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GRANDS PERSONNAGES

Sculpture en Hommage ... à Nelson Mandela !

Publié à 11:26 par yvonne92110 Tags : grands personnages nelson mandela sculpture hommage
Sculpture en Hommage  ...  à Nelson Mandela !
Une vision extraordinaire selon la position où l'on se trouve...une création artistique splendide.
 
 
 
 
 
 

Heureux Anniversaire Monsieur ... Nelson Mandela !

Publié à 15:57 par yvonne92110 Tags : grands personnages 95 ans nelson mandela birthday
Heureux Anniversaire Monsieur  ...  Nelson Mandela !
Figure mondiale de la lutte pour les droits de l'homme, Nelson Mandela fête son 95e anniversaire ce jeudi, à l'hôpital de Pretoria. 

Nelson Mandela  fête ce jeudi son 95e anniversaire dans son lit d'hôpital à Pretoria. Partout en Afrique du Sud, le père de la nation est célébré  : pour le "Mandela day", chaque 18 juillet, les Sud-africains sont invités à consacrer 67 minutes de leur temps à la communauté, en hommage aux 67 années de militantisme de Nelson Mandela.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                Nelson Mandela est hospitalisé à Pretoria pour une infection pulmonaire récidivante depuis le 8 juin. Son état jugé "critique" par les médecins, semble toutefois s'améliorer ce jeudi, alors que le père de la nation sud-africaine fête ses 95 ans.
 
Depuis 2009, le 18 juillet est devenu le "Mandela day": chaque citoyen sud-africain est invité à consacrer 67 minutes de son temps à ses concitoyens, en hommage aux 67 années que Nelson Mandela a consacré à la communauté. En 2010, l'ONU a même décrété la tenue du "Mandela day" chaque 18 juillet.

Fervent défenseur des droits de l'Homme, militant contre le racisme, le premier Président Noir d'Afrique du Sud est malade depuis de nombreuses années. La plupart de ses affections sont liées à ses 27 années d'emprisonnement, de 1963 à 1990. Après sa libération, il reçoit le prix Nobel de la Paix en 1993, puis accède à la présidence en 1994. 

Nelson Mandela ... symbole de lutte contre l'apartheid !

Publié à 10:41 par yvonne92110 Tags : grands personnages nelson mandela symbole apartheid
Nelson Mandela ... symbole de lutte contre l'apartheid !

L’ex-président Nelson Mandela incarne aux yeux du monde entier des valeurs de pardon et de réconciliation, pour avoir arraché l’Afrique du Sud au régime raciste de l’apartheid, et renoncé à toute vengeance contre la minorité blanche qui l’a emprisonné durant 27 longues années.

 Mandela à nouveau hospitalisé samedi à Pretoria :

« Le pardon libère l’âme, il fait disparaître la peur. C’est pourquoi le pardon est une arme si puissante » : prix Nobel de la paix 1993, Mandela avait résumé, en une phrase devenue mythique, la vision du monde et de l’humanité qui a fait de lui l’un des dirigeants les plus populaires du XXe siècle.

En prison, puis lors des négociations qui ont conduit à la chute du régime, et enfin comme président, il ne s’est jamais départi de cette fermeté sereine qui a fait sa réputation : intransigeant sur ses objectifs, il a aussi toujours traité les autres, y compris ses geôliers, avec respect et humanité.

Icône mondiale de la réconciliation :

Qualifié un jour « d’icône mondiale de la réconciliation » par Desmond Tutu, l’une des hautes figures de la lutte anti-apartheid, Mandela le pragmatique n’a jamais prôné ni religion ni idéologie. Juste un humanisme à l’africaine, profondément nourri de la culture de son peuple, les Xhosas.

Ni Lénine ni Gandhi, celui que ses compatriotes appellent affectueusement « Madiba », de son nom de clan, ne s’est jamais enfermé non plus dans une ascèse révolutionnaire. Jeune homme, il aimait le sport - il fut boxeur amateur -, les costumes bien taillés, et entretenait joyeusement une réputation de séducteur.

« Loin d’assumer un rôle divin, Mandela est au contraire pleinement et absolument humain : l’essence de l’être humain dans tout ce que ce mot devrait, pourrait signifier », a écrit sa compatriote Nadine Gordimer, Prix Nobel de littérature.

« Il a souffert et végété en prison pendant plus d’un tiers de sa vie, pour en sortir sans un mot de vengeance », noteNadine Gordimer : « Il a supporté tout cela, c’est évident, non seulement parce que la liberté de son peuple est son souffle vital, mais parce qu’il est l’un de ces rares êtres pour qui la famille humaine est sa propre famille. »

« Je n’ai jamais été un saint » :

Ses actes, magnifiés par de semblables hommages, ont fini par créer autour de Mandela une sorte de culte qu’il n’a jamais souhaité.

« L’un des problèmes qui m’inquiétaient profondément en prison concernait la fausse image que j’avais sans le vouloir projetée dans le monde », dit-il lui-même un jour à un journaliste : « On me considérait comme un saint. Je ne l’ai jamais été. »« Sauf si vous pensez », ajouta-t-il non sans malice, « qu’un saint est un pécheur qui essaie de s’améliorer ».

« Celui par qui les problèmes arrivent » :

Né le 18 juillet 1918 dans le petit village de Mvezo, dans le Transkei (sud-est) au sein du clan royal des Thembu, de l’ethnie xhosa, le futur leader de la rébellion noire est prénommé par son père Rolihlahla : « Celui par qui les problèmes arrivent. »C’est son institutrice, conformément à la pratique de l’époque, qui lui attribue arbitrairement le prénom de Nelson à son entrée à l’école primaire.

Rebelle précoce, il commence sa vie par deux ruptures : étudiant, il est exclu de l’université de Fort Hare (sud) après un conflit avec la direction. Peu après, il fuit sa famille, à 22 ans, pour échapper à un mariage arrangé.Il débarque, plein d’espoir, à Johannesburg la tumultueuse où il découvre la ségrégation raciale. Peu à peu se forgent une conscience politique et un goût pour le militantisme qui vont l’éloigner de sa première épouse, Evelyn, et le jeter dans les bras d’une pétillante infirmière de 21 ans : Winnie.

Avec Walter Sisulu, Oliver Tambo et d’autres jeunes loups, il prend rapidement les rênes de l’ANC, le Congrès national africain, pour porter la lutte contre le régime blanc, qui « invente » en 1948 le concept d’apartheid : le « développement séparé des races ».

Après le semi-échec de campagnes de mobilisation non violentes, inspirées des méthodes du Mahatma Gandhi, l’ANC est interdit en 1960. Mandela, arrêté à plusieurs reprises, passe à la clandestinité, et décide d’engager le mouvement sur la voie de la lutte armée.

Capturé, il est emprisonné en 1964 et bientôt envoyé au terrible bagne de Robben Island, au large du Cap. Pendant des années, sous un soleil de plomb, dans une poussière qui va endommager ses poumons à jamais, il casse des cailloux. Sans jamais s’avilir.

Au contraire, il cherche à pénétrer l’âme de ses ennemis. En apprenant leur langue, l’Afrikaans. En s’efforçant de comprendre et d’aimer leurs plus grands poètes.

« Un homme qui prive un autre homme de sa liberté est prisonnier de sa haine »

« Je savais parfaitement », note-t-il, « que l’oppresseur doit être libéré tout comme l’opprimé. Un homme qui prive un autre homme de sa liberté est prisonnier de sa haine, il est enfermé derrière les barreaux de ses préjugés[…] Quand j’ai franchi les portes de la prison, telle était ma mission : libérer à la fois l’opprimé et l’oppresseur ».

Vingt-sept ans plus tard, en 1990, le voilà libre. Ni brisé, ni amer. Et c’est en homme libre qu’il négocie avec le régime à bout de souffle l’organisation d’élections enfin universelles et démocratiques.

Triomphalement élu président en 1994, il prône la réconciliation entre les races. Le film Invictusretrace l’épisode, glorieux, où l’on voit « Madiba » utiliser l’équipe nationale de rugby, symbole de la puissance blanche afrikaner, pour souder noirs et blancs dans l’euphorie partagée d’une victoire en coupe du monde.

Mandela, dont la vie fut accaparée par la lutte politique, n’a jamais réussi à mener une vie familiale « normale ». Mais, charmeur et facilement charmé, il rechercha toujours la compagnie des femmes, comme en témoignent maintes idylles et trois mariages.Il a eu six enfants de ses deux premières unions, deux filles et deux garçons avec Evelyn, deux filles avec Winnie. Trois de ses filles sont encore vivantes, ainsi que dix-sept petits-enfants et douze arrière-petits-enfants.

Divorcé de Winnie, il s’est marié une troisième fois en 1998, le jour de ses 80 ans, avec Graça Machel, veuve de l’ancien président mozambicain Samora Machel, prononçant des mots touchants sur la grâce de tomber amoureux.

Symboliquement, la toute dernière apparition publique de « l’icône mondiale » n’a pas été réservée à ses compatriotes, mais à l’humanité tout entière : il avait salué la foule le soir de la finale de la Coupe du monde de football 2010 en Afrique du Sud, en direct devant plusieurs milliards de téléspectateurs.

Indiana Jones ... l' histoire véritable !

Publié à 16:18 par yvonne92110 Tags : grands personnages indiana jones l histoire véritable
Indiana Jones   ...   l' histoire véritable   !

La Véritable Histoire de ... « Indiana Jones » 

Série documentaire


 
 
Roy Chapman Andrews, naturaliste américain des années 1930, avait, comme Indiana Jones, une peur bleue des serpents et un succès certains auprès de la gent féminine.
© BBC Worldwide France

Indiana Jones, explorateur intrépide et charismatique, occupe une place à part dans la galerie des super-héros du cinéma américain. Mais est-il le fruit de l’imagination de scénaristes ou a-t-il été inspiré par des hommes ayant existé  ?  Révélations dans ce nouveau volet de la série :   La Véritable Histoire de (…), mêlant reconstitutions et points de vue d’experts.

« Indy  ?» a été conçu sur une plage de Hawaii en 1977. Le producteur américain George Lucas a alors une idée de film avec un héros archéologue qui doit sauver le monde, potentiellement aussi populaire, voire plus, que James Bond. Pour la réalisation, il pense à Steven Spielberg. Pour le rôle-titre, il engage Harrison Ford. Le premier volet de ce qui deviendra une saga, Les Aventuriers de l’Arche perdue, sort en France en 1981.
Lucas et Spielberg, les deux « parents », ont toujours affirmé que ce personnage était purement imaginaire mais, pour de nombreux historiens, la ressemblance avec des personnages ou des faits réels ne serait pas une coïncidence. Ainsi, certains traits de caractère d’Indiana Jones auraient été empruntés à d’autres aventuriers des années 1930 et 1940, notamment à Roy Chapman Andrews, paléontologue et naturaliste américain, et Otto Rahn, archéologue allemand.

Aventuriers hauts en couleur :

Roy Chapman Andrews, connu pour ses explorations de territoires inconnus, était un casse-cou dynamique et persuasif. Il filmait ses expéditions et les racontait de manière très précise dans un journal, qui révèle plusieurs points communs avec Indiana Jones : une phobie des serpents, la gâchette facile et un succès certain auprès des femmes ! Ses exploits et découvertes font partie du folklore populaire américain et ont inspiré plusieurs films, dont Lost City of the Jungle, sorti en 1946, que George Lucas et Steven Spielberg ont forcément vu.
Derrière le Dr Jones, qui cherche des reliques religieuses et doit les empêcher de tomber entre de mauvaises mains, se cacherait aussi l’Allemand Otto Rahn, qui vécut durant la Seconde Guerre mondiale. Très vite, il fut approché par les nazis et en particulier par Heinrich Himmler, qui voulait marquer de son empreinte l’archéologie en trouvant le Saint-Graal.Himmler entretenait un château à Wewelsburg, en Allemagne, qui renfermait un autel destiné à recevoir le Graal. Or, dans Indiana Jones et la Dernière Croisade, on peut voir un château similaire  …
Malgré ces éléments troublants, George Lucas et Steven Spielberg n’ont jamais renié la paternité totale de leur personnage légendaire. Harrison Ford est prêt à reprendre du service dans un cinquième volet, en cours d’écriture.

Stéphanie Thonnet
http://www.france5.fr


Selon certains sites internet, le personnage d’Indiana Jones, dans cet opus, ressemble étrangement à un personnage qui a réellement existé.

    

Il s’agit d’Otto Rahn, archéologue obstiné à découvrir le Graal lors de la Seconde Guerre Mondiale. Il a écrit , dans les années 1930, un livre intitulé  : "Croisade contre le Graal". A la suite de cette publication, il fut contacté par Heinrich Himmler, le chef des SS. Celui-ci était sûr que le Graal pouvait être retrouvé (il avait préparé au sous-sol du château  Wewelsburg en Westphalie, un socle vide destiné pour le Graal entouré de bustes de nazis de premier plan.). Otto Rahn rejoint ainsi les SS pour la quête du Graal.

                Cet aspect diffère de l’histoire d’Indiana Jones. En effet, Indiana Jones ne rejoint pas les nazis mais se retrouve plutôt confronté à eux. Selon Jeremy Morgan, dont l’oncle, Herman Kirchmeir, était un ami d’Otto Rahn, celui-ci n’était pas antisémite mais il avait pris l’argent des SS pour ses projets archéologiques et qu’à cause de cet engrenage, il ne pouvait plus abandonner. Ce qui est paradoxal, c’est que Otto Rahn était homosexuel et fréquentait des milieux anti-nazis  … et qu’il avait, d’après les informations, écrit à Himmler pour démissionner des SS .

              En Mars 1939, son corps aurait été découvert gelé  dans les montagnes du Tyrol. Il se serait suicidé. Mais de nombreuses hypothèses circulent sur la toile concernant cette fin, dont notamment qu’il aurait été assassiné ou que ce suicide n’était qu’un bluff pour échapper aux SS.

               Concernant le Graal, René Nelli (philosophe et historien) indique que : « La thèse d’Otto Rahn consistait pour l’essentiel à assimiler le château de Montségur à Montsalvage, le légendaire château du Graal, pour des raisons étymologiques. », dans la préface de "Croisade contre le Graal". Bien entendu, le Graal est synonyme sur la toile, et ailleurs, de nombreuses spéculations presque toutes injustifiées.

Sources:"The originalIndiana Jones: Otto Rahn and the temple of doom" de John Preston,Wikipédia: Otto Rahn

Le Dalaï Lama s'exilait du Tibet en Inde ... voici 54 ans !

Publié à 13:23 par yvonne92110 Tags : grands personnages exil du dalai lama il y a 54 ans
Le Dalaï Lama s'exilait du Tibet en Inde ... voici 54 ans !

Il y a 54 ans, le Dalaï-Lama s'exilait du Tibet en Inde ...
Le Tibet est occupé par la Chine depuis 1949, alors qu'il était un pays à part entière, libre et indépendant, avec une immense et lumineuse richesse culturelle.

Depuis la Chine commet un génocide, le chiffre couramment donné est de 1,2 million de morts, directs ou indirects.


le 10 mars 1959, des Tibétains se rassemblent durant un soulèvement armé contre la Chine devant le palais Potala (ancienne maison du Dalaï Lama)



Il y a 54 ans, le Dalaï-Lama s'exilait du Tibet en Inde. Plus de 80'000 de ses concitoyens ont suivi sa voie. Depuis, le flux des Tibétains quittant le pays ne s'est pas tari.
Le 31 mars 1959, une colonne d'une trentaine d'individus épuisés se présente au col de Khenzimana qui marque la frontière entre le Tibet et l'Inde. Certains sont à cheval, d'autres enfourchent un yak ou encore sont à pied. C'est un mélange de soldats, de moines et de paysans, tous armés. Mais surtout, ils arborent un grand sourire, car ils ont réussi à s'échapper des griffes chinoises. Quatorze jours depuis Lhassa à crapahuter sur les cimes himalayennes couvertes de neige. Quatorze jours d'une marche épuisante, de faim et de fatigue extrême. Mais ils ont réussi. Les membres de la troupe dépenaillée entourent un maigre gaillard aux lunettes rondes, arborant la banane. Il s'agit de Jetsun Jamphel Ngawang Lobsang Yeshe Tenzin Gyatso, autrement dit le 14e dalaï-lama. Celui-là même qui, avec 53 ans supplémentaires, continue de courir les plateaux de télévision pour distiller ses sempiternelles leçons de sagesse. Joey Starr en est dingue...

 

Lorsqu'à 24 ans, le dieu vivant fuit Lhassa, il règne sur le Tibet spirituel depuis déjà neuf ans. Il a du abandonner le pouvoir temporel aux Chinois qui ont envahi le toit du monde. Une cohabitation difficile, insupportable. En comparaison, Mitterrand et Chirac, ont donné l'impression de jouer dans le même bac à sable... Imaginez la rage du dalaï-lama et des moines : le gouvernement chinois a interdit le servage au Tibet ! Et pourquoi pas offrir le droit de vote aux femmes et autoriser le mariage gay ! Bref, depuis quelques jours, la révolution gronde au pays des lamas. Par dizaines de milliers, les Tibétains manifestent dans les rues de la capitale contre l'occupation chinoise. Pékin décide de répondre par la force en ordonnant à la troupe de bombarder la ville. Le 16 mars, deux obus explosent à 200 mètres du palais d'été, le Norbulingka, où réside le dalaï-lama. Les explosions déclenchent la transe d'un moine qui l'interpelle d'une voix sourde : "Partez vite, partez vite, partez cette nuit !"
Parachutages de la CIA.



Tenzin Gyatso décide de suivre le conseil, pour sauver sa peau peut-être, mais surtout pour ne pas être fait prisonnier par les Chinois. Peu avant minuit, il quitte le palais avec 37 partisans dont plusieurs membres de sa famille, quelques conseillers et des guerriers khampas entraînés par la CIA. Pour éviter d'être repéré, le dalaï-lama enfile les vêtements d'un domestique. La marche, de nuit, est un calvaire : il faut emprunter les sentiers de haute altitude pour éviter les patrouilles ennemies. Il faut affronter la neige, le froid, la raréfaction de l'oxygène. Mais ne dit-on pas que les moines tibétains disposent de pouvoirs surnaturels ? C'est le moment ou jamais de s'en servir... Ne dit-on pas aussi que certains moines sont capables de séjourner des jours entiers sans boire, sans manger, nus dans la neige ? Bref, la fuite devrait être une balade de santé. Ce n'est pas le cas.

Le chef spirituel des Tibétains est à la peine comme les autres. Quand le terrain le permet, il enfourche un cheval. Pour traverser le Brahmapoutre, il embarque dans un bateau en peau de yak. Heureusement la colonne peut compter sur l'assistance américaine. La CIA fait parachuter des provisions sur le trajet et mitrailler par des avions les positions militaires chinoises pour empêcher qu'elles n'interceptent le dalaï-lama lors des passages des cols. Deux Tibétains, formés par l'agence américaine, envoient un rapport quotidien en morse pour renseigner Washington sur la progression des fugitifs. Ceux-ci sont remis directement au directeur de la CIA, John Dulles. En fait, les Chinois ne cherchent pas vraiment à intercepter les fuyards par crainte de tuer le dalaï-lama durant le combat, ce qu'ils porteraient comme une honte éternelle.

Le 26 mars, après neuf jours de marche, la troupe rallie le dzong (forteresse) de Lhuntsé. La première intention du dalaï-lama est de s'y arrêter le temps d'y dénoncer l'accord en 17 points liant son pays à la Chine et de réaffirmer son gouvernement comme le seul légitime du Tibet. Mais les actions militaires en cours des Chinois dans certaines villes lui font comprendre que toute négociation serait utopique. Il se contente donc d'annoncer la composition de son gouvernement lors d'une grande cérémonie puis repart dare-dare. Le 31 mars, enfin, la petite troupe pénètre en Inde, à l'abri. Dans les mois qui suivent, plus de 80 000 Tibétains suivent leur chef sur le chemin de l'exil. 
( source :www.tibetdoc.eu)

Honneur à Mandela ... une sculpture impressionnante !

Publié à 14:48 par yvonne92110 Tags : grands personnages sculpture honneur à mandela
Honneur à Mandela ... une sculpture impressionnante !

En commémoration au 50ème anniversaire de l’arrestation de Nelson Mandela, l’artiste italien Marco Cianfanelli a conçu une immense sculpture à l’effigie de l’ancien président d’Afrique du Sud. Composé de cinquante lames d’acier, cet imposant monument a été dressé à Howick, sur les lieux même de l’arrestation du célèbre prisonnier de conscience qui a mis sa vie au service de l’humanité, en tant qu’avocat spécialiste des droits de l’homme et architecte international de la paix dans son pays.

 

source : http://www.creanum.fr

Barack et Michelle ... le Bonheur après la réélection !

Publié à 12:43 par yvonne92110 Tags : grands personnages barack obama réélu président

 

hebergeur d'image  

Son nom complet est Barack Hussein Obama II, il est né en 1961, à Honolulu (état d'Hawaï). Sa mère était américaine, originaire du Kansas et de souche irlandaise. Son père était kenyan, ce qui fait de lui le premier président afro-américain des Etats-Unis.

Barack Obama entre réellement en politique en 1996. Il est élu dès 1997 sénateur de l'Illinois, jusqu'en 2004.

 

 Michelle Obama (née Robinson) est originaire de Chicago où elle a vu le jour en 1964. Avocate de formation, elle rencontre Barack Obama au début des années 90 alors qu'ils travaillent ensemble dans un cabinet d'avocats. Ils se marient en 1992 .... Michelle Obama parle français couramment ... Le 4 juillet 1998 nait leur première fille aînée Malia ...  Natasha (qu'ils prénomment en fait couramment Sasha) quant à elle, naît le 7 juin 2001.

En novembre 2008 Barack Obama est élu 44ème Président des Etats-Unis ... Le 6 novembre 2012,  Barack Obama est réélu  45ème Président des Etats-Unis !  (voir l'article consacré dans la rubrique "actualités" de mon blog, du 7 novembre 2012).

Martin Luther King ... Son hôtel devient musée !

Publié à 12:42 par yvonne92110 Tags : grands personnages hommage à martin luther king
Martin Luther King ... Son hôtel devient musée !

- ( photo ci-dessus : Une couronne marque l'emplacement où Martin Luther King a été abattu, au deuxième étage du Lorraine Motel à Memphis dans le Tennesse ) -     

Le balcon du motel où a été tué Martin Luther King ouvert au public ... Le balcon du motel de Memphis (Tennessee, sud des Etats-Unis) où se trouvait le militant des droits civiques Martin Luther King, quand il a été assassiné le 4 avril 1968, va être ouvert au public :  le bâtiment est devenu musée.

C'est la première fois que le public pourra poser un pied à l'endroit où le prix Nobel de la Paix 1964 a été assassiné, à l'âge de 39 ans, juste devant la chambre 306 qu'il occupait dans ce qui était alors le Lorraine Motel.

Connie Dyson, directrice de la communication du musée des droits civiques a indiqué que le balcon de ce premier étage serait ouvert à partir du 19 novembre, à l'occasion d'une campagne de rénovation de 27 millions de dollars.

"C'est notre souvenir le plus précieux", a indiqué Mme Dyson à l'AFP par téléphone: "Mais comme tout le bâtiment va être fermé pendant les rénovations, nous voulions que le public puisse continuer à voir le balcon et la chambre où séjournait Martin Luther King, le clou de la visite" avant les travaux.

Avec son lit un peu défait, son téléphone noir à cadran et ses tasses de café entamées, la chambre 306 a été laissée quasiment intacte après l'assassinat du militant du droit des Noirs par James Earl Ray.

"Personne n'a plus jamais occupé la chambre (après la mort du pasteur), c'est devenu un sanctuaire", ajoute Mme Dyson.

Les visiteurs pouvaient jusqu'à présent voir la chambre à partir du couloir intérieur, à travers une grande fenêtre vitrée. Ils pourront à nouveau la voir mais de l'extérieur, à partir du balcon.

Le criminel, un Blanc au casier judiciaire chargé, a été reconnu coupable d'avoir tué le militant pacifiste en tirant depuis l'autre côté de la rue. Condamné à 99 ans de prison, il est mort en april 1998 à l'âge de 70 ans.

L'an dernier, un mémorial a été consacré sur le National Mall à Washington à cette figure de proue de la lutte contre la ségrégation raciale aux Etats-Unis et militant pacifiste.                       

hebergeur d'image

L' Abbé Pierre aurait eu 100 ans ... Hommage mérité !

Publié à 12:00 par yvonne92110 Tags : grands personnages l abbé pierre aurait eu 100 ans
L' Abbé Pierre aurait eu 100 ans  ...  Hommage mérité !
L'abbé Pierre, "conscience" oubliée des pouvoirs publics, aurait eu 100 ans  !!! L'abbé Pierre, qui aurait 100 ans le 5 août, est resté une "conscience" pour la société même si les pouvoirs publics semblent l'avoir un peu oublié, soulignent le Mouvement Emmaüs et la Fondation Abbé Pierre, qui poursuivent son combat contre la pauvreté et l'exclusion ...  Souvenons-nous de l' Hiver 1954  !
Photographe : Philippe Huguen :: L'abbé Pierre, le 16 septembre 2002 à Saint-Omer

Longtemps personnalité préférée des Français, l'abbé Pierre, né Henri Grouès en 1912, "reste une conscience pour beaucoup. Notre société a besoin de telles personnes, pour éviter de s'enfermer dans l'individualisme", estime Patrick Doutreligne, délégué général de la Fondation Abbé Pierre, qui lutte contre le mal-logement.

Si le fondateur des chiffonniers d'Emmaüs (devenus ensuite les communautés d'Emmaüs), sa barbe et sa capeline noire, restent présents dans les esprits, c'est notamment pour son appel du 1er février 1954 sur les ondes de Radio Luxembourg, qui marque le début de sa notoriété et de son combat: "Mes amis aidez-moi, une femme vient de mourir gelée cette nuit à 03H00".

Décédé le 22 janvier 2007, l'abbé est toujours une référence pour le grand public, et encore plus pour les membres des 116 communautés Emmaüs, dont beaucoup de Compagnons ont des anecdotes sur leur rencontre avec lui et où "son portrait est partout", explique Christophe Deltombe, président d'Emmaüs France.

Mais du côté des pouvoirs publics, "son message a été oublié", regrette Patrick Doutreligne, "on est rentré dans une logique purement économique, où les loyers et les charges locatives ont explosé".

"Le problème du logement a été piétiné. Il y a un déficit évident en matière d'hébergement, et malgré quelques efforts, l'exclusion s'est accrue", résume Christophe Deltombe.

"L'abbé Pierre me disait toujours: +est-ce que je n'ai pas travaillé pour rien?+", raconte Patrick Doutreligne, certain cependant que "la situation serait pire si on ne l'avait pas eu".

"Indigné avant le mouvement des Indignés", le fondateur d'Emmaüs, célèbre pour ses "coups de gueule", était un véritable "aiguillon" pour les pouvoirs publics, rappelle Patrick Doutreligne. "Notre objectif est de continuer à interpeller et à montrer ce qui ne va pas", ajoute le président de la Fondation Abbé Pierre, dont le dernier "Rapport annuel sur le mal-logement" en février tirait la sonnette d'alarme sur les 3,6 millions de mal-logés.

Dernier coup d'éclat médiatique, l'ancien footballeur Eric Cantona, parrain de la Fondation, s'est lancé dans la course aux parrainages pour l'élection présidentielle, afin de placer la question du mal-logement sous les projecteurs.

"On garde à l'esprit son slogan: la misère ça ne se gère pas, ça se combat", ajoute Christophe Deltombe. Outre le mal-logement, Emmaüs se bat pour les sans-papiers, les détenus sortant de prison, les familles endettées, le développement durable ou contre les expulsions locatives.

L'abbé Pierre est notamment à l'origine de la loi contre les expulsions locatives hivernales, promulguée en 1998, et de la loi sur le Droit au logement opposable (DALO), votée un an après sa mort.

Cette dernière "a créé une obligation pour le gouvernement", souligne Christophe Deltombe, mais "les résultats sont très en dessous des espérances", ajoute Patrick Doutreligne.

"Le problème n'est pas d'accéder à un droit, mais à un logement", insiste-t-il, estimant que "l'abbé Pierre aurait encore de bonnes raisons de pousser des coups de gueule".

"Il avait une facilité à ne jamais se contenter. (...) C'était parfois décourageant, mais il avait raison, c'est le vrai moteur. Tant qu'il y aura plus de trois millions de mal-logés, on n'a pas le droit de s'en contenter".

Le Grand Ecrivain Robert Sabatier ... n'est plus !

Publié à 21:08 par yvonne92110 Tags : grands personnages robert sabatier n est plus
Le Grand Ecrivain Robert Sabatier ...  n'est plus  !

1923-2012 : Cet Ecrivain et Poète, était originaire d' Auvergne ... Orphelin de bonne heure, ouvrier typographe, il participe à la Résistance, imprime lui-même ses premiers vers et fonde à Roanne une revue, la Cassette. Il restera toujours fidèle à l'inspiration poétique (les Fêtes solaires, 1951; Dédicace d'un navire, 1959; les Poissons délectables, 1965; les Châteaux de millions d'années, 1969; l'Oiseau de demain, 1981) et publiera même une Histoire de la poésie française (1975-1988). Romancier (Alain et le Nègre, 1953); Boulevard, 1956; Canard au sang, 1958; la Sainte Farce, 1960; le Chinois d'Afrique, 1966);  il pourchasse avec ténacité les rêves et les souvenirs de son enfance, à travers les aventures d'Olivier, le héros des, "Allumettes suédoises "(1969), Trois Sucettes à la menthe (1972), les Noisettes sauvages (1974), les Fillettes chantantes (1980), David et Olivier (1986). Cette recherche anime également le conte merveilleux des Enfants de l'été (1978) et le voyage symbolique évoqué dans les Années secrètes de la vie d'un homme (1984). Il publie en 1997 le "Lit des Merveilles", roman situé dans le Quartier latin des années 1950.

(j'ai eu la chance de rencontrer ce grand  Ecrivain, lors d'une dédicace organisée en 1969, au grand magasin des "Galeries Lafayette" à Paris,  lors de la sortie de ce livre magnifique  ... C'est l'un de mes plus beaux souvenirs !) ...    

Les Allumettes suédoises est  paru en 1969. Ce fut un immense succès de librairie.

Résumé :

Olivier perd tour à tour son père et sa mère. Seul et désemparé, il n'a qu'une crainte : quitter ce qui fait son royaume, ce quartier de Montmartre où il est né et a commencé de grandir. Recueilli par ses cousins, Jean et Elodie, il échappe heureusement au déracinement tant redouté et grâce à sa liberté de petit orphelin, continue de flâner dans sa rue familière, en compagnie de ses copains et de quelques figures chaleureuses et pittoresques, telles celle d'Albertine Hague, la concierge, celle de l'infirme Daniel, surnommé l'araignée, ou encore celle de la belle Mado, aux activités bien mystérieuses...




Commentaires :

 "Les Allumettes suédoises"  raconte dans un style émouvant et sensible, les angoisses et les tribulations d'un enfant. C'est tout un monde qu'explore ce livre, celui de l'enfance en général, de celle de l'auteur en particulier, mais aussi celui du "petit Paris" d'autrefois.

Trois sucettes à la menthe, la suite des Allumettes suédoises, paraît la même année. Le dernier tome, Les Noisettes sauvages, paraît quelques années après.

Dans Olivier et ses amis, Robert Sabatier reprend ses personnages. À travers de mini-histoires d'une page ou deux et grâce à une vaste galerie de personnages, il fait revivre une multitude de petits événements de la vie de quartier à Montmartre dans ces années 30, les rires, les larmes, les joies et les peines, les petites galères, les coups de colère, les réconciliations...

Le roman de Robert Sabatier  se situe en marge des littératures savantes. C'est un roman traditionnel et sans prétention, écrit avec le cœur.          (R.I.P.)

Robert Sabatier, l'auteur des "Allumettes suédoises", est mort ce jeudi à l'âge de 88 ans, salué par tous comme un formidable conteur d'histoires mais aussi un poète et un admirable connaisseur de la poésie, lui qui pouvait réciter par coeur des milliers de vers. Le doyen de l'Académie Goncourt est mort "  à 13H00 à l'hôpital Ambroise Paré de Boulogne-Billancourt" a précisé son éditeur historique, Albin Michel.   

Avec Robert Sabatier "disparaît un enfant chéri du public, un étonnant raconteur d'histoires", a souligné la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti.

Mais "derrière le masque bonhomme et les volutes de fumée de son éternelle pipe, il y avait l'un des meilleurs connaisseurs de la versification contemporaine, un excellent poète et l'auteur d'une monumentale "Histoire de la poésie française". Il y avait aussi l'amateur d'humour noir et d'aphorismes, contempteur féroce de la comédie humaine", a relevé la ministre.

Le maire de Paris, Bertrand Delanoë, a, lui aussi, salué ce "poète à la curiosité infinie, au style élégant et populaire. Amoureux de Paris, la capitale lui a permis de vivre sa passion de la littérature et lui a inspiré sa série "Les allumettes suédoises".

L'un de ses condisciples à l'Académie Goncourt, Tahar Ben Jelloun, s'est dit très attristé par la perte d'un "homme d'une grande culture et d'une grande discrétion, doté d'une grande présence. Subtil et jamais véhément".

"La rentrée littéraire sans lui va être bien triste", a-t-il ajouté.

"C'était mon voisin de gauche à la table du jury du Goncourt (au restaurant Drouant, à Paris). Il était là avant nous tous et en a vu passer beaucoup, Aragon, Genevoix ..."

Bernard Pivot, lui aussi membre de l'Académie Goncourt, avait fait la connaissance de Robert Sabatier il y a une cinquantaine d'années, quand il était "jeune journaliste au Figaro littéraire et Robert Sabatier attaché de presse.

"Robert avait une double image, l'une ayant fait du tort à l'autre. Il souffrait du succès considérable de son autobiographie romancée qui avait occulté son talent de poète  

"C'était un poète formidable et un admirable connaisseur de la poésie, qui pouvait réciter des milliers de vers, citant aussi bien Ronsard que Saint-John Perse", a-t-il ajouté. "C'est lui qui orientait le choix du jury lors de l'attribution du Goncourt de la poésie".

Amateur de bons mots et de bons vins, comme Pivot, Robert Sabatier aimait à dire "il faut s'efforcer d'être jeune comme un beaujolais et de vieillir comme un bourgogne"...

Né le 17 août 1923, enfant de Montmartre, orphelin à 12 ans, Robert Sabatier peuplait ses livres de personnages truculents et fit revivre dans une vingtaine de romans le Paris gouailleur, insouciant, un peu anar, des années 1930.

Son premier roman, "Alain et le nègre" (1953), fut salué par la revue Les Lettres Françaises comme "le premier roman français antiraciste" et adapté par Julien Duvivier au cinéma.

Encouragé par Albert Camus, il publiera une quinzaine de livres en quinze ans. Mais, c'est avec "Les allumettes suédoises" (1969), premier volet des aventures d'un jeune orphelin, Olivier, qu'il rencontre un succès international.

Le roman rate de peu le Goncourt, mais l'auteur ajoutera sept épisodes en trente ans aux aventures d'Olivier : "Les noisettes sauvages" (1974), "David et Olivier" (1986), "Olivier et ses amis" (1993)...

La saga s'est vendue depuis à des millions d'exemplaires dans le monde et France 2 a adapté "Les allumettes suédoises" en 1996. Et si le roman lui a apporté la gloire, sa grande passion restait la poésie.

 NB : Pour la petite histoire, il aurait aimé mourir à l'instant ou il écrirait le mot "FIN" de son tout dernier roman .....