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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Cette poule a vécu un an dans un élevage en batterie. Voici l'état dans lequel elle allait partir pour l'abattoir, comme des milliers d'autres, avant d'être recueillie par un refuge. Merci de diffuser autour de vous cette image qui en dit plus qu'un long discours.
A Meaux, un chiot roué de coups par son maître
L’animal, un chiot âgé de deux mois, présentait de nombreuses traces de coups. Son maître a été interpellé par la police.
L’animal, un chiot âgé de deux mois, présentait de nombreuses traces de coups. Son maître a été interpellé par la police. (
Peut-on justifier des violences exercées sur un chiot âgé d’à peine deux mois ? Pour les différents passants qui ont assisté, choqués, au traitement reçu par un tout jeune berger belge, ce vendredi vers 22h40 dans l’avenue Galliéni, à Meaux, la réponse ne fait aucun doute.
D’ailleurs ce sont ces mêmes passants qui ont prévenu la police. En arrivant sur place, les représentants de l’ordre sont tombés sur un homme de 35 ans qui faisait tournoyer le jeune chiot au bout de sa laisse tout en l’invectivant.
Fortement alcoolisé et en possession de cannabis, le maître indigne a été conduit en garde-à-vue, où il se trouve toujours. Quant au jeune chiot, il a été pris en charge par la police municipale meldoise également intervenue sur les lieux, qui l’a emmené dans une clinique vétérinaire de la ville pour se faire soigner.
Après examen, il a été constaté que l’animal avait trois vertèbres déplacées, de nombreux hématomes sur tout le corps et enfin des traces de frottement au niveau du cou, résultat des sévices infligés sous les yeux des passants.
Bornéo : laissé pour mort, un bébé orang-outan sauvé
Il était «quasi-momifié» quand les membres d'International Animal Rescue (IAR) l’ont trouvé.
Gito, un bébé orang-outan âgé d’à peine trois ou quatre mois a été abandonné en plein soleil dans une boite en carton à Bornéo (Indonésie).
La petite bête gisait les bras croisés sur la poitrine, avait perdu des cheveux et sa peau grisée s’écaillait. Gito appartenait au chef d’un village de l’ouest de l’île, qui l'avait acheté moins de 30 euros à un trafiquant «qui a surement tué sa mère pour voler et vendre ses bébés», raconte l’ONG britannique sur son site.
Le petit orang-outan vivait dans son carton et n’était alimenté que de lait concentré. Très affaibli, il a finalement été abandonné par son propriétaire, poursuit IAR.
C'est à ce moment là que l'ONG a été alertée. Lorsqu’il a été découvert, Gito souffrait de grave déshydratation et de malnutrition, à tel point qu’il était incapable de s’asseoir. Le singe avait également attrapé la gale. Depuis, le petit orang-outan a été pris en charge par les soigneurs de l’association et devrait se remettre.
Alan Knight, directeur exécutif d’International Animal Rescue, rappelle que ses «équipes ont vu une augmentation significative du nombre de bébés orang-outans gardés comme animaux domestiques récemment.»
Selon lui, ce phénomène est à mettre en lien direct avec les incendies dévastateurs dans les forêts d’Indonésie. Ces catastrophes laissent les animaux sauvages vulnérables et à la merci des trafiquants.
Tandis que je pars souviens-toi de moi.. De mes moments de crise, de mes émois.. De mes silences.. De mon inquiétude.. De mes habitudes.. De mes infinies peurs.. De mes sauts d’humeu..r De ce que je suis.. De ce que j’ai vécu... Et de comment
Le militaire jette son chien du 3e étage
Arrêté lundi soir par la police, un militaire de la garnison de Montauban a été placé en garde à vue au commissariat pour avoir consécutivement commis une violation de domicile, des violences contre sa compagne et un acte de cruauté envers un animal.
Il escalade la façade et pénètre par une fenêtre Il était près de 18 heures, ce lundi, lorsque ce militaire âgé de 31 ans quitte son casernement pour se rendre au domicile de sa compagne.
Une femme avec qui, les relations sont tendues, cette dernière lui aurait, en effet, demandé quelques jours auparavant de débarrasser ses affaires de son appartement.
Parmi celles-ci, un chien de berger belge, plus connu sous le nom de malinois que cette Montalbanaise lui aurait réclamé de venir récupérer au plus vite.
Escaladant la façade du domicile de sa compagne, le trentenaire parvenait à se hisser jusqu'à un balcon donnant sur la cuisine de l'appartement de la jeune femme.
Cette dernière étant absente, le militaire s'introduisait par une fenêtre restée ouverte. À l'intérieur, il ramassait ses affaires et décidait de quitter les lieux. C'est au moment où il s'apprêtait à pénétrer dans l'ascenseur qu'il tombait finalement nez-à-nez avec sa concubine.
Visiblement énervée par l'intrusion de ce son «ex» à son domicile, la Montalbanaise ne manquait pas de lui lancer une volée de bois vert. Les insultes fusaient, le militaire s'en serait alors pris à elle en la projetant contre un mur.
Revenu dans l'appartement avec la propriétaire des lieux, l'homme qui était vraisemblablement excédé par la situation et les demandes de son «ex» de reprendre son chien, s'en prenait à l'animal.
Après avoir ouvert une fenêtre de l'appartement situé au troisième étage d'un immeuble du centre-ville, le militaire s'emparait du malinois pour le jeter par l'ouverture.
L'animal s'écrasait au sol plusieurs mètres plus bas. Grièvement blessé, l'animal qui était conduit dans un cabinet vétérinaire de la cité d'Ingres souffrirait d'hémorragies et de fractures.
Interpellé, l'individu a passé la nuit au commissariat où il a finalement été relâché, hier à 14 heures.
Joint le substitut du procureur, Mathias Marchand confirmait que le militaire serait prochainement poursuivi devant le tribunal correctionnel tant pour la violation de domicile que les violences sur concubin (sans ITT) et plus lourd pour le mis en cause, d'acte de cruauté envers un animal.
Une dernière accusation qui pourrait lui valoir d'être poursuivi par les associations de protections animales…
Argenteuil : elle tuait les moutons à la scie circulaire
Archives. Déjà condamnée pour la détention illégale de 38 moutons, une femme de 46 ans a été jugée pour avoir tué clandestinement des moutons en septembre 2014.
L’abattage clandestin de moutons l’a déjà conduit plusieurs fois devant un tribunal. Aïcha Z., 46 ans, condamnée pour des faits similaires par le passé, était à nouveau jugée devant le tribunal correctionnel de Pontoise ce mercredi, en récidive.
Cette fois pour des faits datant du 26 septembre 2014 révélés… par un banal incendie de cuisine. Express 7 mouton entassé. Plus loin, sur le terrain du pavillon de l’avenue Jean-Jaurès, à Argenteuil, le cadavre d’une chèvre, tuée visiblement par les émanations de fumées.
Les constatations effectuées par la police et par les agents de la DDPP (les anciens services vétérinaires) ne s’arrêtent pas là : trois sacs poubelles sont retrouvés contenant les restent de moutons égorgés et dont la viande a été ôtée.
Le sang s’écoule encore, signe que l’abattage était récent. La peau est également présente, dans les sacs ce qui exclue l’abattage dans un abattoir. Une scie circulaire encore sanguinolente est également repérée, avec, à proximité, des déchets animaux, un croc de boucher…
Outre l’abattage clandestin, les poursuites visent également la privation de nourriture ou d’abreuvement, la privation de soin. « Il y avait de l’herbe, de l’eau. Jamais je ne ferai du mal à un animal. Je n’ai jamais tué de mouton ! » Aïcha Z.conteste fermement l’abattage. L’explication de leur présence : « J’ai rendu service à une personne dont la bétaillère était en panne.
C’était pour une heure et demi.Rendre service ce n’est pas illégal ! » Quant aux sacs de cadavres : « Ils ne sont pas à moi, je les ai récupérés.Il m’arrive de faire pareil pour les chats morts. » Le procureur a requis six mois de prison avec sursis mise à l’épreuve avec l’obligation de payer les amendes dans un délai de 18 mois. Plusieurs amendes de 450 € et 750 € ont été demandées par le parquet.
La SPA, l’Association nationale de défense des animaux et l’association Stéphane Lamart ont demandé au total 5 000 € de dommages et intérêts. Le tribunal rendra sa décision le 9 décembre prochain.
"Groin-Groin", sanglier domestique froidement abattu dans son enclos de Coursan
Le 15 octobre à 09h56 par C.DP | Mis à jour il y a 6 heures Groin-Groin, après 11 ans de vie paisible a été abattu par des "chasseurs" du dimanche. Groin-Groin, après 11 ans de vie paisible a été abattu par des "chasseurs" du dimanche.
Groin-Groin était un sanglier de 110 kg, apprivoisé depuis 11 ans par Guy Serres, leveur coursannais qui l'avait élevé au biberon, nourri et soigné toutes ces années, à la plus grande joie des enfants et des promeneurs. Il vivait dans son enclos de Coursan en compagnie de poules et de cochons chinois.
Groin-Groin ne faisait peur à personne, mais ... cette année, l'ouverture de la chasse lui a été fatale. Dimanche dernier, Groin-Groin est mort sous les tirs d'un fusil, dans son enclos, dont le grillage a été soigneusement découpé. Puis ce sanglier pas comme les autres a été tiré par les pattes hors de sa demeure, laissant une trace de sang sur le sol, chargé dans un véhicule, sans doute par plusieurs individus (pour pouvoir soulever 110 kg...).
Groin-Groin aura certainement été exhibé comme un trophée de chasse glané après un dur combat dans la nature. Les tueurs n’ont pas pris ou tué les poules et les cochons chinois qui ont assisté à la fin de leur pauvre ami. La famille qui a élevé et soigné ce sanglier durant 11 ans est dépitée.
L’abattoir d’Alès fermé après la diffusion d’images insoutenables
Indignée par les images atroces de l’abattoir d’Alès, dans le Gard, la Fondation 30 Millions d’amis est rassurée par la fermeture provisoire de cet établissement de l’horreur. Dans l’attente d’une décision définitive pour mettre fin à cette barbarie... L'abattoir d'Alès, filmé en caméra cachée.
Immersion dans les abattoirs. L’association L214 a posé des caméras cachées dans l’abattoir municipal d’Alès (30) pendant une dizaine de jours au printemps 2015.
Le résultat ? Une terrible vidéo (cliquez ici pour la voir : attention, images choquantes) montrant de façon transparente et réelle l’agonie des animaux au moment de leur mise à mort. Grâce à cette vidéo et le scandale médiatique qui en a découlé, le maire de la ville, Max Roustan a annoncé par un communiqué de presse :
« la fermeture immédiate à titre conservatoire de cet établissement » ainsi que « le lancement d'une enquête administrative interne sur d'éventuels manquements aux normes d'abattage des animaux ».
Par ailleurs, l’association L214 a porté plainte pour « actes de cruauté » contre cet abattoir auprès du Tribunal de Grande Instance d’Alès (14/10/2015).
La Fondation 30 Millions d’Amis se portera bien sûr partie civile à leurs côtés. DES IMAGES TERRIBLES Chaque année, 3000 chevaux, 20 000 cochons, 40 000 moutons et 6 000 bovins sont tués c dans l’abattoir d’Alès.
C’est le plus gros abattoir de la région du Gard. Sur les images choquantes de la vidéo, on peut voir des chevaux assommés au pistolet à tige perforante (alors même qu’il y a obligation légale de les étourdir avant l’abattage) reprendre conscience sur la chaîne d’abattage. Quant aux cochons, pour la première fois au monde, une caméra descend avec eux dans la fosse à CO2 (qui permet de les gazer afin de les asphyxier).
Traumatisés, les cochons hurlent de souffrance. Pour les bovins, c’est pire : des animaux mal étourdis retrouvent leur sensibilité sur la chaîne et sont égorgés à même le sol ou suspendus par une patte. Pour les bovins non étourdis, c’est atroce : massacrés au couteau, ils tentent en vain de se débattre et agonisent ensuite pendant de longues minutes. Enfin, pour les moutons, ils sont égorgés en pleine conscience dans un tonneau rotatif avec pleine vue sur la salle où sont découpés leurs congénères. Un choc pour ces animaux très solidaires entre eux.
UN RISQUE SANITAIRE ACCRU
En plus de la souffrance qu’infligent les employés de cet abattoir aux animaux , ils font courir un grand risque aux consommateurs de viande. En effet, l’abattoir ne respecte pas les normes sanitaires comme l’analyse le Pr Mouthon, vétérinaire et expert auprès des tribunaux : « Des bovins saignés au sol restent plusieurs minutes avec la tête et la plaie de saignée baignant dans un mélange de sang et d’eau forcément contaminée par les toisons recouvertes de matières fécales. ». L’abattoir d’Alès fournit les boucheries locales, mais aussi des collèges, des lycées et des hôpitaux. Les consommateurs risquent donc des intoxications alimentaires graves.
NOTRE COMBAT : LE RESPECT DES ANIMAUX DE FERME
Depuis de nombreuses années, la Fondation 30 Millions d’Amis agit pour l’amélioration des conditions d’élevage des animaux destinés à la consommation : le sort des poules, cochons ou autres vaches élevés dans des élevages intensifs - qui représentent plus de 80 % des élevages en France selon les chiffres de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) - est à améliorer d’urgence. Quant aux conditions d’abattage, elles sont loin de prendre en considération le bien-être animal. La Fondation apporte par exemple son soutien financier à des structures d’accueil pour les animaux réformés des abattoirs et milite contre l’abattage sans étourdissement.