On lui dit que sa femme au foyer ne fait rien de ses journées, sa réponse est parfaite!!!

Ah bon, s'occuper de ses enfants, ce n'est pas un VRAI travail ? On m’a fait la remarque deux fois en une semaine, et à chaque fois, c’était une femme.

Les gens – et les femmes en particulier – devraient pourtant avoir plus de respect que cela.

La semaine dernière, j’étais à la pharmacie lorsqu’une dame sympathique s’est approchée :

“Matt ! Comment vont les enfants ?”

“Très bien ! Ils vont très bien, merci d’avoir demandé.”

“Ça fait plaisir à entendre. Et votre épouse ? Elle a enfin repris le travail ?”

“Et bien elle travaille déjà beaucoup à la maison, à s’occuper des enfants. Mais elle n’a pas prévu de reprendre le travail, si c’est ce que vous voulez savoir.”

“Oh, formidable ! Ça doit être amusant !”

“Amusant ? C’est beaucoup de travail. Un travail gratifiant, certes. Mais amusant ? Pas toujours.”

Cette remarque-là n’était pas trop agressive. Elle était simplement présomptueuse et condescendante. Un autre incident s’est produit aujourd’hui, au café. Tout a commencé de manière identique : un échange amical au sujet de nos bébés. Mais la discussion a rapidement dégénéré lorsque mon interlocutrice m’a lancé ça :

“Alors votre femme va rester à la maison de manière permanente ?”

“Permanente ? Et bien, pour l’instant, oui, elle va élever les enfants.”

“Oui, le mien a 14 ans, maintenant. Mais en parallèle, j’ai eu une carrière florissante. Je ne pourrais pas être mère au foyer. Je m’ennuierais rapidement. [gloussement] Qu’est-ce qu’elle peut bien FAIRE de ses journées ?”

“Oh, elle fait tout, justement. Et vous, qu’est-ce que vous faites de vos journées ?”

“…Moi ? Ha ! JE TRAVAILLE !”

“Ma femme ne s’arrête jamais de travailler. Mais bizarrement, vous et moi sommes au café, au beau milieu de l’après-midi. Je suis sûr que mon épouse voudrait bien prendre le temps de s’asseoir et de boire un café. C’est bien de faire une pause, non ?”

La conversation s’est achevée sur une note nettement moins amicale qu’elle n’avait débuté. Attention, je ne critique pas les femmes qui ont un emploi à temps complet. Je comprends notamment que certaines de ces femmes n’ont pas le choix : les mères célibataires, ou bien celles dont l’époux ne gagne pas assez pour subvenir aux besoins de la famille. Ou bien elles choisissent de travailler, parce que c’est ce qu’elles veulent faire. Très bien. Je comprends aussi très bien que la plupart des femmes “actives” ne sont pas malpolies, pompeuses et arrogantes, comme les deux exemples précédents. Mais je ne suis pas encore prêt à faire la paix. Je veux mettre un grand coup de pied dans les genoux de notre société attardée et matérialiste, pour lui dire “SECOUE-TOI, SOCIÉTÉ !”.

Cette discussion ne devrait même pas avoir lieu. Je ne devrais même pas avoir à expliquer pourquoi c’est stupide – notamment pour des femmes – d’arborer un tel mépris et une telle hostilité envers les mères au foyer.

Sommes-nous vraiment si superficiels ?

Sommes-nous vraiment si perdus ?

Sommes-nous vraiment la première culture de l’histoire de l’humanité à ne pas saisir l’importance et le sérieux de la maternité ?

Les païens avaient déifié la Maternité, et la vénéraient comme une déesse. De nos jours, c’est l’inverse : nous traitons la maternité comme une maladie, ou un obstacle.

Ceux qui choisissent de se consacrer totalement à l’éducation des enfants – une tâche épuisante et sans contrepartie, mais particulièrement importante – devraient être mis sur un piédestal. Nous devrions les vénérer et les admirer, de la même manière que l’on admire les scientifiques et les héros de guerre.

Ces femmes se consacrent à quelque chose de beau, de compliqué, de difficile, de terrifiant, de douloureux, de joyeux et d’essentiel.

Quoi qu’elles fassent, elles FONT quelque chose, et notre civilisation DÉPEND de leur réussite.

Qui d’autre peut en dire autant ?

Quel autre métier amène autant de risques ?

c'est vrai qu’être une mère n’est pas un “métier”. Un métier, c’est quelque chose que l’on fait dans la journée, et que l’on arrête ensuite. On touche un salaire. On a des avantages, des syndicats, et une salle de pause. J’ai eu de nombreux métiers : ça n’a rien de mystique ou de spectaculaire. Je ne comprends pas vraiment pourquoi notre société place “les actifs” sur un tel piédestal.

D’où nous provient cette notion ? Du Petit Livre Rouge ?

Avoir un métier est une nécessité pour certains – pour moi, ça l’est – mais ce n’est ni libérateur ni valorisant. Quel que soit votre métier – vous êtes sacrifiable. Vous êtes un numéro. Vous êtes un calcul. Vous êtes un esclave.

Vous pouvez être remplacé, et vous le serez forcément. Est-ce que je suis trop dur ?

Non, je suis quelqu’un qui a un métier. Je suis réaliste. Si votre mère cessait d’être une mère, des vies entières en seraient chamboulées, et la société en souffrirait. Les conséquences de cette tragédie se ressentiraient sur plusieurs générations.

Si elle abandonnait son métier d’analyste informatique, elle serait remplacée en quatre jours, et personne ne s’en émouvrait. Idem pour vous et moi. C’est chez nous que nous sommes libres et puissants, pas au bureau.

Mais nous sommes des zombies, et donc nous ne parvenons pas à le voir. Oui, ma femme est SEULEMENT une mère. SEULEMENT. Elle a SEULEMENT donné vie à des enfants, et elle forme SEULEMENT leurs existences et leurs futurs. Elle gère SEULEMENT la maison, tout en s’occupant d’enfants qui dépendent SEULEMENT d’elle pour tout. Elle apprend SEULEMENT à nos jumeaux comment être un humain décent, et, à mesure qu’ils vieilliront, elle sera SEULEMENT responsable de leur apprendre tout et rien, depuis leur morale jusqu’à leur hygiène, en passant par leur alphabet et leurs bonnes manières… Elle est SEULEMENT la pierre fondatrice de notre famille, et mon compas moral. Elle est SEULEMENT le centre de notre monde. Et la société s’effondrerait SEULEMENT si elle et les autres mères échouaient à la tâche qu’elles exécutent au quotidien.

Oui, elle est seulement une mère. Ce qui revient à regarder dans le ciel, et à dire “hé, c’est seulement le soleil”. Bien sûr, toutes les femmes ne peuvent pas rester constamment à la maison. Le reconnaître est une chose, en faire un idéal à atteindre en est une autre. Considérer que c’est la situation idéale revient à dire qu’il est IDÉAL que des enfants passent MOINS de temps avec leur mère.

C’est de la folie. De la pure folie. Ce n’est pas idéal, et ce n’est pas neutre. Plus une mère peut passer de temps à élever ses enfants, mieux c’est. C’est mieux pour eux, mieux pour leurs âmes, mieux pour la communauté, mieux pour l’humanité.

 Il est cependant probablement vrai que les mères au foyer ont du temps libre. Tout comme les gens “actifs”. D’ailleurs, de nombreux métiers pourraient être décrits comme étant principalement du temps libre, avec quelques pics d’activité machinale, çà et là. Quoi qu’il en soit, je ne cherche pas à débattre de qui a le plus à faire. Apparemment, on attache tellement peu d’importance à notre temps que l’on en vient à mesurer notre valeur à l’aune du peu de temps que l’on possède.

En d’autres termes, “être occupé” est devenu un tel objectif à atteindre que ça en est devenu un synonyme « d’être important”. Vous pouvez pourtant être occupé et insignifiant, tout comme vous pouvez être essentiel, mais peu occupé. Je ne sais pas qui est le plus occupé, et je m’en moque. Peu importe.

Je crois que l’on peut dire que nul d’entre nous n’est aussi occupé que nous le pensons. Et nous sommes, de toute façon, beaucoup trop occupés pour notre propre bien. Il y a beaucoup de choses erronées dans notre culture. Mais au final, lorsque notre civilisation s’effondrera, nous regretterons sans doute la manière dont nous avons traité les mères et leurs enfants.

L’armée de terre va embaucher d’urgence 15000 jeunes cette année

Pour continuer à protéger le territoire national avec 7 à 10 000 soldats, l’armée de terre va mener « une campagne de recrutement comme on n’en a jamais vu ».

Ce qui en fera le quatrième recruteur du pays. Le général Blachon, chef du recrutement à la direction des ressources humaines de l’armée de terre, en campagne dans la région.

Depuis les assassinats de janvier, l’armée mobilise en permanence 10 000 soldats pour l’opération Sentinelle, le versant militaire du plan Vigipirate. Au lieu du millier habituel. Ce maximum du contrat opérationnel n’est pas fait pour durer plus de quatre semaines, selon le chef d’état-major des armées, le général Pierre de Villiers.

Mais le président de la République en a décidé autrement, demandant au ministère de s’organiser en conséquence. Car l’armée de terre est en surchauffe. On rogne sur la préparation, les permissions et une partie de l’alerte Guépard, l’échelon permanent d’urgence.

Pour s’adapter à l’augmentation durable de la mission TN (territoire national), les exigences des opérations extérieures (Sahel, Centrafrique, Levant, Liban) et répondre à l’épuisement des troupes, l’armée de terre propose une augmentation de sa force opérationnelle de 66 000 à 77 000 soldats (132 000 en tout, dont 8 500 civils).

Le président de la République doit trancher mi-avril cette question en Conseil de Défense. D’ores et déjà, l’armée de terre, qui assure 99 % de l’opération Sentinelle, a décidé de recruter 15 000 jeunes en 2015, soit 5 000 de plus que d’habitude (il y a un grand renouvellement dans l’armée). Et espère en faire autant en 2016.

Le chef du recrutement de l’armée de terre, le général Frédéric Blachon, n’est pas passé inaperçu la semaine dernière dans notre région, traditionnelle pourvoyeuse de militaires (lire ci-contre). Avant le chiffrage officiel, il a lancé que l’armée de terre allait connaître « une campagne de recrutement comme on n’en a jamais vue ».

Ce qui en fera le quatrième recruteur du pays, plus que GDF-Suez, Carrefour ou la SNCF mais moins que les temps partiels de McDo, Onet ou GSF propreté… Le Nord-Pas-de-Calais, première région de recrutement de l’armée de terre Le Nord-Pas-de-Calais est la première région de recrutement de l’armée de terre avec 700 jeunes embauchés en 2014 et 628 en 2013 (environ 7% du total).

Il faut ajouter une centaine de marins et une quarantaine d’aviateurs pris annuellement. Notre région est la seule à posséder quatre bureaux de recrutement à Lille, Dunkerque, Valenciennes et Arras. «C’est un bassin de jeunes important avec un attachement historique à l’armée», note le commandant Claude Dagy, chef du CIRFA de Lille (Centre interarmées de recrutement des forces armées).

Au cours de l’effort 2015, il s’agira donc pour les CIRFA régionaux de retenir pour un contrat initial de cinq ans plus d’un millier de jeunes âgés de 17 à 29 ans. Or il faut quatre candidats pour une recrue… 

Turquie?: Un procureur pris en otage au tribunal d’Istanbul

Une prise d'otage était en cours, mardi 31 mars dans un tribunal d'Istanbul. Des hommes armés séquestrent Mehmet Selim Kiraz, procureur chargé d'une enquête ouverte après la mort de Berkin Elvan, un adolescent de 15 ans mort le 11 mars 2014.

Il avait passé deux cent soixante-neuf jours dans le coma après avoir été touché par le tir d'une grenade lacrymogène de la police à Istanbul lors d'une manifestation. Des coups de feu ont été entendus lors de la prise d'otage, qui se déroule depuis la mi-journée dans une salle du 6e étage du palais de justice de Caglayan, sur la rive européenne d'Istanbul.

Une photo d'origine inconnue a été publiée sur le réseau Twitter et montre le procureur assis dans un fauteuil avec un pistolet braqué sur la tempe par un homme dont le visage n'apparaît pas sur le cliché, tandis qu'un autre homme présente à l'objectif la carte d'identité du magistrat. D'importants effectifs de forces de l'ordre, dont une unité d'intervention, ont été déployés autour du palais de justice de Caglayan, où des négociations étaient en cours entre la police et les preneurs d'otage.

Selon CNN-Turquie, le tribunal a été entièrement évacué dans l'après-midi.

Un procureur turc et les deux hommes armés, issus d'un groupe d'extrême gauche, qui l'avaient retenu en otage pendant plusieurs heures dans un tribunal d'Istanbul, sont morts mardi à l'issue de l'opération lancée par la police pour libérer le magistrat. Atteint par balles à la tête et à la poitrine lors de cette intervention, le procureur Mehmet Selim Kiraz est décédé de ses blessures moins de deux heures après son hospitalisation, ont indiqué ses médecins.

M. Kiraz a été pris en otage en début d'après-midi dans le palais de justice de Caglayan, dans la partie européenne d'Istanbul, par deux hommes armés se réclamant d'un groupe marxiste clandestin, le Parti/Front révolutionnaire de libération du peuple (DHKP-C). Lors d'une visite officielle en Roumanie, le président islamo-conservateur turc Recep Tayyip Erdogan a précisé que les deux militants, âgés de 28 et 24 ans, étaient entrés au tribunal «revêtus d'une robe» de magistrat ou d'avocat.

Le procureur Kiraz enquêtait sur les circonstances de la mort de Berkin Elvan, un adolescent décédé le 11 mars 2014 après 269 jours d'un coma provoqué par le tir d'une grenade lacrymogène de la police lors d'une manifestation à Istanbul en juin 2013. Le groupuscule marxiste, connu pour ses nombreux attentats commis en Turquie depuis les années 1990, a publié sur les réseaux sociaux une photo montrant son otage assis dans un fauteuil et un pistolet braqué sur la tempe. Dans une déclaration publiée sur un site internet qui en est proche, le DHKP-C avait menacé de tuer le magistrat s'il ne satisfaisait pas un certain nombre de revendications.

Après plus de six heures de négociations vaines, les unités d'intervention de la police ont mis fin mardi soir à la prise d'otage, tuant les deux militants du DHKP-C. Plusieurs explosions et au moins une vingtaine de coups de feu ont été entendus lors de cette opération, ont constaté des journalistes de l'AFP. «Nous avons fait tout ce qui était possible» pour obtenir la reddition des deux assaillants, a expliqué devant la presse le chef de la police stambouliote, Selami Altinok, qui a précisé que la police était intervenue «quand des coups de feu ont été tirés» dans la pièce où ils s'étaient retranchés.

«Cette opération a largement atteint son objectif», a commenté mardi soir le Premier ministre Ahmet Davutoglu. - Cas emblématique - «Nous considérons que cette attaque ne visait pas seulement le procureur Mehmet Selim Kiraz mais aussi la justice, la démocratie et tous les citoyens de Turquie», a-t-il ajouté, «personne ne doit douter que nous continuerons à combattre le terrorisme avec détermination et par tous les moyens».

«Ce qui s'est passé n'est pas à prendre à la légère (...) c'est un incident auquel nous devons prêter la plus extrême attention», a de son côté estimé M. Erdogan. Selon les médias turcs, le commando exigeait que les policiers à ses yeux responsables de la mort de Berkin fassent une «confession publique» et qu'ils soient traduits devant un «tribunal du peuple». Le père de la victime, Sami Elvan, a lancé un appel aux ravisseurs pour qu'ils relâchent leur otage.

«Mon fils est mort, mais je ne veux pas que quelqu'un d'autre meure», a-t-il déclaré lors d'une conversation téléphonique avec un député de l'opposition. Aucun policier n'a pour l'heure été formellement mis en cause dans l'enquête ouverte il y a quatre mois par le procureur Kiraz. En mars 2014, l'annonce de décès de Berkin Elvan, âgé de 15 ans à peine, avait fait spontanément descendre des centaines de milliers de personnes dans les rues de Turquie.

De nombreux manifestants ont encore commémoré sa disparition le 11 mars dernier dans tout le pays. Le cas de Berkin Elvan est devenu un symbole de la violente répression exercée par le pouvoir en 2013 et de la dérive autoritaire que lui reprochent ses détracteurs. M. Erdogan l'avait publiquement qualifié de «terroriste».

Au moins huit personnes ont été tuées, plus de 8.000 blessées et des milliers d'autres arrêtées, selon les bilans des ONG de défense des droits de l'Homme. Le 1er janvier dernier, le DHKP-C avait revendiqué un attentat manqué contre des policiers en faction devant la palais impérial de Dolmabahçe, à Istanbul, en indiquant avoir agi pour venger la mort de Berkin Elvan. Des incidents ont éclaté mardi soir entre militants proches du DHKP-C et les forces de l'ordre dans plusieurs quartiers d'Istanbul, ont rapporté les médias turcs.

La mort de deux bébés confirmée après une vaccination contre la gastro-entérite

L’agence nationale de sécurité du médicament a confirmé que «deux bébés étaient décédés en 2012 et 2014, après une vaccination contre le virus de la gastro-entérite». 

L’agence nationale de sécurité du médicament a confirmé que «deux bébés étaient décédés en 2012 et 2014, après une vaccination contre le virus de la gastro-entérite». Joe Raedle Contactée par «Le Parisien-Aujourd'hui en France», l’agence nationale de sécurité du médicament (Ansm) a confirmé que «deux bébés étaient décédés en 2012 et 2014, après une vaccination contre le virus de la gastro-entérite».

Ces deux nouveaux-nés, précise l'Ansm, sont décédés suite à «invagination intestinale», confirmant une information du Canard enchainé. Sur le même sujet Vaccination des enfants : son caractère obligatoire jugé conforme à la constitution Vaccination des enfants: son caractère obligatoire jugé conforme à la constitution

Le combat d'un papa contre l'obligation de vacciner Le combat d'un papa contre l'obligation de vacciner «Des courriers sont partis aujourd’hui à l’adresse des personnels de santé» précise l’agence. Ces effets indésirables rares «sont indiqués dans la notice des effets secondaires de ces vaccins, Rotateq et Rotarix.

Les signes avant coureurs apparaissent dans les dix jours qui suivent la vaccination» ajoute l’Ansm. Ces dernières semaines, la vaccination contre la gastro-entérite des nourrissons était recommandée par le Haut comité de la santé publique. Cette recommandation pourrait changer, au regard de cette actualité. De 2006 à 2014, 491 000 nourrissons ont été vaccinés.

Opération sauvetage de génisses à Marthod, en Savoie

Environ 10 pompiers ont été appelés à la rescousse pour sauver des génisses tombées dans un ravin sur la commune de Marthod, en Savoie.

Sur les six bêtes, deux ont pu être remontées ce mardi 31 mars dans l'après-midi.

Les jeunes vaches sont tombées dans un ravin de 20 mètres après un mouvement de troupeau. Certaines ont atterri à 10m. Elles ont pu être récupérées un peu plus facilement par les pompiers, même si l'opération a pris des heures. Mais quatre autres sont au fond du trou, les pieds dans un ruisseau. Malgré les tentatives pour les faire avancer dans le cours d'eau, l'idée de les tirer d'affaire ainsi a été abandonnée en raison de la présence d'un torrent un peu plus loin. Du coup, la solution de l'hélitreuillage semble la meilleure. Une nouvelle opération est donc programmée ce mercredi.

Nancy : elle meurt de froid la tête coincée dans un congélateur de supermarché FAIT-DIVERS –

Une septuagénaire est décédée après s’être coincée la tête dans un congélateur de supermarché, samedi 28 mars 2015, à Nancy (54).

Selon les images de vidéo-surveillance du magasin, la vieille dame s’était hissée sur le bord d’un congélateur mis à disposition des clients dans le rayon « surgelés », en s’appuyant sur une rampe métallique fixée au sol.

Elle avait ensuite plongé la tête à l’intérieur du congélateur à la recherche d’un paquet de steaks hachés de sa marque préférée. En équilibre sur la rampe, la victime a probablement glissé, plongeant la tête la première dans le congélateur.

A l’intérieur, la température avoisinait les -15° degrés. La tête coincée, la septuagénaire est morte de froid au bout de quelques minutes. Selon les premiers éléments de l’enquête menée par la Gendarmerie de Nancy, cette femme aurait été découverte par un client du magasin, qui s’est approché de la vieille dame, intrigué de ne pas la voir bouger.

« C’est un accident tragique » regrette le Directeur de l’établissement.

« Notre magasin est très fréquenté le samedi après-midi et il n’est pas rare de voir des clients monter sur les rayons pour attraper un article.

Nous sommes sous le choc mais nous gardons la tête froide afin de continuer à accueillir notre clientèle dans les meilleures conditions. » Malheureusement, les secours rapidement arrivés sur les lieux de l’accident n’ont pu que constater le décès de la victime. Une autopsie du corps doit être pratiquée lundi. Elle devrait permettre de déterminer avec précision les causes et l’heure de la mort.

L'incroyable histoire de triplées dont 2 nées siamoises !

Un phénomène rare de la nature Macy, Madeline et Mackenzie Garrison sont des triplées nées en 2002.

L'histoire peut paraître banale comme ça mais deux des trois bébés étaient en fait siamoises, un phénomène rare chez les triplés.

Elles ont été adoptées par Darla et Jeff Garrison car leur mère ne pouvaient pas s'occuper d'elles.

Voici leur histoire racontée en photos !

Macy et Mackenzie sont nées avec le bassin fusionné ainsi que d'autres organes Les fillettes ont été séparées et n'avaient qu'une jambe chacune.

Leurs organes reproducteurs ont dû être reconstruits également et elles pourront avoir des enfants

Les sœurs étaient très dynamiques et souriantes pendant la période de récupération.

Cette photo a été prise cinq jours seulement après l'opération Les jumelles essayent de se reconnaître Le père des jumelles, Jeff Harrison a dit que McKenzie a récupéré six semaines après l'opération.

Macy a mis un mois à récupérer

Proclamée "femme la plus moche du monde", Lizzie Velasquez a pris sa revanche

En humiliant la jeune femme sur les réseaux sociaux, les internautes ne s'attendaient pas à faire de Lizzie Velasquez l'ambassadrice de la lutte contre le cyber-harcèlement.

Elle est aujourd'hui une star incontestable à travers le monde.

Lizzie Velasquez a reçu le surnom de "femme la plus laide du monde" dans une vidéo YouTube parue en 2007.

Elle n'a que 17 ans lorsqu'elle est confrontée au cyber-harcèlement en découvrant la vidéo agrémentée de commentaires haineux de mise à mort"tire toi une balle, monstre, pourquoi sa mère n'a-t-elle pas avorté ?, il faut la brûler".

La cause ? Lizzie est atteinte du syndrome de Marfan, une maladie génétique rare qui lui a donné cette silhouette longiligne aux longs bras et doigts et qui empêche son corps de produire et d'assimiler de la graisse, d'où son corps émacié et son teint de cire.

Un combat quotidien Plutôt que de se désoler sur son sort, Lizzie a choisi de faire de son handicap une force. Diplômée en communication à l'Université du Texas, c'est en tant que coach qu'elle prend la parole en public lors de conférences pour aider les gens à prendre confiance en soi. Elle n'hésite pas à pratiquer l'autodérision lorsqu'il s'agit de prendre sa propre histoire à titre d'exemple.

Pour aller plus loin, la jeune femme de 26 ans a crée sa propre chaîne YouTube dans laquelle elle lutte pour que le cyber-harcèlement soit plus sévèrement puni par la loi.

Un formidable pied de nez aux critiques des internautes qui ont lancé son combat. Ce combat quotidien, la réalisatrice Sara Hirsch Bordo le raconte dans son documentaire A brave Heart : the Lizzie Velasquez story (Un coeur courageux : l'histoire de Lizzie Velasquez).

C'est l'histoire de la détermination de la jeune femme : depuis son rêve de voir adopter par le Parlement des Etats-Unis la nouvelle loi sur le cyber-harcèlement jusqu'à son projet futur d'écrire des histoires pour enfants dont les héros présenteraient un handicap.

En savoir plus : http://www.ohmymag.com/lizzie-velasquez/proclamee-femme-la-plus-moche-du-monde-lizzie-velasquez-a-pris-sa-revanche_art85055.html Copyright © Ohmymag

Toulouse : il se bat avec un chien policier et lui arrache malencontreusement sa muselière

Un jeune homme doit regretter amèrement d'avoir voulu jouer au plus fort avec un chien de la police toulousaine. Poursuivi dans la nuit de jeudi à vendredi par le berger allemand, il s'est battu avec lui et, dans le feu de l'action, lui a arraché sa muselière. Le canidé n'y est pas allé de patte morte.

Qui s'y frotte s'y pique. Un individu pourchassé par un chien policier a eu la mauvaise idée de vouloir jouer au plus fort avec l'animal. Et ce n'est pas l'homme qui a gagné. Poursuivi par un berger allemand

Dans la nuit de jeudi à vendredi, dans le centre de Toulouse, la brigade canine est appelée à la rescousse pour calmer une bande d'une dizaine de jeunes, assez énervés et très alcoolisés.

Les individus s'en prennent à des agents Tisséo, le réseau de transports en commun de la capitale du Languedoc. Dans le groupe de jeunes gens, l'un d'entre eux, âgé d'une vingtaine d'années, est particulièrement nerveux.

Il s'agite furieusement et frappe un des policiers. Profitant de la confusion de la situation, il parvient à s'enfuir. Mais il a oublié que les compagnons à quatre pattes des forces de l'ordre étaient bien plus rapides que lui.

 L'animal lui inflige un "tapé-muselé" L'un des chiens de la brigade s'élance alors à la poursuite du jeune homme. Une fois à la hauteur du fuyard, l'animal lui inflige un "tapé-muselé". Une technique plutôt efficace : en gros, le canidé se jette à vive allure sur la tête et le thorax de l'individu.

Un saut suffisamment puissant pour le projeter à terre. Pourtant plaqué au sol, le jeune homme continue de se débattre. Et décide d'entrer dans un corps à corps avec le berger allemand pour se libérer de son emprise. Dans le feu de l'action, le jeune homme fait un geste malheureux et arrache la muselière de l'animal. Pour son plus grand malheur.

Le chien, exalté, le mord à plusieurs reprises. Il s'en tire avec plusieurs points de suture à la tête et au bras. Avant d'être placé en garde à vue.

Paris : piégés après être entrés illégalement dans les catacombes

Ce vendredi matin, deux jeunes hommes qui étaient parvenus à rentrer dans les catacombes se sont retrouvés coincés dans le dédale de galeries souterraines.

Le « jeu interdit » aurait pu très mal se terminer. Ce vendredi matin, deux jeunes hommes nés en 1991 et 1993, qui étaient parvenus à rentrer dans les catacombes, se sont retrouvés coincés dans le dédale de galeries souterraines.

L’un des deux spéléos amateurs, victime d’une chute et sérieusement blessé aux hanches, ne pouvait plus avancer.

L’aîné a heureusement pu regagner la surface pour alerter les secours mais sans pouvoir localiser précisément l’endroit où il avait « laissé » le blessé.

Les opérations de recherches, qui ont nécessité l’intervention de pompiers spécialisés dans les « milieux périlleux » mais aussi de policiers de la « brigade sportive », ont débuté peu avant 9 heures.

La victime n’a été retrouvée qu’une demi-heure plus tard. Consciente mais incapable de marcher, elle a été ramenée à l’air libre par les pompiers avant d’être évacuée vers l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière (XIIIe), dans un état qualifié par les pompiers de « préoccupant ».

Selon les premiers éléments de l’enquête, les deux jeunes amateurs de sensations fortes seraient descendus dans les catacombes depuis un accès technique « qu’ils connaissaient » au niveau de la place d’Italie (XIIIe).

Ils se seraient ensuite égarés dans le réseau souterrain dont l’accès au public se fait normalement depuis la place Denfert-Rochereau (XIVe).