Honey, le dauphin à l’abandon du parc fantôme d’Inubosaki au Japon

La femelle dauphin demeure piégée dans un parc aquatique à l'abandon. Son état de santé se dégrade... 

Depuis plus d’un an, Honey, une femelle dauphin, erre dans un bassin du parc aquatique d’Inubosaki au Japon, fermé au public en janvier 2018. Si son triste sort a provoqué un tollé au niveau international, la situation s’enlise localement et aucune solution n’est pour l’heure envisagée pour sauver l’animal.

Les protecteurs des animaux sur place confient leurs inquiétudes à 30millionsdamis.fr. Honey. Son nom devrait évoquer à lui seul la douceur du miel… Pourtant sa vie est un enfer !

Prélevé dans la nature il y a 17 ans, ce dauphin est condamné à errer dans un bassin abandonné de l’Inubosaki Marine Park à l’est du Japon. Le sort funeste de cette femelle cétacé, qui a réchappé aux atrocités de Taiji (ville portuaire japonaise tristement réputée pour son massacre annuel de mammifères marins, NDLR), a choqué l’opinion publique au Japon et bien au-delà.

Pourtant, sa situation n’évolue pas depuis la fermeture du parc aquatique en janvier 2018. Un état de santé qui se dégrade « Honey surnage toujours dans le bassin d’un bâtiment en ruines, s’alarme Liz Sanderman, co-fondatrice de Marine Connection, une association britannique mondialement connue pour ses actions en faveur de la protection, la conservation et le bien-être des cétacés. Dans la plupart des pays, lorsque de telles installations ferment, les animauxsont déplacés. Pourtant là, elle croupit seule dans son réservoir… »

Honey présente des fissures sèches sur son dos. Même si les dernières constatations laissaient apparaître une amélioration des lésions, cet état préfigure un comportement dépressif, l’animal se laissant probablement flotter à la surface. Les risques d’une prolongation de cet emprisonnement en plein air sont nombreux pour la santé d’Honey, accrus par l’absence de congénère :

« Sans possibilité de sociabilisation, elle ne peut avoir la moindre stimulation ou interaction, s’inquiète la co-fondatrice de Marine Connection.C’est pourtant vital pour son bien-être. De plus, ses mouvements sont considérablement réduits en captivité. Tout cela engendre un stress, une diminution de son système immunitaire, ce qui entraînera obligatoirement toute une batterie de problèmes de santé. »

L’inaction coupable des autorités japonaises La delphine n’est toutefois pas seule dans le parc fantôme ; 46 pingouins partagent son triste sort et attendent que la situation se désenlise.

« L’ancienne direction a cessé tout contact avec l’extérieur, regrette un porte-parole de l’association japonaise PEACE, qui a alerté sur la situation du dauphin. Des informations circulent malgré tout sur une possible revente du cétacé par les autorités. Mais cela reste incertain. »

« La situation est complètement bloquée : les autorités que nous avons approchées nous ignorent totalement, déplore aussi de son côté Liz Sanderman. Nous avons écrit une lettre avec 40 ONG pour mettre en lumière cette situation au Gouverneur de la Préfecture de Chiba et le maire de Choshi City, le 18 septembre 2018. Aucune réponse ! »

A l’heure actuelle, Honey semble moins victime de l’oubli que de l’inaction coupable des autorités japonaises…

Quel monde foiré. Le lait que n’importe quel animal produit, est le liquide de développement de croissance pour sa progéniture. Voulez-vous allaiter des mamelles d’animaux ? Essayez des solutions de rechange à base de plantes situées dans les grandes surfaces juste à côté du rayon des carcasses d’animaux morts ... Ici, la première laiterie commerciale du monde pour les chameaux, à Al Aïn, Émirats Arabes Unis, produit divers genres de lait de chameau, de yaourt de chameau, et même de glace de chameau. Pas ta mère ! Pas ton lait !

Le parallèle entre les anciens marchés d'esclaves et les enchères d'animaux aujourd'hui est tellement évident qu'il est incompréhensible que certaines personnes ne parviennent pas à établir la connexion. Pour nos animaux esclaves, la vie est un cauchemar continu. Seule la mort, qui dépasse habituellement les horreurs de la vie, met fin à l'enfer auquel nous soumettons les animaux.

Beaucoup de personnes affirment qu’elles mangent uniquement des animaux élevés et abattus « avec respect » et « sans cruauté » parce que ces animaux sont élevés dans une ferme familiale, chez un petit éleveur ... Et bien voici leur ferme familiale et leur abattage sans cruauté !

Mère et bébés jetés comme des ordures. Les bébés ont eu la tête écrasée contre le béton, parce qu'ils étaient trop petits / faibles pour survivre aux conditions de vie et atteindre l'abattage. La mère est morte dans sa caisse ou a été tuée parce qu'elle était trop faible pour se lever. Si vous voulez arrêter de manger des animaux, nous vous recommandons vivement de commencer ici >> bit.ly/kind602

Séparer les bébés de leur mère est une partie inhérente de la façon dont les produits laitiers sont fabriqués

Les psychopathes (chasseurs) sont amenés à faire du mal aux autres et ne peuvent pas survivre émotionnellement sans victimes ; parce qu'il est illégal de tuer des humains, ils s'en prennent aux animaux.

Mulesing (ablation d'une partie de la peau périanale des moutons) sans soulagement à la douleur. Un anesthésique et antiseptique appelé Tri Solfen est utilisé par certains éleveurs. La couleur de Tri Solfen est bleue. Aucune couleur bleue sur cette photographie. Il est clair que l’éleveur est trop malveillant et cruel pour acheter un antidouleur. Les éleveurs et leur supposé amour pour leurs bêtes …

Courses hippiques = 100 % cruauté ! Si vous aimez le jeu, vous pouvez parier sur autre chose qui n'implique pas des êtres vivants. Avec des millions de dollars investis ... Les courses hippiques ne sont rien d'autre que la cruauté et l'exploitation animales. Les chevaux sont traités comme des marchandises et abattus quand ils ne sont plus rentables. Ne soutenez pas cette odieuse industrie.

Après des années passées à perdre ses bébés et à donner son lait pour l'homme, quand elle est trop fatiguée et trop faible, c'est ici que se terminera sa vie. Les animaux atteints de cette maladie sont connus dans l'industrie de la viande et des produits laitiers comme des " déprimants ". Selon les propres statistiques de l'industrie, chaque année, des millions de vaches, de poulets, de dindes, de cochons arrivent à l'abattoir morts ou trop malades ou trop blessés pour marcher. Les animaux deviennent gravement paralysés ou malades après une vie entière d'abus dans des élevages industriels, ces élevages ne leur fournissent pas de soins médicaux individualisés ni d'euthanasie humaine quand ils sont dans cet état : il est moins coûteux de laisser les animaux souffrir et éventuellement mourir. Les souffrances causées par les mesures de réduction des coûts des industries de la viande, des œufs et des produits laitiers sont inimaginables.