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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Procès : le martyre d'Angèle, tuée à 4 ans
En septembre 2014, les pompiers, appelés par le beau-père d’Angèle, l’avaient trouvée inanimée à l’issue d’une semaine de violences.
La fillette de 4 ans avait été torturée puis étranglée dans la maison familiale, en Vendée. Sa mère et son beau-père sont jugés aux assises à partir de lundi.
Les derniers jours, Angèle ne parlait plus, ne jouait plus, ne souriait plus. Et puis, la petite fille de 4 ans est morte. Étranglée.
Sa mère Jordane, 24 ans, et son compagnon d'alors, David, 29 ans, comparaissent à partir de lundi devant les assises de Vendée, où ils encourent la perpétuité.
C'était le 8 septembre 2014. Les pompiers, appelés par David, avaient trouvé la petite inanimée sur un matelas, le corps couvert de bleus, de morsures et de brûlures. L'issue tragique d'une semaine de violences dans le huis clos d'une maisonnette de Saint-Georges-de-Pointindoux, où Jordane venait d'emménager avec David, rencontré trois mois plus tôt.
«Dans la mesure où l'on n'a pas d'éléments de mauvais traitements antérieurs, rappelle Me Loïc Cabioch, avocat de la mère, un des sujets de l'audience sera d'analyser l'alchimie néfaste de ce couple.»
Si tous deux minimisent et rejettent sur l'autre les violences les plus graves, celles qu'ils ont admises ont suffi à convaincre les juges d'instruction de les qualifier d'actes de torture et de barbarie -- la mère étant également poursuivie pour le meurtre, qu'elle nie : Angèle a été mordue, giflée, traînée par les cheveux, bâillonnée, attachée par la queue-de-cheval à un escalier... parce qu'elle réclamait des gâteaux ou sa grand-mère.
Quelques jours avant sa mort, la fillette avait également été brûlée sur un tiers du corps par une douche trop chaude. Des brûlures si profondes que les experts ont estimé qu'elles avaient occasionné des douleurs proches de 10 sur une échelle de 10.
Jordane a cherché à soigner sa fille elle-même, sans l'emmener aux urgences. Et quand celle-ci «chouinait» la nuit, selon ses termes, personne ne s'est levé pour elle. Inquiet pour sa fille, son père avait fait un signalement Fragilisée par une enfance faite de violences et d'abus sexuels, placée en famille d'accueil, Jordane était tombée enceinte de son premier amour, Dylan. Elle n'avait découvert sa grossesse qu'au bout de six mois, et, quinze jours plus tard, mettait au monde la petite Angèle, née grande prématurée.
L'union n'avait duré qu'une quinzaine de mois. Sans diplôme, Jordane était alors retournée vivre chez sa mère. Inquiet pour sa fille dont il était sans nouvelles, Dylan avait fait un signalement. L'unique visite diligentée, fin 2011, par les services de l'aide sociale à l'enfance avait conclu à une «bonne relation mère-enfant».
Une mère immature, selon le père Pas suffisant, selon Me Laurence Micaleff-Napoly, avocate de l'association l'Enfant bleu, partie civile, pour qui Jordane «présentait le panel parfait de la jeune mère en difficulté».
«En une visite, on décide qu'il n'y a aucun danger pour l'enfant ?» s'agace-t-elle. Innocence en danger, autre association partie civile, attend l'audience pour comprendre si «les institutions ont failli».
«Nous voulons surtout savoir ce qu'ont été les quatre ans de vie de cette petite fille», rappelle Me Nathalie Bucquet, son avocate. Conseil de David, Me Lee Takhedmit s'inquiète de voir son client encourir la perpétuité «pour une douche qu'il nie avoir donnée, qui plus est alors que des experts ont démontré que celle-ci était défectueuse !».
«Il a certes infligé certaines punitions qu'il regrette, mais s'est surtout retrouvé otage d'une situation qu'il n'avait pas choisi.» La mère, elle, nie toujours l'étranglement. Elle jure avoir seulement voulu «maintenir» sa fille en la soignant, car elle «bougeait beaucoup». Ensuite, elle l'aurait prise dans ses bras avant de la coucher. Selon ses dires, Angèle lui aurait alors dit : «Je t'aime, maman.»
LE NÉPAL CÉLÈBRE TRISHNA SHAKYA, 3 ANS ET NOUVELLE «DÉESSE VIVANTE»
Au Népal, une fillette de 3 ans a été choisie pour devenir «Kumari», l'incarnation de la déesse hindoue Taleju.
Des prêtres hindous ont intronisé jeudi une fillette népalaise de trois ans nouvelle «déesse vivante» de Katmandou, selon une tradition multiséculaire, et l'ont emmenée dans un palais où elle devra rester jusqu'à sa puberté.
Vêtue d'une robe rouge, la nouvelle «Kumari» - considérée comme l'incarnation de la déesse hindoue Taleju - a été emmenée de la maison de sa famille jusqu'au Durbar Square, place historique de Katmandou qui porte encore les cicatrices du séisme de 2015.
Dans les bras de son père, Trishna Shakya a été portée à la résidence où elle restera cloîtrée jusqu'à ses premières règles. Elle ne pourra en sortir que quelques fois par an à l'occasion de fêtes religieuses - et toujours portée, car ses pieds ne doivent pas fouler le sol impur.
«Mes sentiments sont partagés. Ma fille est devenue la nouvelle Kumari et c'est une bonne chose. Mais il y a aussi de la tristesse à savoir qu'elle va être séparée de nous», a déclaré son père Bijaya Ratna Shakya. Cette tradition multiséculaire, qui mélange éléments hindous et bouddhistes, était étroitement liée à la royauté qui a longtemps régné sur le Népal. Malgré l'abolition de la monarchie en 2008, le culte des Kumaris (mot provenant du sanskrit pour «princesse») a continué. Les défenseurs des droits des enfants sont très critiques vis-à-vis de cette coutume, qui prive selon eux les «déesses vivantes» d'enfance en les forçant à vivre coupées de la société.
En 2008, la Cour suprême du Népal a décrété que ces filles devaient recevoir une éducation, qui leur est désormais prodiguée à l'intérieur du palais. Les anciennes Kumaris ont témoigné des difficultés de réadaptation à la société après leur règne. Les Kumaris, filles prépubères de la communauté Newar, doivent répondre à de stricts critères, notamment physiques, comme un corps sans imperfection.
Même si une fille remplit toutes les exigences physiques, elle doit également prouver sa bravoure en évitant de pleurer devant le sacrifice d'un buffle. leparisien.fr
TRIBUNAL DE CHALON: « Comment, sur une petite imprudence, la vie bascule. »
A la barre, Cyrille, 20 ans. Il n’en avait que 19 le 18 février dernier. C’était un samedi, soir de sortie pour bien des jeunes, ceux-là avaient décidé d’aller à la Clé des Chants à Montrevel. Ils sont six à se retrouver chez l’un d’entre eux, ils boivent quelques verres, et puis ils partent, à six dans la même voiture. Ils avaient choisi leur Sam, celui qui conduirait et donc ne boirait pas, et n’ont pas voulu prendre deux voitures, car si Cyrille acceptait d’être responsable du convoi, les autres ne voulaient pas renoncer aux rhum-coca.
« Mon fils est décédé à l’âge de 18 ans, prêt à braver certains interdits pour passer une bonne soirée. »
La présidente Therme lit le courrier de cette mère en deuil, ceux qui pleurent ont eux aussi été frappés au cœur, les autres mangent leurs larmes. Comme le dira Maître Dufour :
« Devant une telle douleur, on s’incline. »
A la barre, Cyrille, 20 ans. Il n’en avait que 19 le 18 février dernier. C’était un samedi, soir de sortie pour bien des jeunes, ceux-là avaient décidé d’aller à la Clé des Chants à Montrevel. Ils sont six à se retrouver chez l’un d’entre eux, ils boivent quelques verres, et puis ils partent, à six dans la même voiture. Ils avaient choisi leur Sam, celui qui conduirait et donc ne boirait pas, et n’ont pas voulu prendre deux voitures, car si Cyrille acceptait d’être responsable du convoi, les autres ne voulaient pas renoncer aux rhum-coca.
Alors tout le monde se case, et Jérémy monte dans le coffre. Ils repartent de la discothèque avant cinq heures du matin. Ils ont bu, ils sont cassés, ils s’endorment.
Cyrille est à jeun. Pas d’alcool, pas de joints. Il n’est plus qu’à 15 minutes environ d’arriver à Chalon. Il traverse Epervans, sur la D978, et subitement son attention tombe, il s’endort. La voiture traverse la route, fait un tête à queue et rentre dans un mur.
Le côté gauche est détruit. Alexis, passager à l’arrière gauche, est mort sur le coup, Jérémy est gravement blessé, le SMUR l’embarque à Dijon, il décédera à son tour dans la journée.
Cyrille entend que « tout conducteur doit être maître de sa voiture, et il est imprudent de conduire avec un passager dans le coffre ».
L’entend-il ? Il pleure tant à la barre, à en avoir les yeux délavés. Il pleure et n’est pas en état de répondre aux questions de la présidente, à tel point qu’elle s’en inquiète :
« Avez-vous un suivi psychologique ?
- Non. »
Depuis le 18 février dernier, Cyrille n’a pas repris le volant. Depuis le 18 février dernier, les parents et les proches des victimes vivent dans la morsure de leur douleur. Cyrille aussi.
Un homme âgé s’avance à la barre, c’est le grand-père d’Alexis : « J’ai perdu mon fils, puis ma femme, et en février j’ai perdu mon unique petit-fils. J’ai une pensée pour ce jeune homme (il désigne Cyrille), je pense que c’est pour lui un souvenir très dur à porter. Je suis croyant mais j’avoue qu’il est très difficile de lui pardonner.
Dans la voiture, il y avait Sami. Sami et Alexis s’étaient rencontrés à la maternelle, ils avaient une relation fusionnelle. Sami actuellement éprouve beaucoup de difficultés à se remettre de la perte d’Alexis. »
Le père de Cyrille, assis dans la salle, ne peut davantage retenir ses larmes.
La mère d’Alexis : « On a perdu une merveille, Alexis avait tout, c’était mon 3ème enfant. Il était brillant, en 2ème année de médecine. » La femme se tourne vers Cyrille : « Fais-toi suivre par un psychologue, pour un jour refaire ta vie. » Elle revient face au tribunal : « Pour nous c’est différent. Perdre un fils de 20 ans, c’est compliqué. »
La sœur d’Alexis était enceinte lorsqu’elle a perdu son frère : « Aujourd’hui j’ai un message : que tous ces jeunes qui ont eu de l’insouciance puissent se reconstruire, faire des choses positives de leurs vies, et transmettre plus tard, pour prévenir d’autres jeunes. On croit que ça n’arrive qu’aux autres. Je souhaite que Cyrille se fasse aider par un psychologue, pour ne pas qu’il reste en panne comme Sami, car sans accompagnement il risque de rester bloqué dans ce traumatisme. »
On ne peut s’empêcher de penser que c’est de l’amour qui circule là, de l’amour qui pousse sur une blessure, de l’amour qui panse le déchirement. L’accident n’est pas ancien, sept mois, c’est peu dans ce contexte.
Le courrier de la mère de Jérémy va confirmer que c’est de l’amour : « Je suis cadre de santé, je connais la tragédie de la vie. Mon fils est décédé à l’âge de 18 ans, pour moi, ils sont tous responsables, mais je ne leur en veux pas. Dans ma profession, au service des urgences, j’en ai vu partir, mais je n’ai pas été là pour lui, pour mon fils. Ma colère va contre le SMUR et les gendarmes qui ne m’ont pas prévenue : je ne les accuse pas, les uns devaient penser que les autres me préviendraient, et du coup personne ne l’a fait, mais j’aurais voulu lui tenir la main.
L’équipe de foot du F.C. Chalon, et celui de Châtenoy ont organisé un match en l’honneur de mon fils. Tous les jeunes ont été présents. Je vous demande de ne pas être sévère : Cyrille est responsable juridiquement, mais il m’apporte son soutien. »
« J’ai trop honte », balbutiera Cyrille.
Maître Carle-Lengagne et Maître Dufour, avocats des parties civiles et de la défense, s’expriment prudemment, et, comme la représentante du parquet, disent qu’il est difficile de prendre la parole : ne blesser personne, faire droit à chacun, respecter par-dessus tout ces abîmes de douleur dans lesquels l’indicible le dispute au besoin de parler, parler pour mettre en partage quelque chose de ce vertige et éviter qu’il n’emporte tout avec lui, parler pour rester au cœur de l’humanité, parler pour ramener Cyrille dans sa part d’humanité à lui, parler pour qu’il aille parler.
Inutile de préciser à quel point cet effort solidaire qui monte d’un endroit pourtant brûlé et encore à vif est bouleversant.
Décision du tribunal : « Monsieur, le tribunal a décidé de vous faire suivre à vos frais un stage de sensibilisation à la sécurité routière, pour deux raisons : la première c’est de vous obliger à parler de ce qui s’est passé, car tout le monde vous l’a dit à l’audience, vous ne pourrez pas vous reconstruire si vous ne faites pas face à ce que vous avez vécu en parlant.
La deuxième, c’est que ça serve à d’autres, que des jeunes entendent des témoignages de jeunes comme vous : savoir comment, sur une petite imprudence, la vie bascule. »
La présidente Therme regarde Cyrille, consciente que l’audience ne lui aura pas permis de décoller par la parole de l’effroyable, et c’est au fond le sens du jugement qu’elle rend, lui permettre d’y arriver, à se décoller de cet effroyable, tout en assumant la part de responsabilité qui lui revient, parce que juger, c’est essentiellement cela.
FSA
1) Le conducteur de la voiture voit son permis annulé, il devra attendre 6 mois avant de pouvoir le repasser.
2) Renvoi sur intérêt civil pour l’indemnisation des victimes – volet assurantiel et reconnaissance de leur qualité de victimes.
Nous modifions habituellement tous les prénoms, ceux des prévenus comme ceux des victimes, par respect pour la conduite de leurs vies en dehors du tribunal. Nous avons choisi de maintenir ici les prénoms des jeunes gens disparus, ainsi que celui du conducteur anéanti, également par respect pour eux et leurs familles : le drame qui les a frappés, irréversible, est loin des dossiers habituels en justice pénale. Ici la question de la responsabilité l’emporte sur celle de la culpabilité, et puisqu’il faut envers et contre tout faire droit à la vie, comme en ont témoigné avec tant de courage et de générosité les mères et les proches des disparus, nous pensons que nommer ces jeunes gens c’est continuer à les inscrire dans la trame d’un récit collectif dont ils font partie, c’est honorer la mémoire des disparus, et soutenir les vivants qui ont à faire avec cela. Pour le reste, nous ne voulions que restituer quelque chose de ce qui s’est vécu dans cette audience particulière, qui doit une part de sa dignité à celle qui l’a présidée.
Pour la justice, Sarah, 11 ans, était consentante car elle "a subi sans protester" par Natacha Couvillers
L’affaire de Pontoise est glaçante et la réponse de la justice française l’est presque encore plus. Aujourd’hui, le parquet a répondu que Sarah -11 ans - qui a suivi un inconnu de 28 ans et qui a subi des actes sexuels sans se débattre, était consentante.
L’homme n’est pas jugé pour "viol" mais pour "atteinte sexuelle". Cette affaire montre malheureusement un vide juridique de la loi française qui "ne fixe pas d’âge de discernement".
L’affaire Le procès de Pontoise se tenait aujourd’hui.
C’est l’histoire de Sarah, 11 ans, elle est en 6ème et son cours de gym a été annulé un après-midi d’avril. C’est alors qu’un homme l’aborde. Il a 28 ans, l'emmène chez lui et profite d’elle : il lui demande des fellations. Avant de la quitter, il l’embrasse sur le front et lui dit de ne rien dire à ses parents. De retour chez elle, Sarah dit à sa mère "papa va penser que je suis une pute"…
Le procès et le vide judiciaire
Après cet événement, et après que les parents de la petite fille portent plainte pour viol, la justice s’empare de l’affaire mais décide de faire un procès pour "atteinte sexuelle sur mineur", moins grave qu’un procès pour viol. Comme Sarah n’a pas protesté, ce n’est apparemment pas un viol ! Une aberration quand on pense à la contrainte morale qu’un adulte de 28 ans peut exercer sur une mineure de 11 ans ! Même la loi définit cet acte comme un viol car il y a pénétration et une fellation implique une pénétration.
Le site Sud Ouest rapporte que le parquet de Pontoise a estimé "que dans le cas d’espèce, il n’y avait eu ni violence, ni contrainte, ni menace, ni surprise". Le ministère public s’est fondé sur l’article 227–25 du code pénal qui stipule que "le fait, par un majeur, d’exercer sans violence, contrainte, menace ni surprise une atteinte sexuelle sur un mineur de 15 ans est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende".
L’âge de la majorité sexuelle est fixé à 15 ans en France , en référence à l’âge de la puberté. En-dessous de 15 ans, toute relation sexuelle avec un majeur équivaut à une "atteinte sexuelle". "Vous savez, maintenant, les filles sont faciles. Avant, à mon époque, il fallait rester au moins un an avec une fille pour la baiser, mais maintenant c’est en dix minutes." C’est Médiapart qui a tiré la sonnette d’alarme sur cette affaire.
L’agresseur raconte, sans aucune gêne :
"Vous savez, maintenant, les filles sont faciles. Avant, à mon époque, il fallait rester au moins un an avec une fille pour la baiser, mais maintenant c’est en dix minutes."
Durant le procès, la maman de Sarah explique que sa fille est dans un total déni de sa souffrance et de ce qu’il s’est passé. Le problème, c’est qu’en France, la loi française "ne fixe pas d’âge de discernement, il appartient aux juridictions d’apprécier si le mineur était en état de consentir à la relation sexuelle en cause" comme le rappelle le Conseil constitutionnel.
France Inter évoquait à la rasdio:
“le déni de sa souffrance vient d’un impensé de notre loi. La plupart des législations occidentales ont adopté une "présomption irréfragable d’absence de consentement du mineur victime d’actes sexuels" :
14 ans en Allemagne, Belgique, Autriche ;
16 ans pour l’Angleterre et la Suisse,
12 ans en Espagne et aux États-Unis.” Qu'en au Haut Conseil à l’Égalité, il recommandait en octobre 2016, dans son "Avis pour une juste condamnation sociétale et judiciaire du viol et autres agressions sexuelles" que l’âge de 13 ans soit retenu comme seuil en dessous duquel les mineur.e.s seront présumé.e.s ne pas avoir consenti.
Pour les mineur.e.s de 13 à 18 ans, le droit actuel continuerait de s’appliquer.
Pour Danielle BOUSQUET, Présidente du Haut Conseil à l’Égalité : “il est impensable que l’on interroge encore le consentement de jeunes enfants dans le cas de relations sexuelles avec des adultes. Ces faits sont des viols et doivent être jugés comme tels.”
Affaire à suivre.
LE GF38 PLEURE TIDIANE, 5 ANS.
C’est une terrible nouvelle annoncée par le club de foot grenoblois, qui déplore le décès d’un jeune joueur de moins de 6 ans, victime d’un malaise cardiaque en pleine pratique de son sport.
Le communiqué : C’est avec une profonde tristesse et un immense chagrin que nous avons appris le décès de Tidiane Nimaga, jeune pousse U6 de l’école de foot ! Il est décédé la nuit dernière après avoir été hospitalisé suite à un malaise cardiaque survenu dans l’après-midi de samedi, alors qu’il s’adonnait à son sport favori.
Nous sommes restés en contact avec la famille après l’hospitalisation et on a cru longtemps que l’on pourrait revoir le sourire de Tidiane mais malheureusement… Terrible nouvelle qui endeuille notre club.
Toute la famille du Grenoble Foot 38 adresse ses plus sincères condoléances à ses parents, son frère, Malick Sy, joueur U13 au club, sa famille et tous ceux qui le connaissaient.
La NASA montre accidentellement la preuve d’une manipulation météorologique à grande échelle dans des photos satellites
L'ouragan Matthew et son successeur Irma ont transformé la météo en un thème dominant à l'avant-garde de l'esprit du public. Des inondations extrêmes aux dégâts de débris répandus, les gens ont été témoins de l'incroyable pouvoir de mère nature, mais est-ce réellement que l’œuvre de la nature ?
Que ce soit les chemtrails ou les manipulations météorologiques comme HAARP, le lien entre les opérations gouvernementales dissimulées et les effets que cela peut avoir sur le temps ne peuvent pas être exclus comme théorie du complot. Et maintenant, les images satellites de la NASA ont révélé une "preuve choquante de l'ingénierie climatique".
Les images satellite, montrent ce que Dane Wigington, rédacteur de Wakeup-World, décrit comme « de nombreuses variances des impacts des nuances radiofréquences. » Selon Dane, les régions côtières de l'Afrique sont un foyer pour les travaux de géo-ingénierie.
Dane cite cet extrait d'un article de Fox News: "À l'heure actuelle, une grande partie du Golfe du Mexique et des parties des Caraïbes ont des températures légèrement plus chaudes que la normale dans l'océan, ce qui aiderait normalement le développement tropical. Mais il y a tellement de poussière et d'air sec dans l'atmosphère que les tempêtes sont étouffées avant même de commencer".
Certains ont théorisé que la technologie de géo-ingénierie peut être déjà utilisée pour manipuler des systèmes d'orage plus importants comme les ouragans.
Comme le dit le proverbe chinois, une image vaut mille mots. Les photos ci-dessous ont été prises par des satellites de la NASA, elles sont vraiment alarmantes. Elles fournissent la preuve choquante et indéniable de l'assaut mondial en-cours de manipulation climatique / géo-ingénierie / gestion du rayonnement solaire sur notre planète et ses écosystèmes.
Les métaux lourds et les produits chimiques, hautement toxiques systématiquement pulvérisés dans notre atmosphère par des avions à réaction dans le cadre des programmes de géo-ingénierie déclenchent des signaux d'ondes radio extrêmement puissants. Ces signaux sont transmis d'innombrables endroits autour du globe par différents émetteurs (installations de chauffage ionosphérique comme HAARP, radar SBX, NEXRAD, etc.).
L'impact des transmissions à micro-ondes sur les formations nuageuses est profond et très visible (formations de nuages carrés créés selon certains procédures). Dans la série des photos satellite de la NASA ci-dessous, on peut observer de nombreuses variantes des impacts des ondes radio sur les nuages. Le degré atteint par la guerre de la manipulation du climat et de l'intervention continue sur la météo, perturbe l'atmosphère et les écosystèmes qui soutiennent la vie sur Terre, dépasse déjà le catastrophique et c'est partout dans le monde.
La suppression ou la manipulation des cyclones est à l'ordre du jour du calendrier des ingénieurs du climat. 85% des ouragans qui ont un impact sur les États-Unis proviennent de l'Afrique. Les systèmes de basse pression migrent vers l'ouest, au large de la côte africaine.
Une grande partie de la manipulation du climat a lieu dans cette région, donc un certain nombre d'images satellites présentées s'y rapporte.Pour « dissimuler » ces interventions climatiques destinées à supprimer les cyclones au large de la côte africaine, on invoque officiellement comme cause la « poussière ».
Bien sûr, les atrocités des interventions climatiques en cours ne sont pas reconnues. La citation ci-dessous est un extrait d'un article de FOX News : « À l'heure actuelle, une grande partie du golfe du Mexique et certaines parties des Caraïbes ont des températures légèrement plus chaudes que la température habituelle des océans qui devrait normalement contribuer à la formation de tempête tropicale. Mais il y a tellement de poussière et l'air atmosphérique est si sec que les tempêtes sont étouffées avant même de commencer. »
Des images de satellites de la NASA révèlent la preuve choquante de la manipulation du climat Même si certains estiment que la suppression des cyclones est bénéfique, une telle interférence avec les rythmes et les systèmes naturels de la Terre provoque en aval une longue liste d'effets catastrophiques. Les données disponibles indiquent que, dans d'autres cas, les ingénieurs climatiques augmentent effectivement l'intensité des cyclones et modifient leur direction pour servir leur propre programmation.
L'ouragan Matthew peut être un exemple de guerre du temps à une échelle inimaginable. L'ouragan Matthew est-il fortement manipulé et dirigé par les ingénieurs du climat? Les preuves continuent à s'accumuler. Ci-dessous, une photo satellite montrant clairement les « vagues » dans l'atmosphère entourant l'ouragan Matthew.
SpaceWeather.com a indiqué pour ces dernières : « vagues de gravité », mais que sont en réalité ces « vagues » visibles ? Les photos satellites déjà montrées ici révèlent incontestablement une manipulation atmosphérique massive associant des ondes radio et micro-ondes extrêmement puissantes et aérosols atmosphériques. Ces transmissions impriment leur signature aux formations de nuages d'altitude saturés de nanoparticules de métaux lourds électriquement conductrices, dispersées par des avions à réaction dans le cadre de la folie de la manipulation climatique en cours.
La photo ci-dessus montre-t-elle vraiment « les ondes de gravité » entourant l'ouragan Matthew ?
Ou faut-il y voir la signature d'ondes radio et micros-ondes extrêmement puissantes interagissant avec les aérosols atmosphériques dispersés par des avions ?
Ces deux éléments sont au cœur de la manipulation de l'ouragan et de sa direction.
La structure du pouvoir mondial a choisi, depuis longtemps, de soumettre notre planète et toute la vie qu'elle porte, y compris l'espèce humaine, à un inimaginable assaut massif et destructeur de guerre du temps. Cette décision a été prise sans que la population mondiale soit consultée ou consentante. Si nous n'agissons pas et permettons à la folie du génie climatique de continuer cette décimation, très bientôt les écosystèmes de soutien de la vie sur Terre ne seront plus à même de se régénérer.
Ce n'est pas une hypothèse, mais une certitude mathématique. Aidez-nous dans ce combat le plus critique à dénoncer et arrêter cette guerre du climat, chacun d'entre nous est précieux dans ce combat
criminel d’une gendarmerie de Grenoble : un militaire intoxiqué Dans la nuit de mercredi à jeudi, un incendie s'est déclaré à la gendarmerie de Grenoble et un gendarme a été intoxiqué en tentant de l'éteindre.
Le violent incendie a détruit l’intégralité des véhicules d’un garage de la caserne de gendarmerie de l’Isère à Grenoble, dans la nuit de mercredi à jeudi. il est d’origine criminelle, a indiqué la gendarmerie.
Le grillage de l’enceinte extérieure « a été découpé à une hauteur d’environ 1,30 mètre et les enquêteurs ont découvert des départs de feu à deux endroits différents », a-t-on précisé de même source confirmant une information du Dauphiné libéré.
Un gendarme intoxiqué
L’incendie, survenu dans un entrepôt « totalement isolé du cœur névralgique » de la gendarmerie, s’est déclaré vers 03h30.
Il a mobilisé une cinquantaine de pompiers et était complètement maîtrisé vers 06h45, a précisé de son côté la préfecture. Aucun logement n’a été touché, mais le garage est complètement détruit. Un gendarme a été légèrement intoxiqué en tentant d’intervenir mais son état n’inspire pas d’inquiétude. Il a été placé sous surveillance au CHU de Grenoble.
Ils sont frère et sœur... et légalement parents d'une petite fille
Selon le Code civil, en cas d'inceste, la filiation ne peut être établie qu'avec un seul des deux parents, celui qui l'a reconnu en premier.
La cour d'appel de Caen reconnaît une enfant née d'une relation frère-soeur. Une décision qui fait bouger les lignes. Un enfant né d'un inceste — involontaire et ignoré — entre un frère et sa soeur peut-il tout de même voir sa double filiation reconnue, même si ses parents sont « fautifs » aux yeux de la loi ?
« Si l'intérêt supérieur de l'enfant l'exige, assurément », vient de répondre la cour d'appel de Caen, en se fondant, notamment, sur la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme.Le 8 juin, ses magistrats ont ainsi refusé de faire disparaître de son état civil la filiation entre Océane, 8 ans, et sa mère, contrairement à une première décision de justice. Constatant que la petite fille vivait avec sa maman depuis la naissance, ils ont en effet estimé que « l'annulation du lien de filiation maternelle, sur lequel s'est construite l'histoire familiale de l'enfant, aurait des conséquences dommageables pour ce dernier ».
« C'est une décision heureuse pour Océane. Hervé, son père, était le premier à dire que si un lien de filiation devait disparaître, ce devait être le sien. Il n'a pas élevé cette enfant », se réjouit Me Catherine Besson, l'avocate du père. Une enfant au-dessus des lois Quand ils sont tombés amoureux en 2006, Hervé et Rose-Marie ignoraient qu'ils avaient la même mère.
Placés rapidement chacun dans une famille d'accueil, ils avaient été élevés sans se connaître... Jusqu'à ce que leurs pas se croisent. Trois ans plus tard, le 5 mai 2009, la petite Océane naissait alors qu'Hervé et Rose-Marie ne savaient toujours pas qu'ils étaient frère et sœur.
Pourtant, le Code civil est formel : la filiation, en cas d'inceste, ne peut être établie qu'avec un seul des deux parents, celui qui l'a reconnu en premier (ici, Hervé). Sinon, cela reviendrait à valider les relations intrafamiliales. Mais la cour d'appel de Caen n'a pas voulu suivre...
Le ministère public va-t-il saisir la Cour de cassation ?
« On n'a rien décidé encore. Nous sommes face à deux intérêts contradictoires : celui de l'enfant et l'ordre public », reconnait-on, embarrassé, au parquet de Caen.
« Cette décision ne revient pas à légitimer l'inceste, souligne Eléonore Hermann, avocate en droit de la famille. Simplement, elle consacre l'émergence d'un droit nouveau : le droit de l'enfant à connaître ses origines. La Cour de cassation elle-même va de plus en plus en ce sens. Il serait étonnant, même dans ce cas très particulier, qu'elle fasse machine arrière. »
Le Parisien
Japon : un séisme d'une magnitude de 6,1 frappe la côte est
L'épicentre est situé à 10 km de profondeur. Un séisme d'une magnitude de 6,1 a frappé jeudi matin la côte orientale du Japon. Mais les autorités n'ont pas émis d'avis de risque de tsunami.
L'épicentre du tremblement de terre était à 281 kilomètres à l'est de la ville de Kamaishi, sur Honshu, la plus grandes des îles japonaises, et à seulement 10 kilomètres de profondeur, selon les services géologiques américains (USGS).
L'Agence météorologique japonaise a précisé qu'il n'y avait pas d'alerte au tsunami. Selon l'USGS, seules de faibles secousses ont dû être ressenties sur l'île de Honshu et le risque de destructions est faible. Des normes antisismiques très strictes Le Japon, situé à la jonction de quatre plaques tectoniques, subit chaque année plus de 20% des séismes les plus forts enregistrés sur Terre.
Les dégâts restent toutefois limités, même en cas de fortes secousses, en raison des normes de construction très strictes. En mars 2011, un séisme de magnitude 9 avait fait quelque 18.000 morts et disparus et provoqué une catastrophe à la centrale nucléaire Fukushima Daiichi, où les coeurs de trois réacteurs (sur six au total) étaient entrés en fusion.
Il s'agissait de l'accident nucléaire le plus grave de l'histoire depuis la catastrophe de la centrale soviétique de Tchernobyl (Ukraine) en 1986. Un séisme de magnitude 7,1 a frappé mardi la région de Mexico, au Mexique, faisant au moins 225 morts.