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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Une forêt comestible de 3 hectares se développe à Seattle
L’une des plus grandes forêts comestibles au monde établies sur un espace public pousse actuellement à Seattle.
Fort de quelque 100 bénévoles, le projet vise à créer selon le principe de la permaculture un agrosystème autonome de 3 hectares.
La Beacon Food Forest offrira des bénéfices environnementaux, économiques et sociaux très concrets aux habitants de la ville.
Première récolte attendue pour 2014.
Aux confins du nord-ouest américain, non loin de la frontière canadienne, la ville de Seattle voit germer une forêt qui pourrait faire un peu d’ombre au mondialement célèbre Central Park de New York. Une forêt comestible (dite aussi fruitière ou nourricière) de 3 hectares pousse depuis septembre 2012 dans la capitale de l’état de Washington.
L’une des plus vastes au monde implantées sur un espace public. Jouxtant le Jefferson Park au cœur du quartier de Beacon Hill et située à 4 km du centre ville de Seattle, la Beacon Food Forest était à l’origine en 2009 un projet de fin d’étude.
120.000 dollars de subventions municipales allouées en 2010 et 2011 lui auront permis de voir le jour.
Des fruits à tous les niveaux Bâtie sur le principe de la permaculture, la forêt comestible entend recréer un agrosystème forestier complexe en imitant la composition et la diversité d’une forêt naturelle.
Et ce, en reproduisant ses différentes strates et espèces végétales. Une fois réalisée, la forêt comestible se développe et évolue d’elle-même. « Personne ne fertilise ou n’irrigue une forêt.
La forêt est autonome. Si vous êtes capable de recréer une forêt nourricière alors votre principal effort sera d’en récolter les fruits » indique Robert Hart spécialiste britannique qui a introduit le concept en occident.
Beacon Food Forest Outre la future production de fruits et légumes librement accessibles à la population, la Beacon Food Forest (BFF) caresse d’autres objectifs. Parmi eux, le développement du lien social intercommunautaire.
Quelque 100 bénévoles issus des différentes communautés de Seattle œuvrent ainsi main dans la main à donner vie à ce jeune tapis végétal.
Autres atouts à mettre au crédit de la BFF, le stockage de CO2 , larelocalisation d’une partie de la production alimentaire et la sensibilisation des enfants à l’environnement à la faveur d’ateliers organisés sur place.
Première récolte à l’été 2014
En cours, la phase 1 du projet prévoit la plantation du 1er hectare de forêt. Les premiers fruits pourront être cueillis dès l’été prochain. L’objectif des 3 hectares de couvert forestier devrait être atteint d’ici trois ans. « Nous voulons servir d’exemple pour inspirer d’autres personnes aux Etats-Unis et dans le monde » explique Jacqueline Cramer, co-fondatrice du projet BFF.
La ville de Los Angeles aux Etats-Unis ou celle d’Adélaïde en Australie abrite déjà ce type de forêt.
Si les jardins communautaires et les potagers libres des Incroyables Comestibles ont actuellement le vent en poupe en France, il y a fort à parier que des projets de forêts comestibles pousseront dans l’Hexagone dans les années à venir.
Le FBI sauve 105 ados d'un réseau de prostitution
Les agents du FBI ont fait des descentes dans 76 villes des Etats-Unis ce week-end pour démanteler un réseau de prostitution de mineurs et d'adultes.
C'est un gigantesque coup de filet dans le milieu de la prostitution de mineurs que vient de mener le FBI, la police fédérale des Etats-Unis.
Les enquêteurs ont sauvé 105 jeunes des griffes d'un réseau et arrêté 150 proxénètes présumés ce week-end.
Une opération d'une envergure exceptionnelle. Des policiers ont fait des descentes simultanées dans 76 villes des Etats-Unis.
La plus jeune des victimes est âgée de 13 ans seulement.
D'après le site d'informations américain NBCnews, les forces de l'ordre ont traqué les organisateurs de ce vaste réseau de prostitution d'adolescents et d'adultes dans les rues, les motels, les casinos mais aussi sur les plateformes des réseaux sociaux.
Dans certains cas, les proxénètes ont utilisé un site internet de petites annonces très populaire aux Etats-Unis — Backpage — pour vendre les enfants aux clients.
Attirées par des compliments et des cadeaux Ronald Hosko, le directeur adjoint de la division des investigations criminelles au FBI, a indiqué que les criminels présumés ciblaient des enfants perturbés ou issus de familles fragiles. «Les filles étaient attirées par des compliments ou des cadeaux, on leur demandait si elles voulaient se faire de l'argent, explique Ronald Hosko.
Alors, elles étaient piégées dans un cycle qui impliquait drogues, violences physiques, et qui peut comporter des tortures».
Le responsable de la police fédérale espère que cette affaire va faire prendre conscience au public du problème du trafic sexuel, «cette menace qui guette nos enfants», a conclu Ronald Hosko.
Le trafic d'êtres humains sera un des chefs de mise en examen retenus contre les proxénètes ont précisé les autorités.
Des arbres centenaires d’Amazonie rasés pour la visite du pape !!!!!!
Les autorités du Brésil ont qualifié l’attitude des dirigeants de l’Eglise comme criminelle après avoir abattu plus de 300 arbres centenaires dans un parc national de manière à ce que les pèlerins puissent célébrer la messe lors de la visite du Pape à Rio de Janeiro, prévue à la fin du mois.
Les organisateurs de l’événement, qui aura lieu dans le diocèse de Sao Sebastiao de Itaipu, dans la ville de Niteroi, ont affirmé qu’il avait été nécessaire de raser une partie de la forêt tropicale afin de pouvoir accueillir environ 800 pèlerins.
Au total, ce sont 334 arbres centenaires, situés à l’orée du parc national Serra da Tiririca et sur des terres appartenant à l’Eglise, qui ont été abattus.
Pour l’adjoint au maire de Niteroi, Axel Grael, l’Eglise n’avait pas reçu la permission de déboiser ces terres. « C’est une attitude lamentable. Un événement qui vise les jeunes doit être éducatif et montrer un engagement pour l’environnement et l’avenir ».Même son de cloche à l’Institut pour l’environnement où Andre Ilha déclare: « Cette déforestation est un acte criminel » et de confirmer que cette destruction n’a jamais été autorisée. « La zone détruite servait de zone tampon au parc Tiririca.
Nous n’aurions jamais autorisé ces abattages. Il s’agit d’un fragment de la forêt tropicale de l’Atlantique qui est en voie de disparition.Nous comptons bien les poursuivre en justice ».
Face aux critiques, le diocèse aurait proposé de replanter des arbres, mais le mal est fait. Ce n’est pas la première fois que les organisateurs de la Journée mondiale de la jeunesse sont critiqués pour leur mépris de l’environnement.
Il y a quelques jours, une pétition a circulé pour éviter la suppression de 11 cocotiers situés au bord de la plage de Leme, où le pape doit célébrer une messe.
L’autorisation avait été accordée, mais après le tollé engendré, le maire de Rio, Eduardo Paes, a fait marche arrière.
Etats-Unis : une liste de 19 enfants arrêtés récemment pour des choses triviales
Le monde change apparemment vite. Les choses ne sont pas ce qu'elles devraient. La liste suivante a été compilée par Policing the Police Facebook;
#1 Dans une école publique d'une ville du Texas, une fillette de 12 ans nommée Sarah Bustamantes a récemment été arrêtée pour s'être mis du parfum avec un vaporisateur.
#2 Un collégien de 13 ans d'une école d'Albuquerque, au Nouveau-Mexique a été récemment arrêté pour avoir roté en classe.
#3 Un autre collégien d'Albuquerque a été forcé de se déshabiller et d'enlever ses sous-vêtements pendant que cinq adultes l'observaient parce qu'il avait 200 dollars dans une poche. Le collégien n'a jamais été accusé de quoi que ce soit de mal.
#4 Un garde de sécurité d'une école californienne a cassé le bras d'une jeune fille de 16 ans parce qu'elle avait laissé des miettes sur le sol après avoir ramassé des morceaux du gâteau qu'elle avait fait tomber.
#5 Un couple d'adolescents de Houston s'est mutuellement arrosé de lait pendant une dispute tout en éclatant de rire. Au lieu d'être envoyés au principal, ils ont été arrêtés et envoyés au tribunal.
#6 Début 2010, une fillette de 12 ans dans une école de New York a été arrêtée par la police et emmenée de force menottée juste parce qu'elle avait griffonné sur son bureau "J'aime mes amis Abby et Faith".
#7 En Floride, une petite fille de 6 ans a été menottée et envoyée à une institution psychiatrique après avoir piqué des crises de colère à son école primaire.
#8 Un étudiant du Texas aurait été arrêté par la police pour avoir lancé des avions en papier dans la classe.
#9 Une étudiante émérite de 17 ans de Caroline du nord nommée Ashley Smithwick a emporté accidentellement le déjeuner de son père à l'école. Il contenait un petit couteau servant à éplucher ses pommes. Que s'est-il donc passé pour cette remarquable étudiante quand l'école a découvert ceci ? Hé bien l'école l'a renvoyée pour le reste de l'année et la police l'a accusée d'acte délictueux.
#10 À Allentown, en Pennsylvanie, une ado de 14 ans a été tasée dans la région de l'aine par un agent de sécurité scolaire bien qu'elle ait mis les bras en l'air pour se rendre.
#11 En Floride, un collégien de 11 ans a été arrêté, jeté en prison et accusé d'un crime au 3ème degré pour avoir apporté à l'école un couteau à beurre en plastique.
#12 En 2009, un garçon de 8 ans du Massachusetts a été renvoyé à la maison et obligé de subir une évaluation psychologique parce qu'il dessinait une représentation de Jésus sur la croix.
#13 Un officier de police de San Mateo, en Californie a vaporisé du poivre sur le visage d'un écolier de 7 ans en cours spécialisé parce qu'il n'arrêtait pas de grimper sur des meubles.
#14 Dans l'Amérique d'aujourd'hui, même des enfants de 5 ans sont traités brutalement par la police. Ce qui suit provient d'un article récent qui décrivait ce qui s'est passé il y a quelque temps pour une très jeune écolière de Stockton en Californie..." En début d'année, un écolier de Stockton a été menotté aux mains et aux pieds avec des attaches à scratch, emmené de force à l'hôpital pour une évaluation psychiatrique et a été accusé de voies de fait sur un officier de police. L'écolier avait 5 ans".
#15 Dans une école du Connecticut, un jeune homme de 17 ans a été jeté à terre et tasé cinq fois parce qu'il hurlait après un employé de caféteria.
#16 Un adolescent de la banlieue de Dallas a été obligé de travailler à temps partiel après un procès verbal pour avoir parlé grossièrement dans une classe de collège. Le procès verbal était d'un montant de 340 dollars, mais des frais supplémentaires l'ont fait passer à un total de 637 dollars
#17 Il y a quelques mois, la police a été appelée quand une petite fille a embrassé un petit garçon pendant un cours d'éducation physique dans une école primaire de Floride.
#18 Un garçon de 6 ans a récemment été accusé de crime sexuel pour un "contact inapproprié" en jouant à chat perché dans une école primaire de la région de San Francisco.
#19 Dans le Massachusetts, la police a été envoyée pour récupérer un livre de bibliothèque rendu en retard par une petite fille de 5 ans.
Doubs : chassés de leur maison par des milliers d'insectes
Depuis une semaine, ces habitants de Saint-Maurice-Colombier, près de Montbéliard (Doubs), font face à une invasion massive et inexpliquée d'insectes autour et dans leur maison, rapporte l'Est Républicain.
«Dès 19 h, il faut tout fermer.Se barricader», explique le quotidien régional.
Et chaque matin, ce sont des milliers de cadavres de ce qui ressemble à des moustiques qui forment une couche de plusieurs centimètres tout autour du logement.
« J’ai beau tout enlever, sur les rebords de fenêtre, sur le toit, il y en a toujours autant », témoigne le le jeune père de famille complètement dépassé par l'événement.
Est-ce la conséquence d'une météo particulièrement changeante ?
Personne n'a été en mesure d'expliquer la cause de cette invasion. Un doute subsiste également sur l'identité des «envahisseurs», une chercheuse de l’institut Pasteur, interrogée par l'Est Républicain, ayant écarté la piste du moustique.
En attendant d'y voir plus clair, et de trouver une solution, la femme du couple, allergique aux piqûres d’insectes, et leurs deux filles de 18 mois et de 3 ans ont dû quitter les lieux.
Le père de famille, lui, cherche encore un remède mais n'est pas aidé par le fait qu'il est le seul habitant du village à constater ce phénomène.
La situation est toutefois bien moins grave que celle que vient de connaître un couple d'Américains, brusquement attaqué par 30 000 abeilles mercredi soir, dans le nord du Texas.
Ils ne doivent leur survie qu'au fait de s'être réfugiés à l'intérieur de la maison, chance que n'ont pas eu leurs deux poneys et cinq poules présents sur la propriété, qui ont succombé à leurs nombreuses piqûres.
Les précautions à prendre en cas de gros orages.
Selon Météorage, opérateur du réseau français de détection de la foudre, une centaine de personnes sont foudroyées en moyenne chaque année en France.
Dont la moitié entre juillet et août.
Pour éviter que cela vous arrive, voici quelques précautions à prendre.
- Eviter certaines activités à risque.
En cas de risques orageux, évitez certaines activités d’extérieur comme la pêche, la baignade, le bateau, le cyclisme, le golf ou l’alpinisme. N’effectuez pas de travaux électriques, ou de réparation sur votre toiture. Vous risquez de subir un foudroiement direct, ou d’être gravement commotionné par propagation de la tension électrique. Sachez en revanche que l’utilisation d’un téléphone mobile n’augmente pas le risque de foudroiement, contrairement aux lignes fixes.
N’hésitez donc pas à les utiliser en cas de danger.
- Bien choisir son abri.
Les bons abris protégeant de la foudre sont, en extérieur, les édifices en pierre (huttes, église ou chapelle). Les automobiles closes (non décapotables) font office d’excellente cage de Faraday (des structures constituées de manière à être étanches aux champs électriques). Dans les habitations, même celles équipées de paratonnerre, évitez de toucher des pièces métalliques telles les conduites et robinets d’eau, de prendre un bain ou une douche, ou de toucher les machines électrodomestiques.
Par précaution, il est même préférable de débrancher les appareils électriques.
- Les abris à risque.
Ne vous abritez surtout pas sous un arbre, en particulier s’il est isolé ou situé dans un petit groupe d’arbres. Il est prouvé aujourd’hui que le risque de foudroiement d’un arbre isolé est environ 50 fois supérieur à celui d’un homme debout. Aussi, ne vous abritez pas sous un parapluie ouvert et évitez de porter des objets métalliques qui émergent au-dessus de la tête, vous seriez une cible privilégiée pour les foudroiements. Pour les mêmes raisons, écartez-vous des structures métalliques comme les pylônes, poteaux et clôtures.
- La meilleure position à avoir.
Evitez de vous tenir debout les jambes écartées, vous risqueriez d’être commotionné par une «tension de pas». La meilleure position à avoir est pelotonné au sol, les jambes repliées, et de préférence sur une bâche en plastique ou un ciré (une matière isolante).
- Les précautions à prendre en montagne.
Quand les premiers signes orageux se font sentir, les alpinistes doivent penser à s’éloigner rapidement des pointes et des arêtes. Il vaut mieux ensuite s’abriter sous un ressaut et s’éloigner des parois. Il est fréquent que des alpinistes ayant subi une commotion au contact de parois électrifiées connaissent des chutes graves. Sinon, si vous êtes en pleine forêt quand l’orage éclate, éloignez-vous au maximum des troncs et des branches bas.
- Les précautions à prendre sur l’eau.
Toute activité mettant le corps en contact avec l’eau est dangereuse, dans la mesure où le corps mouillé devient conducteur d’électricité. Si vous êtes dans une barque ou un bateau sans mât, la meilleure solution est de rejoindre la rive le plus vite possible. Si vous vous trouvez sur un voilier moderne avec une coque et un mât en métal, la structure métallique constitue déjà une sorte de cage de Faraday qui vous protègera. Sur les bateaux en bois ou en matière synthétique, attachez une ou deux chaînes à la ceinture métallique et plonger l’autre extrémité dans l’eau, pour constituer une bonne «prise d’eau». Les personnes à bord devront alors se placer le plus bas possible, voire dans la coque si les manœuvres le permettent. Conditions de formation d'un orage. Où se forment les orages ? Les orages peuvent se former quasiment n'importe où. Cependant, ils seront beaucoup moins nombreux au nord de l'Angleterre que près de l'équateur. Ils sont inexistants dans les régions polaires ou subpolaires. Il y a donc un affaiblissement de la force des orages en s'éloignant de l'équateur. Ceci est expliqué par deux raisons principales qui sont : la chaleur et l'humidité. En effet il fera beaucoup plus chaud près de l'équateur que vers la Norvège. L'humidité n'étant pas la même non plus. Plus il fera chaud et humide, et plus les tours cumuliformes des cumulonimbus pourront se développer verticalement et latéralement, donc plus l'orage sera violent.
Conditions de formation d'un orage
Pour qu'il y ait orage , il faut qu'il y ait un mouvement vertical rapide de l'air instable et humide vers le haut. Une masse d'air humide s'élève rapidement, en s'élevant l'air se refroidit et se condense. Cette condensation provoque un dégagement de chaleur latente, ainsi l'air saturé devient plus chaud que l'air ambiant et continue donc de s'élever naturellement, on parle de cellule convective qui donne forme à des cumulus ou des cumulonimbus.
De violents courants d'air verticaux entraînent l'humidité, les fragments de glace, les grêlons et les gouttelettes d'eau à l'intérieur du nuage. Ces frottements créent une séparation des charges électriques. Les particules les plus fines, chargées d'électricité positive, se dirigent vers le sommet. Les plus lourdes chargées d'électricité négative vont vers la base. À cause des mouvements verticaux très violents et puissants, il y a déséquilibre entre les charges électriques à l'intérieur du nuage ainsi qu'à l'extérieur, entre la base négative du nuage et le sol positif.
Quand les charges accumulées deviennent trop importantes, et surtout lorsqu'il y a opposition directe entre ces charges, il y a décharge électrique (éclair) et un orage éclate.
Le 21 juillet 1969, en plein été, l’homme faisait un premier pas sur le désert lunaire.
Depuis cet exploit historique, tous les yeux se sont tournés vers la prochaine étape. « Nous devons coloniser l’espace, et Mars en particulier », affirmait, en janvier 2012, le célèbre physicien américain Stephen Hawking sur la BBC.
S’établir sur la Planète Rouge ? Ce rêve encore lointain prend forme dans la tête de certains. « Une expérience dingue »
Car, si la Nasa traîne des pieds pour des raisons financières et politiques, des visionnaires promettent d’envoyer des hommes sur la Planète Rouge dans dix ans pour y créer une colonie.
Ce projet baptisé Mars One « est une expérience dingue et fascinante », selon un de ses promoteurs, le Néerlandais Gerardt Hooft, prix Nobel de physique en 1999.
Mais dans le monde scientifique, cette opération, qui consiste à envoyer quatre astronautes sur Mars et à les installer dans un habitat en forme de capsules, est largement décriée.
D’autant que la fusée de l’entreprise américaine SpaceX qui emmènera ces futurs Martiens dans l’espace ne permettra pas de les ramener, faute de carburant, et que ce voyage sans retour servirait surtout de prétexte à une émission de télé-réalité mondiale montrant les péripéties de l’expédition.
C’est le moyen qu’a trouvé l’association à but non lucratif néerlandaise à l’origine de ce projet pour le financer, à hauteur de 5 milliards de dollars. « Ils n’ont ni la notion du temps ni celle de l’argent », tranche François Forget, directeur de recherche au CNRS et planétologue.
Selon lui, le coût d’un tel projet serait plutôt de l’ordre des 200 milliards d’euros. La température actuelle est de – 60 °C Reste que la colonisation de Mars, aussi lointaine soit-elle, pourrait bien advenir un jour. « Si on attend de maîtriser toutes les technologies pour s’y installer, ça risque d’être très long », prévient Francois Forget. L’enjeu le plus difficile pour l’homme est sa capacité à supporter les conditions de vie sur Mars : l’air y est irrespirable, la pression atmosphérique trop basse, la température moyenne avoisine les – 60 °C… Pour se déplacer sur Mars, il faudrait être lourdement équipé, comme les astronautes qui ont foulé la Lune.
Difficile de s’installer durablement dans ces conditions.
La solution envisagée ?
Changer la Planète Rouge en une deuxième Planète Bleue. Apparue dans la science-fiction des années 1940, l’idée de la « terraformation » d’une autre planète, qui consiste à la transformer pour la rendre similaire à la Terre, n’est pas une lubie.
Une fois l’atmosphère de Mars réchauffée et les calottes glacières en grande partie fondues, l’eau à l’état liquide ferait son l’apparition. – Ando« La théorie a même été crédibilisée par des scientifiques dans les années 1990 », note François Forget.
A l’époque, le planétologue de la Nasa Christopher P. McKay et l’ingénieur Robert Zubrin ont rendu des rapports enthousiastes sur le sujet.
A les entendre, il suffirait de réchauffer Mars pour enclencher un mécanisme physique qui nous permettrait de nous y balader tranquillement. « Attention, c’est un processus énorme », prévient Charles Frankel, géologue et journaliste scientifique, spécialiste de Mars.
Polluer pour bien réchauffer Première étape : créer un effet de serre qui retient la chaleur solaire et réchauffe la planète.
Pour cela, il faudrait densifier l’atmosphère martienne, composée majoritairement de dioxyde de carbone (CO2), mais en trop faible quantité.
Comment ?En libérant le gaz carbonique retenu dans les calottes glaciaires. Pour les faire fondre, les scientifiques imaginent installer en orbite un gigantesque miroir, d’une surface de 100 000 kilomètres carrés, qui réfléchirait les rayons du soleil directement sur les calottes.
Techniquement réalisable, le dispositif coûterait une fortune. Autre solution : polluer Mars ! Certains fluors, comme le fréon, sont des gaz à effet de serre d’une efficacité redoutable pour réchauffer une planète.
Dans ce but, le projet espagnol Nomad envisage d’envoyer sur Mars de véritables usines mobiles dont le rôle consisterait simplement à transformer, par combustion, les minéraux présents dans le sol en gaz à effet de serre.
Une fois les calottes fondues, le CO2 se libérerait pour densifier l’atmosphère de Mars.
La température deviendrait plus agréable – autour de 15 °C – et la pression augmenterait mécaniquement pour devenir semblable à celle de la Terre.
Les Martiens humains pourraient alors sortir en chemise, munis d’un masque à oxygène. Reste une ultime opération : transformer le CO2 en oxygène pour pouvoir respirer
. Faire apparaître la vie Certaines espèces de bactéries se nourrissent de CO2 et rejettent, comme une plante, de l’oxygène. Grâce à elles, le gaz carbonique disparaîtrait et la vie pourrait apparaître, comme ce fut le cas sur Terre.
Ce processus prendrait alors des milliers d’années. « C’est une aventure à l’échelle d’une civilisation, reconnaît Charles Frankel.
Mais rien n’exclut que l’on trouve des raccourcis dans le futur. » Certes, mais la sonde Mars Express, lancée en 2003, a mis ce rêve à mal. « On imaginait qu’il y avait beaucoup plus de CO2 dans les calottes glaciaires », reconnaît François Forget.
En fait, les réserves connues sont trop faibles pour imaginer mener une terraformation à l’échelle de la planète. « En revanche, terraformer une partie de Mars est tout à fait possible », assure le chercheur.
C’est peut-être ce qui permettrait de prolonger le rêve de Mars One ou celui des autres conquistadors de la Planète Rouge : terraformer la planète par zones dans de larges serres, quitte à utiliser un scaphandre pour se déplacer entre les villes sous bulles.
Et imaginer que ces villes se rejoignent un jour.
La Nasa envisage une mission habitée Le 14 septembre 2011, la Nasa dévoilait son projet de fusée SLS (Space Launch System, ci-contre), capable de transporter 70 tonnes de matériel et d’effectuer des missions habitées sur de longues distances.
Mais sa propulsion classique est gourmande en carburant. La Nasa a peut-être la parade. Elle développe depuis plusieurs années des moteurs nucléaires, qui dépensent moins d’énergie. Les premiers tests auront lieu dans cinq ans dans un désert américain. En cas de succès, l’homme fera un grand pas vers Mars.
Elle ne risque pas d’oublier ces retrouvailles… aquatiques! D’autant que les images tournent en boucle sur YouTube depuis leur mise en ligne, le 16 juillet. On peut s’y délecter de l’émouvante surprise que réserve un soldat américain à sa famille. Le capitaine Hyrum Bronson est censé rentrer quelques jours plus tard d’une mission de six mois en Afghanistan, mais il a décidé d’anticiper, et surtout de mettre en scène son retour. D’une façon pour le moins originale. Ses proches ne se doutent de rien. Alors qu’ils sont en vacances et qu’ils l’attendent, sa femme et leurs quatre enfants se baignent dans la mer. Un complice du soldat les filme, alors que tous barbotent dans l’eau. Sur la vidéo de deux minutes, on entend d’abord le complice interroger l’un des petits, puis leur mère sur le retour du soldat… Alors que tous adressent des paroles tendres au capitaine, l’intéressé surgit soudain des eaux, en uniforme, après « avoir palmé » pour ne pas se faire repérer! « Madame Bronson, votre mari au rapport », lance le soldat à son épouse, sous le choc. Alors que les enfants se jettent sur leur père, son épouse écrase une larme, visiblement surprise et bouleversée, avant d’enlacer son mari, après six mois de longue absence. La mise en scène est parfaite, la séquence très émouvante. Et la vidéo ravit les internautes : hier soir, elle totalisait près de deux millions de vues. VIDEO. Un soldat américain fait une surprise très émouvante à sa famille
Futur : un avion à ciel ouvert Un habitacle spacieux, une cabine ultra-connectée et des sièges autonettoyants…
Le vol de demain s’annonce confortable.Vous en avez marre d’être à l’étroit, les genoux presque au niveau de la tête, en priant pour que votre écran fonctionne ?
Rassurez-vous, le futur devrait être plus clément pour les passagers des avions, surtout pour ceux qui ne connaissent que la classe économique.
Alors que les chercheurs s’arrachent les cheveux pour déterminer quel moteur pourra décupler la vitesse des avions, les constructeurs imaginent déjà la cabine de l’an 2050.
C’est notamment le cas d’Airbus. Le constructeur européen, qui vient de sortir son nouveau long-courrier, l’A350, réfléchit de manière originale à l’aménagement de l’appareil qui prendra sa suite dans quarante ans. « Nous avons d’abord réalisé des sondages auprès des jeunes pour connaître leurs aspirations », explique Charles Champion, vice-président exécutif du groupe, en charge de l’ingénierie.
Résultat :
les sondés ont plébiscité les nouvelles technologies. « Dès lors, nous nous sommes demandés comment utiliser les recherches actuelles pour les appliquer en 2050. »
Résultat, le projet Future by Airbus, dévoilé en 2011, offre une vision stupéfiante de la cabine de demain.
Les sièges exploitent la chaleur du corps Très loin du low-cost, cette dernière se distingue par son luxe et son confort et se divise en trois zones aux ambiances différentes. « La première est une “zone techno-branchée” », explique Charles Champion.
Au programme, tout un environnement pour travailler ou s’amuser :
écrans holographiques et interactifs, fauteuils adaptés à la morphologie… Tout est fait pour profiter pleinement du voyage sans bouger de son siège.
La deuxième partie est une zone circulaire consacrée au virtuel. Les fauteuils s’adapteront à la morphologie du?passager, et les écrans seront holographiques.
– AirbusLes voyageurs auront l’impression d’évoluer dans un grand espace. « Par exemple, on pourra organiser des conférences ou même jouer au golf », s’enthousiasme le cadre d’Airbus.
Enfin, la troisième zone est réservée à la relaxation. « Pour ce projet, nous voulions redéfinir l’expérience du passager autour des cinq sens. » Il pourra ainsi choisir la température ou l’ambiance sonore de sa zone de confort, sans déranger personne autour.
Les ingénieurs d’Airbus ont même imaginé construire le toit de l’avion avec un matériau transparent de façon à observer le ciel et les nuages pendant le vol.
Et ce n’est qu’un aperçu de ce que nous pouvons attendre de l’avenir : sièges autonettoyants ou capables de produire de l’électricité grâce à la chaleur du corps, valises à puces, connectées, qui vous guideront à votre siège…
Autant d’innovations qui amélioreront le confort. Confort ou low-cost, il faut choisir… Mais entre les rêves et la réalité, il y a un monde.
Et celui des vingt prochaines années ne ressemble en rien à celui promis par Airbus en 2050.
Au Salon du Bourget, le rendez-vous bisannuel des professionnels de l’aviation, les constructeurs exposaient, en juin, les cabines nouvelle génération qui seront installées dans les prochaines années.
En classe éco, pas d’écrans tactiles ou d’espace virtuel, le mot à la mode est plutôt « densification ».
En d’autres termes, l’objectif est d’accroître le nombre de passagers, surtout sur les vols intérieurs ou les moyen-courriers qui tournent plusieurs fois par jour. « Nous avons réussi à gagner suffisamment d’espace pour rajouter douze sièges dans la cabine », s’enorgueillit-on chez le français Zodiac Aerospace, un des leaders mondiaux de l’aménagement intérieur des avions.
Pour y arriver, l’entreprise a développé des sièges plus fins sans rogner sur l’espace réservé aux jambes. « Nous avons aussi agrandi les placards à bagages de 60 % », explique Pierre-Anthony Vastra, le directeur de la communication du groupe.
Cela permet aussi de placer de plus grosses valises en cabine. « Les compagnies aériennes veulent intégrer plus de passagers, explique-t-il, sans perdre de temps lors de l’embarquement et du débarquement ».
Comme si l’avion allait devenir le moyen de transport en commun de demain, au même titre que le bus ou le métro.
L’agence de design britannique Studio Q a même poussé le concept plus loin en proposant une cabine proche de celles des avions militaires.
Des strapontins, quelques tables… et c’est tout !
Les passagers décideront Ce scénario, André-Yves Portnoff n’y croit pas.
Ce chercheur en prospective et stratégie, qui dirige l’Observatoire de la révolution de l’intelligence (groupe Futuribles International), est convaincu qu’il faudra répondre aux attentes des voyageurs en termes de confort. « L’avenir ne peut pas être le wagon à bestiaux, insiste-t-il.
Les compagnies aériennes ont été ébranlées par l’arrivée du low-cost et ne voient leur avenir qu’à court terme. » Une stratégie pas forcément payante selon lui, car c’est avant tout le voyageur qui décidera de la cabine de demain. « Les gens ne veulent pas un billet moins cher, ils veulent un juste prix par rapport à la qualité proposée. » La chasse aux coûts finira par montrer ses limites.
Aucun passager n’est d’ailleurs prêt à transiger sur des points comme la sécurité ou la régularité des avions.
Chez Airbus, c’est clair, on ne croit pas à la cabine minimaliste. « En quarante ans, il y a eu d’énormes progrès en matière de confort, même pour les classes économiques, souligne Charles Champion.
Ce sont les compagnies les plus innovantes dans ce domaine qui définissent les tendances à venir. »
Une bonne nouvelle pour les voyageurs du futur :
l’avion de 2050 sera peut-être à la hauteur de leurs espérances.
En vacances sans leur enfant de 9 ans pour faire des économies...
A Besançon, un enfant de 9 ans a été retrouvé seul à son domicile, alors que ses parents étaient partis en week-end « en amoureux » puisqu'ils ne pouvaient pas se payer de "vraies" vacances cette année.
Un week-end en amoureux à tout prix !
Selon le quotidien l'Est Républicain, un petit garçon a alerté ses parents, le dimanche 14 juillet dernier, que son copain de 9 ans se trouvait seul (depuis la veille), à son domicile, dans un village du Doubs.
D'après les éléments de l'enquête, les parents du petit garçon de 9 ans l'ont laissé seul à la maison (« avec de la nourriture ») pour pouvoir s'offrir un petit week-end en tête-à-tête en Haute-Saône...
Alertés, les gendarmes ont rapidement pris en charge le jeune enfant, qui a ensuite été placé dans une famille d'accueil sur demande du Procureur de la République de Besançon.
Convoqués devant la justice À leur retour dans la nuit de dimanche à lundi, les parents ont découvert une convocation des gendarmes leur enjoignant de se présenter à la gendarmerie le plus rapidement possible.
Placés en garde à vue pour « délaissement de mineur de moins de 15 ans », ils ont expliqué que leur enfant pouvait se débrouiller tout seul.
Sans emploi tous les deux, l'absence de leur fils leur a également permis de faire des économies.
Le couple a été remis en liberté en attendant les conclusions de l'enquête.
Ils encourent jusqu'à 7 ans d'emprisonnement et la perte de la garde de leur enfant.