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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
INDIGNATION ! ... Refuge SPA Ste Apolline 78370 Plaisir 01 34 89 05 47
Il n'est de mon avis, pas admissible que des SPA « fourguent » des Lévriers venus d'Espagne au premier venu... Je viens d'avoir une discussion vive et inutile avec Madame Reuss (je ne suis pas sûre d'avoir bien noté son nom) la « chef d'équipe » de la SPA Refuge de Plaisir qui à ma demande de prendre en charge le Galgo et le Podenco arrivés d'Espagne, m'a envoyée promener...
Comment peut-on confier des Lévriers. tout droit sortis de perreras ou de refuges sans avertir les adoptants de leur passé souvent difficile, sans pré-visite, sans s'assurer que l'environnement du chien sera sans danger pour lui ?
Comment peut-on laisser partir une Galga avec une vieille dame à moitié impotente, une Galga non stérilisée, non testée maladies et sans savoir si au moins ce chien de course, de chasse aura des sorties régulières si impératives pour lui, un jardin peut-être, avec au moins une clôture «conforme » ?
Las, on m'a demandé de me mêler de ce qui me regardait... Tant de combats pour qu'ils finissent livrés en paquet prêt à l'emploi ! Je suis désespèré de ce milieu poubelle...
Si vous êtes de mon avis, vous pouvez le faire savoir à cette SPA.
SPA Refuge de Plaisir 01 34 89 05 47 (de 10h30 à 13h et 14h à 17h) Vous pouvez aussi commenter sous la photo du Galgo Erik :
https://www.facebook.com/SPA.de.Plaisir/photos/a.250089701704360.58989.215660035147327/927762327270424/?type=1 https://www.facebook.com/pages/SPA-refuge-de-Plaisir/215660035147327#%21/pages/SPA-refuge-de-Plaisir/215660035147327?sk=wall
Hornu: soupçons de maltraitance à l'animalerie "la niche"
L'animalerie "La Niche" à Hornu vend-elle des chiens qui sont en mauvaise santé ?
En tout cas, les plaintes se multiplient et une pétition mise en ligne réclame la fermeture de l'établissement. Un groupe Facebook a même été créé.
Mercredi, le propriétaire de l'animalerie a été convoqué par le ministre wallon Carlo Di Antonio (cdH) et les services du bien-être animal.
À ce stade, la fermeture n’est pas à l'ordre du jour mais une sacrée mise en garde a été délivrée au responsable de l’animalerie. Des plaintes toutes les semaines Il faut dire que depuis qu'il est ministre du Bien-être animal, Carlo Di Antonio (cdH) reçoit chaque semaine plusieurs plaintes au sujet de l'animalerie d'Hornu: les chiens qui viennent de "la niche" seraient en mauvaise santé, couverts de vers et de puces.
Un couple témoignait dans les journaux il y a une dizaine de jours et expliquait avoir acheté un Boxer pour la modique somme de 550 euros mais dix jours plus tard l’animal décédait d'une pneumonie foudroyante.
Ce qui est étonnant c’est que des contrôles du service du bien-être animal ont bien eu lieu, le dernier date du mois de juillet, mais à chaque fois le constat est le même: rien à signaler.
Des vétérinaires ont constaté plusieurs éléments suspects Un constat qui n’est pourtant pas partagé par plusieurs vétérinaires de la région qui soulignent les anomalies constatées, comme la provenance des chiens vendus par l’animalerie: beaucoup de ces chiens viennent des pays de l’Est, avec des passeports biologiques parfois trafiqués et souvent en mauvaise santé en raison des notamment des conditions de transport qu’ils ont connus.
Le propriétaire de "la Niche" réfute lui l’ensemble de ces accusations en avançant qu’il est dans le métier depuis de nombreuses années, qu’il a déjà eu trois animaleries et qu’il n’a jamais connu de problèmes lors des inspections.
Du côté du cabinet du ministre Carlo Di Antonio, on promet de suivre la situation avec attention et qu’en présence de persistance des plaintes, il pourrait décréter la fermeture définitive de cette animalerie.
Trois milliards d'euros et un "message d'amour " adressé par Manuel Valls à une agriculture qui méprise et vole les vies d'un milliard d'êtres, interminablement, chaque année. Notre message d'amour va aux animaux. Nos pensées sont pour vous, pour votre liberté, qu'un jour nous vous rendrons.
DROME Bourg-lès-Valence : un chien retrouvé mort dans une valise
C’est un plaisancier qui a alerté les secours.
Hier en fin d’après-midi, c’est un plaisancier qui a alerté les secours après avoir fait une étrange découverte. Il avait remonté du Rhône une lourde valise alors qu’il se trouvait à proximité du barrage de la CNR à Bourg-lès-Valence.
Se préparant au pire, les gendarmes ont alors dépêché sur place leur brigade fluviale et des techniciens en identification criminelle. Après les précautions d’usage, ils ont procédé à l’ouverture de la valise qui faisait environ 80 par 40 centimètres.
À l’intérieur, les militaires ont découvert le corps d’un chien.
Ils viennent sauver une chienne et ses petits ... Mais 2 surprises les attendent...
On voit un homme se garer devant la grille d'un établissement, sortir trois chiots du véhicule, les passer à travers les barreaux, laisser une gamelle d'eau et de croquettes, puis s'en aller.
Un commentaire accompagne la vidéo : "Voilà comment souvent on abandonne des animaux, sans aucun scrupule, dans notre refuge!
Ces images, capturées par une caméra de vidéosurveillance, ont été mises en ligne sur Facebook dimanche par la Société Protectrice des Animaux de Mulhouse (Alsace). L'association espérait ainsi sensibiliser l'opinion publique durant cette période propice à l'abandon des bêtes. Visionné depuis plus d'un million de fois, l'enregistrement a effectivement provoqué un déferlement de réactions sur internet .
Mais si certains s'indignent de la "lâcheté" du geste, nombreux aussi sont ceux qui prennent la défense de l'ancien maître. "Moi je remarque qu’il laisse un gros sac de croquettes, qu’il passe les chiots aussi doucement qu’il peut et qu’il leur met de l’eau. Ce n’est pas une personne insensible. Il n’a peut-être plus d’autre choix que de “donner” ces animaux…", commente ainsi Natacha sur la page du refuge. "Vous jugez mais vous ne savez pas son histoire. Il a peut-être perdu son travail et il n'a plus les moyens de s'en occuper. Il y a des gens qui les laissent sur le bord de la route, qui les jettent en forêt, ou même les noient. Malgré le fait qu'il les abandonne, il ne les laisse pas n'importe où.
Cette vidéo me laisse un sentiment mitigé, mais pas de haine.", abonde Vivien. "Le manque de moyens n'explique pas tout" Patrick Bauer, le directeur de la SPA de Mulhouse – que nous n'avions pu joindre jeudi après-midi – a expliqué au journal L'Alsace que la mise en ligne de la vidéo, réalisée en son absence, était un "cri de colère des soigneurs, qui voient ça toute la semaine.
Parfois, les gens jettent même les animaux par-dessus les grilles, on les retrouve avec des fractures…" Et l'ami des animaux de poursuivre : "Quelque part, cet homme aurait pu laisser les chiens ailleurs, c’est vrai, mais il aurait aussi pu venir nous les donner une heure trente après, quand nous étions ouverts.
Pour moi, c’est une forme de lâcheté". Si les propriétaires qui viennent eux-mêmes déposer leur chien ou leur chat doivent participer aux frais de soins et de puçage (entre 60 à 90 euros), le directeur de la SPA assure que pour le public qui "n’a pas les moyens de payer", les animaux sont de toute façon pris en charge. "Si cet homme était venu à 8h30 et nous avait dit : “Je n’arrive pas à assumer”, on ne l’aurait pas jugé".
Mais son équipe, visiblement excédée par certains posts sur les réseaux sociaux, ne cache plus son agacement. "Certains commentaires en disent long sur la mentalité des gens !
Quand on n’a pas d'argent on abandonne ses enfants ?
Pourquoi la mère des petits n'était pas stérilisée ?
Le manque de moyens n'explique pas tout !!!! La SPA qui est une association à but non lucratif , pourquoi pensez-vous que les abandons sont payants ?
Certes cette personne aurait pu faire un abandon plus cruel, mais elle ne sera pas responsabilisée pour autant ! Et sa chienne fera encore des portées...," s'agace le modérateur de la page de l'association, qui assène un peu plus tard : "Nous tenons à signaler que le refuge était ouvert ce jour-là.
Ce personnage n'avait qu'à se présenter avec ses couilles à l'accueil !" Ce à quoi une internaute réplique : "Ok il y a abandon, ok ça ne se fait pas et j'ai mal au cœur pour les chiots. Mais il laisse des croquettes et de l'eau tout en sachant que les chiots seront trouvés tout au plus 1h plus tard.... Parlez de mépris... de couilles... vous seriez fiers vous d'abandonner des chiots ?"
Nuages sur la protection animale
Il s’est passé ce jeudi 3 septembre un évènement capital pour la protection animale.
L’aboutissement d’un processus judicaire entamé en été 2014 et qui s’est achevé sur une défaite amère pour une petite association discrète, mais qui fait un boulot phénoménal depuis 7 ans : Cœur sur pattes.
Une association qui, sans aucune aide publique, a sauvé plus de 1000 chiens, particulièrement des éclopés, des seniors, des pas jolis, ceux dont personne ne veut. Un travail fou mené de main de maitre par Vanessa Myotte, la présidente, assistée d’une petite équipe de bénévoles et de familles d’accueil.
L’extrême sévérité des jugements des tribunaux de Montbéliard et Besançon est un avertissement très clair lancé aux associations de protection animale, et il a été énoncé comme tel. Le début de l’histoire se situe en juillet 2014 dans le Haut-Doubs, quand Vanessa, appelée à l’aide par une association suisse, intervient chez un quidam qui détient des chiens en piteux état, dans un minuscule enclos souillé de déjections.
Comme à son habitude, Vanessa appelle la mairie, la gendarmerie et un vétérinaire pour être dans un cadre réglementaire. Devant l’état de ces chiennes, saleté, maigreur, boiterie, otite et l’absence de vaccinations notées sur le carnet de santé, elle décide de retirer les animaux au quidam, chasseur de son état. Ceci bien sûr toujours en présence des gendarmes, et avec l’accord du chasseur.
Vanessa s’occupe rapidement de faire soigner les animaux, dont un est assez malade et quelques jours passent tranquillement… Quand soudain, le chasseur débarque chez elle, accompagné de quelques-uns de ses amis. « Ils étaient menaçants, intimidants, bien déterminés à récupérer les chiennes. Les gendarmes ont du intervenir » raconte Vanessa. Les jours suivants, un invraisemblable manège se met en place autour du petit chalet de cette mère de famille, seule avec deux jeunes enfants.
Des voitures tournent sans arrêt dans la petite rue d’ordinaire tranquille, de jour comme de nuit, stationnent devant chez elle, des individus en treillis font le pied de grue devant son portail, prennent des photos de la maison etc. Elle s’inquiète, met ses enfants à l’abri, appelle au secours des amis pour ne pas rester seule la nuit. La gendarmerie est prévenue, mais elle ne songe pas à porter plainte.
Les intimidations continuent, Vanessa ne dort plus, ne se sent plus en sécurité. Une première plainte pour violation de domicile, vol avec intimidation, séquestration de chiens est déposée contre Vanessa par le chasseur, mais elle n’aboutit pas. Une seconde plainte pour abus de confiance est retenue.
Le choc est rude, Vanessa confie qu’ « être poursuivie comme une criminelle m’a assommée. Je m’occupe de chiens maltraités depuis des années, je pratique toujours ainsi, sous couvert des gendarmes, avec l’appui d’un vétérinaire. Leur présence est gage de légalité, me semble t-il, sinon il y a problème ! » La plainte de Cœur sur pattes pour actes de maltraitance, elle, est classée sans suite...
Autre surprise, le procès est annoncé très vite. Mi-octobre elle est convoquée au tribunal de Montbéliard. A l’audience c’est un tir groupé, le président rivalise avec la procureure pour l’accusation, tonne contre ces associations, « shérifs » ou « zorros » qui se permettent de retirer des chiens à leurs propriétaires dans des « opérations commando », sans respecter les procédures légales, des chiens "un peu négligés certes, mais pas en danger", et il humilie publiquement Vanessa.
Les certificats de deux vétérinaires différents attestant de l’état des animaux, les photos, les vidéos, les très nombreux témoignages soutenant Cœur sur pattes et Vanessa ne semblent pas peser lourd face à la parole du chasseur. La gendarmerie, témoin essentiel, n’a même pas été entendue. Le procès est à charge, tout semble joué. Le juge remet la décision à plus tard, proposant que durant ce délai Vanessa rende les chiennes et indique qu’il sera tenu compte de sa décision pour une peine plus ou moins lourde.
Elle refuse et refusera toujours de rendre Ulline et Alpha, qui coulent aujourd'hui des jours paisibles, soignées et bichonnées. Le tribunal la condamnera en conséquence à 6000 € d'amende dont 3000 avec sursis, 1500 € de dédommagement pour le chasseur et 800 € de remboursement des frais d'avocat.
Vanessa fait appel de la décision, change d’avocat et se retrouve devant le tribunal de Besançon et là… Même punition ! Le président se fait procureur, accuse les associations d’outrepasser leurs droits : « vous qui arrivez avec votre étendard associatif…
« L’avocat de la partie adverse plaide et explique très clairement l’enjeu sous-jacent de cette affaire : il s’agit de faire comprendre aux associations de protection animale qu’elles ne peuvent pas impunément retirer des animaux à leurs propriétaires.
Le mot « chasseurs » n’est pas prononcé, mais pour Vanessa et ses amis présents à l’audience, le message est clair « On nous a bien fait comprendre qu’on ne pouvait pas s’attaquer à des chasseurs, c’est d’ailleurs logique, ils doivent commencer à s’inquiéter des interventions associatives, car ce cas n’est pas rare du tout. Si on ne peut pas parler de maltraitance au sens de battre les animaux, les négligences sont souvent telles qu’on peut parler de mauvais traitements. Dans les petits villages reculés, les animaux sont des utilitaires et pas des êtres sensibles ».
L’avocat indique que juridiquement, ils ne peuvent pas demander le retour des chiennes, pourquoi ?
Mystère ! Peut-être parce qu’elles n’appartenaient pas légalement au chasseur, qui avait omis de les déclarer à son nom, tout comme il avait omis de les faire vacciner et soigner ? Le réquisitoire assez ahurissant de la procureure, qui demande 1 an de prison avec sursis, 6000 euros d’amende pour l’association et 8000 pour Vanessa, estomaque l’assemblée.
Une brillante plaidoirie de l’avocate de la défense, maître Tascher, met un peu de baume au cœur de tout le monde, mais l’optimisme ne règne pas. Et jeudi, la sentence tombe : 1 mois de prison avec sursis, toujours des amendes incroyables, 6000 euros dont 3000 avec sursis pour Cœur sur pattes, 1000 euros pour sa présidente, 800 euros de frais de justice, 1500 euros de dommages et intérêts, qui risquent bien de signer l’arrêt de mort de l’association.
Mais c’est le but n’est ce pas ? Cœur sur pattes doit servir d’exemple, c’est la demande explicite de l’avocat du chasseur. Il faut calmer ces associations qui osent venir mettre leur nez dans les affaires de ceux qui pensent qu’un bien meuble ne peut pas être sensible et que les traditions cruelles sont un patrimoine à préserver. Ce procès est leur message. Ils ne feront pas de cadeau.
Tous les oiseaux marins seront contaminés par le plastique
La majorité des oiseaux marins à travers le monde a déjà ingurgité du plastique, mais d’ici 2050 quelque 99% des albatros, manchots, mouettes et autres volatiles des mers seront touchés par cette pollution.
Les chercheurs ont passé en revue des études réalisées entre 1962 et 2012 sur 135 espèces d’oiseaux marins. En comparaison, une étude datant du début des années 1960 montrait qu’à cette époque moins de 5% des oiseaux marins étaient concernés.
La pollution au plastique, qui selon les scientifiques atteint en certains endroits le taux record de 580 000 morceaux de plastique par km2, représente un danger pour les oiseaux qui confondent leur surface colorée avec des aliments.
Les oiseaux peuvent développer des maladies ou mourir s’ils ingèrent trop de plastique. Les chercheurs «prévoient une augmentation de l’ingurgitation de plastique par les oiseaux marins, qui touchera 99% de toutes les espèces d’ici 2050», selon les Comptes rendus de l’Académie nationale américaine des sciences (PNAS).
Toutefois les auteurs indiquent que: «Une gestion efficace des déchets peut réduire cette menace» «Pour la première fois, nous disposons d’une prévision globale montrant à quelle échelle la pollution au plastique peut avoir des répercutions sur les espèces marines — et les résultats sont frappants»
Mais il ajoute aussi que malgré tout: «Les estimations, basées sur des observations historiques, montrent qu’environ 90% des oiseaux marins ont déjà avalé du plastique. C’est énorme et cela montre l’omniprésence de la pollution au plastique» Depuis la commercialisation du plastique dans les années 1950, la production a doublé tous les 11 ans.. mais dans l’avenir les chercheurs mentionnent que:
«Entre 2015 et 2026, la quantité totale de plastique produite sera équivalente à tout ce qui a déjà été fabriqué» Ils estiment que la menace est: «géographiquement étendue, généralisée et augmente rapidement»
«les zones les plus à risques se situent aux limites de l’océan Austral, dans la mer de Tasman entre l’Australie et la Nouvelle-Zélande, en raison de la forte pollution au plastique et de la grande diversité d’oiseaux marins dans ce secteur» ile-plastique
À ce jour, on estime qu’il y a 5250 milliards de particules de plastique, représentant un total de 275?000 tonnes. Ce sont les chiffres de ce que les chercheurs appellent le «septième continent».
Ces immenses tapis de débris plus ou moins gros, découverts dans le Pacifique Nord en 1997 par le navigateur Charles Moore, convergent vers des zones appelées «gyres», sortes de tourbillons qui piègent tout ce qui flotte.
Ils font l’objet d’un nombre croissant de publications scientifiques qui essaient d’en évaluer la superficie exacte, les déplacements au gré des courants ou encore l’impact sur la faune océanique. Voici l’autopsie d’un oiseau et le contenu de son estomac
Ici, dans cette belle région de Provence, un rougegorge s’agite, arrachant ses plumes pour essayer de se désengluer ;
là une fauvette est déjà morte d’épuisement après s'être débattue de longues heures ;
en Aquitaine, un bruant ortolan est capturé, engraissé dans le noir, puis noyé pour être cuisiné ; ailleurs c’est un chardonneret qui meurt écrasé sous une grosse pierre plate…
Sous prétexte de « traditions françaises » certains s’autorisent à massacrer nos petits oiseaux familiers, ceux de nos jardins, de nos parcs, de notre campagne…
Non seulement les techniques de capture ne sont pas sélectives (tous les petits oiseaux du rougegorge au chardonneret en sont victimes), mais elles sont également particulièrement violentes et cruelles.
Les conditions de détention sont stressantes et traumatisantes, de nombreux oiseaux sont blessés voire mutilés, avant d’être achevés. Parfois même, ce braconnage de notoriété publique alimente un trafic juteux.
Les braconniers savent qu’ils ne seront pas inquiétés : ces pratiques illégales d’un autre âge perdurent grâce à la complicité de l’État français et de quelques élus de la République, Maires, Députés et Sénateurs dont les noms sont connus.
Chaque année, l’État demande à la police de la nature (ONCFS) de ne pas constater les infractions en invoquant ce qu’il appelle la « tolérance ».
Les sanctions infligées aux quelques contrevenants pris sur le fait grâce à la persévérance des associations du réseau BirdLife International (La LPO pour la France) sont ridiculement symboliques. La situation est dénoncée par les agents eux-mêmes qui vivent de plus en plus mal cette situation de non droit.
Nous avons besoin de vous pour mettre fin à ces pratiques barbares et illicites sans plus attendre ! Le Président de la République Française a affirmé vouloir faire de la France un pays exemplaire en matière de biodiversité.
En signant cette pétition, faisons-lui entendre que nous ne nous reconnaissons pas dans cette France barbare et réclamons qu’il agisse en faveur de la biodiversité et du respect des textes protégeant les oiseaux!
AVAAZ.org
Nostalgie du moment. Nostalgie d’un instant.Il dépose ses rancœurs qui lui bloque le cœur .Douce mélancolie .Juste un peu de répit,dans son être vulnérable ou ses pensées trépassent.Emotions impalpables