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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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300 chênes truffiers abattus à la tronçonneuse

Publié à 18:15 par fandeloup Tags : animal gratuit monde
300 chênes truffiers abattus à la tronçonneuse

Hérault : il découvre ses 300 chênes truffiers abattus à la tronçonneuse

La truffière était en pleine production. Claude est anéanti par cet acte de méchanceté purement gratuite.

 Le propriétaire a découvert, ce mercredi, sa truffière en pleine production, complètement vandalisée, sur un hectare à Villespassans à l'ouest de Béziers dans l'Hérault.

Claude est sonné. Devant lui, sur un hectare, gisent, tronçonnés à leur base, ses 300 chênes verts et kermès, soit la totalité de sa truffière, en pleine production. Le vandalisme a eu lieu entre dimanche soir et ce mercredi.

À 14 h, le propriétaire s'est rendu sur son terrain, à l'entrée de Villespassans. Il a découvert le massacre : "Ils se sont acharnés. C'est un acte de méchanceté purement gratuit . Ils ont laissé les arbres sur place, tous coupés de la même manière et habilement ! Ils ont détruit la porte du cabanon sans entrer. Ils ont coupé aussi un tuyau, un cerisier et un figuier...

Je ne comprends pas cette haine, cette bêtise humaine !" Il se consacrait à sa truffière depuis 25 ans Depuis 25 ans, il se consacre à sa truffière avec succès.

Claude, c'est le patron de "Truffon, le cochon qui cave". À trois mois, l'animal est devenu la vedette des marchés de producteurs. Son maître et lui ont fait la une des journaux.

"Moi, j'étais content de faire partager ma passion alors que ce monde est réputé fermé", explique Claude. Il ne pense même pas au préjudice matériel : "C'est une passion qui te fait te lever tous les matins. Je connais chaque arbre que j'ai planté, noté, suivi. Je suis anéanti pour l'instant, c'est comme un viol", souffle le trufficulteur.

Une enquête ouverte par les gendarmes

Les gendarmes de Saint-Chinian/Murviel sont venus constater les dégâts. Le ou les auteurs ont laissé des empreintes. Le maire de la commune, Jean-Christophe Petit, a l'intention de demander une augmentation des patrouilles :

"En janvier, un feu volontaire a détruit 12,5 ha et mobilisé 120 pompiers. Mais cette destruction n'a pas de précédent dans le secteur et même dans la région, à ma connaissance. On a bien des vols de truffes mais ça jamais !".

Surtout qu'il s'agit, ici, de petits producteurs indépendants qui fonctionnent à l'envie et se dépensent sans compter. "Celui qui a fait ça, ne connaît pas cette culture. Il a coupé aussi des arbres sans brûlés donc qui ne donnent pas de truffes".

elle aurait jeté son bébé par la fenêtre

Publié à 14:12 par fandeloup Tags : vie photo femme mort divers nuit chien enfant bébé
elle aurait jeté son bébé par la fenêtre

Strasbourg : elle aurait jeté son bébé par la fenêtre après avoir accouché

Dans la nuit de mercredi à jeudi, un nouveau-né a été retrouvé mort au pied d’un immeuble de Strasbourg (Bas-Rhin).

La mère est soupçonnée d’avoir commis ce geste peu de temps après l’accouchement.

Des examens sont en cours pour déterminer si la mère de l'enfant souffre de troubles psychiatriques.

C’est une passante qui a fait la macabre découverte, en plein centre de Strasbourg (Bas-Rhin).

Dans la cour intérieure d’un immeuble, peu après minuit ce jeudi, une riveraine qui promenait son chien a remarqué un nouveau-né qui gisait sur le sol, sans vie.

Enquête pour infanticide

Les secours, aussitôt alertés, ont découvert dans un appartement du troisième étage la mère de l’enfant, visiblement en train de faire une hémorragie, selon le journal Dernières Nouvelles d’Alsace.

Cette femme – qui serait handicapée mentale – aurait défenestré le bébé immédiatement après l’accouchement. Dans le voisinage, personne n’avait remarqué son état de grossesse, en raison de la forte corpulence de celle qui est désormais soupçonnée d’infanticide.

Transportée en urgence à l’hôpital, elle sera soumise à une expertise psychiatrique dès que possible. En attendant, une enquête policière est en cours.

trois sœurs séquestrées

Publié à 11:57 par fandeloup Tags : homme enfants photo femme histoire divers bonjour femmes google monde
trois sœurs séquestrées

Suède : trois sœurs séquestrées par leur mère pendant dix ans

En Suède, la police a secouru, mercredi, trois jeunes femmes qui ont vécu plusieurs années séquestrées par leur mère.

A Bromölla, dans le sud de la Suède, la police a mis fin au clavaire de trois jeunes femmes mercredi.

C'est la fin d'un calvaire qui secoue la Suède. Ce jeudi, la presse du pays se fait l'écho d'une histoire particulièrement sordide : une mère de famille a séquestré ses trois filles depuis plusieurs années, une décennie même, selon certains médias scandinaves, dans la petite localité de Bromölla, dans le sud du pays.

En parvenant à s'échapper mercredi, l'une des captives - toutes majeures aujourd'hui - a pu prévenir un voisin et entrer en contact avec la police. Sur place, les forces de l'ordre ont libéré les deux autres jeunes femmes et ont interpellé la mère, âgée de 59 ans. Ce jeudi, toutes étaient entendues par les enquêteurs.

Dans une communication à la presse, une porte-parole de la police, Ewa-Gun Westford, a prudemment déclaré que la mère de famille avait ''restreint la liberté de ses enfants" pendant une longue période. "L'une des sœurs ne pouvait même pas marcher toute seule" Interrogé par le quotidien Expressen, le père de famille, à la recherche de ses enfants tout ce temps, raconte le divorce d'avec sa femme en 1998.

Malgré l'accord du tribunal, l'homme a été empêché de voir ses enfants. Jusqu'à ce que son ex-épouse disparaisse littéralement des radars, ses enfants avec elle. "Pendant un moment, on m'a dit qu'ils vivaient à Åre (une ville de Suède, ndlr), confie-t-il. Puis, l'avocat de mon ex-femme l'a dit qu'ils avaient émigré vers l'Australie.

J'ai écrit à l'ambassade de Suède là-bas et je leur ai donné le numéro de sécurité sociale des enfants, mais on m'a répondu qu'on ne savait rien à leur sujet." Selon la presse suédoise, la mère de famille aurait emménagé en décembre 2012 dans l'appartement de Bromölla, où elle et ses filles vivaient terrées.

"Les rideaux étaient toujours fermés et on n'entendait aucun bruit dans l'appartement", a témoigné un voisin, dans les colonnes d'Aftonbladet. Un autre indique n'avoir "jamais vu quelqu'un sortir" de l'appartement. Sauf la semaine dernière :

"Une jeune femme était sur le pas de la porte. Je lui ai dit bonjour, mais elle a juste regardé le sol sans rien dire." Un état d'hébétude sans doute dû aux années passées à l'écart du monde et qui en dit long sur le calvaire subi par les trois jeunes femmes :

"Quand les policiers sont sortis de l'appartement, ils ont dû porter l'une des jeunes filles, elle ne pouvait même pas marcher toute seule", a souligné un témoin de la scène.

une directrice d’école poignardée

Publié à 08:13 par fandeloup Tags : homme éléments
une directrice d’école poignardée

Une directrice d’école maternelle a été poignardée, ce jeudi 19 février, vers 12 h 30, rue de la Briqueterie dans le XIVe arrondissement à Paris par un inconnu en pleine rue.

Selon les premiers éléments de l’enquête, l’agresseur lui aurait porté plusieurs coups de couteau au niveau des jambes et des bras. La victime se trouvait dans les parties privées de l’établissement scolaire au moment de l'agression, précisément dans le hall qui mène à son appartement de fonction.

L'agresseur s'est enfui après lui avoir dérobé son sac. Rapidement alertés, des policiers en patrouille sont parvenus à interpeller l’auteur présumé des faits à proximité de son domicile, situé près de la Porte de Vanves.

Il a été placé en garde à vue dans les locaux du 3ème district de police judiciaire (DPJ).

Selon nos informations, l’auteur, qui serait un parent d’élève, aurait déjà eu maille à partir avec la victime il y a quatre ans. A l’époque, il aurait déjà tenté de la poignarder. L’homme a déjà été condamné à une peine de prison pour d'autres faits de violence.

placement en foyer pour les mineurs

Publié à 16:02 par fandeloup Tags : article photo cadre éléments actualité possession chez
placement en foyer pour les mineurs

Sarre-Union : des motivations et des comportements antisémites, placement en foyer pour les mineurs

Les cinq jeunes de 15 ans et demi à 17 ans, placés en garde à vue depuis lundi dans le cadre de l'enquête sur la profanation au cimetière de Sarre-Union (Bas-Rhin, Alsace-Bossue) ont été déférés aujourd'hui et présentés à un juge d'instruction.

Le procureur a demandé leur placement en centre éducatif. Pour deux d'entre eux il a demandé que ce soit un centre éducatif fermé.

Pour avoir la dernière version de l'article, il faut procéder à une mise à jour (F5 sur PC) 16h : le procureur évoque des motivations et des comportements antisémites Le procureur de la République de Saverne, Philippe Vannier, vient de commencer à 16h sa conférence de presse sur les cinq mineurs auteurs de la profanation au cimetière de Sarre-Union, jeudi dernier.

Tous ont reconnu les faits qui leurs sont reprochés. Un premier acte, après 16h jeudi dernier, a "déclenché une frénésie collective qui les a conduits au saccage", a expliqué le procureur.

"Malgré les dénégations, les connotations et les motivations antisémites apparaissent clairement", a affirmé le procureur de la République, M. Vannier, ajoutant que cela était corroboré par des paroles et des gestes révélateurs. Les jeunes ont notamment fait des saluts nazis, craché sur une étoile de David, proféré "Sieg Heil" , proféré des "sale juif" et "sale race". C'est ce qui ressort des auditions.

Certains ont admis avoir "uriné sur des tombes" Selon les éléments en possession des enquêteurs, l'un des jeunes avait l'ascendant sur les autres. Des investigations sont encore nécessaires pour préciser les responsabilités de chacun et les motivations de chacun. Une information judiciaire a été ouverte auprès d'un juge d'instruction pour profanation, "violation de sépultures en raison de la religion des défunts" et "dégradation volontaire de biens publics en réunion".

Le procureur Philippe Vannier a requis le contrôle judiciaire pour les cinq mineurs, il a demandé leur placement en foyer éducatif, précisant que ce sera un foyer fermé pour deux des cinq mineurs.

Les jeunes ont interdiction de se rendre à Sarre-Union et de se rencontrer. Par ailleurs, le procureur Philippe Vannier a indiqué que des mesures de réparation seront imposées aux jeunes, dans le cadre de l'instruction, en accord avec le consistoire israélite du Bas-Rhin, la Ville de Sarre-Union et la protection judiciaire de la jeunesse. Ils devront participer à la remise en état du cimetière.

Jeudi dernier, en deux temps, d'abord à quatre puis à cinq, les jeunes âgés de 15 ans et demi à 17 ans ont renversé 250 stèles, déplacé des dalles et endommagé le momument aux victimes de la Shoah dans le cimetière juif de Sarre-Union, provoquant une immense émotion et indignation à travers le pays.

14h30 : les jeunes chez le juge, le procureur ne devrait pas requérir de placement en détention, mais un placement en centre éducatif fermé Les cinq jeunes sont passé dans le bureau du procureur de la République. Ils sont actuellement entendus pour la première fois par le juge d'instruction qui aura en charge cette affaire. Selon plusieurs sources proches de l'enquête, le procureur ne devrait pas requérir de placement en détention, mais un placement en centre éducatif fermé pour les cinq mineurs âgés de 15 ans et demi à 17 ans et auteurs de dégradations commises au cimetière juif de Sarre-Union, jeudi dernier. Le procureur doit faire une conférence de presse à 16h

11h52 : les jeunes sont présentés au procureur En fin de matinée, les cinq jeunes sont présentés au procureur de la République, Philippe Vannier, qui va leur notifier l'ouverture d'une information. Ils passeront ensuite devant un juge d'instruction en charge des affaires de mineurs. 10h10 : Les cinq jeunes viennent d'arriver au tribunal de Saverne Cinq jeunes déférés au parquet de Savernepar dna_web Les cinq jeunes viennent d'arriver au tribunal de grande instance de Saverne où on va leur notifier leur mise en examen et les mesures les concernant. Leur garde à vue est terminée. Le procureur de la République, Philippe Vannier, doit tenir une conférence de presse cet après-midi à 16h. Les jeunes vont être présenté dans un premier temps au parquet (services du procureur) avant de partir chez un juge d'instruction, en cas d'ouverture d'une information judiciaire, ce qui est l'hypothèse la plus probable.

9h23. Leur garde à vue a commencé lundi matin pour deux d'entre eux, dont le plus jeune qui s'est présenté à la gendarmerie de Sarre-Union à 10h15. Pour leurs trois comparses, la garde à vue a commencé lundi à 14h45. Ces gardes à vue ont été prolongées de 24h pour les besoins de l'enquête, mardi. Les cinq jeunes vont donc être déférés dans les toutes prochaines heures devant les magistrats au tribunal de Saverne, la durée de la garde à vue étant très encadrée par la procédure pénale. Le juge d'instruction décidera de leur mise en examen, après ouverture d'une information judiciaire par le procureur Philippe Vannier. Les chefs de poursuite traduiront les résultats de l'enquête des gendarmes, notamment sur les motivations des cinq jeunes qui ont renversé 250 stèles, déplacé des dalles, déterioré le monument aux victimes de la déportation, jeudi dernier, provoquant une immense émotion à travers le pays.

Les auditions des cinq jeunes ont été menées séparément, les investigations ont porté notamment sur leur expression sur les réseaux sociaux. Lundi, le procureur avait évoqué des poursuites pour profanation de sépulture en raison de la religion des défunts et dégradation en réunion de bien publics. La question des motivations antisémites des jeunes auteurs des dégradations est centrale dans cette affaire judiciaire. Les magistrats devront décider du sort des cinq jeunes et statueront notamment sur le placement en détention, des mesures de contrôle judiciaire, ou un placement en centre éducatif fermé.

tirs

Publié à 10:54 par fandeloup Tags : air
tirs

Tirs de kalachnikov à Marseille : deux suspects interpellés à Saint-Denis

Soupçonnés d'être impliqués dans les tirs à la Kalachnikov survenus la semaine dernière à Marseille (Bouches-du-Rhône), ont été interpellés dimanche en région parisienne. Marseille (Bouches-du-Rhône), le 9 février 2015.

Les forces de l'ordre se sont déployées en masse dans la cité de la Castellane après des coups de feu. 

Marseille (Bouches-du-Rhône), le 9 février 2015. Les forces de l'ordre se sont déployées en masse dans la cité de la Castellane après des coups de feu.

 Deux jeunes hommes, suspectés d'être impliqués dans les tirs à la Kalachnikov survenus lundi 9 février dans la cité de La Castellane à Marseille (Bouches-du-Rhône), quelques heures avant une visite de Manuel Valls, ont été interpellés dimanche à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).

Tirs quelques heures avant la visite de Valls Appelés par des riverains pour des coups de Kalachnikov tirés en l'air, des policiers avaient été pris pour cible le 9 février dans la cité sensible de la Castellane, lieu emblématique des quartiers nord, connu pour être une plaque tournante du trafic de drogue.

Ces tirs  qui n'avaient fait aucune victime  étaient intervenus quelques heures avant la visite du Premier ministre Manuel Valls venu présenter des résultats «encourageants» dans la lutte contre la délinquance et qui avait qualifié ces tirs d'«inacceptables».

Sept Kalachnikov et plusieurs kilos de cannabis retrouvés Peu après ces tirs, les policiers avaient retrouvé sept Kalachnikov et plusieurs kilos de cannabis dans un appartement, dont les quatre occupants avaient été placés en garde à vue. Ils avaient été relâchés sans qu'aucune charge soit retenue contre eux.

A proximité de ce logement, les policiers avaient également découvert «une BMW faussement immatriculée», dans laquelle se trouvaient «deux fusils à pompe, 400 cartouches de gros calibre et un gilet pare-balles», selon une source policière.

attentat

Publié à 17:54 par fandeloup Tags : homme france
attentat

Attentats : après Paris, Copenhague Cinq semaines après les attentats de Paris, c’est le Danemark qui est frappé par le terrorisme.

Un bilan moins lourd, trois morts dont le terroriste présumé, mais beaucoup de similitudes. Le tireur voulait visiblement tuer un caricaturiste qui participait à un débat sur la liberté d’expression, puis il s’en est pris à la principale synagogue de Copenhague.

Comme les frères Kouachi ou Amedy Coulibaly, le suspect Omar Abdel Hamid El-Hussein, un Danois de 22 ans, était bien connu des forces de police. Il serait sorti de prison deux semaines seulement avant de passer à l’acte. Deux complices présumés ont été arrêtés aujourd’hui.

Attentats de Copenhague : le tueur présumé identifié comme Omar El-Hussein, un Danois de 22 ans

Les autorités ont précisé que cet individu était déjà connu des services de police et de renseignement, notamment pour des actes de violence et pour détention d'armes.

Omar Abdel Hamid El-Hussein avait notamment poignardé un jeune homme dans le métro de Copenhague, en novembre 2013.

Il avait été condamné à deux ans de prison, mais en serait sorti il y a environ deux semaines, selon le journal Ekstra Bladet (en danois). source... France tv info.

cruauté

Publié à 16:46 par fandeloup Tags : enfants photo message
cruauté

L’Etat Islamique a enfermé des dizaines d’enfants dans des cages et menace d’y mettre le feu!

Le réseau de presse du califat islamique a récemment publié une photo d’enfants avec la tenue de Guantánamo dans une cage, et menace d’y mettre le feu comme pour le pilote jordanien.

Cette photo est trouvable dans la dernière vidéo de l’EI intitulée « Un message sanglant adressé aux nations de la Croix ». Ces petits enfants sont des Chrétiens, et pour l’état islamique c’est un crime d’appartenir à un autre courant religieux…

Les bras m’en tombent je ne sais pas quoi dire face à cette cruauté.

découverte

Publié à 15:39 par fandeloup Tags : vie jardin
découverte

Nièvre : un cadavre retrouvé enterré dans un jardin

Le corps d'une personne a été retrouvé enterré dans un jardin d'une propriété privée de Sardy-le-Epiry (Nièvre) dimanche soir.

Il pourrait s'agir du propriétaire a-t-on appris lundi de sources concordantes.

La macabre découverte a été réalisée au cours d'une vérification au domicile d'une personne qui ne donnait plus de vie à ses proches, à précisé la gendarmerie, confirmant une information du «Journal du centre».

Ils n'ont pas précisé l'âge et le sexe du corps. La Section de recherches de Dijon (Côte-d'Or) est chargée de l'enquête.

Selon le «Journal du centre», le cadavre pourrait être celui du propriétaire de la maison.

violée dans un train

Publié à 13:28 par fandeloup Tags : photo film homme chez femme paris histoire divers jeune nature nuit
violée dans un train

Seine-et-Marne : violée dans un train sans que personne ne bouge

Dans la nuit du 4 au 5 février, une jeune femme de 22 ans a été violée dans un train entre Paris à Melun (Seine-et-Marne) sous l'œil de plusieurs témoins, passifs.

Un suspect a été interpellé et écroué quelques jours après les faits.

La jeune femme a été violée dans le train sous l'œil de plusieurs témoins.

Malgré la gravité des faits, pas une personne n'a bougé. Dans la soirée du 4 février au 5 février dernier, une jeune femme de 22 ans a été violée par un individu sous l'œil de plusieurs témoins.

Ce soir-là, cette étudiante attend tranquillement son train de 23?h?49 à la gare de Lyon (12e) en fumant une cigarette sur le quai quand un homme l'aborde, relate ce lundi Le Parisien.

La jeune femme l'ignore, et monte dans le train qui vient d'arriver. C'est là que les choses vont dégénérer…

La main dans son pantalon

L'étudiante s'installe dans un compartiment. Alors qu'elle vient de prendre place sur une banquette, l'individu qui l'avait accostée sur le quai la rejoint et commence à lui parler. Malgré l'indifférence de son interlocutrice, il insiste, se penche sur elle, lui fait des suçons dans le cou et sur les joues.

Que faire si vous êtes le témoin d'une agression sexuelle ?

La jeune femme tente de le repousser, en vain. L'homme s'allonge ensuite sur sa victime, met sa main dans son pantalon et la viole. (, le viol est un acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit, commis sur la personne d'autrui par violence, contrainte, menace ou surprise).

Plusieurs passagers se trouvent alors dans le même compartiment mais personne n'intervient. Une fois arrivée en gare, l'étudiante descend du train, comme les autres passagers, et prend le chemin de son domicile.

Son agresseur la suit, et c'est dans le quartier de la gare qu'il tente une nouvelle fois de la violer avant de prendre la fuite.

Identifié grâce aux caméras

La victime, elle, rentre chez elle et s'enferme dans sa chambre. Inquiets, ses parents vont la voir et réalisent qu'elle a des hématomes sur le visage. Elle leur dit qu'elle est "tombée"...

Traumatisée pendant plus de 48 heures, la jeune femme finira par se confier à ses amies qui alertent la police. Grâce aux caméras de vidéosurveillance, un homme a été interpellé cinq jours après les faits.

Le suspect est un SDF âgé de 38 ans et qui vivait ans la région de Montereau. Jeudi soir, le parquet de Melun a ouvert une information judiciaire pour viol.

Le SDF, lui, a été écroué à Fleury-Mérogis (Essonne). Cette histoire n'est pas sans rappeler un fait divers survenu à Lille (Nord-Pas-de-Calais).

En avril 2014, une femme avait été agressée devant des témoins dans le métro de Lille. Là encore, personne n'était intervenu.