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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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fond ecran animaux de la mer eau douces

baleines

Publié à 11:02 par fandeloup Tags : mort vie moi monde chez mer cadre animaux animal enfant livre sur rouge
baleines

Comme nous, les baleines pleurent la mort de leurs proches

Futées et bien souvent sociables, les baleines tissent des liens étroits entre elles. Il ne fait désormais plus aucun doute sur le fait que ces liens vont au-delà de la mort.

Selon une nouvelle étude, plus de six espèces du mammifère marin ont été aperçues agrippées au corps inerte de l'un de leurs congénères. La cause la plus probable du refus des animaux à se séparer des cadavres ?

Le chagrin. « Ils sont en deuil », explique Melissa Reggente, co-auteure de l'étude et biologiste à l'Université de Milano-Bicocca en Italie.

« Ils souffrent et sont anxieux. Ils ont conscience que quelque chose ne tourne pas rond. »

Les scientifiques ont découvert un nombre croissant d'espèces, des girafes aux chimpanzés, dont le comportement indique qu'elles sont frappées par la tristesse. Les éléphants, par exemple, font des allers-retours auprès du corps d'un congénère décédé. Ces découvertes alimentent le débat d'expert : les animaux ressentent-ils des émotions et, si tel est le cas, le traitement que l'être humain leur réserve ne devrait-il pas évoluer ?

Selon Barbara King, professeur émérite d'anthropologie à l'Université William & Mary de Williamsburg en Virginie et auteure du livre How Animals Grieve, la douleur des animaux peut être définie comme une détresse émotionnelle associée à une perturbation du comportement habituel.

VEILLE PERPÉTUELLE

Dans le cadre de cette étude, Melissa Reggente et ses collègues ont réuni des rapports (pour la plupart inédits) décrivant le comportement affligé chez sept espèces de baleines, allant du grand cachalot au relativement petit dauphin à long bec. D'après l'étude, publiée récemment dans le Journal of Mammalogy, les sept espèces ont toutes été vues en train de tenir compagnie à leurs défunts dans les océans du monde entier.

« Nous avons découvert que ce comportement est très fréquent et très répandu à travers le monde », déclare la biologiste. Par exemple, des scientifiques à bord d'un bateau en mer Rouge ont pu observer un grand dauphin de l'océan Indien pousser dans l'eau la dépouille en décomposition d'un dauphin plus petit. Lorsque les chercheurs ont capturé l'animal inerte au lasso et l'ont tiré jusqu'au rivage pour l'enterrer, le dauphin adulte a continué de nager auprès du corps, l'effleurant de temps à d'autre, jusqu'à ce que les eaux ne soient plus assez profondes. Longtemps après l'enlèvement de la dépouille, l'adulte est resté à proximité des côtes.

« Nous ne connaissons pas exactement le lien qui unissait les deux dauphins, mais il est probable qu'il s'agisse d'une mère et de son enfant, ou de parents proches », affirme Melissa Reggente. Ce qui est certain, c'est que ce type de comportement a d'énormes conséquences. Une baleine qui veille sur son acolyte sans vie est une baleine qui ne mange pas et ne consolide pas ses alliances avec ses congénères.

LE DEUIL DES ÊTRES AIMÉS

Les scientifiques disposent parfois d'indices sur les liens entre l'animal endeuillé et le mort. Près de l'île de San Juan, dans l'État de Washington, une femelle orque du nom de L72 a été vue en train de porter dans sa bouche un nouveau-né sans vie.

L72 présentait des signes indiquant qu'elle avait récemment mis bas et les chercheurs qui la surveillaient savaient qu'assez de temps s'était écoulé depuis son dernier petit pour qu'elle soit en mesure d'en avoir un nouveau. « Elle s'efforçait de garder son petit à la surface en permanence et le maintenait en équilibre sur sa tête », explique le co-auteur de l'étude Robin Baird, du Cascadia Research Collective à Olympia, dans l'État de Washington, qui a assisté aux efforts de la mère. Il affirme qu'une mère orque et sa progéniture peuvent passer toute leur vie ensemble.

Selon lui, lorsque l'un des deux meurt « les animaux traversent une période où ils ressentent le même type d'émotions que vous et moi ressentons lors de la perte d'un être cher ». L'étude a également dévoilé des cas de baleines transportant leurs petits inertes dans leur bouche, les poussant à travers les eaux et les effleurant de leurs nageoires. Dans l'un des cas, des globicéphales du Pacifique ont formé un cercle protecteur autour d'un adulte et de son petit décédé au nord de l'océan Atlantique.

Dans la mer Rouge , un dauphin à long bec a poussé le corps d'un jeune animal vers un bateau. Lorsque les occupants du navire ont tiré la carcasse à bord, le groupe tout entier de dauphins situé à proximité a encerclé le bateau et nagé à ses côtés. « Nous ignorons les raisons d'un tel acte », admet Melissa Reggente.

PROFOND CHAGRIN

L'anthropologue King confirme que de tels événements sont la preuve d'un deuil de la part des baleines. « Bien évidemment, il arrive que nous assistions parfois à de la curiosité, à un désir d'exploration ou à un comportement maternel qui ne peuvent tout simplement pas être "désactivés" », explique-t-elle par e-mail.

« Mais il est évident que nous pouvons également voir la tristesse des animaux dans l'énergie qu'ils dépensent à transporter ou garder hors de l'eau leurs petits sans vie, à toucher leurs corps de façon répétée, à nager en phalange autour de l'individu affecté. »

baleine

Publié à 15:24 par fandeloup Tags : mer rose
baleine

Un pêcheur a trouvé un étrange ballon géant qui flottait dans l’océan. Il a eu une grande surprise !

On dit que nous ne connaissons qu’une minuscule partie de ce que l’océan renferme dans ses profondeurs.

Un pêcheur australien, Mark Watkins, a été complètement stupéfait quand il a vu un étrange objet géant sortir de la mer . Mark pêche depuis plus de 20 ans, mais il n’avait jamais rien vu de semblable. Par conséquent, un peu inquiet, il s’est rapproché de l’objet pour voir ce que c’était.

L’ “objet” ressemblait à un énorme ballon blanc et rose d’environ 9 mètres de long. Quand le pêcheur s’est rapproché pour le regarder de plus près, il a senti l’odeur de pourriture qui se dégageait de la masse protubérante puis s’est rendu compte que c’était une carcasse de baleine.

Mark avait beau avoir une grande expérience, c’était la première fois qu’il voyait une chose de ce type. Cependant, pourquoi la baleine ressemblait-elle à un ballon ?

En fait, quand un de ces mammifères meurt, son corps flotte le ventre en l’air et la nourriture, les bactéries et les gaz qui lui restent dans l’estomac produisent cette horrible puanteur et cet énorme gonflement. Finalement, la baleine gonfle jusqu’à exploser.

Heureusement, quand l’explosion s’est produite, Mark n’était pas là ou, autrement, il aurait vécu une expérience plutôt désagréable.

baleines

Publié à 10:36 par fandeloup Tags : chiens chez mer animaux pensée sur
baleines

Énigme scientifique : ces baleines qui secourent d’autres animaux

Pourquoi les baleines à bosse vont­-elles jusqu’à affronter des orques pour sauver des animaux d’autres espèces ?

Défense préventive ou sentiment altruiste ?

 En mai 2012, des chercheurs assistent à une attaque d’orques contre une baleine grise et son baleineau. Séparé de sa mère, celui­-ci est rapidement tué. Sans attendre, une dizaine d’autres baleines – à bosse, celles-­ci – surgissent et font face aux orques. Pendant plus de six heures, ces géantes des mers, qui peuvent peser 25 t pour 13 à 14 m de long, tiennent à distance les prédateurs deux à trois fois moins gros en leur assénant des coups de nageoires. Comme s’il fallait absolument les empêcher de dévorer la dépouille du baleineau. Un comportement isolé ?

Pas du tout. 115 confrontations entre des baleines à bosse et des orques – ou épaulards – ont été observés entre 1951 et 2012, selon une étude publiée dans la revue Marine Mammal Science. Le plus souvent, les baleines à bosse s’interposent pour venir en aide à d’autres animaux – phoques, lions de mer et otaries notamment. Pourquoi prennent­-elles autant de risques dans des conflits qui ne les concernent pas directement ?

Les chercheurs se perdent en conjectures. Toute espèce animale est mue par un désir de survie. Il est donc possible que les baleines à bosse adoptent une stratégie de prévention pour dissuader les orques de s’attaquer à leurs propres petits. Bémol à cette théorie : les attaques d’orques ne représentent que 11 % des incidents recensés.

Autre hypothèse : les baleines à bosse qui se mesurent aux orques en auraient été elles-mêmes la proie auparavant. Les scientifiques ont recensé un certain nombre de cicatrices sur leurs corps qui témoignent de ces affrontements. Le souvenir de ces confrontations les conduirait donc à s’opposer à leurs anciens adversaires.

Reste la possibilité d’un comportement altruiste. « Les baleines à bosse sont capables d’une pensée complexe, de prendre des décisions, de résoudre des problèmes et de communiquer, explique Lori Marino, un biologiste américain spécialiste de l’intelligence des cétacés. Des attributs qui témoignent d’un haut degré d’intelligence et qui peuvent mener des conduites altruistes. »

Les baleines à bosse ne seraient d’ailleurs pas les seules dans ce cas. Des comportements similaires ont été observés chez le dauphin et chez certains chiens.

requin

Publié à 11:46 par fandeloup Tags : écran monde chez mer nature cadre animaux animal bleu pouvoir sur patrimoine
requin

Mystérieuses apparitions de requins à deux têtes Les scientifiques ne cessent de découvrir des poissons mutants qui pourraient découler d'anomalies génétiques liées à la surpêche.

Les requins bleus à deux têtes sont plus fréquents car les femelles portent de nombreux œufs et présentent donc plus de possibilités d'anomalies.

PHOTOGRAPHIE DE CHRISTOPHER JOHNSTON

Bien que les requins à deux têtes semblent tout droit sortis du grand écran, ils existent bel et bien. Selon des scientifiques, ils seraient de plus en plus nombreux à apparaître à travers le monde. Il y a quelques années, des pêcheurs ont capturé au large de la Floride un requin bouledogue dont l'utérus contenait un fœtus à deux têtes.

En 2008, un autre pêcheur avait découvert dans l'océan Indien un embryon de requin bleu à deux têtes. En 2011, une étude a décrit des jumeaux siamois découverts dans le ventre de requins bleus capturés dans le Golfe de Californie et au nord-ouest du Mexique. Les requins bleus enregistrent le plus grand nombre d'embryons à double tête, en raison du nombre élevé de bébés qu'ils portent (jusqu'à 50 à la fois), explique le chef de l'étude Felipe Galván-Magaña de l'Institut national polytechnique du Mexique.

Selon une étude récente publiée dans Journal of Fish Biology, des chercheurs espagnols ont désormais identifié un embryon à deux têtes d'une roussette de l'espèce Galeus atlanticus. Alors qu'ils élevaient des requins en laboratoire dans le cadre de recherches sur la santé humaine, une équipe a remarqué l'embryon peu commun au sein d'un œuf de requin translucide.

L'embryon de roussette n'était pas la classique bête à deux têtes : il s'agissait du premier spécimen connu issu d'une espèce de requin ovipare (un requin qui pond des œufs). Les chercheurs ont donc ouvert l’œuf afin d'étudier le spécimen. Le chef de l'étude, Valentín Sans-Coma, estime qu'il est impossible de savoir si l'animal déformé aurait survécu ; puisqu'il est question des premiers siamois découverts dans des requins ovipares, il est probable qu'une telle progéniture ne vive pas suffisamment longtemps pour pouvoir être aperçue.

En 2008, ce fœtus de requin bleu à deux têtes a été découvert à l'intérieur de sa mère au large de l'Australie. Les requins à deux têtes demeurent encore rares, il est donc difficile de connaître exactement les raisons de ces mutations. Selon Valentín Sans-Coma et ses collègues, une maladie génétique serait la cause la plus plausible de la roussette à deux têtes, les embryons s'étant développés dans un laboratoire au milieu de près de 800 spécimens.

Les œufs n'ont, à leur connaissance, pas été exposés à quelques infections, produits chimiques ou radiations que ce soient. De multiples facteurs pourraient être à l'origine des malformations des requins, parmi lesquels des infections virales, des troubles métaboliques, la pollution ou un patrimoine génétique décroissant dû à la surpêche.

Ceux-ci entraînent la consanguinité et, par conséquent, des anomalies génétiques. Lors d'une autre étude récente, le spécialiste des sciences de la mer Nicolas Ehemann a analysé deux spécimens de ce type : un requin de l'espèce Mustelus higmani et un requin bleu, découverts par des pêcheurs au large de l'île de Margarita au Venezuela. Selon le bulletin de recherche, les animaux, qui n'auraient pas survécu, sont les premiers requins à deux têtes aperçus dans la mer des Caraïbes. La plupart des requins à deux têtes ne survivent pas à la naissance.

 Pour M. Ehemann, étudiant de master à l'Institut national polytechnique du Mexique, le coupable de cette présence de plus en plus répandue de fœtus à deux têtes dans la nature n'est autre que la surpêche, puisqu'elle provoque une diminution du patrimoine génétique. Selon Galván-Magaña, l'auteur de l'étude publiée en 2011, les requins à deux têtes ne se font pas plus fréquents, ce sont simplement les revues scientifiques qui diffusent ces récits qui se font plus nombreuses.

Il a lui aussi aperçu d'autres requins étranges, dont un requin « cyclope » capturé au large du Mexique en 2011 et doté d'un unique œil fonctionnel sur le devant de sa tête. L’œil du fœtus du requin obscur est la caractéristique principale d'une maladie congénitale appelée « cyclopie » qui touche plusieurs espèces animales, y compris les humains.

Nicolas Ehemann affirme que les déformations chez les requins constituent un sujet de recherche difficile, du fait de la rareté des spécimens. « J'aimerais étudier ces phénomènes, mais ce n'est pas comme s'il suffisait de jeter un filet pour capturer des requins à deux têtes », explique-t-il. « C'est très aléatoire. »

dugongs

Publié à 15:52 par fandeloup Tags : nature bonne mer animaux animal pouvoir sur bébé rouge
dugongs

Le baby-boom des dugongs, une excellente nouvelle pour la Grande Barrière de corail En Australie, ces herbivores lents font leur grand retour grâce à De John Pickrell Dans l'archipel du Vanuatu, un dugong se nourrit d'herbiers. L'espèce fait son retour dans son habitat situé en Australie.

PHOTOGRAPHIE DE MIKE PARRY, MINDEN PICTURES/NATIONAL GEOGRAPHIC

Rares sont les bonnes nouvelles lorsque l'on parle de la Grande Barrière de corail bien mal en point située en Australie, mais certains de ses animaux les plus grands semblent survivre aux difficultés. Selon des relevés aériens récemment publiés et effectués en novembre dernier, le nombre de dugongs (un animal de la famille du lamantin) a fait un bond dans la région située au sud du récif corallien.

Il semblerait même que le mammifère marin connaisse un baby-boom. D'après le rapport de l'Autorité du parc de la Grande Barrière de corail, sur les 5 500 animaux recensés, 10 % d'entre eux étaient des bébés. Le dernier relevé réalisé en 2011 n'avait recensé aucun bébé dugong, suite à un puissant cyclone ayant décimé les herbiers marins, péché mignon de ces herbivores.

Les prairies sous-marines ont depuis regagné du terrain le long du rivage, et avec elles, ces mammifères. Les femelles ont besoin d'une grande quantité de ces plantes nutritives pour pouvoir enfanter. Il s'agit là d'une « excellente nouvelle pour cette espèce, classée comme vulnérable sur la liste rouge de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature », se réjouit par e-mail Susan Sobtzick, co-auteure du rapport et écologiste spécialisée en milieux côtiers et estuariens.

 

LES TEMPÊTES, NÉFASTES AUX HERBIERS SOUS-MARINS

Le dugong qui fait partie, avec les trois espèces de lamantins, de l'ordre des siréniens. Il évolue dans les eaux peu profondes de l'Indo-Pacifique. La population la plus importante se trouve au nord de l'Australie, de la baie Shark à l'ouest à la baie de Moreton située à l'est. Si à l'origine, ces animaux étaient des proies faciles pour les chasseurs (en raison de la lenteur de leurs mouvements), le développement des côtes et le déclin des prairies sous-marines sont les menaces les plus importantes auxquelles ils doivent aujourd'hui faire face.

Ils courent également le risque d'être pris au piège dans des filets de pêche ou des filets anti-requins protégeant certaines plages de baignade australiennes. Neuf mois après les ravages du cyclone Yasi en 2011, « le nombre de dugongs était au plus bas depuis le début des relevés en 1986 », explique Susan Sobtzick. Les scientifiques avaient découvert moins de 600 animaux, quand 187 mammifères étaient morts ou agonisaient, échoués le long de la côte.

D'importantes inondations dans le sillage des sédiments du cyclone rejetés dans l'océan auraient vraisemblablement détruit les algues marines. Janet Lanyon, spécialiste des dugongs à l'université du Queensland qui n'a pas participé à la nouvelle étude, ajoute que « les herbiers sous-marins ont un apport énergétique et nutritif faible, les dugongs doivent donc en manger en grande quantité pour rester en forme ».

« Si les fortes précipitations et les inondations côtières se poursuivent, les dugongs sont voués à un sombre avenir », affirme-t-elle. « Si le changement climatique donne lieu à l'augmentation de catastrophes naturelles, les dugongs en paieront inévitablement le prix. » Selon les experts, on ne sait pas pour l'heure si le réchauffement rapide de la mer, qui a provoqué la décoloration et la disparition d'immenses étendues de coraux dans la Grande Barrière, a des conséquences néfastes sur les dugongs.

 

NE PAS SE RÉJOUIR TROP VITE

La légère hausse de bébés dugongs est une « très bonne raison de sortir le champagne », déclare Tooni Mahto, militante de la première heure auprès de l'organisation à but non lucratif Australian Marine Conservation Society basée à Brisbane. Elle appelle néanmoins à la prudence. « Le nombre de dugongs là-bas ne représente toujours qu'environ 3 à 5 % des chiffres historiques », explique Tooni Mahto qui n'a pas participé à ce nouveau rapport. D'après elle, les dugongs ont durement souffert du développement du sud du Queensland, notamment des filets anti-requins installés à proximité des plages, où les animaux se sont retrouvés pris au piège.

« Les dugongs ayant une vitesse de rétablissement très lente (au sens où leur portée ne comporte pas de nombreux petits), une partie de l'augmentation de la population au sud doit être due à une immigration venue du nord », ajoute-t-elle. « Par conséquent, je ne pense pas que ces résultats indiquent une explosion du nombre de dugongs dans la région sud, mais plutôt qu'il a augmenté par rapport aux relevés précédents qui étaient désastreux. »

Les auteurs du rapport confirment que le nombre de dugongs varie en fonction des migrations des animaux, qui partent à la recherche d'herbiers marins plus luxuriants. Que le retour de ces plantes aient pu renforcer leurs rangs n'en est pas moins encourageant.

servir

Publié à 08:52 par fandeloup Tags : coeur
servir

Ne laisse pas la barque de ton Âme dériver sur l'océan des haines et des tempêtes. Cherche la paix en ton ♥ et qu'elle te serve d'ancre

liberté

Publié à 09:48 par fandeloup
liberté

Une excellente nouvelle pour ce dauphin, détenu jusqu'en 2013 dans un parc marin, qui nous montre qu'une fois libérés, ces mammifères marins peuvent non seulement survivre, mais aussi se reproduire avec succès !

flabellina

Publié à 11:38 par fandeloup
flabellina

Les Flabellina polaris vivent en Arctique et sont hermaphrodites. Elles disposent d'organes sexuels des deux sexes, mais elles ne peuvent pas s’autoféconder.

meduse

Publié à 11:16 par fandeloup Tags : photos
meduse

Plusieurs photographes prennent de belles photos sur terre, certains photographes prennent de belles photos sous l’eau, et quelques photographes prennent de belles photos à moitié sur terre et sous l’eau.

poisson

Publié à 09:37 par fandeloup Tags : photos
poisson

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