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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
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abandon et maltraitance image

La Fondation prend en charge un singe

Publié à 17:48 par fandeloup Tags : google animal photo france
La Fondation prend en charge un singe

La Fondation prend en charge un singe en Seine-Saint-Denis

 La Fondation 30 Millions d’Amis est intervenue ce dimanche 16 novembre 2014 pour secourir un singe trouvé errant au Blanc-Mesnil (93).

Elle lui cherche actuellement un lieu d’accueil adapté, alors qu’une enquête est en cours pour retrouver son éventuel propriétaire. P

Après le gros félin - qui n’a toujours pas été retrouvé - le singe !

C’est en effet un primate qui a mobilisé hier, dimanche 16 novembre 2014, les autorités, averties par un habitant du Blanc-Mesnil (93).

Vers 11h30, la police est sollicitée car un petit singe est repéré sur le muret d’un pavillon. Les pompiers de la brigade cynotechnique de Saint-Denis le capturent facilement à l'aide de filets et d’un lasso.

Très rapidement, la Fondation 30 Millions d’Amis est à son tour prévenue, et elle prend en charge l’animal, qui est acheminé dans une pension située à Tremblay-en-France.

ESPÈCE PROTÉGÉE

Une enquête est en cours pour déterminer l’origine de l’animal, un macaque de Barbarie ou magot. Une source policière, citée par l’AFP, indique qu’il est « âgé d'un an et demi ou deux ans et d'une taille d'environ 80 centimètres ».

« L’animal est docile et habitué à la présence des hommes » précise Arnauld Lhomme, enquêteur à la Fondation 30 Millions d’Amis.

Le magot est une espèce protégée par la convention de Washington. Sa détention est à ce titre soumise à une réglementation stricte.

Victime du trafic illégal, il est, le plus souvent, vendu sur les marchés nord-africains et transporté illégalement en Europe : des particuliers se rendent coupables, en adoptant cet animal sans entreprendre les démarches nécessaires, d’une infraction grave.

La Fondation 30 Millions d’Amis cherche actuellement un lieu d’accueil approprié pour l’animal. Le Natuurhulp Centrum (Belgique) et le sanctuaire AAP (Pays-Bas), deux centres spécialisés dans la protection de la faune sauvage, comptent parmi les pistes envisagées.

La semaine dernière, Cookie, un primate similaire détenu illégalement par un particulier avait déjà été recueilli par la Fondation 30 Millions d’Amis et confié au centre Natuurhulpcentrum aux Pays-Bas.

des animaux blessés dans un cirque

Publié à 16:17 par fandeloup Tags : bébé photo chevaux vie france article heureux nature animal animaux enfant cheval
des animaux blessés dans un cirque

Planète Animaux découvre des animaux blessés dans un cirque

Il y a quelques jours, Planète Animaux a visité la ménagerie d’un cirque installé en région parisienne. Nous y avons fait des constatations ALARMANTES : animaux maigres, blessés, mal dans leur peau… Nous serons même témoins de maltraitances sur un poney, de la part d’un jeune circassien !

Découvrez dans notre article les résultats de notre enquête.

Dès notre arrivée sur les lieux, on est mis dans l’ambiance… A l’entrée du cirque (que nous ne nommerons pas pour des raisons juridiques) trône un large panneau sur lequel on peut lire « Vive le cirque avec des animaux! ».

Mais de quelle manière traitent-ils leurs « stars » à quatre pattes ?

Nous allons malheureusement constater que si le cirque en question ne se prive pas pour mettre les animaux en avant afin d’attirer des spectateurs, il n’a cure du bien-être et du confort de ceux qui lui permettent de remplir ses gradins…

A peine entrons-nous dans le « zoo » (qui se visite de 10h à 18h pour la modique somme de 1 euro) que l’on est frappé par les conditions de vie misérables des bêtes qui y séjournent. Chevaux, lions, tigres, singes, chameaux… Tous souffrent de troubles du comportement et de blessures diverses.

Quelle vision d’horreur !

Des conditions concentrationnaires cirquerome02Face à nous, des zèbres nous regardent avec de grands yeux tristes. Ils se partagent trois boxes de fortune, sous une tente. Si ils ont du foin, aucun d’eux ne dispose d’eau…

Leurs enclos exigus sont bien loin des vastes étendues africaines dans lesquelles ils devraient évoluer en toute liberté. Face à eux, se trouve une dizaine de fauves entassés dans une roulotte divisée en plusieurs cages.

Le lion est enfermé dans un box de 4 mètres carrés tout au plus, dans lequel il peut à peine se retourner. C’est là qu’il vit, quand il n’est pas sur la piste aux étoiles. Dans la nature, il parcourerait plus de 50 kilomètres par jour. Ici, il est réduit à une vie végétative. Il ne dispose ni d’eau, ni d’aucun enrichissement d’ailleurs (pas de paille, pas de jouet pour se distraire…).

Les lionnes sont, quant à elles, enfermées à plusieurs dans des cages un peu plus spacieuses que celles du mâle, mais tout aussi exiguës et pauvres eu égard à leurs besoins physiologiques.

Les cages suivantes contiennent des tigres, tous séparés, l’espèce n’étant pas franchement sociable (les tigres vivent en solitaires en dehors de la saison des amours).

L’avant dernière héberge deux petits (l’un roux, l’autre blanc). Elle est, tout comme les autres, minuscule. Les petits y sont livrés à eux-mêmes. Leur mère est dans la cage voisine, séparée de sa progéniture, qui cherche clairement son contact, comme nous avons pu le constater.

Pire, le cirque avait annoncé en fanfare la naissance de ces « tigreaux » en juin 2014, ils étaient alors trois (deux roux et un blanc). Sous nos yeux, deux petits seulement.

Où est le troisième ? Personne ne saura nous répondre… L'animal serait-il décédé, ou a-t-il été vendu ? Mystère…

A cet instant, nous sommes interrompus dans nos réflexions par l’arrivée de trois chevaux, raccompagnés dans leur « écurie » par des circassiens (le spectacle est en cours, leur numéro vient de s’achever). Sans ménagement, ils sont traînés dans la remorque de camion qui leur sert d’habitat. Leurs boxes sont étroits, sombres, sans eau ni paille mais souillés de crottin. Au plafond s’entassent des barrières et des planches de bois… Enfermés dans l’écurie de fortune, les chevaux sont de plus attachés aux grilles de celle-ci avec une longueur de longe aussi ridicule que scandaleuse : moins d’un mètre !

Les pauvres bêtes ne peuvent donc ni se retourner, ni se coucher ! En nous approchant d’eux, nous découvrons sur leurs corps de très nombreuses blessures, certaines cicatrisées, d’autres saignant encore, sur leurs flancs et leurs pattes. La représentation n’a visiblement pas été tendre…

Plus loin se trouve un cheval isolé, seul dans un box installé dans l’herbe, en face des fauves (de quoi exciter les fauves, et inquiéter l’équidé). Il est atteint de graves stéréotypies. Nous filmons son ballet incessant. Il ne tient pas en place, virevolte à gauche, à droite, en avant, en arrière…

Le cirque étant sur place depuis une semaine déjà, les quelques mètres de terre sous ses sabots sont ravagés. Il n’a rien à manger, ni à boire (le seau d’eau qui est à sa portée est rempli d’excréments caprins !). Nous lui donnons à boire.

Derrière lui, se trouve une bâche. Nous décidons de la contourner pour voir ce qu’elle cache. Et là, c’est l’horreur ! Nous découvrons une chèvre allongée sur un châssis en métal. Elle ne bouge pas : même lorsqu’on la caresse, elle reste inerte, les yeux fermés. Nous la croyons morte, heureusement, elle fini par ouvrir les yeux et bouger. Mais clairement, l’animal est affaibli, quelque chose cloche. En l’auscultant, nous nous apercevons alors qu’elle présente une blessure aussi grave que répugnante : les chairs de son cou sont entamées par la laisse métallique qui l’attache. Sa peau est très profondément entaillée, et semble nécrosée. La pauvre doit souffrir le martyr et la blessure pourrait s’infecter. Elle n’a ni eau ni nourriture à sa disposition, et dépérit cachée des regards…

C’est ensuite aux singes que nous rendons visite. Leurs cages sont petites, sombres, sales, non enrichies… Ils présentent, eux aussi, de graves stéréotypies, tournant sans cesse sur eux-mêmes. En plus d’être confinés dans des cages minuscules, ils sont attachés par des laisses reliant leur cou aux barreaux de leur cage ! L’un d’eux, très agité, n’a plus aucun poil sur la queue…

En parcourant le reste du zoo, on rencontre quatre poneys accrochés à un camion, derrière le chapiteau. Dans leurs bouches, des mords. Si on ne remarque pas de blessures, on note qu’ils n’ont clairement pas l’air heureux et qu’ils recherchent l’affection. Des « prothèses » pour les chameaux

De l’autre côté du chapiteau, sont installés six chameaux sous une tente. Les veinards disposent d’eau et de foin. Mais ils sont maintenus dans un espace bien trop petit pour eux tous, ce qui les force à une certaine proximité. De plus, deux d’entre eux sont affublés de seaux en plastique découpés de façon artisanale pour maintenir leurs bosses droites. Ces dernières sont en effet tombantes : c’est ce qui arrive lorsque l’animal ne mange pas, ou est mal nourri.

Les réserves de graisse qu’elles contiennent « fondent »… Mais une bosse qui tombe est bien moins disgracieuse que ce dispositif hideux et contre-nature. Des dizaines de cicatrices sur les flancs

La ménagerie possède également un zébu. Attaché sous une tente, il présente une maigreur ALARMANTE. Son arrière-train est bardé de cicatrices, on en compte plusieurs dizaines ! Une blessure est visible sur son flanc droit, sur une zone de la taille d’une pièce de 2 euros exempte de poils. Combien de coups le pauvre animal a-t-il reçu au cours de sa triste vie, pour effectuer les tours qu’on lui impose ?

Autre fait tout aussi grave : il est attaché par une longe fixée à un licol. Mais, en soulevant légèrement celui-ci, on remarque que son tracé est dessiné sur le visage du ruminant ! Là où le licol repose, il n’y a plus de poils. Ce qui signifie que le pauvre zébu est contraint à le porter en permanence, ce qui a fortement irrité sa peau et blessé son épiderme…  Un trou dans l’oreille

A proximité se trouve une grande tente, fermée. Nous y entrons pour y découvrir un élan du Cap (l’une des plus grandes antilopes africaines), plusieurs lamas et plusieurs chèvres enfermés ensemble. Les lamas sont attachés aux barrières de leur box par des longes si courtes qu’ils ne peuvent pas se coucher.

Quant aux chèvres, elles portent des « colliers » très lourds, en métal massif. L’une d’entre elles a l’oreille très profondément déchirée. La blessure, bien cicatrisée, ne date pas d’hier. Mais elle laisse un trou béant.

Anéantis par tant de souffrance animale, nous sortons de ce cirque de la honte. Sur le chemin de la sortie, nous tombons nez à nez avec un enfant en habits à paillettes, qui fait partie de la troupe des circassiens. Celui-ci joue, à sa manière, avec l’un des poneys que nous avions aperçus plus tôt. Il n’a de cesse de tirer violemment sur sa longe, lui retournant littéralement la tête, faisant claquer la longe sur son dos, il le pousse, et lui donne même un coup de pied…

Signalement à la justice

Ecoeurés, nous quittons les lieux, nos photographies en poche. A l’aide des preuves incontestables de ce que nous avons constaté sur place, nous avons alerté plusieurs associations amies. Une plainte contre le cirque sera déposée, avec l’aide des services juridiques de ces associations de protection animale. Il est intolérable que des traitements aussi scandaleux perdurent. Devant de pareils faits, on peut expressément parler d’esclavagisme !

Nous avions eu un sursaut d’espoir la semaine dernière, lorsque qu’un autre cirque nous avait indiqué « qu’il est de plus en plus difficile d’utiliser des animaux sauvages en France ».

Seulement, encore trop de municipalités autorisent les cirques avec des animaux à s’installer sur leur commune. Il est grand temps que cela change !

à 11 ans, l'apprenti torero a tué six fois la même soirée

Publié à 13:45 par fandeloup Tags : cheval vie moi homme chez france femme dieu animaux enfant air
à 11 ans, l'apprenti torero a tué six fois la même soirée

Michelito: à 11 ans, l'apprenti torero a tué six fois la même soirée

A 11 ans, le petit torero franco-mexicain Michelito fait mentir son idole, José Antonio Morante de la Puebla, un grand nom des arènes de Séville, qui a affirmé: "les grandes choses de la vie ont été faites lentement".

Michelito vient d'obtenir un triomphe dans sa ville natale de Merida, au Mexique, en tuant six jeunes taureaux dans le même après-midi. Et il a déjà 160 corridas à son actif en cinq ans.

Sa précocité lui vaut une renommée internationale, qui va se doubler aujourd'hui d'une inscription au Guinness Book des Records: jamais encore un garçon de son âge n'avait combattu six bêtes dans la même corrida. "Mon rêve, c'était d'abord cette +encerrona+ (corrida d'un seul torero) à Merida parce que c'est chez moi. On m'avait proposé de la faire dans différentes arènes du Mexique ou à l'étranger, mais je suis très content, parce que j'ai établi un record dans le Guinness, et sur ma terre", a-t-il déclaré à l'AFP.

Il l'a fait en famille, dans les arènes de Merida dont sa maman, Diana, est la directrice, et devant son père, Michel Lagradère, torero français encore en exercice à 46 ans et professeur de l'école taurine locale.

Devant des animaux six à sept fois plus lourds que lui, des "erales" (jeunes taureaux de 1 à 2 ans, et de 200 kg maximum), il a toréé d'une main sereine, déjà avertie. Dans les tribunes, le public a rythmé de ses "olé" ses faenas bien enroulées, et s'est levé à plusieurs reprises, quand il toréait à genoux.

Certes, il a aussi montré des lacunes, notamment dans la pose des banderilles, mais sa main n'a pas tremblé en tenant la muleta et l'épée. Il a "coupé" deux oreilles, avant de sortir par la grande porte des arènes, porté en triomphe par des admirateurs qui étaient aussi des familiers. "

Avant d'entrer dans l'arène, je suis sur les nerfs, mais je n'ai jamais peur. Je me sens en sécurité. Et quand je torée, je ne pense à rien, je suis concentré, j'écoute seulement mon père", a-t-il expliqué.

Lors d'une tournée en France , à l'été 2008, il avait été la cible des militants anticorrida, au nom de la défense des animaux et de sa propre sécurité.

Ses prestations avaient été interdites dans plusieurs villes, notamment en Arles. "Michelito torée depuis l'âge de 6 ans, et n'a jamais eu d'accident sérieux, il suit les cours de l'Ecole taurine, il est entouré très soigneusement et vit sa passion, qui est aussi celle de sa famille", plaide son père.

Sa grand-mère maternelle, à Merida, raconte l'avoir "testé", quand il avait 4 ans, en lui montrant des vidéos où les toreros étaient blessés par les taureaux. "Je lui faisais peur, je lui disais +Michelito, ne fais pas cela, parce que c'est très dur et ils peuvent te blesser, on va te piquer avec une aiguille et te recoudre", explique-t-elle.

"Mais il me répondait: il n'arrivera rien, et si cela arrive ce n'est pas grave", ajoute-t-elle fièrement.

Aujourd'hui, Michelito est fier, aussi, de ne jamais avoir été blessé. Un gamin courageux, mais un gamin tout de même, du haut de son 1,35 mètre, obligé de crier de sa voix d'enfant, samedi, pour attirer l'attention des taureaux quand ils tardaient à attaquer.

C'est ce contraste entre sa petite silhouette et la force du taureau, qui avait poussé la Commission des droits de l'Homme à demander l'interdiction de la corrida de samedi à Merida, a expliqué à l'AFP son président régional, Jorge Alfonso Victoria Maldonado.

La veille de la corrida, le Parquet local a finalement donné son feu vert, après avoir vérifié que tous les documents administratifs étaient en ordre. Et aussi, semble-t-il, après avoir écouté attentivement Michelito lui-même. Les travailleurs sociaux qui se sont entretenus avec lui ont rapporté avoir eu affaire à "un jeune garçon conscient de ce qu'il fait", avait alors déclaré à l'AFP le procureur de Merida, une femme, Celia Rivas. "Maintenant, ce qui compte, c'est le soutenir, et vérifier que toutes les mesures de sécurité soient mises en oeuvre", avait-elle ajouté.

Elles l'étaient. Les cornes des "erales" étaient amputées de 5 centimètres de chaque côté: ils perdent ainsi le sens exact de la distance, et touchent moins facilement leur jeune cible. "Je ne suis pas hypocrite, je ne me cache pas, je sais très bien que le danger existe, mais il est mesuré. Comme dans les courses de moto-cross", a commenté Michel, son père.

Sa maman reconnaît qu'elle est toujours anxieuse, même si elle a confiance en les capacités de son fils. "Comme je l'ai vu grandir dans cette ambiance taurine, j'ai vu sa progression. J'ai vu des matadors, qui ont reçu l'alternative, et qui n'ont pas sa technique, parce qu'elle est innée", affirme-t-elle. "Je veux recevoir l'alternative, qui donne le titre de matador de toros, à 14 ans", se donne pour objectif le petit prodige franco-argentin.

Le dernier phénomène du genre est un des plus grands noms actuels de la corrida: l'Espagnol Julian Lopez, "El Juli", avait reçu l'alternative à 15 ans. Michelito, le gamin de Merida a encore une saison chargée

: une corrida en février à Veracruz, sur la côte Est, avec le grand "rejoneador" (torero à cheval) espagnol Pablo Hermoso de Mendoza, et une autre en mars à Panama.

Et il ira toréer l'été prochain au Portugal. Il devra toutefois attendre encore avant de réaliser son rêve de toréer en Espagne, et surtout à Séville, dans les arènes mythique et historique de la Maestranza: la loi espagnole imposent l'âge minimum de 16 ans.

Sa famille et son entourage n'ont aucun doute sur son grand avenir de torero: "Ah, si j'avais pu avoir ne serait-ce qu'un quart de ses qualités!", soupire son père. "Moi, j'étais un gosse jouant à toréer, tandis que Michelito a déjà l'air d'un matador de 20 ans", ajoute-t-il.

"Ce gamin-là peut être le torero que tout le Mexique attend. Dieu le dira, mais je crois que des comme ça, il y en a eu un ou deux, pas davantage", conclut le président de l'Association mexicaine de tauromachie", Pedro Haces.

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