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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Préservons le ♥ vert de l'Afrique
http://bit.ly/1da6t3n
Le bassin du Congo représente 20% de la surface des forêts tropicales humides, où vivent plus de 75 millions de personnes, cohabitant avec des espèces comme le gorille, l'okapi, l'éléphant ou la girafe de forêt. Mais la pression démographique, l’exploitation illégale du bois et les défrichements pour l’agriculture ont mis à mal la conservation de cette région exceptionnelle. En 1999, le WWF contribue à la Déclaration de Yaoundé, afin de préserver les forêts du Bassin du Congo qui crée 4,5 millions d’hectares de nouvelles aires protégées et des patrouilles transfrontalières pour lutter contre le braconnage.
Téléchargez le fond d'écran http://bit.ly/1dzj1zW
Chacun est né avec une origine, une couleur de peau et une religion différente des autres. Malgré nos différences à la naissance on reste avant tout autre chose des créatures de Dieu. Mais malheureusement, certaine personne préfère oublier ceci et juger par l'apparence ! Pourtant, on vit de la même manière: on souffre, on rit, on mange... Ce n'est pas parce qu'une personne est différente de vous qu'il ne faut pas la respecter ! On est tous à égalité, tous au même niveau ! Alors aimez-vous les uns aux autres et vous verrez le monde deviendra meilleur !!
Alors que nous essayons d'enseigner la vie à nos enfants, nos enfants nous montrent ce qu'est la vie.
Il y a quelques mois, un cacique Guarani écrivait dans une lettre adressée au gouvernement; " Envoyez-nous un poison que nous puissions nous tuer!" Le Brésil avait promis de délimiter les terres autochtones, mais dans de nombreux cas, le gouvernement n'a pas tenu parole. Certaines tribus ont perdu patience et ont commencé à occuper les fermes sur leurs terres ancestrales comme les Guarani-Kaiowá qui envahissent alors un ranch privé dans l'État du Mato Grosso do Sul. Leurs intérêts sont été ignorés. Le gouvernement de Dilma Rousseff a pris la défense du lobby des agriculteurs. L'administration a proposé une nouvelle réforme qui désavantagerait les tribus indigènes..
Unissons-nous; rejoignez Força e Coragem: https://www.facebook.com/paroles.indiennes
**PETITION OFFICIELLE FORCA E CORAGEM: STOP AUX MASSACRES DES PEUPLES D'AMAZONIE
http://www.avaaz.org/fr/petition/STOP_AUX_MASSACRES_DES_PEUPLES_INDIGENES_DAMAZONIE_petition_officielle_Forca_e_Coragem/ ...
**PETITION OFFICIELLE EUROPÉENNE: STOP A L'EXPULSION DU PEUPLE GUARANI-KAIOWA DE SES TERRES:
http://www.petitions24.net/forca-e-coragem-petition-contre-expulsion-peuple-d-amazonie
**POUR LA DÉFORESTATION ZÉRO:
http://ligadasflorestas.com.br/
** NON AU BARRAGE DE BELO MONTE: http://www.avaaz.org/fr/petition/Petition_Mondiale_contre_le_barrage_de_Belo_Monte_en_Amazonie/cAUFybb
J'aime, et je sais répondre avec indifférence ; j'aime, et rien ne le dit ; j'aime, et seul je le sais : Et mon secret m'est cher, et chère est ma souffrance ; et j'ai fait le serment d'aimer sans espéranc
170 Personnes, dont 70 Enfants se sont donnés la Mort !
Pourchassés, harcelés, destitués et privés de leurs espaces de vies séculaires, de leurs droits et légitimité, n'acceptant pas le tribut sous forme de Diktat avilissant de la civilisation, ne pouvant plus lutter contre les intérêts des systèmes d'exploitation de la forêt Amazonienne : ils choisissent la Mort !
Quel plus affligeant et infamant constat se précipitant à l'encontre de nos Mondes Civilisés que ce terrible évènement, quel constat d'échec de nos politiques qui évoluent dans l'indifférence totale des minorités en danger d'extinction, quel accroc, quelle blessure mortelle perpétrés contre les notions de Patrimoine de l'Humanité, destituant à jamais la dignité même de tout système et société à visage humain !
Ah, la SDN, l' ONU, le Grands G20 !!!
Quelle vérité jeté à la face des mondes riches et placés, informés, distants à ce sujet que cette tribu qui se donne la mort en échange de la reconnaissance de toute une souffrance ; de là, la révélation consternante, émouvante, le martyre d'une existence, d'une lente agonie et de viles persécutions !
Qui est le Responsable ?
Si ce n'est ce terrible système, aux allures effrénées que le fric entretient, comme le charbon nourrissait la chaudière du tender et de la locomotive il y a deux siècles bientôt ?
Voici le nouveau train de l'enfer, celui de l'esclavage, de la négation de plus en plus systématique du faible, de la minorité, de l'authenticité face aux froideurs systémiques de nos technocrates et politiciens !
Quand parviendrons-nous à penser non le Monde mais les Mondes de Toujours, quelques soient leurs niveaux d'organisations ?
Penser Pérennité, l'Indispensable, l'Intemporel et non l'enclaver et ne voir que les frontières aunées à une seule existence !
Il y a des maladies qui ne se guérissent pas avec de l'argent, mais avec de l'amour.
Cette photo a valu à son auteur, Kevin Carter, de vives critiques et un Pulitzer en 1994. Trois mois après son prix, le photographe s'est suicidé. L'enfant, lui, avait survécu plusieurs années après ce cliché.
Voici l'histoire de cette photo qui a fait le tour du monde :
Aux Rencontres d'Arles, l'artiste chilien Alfredo Jaar présente actuellement une installation intitulée "Sound of Silence". Elle s'appuie sur la photo mythique de Kevin Carter. Le public entre dans une caisse noire où défile en silence sur un écran un texte racontant la vie de ce photographe sud-africain. Des flashs violents viennent subitement interrompre l'obscurité silencieuse pour révéler la photo de cet enfant soudanais affamé, guetté par un vautour qui valut à Carter en 1994 un prix Pulitzer et un suicide.
Le Sud-Africain Kevin Carter est âgé de 33 ans quand il entre dans l'histoire du photojournalisme avec cette image. Depuis plusieurs années déjà, il travaille comme photoreporter, notamment au sein du Bang-Bang Club, association de quatre photographes qui ont documenté la transition de l'Afrique du Sud à la fin de l'apartheid.
En mars 1993, accompagné d'un membre du Bang-Bang Club, Joao Silva, Kevin Carter se rend au Soudan pour enquêter sur la guerre civile et la famine qui frappe le pays. Avec d'autres photographes, il arrive dans le village d'Ayod. Il tombe sur un enfant squelettique qui se traîne péniblement jusqu'au centre d'approvisionnement alimentaire voisin.
SOUDAIN, UN VAUTOUR VIENT SE POSER DERRIÈRE LUI
Soudain, un vautour vient se poser derrière lui. Carter a devant lui un symbole fort de la misère qui sévit dans la région et il déclenche son appareil. Il attend alors une vingtaine de minutes espérant que le charognard déploie ses ailes et accentue encore plus la force de cette image. En vain. Il va ensuite chasser le vautour avant de parcourir un ou deux kilomètres et s'effondrer en larmes.
Quand Joao Silva retrouve son ami, Kevin Carter est sonné. Vingt ans après, il raconte : "Il était clairement désemparé. Pendant qu'il m'expliquait ce qu'il avait photographié, il n'arrêtait pas de montrer du doigt quelque chose qui avait disparu. Il n'arrêtait pas de parler de sa fille Megan, il avait hâte de la serrer dans ses bras. Sans aucun doute, Kevin a été très affecté par ce qu'il avait photographié, et cela allait le hanter jusqu'à la fin de ses jours."
Le 26 mars 1993, Le New York Times publie la photo et l'impact de l'image est immédiat. Le journal reçoit alors quantité de courriers pour connaître le sort de l'enfant sur l'image si bien qu'un éditorial doit être rédigé quelques jours plus tard pour informer que l'enfant a pu regagner le centre mais que l'on ne sait pas s'il a survécu.
UNE SALVE DE CRITIQUES ACERBES
Un an après cette prise de vue, le 12 avril 1994, Nancy Buirski, alors rédactrice photo au New York Times, appelle Kevin Carter pour lui annoncer qu'il vient de remporter le prix Pulitzer grâce à cette photographie. Ce prix prestigieux apporte à Kevin Carter une reconnaissance de ses pairs en même temps qu'une salve de critiques acerbes. La plupart portent sur l'éthique du photographe dans une situation pareille. "L'homme qui n'ajuste son objectif que pour cadrer au mieux la souffrance n'est peut-être aussi qu'un prédateur, un vautour de plus sur les lieux", écrit le St. Petersburg Times, quotidien publié en Floride. Beaucoup se demandent à voix haute pourquoi Carter n'a pas aidé l'enfant.
En 2011, Alberto Rojas, photojournaliste pour le quotidien espagnol El Mundo, s'est rendu à Ayod. Obsédé par cette image, il s'était mis à chercher des informations sur elle. Il n'avait trouvé que des écrits accablant Kevin Carter, faisant croire qu'il avait laissé mourir l'enfant. Son enquête allait peut-être lui faire justice.
Rojas commença par parler avec son ami, le photographe espagnol José Maria Luis Arenzana, lui aussi présent dans ce camp en 1993. Son témoignage fut la clé qui marqua un tournant dans les recherches de Rojas. Arenzana avait réalisé une photographie similaire. Pour lui, le bébé sur la photo de Carter n'était pas seul, il était à quelques mètres du centre de soins, près de son père, de personnels médicaux. Le bracelet en plastique interpella aussi Rojas car cela constituait un signe évident de prise en charge du bébé par une organisation humanitaire. Cette information pouvait "laisser espérer que l'enfant avait survécu à la famine, au vautour et aux mauvais présages des lecteurs occidentaux". Il continua son enquête en rencontrant des employés de Médecins sans frontières qui travaillaient sur place à l'époque. Puis il se rendit sur les lieux.
Au terme d'une enquête de plusieurs jours, il rencontra le père de l'enfant immortalisé par Kevin Carter. Dans le petit village, personne n'avait jamais vu la photo et ne savait qu'elle avait fait le tour du monde. La présence du vautour, tant décriée en Occident, ne frappait personne : ils étaient très nombreux dans la région. L'enfant avait effectivement survécu à la famine mais était mort quatorze ans plus tard des suites de fièvres intenses provoquées par une crise de paludisme.
Grâce à Alberto Rojas, on sait désormais que le petit garçon n'est pas mort de faim, abandonné à son sort par un charognard de l'image. Justice est rendue. Mais Kevin Carter n'est plus là pour en profiter. Le 27 juillet 1994, trois mois donc après l'attribution de son prix, le Sud-Africain s'est donné la mort en s'empoisonnant dans sa voiture . Sur la note qu'il a laissée, il évoque "les souvenirs persistants de massacres et de cadavres" qui le hantaient. Rien sur l'enfant soudanais et le célèbre rapace. C'est pourtant cette image et le paradoxe du photoreporteur qu'elle incarne aujourd'hui encore que Kevin Carter symbolise : observer immobile l'horreur pour mieux la combattre.
Préserver le mode de vie et la culture des peuples indigènes d'Amazonie.. N'est pas là notre but ?
Très Saint Père,
Nous, dirigeants des peuples autochtones du Brésil, avons l'honneur de solliciter à Votre Sainteté à l’occasion de votre venue au Brésil pour la Journée Mondiale de la Jeunesse, en juillet 2013 une audience pour notre principal dirigeant, le cacique Raoni Metuktire qui est chargé de nous représenter.
Le cacique Raoni Metuktire, mondialement connu pour son engagement envers la protection de la forêt amazonienne et des peuples qui y vivent, est le chef suprême du peuple Kayapo dont les terres ancestrales sont au cœur de l'Amazonie brésilienne.
Depuis plus de quarante ans, il symbolise la lutte implacable contre la déforestation et incarne le combat pour le respect des droits et de la culture des peuples de la forêt amazonienne.
Au cours de l'automne 2012, le cacique Raoni a réalisé la première partie d'une vaste campagne de sensibilisation, dénommée « Urgence Amazonie », destinée à alerter la communauté internationale
Le chef Raoni et sa délégation ont été dans plusieurs pays européens, où ils ont rencontré les plus hautes autorités.
A Paris, ils ont exposé leurs préoccupations au président français, François Hollande, à Strasbourg au président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, à la Haye, au gouvernement des Pays-Bas, à Genève aux organismes des Nations Unies et au Gouvernement suisse ...
La deuxième partie de cette campagne est prévue pour l'automne 2013 dans d'autres pays. La communauté internationale s'est déjà mobilisée en 1989, lors de la première campagne internationale de chef Raoni.
Grâce notamment à l'appui des dirigeants européens et des pays du G7, il a été possible de lancer en 1992 le Programa Piloto para a Proteção das Florestas Tropicais do Brasil (Programme pilote pour la protection des forêts tropicales du Brésil (PPG7), qui est l'initiative internationale la plus ambitieuse de protection de l'environnement. Cette action emblématique du chef Raoni Metuktire a été saluée par de nombreux dirigeants du monde et, depuis lors, il n’a cessé de voyager, du Japon jusqu’au Quebec, sans oublier l’Europe.
Sur ce dernier continent, il a été soutenu par le roi Juan Carlos d'Espagne, par les présidents français François Mitterrand et Jacques Chriac, par le prince Charles d'Angleterre, par le prince Albert II de Monaco ...
Très Saint-Père, l’audience que nous vous demandons aujourd'hui serait une occasion unique pour que le cacique Raoni Metuktire informe pleinement les catholiques du monde entier sur la situation dramatique actuelle des peuples de l'Amazonie qui font face à des cupides qui, sous prétexte économique, veulent voler leurs terres.
Il ya vingt-cinq ans, en avril 1989, le Pape Jean-Paul II a accordé une audience au Vatican au cacique Raoni et à son accompagnateur, le chanteur Sting.
L’écho médiatique retentissant de cette réunion avait produit des effets extrêmement positifs pour la divulgation de questions dont l’importance n’était jusqu'alors connue que des experts.
Aujourd'hui, en 2013, une éventuelle audience accordée par Votre Sainteté au chef Raoni aurait encore plus de poids parce que les peuples indigènes du Brésil voient leurs droits fondamentaux ignorés par le pouvoir actuel. Il y a peu, nous avons rencontré la présidente Dilma Rousseff.
Elle s’est montrée sensible à la question indigène de notre pays et a promis de suivre de près les questions qui nous affligent, en particulier celles de la construction de barrages et de délimitation des terres indigènes. Nous attendons maintenant des preuves concrètes de cette bonne volonté affichée par notre présidente.
Or, jusqu’à présent, le gouvernement n’a arrêtée aucun projet dommageable aux peuples indigènes. 1 million de personne sur la plage de Copacabana à Rio et pas un mot pour les peuples indigènes, protecteurs de la forêt amazonienne. Seulement 1800 vues pour le message filmé du Cacique Raoni
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