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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Je n'en peu plus de cette souffrance animal, de tous ces abandons par la lâcheté humaine, que ceux qui ne savent pas se responsabiliser ne prennent pas d'animaux pour les rendre malheureux, un animal est aussi sensible qu'un humain sinon plus
"Oui, j’avais 6 ans et demi et ma petite soeur 3 quand nos parents ont décidé de nous faire assister à cette horreur lors de vacances en Espagne, en Juillet 1979.
Ce que j’ai vu et entendu ce jour-là m’a laissé des traces à vie. J’ai encore, plus de 30 ans après, des images très précises en tête : la vision de cette foule hystérique, visages en sueur, déformés par la jouissance de voir le taureau souffrir.
L’odeur infâme de la sueur du gros homme qui me collait dans les gradins, cet homme ivre et rouge qui hurlait et me poussait...la vision du taureau paralysé qui n’arrivait pas à mourir et qui vomissait son sang noirâtre.
Je l’entendais beugler de souffrance malgré cette musique tonitruante. Il beuglait et ses dents blanches étaient maculées de sang....jamais je n’oublierai.
Le taureau était encore vivant quand son oreille fut tranchée. De ses yeux coulaient de grosses larmes blanchâtres. Ses yeux roulaient come des billes, sa tête et son museau tremblaient et son pauvre gros corps martyrisé, tout piqué de banderilles et sanguinolant était parfois pris de spasmes.
Le tranchage de son oreille m’a semblé durer une éternité. C’est qu’il est dur de trancher dans le cartilage à mon avis. La pauvre bête, à bout, s’était agenouillée presque contre le rebord de l’arène, comme pour trouver un ultime refuge. Etant assise devant, j’ai vu cette abomination à moins de 2 mètres de moi.
Le visage du torero était tellement cruel pendant qu’il découpaient les chairs de cet animal innocent.....il tranchait de toutes ses forces, littéralement arquebouté sur son couteau. Puis il a brandi l’oreille à la foule. . Hurlements de joie. Hystérie complète.
Presque tout le monde était debout à ce moment-là. Enfin, on attela le pauvre taureau et il fût tiré sur ses plaies par des chevaux. Je voyais bien qu’il était encore vivant. Il haletait, ses yeux étaient ouverts et ses naseaux, d’où s’échappait un sang presque noir, tremblaient.
Je voyais ses larmes couler encore. Je pouvais l’entendre mugir de douleur malgré le volume de la musique, cette ignoble musique de fanfare qui se veut annonciatrice de joie ! cette musique restera pour moi la musique de la mort.
Je vacillais en sortant de l’arène, en larmes. Les autres, tous les autres à part moi, avaient l’air tellement ravis. Oui, ils avaient l’air repus et heureux.
Certains mangeaient même des hot dog. Jamais je n’ai compris et jamais je ne comprendrai. Quel crime avait commis cet animal pour que des hommes se permettent de le torturer de la sorte ? aucun. Il était l’INNOCENCE. Que de souffrances ! que de sang !
POURQUOI ? Je le sais : toute l’horreur de l’humanité était bien là, ce jour-là, dans l’arène, devant mes yeux effarés d’enfant de 6 ans."
Eloïse Séguineau
"Un homme de 21 ans, soupçonné d’avoir enterré sa chienne vivante, a été interpellé, samedi soir à Carrières-sur-Seine.
Cette terrible histoire commence samedi après-midi rue Claude-Monet, sous le pont de l’autoroute A 14.
Un riverain y promène son chien, lorsque l’animal se dirige dans un terrain vague.
« Sans doute a-t-il senti qu’un drame se nouait près de lui », avance un fonctionnaire. Son maître se rapproche et voit le museau d’un chien qui sort de terre. Le riverain creuse et entreprend de déterrer l’animal.
« Il s’agissait d’un gros chien, un Dog Bordelais, précise une source proche de l’affaire. Le corps de l’animal avait été recouvert de pierres et il était attaché à un sac rempli de gravats. »
L’homme, comprenant qu’il ne peut s’agir que d’un acte de cruauté, prévient aussitôt les secours et la police. La chienne est déshydratée et en état de choc.
Elle est conduite à la clinique vétérinaire de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Ses jours ne sont pas en danger. Grâce à son tatouage, les policiers retrouvent son maître. Il est arrêté à son domicile à Carrières-sur-Seine. Le jeune homme insulte un policier avant d’être placé en garde à vue.
Lors des auditions, il nie les faits qui lui sont reprochés. Il assure que sa chienne s’est échappée. Une thèse jugée peu crédible car l’animal, âgé de dix ans, souffrait d’arthrose. Il a tout de même avoué avoir outragé le fonctionnaire.
Il sera jugé pour cruauté envers un animal au mois de mars 2016." P.S. : Merci à Pedro d'avoir croisé son chemin et de l'avoir sauvé. Actuellement en cours de soins vétérinaires et réhydratation.
Nous allons nous rapprocher du commissariat et porter plainte pour se constituer partie civile dans le procès pour apporter un soutien auprès de l'action publique.
Merci à vous, même si on a une forte envie d'insulter son tortionnaire, de rester "courtois" dans vos publications.
Après une rupture amoureuse, elle a enfermé ses deux chiens dans la cuisine et abandonné sa maison: les deux toutous sont morts de faim et ont été jetés… au milieu des poubelles
Sheridan Greer, une mère célibataire anglaise de 23 ans, s’est rendue coupable d’un geste odieux après une séparation avec son petit copain.
Lors d’un déménagement temporaire, elle a enfermé ses deux toutous dans la cuisine, sans eau ni nourriture. Et la suite n’est pas plus glorieuse…
Suite à une séparation amoureuse, Sheridan Greer a voulu changer de domicile durant quelques semaines le temps de retrouver le moral. Mais la jeune femme de 23 ans est partie sans ses deux Bull Terriers de 12 et 18 mois.
Elle les a enfermés dans la cuisine, sans eau ni nourriture durant 4 semaines. À son retour, les deux chiens étaient morts. Ils avaient pourtant tout fouillé pour tenter de trouver quelque chose à manger.
Pire, les deux toutous ont été retrouvés au milieu des détritus dans la cour arrière de la maison. Ses deux chats, eux, ont également été laissés à l’abandon à son domicile, mais ont survécu.
Selon le DailyMail, la jeune femme a été condamnée à 18 mois de prison avec sursis et à une amende d’environ 400 euros.
Pour vivre ensemble il ne suffit pas d'accepter les qualités et les défauts de l'autre mais de les aimer autant comme tu aimes les tiens, que tu aimes ta propre personne
J'ai perdu le mal de ton absence, maintenant je vis avec ce vide chaque jour.
Débat : Les zoos sont-ils bénéfiques pour les animaux ?
L’année dernière, le célèbre zoo de Vincennes ré-ouvrait ses portes après de grands travaux destinés à «améliorer les conditions de vie» des animaux dans ses murs.
En parallèle, le zoo de Copenhague faisait, lui aussi, la Une des journaux pour avoir euthanasié le girafon Marius et des lions en bonne santé.
Ces deux actualités, totalement antinomiques, exprimaient bien le paradoxe qui entoure les zoos : d’un côté, il y a la conservation des espèces ; de l’autre, il y a la captivité et les euthanasies (la Captive Animal Protection Society affirme que 10.000 animaux sont euthanasiés chaque année dans les zoos européens).
De quoi nourrir un vrai débat : les parcs zoologiques ont-ils une raison d’être ?
POUR :Françoise Lenoir, Présidente de la SECAS (Société d’Encouragement pour la Conservation des Animaux Sauvages) zoo2Je pense qu’à l’heure actuelle les parcs zoologiques sont utiles.
Aux 19ème et 20ème siècles les animaux étaient présentés comme des collections, en rang d’oignons dans des cages minuscules : le public était content, il les voyait aisément, mais l’animal était malheureux.
Bien sûr il y a encore en France des zoos qui sont horribles, et ceux-là devraient disparaître complètement, mais aujourd’hui les parcs zoologiques changent, comme le zoo de Vincennes ou celui de Doué-la-Fontaine.
Ces zoos-là montrent les animaux dans des conditions nettement meilleures, qui rappellent leur milieu naturel. Évidemment cela n’est pas la nature, mais comme 99% d’entre eux ne la connaissent pas puisqu’ils sont nés en captivité, ils sont tout-à-fait heureux dans de grands enclos bien aménagés, qui leur offrent la possibilité de se cacher, car l’animal n’a pas forcément envie de se montrer sans arrêt.
Les visiteurs se plaignent, en disant qu’ils ne voient pas les animaux : ils ne sont pas patients et veulent faire le tour du parc en une heure. Il faut qu’ils apprennent à patienter devant les enclos, ou alors, on peut faire un zoo avec du feuillage et des animaux en plastique, là, ils les verront (rires). De plus, il y a maintenant des enrichissements dans les zoos (jouets, objets cachant des friandises, etc.).
Par exemple, on met aux orangs-outans une boite percée, au fond de laquelle ils doivent aller chercher de la nourriture avec une brindille. Avant, on mettait un animal dans sa cage, on lui donnait à manger à heure fixe et c’était tout, l’animal s’ennuyait.
De plus, les parcs essaient de mélanger les espèces qui vivent ensemble dans la nature ; le zoo de Vincennes le fait : girafes, antilopes, autruches, et grues sont dans un même espace, comme en Afrique.
Cette cohabitation casse la routine. Plus qu’un regard vers un animal isolé, le zoo d’aujourd’hui est davantage une fenêtre ouverte vers la découverte de la biodiversité.
De même, quand nous préservons le gibbon à Bornéo avec notre association, on ne préserve pas que le gibbon, on préserve aussi la forêt et ses habitants : reptiles, insectes, oiseaux… Les zoos participent en outre à des plans d’élevage internationaux pour les espèces menacées.
Ils font des échanges entre eux : ainsi, un cheval de Przewalski va arriver du zoo de Pragues pour se reproduire avec une femelle qui est à la ménagerie du Jardin des Plantes, à Paris. Ceci permet d’éviter tout problème de consanguinité. Les zoos ont donc une utilité, puisqu’ils participent à la conservation des espèces, y compris in situ via des programmes d’action avec les pays d’origine pour éviter que les animaux disparaissent de la nature.
Vincennes, par exemple, a plusieurs programmes en cours pour les pumas, les lamantins, la loutre d’Europe, etc. Au zoo, on montre l’animal, car tout le monde ne peut pas voyager pour aller le voir dans son habitat naturel, et c’est tout de même mieux de voir l’animal sur pied qu’à la télévision.
Il y a aussi des pancartes et des guides qui sont là pour donner des renseignements sur les animaux, ce qui est très bénéfique car, d’après moi, la préservation passe par la connaissance. Les zoos sont là pour faire de la pédagogie, mais aussi pour s’occuper des animaux dans des conditions convenables.
En revanche, il est urgent d’apprendre aux gens à bien se comporter dans les zoos : quand j’y vois le comportement des humains, c’est quelque chose d’épouvantable, ça hurle de tous les côtés, ça tape sur les vitres, ça jette des cailloux… Dans un monde idéal, il n’y aurait plus de zoos.
Mais tant qu’il y aura des hommes sur la Terre cela ne sera pas possible, les braconniers sont prêts à tout, même à couper un arbre pour faire descendre un singe et son petit, tuer la mère, et revendre le petit comme un jouet. Les zoos sont une sorte de refuge contre ces maltraitances.
CONTRE :
Alexandre Philippot-Bonnavent, ancien porte-parole de 269 Life France zoo3Je suis membre d’un mouvement vegan, donc par définition opposé à toute forme d’exploitation des animaux. Cependant, j’ai souhaité me forger une opinion objective sur les zoos.
Bien entendu, les conditions de détention observées dans la grande majorité de ces parcs sont déplorables, les besoins primaires des animaux sont ignorés, dans un souci de rentabilité : piètres espaces vitaux, frayeurs dues à la proximité avec les visiteurs, absence de stimulation pour éviter l’ennui, animaux vivant naturellement en groupe se retrouvant isolés, ou à l’inverse espèces solitaires forcées à cohabiter avec d’autres spécimens, animaux utilisés pour le plaisir du public (contacts directs comme des caresses, animaux nourris de façon inadaptée par les visiteurs, et parfois même devant réaliser des numéros de cirque).
Ces ‘’mauvais zoos’’ sont souvent pointés du doigt par le public, qui aime les animaux, et constate de façon évidente les mauvais traitements subis.
Ce que je trouve beaucoup plus dangereux, ce sont les zoos ‘’nouvelle génération’’, cherchant à donner bonne conscience aux consommateurs. Bien souvent, les animaux exotiques (ou leurs parents) qui y sont présentés ont été prélevés dans la nature, parfois en tuant toute une famille pour récupérer les bébés…
Alors qu’il existe de nombreux documentaires, qui n’ont pas nécessité ces horreurs, qui montrent des images fantastiques d’animaux dans leur milieu, avec leur comportement naturel (qui n’est pas celui d’un animal enfermé, car la captivité les rend aliénés).
En outre, ces zoos soit disant éthiques prétendent contribuer à la sauvegarde des espèces menacées alors qu’il s’avère : que les animaux présents dans les zoos sont pour leur grande majorité des animaux qui ne sont pas menacés dans leur habitat naturel, mais simplement des espèces attendues par le public, logique purement commerciale ; qu’il est pratiquement impossible de réintroduire dans la nature des animaux élevés en captivité, quand la reproduction est possible ; que des animaux enfermés, nourris, soignés par l’homme et qui ne bénéficient pas de la sélection naturelle (permettant aux plus forts de survivre) sont des animaux qui perdent leurs qualités génétiques et voient leur espèce modifiée ; et, surtout, que les zoos donnent une fausse excuse pour éviter de se pencher sur la seule et unique solution pérenne pour sauver les espèces menacées, à savoir préserver leur espace naturel, et aider les populations locales afin qu’elles ne soient pas obligées de braconner ou de détruire ces espaces pour survivre.
J’aimerais également ajouter que montrer un animal enfermé à un enfant lui apprend que l’animal est un objet de divertissement. Aussi, je pense que les parents qui souhaitent faire plaisir à leurs enfants, devraient plutôt les emmener voir des animaux domestiques avec qui l’enfant pourra interagir.
Les dernières générations ne savent pas faire la différence entre une vache et un taureau, ni qu’un âne aime vivre avec d’autres espèces, ni qu’un chevreau aime qu’on le grattouille avant de faire des petits sauts pour manifester son bonheur d’être cajolé.
Et vous, qu’en pensez-vous ? Etes-vous POUR ou CONTRE les parcs zoologiques, et pourquoi ? Dites-le nous dans les commentaires sous cet article.
Massacre de chats noirs à Marseille
En deux mois, sept félins, tous noirs, ont été sauvagement tués ou ont disparu dans la résidence de Marseille où ils s'étaient installés. La justice est désormais saisie.
Marseille (Bouches-du-Rhône), hier.
Marie-José, une habitante qui a l’habitude de nourrir les chats errants, a trouvé la queue sectionnée de l’un d’entre eux dans cette gamelle. Marseille (Bouches-du-Rhône), hier.
« Quand je vais donner à manger aux chats le matin, j'ai maintenant toujours une appréhension. Je me demande quel spectacle je vais trouver, ça me met vraiment mal à l'aise, j'ai une boule au ventre ! »
Depuis des années, avec une dizaine d'habitants de la résidence privée des Pins, à l'est de Marseille, Marie-José Canetti nourrit la vingtaine de chats errants qui se sont installés dans les jardins de cette immense ensemble de logements. Sur le même sujet Marseille : des chats noirs atrocement tués dans une résidence Marseille : des chats noirs atrocement tués dans une résidence
Mais cela fait deux mois que ces amis des animaux vivent un cauchemar : sept chats, exclusivement noirs, ont été sauvagement tués ou se sont volatilisés du jour au lendemain.
« On a retrouvé un chat littéralement coupé en deux, un deuxième déchiqueté par des plombs de carabine en pleine tête et deux autres écrasés, raconte Marie-José Canetti. Une chatte dont je m'occupais avait fait cinq petits : les trois qui étaient noirs ont disparu. » Comble de l'horreur, la queue sectionnée d'un de ces chatons a été retrouvée vendredi dans une des gamelles destinées à nourrir les animaux, dans un endroit pourtant discret, caché par une haie de buissons. Dans cette résidence cossue du IXe arrondissement éloignée du centre-ville, gardée jour et nuit et dont le calme n'est troublé que par le crissement des cigales, l'affaire est dans toutes les conversations, d'autant que le syndic doit déposer plainte aujourd'hui.
« Je pense que c'est forcément quelqu'un qui vit dans la résidence, mais il est impossible d'avoir des soupçons précis, des centaines de personnes habitent ici, ça peut être quelqu'un qui n'aime pas les animaux, qui trouve qu'il y a trop de chats... Ou bien une personne très superstitieuse », estime René qui rappelle que, selon la croyance populaire, croiser un chat noir le matin est censé porter malheur.
Un précédent sanctionné par de la prison ferme à Marseille « On voit bien dans nos refuges que les chats noirs ont une valeur très symbolique pour les gens. Certains n'en veulent à aucun prix, alors que d'autres n'adoptent que des félins noirs », constate Hélène Brun-Frandji, présidente de la SPA Marseille-Provence, qui va également déposer une plainte aujourd'hui.
« Ces chats tués en série dénotent une aptitude au meurtre et au martyr qui est très inquiétante, et pas seulement pour les animaux. Malheureusement, on n'attend pas grand-chose de cette enquête, sauf si quelqu'un parle. »
L'association, qui s'occupe de la stérilisation de ces chats errants nombreux à Marseille, avait réussi en février 2014 à faire condamner à un an de prison ferme un Marseillais de 24 ans qui avait posté sur Facebook une vidéo dans laquelle il s'amusait à jeter violemment un chaton sur un mur
Mais, cette fois, les faits n'ont pas eu lieu dans les quartiers Nord, mais dans une zone résidentielle sans histoire. « La résidence des Pins est un des endroits les plus calmes du quartier, il n'y a jamais aucun problème là-bas, c'est pourquoi je suis très surpris par cette affaire, avoue Lionel Royer-Perreaut, le maire de ce secteur de Marseille. Mais si un psychopathe sévit, il faut tout faire pour l'arrêter et le mettre hors d'état de nuire. »
La police fracasse la vitre d’un véhicule pour sauver 3 chiens à Sault-Ste-Marie
La police de Sault-Ste-Marie enquête, après que ses agents eurent dû intervenir, mardi, pour libérer 3 chiens prisonniers, en pleine chaleur, d'un véhicule verrouillé, au centre-ville.
Les animaux ont été confiés à l'organisme Humane Society. Quelqu'un avait appelé les policiers vers 16 h pour leur signaler le problème.
Les autorités rappellent aux propriétaires d'animaux, qu'en temps de canicule, la température peut atteindre 40 °C à 60 °C dans un véhicule, même si les fenêtres sont entrouvertes.
La police de Sault-Ste-Marie dit avoir reçu sept appels depuis le début juillet au sujet d'animaux en détresse dans des véhicules. Mardi, la police régionale de York a été appelée au centre commercial Vaughan Mills relativement à un chien déshydraté à l'intérieur d'une voiture.
Les policiers rappellent aux résidents qu'ils s'exposent à une amende de 930 $ dans de tels cas.
VESOUL : CHIENS, CHATONS ET OISEAUX, SEULS CHEZ EUX PENDANT LES VACANCES DE LA FAMILLE
Les deux chiennes, les chiots et les chatons ont été mis en cage : ils ont été conduits à la SPA par les pompiers.
Attroupement, ce matin, dans la rue des Fleurs, aux Rêpes à Vesoul.
Pompiers, policiers, Habitat 70, représentants de la SPA viennent d’arriver devant une maison de deux appartements.
Dans l’un, des chiens avec des chiots et des chatons sont enfermés depuis le départ en vacances d’une femme et sa fille, vendredi dernier.
Martine Maurize, directrice territoriale adjointe à Habitat 70, explique avoir été alertée de la situation par une représentante de la SPA.
Après l’ouverture de la porte par un serrurier, pompiers et gendarmes ont pu se rendre compte de la situation : deux grands chiens dont une femelle amaigrie et ses neuf chiots sont cantonnés dans le couloir et les escaliers où ils ont fait leurs besoins.
Ils avaient bien de l’eau, ont-ils constaté, mais une eau croupie et, au premier abord, pas de quoi manger.
Dans la cuisine, enfermés eux aussi, cinq chatons avec pour toute nourriture, une gamelle de croquettes de chiens et une caisse plus que souillée.
Trois oiseaux en cage n’avaient quant à eux plus d’eau. Une policière leur a donné à boire.
Des chiennes très dociles et des chiots adorables
Un policier a tenté de joindre la famille sur un numéro de portable. En vain. En attendant l’arrivée de la grande cage pour conduire les chiens à la SPA, Les deux chiennes ont été sorties.
Dehors, remuant la queue et se sentant libres, elles ont failli échapper à la vigilance mais, très dociles, se sont laissé rattraper rapidement. Une voisine leur a donné à boire et à manger. Gamelles sur lesquelles les deux chiennes se sont jetées. Les deux bêtes se sont laissé caresser par des voisins arrivés sur place et même par un enfant.
Une minichaîne humaine s’est ensuite organisée pour sortir les neuf chiots un à un (des noirs et des marron à croquer !) et les installer dans la cage où les ont rejoints les deux femelles.
Quelle touchante scène que de voir ces adorables bestioles se dresser sur leurs pattes arrières pour chercher à téter. Un triste spectacle devant lequel, une voisine n’a pu retenir ses larmes comme une ou deux autres personnes sur place.
Des aboiements ont été perçus mais sans plus. Les deux chiennes croisées, l’une noire et feu et l’autre toute noire, les neuf chiots et les cinq chatons ont donc été pris en charge au refuge SPA de Dampvalley-lès-Colombe.
Christiane Bouvier, la présidente, a expliqué que les animaux ont été abreuvés, nourris et hébergés : « Une visite est prévue chez le vétérinaire pour déterminer leur état de santé. Ils sont restés plusieurs jours sans manger ».
Elle a ajouté que, pour l’instant, ces bêtes étaient en fourrière pour un délai légal de huit jours : « C’est un cas de maltraitance. Ces animaux ne devraient pas être restitués à leurs propriétaires. J’espère qu’on pourra les placer et leur donner un meilleur départ ».
À l’arrivée des pompiers, l’adjudant-chef Fleytoux, chef de garde hier à Vesoul, craignait trouver des animaux morts. Selon lui, ce type d’intervention est plutôt rare à Vesoul. La présidente de la SPA en dénombre, quant à elle, une dizaine, sur la Haute-Saône (hormis secteur de Gray) depuis le début de l’été : « Les gens partent en laissant les animaux chez eux ».