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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Espagne, des chiens torturés Les lévriers
Companeros ou les grands lévriers martyrs d’Espagne, font partis des 50 000 lévriers qui meurent chaque année massacrés à la fin de la saison de chasse par leurs propriétaires.
Les entraînements des Companeros dépassent l’entendement, 50 voir 60 chiens sont attelés et traînés des heures durant derrière un véhicule. Les plus forts s’en sortiront, certains mourront ainsi à l’attache traînés jusqu’à la mort ou si le chien est blessé, jeté dans le fossé le corps broyé.
Pour ceux qui ont survécu à l’entrainement, ils seront enchaînés, en meute, la loi du plus fort fera que le plus faible n’aura aucune chance de s’en sortir. Ils se dévoreront entre eux !
La plupart n’ont ni à boire, ni à manger. Certains vivent dans le noir, enfermés dans des cages jusqu’à la prochaine chasse. Cette vidéo montre l’horreur, l’entrainement des Galgos : Les chasseurs se servent de chien« Companeros » pour la chasse aux gros gibiers, laissant la chasse aux lièvres aux Galgos.
La maltraitance animale en Espagne ne s’arrête pas aux Galgos, chaque année des lévriers sont torturés, mutilés, brûlés
https://youtu.be/eStUmIAZrM0
Encore un abandon à vomir.Ce matin la société défense des Animaux de Nice reçoit une demande de prise en charge pour une chatte.
Le couple âgé d'une soixante d'années ,anciens propriétaires d'une épicerie de la rue Estienne d'Orves à Nice QUI EST DEPUIS FERMÉE !!!!! . Ils prétendent que la chatte est apparue en l'état dans leur jardin il y a 15 jours.
Une bénévole " Leatitia " se rend immédiatement sur place afin de conduire la minette en urgence chez le vétérinaire de l'association. Une fois chez le vétérinaire c'est le choc. Celle-ci est identifiée, elle s’appelle " Pupuce " elle a été gravement accidentée il y a plusieurs jours. Après avoir vérifié le tatouage de la minette ,il s'avère qu'elle appartient au couple ayant prétendu l'avoir trouvé.
Ils ont laissé " Pupuce " pourrir, agoniser!! Lorsqu'elle a commencé à sentir mauvais et avoir des larves de mouches, ils ont prétendu l'avoir trouvé juste pour s’en débarrasser !!
Comment avez vous pu regarder tous ces jours votre minette de 11 ans ,agonisante, sans lui venir en aide ??!!
Comment avez vous pu la laisser souffrir et continuer à vivre ! Vous êtes des monstres !! Un couple de monstres !!
RIP Pupuce ... Oui une plainte sera déposé par la SDA
PAROLE DE BÉNÉVOLE :
"Je sais ce qui se passe, quand les chiens de refuge se retrouvent seul le soir. Quand ils s'en vont dans leur panier, l'air hagard, parce qu'ils n'ont pas d'autre choix que de s'endormir seul, dans un boxe froid et sinistre. Quand le chien s'est allongé, et qu'alors son regard croise le votre, croyez-moi qu'à ce moment précis, ça vous prend aux tripes. Une envie de chialer, de demander pardon à ce chien pour toute la connerie dont l'humain fait preuve, et dont il paie le prix fort. Parce que vous pouvez alors lire dans ces yeux une profonde tristesse, le désarroi d'avoir passé une journée dans le bruit, d'avoir enduré tout ce stress qui ronge les chiens de refuge. Et après l'agitation vient le silence, avec lui la solitude, et finalement un ennui profond. Et ça, c'est pire que le bruit. Quand ils s’aperçoivent que vous êtes là, certains se relèvent alors, et viennent vers la porte dans l'espoir de recevoir une dernière caresse, une dernière marque d'affection. Mais la plupart se sont déjà résigniés, et préfèrent dormir pour que la journée s'arrête enfin.
Ceux qui ont laissé leur chien au refuge devraient être là, à ce moment précis, pour voir ce qu'ils ont fait, et constater l'infinie tristesse que leur égoïsme a provoqué. Ceux qui veulent acheter de jolis chiots (parce qu'il n'est pas question d'adopter un chien de refuge, qui est forcément dérangé ou trop vieux) devraient, eux aussi, voir ces chiens à qui ils auraient pu faire le plus beau des cadeaux en leur offrant un foyer.
ADOPTEZ, N'ACHETEZ PAS ! !!!! Les refuges sont remplis de sans voix, ouvrez votre pas votre porte monnaie !
Symbole de notre monde qui s’écroule, sous le régime des lobbying
La triste réalité du changement climatique. Comme L'Arctique est à court de glace, les morses sont maintenant forcés de grimper sur les îles Rocheuses. Souvent, il n'y a pas assez d'espace pour tout le monde , donc les pauvres animaux grimpent les rochers, ne sachant pas comment descendre.
https://youtu.be/qVJzQc9ELTE
Documentaire "Notre Planète" : ces morses sont-ils victimes du changement climatique ? Par Anne-Sophie Tassart
Une scène poignante du documentaire "Notre planète" diffusé par Netflix a mis les morses sur le devant de la scène. Comment expliquer cette séquence ? Ces animaux sont-ils menacés par le changement climatique ? Les avis divergent.
Diffusée depuis le 5 avril 2019 sur Netflix, la série-documentaire "Notre planète" fait déjà beaucoup parler d'elle, notamment pour l'une de ses séquences tragiques. Dans celle-ci, l'équipe de tournage a filmé en Russie la mort de plus de 200 morses tombés d'une falaise.
Pourquoi étaient-ils montés si haut ?
Comment expliquer leur chute ?
Sciences et Avenir fait le point sur le débat. Un regroupement sur la côte à cause de la présence d'un ours ou de la fonte des glaces ? Interrogée par The Atlantic, la réalisatrice Sophie Lanfear, visible dans l'extrait ci-dessous, assure que cette scène traduit "la triste réalité du changement climatique". "Ils seraient sur la glace s'ils le pouvaient".
Elle fait ainsi le lien direct entre la présence d'un grand nombre de morses à un même endroit et la fonte des glaces. Ces rassemblement de morses du Pacifique ont lieu dans la mer de Béring (où s’installent généralement les mâles) et dans la mer des Tchouktches.
Dans cette dernière, les femelles profitent de la glace pour se reposer avec leurs petits et des jeunes âgés de 2 à 3 ans. Avec le réchauffement de l'Arctique, ces animaux se retrouveraient donc obligés de se diriger davantage vers les terres, parfois trop petites pour tous les accueillir. Une explication qui a fait bondir la zoologiste Susan Crockford, également professeure à l'Université de Victoria (Australie).
Dans une note de blog, elle évoque même "une absurdité". Pour la chercheuse "les morses filmés dans ce film Netflix ont très certainement été conduits sur la falaise par la présence d'ours polaires". L'équipe de tournage soutient pour sa part qu'il n'y avait pas d'ursidés dans le secteur et qu'eux même se trouvaient à bonne distance afin de ne pas les perturber.
Pour le Dr Isabelle Charrier, co-auteure d'un documentaire intitulé "À la poursuite des morses" et chercheuse au CNRS, ces animaux cherchent seulement à redescendre mais leur difficulté à se mouvoir dans ce genre d’endroit – la falaise semble très accidentée – fait qu’ils n’arrivent pas à retrouver leur chemin. "Cet incident survient probablement à cause de la densité d’animaux.
S’ils avaient vu un ours polaire comme le suppose Mme Crockford, ils auraient été pris de panique ce qui n’est pas le cas ici", remarque la chercheuse auprès de Sciences et Avenir. "Susan Crockford est une climatoseptique" Qu'importe, pour Susan Crockford. Elle considère que le changement climatique n'a rien à voir là-dedans.
"Cette 'histoire extrêmement forte' n'est qu'une fiction et une manipulation (...). Nous savons que les morses atteignent les sommets des falaises dans certains endroits et peuvent tomber s'ils sont surpris par des ours polaires, des personnes ou des avions, mais pas parce qu'ils sont désorientés par la diminution de la couverture glacielle", note Mme Crockford avant d'ajouter :
"Les morses ne remplaceront pas les ours polaires comme icônes du changement climatique car ni les uns ni les autres ne sont affectés par la réduction estivale de la banquise".
"Susan Crockford est une climatoseptique et elle est financée par des fondations qui ont les mêmes idées qu'elle, rétorque à Sciences et Avenir le Dr Isabelle Charrier. Elle est par exemple connue pour soutenir qu'il n'y a pas de fonte des glaces et que les ours polaires ne sont pas menacés par le réchauffement climatique et surtout qu'ils pourront s'adapter s'il a lieu. Il faut aussi ajouter qu'elle se prétend spécialiste de ces ursidés mais qu’elle n’a en réalité aucune compétence dans ce domaine, elle n'a pas étudié ces animaux sur le terrain. En outre, ses 'publications' se résument à ses posts de blog ou des livres qu'elle vend sur son blog et qui ne sont donc pas validées par la communauté scientifique".
Un phénomène favorisé par la fonte des glaces ?
Sur son blog, Susan Crockford rappelle qu'il ne s'agit pas là d'un phénomène nouveau. En effet, en 2014, des biologistes de l'United States Geological Survey (USGS) avaient observé par voie aérienne près de Point Lay un incroyable rassemblement de près de 35.000 animaux parmi lesquels des mâles, des femelles et des petits.
Mais est-il plus fréquent ?
"La glace permet aux jeunes et aux femelles de se reposer et d’être plus proches des zones d’alimentation. Mais depuis 2007, la banquise disparaît poussant ces animaux à se réfugier davantage sur les côtes, entraînant parfois des rassemblements de milliers d’individus, assure de son côté Isabelle Charrier. Les morses sont craintifs et ne sont pas fait pour se déplacer dans ces zones donc une bousculade est vite arrivée et peut causer des dizaines voire des centaines de décès".
L’estimation de la population de morses du Pacifique est incertaine et il est donc compliqué de connaître la tendance qu'elle suit, comme l'indique l'Union internationale pour la conservation de la nature sur le site de la Liste rouge. Mais il paraît évident que la fonte des glaces et les rassemblements qui en découlent sont des risques pour eux favorisant notamment la mortalité des plus jeunes. "Et puis il ne faut pas oublier qu’avec la fonte de la banquise, le passage des navires en Arctique est facilité avec tous les problèmes que cela entraîne : augmentation du trafic maritime et aérien, pollution, possibilité de prospection pétrolière… L’Arctique est une région convoitée", conclut le Dr Charrier.
Les blaireaux s’apprêtent à vivre neuf mois et demi d’enfer !
Aujourd’hui 15 mai, la chasse la plus cruelle d’Europe ouvre pour 9 mois et demi d’enfer! C’est à la demande des fédérations de chasse que les préfets de 74 départements français autorisent cette chasse scandaleuse.
Les blaireaux en font les frais alors qu’ils sont encore en pleine période de reproduction et d’élevage des jeunes! Cela, pour permettre à de plus en plus de chasseurs français de pratiquer cette chasse interdite dans tous les autres pays d’Europe: la vénerie sous terre, ou déterrage!
En France, les blaireaux ont le triste privilège d’être classés « espèce gibier avec période complémentaire ». Ce statut, unique en France, a été fait sur mesure pour permettre la pratique de la « vénerie sous terre » alors que tous les autres modes de chasse sont fermés jusqu’à septembre.
Ce statut est en fait pire que celui d’espèces dites nuisibles, car les pouvoirs publics n’ont même pas à justifier du moindre dégât pour sacrifier des milliers de blaireaux aux chasseurs en mal de partie de chasse pendant le printemps et l’été. Pour pratiquer le déterrage, les chasseurs se réunissent en « équipage ».
Ils bouchent l’ensemble des entrées de la blaireautière afin que le ou les blaireaux ne puissent s’en échapper, ne conservant qu’une seule ouverture, par laquelle ils font entrer leurs chiens de terrier pour harceler l’animal dans la galerie. Acculé, terrorisé, mordu sans cesse, le blaireau va vivre de longues heures de résistance à lutter pour sa survie et protéger sa portée éventuelle.
Guidés par les aboiements de leurs chiens, les chasseurs creusent, jusqu’à atteindre leur cible. Selon la nature du terrain, la profondeur de la galerie, et la précision des chasseurs-terrassiers, cette opération peut prendre de 3 à 10 heures ! Une fois mis au jour, le blaireau, stressé et blessé, est saisi à l’aide de pinces métalliques mesurant de 1,5 à 1,8 mètre.
Ainsi extirpé du terrier, il est alors achevé à coups de dague dans le cœur, de bâton, ou de carabine, et sa dépouille est jetée aux chiens. Il n’est pas rare que le blaireau soit livré aux chiens encore vivant. Il sera alors mis en pièce dans d’affreuses souffrances. Cette pratique a un nom : la curée, elle est destinée à exciter chez eux l’ardeur pour ce genre de chasse. Ou à offrir un spectacle d’une rare violence aux humains.
Pour tenter de « justifier » ces horreurs, les chasseurs arguent d’une pratique qui serait « traditionnelle ». Ce qui est totalement faux. Si effectivement cette pratique est assez ancienne, elle était, jusqu’à il y a peu, une chasse tout à fait marginale. C’est sous l’effet de quelques chasseurs, soutenus par la Fédération Nationale des Chasseurs, que la pratique de la vénerie sous terre a pris son essor depuis une vingtaine d’année.
Il y a aujourd’hui plus de 3 000 équipages en France!
Soit autour de 75 000 chasseurs et de 130 000 chiens! Et aucun quota pour encadrer le massacre de blaireaux! Autant ces chasseurs veulent en chasser, autant ils en tueront! Malgré ce que certains chasseurs prétendent, les blaireaux ne « pullulent » pas.
C’est pour cette raison que dans la plupart des pays européens, comme en Belgique, Angleterre, Irlande, Pays-Bas, Danemark, Portugal, Espagne, Italie ou Grèce, ces animaux sont protégés. Les études scientifiques ont montré qu’en France, les densités de blaireaux sont de 0,1 à 4 ou 5 par kilomètre carré.
En Angleterre, ses densités peuvent atteindre 10 individus au kilomètre carré sans que cela n’occasionne de dégâts à l’agriculture ou aux infrastructures. One Voice demande que cette pratique, qui concerne également les renards et les ragondins, soit enfin interdite en France, comme elle l’est dans l’ensemble de l’Europe, et réclame la protection des blaireaux, ils ont toute leur place dans la nature!
Touché par balles plusieurs fois, mais pas mort. Les chiens sont lachés sur l'animal blessé, tandis que le chasseur «vaillant» le poignarde avec un saufeder. Pour les droits de vantardise l'animal souffrant est photographié tandis que les chiens le déchiquetent.
SVP, dites-moi comment anéantir les humains de cette planète ! L'humanité est un virus !
Brazey-en-Plaine : pour avoir libéré un corbeau, ils se retrouvent au pénal Les corbeaux sont des volatiles nuisibles, Monique et Jean-Claude Colnay s’en souviendront.
Monique Colnay présente le procès-verbal qui la sanctionne avec son mari pour vol et dégradation.
Le 30 avril, alors qu’ils déambulaient dans la campagne, Monique et Jean-Claude Colnay, un couple de Brazey-en-Plaine, ont découvert dans un champ une cage nasse avec un corbeau emprisonné.
Amoureuse des animaux, Monique décide de libérer l’oiseau. Bien mal lui en prit : une réglementation autorise les agriculteurs à piéger leurs champs afin de protéger les semences et cultures des corvidés, qui menacent aussi les populations de certaines espèces d’oiseaux sauvages ou domestiques en dévorant les œufs de perdrix, palombes, faisans, canards…
Surpris en train de délivrer le volatile, Monique et Jean-Claude Colnay ont ensuite fait l’objet, le 3 mai, d’une perquisition de leur domicile par les gendarmes de Saint-Jean-de-Losne, qui sont repartis en leur laissant une convocation à la brigade le 6 mai pour « vol et dégradation ».
Convoqués devant un juge À la gendarmerie, le couple admet qu’il n’aurait jamais dû « pénétrer dans un champ privé ».
Puis, « on a pris nos empreintes digitales et on nous a photographiés de face et de profil, comme des assassins ! », déclare Monique Colnay.
Le couple est convoqué le 6 juin en vue d’une composition pénale, risquant une contravention de cinquième classe (à hauteur de 1 500 € d’amende maximum) pour « lâcher non autorisé d’animaux nuisibles ».
Gilles Delepau, maire de Brazey-en-Plaine, rappelle qu’« il existe une réglementation stricte au sujet des corbeaux, qui a été respectée suivant les directives de la préfecture.
Les agriculteurs concernés déplorent l’intrusion dans leur champ, en indiquant que plusieurs cages nasse ont disparu, ils ont donc porté plainte »…