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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Démantèlement de la plus grande fabrique de faux billets de France ... La plus grande fabrique de faux billets jamais découverte en France a été démantelée mardi et mercredi en Seine-et-Marne, habilement cachée dans un site industriel où plus de 9 millions d'euros en faux billets ont été confectionnés depuis 2007.
Dissimulée dans un site industriel d'un petit village discret entre Meaux et Chelles (nord du département), l'officine a été démantelée après l'interpellation de "plusieurs dizaines de personnes" ces derniers mois, dont le contrefacteur. Ils encourent jusqu'à trente ans de réclusion.
Malgré les indications du contrefacteur, la fabrique était si bien cachée qu'il a fallu "faire intervenir un géomètre" pour découvrir enfin, derrière une double cloison et sous une dalle de béton, l'installation elle-même. Les faux billets, "de bonne facture", étaient réalisées non en offset, comme le plus souvent, mais à partir d'une chaîne graphique numérique, selon ces sources. Ils étaient émis "à 90% sur le territoire français, le reste dans les zones frontalières des pays riverains" et "distribués" par des gens du voyage.
Au fil du temps, "plusieurs dizaines de personnes de cette communauté qui constituaient le réseau d'écoulement ont été interpellées" en région parisienne et dans des zones de moyennes agglomérations en province, mais "la difficulté de remonter les filières dans ces milieux-là" a fait que le contrefacteur lui-même n'a été interpellé que depuis "peu de temps", a-t-on ajouté. Il s'agit d'un homme "d'une cinquantaine d'années, déjà connu des services de police et condamné pour fausse monnaie", selon les sources policières.
"Plus personne ne regarde, même pas les commerçants"
Différents recoupements et croisements d'informations ont permis de "cerner l'adresse" de l'officine, en l'occurrence un "site industriel difficile d'accès", avec plusieurs bâtiments dont l'intérieur ne correspondait pas toujours à l'aspect extérieur, selon la police. Tout le matériel a pu être saisi. "Nous avons toute la chaîne graphique", souligne-t-on de sources policières, où l'on qualifie cette affaire d'"exceptionnelle" dans la mesure où, habituellement, "nous avons soit les billets, soit les faussaires, mais plus rarement le local et le matériel".
Les euros sont réputés infalsifiables dans la mesure où leurs signes de sécurité ne peuvent être reproduits: En examinant, touchant et inclinant un billet, leur authenticité peut être vérifiée. Mais, souligne-t-on de source policière, dans la vie courante, "plus personne ne regarde, même les commerçants, surtout pour des coupures de 10, 20, voire 50 euros".
Entre 30 et 40 officines sont démantelées chaque année en France, l'un des Etats de l'UE les plus touchés par le faux monnayage selon la police mais "c'est la première fois" qu'une installation d'une telle ampleur est découverte, relèvent ces sources.
En Europe, la principale contrefaçon de billets en euros est d'origine italienne mais la Bulgarie, la Lituanie et la Pologne en produisent également.
Dans toute l'UE, 310.000 faux billets ont été retirés de la circulation sur les six derniers mois de 2011, selon des chiffres de la Banque centrale européenne (BCE) qui souligne que les 20 et 50 euros "demeurent les coupures les plus contrefaites", soit 80% des saisies.
L'Office central pour la répression du faux monnayage (OCRFM, de la direction centrale de la police judiciaire) est chargé de l'affaire, en collaboration avec la Juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Paris.
Le chef de l'Etat s'est engagé jeudi lors de la cérémonie, à ce que le retrait des forces françaises d'Afghanistan, qui débutera "dans les prochaines semaines", se fasse "dans l'ordre et la sécurité", et confirmé le retrait de quelque 2.000 soldats français, sur un total de 3.500, d'ici la fin de l'année.
Les cercueils recouverts du drapeau tricolore des soldats tués dans un attentat-suicide sont installés sur des tréteaux au centre de la cour. Après la cérémonie religieuse, le chef de l'Etat a passé en revue des détachement des unités auxquelles appartenaient les soldats morts samedi.
Les quatre soldats tués sont les premiers morts en Afghanistan depuis le début du quinquennat de François Hollande. Après les cérémonies, le chef de l'Etat doit s'entretenir en privé avec leurs familles.
Dans son homélie, l'évêque aux armées, Mgr Luc Ravel, s'est adressé à "celles qui restent", mères, soeurs, compagnes, des soldats morts samedi.
"S'ils servent leur pays, c'est parce que vous êtes là et qu'ils vous aiment. L'armée ne vous les prend pas, pas plus que le hasard ou la folie délirante de ceux qui détournent le nom de Dieu, ils donnent leur vie", a-t-il déclaré.
De nombreuses personnalités politiques, dont les anciens présidents Nicolas Sarkozy et Valéry Giscard d'Estaing, assistent aux cérémonies, aux côtés des familles des soldats. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault, plusieurs anciens chefs du gouvernement, Alain Juppé, Edith Cresson, Lionel Jospin, François Fillon, de nombreux membres du gouvernement et de l'opposition, les présidents des deux assemblées, des chefs de partis, assistent aux cérémonies.
L'adjudant-chef Thierry Serrat, le maréchal des logis-chef Stéphane Prudhom, le maréchal des logis Pierre-Olivier Lumineau, et le brigadier Yoann Marcillan, ont été tués dans un attentat-suicide en Kapisa (est de l'Afghanistan). Cinq autres soldats français ont été blessés au cours de l'attentat, dont deux grièvement. Deux de leurs interprètes afghans ont également été tués.
Les militaires tués appartenaient au 40e régiment d'artillerie de Suippes (Marne) et au 1er Groupement interarmées des actions civilo-militaires de Lyon.
87 soldats français sont morts en Afghanistan depuis le début du déploiement de la force internationale dans le pays, fin 2001, dont neuf depuis début 2012.
2.000 des 3.500 militaires français actuellement dans le pays doivent être rapatriés d'ici la fin de l'année.
( Tweet de Trierweiler: sévérité à gauche, amorce d'un débat sur le rôle de première dame - qu'elle n'est pas légalement, c'est évident ! elle outrepasse ses droits, sans parti pris cela soit dit en passant : pour qui elle se prend ?!! De plus, elle n'est même pas l' Epouse du Président élu et choisi par les Français ) .....
La gauche, Jean-Marc Ayrault en tête, a été sévère mercredi contre Valérie Trierweiler et son tweet incendiaire, tandis que la droite, goguenarde, amorçait un débat sur la nécessité d'un statut encadrant le rôle de première dame de France.
Ayant déclenché une ardente polémique en soutenant, à contrepied du président, Olivier Falorni le rival dissident de Ségolène Royal aux législatives à La Rochelle, Mme Trierweiler doit apprendre à rester sur la réserve, a tancé le Premier ministre. "C'est un rôle discret qui doit être le sien, et qui n'est pas facile à trouver". "Chacun doit être à sa place", a-t-il dit à l'émission Questions d'info LCP/France Info/AFP/Le Monde.
D'autres voix au PS ont critiqué la stupéfiante initiative de la journaliste. "Une faute", a tranché Claude Bartolone, en avertissant: "Un tweet ça va, deux tweets bonjour les dégâts".
Très proche de M. Hollande, François Rebsamen a jugé que sa compagne était sortie de son rôle: "Il faut qu'elle apprenne la réserve qui doit être la sienne".
Seule la ministre Marisol Touraine a plaidé la défense: "Cette affaire prend des proportions que je trouve un peu déplacées. C'est un positionnement privé", "je ne crois pas qu'elle ait cherché à contredire le président".
"C'est l'écume des choses", a relativisé la première secrétaire Marine Aubry.
Ravie de l'aubaine après un premier tour des législatives remporté par la gauche, la droite a continué à pilonner. Ayant décoché une des premières réactions au tweet mardi midi ("Le vaudeville entre à l'Elysée"), l'UMP Eric Ciotti a lancé mercredi matin de nouvelle flèches: "Cette affaire ridiculise notre pays, ridiculise le chef de l'Etat".
Dans un registre plus atténué, l'ex-ministre du Budget Valérie Pécresse a dit ne pas avoir envie de se demander si "François Hollande peut gérer son couple" mais s'il "peut gérer la crise".
L'UMP Patrick Ollier suggère de tirer une "leçon de cette faute": qu'une loi organique crée un statut, aujourd'hui inexistant, pour la conjointe du chef de l'Etat. Il s'agirait, aux yeux de l'ex-ministre des Relations avec le Parlement, d'encadrer le domaine d'intervention de la première dame - terme jugé désuet par Mme Trierweiler. "Comment pourrions-nous tolérer une prise de position contradictoire de la compagne du président de la République sur un sujet international par exemple?".
Ex-porte-parole de Nicolas Sarkozy -auquel il a été beaucoup reproché de mélanger vies publique et privée-, Nathalie Kosciusko-Morizet juge aussi que "ce qui pose problème, c'est le statut". "On ne sait pas si Valérie Trierweiler s'exprime comme compagne du président de la République, s'exprime comme militante socialiste ou s'exprime comme journaliste engagée". Une clarification s'impose, selon elle.
Ce n'est pas l'avis du secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé. Il n'a pas d'avis sur cette question éventuellement politique, plus certainement people, mais "certainement pas un sujet institutionnel".
De même pour M. Ayrault, "il n'y a pas de statut, ce n'est pas le sujet central". Il a réaffirmé la ligne hollandaise: "Ne pas mélanger vie publique et vie privée". Ligne totalement contredite par le tweet de sa compagne, s'amuse la droite.
Les responsables socialistes se sont tous rejoints pour déplorer que le tweet ait occulté ce que M. Bartolone qualifie d'"attouchements" entre UMP et FN. La droite s'empare de cette affaire pour "cacher ses propres turpitudes", a ainsi dit M. Rebsamen. Pour le chef de gouvernement, "la droite surexploite cet épisode".
Le chauffeur des mariés fonce sur la grille du château de Versailles ... Un chauffeur transportant un couple de jeunes mariés, qui souhaitaient faire des photos samedi en fin de journée dans le parc du château de Versailles, a foncé avec sa voiture dans la grille du château, a-t-on appris lundi de sources concordantes.
Une altercation a éclaté entre l'agent de sécurité et le chauffeur des mariés, qui est remonté dans sa voiture et a percuté la grille, selon une source policière, confirmant une information du Parisien.
Une nouvelle rixe, avec échange de coups, a eu lieu avec un autre agent du Domaine.
Le chauffeur et les trois autres véhicules du cortège nuptial ont pris la fuite.
Les dégâts occasionnés au domaine du Château de Versailles ont été estimés à 20.000 euros par l'architecte des lieux, selon la même source, sans compter les dommages sur la Porsche de location.
Le jeune homme de 23 ans a été interpellé un peu plus tard à Saint-Cyr-L'Ecole (Yvelines). Lors de son interpellation, durant laquelle il s'est rebellé, un policier a été légèrement blessé et s'est vu reconnaître deux jours d'interruption totale de travail.
Remis en liberté dimanche, le chauffeur doit être prochainement convoqué devant le tribunal, selon une source judiciaire.
L'hospitalisation du prince Philip jette une ombre sur le jubilé d'Elizabeth ... L'hospitalisation du prince Philip, 90 ans, a jeté une ombre lundi sur les célébrations du jubilé de diamant d'Elizabeth II, qui se sont cependant poursuivies comme prévu avec un concert géant face au palais de Buckingham devant des dizaines de milliers de personnes.
Philip a été conduit, pour une infection de la vessie, à l'hôpital King Edward VII de Londres dans l'après-midi, au troisième et avant-dernier jour des célébrations des 60 ans de règne de son épouse.
Le palais de Buckingham s'est voulu rassurant sur son état de santé en affirmant qu'il s'agissait "d'une mesure de précaution", tout en reconnaissant qu'il devrait "rester en observation quelques jours".
L'époux de la reine, qui aura 91 ans dimanche, est, "de manière fort compréhensible, très déçu de rater le concert" organisé lundi soir, "ainsi que les cérémonies plus solennelles prévues" mardi.
Sur la scène dressée devant le palais de Buckingham et face à une marée humaine agitant des Union Jacks, Robbie Williams avait donné le ton de la soirée en ouvrant le concert avec "Let Me Entertain You" (Laissez-moi vous divertir) sous un soleil couchant.
Le groupe de ska Madness a encore fait monter l'ambiance d'un cran, en chantant depuis le toit de Buckingham "Our House" (Notre maison). Pendant ce temps, la façade du palais se transformait en écran géant, avec projection de coeurs et plus tard d'un immense drapeau britannique flottant.
"Un jubilé de diamant est un événement unique et spécial. (...) Nous célébrons la vie et le travail, pendant 60 ans, d'une personne spéciale", a déclaré sur scène le prince Charles, aux côtés de sa mère, la reine visiblement émue.
"La seule chose triste ce soir est que mon père n'a pas pu être là avec nous parce qu'il est malade. Si nous crions assez fort, il pourra peut-être nous entendre et aller mieux", a-t-il ajouté, avant que la foule - 250.000 personnes selon les organisateurs - ne lui réponde bruyamment "Philip, Philip".
Le duc d'Edimbourg, 90 ans, a été hospitalisé pour une infection de la vessie lundi après-midi à Londres. Le palais de Buckingham a affirmé qu'il s'agissait "d'une mesure de précaution", tout en reconnaissant qu'il devrait "rester en observation quelques jours".
L'époux de la reine est, "de manière fort compréhensible, très déçu de rater le concert", "ainsi que les cérémonies plus solennelles prévues" mardi, a ajouté le palais.
Philip "est presque aussi important pour la monarchie que la reine elle-même", a estimé Nigel Hainsworth qui campait pour être aux premières loges de la procession de la reine mardi. "Il a été un roc pour elle", a renchéri son père John.
Connu pour son infatigable énergie, au moins égale à la fréquence de ses gaffes, le duc d'Edimbourg avait déjà été hospitalisé en décembre pour une artère coronaire bouchée.
Dimanche, il était cependant apparu vaillant tout au long du défilé nautique sur la Tamise. Durant près de quatre heures, en dépit du froid et des averses, il était resté debout, stoïque à l'image de la reine, 86 ans. Les caméras l'ont même surpris à marquer la cadence au passage d'orchestres embarqués à bord de navires.
Peu avant le concert, Elton John a réagi, sur le ton de la boutade, à l'annonce de l'absence du duc: il "déteste la musique pop, donc c'est probablement une ruse de sa part !"
A la fin du concert, la reine a allumé une flamme de 6 mètres de haut, l'une des 4.200 lanternes qui devaient former une chaîne des îles Tonga à Malte, en passant par le Kenya où la jeune Elizabeth apprit en 1952 la mort de son père George VI.
La soirée s'est conclue par l'incontournable" God Save the Queen" entonné par la foule en délire et un somptueux feu d'artifices au-dessus du palais.
Plus tôt dans la journée, quelque 10.000 invités tirés au sort avaient joyeusement piétiné les pelouses de Buckingham pour un pique-nique "royal", avec au menu notamment le "poulet du couronnement" concocté par le chef trois fois étoilé Heston Blumenthal.
Mardi, est prévue une messe en la cathédrale Saint-Paul, suivie d'une procession en carrosse et d'une apparition de la reine au balcon du palais, pour clôturer quatre jours de festivités qui ont fait jubiler le royaume tout entier.
"C'est un moment d'histoire", a justifié la directrice de cabinet du président Sylvie Hubac, "un moment collectif important qui marquera l'histoire de la Vème République, comme les photos des autres présidents de la République l'ont fait".
Contrairement à Nicolas Sarkozy, qui avait choisi l'imposante bibliothèque, mais comme Jacques Chirac, François Hollande a préféré les jardins de l'Elysée comme décor à cet exercice imposé. Il y apparaît en plan américain, c'est-à-dire cadré à mi-cuisses, légèrement souriant à l'ombre d'un arbre, sur fond d'herbe verte et de palais présidentiel ensoleillé, recouvert dans le lointain des bannières de la France et de l'Union européenne.
Le président "n'a pas souhaité se faire photographier enfermé dans son palais", a expliqué Sylvie Hubac, et ne souhaitait pas non plus de "photo posée". "Il a le regard tourné vers la France, avec à la fois beaucoup d'attention, beaucoup d'humanité et beaucoup de vigilance", a-t-elle ajouté.
Successeur de Jacques-Henri Lartigue (Valéry Giscard d'Estaing), Gisèle Freund (François Mitterrand) et Philippe Warrin (Nicolas Sarkozy), le photographe et réalisateur Raymond Depardon a livré de bonne grâce les secrets techniques et le "making of" de son cliché, pris le 29 mai.
Une séance d'une demi-heure seulement et plus de 200 images prises "en mouvement" avec un projecteur d'appoint et trois appareils différents, un numérique, un Leica argentique et un antique Rolleiflex format 6x6 des années 1960 qui, selon son propriétaire, avait auparavant immortalisé le général de Gaulle, Marlon Brandon ou Edith Piaf.
Au final, le photographe a retenu la dernière des douze photos prises avec son Rolleiflex, "un tout petit peu retouchée" en arrière-plan. "Je lui ai montré ma favorite et il m'a dit +je suis d'accord avec vous+", a confié Raymond Depardon, "je voulais une photo qui traverse le temps".
A bientôt 70 ans, le photographe, qui connaît et apprécie le président, s'est dit "très content et très fier" d'avoir été choisi pour réaliser --à titre gracieux-- le portrait de François Hollande. "On s'est amusés à faire cette photo", a-t-il dit, "ça a été un beau moment".
Marie-Thérèse Bardet, la Bretonne doyenne de l'Europe, fête ses 114 ans !!!
La doyenne connue des Français et des Européens, Marie-Thérèse Bardet, une Bretonne née le 2 juin 1898 à Lorient, a fêté samedi ses 114 ans dans une maison de retraite de Pontchâteau en Loire-Atlantique, entourée de sa famille et du personnel.
La petite Marie-Thérèse Louise Jégat née à l'hospice civil de Lorient (Morbihan), car sa mère Marie-Louise Jégat était célibataire et la confia à l'assistance publique, est aujourd'hui à la tête d'une descendance de deux enfants, sept petits-enfants, quinze arrière-petits-enfants et six arrière arrière-petits-enfants.
"Cent sept ans la séparent du premier de ses arrière-arrière-petits-enfants, Corentin, 7 ans", relève son arrière-petit-fils venu pour l'occasion, Frédéric Bardet, 39 ans.
Dans la maison de retraite associative de la Châtaigneraie, où elle a élu domicile au début des années 90, tout le monde est aux petits soins.
Si Mme Bardet semble aujourd'hui ne plus pouvoir communiquer avec l'extérieur - elle entend mal et ne parle plus de manière intelligible depuis deux ans -, elle ne fait pas l'objet d'un traitement particulier.
"Elle descend comme les autres résidents à la salle à manger adaptée deux fois par jour, elle apprécie beaucoup les choses sucrées comme le chocolat, et elle sait encore nous faire savoir quand elle se sent bien - elle fait des bisous - ou quand elle est stressée ou mal à l'aise", explique Claudie Regardin, l'infirmière de l'établissement qui la suit depuis 21 ans.
"Je remercie son médecin (...) qui a respecté ses choix dans le suivi des traitements médicaux car Mme Bardet voulait rarement prendre des médicaments", souligne quant à elle la directrice de l'établissement, Laurence Delafond.
Plutôt que 114 bougies, qui auraient rendu périlleux le gâteau d'anniversaire, la vieille dame s'est vu offrir, au début de la fête, un bouquet de 114 roses multicolores avant que ne posent, fièrement, autour d'elle, son fils Léon Bardet, 90 ans, deux de ses petits-enfants, Hervé et Danièle Bardet, et Frédéric Bardet, un de ses arrière-petit-fils.
Une groupe folklorique de retraités costumés à la mode de la Belle Epoque a alors entonné les refrains qui ont dû rythmer la jeunesse de Mme Bardet.
Tandis qu'elle soufflait la bougie qui a été plantée à son intention sur une tartelette devant la magnifique pièce montée surmontée d'un 114 en chocolat, on entendait chanter: "Que reste-t-il de mes amours, que reste-t-il de ma jeunesse?".
"Mme Bardet a connu trois siècles", a expliqué la directrice, en soulignant qu'elle est doyenne de France, d'Europe et la sixième personne la plus âgée connue dans le monde.
Mais Mme Bardet n'entendait pas, la fatigue commençant à se faire sentir.
Toutefois, elle a relevé la tête et a semblé s'intéresser quand on lui a montré des photos, amenées par une de ses petites-filles, représentant des bébés, qui sont ses arrière-arrière-petits enfants.
"Une nouvelle histoire commence. Comme j'ai coutume de dire à mes équipes lorsque nous partons en réunion : allez, yallah!", a déclaré la journaliste à la fin de son JT de jeudi.
Vêtue d'une robe rouge vif, Laurence Ferrari, 45 ans, est apparue souriante et décontractée tout au long du journal.
"Je pars vers de nouvelles aventures. C'est avec beaucoup d'émotion que je prends congé de vous, chers téléspectateurs, qui m'avez accompagnée pendant ces quatre années au journal télévisé et je vous remercie de votre confiance qui m'honore et continuera à m'honorer toute ma vie", a encore dit la présentatrice.
Elle a également remercié les téléspectateurs pour les "innombrables messages d'amitié" envoyés et rendu hommage aux journalistes qui se sont mobilisés à ses "côtés avec beaucoup de talent, beaucoup d'énergie et une envie commune de porter haut les couleurs de l'information de cette grande chaîne, TF1. J'ai été fière de servir cette rédaction".
Dans la matinée, elle avait écrit sur son compte Twitter: "Voilà dernier JT ce soir #TF1. Très émue... Merci aux équipes de la rédac, aux téléspectateurs attentifs! Quel honneur de présenter ce JT!".
Laurence Ferrari, qui va désormais animer un talk-show sur la petite chaîne de la TNT Direct 8, bientôt propriété du groupe Canal+, sera temporairement remplacée, à partir de lundi et jusqu'à fin août, par Gilles Bouleau, 50 ans, son joker depuis juillet 2011.
Plusieurs candidats sont évoqués pour la remplacer à partir de la rentrée, dont Harry Roselmack, 39 ans, un moment joker de Laurence Ferrari et présentateur du magazine dominical "Sept à Huit". Il y a également Julien Arnaud, 38 ans, joker de Claire Chazal. TF1 pourrait aussi tenter de débaucher Laurent Delahousse, 42 ans, présentateur des JT de week-end France 2.
Le nom de Xavier de Moulins, 41 ans, présentateur du JT de M6 est également cité dans la presse.
SNCF : retour à un trafic ferroviaire normal après un lundi de Pentecôte noir. Le trafic ferroviaire était normal mardi matin sur l'ensemble de la France, après les grosses perturbations qu'ont connues lundi les TGV entre Paris et le Sud et le Sud-Ouest, a-t-on appris auprès de la SNCF.
Cet incident a perturbé le trafic dans les deux sens, entraînant plusieurs heures de retard pour les 525 voyageurs du TGV concerné, ainsi que les passagers de plusieurs autres trains du même axe, déroutés sur voie classique.
"Ce matin, le trafic a repris normalement partout", a précisé à l'AFP un porte-parole de la SNCF.
Un premier incident, causé par un suicide sur la voie vers 19H00 aux environs de la gare de Valence (Drôme), avait entraîné plusieurs heures de retard sur l'axe Paris-Marseille. Les passagers du train, endommagé par la collision, ont été transbordés dans un autre TGV et ont subi plus de trois heures de retard.
Plus d'une dizaine d'autres TGV ont accusé des retards de 45 minutes à une heure, selon la SNCF.
Au total, sur les deux axes, quelque 10.500 voyageurs sont arrivés dans la capitale après la fermeture du métro.
La préfecture de police de Paris avait plus tôt déclenché le "plan Pégase" (Plan contre l'engorgement des gares en situation exceptionnelle), activé la nuit lorsqu'un incident ferroviaire entraîne des retards importants, pour renforcer les transports en commun dans les gares.
"Une mobilisation exceptionnelle des taxis" a également permis de ramener chez eux les voyageurs, a précisé le porte-parole de la SNCF, soulignant que ces taxis étaient "payés par la SNCF".
La SNCF rembourse à 100% les voyageurs concernés par l'incident de caténaire, et même à 200% pour ceux qui étaient dans le train situé sous la caténaire, qui ont attendu le plus longtemps.
Par contre les voyageurs touchés par les retards sur l'axe Paris-Marseille ne seront pas remboursés, car la cause du retard (le suicide) est une cause extérieure à la SNCF, selon la même source. "Malgré de nombreux incidents tout au long de ce week-end, la ponctualité des TGV et des TER est restée entre 84% et 93% chaque jour", affirme la SNCF dans un communiqué.
Au cours de ces quatre derniers jours, "le réseau a dû faire face à un incident caténaire et à douze suicides (un vendredi, trois samedi, cinq dimanche et trois lundi)", précise la compagnie ferroviaire. Entre vendredi soir et mardi matin, 2,5 millions de personnes ont voyagé dans près de 2.400 TGV et 15.000 TER.
Italie : au moins trois morts dans le nouveau séisme près de Modène ... Au moins trois personnes sont mortes dans le nouveau séisme qui s'est produit ce mardi matin près de Modène, dans le nord-est de l'Italie, ont indiqué plusieurs médias italiens, dont le journal local Gazzetta di Modena.
Dans cette ville, plusieurs églises dont la cathédrale auraient été gravement endommagés. Dans toute la zone, le nouveau séisme a provoqué l'effondrement de bâtiments déjà à demi-écroulés depuis le tremblement de terre de magnitude 6 du 20 mai.
Selon l'Institut national de géophysique et vulcanologie, le nouveau séisme "de magnitude 5,8" s'est produit à 07H00 GMT, à une profondeur comprise entre 5 et 10 km.
La secousse a été ressentie dans tout le centre-nord de l'Italie, de Bolzano, près de la frontière avec l'Autriche, à Milan, comme a pu constater un journaliste de l'AFP, ainsi qu'en Toscane, où les bureaux publics ont été évacués par précaution.
Dans la grande ville de Bologne où le séisme a été nettement ressenti, la circulation des trains a été interrompue vers Vérone, Milan ainsi que vers Mantoue et Modène, ont annoncé les chemins de fer italiens.
Des évacuations ont été décidées jusque dans le Val d'Aoste, à la frontière avec la France et de très nombreuses personnes sont descendues dans les rues. Moment de panique aussi à Venise où une statue est tombée, effleurant une passante, près du Piazzale Roma, la place de la gare ferroviaire.
Les standards des pompiers et de la protection civile ont été submergés d'appel et les communications téléphoniques ont été très perturbées dans les minutes suivant la secousse.
Depuis une dizaine de jours, l'Italie a enregistré de nombreuses secousses ou répliques du séisme du 20 mai dont l'épicentre était proche de Ferrare. Un total de 417 secousses avaient été enregistrées jusqu'à lundi, dont trois d'une magnitude supérieure à 5, selon les médias.
En Emilie-Romagne (région de Modène et Ferrare), 7.000 personnes sont assistées par environ 1.400 secouristes dans 89 campements de fortune installés dans des écoles, des terrains de sport ou des hôtels, avec des arrivées continues de personnes angoissées par les nouvelles secousses.