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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Dull Knife "Nous sommes malades et affaiblis, nous voulons seulement vivre en Paix mais on nous a forcés à vivre dans les Mauvaises Terres et l'amertume et le désespoir sont dans nos ♥♥...
Puis nous avons tenté de rejoindre les réserves de Red Cloud, mais l'homme blanc nous en a empêchés. Aujourd'hui, plutôt que de retourner dans les Mauvaises Terres, nous préférons sacrifier nos vies en combattant. Dites au Grand Père (nom que les Indiens donnaient au président des Etats-Unis) que s'il veut nous repousser, nous nous égorgerons l'un l'autre avec nos propres couteaux plutôt que de céder. Ce sera notre mort à tous."
Enfant de la tribu des Cheyennes du Nord, il était réputé pour être très débrouillard et se sortir de toutes sortes de situations. Par exemple, alors qu'il était âgé de neuf ans, un troupeau de bisons passa dans le camp installé près d'un rivière. Il se réfugia dans l'abri abandonné d'un castor qui dépassait le niveau de l'eau et y attendirent la fin du passage des bisons. Il était honnête et simple malgré ses exploits. Il était d'usage que, lors des déplacements de la tribu, les anciens marchent au-devant pour repérer l'endroit où faire halte. Un jour, un grizzly sortit des fourrés pour les attaquer. Le jeune guerrier vint à la rescousse et se battit contre l'ours avec son couteau. Il combattit souvent armé de son couteau et réussit une fois à battre un ennemi porteur d'un bouclier faite du cuir épais d'un bison que la lame ne pouvait percer. Le Cheyenne alors gagna le nom de "Dull Knife" (littéralement "Couteau Emoussé"). Vers 1875, les Américains commencèrent à enfermer les Indiens dans les réserves, afin de s'emparer de leurs terres. Le gouvernement entama des négociations de paix, mais toujours avec l'appui militaire. Un petit nombre résista, et se déclara en guerre : le Chef Joseph des Nez-Percés, et le Chef Standing Bear des Poncas, attirèrent leur peuple aux Etats-Unis et réussirent à obtenir des portions de terre où ils partirent s'installer. Dull Knife n'eut pas cette chance. Il fut considéré comme un momme dangereux par les autorités et fut placé avec sa tribu sans son consentement sur des réserves indiennes. Quand il réalisa que son peuple était en train de mourir lamentablement, il s'enfuit avec l'accord de sa tribu vers leur sol natal. Bien que le trajet soit long et périlleux, il parvint à éviter les troupes militaires à sa poursuite et à atteindre leur sol natal. Mais, du fait de la famine, quelques Indiens trahirent Dull Knife et livrèrent sa tribu aux soldats. Il fut alors encerclé et il du se rendre, avec ceux qui l'avaient suivis, à Fort Robinson. Les hommes furent jetés en prison et les femmes gardées au camp. Tous avaient le ♥ brisé et ne souhaitaient plus vivre dans ces conditions. Alors les femmes, autorisées à porter des mocassins aux hommes, réussirent à se procurer des armes (quelques fusils et couteaux) qu'elles amenèrent aux guerriers. La totalité des hommes ne pu bien sûr être armée. Néanmoins ils attaquèrent les soldats jusqu'à épuisement des munitions puis s'exposèrent aux tirs. Les femmes et les enfants qui les avaient rejoints s'exposèrent également au feu des soldats. Il ne resta plus aucun Cheyenne en vie.
Geronimo (juin 1829 - 17 février 1909), appelé à sa naissance Go Khla Yeh (celui qui baille), était un Amérindien apache.
Né en Juin 1829 en Arizona dans la tribu des Apaches Bedonkohe à Nodoyohn Canyon, au Mexique (actuellement Clifton, Nouveau-Mexique), il n'a jamais été chef, mais en tant qu'homme-médecin et guerrier reconnu et respecté, il eut une grande influence sur les Apaches Chiricahuas. Après la mort de Tazha, le fils aîné de Cochise, Naiche, le second fils du vieux chef doit partager le contrôle de la tribu avec lui. Son beau-frère Juh était un leader de la tribu des Apaches Nednis.
Géronimo est admis au conseil de guerre des Apaches Chiricahuas en 1846. En 1858, après le meurtre de sa mère, de sa femme et de ses trois enfants par l’armée mexicaine près d’un village appelé Kas-ki-yeh par les Apaches, il commence des raids de représailles en territoire mexicain. Il venge sa famille le 30 septembre, jour de la saint-Jérôme 1859. Les cris des Mexicains invoquant saint Jérôme (Géronimo ! Géronimo !) pour leur défense, l'inspirent et il prend alors son nom : Geronimo.
En octobre 1862, il participe avec les chefs Cochise et Mangas Coloradas à la bataille d'Apache Pass. En 1871, après près de dix ans de guerre contre les États-Unis, les Apaches Chiricahuas, alors dirigés par Cochise, négocient un accord de paix se rendent sur les conseils de Tom Jeffords. Ils obtiennent la création d’une réserve sur leurs terres. En 1876, la réserve Chiricahua cependant est fermée par les autorités américaines. La plupart des Indiens sont déportés vers la réserve de San Carlos, aride et désertique mais Géronimo, Naiche et Juh réussissent à s’enfuir. Géronimo est arrêté l’année suivante au Nouveau-Mexique par l’agent John P. Clum et transféré à San Carlos. Libéré, il s’enfuit de la réserve quelques mois plus tard. Il gagne le Mexique où il vit de pillages, avant de regagner San Carlos en 1879. En septembre 1881, peu après la mort de Nochedelklinne, un leader spirituel apache tué par les soldats, Naiche, Géronimo et Juh s’enfuient à nouveau de leur réserve. Ils lancent de violentes attaques contre les colons blancs avant de s’évanouir dans les montagnes mexicaines. En novembre 1882, ils y abattent les 22 soldats mexicains du capitaine Juan Mata Ortiz.
Les raids des Apaches débordent du côté États-Unis (en Arizona et Nouveau-Mexique) : en mars 1883, 26 colons américains sont tués. Le général George Crook est chargé de protéger la population blanche et entreprend de traquer les Apaches hostiles dans leurs repaires mexicains. Un camp découvert par les éclaireurs apaches de Crook est attaqué en mai 1883. Les leaders apaches acceptent alors le principe d’une reddition. En 1884 Geronimo s’établit de nouveau dans la réserve de San Carlos. Geronimo, en compagnie de Naiche et plusieurs membres de la tribu s'échappent plusieurs fois, vivant de pillages, avant de se rendre. L'arrestation brutale du guerrier Ka-ya-ten-nae le pousse à s'enfuir une nouvelle fois le 17 mai 1885 avec 35 hommes et 109 femmes et enfants. Depuis le Mexique, ses hommes lancent plusieurs raids meurtriers en Arizona et au Nouveau Mexique. Il est de nouveau retrouvé au Mexique par des éclaireurs Apaches en mars 1886. Pendant une conférence avec le général Crook, il accepte de regagner la réserve avec les soldats américains. Il se ravise plus tard et s’échappe dans les montagnes avec Naiche, une quinzaine de guerriers et quelques femmes et enfants.
Crook ayant démissionné, c’est le général Nelson A. Miles qui est chargé de le poursuivre avec 5000 hommes et des milliers de volontaires. 3 000 soldats mexicains sont aussi mobilisés contre les Apaches au sud de la frontière. En marge de la poursuite de Geronimo, le général Miles fait déporter en Floride les Chiricahuas vivant en paix dans la réserve de San Carlos. Pendant plus de 5 mois, Geronimo et ses partisans réussissent à passer entre les mailles du filet, utilisant la surprise, la mobilité et les connaissances des Apaches des modes de survie dans des conditions extrêmes. Épuisé, fatigué de se battre, il finit par se rendre le 4 septembre 1886 avec 16 guerriers, 12 femmes et 6 enfants. « C’est la quatrième fois que je me rends » dit-il. Sur ordre spécial du président Grover Cleveland, il est placé sous surveillance militaire étroite en Floride avec 14 de ses braves. Le climat humide de la Floride s’avère malsain pour les Apaches habitués à celui du désert et plusieurs d'entre eux décèdent. Les survivants sont ramenés à Fort Sill, en Oklahoma, en 1887. Geronimo se convertit alors au christianisme et devient fermier. Il regrette cependant jusqu'à la fin de ses jours de s'être rendu. Il vend des souvenirs à la Louisiana Purchase exposition en 1904, participe à la parade d'inauguration de Theodore Roosevelt en 1905 Il dicte l’histoire de sa vie en 1906 avant de mourir d'une pneumonie à Fort Sill en 1909. Les campagnes de guérilla de Geronimo restent un parfait exemple du genre. Ses facultés à exploiter des ressources humaines limitées et les terrains difficiles font de lui un stratège et un tacticien de premier ordre.
Citations : "Nous sommes en train de disparaître de la surface de la terre, mais je continue à croire qu'il doit y avoir une bonne raison pour que Yoséné nous ait créés. Il a donné vie à toute une variété d'espèces d'hommes. Ainsi, pour chaque espèce créée, Il désigna un pays particulier. Lorsque Yoséné créa les Apaches, Il leur donna un pays qui se situe a l'ouest. Pour la nourriture, Il leur remit des graines, des fruits et du gibier. Afin de soigner les différentes maladies, Il leur enseigna où trouver ces plantes médicinales. Puis Il leur enseigna où trouver ces plantes et comment les préparer. Il leur accorda un climat doux et tout ce dont ils avaient besoin pour se vêtir et s'abriter...Cela eut lieu au tout début de la création : car Yoséné créa simultanément le peuple apache et son pays. Et quand viendra le jour où les Apaches seront séparés de leur terre, ils tomberont malades et mourront. Combien de temps s'écoulera-t-il pour que l'on dise qu'il n'y a plus d'Apaches?" "Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas."
Il est marié à Dos-teh-seh, fille de Mangas Coloradas, il est le père de Tazha et Naiche.
En 1861 il est accusé injustement par les autorités américaines de l’enlèvement d’un enfant blanc. Après lui avoir proposé l’hospitalité sous sa tente, le lieutenant George Nicholas Bascom tente de le prendre en otage pour obtenir la libération de l’enfant.
Si Cochise réussit à s’échapper, plusieurs membres de sa famille sont capturés. Rapidement, il fait prisonnier quatre Américains pour négocier la libération des Apaches retenus prisonniers. Finalement soldats et Apaches exécutent leurs otages respectifs. Ulcéré par la pendaison de son frère Coyuntura et de deux de ses neveux, Cochise commence alors une guerre ouverte qui dure plus de dix ans. Il s’allie alors avec son beau-père Mangas Coloradas et devient chef d’une bande de deux cents guerriers Chiricahuas et Mimbreños. Les monts Dragoon en Arizona, lieu qui servit de refuge à Cochise et ses hommes.
Il entreprend une guerre de résistance contre les colons blancs qui envahissent son territoire. À la bataille d'Apache Pass en 1862, il subit une défaite face à l’artillerie du général James Henry Carleton. Il devient peu après le principal chef apache suite à la mort de Mangas Coloradas capturé par traîtrise, torturé et mis à mort. Il se réfugie avec ses hommes dans les monts Dragoon et Chiricahua et ils échappent à leurs poursuivants pendant près de dix ans, faisant régner la terreur sur tout le territoire apache.
Puis, un jour, un blanc, Thomas Jeffords, chargé de transporter le courrier et de traverser le territoire apache, vient voir Cochise sans armes avec un drapeau blanc. Tous les deux sont honnêtes, hommes de parole et loyaux. Une amitié naît que le temps n'a pas détruit. Cochise s’engage à ce que le courrier passe toujours sans être attaqué, du moment qu'il s'agit de courrier personnel et non de messages de l'armée. La guérilla continue mais « le courrier » passe toujours sans la moindre anicroche.
En 1872, conseillé par Thomas Jeffords, Cochise accepte d’engager des négociations de paix avec le général Oliver Otis Howard. Les deux parties s’entendent sur l’arrêt des hostilités et la création d’une réserve à Sulphur Springs, sur le territoire Chiricahua, à la condition que celui qui dirige la réserve soit son ami, Thomas Jeffords. Cochise y a vécu jusqu'à sa mort en 1874.
Chef Joseph, né vers 1840 et mort le 21 septembre 1904, de son vrai nom Hinmaton-Yalaktit ou Hin-mah-too-yah-lat-kekht, est un chef Nez-Percés.
Il est né dans la vallée de la Wallowa, dans l’État de l'Oregon, d’un père cayuse appelé Vieux Chef Joseph et d’une mère Nez-Percé. « Mon père fut le premier à deviner les plans des hommes blancs, il dit :
“Mon fils... Quand je serai parti tu seras le chef de ce peuple. Souviens-toi toujours que ton père n'a jamais vendu sa terre... Cette terre renferme les ossements de ton père. Ne vends jamais les os de ton père et de ta mère.” J'ai serré la main de mon père et je lui ai dit que je protégerai sa tombe avec ma vie... » (Chef Joseph)
Il devient chef de la tribu à partir de 1871 suite à la mort de son père. Il se trouva rapidement impliqué dans le combat de résistance contre l’envahissement des terres de son peuple par les colons américains, la situation étant encore aggravée par la découverte d’or. Un traité, préparé en 1868 par le gouvernement des États-Unis dans le but d’évincer les Nez-Percés des terres aurifères, avait causé une scission entre les partisans et les opposants.
Lors des « négociations » qui ont duré près de six ans pour leur faire quitter leurs terres de l'Oregon :
Joseph accomplit deux voyages à Washington afin d’obtenir le retour vers la vallée de la Wallowa (déformation de Wallamwatkain, nom de la bande dont il était le chef) où ils ne rencontrèrent qu’indifférence de la part du gouvernement.
« Les bonnes paroles ne durent pas longtemps (...) Les bonnes paroles ne ramèneront pas les morts de mon peuple. Elles ne me rendront pas ma terre maintenant envahie par les hommes blancs (...) Les bonnes paroles ne donneront pas un foyer à mon peuple où il pourrait vivre en paix pour s'occuper de lui-même. Je suis fatigué de parler et que ça ne mène à rien. Cela me rend malade quand je me souviens de toutes les bonnes paroles et des promesses non tenues. Vous ne pouvez pas plus espérer voir les rivières remonter à leur source que de voir un homme né libre qui soit heureux enfermé et parqué en lui refusant la liberté d'aller où il veut. » (Chef Joseph)
Il fut finalement autorisé à retourner à Colville dans l’État de Washington où il mourut le 21 septembre 1904. En 1905, une cérémonie eut lieu sur la réserve de Colville, à Nespelem, en l'honneur de Chef Joseph.
Les Oglalas sont l'un des sept clans indiens qui forment la tribu Lakota du peuple sioux.
Cette entité est apparue au XVIIIe siècle1. Au début du XIXe siècle les Oglalas se séparent des autres Sioux Lakotas : vers 1830, ils rassemblent quelque 3 000 membres.
Oglala signifie « ils se dispersent » en langue lakota. Tashunca-Uitco (Crazy Horse) était l'un des chefs de ce clan au XIXe siècle.
Les Oglalas ont participé à la bataille de Little Big Horn. Les Oglalas vivent désormais dans la Réserve de Pine Ridge (Dakota du Sud, aux États-Unis), à la frontière avec le Nebraska et à moins de 100 kilomètres du Wyoming.C'est la deuxième plus grande réserve indienne des États-Unis. Au dernier recensement de 2000, 15 221 Oglalas y résident. Bibliographie
L'homme blanc est étrange.
- Il ne prend pas le temps de rêver, de méditer, de célébrer la beauté de la Terre.
- Il ne connait pas la naissance de l' aube, la douceur de la rivière lorsqu'il se baigne au crépuscule.
- Il ne regarde pas les étoiles.
- Il lui faut de l'argent toujours de l 'argent.
- Il court jusqu'à sa mort et sa vie lui passe sous le nez.
- Il faut même payer l 'eau dont il se désaltère.
- Il ne vis pas. Il survit dans un monde qui pour nous est incompréhensible.
- Dans les villes on ne peut pas respirer. J 'ai vu des mendiants dans les rues. Et des gens qui passaient à coté sans les voir.
- Vous n'avez pas de bons Chefs.
- Dans notre société il n' y a pas de mendiants. Nous nous aidons les uns les autres. Peut-être sommes nous plus humains que vous. - La nature est comme l 'homme : le sol est sa peau, la forêt sont ces cheveux, les rivières sont ces veines.
- La forêt est la Mère de la vie. La sauver, c'est nous sauvez nous même
La modification proposée à la Constitution qui donne au Sénat le pouvoir exclusif d'approuver les procédures pour la démarcation des terres indigènes est prêt à être voté en séance plénière...
COUCOU LES DOLLARS
LES PEUPLES INDIGENES VIRES DE CHEZ EUX -------------------
Lieux d' itinérance des indigènes isolés(en rouge) dans la région du barrage de Belo Monte .. terres indigènes (TI) iTunes / Itata.
Nous avons besoin de vous tous pour lutter contre les méfaits que subissent l'Amazonie et ses peuples .
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