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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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civilisations

voyages

Publié à 16:59 par fandeloup Tags : nature fond
voyages

VOUS VOUS SENTEZ L’ÂME D'UN EXPLORATEUR ?

Ce magnifique bateau vous tend les bras pour partir à l'exploration de la Forêt de Lokoli dans le sud du bénin.

Plaisanterie à part la forêt de Lokoli est une curiosité de la nature car elle a la particularité de croître dans le lit d'un fleuve.

Ce qui a contribué à la constitution d'un éco-système étonnant. Se cachent également également au fond de cette forêt des bouilleurs de crus

Quand à ce frêle esquif composé d'un troc d'arbre rapidement évidé, c'est bien le seul moyen pour naviguer dans ce petit paradis.

hommage

Publié à 14:28 par fandeloup
hommage

Hommage aux peuples amérindiens massacrés et aux dernières tribus amazoniennes qui risquent de disparaître dans peu de temps si rien n'est fait à cause de l'élevage intensif qui détruit à plus de 2/3 la forêt amazonienne mais aussi à cause de la construction du barrage de Belo Monte.

La Mobilisation nationale indigène

Publié à 13:07 par fandeloup Tags : anniversaire monde homme société divers musique femmes
La Mobilisation nationale indigène

La Mobilisation nationale indigène

C'était encore l'aube lorsque les peuples indigènes ont commencé à arriver sur la pelouse de l'esplanade du Congrès National. Avec des bambous et des toiles, ils ont monté le campement qui deviendra une grande aldeia (village) de 1400 personnes, de diverses ethnies, durant cette semaine de mobilisation nationale.

513 ans après la "découverte" du Brésil, des activistes de Greenpeace ont déployé, sous le drapeau brésilien de la Place des Trois Pouvoirs, un autre drapeau arborant le visage d'un Indien. La symbolique de cet acte a ému tous ceux qui étaient présents.

En cette période où nous assistons à un mépris de la Constitution Brésilienne avec les projets de loi à l'étude (ou plutôt en marchandage politique) soutenus par le puissant groupe ruraliste dont l'intérêt est de paralyser les démarcations de terres (en retard de 20 ans sur le chronogramme établi par la Constitution) et de réviser les terres indigènes déjà démarquées, un drapeau représentant un Indien aux cotés du drapeau national montre clairement que la composante indigène de la société brésilienne n'acceptera plus de se voir privée de ses droits par le gouvernement lui même.

À quelques jours du 25º anniversaire de la Constitution Fédérale, les peuples indigènes, quilombolas et traditionnels affrontent le grave risque de ne plus avoir de terre où vivre à cause de lois proposées par le groupe ruraliste.

Alors qu'ils dansaient et chantaient pour se préparer aux activités de la journée, la police militaire les a interpellés, et leur a demandé de n'utiliser ni arcs ni flèches. Ces objets ne sont pas seulement les armes de ces guerriers, ils font partie des cultures de ces peuples, mais l'état brésilien, à travers sa police, montre encore une fois son ignorance et son mépris des peuples originaires du pays.

Plus tard, les représentants indigènes et quilombolas ont été victimes de l'arrogance de la police législative. Il avait été convenu que la Commission des Droits de l'Homme du Sénat recevrait 70 représentants, mais il n'y avait à l'entrée qu'une autorisation pour 20 personnes.

Les indigènes ont alors décidé que soit tout le monde entrait, soit ce ne serait personne. Après plus d'une heure d'attente et d'âpres négociations, ils ont enfin tous été autorisés à entrer, mais ont dû laisser à l'entrée leurs armes et leurs instruments de musique. À la Commission des Droits de l'Homme du Sénat, présidée par la sénatrice Ana Rita, du PT de Espirito Santo, les indigènes ont eu droit à une demande d'excuses. "Je voudrais vous demander à tous des excuses au nom du Sénat Fédéral pour l'humiliation et les difficultés pour venir à cette audience."

Puis divers représentants indigènes ont affirmé que leur but était que le gouvernement respecte la Constitution. Sonia Guajajara, de l'Articulation des Peuples Indigènes du Brésil (APIB), a rappelé les articles de la Constitution qui déterminent la démarcation des terres et a demandé aux sénateurs présents de respecter les droits constitutionnels de son peuple.

De nombreuses femmes indigènes ont pris la parole dans cette audience. Parmi elles, Lucélia Pankará qui a dénoncé la construction d'une usine électro-nucléaire sur les terres de son peuple, dans l'état de Pernambouc : "Pourquoi le gouvernement fait-il toujours des projets qui portent préjudice à notre peuple ?

La Funai doit démarquer nos terres, car tant que ce ne sera pas fait, nous aurons à souffrir de ces atrocités." Le dernier à prendre la parole fut Unina uan qui a cité le devoir du Congrès National de respecter le Statut des Peuples Indigènes en les consultant avant tout projet ou loi qui les affecterait.

Il a aussi précisé la nécessité de la part de la Funai de remplir son devoir pour achever les démarcations qui ne sont pas encore conclues. Il a terminé en disant : "Si les pouvoirs de notre pays ne nous respectent pas, nous non plus n'avons aucune obligation de les respecter." Bien que d'autres représentants souhaitaient s'exprimer, la présidente de la Commission a terminé l'audience en alléguant que le temps prévu s'était écoulé.

La journée s'est poursuivie avec des rituels et une grande manifestation à partir de 16h. La semaine ne fait que commencer...

La communauté Guarani Kaiowá

Publié à 11:19 par fandeloup Tags : enfants
La communauté Guarani Kaiowá

La communauté Guarani Kaiowá la plus menacée fait face à une nouvelle restitution de terres. 

"...Nous ne sortirons jamais d'ici. Si ils nous tuent, je demande qu'ils amènent des pelles pour nous enterrer. Même si ils viennent nous envahir, nous ne partirons plus jamais. Nous allons rester ici. Même si ils nous menacent nous resterons ici. La lutte va toujours continuer, même si je meurs, parce que j'ai beaucoup de petits-enfants..."

pétition

Publié à 10:28 par fandeloup Tags : nature monde
pétition

L’Homme manque malheureusement de hauteur…

En Amazonie : L’exploitation forestière et la conversion des forêts n’ont abouti ni à un développement réel, ni à des occasions d’emploi, ni à une répartition plus équitable des revenus parmi les populations locales, ni à des avantages environnementaux pour la région. Actuellement, 45 % environ de la population de l’Amazonie brésilienne ont des revenus inférieurs au seuil de pauvreté.

En Europe : Le Consommateur, que nous sommes, se fiche de savoir la nature de l’énergie qui permet à son automobile de fonctionner (essence, hydrogène ?). Son principal souci est le prix. De même, il ne s’interroge pas sur l’origine de l’électricité qui éclaire sa maison. Serions-nous prêts aujourd’hui à refuser la fourniture d’électricité dans notre habitation, parce que celle-ci est d’origine nucléaire, ou bien parce qu’elle provient d’une centrale thermique fonctionnant au charbon ou au gaz ? Et pendant ce temps-là le climat se dégrade, les tsunamis, les ouragans se multiplient… et la forêt tropicale la plus vaste du monde qui héberge environ 20 pour cent des espèces végétales et animales présentes sur la terre se meurt. Donnez votre avis, bougez-vous au niveau de votre localité pour améliorer/préserver, le monde ne peut plus continuer ainsi…

Signez ces pétitions : http://www.ligadasflorestas.org.br/?utm_campaign=ligadasflorestas&utm_source=post&utm_medium=facebook - Avaaz « stoppons le barrage de Belo Monte »

http://www.avaaz.org/fr/amazon_under_threat_1/ Visitez et diffusez « Soutien Européen au Brésil Indigène »

:https://www.facebook.com/SEIABRESIL

vivre

Publié à 09:54 par fandeloup Tags : histoire vie
vivre

Pour nous, indigènes, la terre a toujours été une source de vie! D'elle nous obtenons nos aliments, nos remèdes, le bois pour construire les maisons et les embarcations. Le lien entre la terre et nous est si fort, si intense qu'elle fait partie de notre univers religieux. La terre est le lieu où sont générés la vie, la culture, les valeurs, l'éducation et où se construit notre histoire, notre origine, nos mythes. Finalement, c'est par elle que nous poursuivrons notre perpétuation. Et c'est en elle qu'un peuple se construit en en faisant son espace vital indispensable. Il est donc impossible d'imaginer un peuple indigène sans terre ! Nous sommes une partie de la terre et elle fait partie de nous. C'est pour cela que la terre est sacrée ! L'eau qui coule dans les ruisseaux et les fleuves n'est pas seulement de l'eau, elle est le sang de nos ancêtres. Le murmure des eaux est la voix de nos ancêtres..

synthétique

Publié à 19:12 par fandeloup Tags : chez monde animaux afrique danse exposition
synthétique

Durban (Afrique du Sud)

- Qui aurait pensé que les fiers Zoulous pourraient troquer leurs peaux de léopard contre du synthétique?

C'est le pari fou d'un groupe d'écologistes qui a entrepris de convertir l'Eglise Shembe, une communauté dont l'appétit pour les fourrures fait le bonheur des braconniers.

Les célébrations de la communauté Shembe --officiellement «Eglise baptiste de Nazareth»--, qui rassemblent des dizaines de milliers de personnes sur une colline sacrée près de Durban, culminent avec des danses rituelles, lentes et saccadées, qui confinent à la transe.

«C'est notre façon d'adorer Dieu», explique Lizwi Ncwane, porte-parole de cette Eglise qui mêle racines bibliques et zouloues, et revendique plus de 5 millions de fidèles. «Nous l'adorons à travers des prières et des danses.»

Ce sont les hommes qui mènent la danse. Mais pour participer, il faut pouvoir s'offrir la tenue d'apparat, qui se compose notamment d'un pagne en queues de singes ou de genettes, d'une ceinture en léopard, d'un couvre-chef garni de plumes d'autruches (souvent colorées) et surtout d'une sorte de cape portée sur le torse nu, de préférence en peau de léopard.

«La peau de léopard a de l'importance, elle symbolise le pouvoir», souligne Lizwi Ncwane.

«C'est comme être le roi», ajoute Sphiwe Cele, un mineur d'eMalahleni (nord-est), rappelant que ces peaux étaient à l'origine l'apanage de la famille royale et des notables.

«Bien sûr, nous ne sommes pas le roi des Zoulous, mais (le fondateur de l'Eglise) Shembe a dit que nous étions les rois chez nous. Alors il faut porter ça pour aller aux rassemblements traditionnels.»

Il a acheté sa peau de léopard le mois dernier pour 4.500 rands (300 euros). Elle a été obtenue avec un permis de chasse dans une réserve sud-africaine, affirme-t-il. - Fabriquée en Chine - Pour Guy Balme, qui s'occupe des léopards à l'association américaine de défense des félins Panthera, c'est totalement impossible: les quelques permis délivrés vont à des chasseurs étrangers qui pour rien au monde n'abandonneraient leurs trophées.

«Tout ce que vous voyez ici est totalement illégal», dit-il devant les entêtantes figures des danseurs, au son des tambours et des vuvuzelas.

«C'est la pls grande exposition sur terre de contrebande d'animaux sauvages!»

Les peaux sont braconnées en Afrique du Sud, au Mozambique, au Zimbabwe ou au Malawi, selon lui.

«Ce commerce illégal des peaux menace dangereusement les léopards», s'inquiète Tristan Dickerson, un zoologiste travaillant pour l'ONG.

D'où l'idée de convertir les fidèles Shembe au synthétique.

«Ce que j'ai réalisé, c'est que beaucoup de gens portaient déjà de fausses fourrures de léopard qui ne semblent pas très réalistes», raconte-t-il, pointant les plus pauvres des danseurs qui se contentent de peaux de vaches ou d'impalas où ont été peintes les taches caractéristiques du pelage du félin.

«Alors je me suis dit que si j'arrivais à mettre au point une version réaliste, je pourrais la proposer à l'Eglise.»

Après quatre ans d'efforts, il a enfin réussi à convaincre la hiérarchie de l'Eglise zouloue d'accepter une fausse peau spécialement fabriquée en Chine.

«Nous voyons qu'il est important de préserver le félin» (le léopard), convient le porte-parole des Shembe Lizwi Ncwane.

Montrant désormais l'exemple lui-même, il estime que de 60 à 70% des danseurs auront abandonné les peaux véritables d'ici deux ans. Panthera doit distribuer 6.000 capes --assemblées à Durban-- d'ici la mi-2014. Un tiers d'entre elles ont déjà trouvé preneur, et le synthétique côtoie désormais le vrai léopard, le guépard, le serval ou l'impala sur les épaules des danseurs.

«C'est devenu une sorte de tendance», s'amuse John Smith, un volontaire zoulouphone de l'ONG qui fait la liaison avec les fidèles. «Au début pourtant, certains étaient très grossiers, et me disaient qu'ils n'avaient pas besoin de ces couvertures sans intérêt!» Tristan Dickerson s'intéresse maintenant à l'avenir de ce qui est en train de devenir une petite entreprise.

Au-delà de la phase de don actuelle, il souhaite vendre ses fausses peaux. D'abord à prix coûtant, 250 rands (17 euros), à l'Eglise, qui les revendrait le double à ses ouailles.

Le synthétique sera de toute façon bien moins cher que la fourrure véritable.

Et le zoologue envisage aussi de fabriquer des pagnes, des bracelets ou des ceintures, la parure complète coûtant actuellement de 10.000 à 15.000 rands (700 à 1.000 euros), une sacrée somme pour la majorité des fidèles.

Et ensuite, sourit-il, pourquoi ne pas vendre aussi ces parures à des touristes en mal d'exotisme?

Écosophie

Publié à 14:09 par fandeloup Tags : monde vie société fond création divers heureux dieu nature
Écosophie

Depuis plusieures décennies maintenant, nous étudions avec application les processus en oeuvre dans notre environnement.

Nous avons même fait une science de ces études : l’écologie.

Nous commençons aujourd’hui à comprendre beaucoup de ces mécanismes au point que nous connaissons les risques que l’activité humaine fait courir à l’ensemble de notre planète.

Cependant, nous n’arrivons pas à mettre en pratique ces connaissances et continuons à perturber l’ordre naturel des choses, avec l’énorme risque de nous condamner nous même.

Quelle est donc cette inertie qui nous pousse, malgré la raison, à poursuivre notre inéxorable destruction du seul bien dont nous disposons : notre vie intimement liée à notre environnement ?

Nous savons que nos ressources sont limitées, mais nous persistons à produire et à gaspiller au nom de principes « économiques » à l’évidence insoutenables.

Bien sûr l’avidité de quelques uns est en grande partie responsable de cette grave situation, mais ne serait-il pas judicieux de se demander quelle est l’origine de cette avidité qui nous touche tous, à divers degrés ?

Pourquoi n’arrivons-nous pas à limiter notre consommation qui, outre la destruction de notre environnement, provoque des injustices et des inégalités insupportables ?

Les raisons de ces difficultés sont enfouies au plus profond de notre conception du monde et de ce que nous sommes. C’est le fruit de siècles, voire de millénaires, de la croyance en la supériorité absolu de l’humain sur toute autre forme de vie, et par conséquent, de certains humains sur d’autres.

Ce complexe de supériorité nous fait oublier que nous avons besoin des « autres » pour survivre. Comment pouvons-nous croire que nous pourrons subsister une fois que nous auront anéanti toute autre forme de vie ?

C’est pourtant bien ce que nous pensons, et nous mettons tous nos atouts dans des applications productivistes de nos connaissances scientifiques pour manipuler ce que nous ne pourrons jamais créer en laboratoire : la diversité extraordinaire de la vie.

Nous fabriquons des plantes dont les semences sont stériles, nous tuons les sols qui nous permettent de produire nos aliments, nous souillons l’eau qui est à l’origine de la vie, nous substituons lentement mais sûrement l’oxygène par des gaz toxiques...

Mais nous avons de l’argent, et ceux qui n’en ont pas vivent dans l’illusion qu’ils peuvent un jour en avoir et être enfin « heureux». Savons-nous vraiment que l’argent ne se mange pas ?

Nous nous croyons au sommet d’une hypothétique pyramide qui classerait les êtres vivants, et cela au nom de notre supériorité issue de notre intelligence. Mais le prix de notre intelligence est aussi la bêtise, ou du moins la possibilité de faire des choix erronés.

Et nous ne nous privons pas d’erreurs ! Nous avons vu naître dans les années 1970 l’écologie politique, mais cela n’a pas limité les menaces que nous faisons peser sur nous mêmes.

L’écologie est restée une discipline abstraite qui étudie les éco-systèmes comme des sujets dont nous sommes complètement étrangers. Ou alors on la considère comme la lubie d’une poignée d’insatisfaits irréalistes.

Pourquoi les innombrables « partis verts » ne réussissent-ils pas à proposer (je ne parle même pas de mettre en place) une organisation de notre société respectueuse des processus écologiques ?

C’est que, dans le fond, nous continuons excommuniés volontairement de ces éco-systèmes que nous considérons comme des sources inépuisables des matières premières sans lesquelles nous ne savons plus vivre.

"Dreamtime Sisters" par Colleen Wallace Nungari Notre conception du monde et de nous mêmes n’a pas changé, nous nous considérons toujours comme les rois tous puissants de la création.

Des rois soumis corps et âmes à un dieu froid , cruel et injuste que ses sacerdotes Goldman et Sachs vénérent envers et contre tous.

Tant que nous n’aurons pas incorporé que nous faisons partie de la nature au même titre que le lombric, que la diversité et la complémentarité sont indispensables à l’harmonie et au bon fonctionnement de notre éco-système, nous pourrons continuer à « voter vert » sans aucun résultat positif.

La compréhension de ces notions écologiques doit être profonde. Il nous faut incorporer (com-préhension) une philosophie de vie que j’appelle écosophie : la sagesse issue des fonctionnements naturels de notre monde.

C’est au prix de cette révolution spirituelle, la plus importante déjà vécue par l’être humain, que nous arriverons à poursuivre notre évolution et que nous prouverons la grandeur de l’être humain en faisant honneur à nos fantastiques capacités et en arrivant enfin à respecter tout ce qui n’est pas nous mêmes.

pyramides

pyramides

Sous les pyramides des vestiges gênant d’une science avancée…Gizeh

De nombreux témoignages historiques ou contemporains permettent d’être convaincus de la présence, sous le plateau de Gizeh et l’ancienne cité du Caire, d’un savant enchevêtrement de passages, conduits, salles, cavernes naturelles, de lacs, et d’une grande cité, renfermant des artefacts sophistiqués révélant un très haut niveau de technicité. L’information relayée par les médias jusqu’ en 1935 est depuis soustraite au public par les autorités archéologiques.

L’histoire oubliée des pyramides… Pour bien saisir les connaissances secrètes de la Bible, il est important de prendre conscience de l’ampleur du système de galeries souterraines et celle des équipements des salles qui en dépendent, sous la surface du plateau des Pyramides.

Car c’est là que se développèrent les éléments majeurs des enseignements de l’Ecole de Mystères. Ce qui s’est déroulé sous les sables il y a des milliers d’années n’est pas repris par les manuels d’histoire actuels, même si les découvertes effectuées ces 80 dernières années le confirment.

Le district de l’Oasis Fayoum, situé à seulement quelques kilomètres au-delà des limites du Nome de Memphis, présente un site d’un intérêt exceptionnel. C’est dans cette riche vallée fertile que les Pharaons, se nommant eux-mêmes les “maîtres des chasses royales”, pêchaient et chassaient au boomerang.

Le Lac Moeris avoisinait autrefois l’Oasis Fayoum et sur ses rives se trouvait le célèbre Labyrinthe, décrit par Hérodote comme “une infinie merveille”. Celui-ci comprenait 1.500 pièces et autant de salles souterraines supplémentaires que l’historien grec ne fut pas autorisé à explorer. Selon les prêtres du Labyrinthe, “les passages étaient déroutants et complexes”, destinés à sécuriser les nombreux manuscrits qu’ils affirmaient cachés dans les salles souterraines.

Ce complexe massif impressionna particulièrement Hérodote qui le citait avec une crainte révérentielle : Je vis douze palais régulièrement disposés, communiquant entre eux, émaillés de terrasses et répartis autour de douze grandes cours. Il est difficile de croire qu’ils étaient l’oeuvre d’hommes.

Les murs étaient recouverts de portraits sculptés, et chaque cour, construite en marbre blanc de façon exquise, était entourée d’une colonnade. Près de l’angle où se termine le labyrinthe, s’élevait à 80 mètres une pyramide ornée de grands portraits sculptés d’ animaux dont l’entrée s’effectuait par un souterrain. J’appris de source très sûre que les salles et les passages souterrains la reliaient aux pyramides de Memphis.

Ces dernières étaient celles de Gizeh qui, en effet, s’appelait Memphis à l’origine “Gizeh anciennement Memphis”, sur la carte de Nordan extraite de Voyages en Égypte et en Nubie, 1757, page 152. Beaucoup d’auteurs antiques confirment la description par Hérodote des passages souterrains reliant les pyramides les plus importantes, et l’évidence de leur existence jette un doute sur la vraisemblance de l’histoire de l’Egypte présentée traditionnellement. Crantor (300 av. J.C.) déclarait que certains piliers souterrains en Egypte offraient un récit de la préhistoire gravé dans la pierre et relataient les voies reliant les pyramides.

Dans son étude célèbre, Des Mystères, en particulier ceux d’Egypte, de Chaldée et d’Assyrie, Jamblique, un Syrien du quatrième siècle très représentatif de l’Ecole d’Alexandrie dans les matières mystique et philosophique, rapporta cette observation au sujet de l’entrée de la Grande Pyramide par le corps du Sphinx : Cette entrée, aujourd’hui obturée par le sable et les décombres, peut être retrouvée entre les pattes avant du colosse accroupi.

Elle était autrefois fermée par une grille de bronze dont seuls les Mages pouvaient actionner le mécanisme caché. Elle était protégée par la vénération publique, et une sorte de terreur sacrée maintenait son inviolabilité mieux que ne l’aurait fait une protection armée. Dans le ventre du Sphinx étaient creusées des galeries menant à la partie souterraine de la Grande Pyramide.

Ces galeries s’entrecroisaient le long du parcours vers la Pyramide avec un tel art que, quiconque s’y engageant sans guide retournait inévitablement à son point de départ.

Les antiques cylindres scellés des Sumériens racontent que la demeure secrète des Anunnakis était “un lieu souterrain… où l’on pénètre par un tunnel dont l’entrée est cachée par le sable ainsi que par ce qu’ils nommaient Huwana… dont les dents sont semblables à celles d’un dragon, et la face, à celle d’un lion”.

Ce texte ancien remarquable, dont il ne reste malheureusement que des fragments, ajoutait que “Il (Huwana) ne peut ni avancer, ni reculer”, mais qu’en grimpant sur lui par l’arrière, le passage vers “la demeure secrète des Anunnakis” n’était plus bloqué.

Les notes sumériennes fournissent une description probable du Sphinx de Gizeh, et si cette grande créature était construite pour garder ou obturer d’anciens escaliers et des passages inférieurs menant aux parties souterraines au-dessous et alentour, alors, ce symbolisme était parfaitement opportun.

La tradition locale arabe du 19ème siècle affirmait qu’il existait des salles souterraines sous le Sphinx, renfermant des trésors ou des objets magiques. Cette croyance fut étayée par les écrits de l’historien romain du premier siècle, Pline l’ancien, selon lesquels, profondément en-dessous du Sphinx, est dissimulée la “tombe d’un dirigeant appelé Harmakhis qui contient un grand trésor” et, de façon assez étrange, le Sphinx lui-même fut appelé autrefois “Le Grand Sphinx Harmakhis qui montait la garde depuis le temps des Descendants d’Horus”.

Ammianus Marcellinus, autre historien latin du quatrième siècle fit des découvertes supplémentaires au sujet de l’existence de caveaux souterrains qui semblaient mener à l’intérieur de la Grande Pyramide. Des inscriptions, dont les Anciens soutenaient l’existence, étaient gravées sur les murs de certaines galeries souterraines et des passages furent construits dans l’obscure profondeur pour empêcher la sagesse ancienne d’être perdue dans les inondations.

Un manuscrit, rédigé par l’écrivain arabe du nom Altelemsani et conservé au British Museum, relate l’existence d’un long passage souterrain, de section carrée, entre la Grande Pyramide et le Nil et cite une “étrange chose” bloquant l’entrée, côté fleuve.

Il rapporte l’épisode suivant : A l’époque d’Ahmed Ben Touloun, un groupe entra dans la Grande Pyramide par le tunnel et découvrit dans une salle latérale une coupe de couleur et de texture rares. En s’en allant, ils semèrent un membre du groupe et, comme ils retournaient le chercher, celui-ci vint à eux nu et disait en riant : “Ne me suivez pas et ne me cherchez pas”, avant de se précipiter à nouveau dans la Pyramide. Ses amis comprirent qu’il avait été ensorcelé.

Apprenant que d’étranges événements se déroulaient sous la Pyramide, Ahmed Ben Touloun exprima le désir de voir la coupe de verre. Pendant l’examen, elle fut remplie d’eau et pesée, puis vidée et pesée de nouveau. L’historien écrivit : “elle avait le même poids à vide ou remplie d’eau”.

Si l’histoire est exacte, ce manque de poids supplémentaire prouve de manière indirecte l’existence à Gizeh d’une science extraordinaire. Selon Massoudy, au 10ème siècle, des statues mécaniques, dotées de propriétés stupéfiantes, gardaient les souterrains situés sous la Grande Pyramide.

Anciennes de mille ans, on peut comparer leur description à celle des robots informatiques que l’on voit de nos jours dans les films du genre “La Guerre des Etoiles”. Massoudy raconte que les automates étaient programmés pour être sensibles à l’intolérance, parce qu’ils détruisaient tout “sauf ceux dont la conduite leur valaient d’être admis”.

Massoudy prétendait que “les manuscrits des Sages et les acquis dans divers arts et sciences étaient profondément cachés, qu’ils pouvaient ainsi constituer une mémoire réservé aux intérêts futurs de ceux qui pourraient un jour les comprendre”. C’est une information phénoménale, dans la mesure où il est possible que, depuis l’époque de Massoudy, des personnes “dignes” aient vu les mystérieuses salles souterraines.

Massoudy avoua : “J’ai vu des choses impossibles à décrire de crainte que l’on ne se mette à douter de ma santé mentale… mais cependant je les ai vues”. Autre auteur du même siècle, Mouterdy décrit un étrange incident qui survint dans un passage étroit sous la terre de Gizeh. Un groupe de personnes fut horrifié de voir un de ses membres mourir écrasé par une porte de pierre qui, d’elle-même, bascula soudain à l’entrée du passage et ferma le couloir devant eux.

Hérodote affirme que les prêtres égyptiens lui racontèrent leur antique tradition de “l’organisation de salles souterraines” par les créateurs originels de Memphis. Les plus anciennes inscriptions suggèrent aussi qu’il existait une sorte de complexe de très grandes salles sous la surface des terrains entourant le Sphinx et les pyramides.

Ces anciens récits furent confirmés par la découverte d’une large cavité lors d’une surveillance sismique sur le site en 1993. La nouvelle fut annoncée publiquement dans un documentaire intitulé “Le Mystère du Sphinx”, vu par 30 millions de téléspectateurs sur NBC fin 2003. L’existence de salles en dessous du Sphinx est bien connue.

Les autorités égyptiennes rendirent compte d’une autre découverte en 1994, sa révélation fut annoncée dans un article de journal sous le titre : Mystérieux Tunnel dans le Sphinx : Des ouvriers réparant le Sphinx ailé ont découvert un ancien passage menant profondément dans le corps du monument mystérieux. Le Directeur des Antiquités de Gizeh, M. Zahi Hawass, établit que, sans doute possible, le tunnel était très ancien.

Toutefois, ceci est inexplicable : qui construisit le passage ?

Pourquoi ?

Et où mène-t-il…?

M. Hawass dit qu’il n’avait pas l’ intention d’enlever les pierres empêchant le passage. Le tunnel secret se creuse un chemin dans la face nord du Sphinx, à peu près à mi-chemin entre les pattes étendues du Sphinx et sa queue.

L’hypothèse courante que le Sphinx est le vrai portail de la Grande Pyramide a survécu avec une surprenante ténacité. Cette croyance fut alimentée par des plans vieux de 100 ans élaborés par les initiés Francs-Maçons et Rosicruciens, montrant que le Sphinx était l’ornement surmontant un espace qui communiquait avec toutes les Pyramides par des passages souterrains en étoile.

Ces plans furent dressés à partir d’informations découvertes à l’origine par le fondateur présumé de l’Ordre de la Rose-Croix, Christian Rosenkreuz, qui, à ce que l’on prétend, s’introduisit dans “une salle secrète au-dessous du sol” et y trouva une bibliothèque d’ouvrages regorgeant de connaissances secrètes.

Les croquis furent tirés de l’information détenue par les archivistes de l’Ecole des Mystères avant le début du désensablement en 1925. Ils révélèrent des ouvertures secrètes menant à des salles de réception oubliées depuis fort longtemps, de petits temples et autres enceintes. (Ces plans sont inclus dans la section “Le Plan Principal” à la fin du livre.)

En 1935, la connaissance des Ecoles des Mystères fut renforcée par une série de découvertes remarquables qui fournirent la preuve de souterrains et de salles supplémentaires s’entrelaçant dans l’espace sous-pyramidal. Le complexe de Gizeh présentait les éléments majeurs d’une construction intentionnelle, d’une structure unitaire avec le Sphinx, la Grande Pyramide et le Temple des hommes du Soleil reliés directement les uns aux autres, en surface et en sous-sol. Ces quelques dernières années un séismographe sophistiqué et un équipement radar pénétrant le sol (GPR) établirent l’exactitude de ces plans.

L’Égypte utilise aussi avec succès des satellites de pointe afin de repérer les cités enfouies sous la surface du sol à Gizeh et ailleurs. Le nouveau système de repérage fut lancé début 1998 et permit de déterminer avec précision l’emplacement de 27 sites non encore fouillés sur 5 secteurs. Neuf de ces sites sont situés sur la rive Est de Louxor, les autres à Gizeh, Abou Rawash, Sakkarah, et Dashour.

Les clichés du secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible constituée d’un entrelacs de tunnels et de salles en réseau, se recoupant et s’entortillant réciproquement comme un treillis s’étendant à travers tout le plateau.

Avec cet important travail d’étude depuis l’espace, les égyptologues sont capables de déterminer l’emplacement d’un site majeur, son entrée probable et la taille des salles avant de commencer les fouilles.

L’attention est attirée sur trois lieux secrets : un endroit dans le désert à quelques centaines de mètres en direction de l’ouest/sud-ouest de l’emplacement originel de la Pyramide Noire, autour de laquelle on construit actuellement un ensemble d’enceintes de béton, haute de sept mètres et couvrant huit kilomètres carrés ; l’ancienne grande route qui reliait le temple de Louxor à Carnac; et le “Chemin d’Horus” à travers le nord Sinaï.

De gros titres d’actualités… Chez les mystiques ou les membres des écoles de mystères Egyptiens, la tradition enseignait que la Grande Pyramide était importante à plusieurs titres. En dépit du fait que l’on n’y pénétra pas avant l’an 820, les écoles secrètes de l’Egypte pré-chrétienne maintenaient qu’elles en connaissaient bien le tracé intérieur.

Elles n’avaient de cesse de prétendre que ce n’était en aucun cas un tombeau ou une chambre funéraire, à l’exception d’une pièce pour l’inhumation symbolique faisant partie du rituel initiatique. Selon les traditions mystiques, on pénétrait progressivement à l’intérieur à des niveaux variés grâce à des passages souterrains.

On dit qu’il y avait différentes pièces à la fin de chaque phase de l’avancée, avec le niveau d’initiation le plus élevé représenté par ce que nous appelons maintenant la Chambre du Roi.

Peu à peu, les découvertes archéologiques vérifièrent les traditions des Écoles des Mystères, et il fut établi en 1935 qu’il existait une connexion souterraine entre le Sphinx et la Grande Pyramide, et entre le Sphinx et l’ancien temple situé sur sa face sud (aujourd’hui nommé le Temple du Sphinx).

En 1935, au moment de l’aboutissement de très importants travaux de déblaiement de sable et de coquillages dirigés par Emile Baraize, qui durèrent onze ans, des histoires remarquables commencèrent à naître au sujet des découvertes réalisées.

Un article de presse, écrit et publié alors par Hamilton M. Wright, traita d’une découverte extraordinaire sous les sables de Gizeh, que l’on refuse aujourd’hui d’admettre. L’article était accompagné de photographies d’origine venant du Dr Selim Hassan, le directeur de l’équipe de recherches scientifiques de l’Université du Caire qui fit la découverte.

Il déclarait : … Nous avons découvert un passage souterrain utilisé il y a 5.000 ans par les anciens Egyptiens. Il passe en-dessous de la chaussée menant entre la deuxième Pyramide et le Sphinx. Il permet de traverser la chaussée qui mène de la Pyramide de Chéops à celle de Khephren.

A partir de ce souterrain, nous avons déterré une série de puits donnant accès, 125 pieds en contrebas, et de petites pièces et salles latérales. A peu près au même moment, les médias internationaux publiaient davantage de détails concernant la découverte.

Le complexe de connexions souterraines fut construit à l’origine entre la Grande Pyramide et le Temple des hommes-Solaires, car la Pyramide de Khephren fut une structure plus tardive et superficielle. Le souterrain et ses salles adjacentes furent excavés dans le substratum rocheux ; une prouesse véritablement extraordinaire, si l’on réalise qu’il fut construit il y a des milliers d’années…

Il y a davantage à ajouter à l’histoire des salles souterraines de Gizeh, car les bulletins de presse décrivirent la découverte d’un passage souterrain entre le Temple des hommes-du-Soleil sur le plateau et le Temple du Sphinx dans la vallée.

Le passage avait été dégagé quelques années avant l’autorisation de publier cet article particulier. Les découvertes conduisirent le Dr Selim Hassan et d’autres à croire et à affirmer publiquement que, bien que l’âge du Sphinx ait fait partie des énigmes du passé, il avait pu appartenir au grand projet architectural qui fut organisé et exécuté à dessein en même temps que l’érection de la Grande Pyramide.

Des archéologues firent au même moment une autre découverte majeure. A peu près à mi-chemin entre le Sphinx et la Pyramide de Khephren on découvrit quatre énormes puits verticaux, chacun d’environ 3 m2 conduisant tout droit au fond du calcaire massif.

Ces puits portent le nom de “Tombeau de Campbell”, sur les cartes maçonniques et rosicruciennes, et “ce complexe”, dit le Dr Selim Hassan, “se terminait par une cour close, au centre de laquelle une autre cheminée descendait vers une salle flanquée de sept chambres.” Certaines d’entre elles contenaient d’immenses sarcophages de basalte et granit, scellés, de 6 mètres de haut !!!

La découverte avançait et, dans l’une des sept chambre, une troisième cheminée verticale menait profondément à une chambre beaucoup plus basse. Au moment de cette révélation, elle était inondée, l’eau recouvrant en partie un unique sarcophage blanc.

Elle fut appelée “Tombeau d’Osiris” et présentée par un montage documentaire télévisé de Mars 1999 comme étant “ouverte pour la première fois”. Explorant ce site en 1935, le Dr Selim Hassan déclara : Nous espérons trouver quelques monuments importants après avoir évacué cette eau.

La profondeur totale de cette série de puits est de plus de 40 mètres soit plus de 125 pieds… Lors du déblaiement de la partie sud du souterrain, on a trouvé une très fine tête de statue, dont chaque détail rend le visage très expressif. Selon un autre article de l’époque, la statue était un admirable buste sculpté de la Reine Néfertiti, décrite comme “un bel exemple d’un style artistique rare apparu sous le règne d’Amenhotep.” Aujourd’hui personne ne sait où se trouve cette statue.

L’article décrit aussi d’autres salles et chambres souterraines, toutes reliées par des passages secrets très décorés. Le Dr Selim Hassan révéla non seulement avoir vu des cours intérieures ou extérieures, mais aussi une pièce, qu’il baptisa “Chapelle de l’Offrande”, creusée dans un énorme affleurement rocheux entre le Tombeau de Campbell et la Grande Pyramide. Au centre de la chapelle, trois piliers verticaux décorés forment un triangle.

Ces piliers sont des points d’une haute importance dans cette étude car la Bible signale leur existence. On peut en conclure qu’Ezra, l’auteur originel de la Torah (397 av. JC), connaissait le tracé souterrain des passages et des salles de Gizeh.

Ce modèle souterrain inspira sans-doute le schéma triangulaire autour de l’autel central des loges maçonniques. Dans Antiquité des Juifs, Josèphe, au premier siècle, écrivit qu’Enoch, figure de l’Ancien Testament, construisit un temple souterrain constitué de neuf salles. Dans un profond caveau à l’intérieur d’une des salles avec trois colonnes verticales, il plaça un lingot d’or de forme triangulaire portant l’inscription du nom absolu de la Divinité (Dieu).

La description des salles d’Enoch était identique à la celle de la Chapelle de l’Offrande sous le sable, juste à l’est de la Grande Pyramide. Une antichambre ressemblant beaucoup à une chambre funéraire, mais “sans l’ombre d’un doute une pièce d’initiation et de réception” fut découverte plus haut sur le plateau, plus près de la Grande Pyramide, à l’extrémité supérieure d’un passage en pente, taillé profondément dans le roc sur la face nord-ouest de la Chambre de l’Offrande (entre la Chambre de l’Offrande et la Grande Pyramide).

Au centre de la salle se trouve un sarcophage de 12 pieds de long en calcaire blanc de Turah et une accumulation de récipients délicats en albâtre. Les murs sont admirablement sculptés avec des tableaux, des inscriptions et des emblèmes reprenant surtout la fleur de lotus. Les descriptions de récipients d’albâtre et de la fleur de lotus emblématique offrent un parallèle remarquable avec ce que trouva Sir William Petrie en 1904 dans l’atelier du temple au sommet du Mont Sinaï (Horeb).

On découvrit d’autres pièces souterraines, des salles, des temples et des couloirs, certains avec des colonnes de soutènement rondes et d’autres ornées de sculptures murales, portraits délicats de déesses magnifiquement vêtues. Le rapport du Dr Selim Hassan décrivait d’autres portraits magnifiquement gravés et de nombreuses frises aux splendides couleurs. On prit des photos et un auteur et chercheur qui les vit, le rosicrucien H. Spencer Lewis se souvint qu’il fut “profondément impressionné” par les images.

On ne sait pas où sont aujourd’hui ces rares spécimens d’art et ces vestiges, mais selon la rumeur, des collectionneurs privés les passèrents en fraude hors d’Egypte. Ces détails ne représentent qu’une petite partie du rapport complet du Dr Selim Hassan qui fut publié en 1944 par la Presse Gouvernementale, au Caire, sous le titre Fouilles à Gizeh (en 10 volumes).

Cependant, il ne représente qu’un fragment des édifices présents sous le terrain des Pyramides. Pendant la dernière année du désensablement, des ouvriers mirent à jour la plus surprenante découverte qui fut relatée par les médias internationaux. Les archéologues responsables de la découverte furent “déroutés” par ce qu’ils avaient sorti de terre : Une cité la plus merveilleusement organisée qu’ils eussent jamais vue.

Elle est remplie de temples, de scènes pastorales peintes au pastel, d’ateliers, d’étables et autres bâtiments y compris un palais. Pourvu de voies navigables hydrauliques souterraines, son parfait système de drainage rivalise avec d’autres équipements modernes.

L’intrigante question qui en découle est : où est aujourd’hui cette cité ? Son emplacement secret fut récemment révélé à un petit groupe de personnes qui obtint la permission d’explorer et de filmer la cité. Elle est située au coeur d’un immense réseau de cavernes naturelles du plateau de Gizeh s’étendant loin en direction de l’est sous le Caire.

Son accès principal s’effectue par des escaliers taillés dans la roche à l’intérieur du Sphinx descendant jusqu’à la caverne sous le lit du Nil. L’expédition fit descendre des groupes électrogènes et des radeaux pneumatiques et circula le long d’une rivière souterraine qui menait à un lac d’un kilomètre de large.

La cité, blottie sur les rives du lac, est en permanence éclairée par de larges sphères de cristal présentes aux murs et au plafond de la caverne. On découvrit une seconde entrée de la cité au niveau de l’escalier qui mène aux fondations de l’Eglise Copte du vieux Caire.

D’après les récits d’habitants “vivant sous Terre”, relatés par les livres de la Genèse, d’Asher et d’Enoch, il est possible que cette cité se soit anciennement nommée Gigal. On fit un court métrage de l’expédition, et un documentaire appelé Chambers of the Deep (Salles des Profondeurs) qui fut par la suite visionné de façon confidentielle.

Au départ, il était prévu de présenter les séquences au grand public, mais, pour certains motifs, cela fut différé… Un objet sphérique en cristal, à plusieurs facettes, de la taille d’une balle de base-ball, fut rapporté de la cité, et son caractère surnaturel fut prouvé lors d’une conférence récente en Australie.

Profondément à l’intérieur de l’objet solide, divers hiéroglyphes tournent lentement comme les pages d’un livre quand celui qui tient l’objet en mains en fait mentalement la demande. Cet objet remarquable révéla une forme inconnue de technologie et fut récemment envoyé à la NASA aux USA à des fins d’analyse…

Des recherches historiques du 20ème siècle relatent que de stupéfiantes découvertes eurent lieu à Gizeh et dans le Sinaï, dont on ne parle plus aujourd’hui, et des rumeurs égyptiennes abondent au sujet de la découverte d’une autre cité souterraine dans un rayon de 45 km autour de la Grande Pyramide.

En 1964, on découvrit plus de 30 énormes cités souterraines dans l’ancien royaume turc de Cappadoce. Une seule de ces cités contenait d’immenses cavernes, des salles et des couloirs que les archéologues estiment avoir appartenus à 2.000 propriétaires, offrant des conditions d’existence à 8.000 ou 10.000 personnes.

Leur existence même prouve de façon évidente que beaucoup de mondes souterrains attendent d’être découverts sous la croûte terrestre. Les fouilles de Gizeh ont révélé des passages souterrains, des temples, des sarcophages et une cité souterraine qui leur est reliée, et la preuve que les passages souterrains reliaient le Sphinx aux Pyramides est une autre étape vers la confirmation que le complexe a été soigneusement et spécifiquement conçu dans sa totalité.

Démentis officiels… Grâce aux fouilles du Dr Selim Hassan et aux techniques modernes de surveillance spatiale, les récits et traditions des anciennes écoles de Mystères d’Egypte qui prétendaient conserver la connaissance secrète du Plateau de Gizeh atteignirent tous le plus haut degré de vraisemblance.

Toutefois, l’aspect le plus énigmatique de la découverte des installations souterrainnes de Gizeh est le démenti répété de leur existence par les autorités égyptiennes et les institutions universitaires. Celui-ci fut si obstiné que les affirmations des Ecoles de Mystères furent mises en doute par le public et suspectées d’avoir été créées de toutes pièces aux fins de mystifier les touristes.

Le comportement formaliste est caractérisé dans une déclaration publique de l’Université de Harvard en 1972 : ‘’ Personne ne doit prêter la moindre attention aux revendications saugrenues concernant l’intérieur de la Grande Pyramide ou les corridors supposés ainsi que les temples, les salles sous le sable entourant la Pyramide, faites par ceux qui s’associent aux soi-disant cultes secrets ou sociétés occultes d’Egypte et d’Orient.

Ces choses existent seulement dans l’esprit de ceux qui cherchent à attirer les amateurs d’énigmes, et plus nous démentons l’existence de ces éléments, plus le public est conduit à supposer que nous cherchons à cacher volontairement ce qui constitue un des grands secrets de l’Egypte. Mieux vaut ignorer toutes ces prétentions plutôt que de simplement les démentir.

Toutes nos fouilles dans le secteur de la Pyramide ont échoué quant à la révélation de quelques passages ou salles souterraines, temples, grottes, ou autres choses du genre que ce soit, à l’exception du seul temple jouxtant le Sphinx.’’

Cette ligne stratégique aurait pu suffir à contenir l’opinion intellectuelle mais des déclarations officielles démentant formellement l’existence de temples jouxtant le Sphinx avait déjà été émises les années passées.

L’affirmation que chaque pouce de terrain autour du Sphinx et des pyramides avait été exploré en profondeur fut contredite quand le temple proche du Sphinx fut découvert dans le sable et finalement ouvert au public.

Sur des sujets échappant à la politique officielle, il devint évident qu’un haut niveau élevé de censure était appliqué de façon à protéger les religions et conceptions historiques tant occidentales qu’orientales. Lampes perpétuelles…

En dépit de découvertes sensationnelles, l’absolue vérité de l’histoire primitive Égyptienne demeure méconnue dans une large mesure, d’où un territoire non cartographié. Il est dès lors impossible de préciser le nombre de kilomètres de passages souterrains et de salles sous le Plateau de Gizeh qui furent éclairés, mais une chose est sûre : à moins que les anciens aient eu la faculté de voir dans l’obscurité, ces vastes espaces le furent forcément.

La même question s’applique à l’intérieur de la Grande Pyramide, et les égyptologues s’accordent sur le fait que l’on n’utilisa pas de torches ardentes car les plafonds ne sont pas noircis. D’après ce que l’on sait aujourd’hui, il est possible d’estimer à au moins cinq kilomètres de passages sur 10 à 12 étages.

Le Livre des Morts et les Textes des Pyramides font tous deux des allusions frappantes aux “Constructeurs de Lumière”, et cette extraordinaire description peut s’appliquer à un corps de métier responsable de l’éclairage des zones souterraines de leurs complexes. Jamblique rend compte d’un fascinant récit tiré d’un très ancien papyrus égyptien issu d’une mosquée du Caire.

Il s’agit d’un extrait, par un auteur inconnu du 1er siècle de notre ère, comptant l’exploration d’un groupe de personnes qui parvint à l’entrée d’une des salles souterraines autour de Gizeh. Ils décrivirent leur expérience :

‘’ Nous arrivâmes à une salle. Quand nous entrâmes, elle s’éclaira de manière automatique grâce à la lumière d’un tube de la hauteur d’une main d’homme étendue (environ 15 cm), situé à la verticale dans un angle. Comme nous approchions du tube, il brillait davantage… les esclaves furent effrayés et s’enfuirent en courant dans la direction d’où nous étions venus ! Quand nous le touchâmes, il s’éteignit. Nous fîmes notre possible pour que le tube brilla de nouveau, mais il ne donnait plus de lumière.

Dans quelques salles les tubes lumineux fonctionnaient, dans d’autres, non. Nous brisâmes l’un d’entre eux qui laissa s’écouler des perles d’un liquide argenté qui roulaient rapidement sur le sol jusqu’à disparaître dans les fentes (du mercure ?).

Au fil du temps, les tubes lumineux commençèrent progressivement à s’éteindre et les prêtres les enlevèrent pour les entreposer dans un caveau souterrain spécialement conçu à cet effet au sud-est du plateau.

Ils attribuaient la création de ces tubes lumineux à leur Imhotep bien-aimé, pensant qu’il reviendrait un jour les rallumer.’’ Une pratique courante des Egyptiens de l’antiquité consistait à sceller des lampes allumées dans les sépultures de leurs défunts comme offrandes à leur divinité ou pour accompagner les décédés sur la voie les menant à “l’autre rive”.

Parmi les tombes proches de Memphis (ainsi que dans les temples de l’Inde brahmanique) , on découvrit des lampes en fonctionnement dans des salles ou des récipients hermétiquement scellés, que la soudaine exposition à l’air libre éteignit ou provoqua l’évaporation du combustible.

Plus tard les Grecs et les Romains maintenirent cette tradition et même la consacrèrent; non seulement avec de réelles lampes, mais aussi par des reproductions miniaturisées de terre cuite, ensevelies avec les morts.

Quelques lampes furent protégées dans des récipients cylindriques, et il existe des exemples pour lesquels l’huile d’origine fut retrouvée parfaitement conservée après plus de 2.000 ans…

Il existe des preuves évidentes, confirmées par témoins oculaires, que les lampes éclairaient tant que les sépultures étaient scellées, d’autres rapportant qu’elles brûlaient encore quand les caveaux furent ouverts des centaines d’années plus tard.

La capacité à composer un combustible qui se renouvelait de lui-même aussi rapidement qu’il était consumé fut source d’un différend considérable parmi les auteurs médiévaux, et de nombreux documents existent, avec des ébauches d’arguments.

Après avoir dûment constaté l’évidence même, il semble bien que les anciens prêtres-chimistes égyptiens possédaient, dans l’éventail de leurs compétences, celle de manufacturer de leurs mains des lampes qui brûlaient indéfiniment ou du moins pendant des périodes considérables.

De nombreuses autorités ont écrit sur le thème des lampes perpétuelles, et W. Wynn Wescott estime le nombre d’auteurs ayant pris ce sujet en considération à plus de 150 et H. P. Blavatsky à 173. Bien que les différents auteurs parviennent à des conclusions variées, une majorité admet l’existence des lampes prodigieuses.

Seuls quelques uns soutenaient que les lampes brûlaient éternellement, mais beaucoup voulaient bien admettre qu’elles pouvaient rester allumées plusieurs siècles, sans renouvellement du combustible.

On pensait généralement que les mèches de ces lampes perpétuelles étaient faites d’asbeste tressée ou enroulée, que les premiers alchimistes appelaient ” laine de salamandre”. Il sembla que le combustible fût un produit de la recherche alchimique, peut-être fabriqué dans le temple du Mont Sinaï.

Plusieurs formules de préparation de ce combustible pour les lampes furent sauvegardées. Dans l’œuvre profonde d’H.P. Blavatsky, Isis Dévoilée, l’auteur recopie deux formules compliquées, empruntées aux auteurs primitifs, d’un combustible qui “une fois fabriqué et allumé, brûlera d’une flamme perpétuelle en tout lieu de votre choix”.

Certains croient que les prétendues lampes perpétuelles des temples étaient des dispositifs mécaniques truqués, et l’on colporta des explications bien peu sérieuses. Il existe en Egypte d’importants gisements souterrains d’asphalte et de pétrole et certains en concluent que les prêtres reliaient les mèches d’asbeste à un gisement pétrolifère par un conduit secret qui reliait une ou plusieurs lampes

. D’autres pensent que la croyance selon laquelle les lampes brûlaient indéfiniment dans les tombes s’explique par certains cas de vapeurs ressemblant à de la fumée qui se déversaient à l’entrée des caveaux nouvellement dégagés. Des groupes qui y sont entrés par la suite, ayant découvert des lampes répandues au sol, assurèrent qu’elles étaient la source des vapeurs.

Il y eut quelques histoires bien documentées au sujet de la découverte des lampes perpétuelles non seulement en Egypte mais aussi en d’autres parties du monde.

Montfaucon de Villars fit ce récit fascinant de l’ouverture du caveau de Christian Rosenkreuz. Quand les Frères entrèrent dans le tombeau de leur illustre fondateur 120 ans après son décès, ils trouvèrent une lampe perpétuelle éclairant brillamment dans une suspension au plafond. “Une statue en armure (un robot ?) détruisit la source de lumière quand on ouvrait la salle.”

Cela se rapproche étrangement des récits des historiens arabes qui affirmaient que des automates gardaient les galeries sous la Grande Pyramide. Un récit du 17ème siècle donne une autre version de ce robot.

Dans le centre de l’Angleterre, on découvrit un tombeau étrange contenant un automate qui bougeait quand un intrus marchait sur certaines dalles du sol du caveau. A cette époque, le différend Rosicrucien était à son apogée, aussi décida-t-on que le tombeau était celui d’un initié Rose-Croix.

Un campagnard découvrit le tombeau et trouva l’intérieur brillamment éclairé par une lampe suspendue au plafond. Comme il marchait vers la lumière, son poids fit glisser les pierres du sol et, instantanément, une silhouette assise dans une lourde armure commença à bouger.

Elle se dressa de façon mécanique et frappa la lampe avec une baguette de fer, la détruisant et empêchant ainsi la découverte de la substance secrète entretenant la flamme. On ignore combien de temps la lampe avait brûlé, mais le compte-rendu fait état d’un nombre d’années considérable…

Mais encore ; Un archéologue égyptien admet que les pyramides contiennent de la technologie extraterrestre… Le 28 novembre 2010, dans une déclaration choc, le chef du Département Archéologique de l’Université du Caire, le Dr Ala Shaheen a dit à un auditoire : qu’il pourrait y avoir une théorie comme quoi les extraterrestre ont aidé les anciens Égyptiens à construire la plus ancienne des pyramides d’Égypte, comme celle de Gizeh (ou bien ces anciens Égyptiens étaient des aliens ?).

Interrogé par M. Marek Novak, un délégué de la Pologne lui a posé la question est ce que la pyramide pourrait contenir de la technologie extraterrestre, ou même un OVNI ?

Le Dr Shaheen, rerstant vague a répondu : « Je ne peux pas confirmer ou nier, mais il y a quelque chose à l’intérieur de la pyramide qui n’est pas de ce monde ».

Les délégués à la conférence sur l’architecture égyptienne antique ont été choqués, mais le Dr Shaheen a refusé de commenter ou d’apporter des précisions sur l’ovni ou les extraterrestre.

Or, fait étrange, il y a plusieurs années, en 1961, les russes avaient lancés un projet, le projet Isis, afin de récupérer les connaissances cachées dans la grande pyramide.

Ces connaissances auraient été stocker dans une bibliothèque appelé la chambre des connaissances. Finalement les équipes russes auraient récupéré des documents ainsi que le corps d’un extraterrestre.

Beaucoup d’entre vous ont sans doute déjà visionné ce reportage, je ne me prononcerai pas sur la réalité ou pas de cette histoire, mais cela vient corroborer les dires du Dr Ala Shaheen, et aussi ce que beaucoup soupçonnent de longue date.

On sait aussi, mais beaucoup moins, qu’il existe également sous les pyramides un vaste complexe, et des vestiges gênants d’une science très avancée, comme le prouve le Nexus n° 33.

Extrait : Le Sphinx et les Pyramides ne sont que la partie visible d’un fabuleux iceberg… Dans son étude célèbre, Des Mystères, en particulier ceux d’Egypte, de Chaldée et d’Assyrie, Jamblique, un Syrien du quatrième siècle très représentatif de l’Ecole d’Alexandrie dans les matières mystique et philosophique, rapporta cette observation au sujet de l’entrée de la Grande Pyramide par le corps du Sphinx :

Cette entrée, aujourd’hui obturée par le sable et les décombres, peut être retrouvée entre les pattes avant du colosse accroupi. Elle était autrefois fermée par une grille de bronze dont seuls les Mages pouvaient actionner le mécanisme caché.

Elle était protégée par la vénération publique, et une sorte de terreur sacrée maintenait son inviolabilité mieux que ne l’aurait fait une protection armée. Dans le ventre du Sphinx étaient creusées des galeries menant à la partie souterraine de la Grande Pyramide. Ces galeries s’entrecroisaient le long du parcours vers la Pyramide avec un tel art que, quiconque s’y engageant sans guide retournait inévitablement à son point de départ.

Les antiques cylindres scellés des Sumériens racontent que la demeure secrète des Anunnakis était “un lieu souterrain… où l’on pénètre par un tunnel dont l’entrée est cachée par le sable ainsi que par ce qu’ils nommaient Huwana… dont les dents sont semblables à celles d’un dragon, et la face, à celle d’un lion”.

Ce texte ancien remarquable, dont il ne reste malheureusement que des fragments, ajoutait que “Il (Huwana) ne peut ni avancer, ni reculer”, mais qu’en grimpant sur lui par l’arrière, le passage vers “la demeure secrète des Anunnakis” n’était plus bloqué. Les notes sumériennes fournissent une description probable du Sphinx de Gizeh, et si cette grande créature était construite pour garder ou obturer d’anciens escaliers et des passages inférieurs menant aux parties souterraines au-dessous et alentour, alors, ce symbolisme était parfaitement opportun.

Ces quelques dernières années un séismographe sophistiqué et un équipement radar pénétrant le sol (GPR) établirent l’exactitude de ces plans. L’Égypte utilise aussi avec succès des satellites de pointe afin de repérer les cités enfouies sous la surface du sol à Gizeh et ailleurs. Le nouveau système de repérage fut lancé début 1998 et permit de déterminer avec précision l’emplacement de 27 sites non encore fouillés sur 5 secteurs.

Neuf de ces sites sont situés sur la rive Est de Louxor, les autres à Gizeh, Abou Rawash, Sakkarah, et Dashour. Les clichés du secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible constituée d’un entrelacs de tunnels et de salles en réseau, se recoupant et s’entortillant réciproquement comme un treillis s’étendant à travers tout le plateau.

Avec cet important travail d’étude depuis l’espace, les égyptologues sont capables de déterminer l’emplacement d’un site majeur, son entrée probable et la taille des salles avant de commencer les fouilles.

L’attention est attirée sur trois lieux secrets : un endroit dans le désert à quelques centaines de mètres en direction de l’ouest/sud-ouest de l’emplacement originel de la Pyramide Noire, autour de laquelle on construit actuellement un ensemble d’enceintes de béton, haute de sept mètres et couvrant huit kilomètres carrés ; l’ancienne grande route qui reliait le temple de Louxor à Carnac; et le “Chemin d’Horus” à travers le nord Sinaï.

Ceci n’est qu’un tout petit extrait de ce sujet, à voir ici, il est passionnant : Sous les pyramides vestiges gênant d’une science avancée… Il n’est nul doute, que dans les pyramides, et sous ces pyramides, existent bel et bien des secrets cachés par les autorités, nous vivons dans un monde de mensonges constant, la vérité de notre monde sur Terre, sous terre, et dans l’espace, est falsifié…

Mais jusqu’à quand ?

Un mur autour des pyramides …

En 2002, de manière presque inaperçue par le public mondial, un vaste mur de béton, surmonté d’une grille, a été érigé autour du terrain de Gizeh. Dès le début, Armin Risi a observé la construction. Voici son premier rapport de la situation. En mars 2002, j’ai entendu pour la première fois parler qu’un mur serait construit autour du plateau des pyramides et le terrain environnant.

Des amis de retour d’Egypte, avaient vu les fondations ainsi que les premières parties du mur. Quand le petit groupe privé de touristes voulait suivre la ligne des fondations qui conduit jusqu’au désert, il en a été empêché par des gardiens armés.

On leur a interdit de faire d’autres photos, ce qui nous a tous rendus encore plus curieux.

Qu’est-ce qui se passait ici ?

Un mur mystérieux, une cadence élevée de travail… Apparemment, tout d’abord ce sont les fondations qui ont été érigées environ ½ mètre dans le sol, entremêlées d’une suite d’une double rangée de tiges en acier (avec tous les 10 cm deux des tiges en face).

Pourquoi ce mur en béton doit-il être tellement renforcé ? Et pourquoi sur une longueur de plusieurs kilomètres ? Et pourquoi les premières parties du mur, ont-elles été érigées à des angles très éloignés du plateau ou ni des touristes ni même les gens du pays se rendent ?

Est-ce que l’on voulait cacher le plus longtemps possible ce que l’on recherche par ici ?

La visite suivante en juillet 2002 montrait que le mur grandissait à une cadence alarmante.

Ici, on travaillait 24 heures par jour ! Et au sommet du mur d’une hauteur d’environ 4 mètres, se dressaient des tiges en fer de 3 mètres. Lors des visites en décembre 2002 et février 2003, on pouvait constater ce que cette construction signifiait : entre-temps le mur avait atteint le plateau des pyramides et sur les tiges en fer des grilles avaient été fixées.

En avril 2002 j’avais informé le chercheur bien connu, le professeur Jim Hurtak, de cette construction. A cette époque, il n’en avait pas encore entendu parler, mais il envoya un collaborateur qui confirma la chose et ramena de nombreuses photos.

Sur son site web, le professeur Hurtak publia l’estimation que le terrain emmuré aurait une superficie d’environ 8 km2. De plus, il relata que « l’installation du mur est tellement gigantesque que dans ce but quelques bâtiments et logements de village ont certainement dû être démolis et enlevés.

De ce fait, il faut supposer que ce n’est pas seulement l’intérêt des touristes qui est en jeu. Ce que nous avons ici est un plan plus grand, bien réfléchi qui inclut également les sites environnants et doit sécuriser probablement des tombes souterraines, tunnels et couloirs…etc

Le financement de ce mur viendrait des USA, il est question, entre autre, de “Stanford University“ Quelles sont les motivations ? On sait que pendant les dernières années, de nombreuses fouilles ont eu lieu sur le plateau de Gizeh. Ainsi, le sol a été « radiographié » par sonde acoustique et les pyramides étaient plusieurs fois fermées quelques mois.

En février 2003, les trois pyramides étaient fermées aux touristes. Pour des travaux de rénovation ! Serait-on en train de faire des recherches à l’intérieur ? Ou les rumeurs concernant des souterrains et espaces sous le plateau sont-elles fondées ? Des fouilles sont-elles programmées dont le public ne doit rien savoir ? Ce ne sont que des spéculations, mais en tout cas cela vaut la peine de garder sous surveillance cette région dans un proche avenir surtout par des chercheurs indépendants.

Armin Risi Il paraitrait, selon plusieurs témoins, que depuis la construction de ce mur, les excavations en sous-sol vont bon train sur le site fermé et isolé des curieux, des bruits de grosses machineries sont également entendu, mais nul ne sait de quoi il s’agit réellement ! Une zone ou personne n’avait accès jusqu’à présent, a été découverte également, les États-Unis exercent une surveillance accrue sur une structure interne de la pyramide

. La chose la plus étonnante est que dans cette salle découverte il y avait une signature thermique importante, de la chaleur … Et on mentionne la présence d’une «entité». Des forces spéciales ont été déployées aux alentours, et aux environ des 22, 23 avril cette entité inconnue est apparut, très grande, et étant vêtue d’or, portant une coiffe d’oiseaux. En consultant nos amis de la Geomatrix Gizeh, il semblerait que ce soit Thoth !

Thôt : Dans la mythologie égyptienne, Thot est le dieu lunaire. Représenté comme un ibis au plumage blanc et noir ou comme un babouin, Thot capte la lumière de la lune, dont il régit les cycles, à tel point qu’il fut surnommé « le seigneur du temps ». Inventeur de l’écriture et du langage, il est la « langue d’Atoum » et le dieu des scribes. Incarnation de l’intelligence et de la parole, il connaît les formules magiques auxquelles les dieux ne peuvent résister.

Selon la légende, celui qui était capable de déchiffrer les formules magiques du Livre de Thot pouvait espérer surpasser même les dieux. Le respect que Thot inspire lui vient de son savoir illimité. Toutes les sciences sont en sa possession : Il connaît tout et comprend tout. En tant que détenteur de la connaissance, il est chargé de la diffuser.

C’est pourquoi il a inventé l’écriture. Les anciens égyptiens pensaient que le savoir et la connaissance leur avaient été transmis par des livres et des écrits que Thot avait volontairement abandonnés dans des temples.

Il préside à l’audition des morts au tribunal d’Osiris, et c’est Anubis qui pèse et juge les âmes en les comparant au poids d’une plume. Lors de son combat avec Seth, Horus perdit son œil, mais le retrouva par la suite grâce à Thot.

Appelé « Oudjat », cet œil représente la victoire de l’ordre (légitime, Horus étant l’héritier du défunt Osiris) sur le chaos (Seth, qui perturbe l’ordre dynastique, et par conséquent l’ordre du monde). On ne peut également s’empêcher de re-penser aux écrits et aux dires d’ Edgar Cayce ! Edgar Cayce, né en 1877 et mort en 1945, son œuvre est considérable.

Elle se compose d’environ 14 256 lectures, c’est à dire, de consultations et d’analyses données au cours d’une sorte de sommeil très spécial, apparenté à une transe médiumnique. « Bientôt viendra le temps des grands changements ; et dans trois endroits différents, on exhumera les archives atlantes.

Le Temple de l’Atlantide surgira à nouveau. C’est alors qu’on mettra à jour le temple, ou plutôt la salle des archives en Egypte, ainsi que les archives qui avaient été cachées au coeur du pays atlante : elles pourront y être retrouvées (…) Ces archives forment un tout » A propos de la découverte de cette salle des Archives en Egypte à Gizeh, Cayce dit encore : « En ce qui concerne les archives (géo)physiques, il sera nécessaire d’attendre que s’accomplisse le temps de la désintégration de ce qui a été fait par les volontés égoïstes du monde.

Car rappelez-vous que ces archives ont été réunies dans l’optique des changements mondiaux ». Un autre homme, Giordano Bruno, fut lui aussi l’un des premiers à oser dire que l’univers était infini et qu’il existait d’innombrables mondes habités … Giordano Bruno est le premier à postuler, contre la doctrine de l’Église de l’époque, résultat : Il fut brulé par l’église !! À la lecture de sa condamnation au bûcher, Bruno commente : « Vous éprouvez sans doute plus de crainte à rendre cette sentence que moi à la recevoir. ».

Le 17 février 1600, il est mis nu, la langue entravée par un mors de bois l’empêchant de parler et de crier, sur le Campo Dei Fiori et supplicié sur le bûcher devant la foule des pèlerins venus pour le Jubilé.

Tout semble lié au final, et tous les mystères et secrets qui nous entourent, aussi bien sur terre que sous terre, et même dans l’espace, seraient tous reliés par un fil mystérieux…

Il n’est nul doute, que dans les pyramides, et sous ces pyramides, existent bel et bien des secrets cachés par les autorités et protégés par des mercenaires à la solde de forces plus qu’obscures.

Nous vivons dans un monde de mensonges constant, la vérité de notre monde, sur Terre, sous terre, et dans l’espace, est falsifiée et mensongère…

Mais jusqu’à quand ? A vous de juger comme toujours…

tribu

Publié à 10:55 par fandeloup Tags : femme belle amour monde vie mort femmes enfant pensée bébé
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Il existe une tribu Africaine où l'âge ne se compte pas à partir du jour de l'accouchement ou même du jour de la conception. Dans cette tribu, la date de naissance correspond au jour où l'enfant à naître n'est encore qu'une pensée dans l'esprit de sa maman.

Lorsqu'une femme décide d'avoir un bébé, elle se retire de la tribu et va s'asseoir seule sous un arbre. Elle écoute alors le silence jusqu'à ce qu'elle entende une chanson : la chanson que lui transmet son futur enfant désirant venir au monde.

Une fois fait, elle va retrouver le futur père et lui enseigne à son tour la chanson en question. Lorsqu'ils font l'amour pour physiquement concevoir leur bébé, ils murmurent ce chant comme pour mieux inviter le nouveau petit être.

Une fois enceinte, la future maman enseigne la fameuse chanson à ses parents, frères, soeurs, belle-famille ainsi qu'aux vieilles femmes du village.

Au moment de l'accouchement, le nouveau-né est ainsi accueilli en chanson par une grande partie de la tribu. Plus tard, lorsqu'il tombera, se fera mal ou sera simplement triste, chacun pourra le réconforter en lui chantant sa chanson, même si ses parents sont éloignés.

Ce sera aussi une belle façon de célébrer ses grands accomplissements, comme la puberté, l'entrée à l'âge adulte ou son mariage : le village entier chantera à sa gloire. S'il se conduit mal au cours de sa vie, en commettant un crime ou un acte social aberrant, l'individu est appelé au centre du village. L'ensemble de la communauté l'encercle et lui chante sa chanson.

La tribu considère en effet que la punition et les châtiments ne servent à rien. Ils résolvent leurs problèmes en démontrant leur amour et en donnant de la reconnaissance à leur congénère, en lui chantant SA chanson.

Ainsi vivent ces gens jusqu'à leur dernier souffle, de sorte que chaque individu sur son lit de mort reçoit la visite du village qui lui rend un ultime hommage. Le village lui dit alors adieu en chanson, avec SA chanson, reprise une toute dernière fois avant qu'il ne ferme les yeux à jamais.