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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Ceci est juste un réfrigérateur, mais il est utilisé dans une entreprise agricole. Les carcasses de porcelets abandonnées à l’intérieur du réfrigérateur sont un autre rappel de la violence humaine odieuse et du dogme établi. Rétrogradés comme ordures ... La perversion est sans borne. Partout … Toujours …
CHATS LES VICTIMES OUBLIÉES DU COMMERCE DE VIANDE DE CHIEN.
Marché vietnamien de viande de chat où les animaux sont massacrés pour un met connu sous le nom de « petit tigre », qui se vend 60 euros l'assiette. La viande de chat est impliquée dans une superstition, elle doit être consommée au début de chaque mois pour conjurer la malchance et stimuler la libido. Beaucoup de ces chats sont des animaux volés, ils portent encore leurs colliers.
Le troublant secret de fabrication du café le plus cher du monde
Mauvaise nouvelle pour les civettes, le kopi luwak est fabriqué à base de graines de café ramassées dans leurs excréments. Les civettes en captivité sont parfois nourries exclusivement de cerises de café, le fruit qui produit les graines de café. Dans la nature, leur régime alimentaire compte également des fruits, des insectes et des reptiles.
C’est le café le plus cher du monde, et il est préparé à partir de crottes. Enfin, à partir de grains de café partiellement digérés puis expulsées par la civette, une petite créature de la taille d’un chat. Une tasse de kopi luwak, c’est son nom, peut atteindre le prix de 80 dollars (71,50 euros) aux Etats-Unis.
La civette, que l’on retrouve en Asie du Sud-est et en Afrique Sub-saharienne, possède une longue queue comme les singes, des marques sur le visage comme les ratons-laveurs, et des rayures ou des taches sur son corps. Elle joue un rôle important dans la chaîne alimentaire, puisqu’elle se nourrit d’insectes et de petits reptiles en plus de fruits tels que les cerises de café et les mangues, et se fait dévorer par les léopards, les gros serpents et les crocodiles.
Au début, le commerce de café de civette laissait présager un bel avenir pour l’animal. En Indonésie, on considère souvent la civette palmiste, qui pille les exploitations fruitières, comme nuisible. La croissance de l’industrie du kopi luwak a donc encouragé sa protection par les agriculteurs locaux pour la valeur de ses excréments. Ses enzymes digestives changent la structure des protéines présentes dans le grain de café, lui enlevant une certaine acidité pour un rendu final plus doux dans la tasse.
Mais le café de civette a gagné en popularité. Alors que l’Indonésie devient une destination touristique où de plus en plus de voyageurs veulent observer la nature et interagir avec les animaux, un nombre croissant de civettes sauvages sont enfermées dans des cages sur des plantations de café en partie pour la production de café, mais faire payer les touristes qui veulent observer l’animal. Les excréments de civettes, parsemés de graines de café partiellement digérées, étaient auparavant recherchés dans la nature. De plus en plus de civettes sont désormais enfermées dans des cages insalubres sur des plantations de café.
Des chercheurs de l’unité de recherche en conservation de la faune de l’université d’Oxford et de l’ONG World Animal Protection, basée à Londres, ont étudié les conditions de vie de près de 50 civettes sauvages retenues en captivité sur 16 plantations à Bali. Les résultats, publiés jeudi dans la revue Animal Welfare, brossent un tableau sinistre du phénomène.
De la taille à la propreté des cages en passant par la possibilité laissée à leurs habitants de se comporter normalement, aucune des plantations visitées par les chercheurs n’a réussi l’examen des exigences minimum en matière de bien-être animal. « Certaines cages étaient vraiment minuscules, de vrais clapiers à lapins. Elles sont complètement imbibées d’urine et recouvertes de crottes », a déclaré Neil D’Cruze, l’un des chercheurs de l’étude.
Certaines civettes étaient très maigres parce qu’elles étaient nourries exclusivement de cerises de café, le fruit qui entoure le grain de café. D’autres étaient obèses à cause du manque d’espace pour se déplacer librement. Et d’autres encore étaient devenues complètement accros à la caféine, décrit D’Cruze. Ce qui selon lui était le plus troublant était le sol grillagé sur lequel de nombreuses civettes étaient forcées de se tenir debout, assises ou allongées pour dormir à longueur de journée.
« Si vous vous tenez sur ce genre de grillage métallique en permanence, vous allez vous retrouver avec des douleurs et des abrasions. Elles n’ont nulle part où aller pour éviter ce sol », a dit D’Cruze. « C’est une source constante et intense de douleurs et d’inconfort. »
De plus, de nombreuses civettes n’avaient pas d’accès à l’eau potable ni aucune opportunité d’interagir avec d’autres membres de leur espèce. Et il ne faut pas oublier l’exposition au bruit lié à la circulation et aux visites touristiques au cours de la journée, ce qui peut être très dérangeant pour cet animal nocturne. Un civette en captivité, probablement capturée dans la nature, regarde par les grilles de sa cage où elle est enfermée pour produire du kopi luwak, le café le plus cher du monde.
SAUVAGE OU EN CAGE, QUI SAIT ?
Tout ça pour un produit de luxe, et d’ailleurs une version inférieure d’un produit de luxe. Les experts affirment que si le kopi luwak est remarquable, c’est en partie parce que les civettes sauvages choisissent les meilleures cerises de café pour se nourrir. Le fait d’enfermer les civettes dans des cages et de leur donner à manger n’importe quelles vieilles cerises produit un café de qualité inférieure. D’autre part, un expert en café cité dans un article pour la Specialty Coffee Association of America, l’organisation américaine des torréfacteurs et des commerçants de café gourmets, a affirmé que le kopi luwak n’était même pas si bon que ça.
Le processus digestif des civettes a beau adoucir le café, il enlève également les bons acides et les saveurs caractéristiques d’une bonne tasse de café. Il n’y a maintenant plus aucun moyen de savoir si un sac de kopi luwak a été préparé au moyen de civettes sauvages ou en captivité. Un reportage en caméra cachée réalisé par la BBC en 2013 a révévé que du café préparé par des civettes retenues en captivité dans d’atroces conditions se retrouve commercialisé en Europe avec une étiquette indiquant l’origine sauvage des civettes. Même Tony Wild, le négociant en café qui a introduit le kopi luwak en Occident, a pris position contre ce produit dans un article publié dans le quotidien britannique The Guardian.
« C’est devenu un produit sur-industrialisé, abusif et contrefait », écrit-il. Il n’existe aucun programme de certification pour s’assurer que le café commercialisé comme « sauvage » le soit réellement. D’autres organismes de certification du café qui travaillent pour garantir une agriculture et une production respectueuses de l’environnement refusent de certifier le kopi luwak, tout simplement. Les normes du Réseau d’agriculture durable (ou Sustainable Agriculture Network, SAN), utilisées par de nombreux organismes de certification de café comme la Rainforest Alliance pour accorder leur vignette, interdisent la chasse et la capture d’animaux sauvages sur les exploitations.
L’interdiction de civettes en captivité est spécifiquement mentionnée dans les critères du SAN pour le café en Indonésie. UTZ, autre importante norme de certification de café durable, interdit également l’enfermement dans des cages d’animaux sauvages sur les exploitations, et n’accorde sa certification à aucun kopi luwak. Alex Morgan de la Rainforest Alliance, qui suit les normes SAN, explique qu’il est trop risqué de certifier le kopi luwak parce qu’il est trop difficile de savoir avec certitude si les graines sont bien d’origine 100 % sauvage.
« Mon conseil personnel est généralement de l’éviter », dit-il. « Vous avez plus de chances de vous retrouver avec un produit provenant d’une production en cage. » Cet article a été réalisé par l’unité spéciale de recherche (SIU) de National Geographic, qui s’intéresse aux crimes commis contre la vie animale. Il a pu être réalisé grâce aux bourses de la BAND Foundation et du Woodtiger Fund. Retrouvez plus d’articles de la SIU sur Wildlife Watch.
Envoyez vos conseils, vos commentaires et vos idées d’articles à l’adresse ngwildlife@ngs.org.
Bali : un touriste russe arrêté avec un orang-outan drogué dans sa valise
Aéroport de VBali (Indonésie), ce 23 mars 2019.
Le passager avait assommé le singe de substances pour le voyage.La sécurité de l’aéroport a découvert dans sa valise un orang-outan profondément endormi dans un panier en rotin, ainsi que deux geckos et cinq lézards vivants. Un touriste russe a été arrêté à l'aéroport de Denpasar, dans l'île indonésienne de Bali, alors qu'il tentait de quitter le pays avec un orang-outan drogué dans sa valise, a annoncé samedi la police.
Ce touriste de 27 ans, Andreï Zhestkov, a été interpellé au contrôle de sécurité avant d'embarquer dans un avion à destination de la Russie vendredi soir. Les agents ont découvert dans sa valise un orang-outan mâle de deux ans, profondément endormi dans un panier en rotin, ainsi que deux geckos et cinq lézards vivants.
« Nous pensons que l'orang-outan a reçu des pilules contre les allergies qui l'ont fait dormir. Nous avons trouvé ces pilules à l'intérieur de la valise », a déclaré un responsable de l'Agence de conservation de Bali, I Ketut Catur Marbawa.
Le Russe « semblait s'être préparé, comme s'il était en train de transporter un bébé », car il transportait aussi du lait pour enfants et des couvertures, a ajouté ce responsable. L’orang-outan, espèce protégée, a été immédiatemet pris en charge par les autorités indonésiennes.
Le touriste risque cinq ans de prison et 7.000 dollars d'amende pour trafic d'espèces protégées. Il a expliqué aux autorités que l'orang-outan, dont il pensait pouvoir faire un animal de compagnie en Russie, lui avait été offert par un ami, également de nationalité russe, qui l'avait acheté pour 3.000 dollars sur un marché de rue dans l'île de Java.
Les orang-outan sont une espèce menacée de disparition, notamment victimes du braconnage, de trafics et de l'hostilité des villageois dont beaucoup les considèrent comme nuisibles. Selon l'Union internationale pour la conservation de la nature, il n'en reste que 100.000 individus dans le monde.
Une femelle orang-outan a été retrouvée gravement blessée, après avoir reçu 74 balles de pistolet à air comprimé, en Indonésie, sur l’île de Sumatra. Elle allaitait son petit qui n'a malheureusement pas survécu. Quant à elle, elle se remet lentement. Elle a été surnommée Hope et est devenue un symbole de la déforestation !
n orang-outan se rétablit lentement après avoir reçu 74 balles de pistolet à air comprimé en Indonésie, a annoncé samedi un responsable de la province d’Aceh, sur l’île de Sumatra.
La femelle de 30 ans a été retrouvée grièvement blessée dimanche dernier à Subulussalam, après que des responsables ont reçu des informations en ce sens de la part de villageois.
Elle a été recueillie dans un état critique avec son bébé d'un mois sous un jacquier dans une plantation appartenant à un habitant. Les fonctionnaires ont immédiatement sauvé les animaux, mais le bébé est mort de malnutrition. Presqu’une semaine plus tard, les responsables ont annoncé que le singe, à qui ils ont donné le nom de Hope, se remettait lentement. Les ouvriers des plantations et les villageois sont parfois connus pour s'attaquer à ce qu'ils considèrent comme un parasite, tandis que les braconniers capturent les singes pour les vendre comme animaux de compagnie.
L'année dernière, quatre Indonésiens ont été arrêtés pour le meurtre d'un orang-outan tué à 130 reprises par une carabine à air comprimé. Les orangs-outans sont gravement menacés, selon l'Union internationale pour la conservation de la nature. On ne compte que près de 100.000 singes de cette espèce dans le monde, aujourd’hui.
L'esclavage qui ne s'intéresse pas aux politiciens et aux humains Les singes sont forts, ils aiment grimper, ils ne souffrent pas de vertiges, ils ne se plaignent pas, ils ne manifestent pas pour des salaires plus élevés et ils ne sont pas corrompus. Ils n'ont pas besoin de syndicats ou d'assurances contre les accidents. Les singes peuvent être considérés comme des " machines vivantes ", ce qui est inestimable pour les cultivateurs de noix de coco ".
Un animal chassé n’est pas un objet inerte mais un être vivant, l'aboutissement d'une longue chaîne évolutive. Il a une valeur intrinsèque. Le nouveau Code wallon du bien-être animal, voté le 3 octobre 2018 au Parlement de Wallonie, reconnaît d'ailleurs que l'animal est un être sensible. En son article 1er, il reconnait que l'animal possède des besoins qui lui sont spécifiques selon sa nature, suivant en cela le progrès des connaissances scientifiques. Pourtant, ce code ne s'applique, concrètement, qu'aux animaux qui sont sous la dépendance de l'homme et non à la faune !!! Il suit en cela une logique purement politique et juridique. Or, la chasse fait souffrir les animaux sauvages, dont en majorité du "gibier" provenant d'élevages. Il n'est pas crédible de prétendre le contraire en affirmant que l'animal tiré n'a pas le temps de souffrir, et que la recherche d'animaux blessés, afin de les achever, permet d'éviter leur souffrance. La loi sur le bien-être animal doit s'appliquer à la faune sauvage, aussi !
Cela me fend le ♥ et me fous les boules quand je vois ces animaux remplie d'amour et d'empathie capable de tant d'amour envers une espèce différente, cet amour qu' apparemment une partie des humains ne sont pas capables ne ressentir ni donner,ils préfèrent faire souffrir.Je vois tant de souffrances animales de part le monde,qu'ils soient sauvages ,domestiques ou familiers,et tant de souffrances humaines . Je désespère d'un changement, d'une prise de conscience.Pourquoi cela ne tombe-t-il pas sous le sens ? Je ne recherche pas un monde utopique mais simplement juste et empathique. J'ai l'impression que c'est trop demander au monde malheureusement, et cela m'afflige.
Oise
Malgré la loi, des chasseurs insistent pour abattre un cerf dans un jardin Alors qu’un décret paru le 1er mars interdit formellement à un équipage de chasse à courre d’abattre un animal dans une zone habitée ou commerciale, des chasseurs ont insisté, mardi, pour tuer un cerf dans une propriété privée de Thiers-sur-Thève.
Il était 17h15 au terme de la chasse à courre lorsqu’un cerf a pénétré chez une riveraine de Thiers-sur-Thève. L’animal tentait d’échapper à ses poursuivants. L’un des chasseurs est entré dans la propriété privée à la suite de l’animal. Une violation de propriété qui a engendré la colère de la riveraine qui a appelé les gendarmes.
Un face-à-face entre riverains et chasseurs Arrivée sur place, la dizaine de militaires constate qu’une vingtaine de riverains ont rejoint leur voisine pour la soutenir face aux chasseurs. Les gendarmes, sentant une vive tension, ont tenté d’apaiser les uns et les autres. Le chasseur aurait reconnu qu’il n’aurait pas dû pénétrer dans la propriété.
Le cerf, lui, a été gracié, rapporte Le Courrier Picard. Des chasseurs en illégalité Cet épisode intervient alors qu’un arrêté ministériel vient de réglementer la chasse à courre. Il stipule qu’« en grande vénerie, lorsque l’animal est aux abois ou au ferme (sur ses fins, pris, forcé ou hallali courant) et qu’il se trouve à proximité d’habitations, de jardins privés y attenant, de zones commerciales ou artisanales et de bureaux et d’établissements accueillant du public, il est gracié ».
Concrètement, cela signifie que le « maître d’équipage » doit « veiller à ce que l’animal ne soit pas approché », et doit faciliter son déplacement loin de la zone habitée.
Combien de vies supplémentaires devront être prises jusqu'à ce que les humains comprennent que les animaux ne sont pas des objets ? Elle était quelqu'un. Elle voulait vivre. Elle avait le droit de vivre comme tout être vivant. Autour d'elle les cris des autres individus qui sont maintenant morts.