelle nous vivons n’est pas une fatalité. Il faut réintroduire nos enfants vers un monde plus naturel qui ne l’oublions pas a été notre compagnon pendant des milliers d’années. Que ce soit en faisant des randonnées ou en visitant un parc naturel, il faut nous reconnecter avec nos origines et laisser nos enfants s’amuser, découvrir le monde qui les entoure, et les bactéries qui vont avec. La présence d’animaux de compagnie peut aussi aider à combler ce manque, il ne faut pas oublier que durant des siècles, avant l’industrialisation, les animaux faisaient partie intégrante de la vie des hommes. Enfin et comme toujours, il s’agit de mesure et d’équilibre.
Le monde industrialisé et la nature sont deux mondes qui s’opposent, chacun d’eux apporte ses solutions et ses problèmes. Nous avons la chance de pouvoir profiter des deux mondes, et d’utiliser donc les solutions de l’un pour résoudre les problèmes de l’autre.
À nous donc d’agir.
Le Dr. Ovide, neurologue pédiatre, alerte sur une tragédie silencieuse qui se développe aujourd'hui dans nos maisons. Il y a une tragédie silencieuse qui se développe aujourd'hui dans nos maisons, et concerne nos plus beaux bijoux : nos enfants.
Nos enfants sont dans un état émotionnel dévastateur ! Au cours des 15 dernières années, les chercheurs nous ont donné des statistiques de plus en plus alarmantes sur une augmentation aiguë et constante de la maladie mentale infantile qui atteint maintenant des proportions épidémiques : Les statistiques ne mentent pas :
• 1 enfants sur 5 ont des problèmes de santé mentale
• Une augmentation de 43 % a été observée dans le TDAH
• Une augmentation de 37 % de la dépression adolescente a été observée
• Une augmentation de 200 % du taux de suicide chez les enfants de 10 à 14 ans a été observé.
Qu'est-ce qui se passe et qu'est-ce qu'on fait de mal ? Les enfants d'aujourd'hui sont sur-Stimulés et sur-donnés d'objets matériels, mais ils sont privés des fondements d'une enfance saine, tels que :
• Parents émotionnellement disponibles
• limites clairement définies
• responsabilités
• Nutrition équilibrée et un sommeil adéquat
• Mouvement en général mais surtout en plein air
• Jeu créatif, interaction sociale, opportunités de jeu informel et espaces pour l'ennui Au lieu de cela, ces dernières années ont été remplis aux enfants de :
• Parents distraits numérique men
t • Des parents indulgents et permissifs qui laissent les enfants "gouverner le monde" et soient ceux qui mettent les règles
• Un sens de droit, de tout mériter sans le gagner ou être responsable de l'obtenir
• Sommeil inapproprié et nutrition déséquilibrée
• Un mode de vie sédentaire
• Stimulation sans fin, nounous technologiques, gratification instantanée et absence de moments ennuyeux
Que faire ? Si nous voulons que nos enfants soient des individus heureux et sains, nous devons nous réveiller et revenir aux bases. C'est encore possible ! De nombreuses familles voient des améliorations immédiates après des semaines de mettre en œuvre les recommandations suivantes :
• Fixez des limites et rappelez-vous que vous êtes le capitaine du bateau. Vos enfants se sentiront plus en sécurité en sachant que vous avez le contrôle du gouvernail.
• Offrez aux enfants un style de vie équilibré rempli de ce dont les enfants ont besoin, pas seulement de ce qu'ils veulent. N'ayez pas peur de dire "non" à vos enfants si ce qu'ils veulent n'est pas ce qu'ils ont besoin.
• Fournir des aliments nutritifs et limite la malbouffe.
• Passez au moins une heure par jour en plein air à faire des activités telles que : Cyclisme, randonnée, pêche, observation des oiseaux / insectes
• Profitez d'un dîner familial quotidien sans smartphones ou technologie qui les distrait.
• Jouez à des jeux de table en famille ou si les enfants sont trop petits pour les jeux de table, laissez-vous emporter par vos intérêts et laissez-les laisser être eux qui envoient dans le jeu
• Impliquez vos enfants dans une tâche ou une tâche de la maison selon leur âge (plier les vêtements, commander les jouets, accrocher les vêtements, déballer les vivres, mettre la table, donner à manger au chien etc. Le monde entier
• Mettez en œuvre une routine de sommeil cohérente pour s'assurer que votre enfant dorme assez longtemps. Les horaires seront encore plus importants pour les enfants d'âge scolaire.
• Enseigner la responsabilité et l'indépendance. Ne les protégez pas trop contre toute frustration ou toute erreur. Se tromper les aidera à développer la résilience et apprendront à surmonter les défis de la vie,
• Ne chargez pas le sac à dos de vos enfants, ne portez pas vos sacs à dos, ne leur prenez pas la tâche qu'ils ont oublié, ne leur pelé pas les bananes ni leur pelé les oranges s'ils peuvent le faire d'eux-mêmes (4-5 ans). Au lieu de leur donner le poisson, montrez-leur à pêcher.
• Apprenez-leur à attendre et à retarder la gratification.
• Offrez des opportunités pour l'"ennui", car l'ennui est le moment où la créativité se réveille. Ne vous sentez pas responsable de garder toujours les enfants divertissants.
• N'utilisez pas la technologie comme un remède pour l'ennui, ni l'offrir à la première seconde d'inactivité.
• Évitez l'utilisation de la technologie pendant les repas, dans les voitures, les restaurants, les centres commerciaux. Utilisez ces moments comme des opportunités pour socialiser en formant ainsi les cerveaux à savoir fonctionner quand ils sont en mode : "ennui"
• Aidez-les à créer un "Flacon de l' ennui" avec des idées d'activités pour quand ils s'ennuient. • Soyez émotionnellement disponible pour vous connecter avec les enfants et leur enseigner l'auto-régulation et les compétences sociales :
• Éteignez les téléphones le soir quand les enfants doivent aller au lit pour éviter la distraction numérique.
• Devenez un régulateur ou entraîneur émotionnel de vos enfants. Apprenez-leur à reconnaître et à gérer leurs propres frustrations et colère
. • Montrez-leur à saluer, à prendre des tours, à partager sans rester sans rien, à dire merci et s'il vous plaît, à reconnaître l'erreur et s'excuser (ne les oblige pas), soyez modèle de toutes ces valeurs qu'il inculque.
• Connectez-vous émotionnellement - sourie, embrassez, embrasser, chatouillée, lisez, danse, sautez, jouez ou gate avec eux.
Article écrit par Dr. Luis Rojas Marcos, psychiatre. http://palermonline.com.ar/wordpress/?p=65783
De quoi n'a pas besoin UN BÉBÉ EN BONNE SANTÉ à la naissance ?
Un bébé n'a pas besoin de pleurer à la naissance. Parfois ils pleurent, parfois non. Ils peuvent aussi naître en faisant des bruits ou un bref cri pour le premier souffle d'air.
Un bébé n'a pas besoin qu'on coupe immédiatement son cordon ombilical, car cela le priverait d'un tiers de son sang et de millions de cellules souches dont il a besoin pour le reste de sa vie.
Il n'a pas besoin qu'on lui mettre un tube dans le nez pour enlever le mucus, il le fera de lui-même dans les jours à venir.
Il n'a pas besoin d'être séparé de sa mère pour être mesuré et peser. Ça peut attendre le lendemain.
Il n'a pas besoin d'être lavé, car cela retire le vernix, sa graisse naturelle qui le protège et qui a de nombreuses vertus.
Il n'a pas besoin d'un biberon, car c'est la principale cause de confusion avec les mamelons et la production de lait faible et tardive.
Et il n'a pas besoin non plus d'un berceau, car cela entrave le lien hormonal et l'allaitement maternel.
Ce texte n'a pas pour but de faire culpabiliser mais bien d'informer sur des protocoles à remettre en question. Soyons douce envers nous-mêmes.
Bravo à cette personne qui a écrit cette lettre, il faut la faire tourner, ça vaut le coup d'être lu.
Lettre pour un PV...
C'est ce qu'on appelle avoir une belle paire de c......s ... Même si pour avoir été pris à 51 km/h, il roulait probablement à 56 km/h.. Sa lettre n'en reste pas moins excellente... Lisez là elle est trop bonne ... Celui qui l'a pondue a du culot ... du cran.. le sens de la dérision....
Bonjour,
J'ai reçu ce jour votre contravention au code de la route..51 km/h au lieu de 50 km/h .. donc dangereux chauffard !! je me suis aussitôt empressé de la payer par internet . Je souhaitais par ce geste vous montrer mon attachement et répondre ainsi à votre besoin urgent de finances publiques.. Je ne discute pas l'intervention des forces de police, qui ont , j'en conviens tout à fait raison de se "prostituer " ainsi au bord des routes , plutôt que de veiller au maintien de la sécurité dans les banlieues, ou chacun sait par ailleurs qu'il ne se passe jamais rien.... L'immigration massive à laquelle vous soumettez notre pauvre pays a, je sais aussi un coût exorbitant . Je suis donc convaincu que ma modeste contribution de 90€ permettra aux petits protégés de l'Etat profiter un peu plus de la CMU et de toutes les autres aides sociales,que vous dépensez fort généreusement à profusion...
Le retraité que je suis comprend que cette modique contribution de 90 € effort " indispensable" pour permettre à tous ces malheureux qui n'ont pas eu, comme moi la chance de travailler toute leur vie " d'artisan "pour toucher une retraite modeste .. et de recevoir une Allocation Temporaire d'Attente ( ATA ).. bien meilleure que ma maigre retraite ... Ces malheureux ont eu, il est vrai " d'énormes frais " pour payer les passeurs qui les ont illégalement fait entrer dans notre pays ...
Ce n'est donc que justice que nous participons à leur intégration et que nous payons les derniers " petits dégâts " que ces " pauvres gens sans occupation " ont commis dans la ville d'Amiens ... et dans bon nombre de villes de France ( je dis "bon nombre" mais je pense " toutes " ).. Pour ce cas où vous n'utiliseriez pas ma contribution à cet effet, je vous autorise à l’effectuer au paiement de C5 hybride d' " Emmanuel " oui à celle de 780 000 € à cause du blindage ...
Il est vrai que la C6 dans le garage est trop veille avec ses 18 300 km ( au fait ma caisse à moi ( DANGEREUX contrevenant de la route ) affiche 118 000km au bas mot ) ... Ou alors payer le Ministre qui accepte que des étrangers se torchent avec le drapeau Français devant les objectifs des journalistes hilares ... Heureusement que nous sommes là pour payer un ministre aussi compréhensif ... PS : Me prévenir s'il vous plait lorsque vous lancerez la souscription pour le renouvellement de la garde robe de la femme d'Emmanuel...
Signé : un CON-tribuable ...( excédé ...comme beaucoup !)
Lettre ouverte à Brigitte MACRON
Madame l’épouse du président de la république, J’ai le regret de vous annoncer que je ne pourrai pas mettre de pièces jaunes dans la boite jaune que vous avez fait déposer dans le bureau de poste de mon village. En effet je suis retraitée. Je perçois une petite retraite car j’ai travaillé en partie à mon compte, aussi je trouve indécent que vous..., Brigitte Macron..., vous qui vous êtes octroyé un budget faramineux de coiffure et esthétique, vous…, vous osiez demander l’aumône au peuple qui, grâce aux «MODERNISATIONS» que votre époux a entrepris pour le bien de ces «gaulois réfractaires, illettrés, fainéants… etc. etc...», qui, grâce à cet homme si généreux va se retrouver sans le sous…!!! Je garderai donc mes petites pièces jaunes pour pouvoir encore m’acheter de quoi faire ma soupe dans les années à venir. Mais j’y pense…, il y a bien une solution !!!… Vous pourriez réduire vos dépenses en frais de représentations…, ainsi l’argent économisé reviendrai à ceux qui en ont besoin et remplirait les petites boites jaunes de tout l’hexagone !!! Qu’en pensez-vous ??? Cela vous rendrait encore plus belle…, certes avec quelques rides et cheveux blancs en plus…, mais la beauté ne vient elle pas toujours de l’intérieur ???
Une citoyenne indignée