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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Grand Homme Politique et Ecrivain reconnu, LEOPOLD SEDAR SENGHOR est "MEDAILLE d' OR" de la Langue Française. Grand prix international de poésie de la Société des poètes et artistes de France et de langue française (1963);
Médaille d'or du mérite poétique du prix international Dag Hammarskjoeld (1965);
Grand prix littéraire international Rouge et Vert (1966);Prix de la Paix des libraires allemands (1968);
Prix littéraire de l'Académie internationale des arts et lettres de Rome (1969);
Grand prix international de poésie de la Biennale de Knokke-le-Zoute (1970);
Prix Guillaume Apollinaire (1974);
Prince en poésie 1977 décerné par l'association littéraire française "L'Amitié par le livre"
Prix mondial Cino del Duca en 1978,
Prix international du livre, attribué par le Comité international du livre (Communauté mondiale du livre, UNESCO, 1979)
Prix pour ses activités culturelles en Afrique et ses œuvres pour la paix, décerné par le président Sadate (1980)
Premier prix mondial Aasan ;
Prix Alfred de Vigny (1981) ;
Prix Athénaï, à Athènes (1985) ;
Prix international du Lion d'or, Venise (1986) ;
Prix Louise Michel, Paris (1986) ;
Prix du Mont-Saint-Michel, aux Rencontres poétiques de Bretagne (1986) ;
Prix Intercultura, Rome (1987).
Hans Christian Andersen(1805-1875) est un écrivain danois, qui, grâce à ses contes pour enfants, incarne le génie nordique.
Il est né à Odense le 2 avril 1805, au sein d'une famille pauvre. Son père est cordonnier et meurt lorsqu'il a onze ans. Il part seul à quatorze ans chercher fortune à Copenhague. Il est tenté par le chant, le théâtre puis la danse et travaille quelque temps pour le directeur du Théâtre Royal, qui financera plus tard ses études.
Dès 1822, Andersencommence à publier ses premiers textes. Il obtient son premier succès en 1831, (avec Reflets d'un voyage dans le Harz), récit d'un voyage en Europe. Par la suite, il écrit d'autres romans,souvent autobiographiques et d'inspiration romantique ), mais aussi des poèmes, des pièces de théâtre et des récits.Entre 1832 et 1842, il publie en brochures ses premiers courts récits merveilleux, Contes pour enfants (1835), qu'il ne destine pas uniquement à un public enfantin. Le succès immédiat l'encourage à poursuivre et à publier chaque année d'autres textes. Il écrit 164 contes, imprégnés de romantisme et associant le merveilleux et l'ironie. Loin d'imiter ses prédécesseurs dans le genre du conte (Perrault, Galland et Hoffmann, les frères Grimm), Andersen dont le style est remarquable par l'utilisation habile et équilibrée du langage courant et des expressions populaires, arrive à exprimer admirablement, dans une langue très simple, les émotions les plus subtiles et les idées les plus fines, passant sans difficulté de la poésie à l'ironie, de lafarce au tragique. Ses contes mettent en scène des rois, des reines réels ou légendaires; des animaux, des plantes, des créatures magiques (sirènes et fées) et même des objets.
Parmi ses contes, les plus célèbres sont «le Vilain Petit Canard», «la Reine des neiges», «les Habits neufs de l'empereur», «les Cygnes sauvages» et «la Petite Sirène» . Il meurt à Copenhague le 4 août 1875. Ses histoires, traduites en plus de quatre-vingt langues, connaissent un succès durable et inspirent des écrivains, des metteurs en scène, des réalisateurs, des chorégraphes, des sculpteurs et des peintres.
(Trouvé sur le Net)
A la mi-carême
I
Le carnaval s’en va, les roses vont éclore ;
Sur les flancs des coteaux déjà court le gazon.
Cependant du plaisir la frileuse saison
Sous ses grelots légers rit et voltige encore,
Tandis que, soulevant les voiles de l’aurore,
Le Printemps inquiet paraît à l’horizon.II
Du pauvre mois de mars il ne faut pas médire ;
Bien que le laboureur le craigne justement,
L’univers y renaît ; il est vrai que le vent,
La pluie et le soleil s’y disputent l’empire.
Qu’y faire ? Au temps des fleurs, le monde est un enfant ;
C’est sa première larme et son premier sourire.III
C’est dans le mois de mars que tente de s’ouvrir
L’anémone sauvage aux corolles tremblantes.
Les femmes et les fleurs appellent le zéphyr ;
Et du fond des boudoirs les belles indolentes,
Balançant mollement leurs tailles nonchalantes,
Sous les vieux marronniers commencent à venir.IV
C’est alors que les bals, plus joyeux et plus rares,
Prolongent plus longtemps leurs dernières fanfares ;
À ce bruit qui nous quitte, on court avec ardeur ;
La valseuse se livre avec plus de langueur :
Les yeux sont plus hardis, les lèvres moins avares,
La lassitude enivre, et l’amour vient au coeur.V
S’il est vrai qu’ici-bas l’adieu de ce qu’on aime
Soit un si doux chagrin qu’on en voudrait mourir,
C’est dans le mois de mars, c’est à la mi-carême,
Qu’au sortir d’un souper un enfant du plaisir
Sur la valse et l’amour devrait faire un poème,
Et saluer gaiement ses dieux prêts à partir.VI
Mais qui saura chanter tes pas pleins d’harmonie,
Et tes secrets divins, du vulgaire ignorés,
Belle Nymphe allemande aux brodequins dorés ?
Ô Muse de la valse ! ô fleur de poésie !
Où sont, de notre temps, les buveurs d’ambroisie
Dignes de s’étourdir dans tes bras adorés ?VII
Quand, sur le Cithéron, la Bacchanale antique
Des filles de Cadmus dénouait les cheveux,
On laissait la beauté danser devant les dieux ;
Et si quelque profane, au son de la musique,
S’élançait dans les choeurs, la prêtresse impudique
De son thyrse de fer frappait l’audacieux.VIII
Il n’en est pas ainsi dans nos fêtes grossières ;
Les vierges aujourd’hui se montrent moins sévères,
Et se laissent toucher sans grâce et sans fierté.
Nous ouvrons à qui veut nos quadrilles vulgaires ;
Nous perdons le respect qu’on doit à la beauté,
Et nos plaisirs bruyants font fuir la volupté.IX
Tant que régna chez nous le menuet gothique,
D’observer la mesure on se souvint encor.
Nos pères la gardaient aux jours de thermidor,
Lorsqu’au bruit des canons dansait la République,
Lorsque la Tallien, soulevant sa tunique,
Faisait de ses pieds nus claquer les anneaux d’or.X
Autres temps, autres moeurs ; le rythme et la cadence
Ont suivi les hasards et la commune loi.
Pendant que l’univers, ligué contre la France,
S’épuisait de fatigue à lui donner un roi,
La valse d’un coup d’aile a détrôné la danse.
Si quelqu’un s’en est plaint, certes, ce n’est pas moi.XI
Je voudrais seulement, puisqu’elle est notre hôtesse,
Qu’on sût mieux honorer cette jeune déesse.
Je voudrais qu’à sa voix on pût régler nos pas,
Ne pas voir profaner une si douce ivresse,
Froisser d’un si beau sein les contours délicats,
Et le premier venu l’emporter dans ses bras.XII
C’est notre barbarie et notre indifférence
Qu’il nous faut accuser ; notre esprit inconstant
Se prend de fantaisie et vit de changement ;
Mais le désordre même a besoin d’élégance ;
Et je voudrais du moins qu’une duchesse, en France,
Sût valser aussi bien qu’un bouvier allemand. @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@- Alfred de Musset : (né à Paris le 11 décembre 1810 et mort également à Paris le 2 mai 1857) est un poète et un dramaturge français de la période romantique - Lycéen brillant, Alfred de Musset abandonne vite ses études supérieures pour se consacrer à littérature à partir de 1828-1829. Dès l’âge de 17 ans, il fréquente les poètes du Cénacle de Charles Nodier et publie en 1829, à 19 ans, « Contes d’Espagne et d’Italie », son premier recueil poétique qui révèle son talent brillant. Il commence alors à mener une vie de « dandy débauché ». En décembre 1830, sa première comédie « La Nuit Vénitienne » est un échec accablant qui le fait renoncer à la scène pour longtemps. Il choisit dès lors de publier des pièces dans « La Revue des Deux Mondes » avant de les regrouper en volume sous le titre explicite « Un Spectacle dans un fauteuil ». Il publie ainsi une comédie, « À quoi rêvent les jeunes filles ? » en 1832, puis « Les Caprices de Marianne » en 1833. Il écrit ensuite son chef d’œuvre, un drame romantique, « Lorenzaccio » en 1834 (la pièce ne sera représentée qu’en 1896) après sa liaison houleuse avec George Sand et donne la même année « Fantasio » et « On ne badine pas avec l’amour ». Il publie parallèlement des poèmes tourmentés comme « la Nuit de Mai » et « la Nuit de Décembre » en 1835, puis « La Nuit d’août » (1836), « La Nuit d’octobre » (1837), et un roman autobiographique « La Confession d’un enfant du siècle » en 1836.
Dépressif et alcoolique, au delà de trente ans, il écrit de moins en moins : on peut cependant relever les poèmes « Tristesse », « Une soirée perdue » (1840), « Souvenir » en 1845 et diverses nouvelles (« Histoire d’un merle blanc », 1842). Il reçoit la Légion d’honneur en 1845 et est élu à l’Académie française en 1852. Sa santé se dégrade gravement avec son alcoolisme et Alfred de Musset meurt à 47 ans, le 2 mai 1857, à peu près oublié : il est enterré dans la discrétion au Cimetière du Père-Lachaise.
Redécouvert au XXe siècle, Alfred de Musset est aujourd’hui considéré comme un des grands écrivains romantiques français dont le théâtre et la poésie lyrique montrent une sensibilité extrême, une interrogation sur la pureté et la débauche, une exaltation de l’amour et une expression sincère de la douleur. Sincérité qui renvoie à sa vie tumultueuse qu’illustre emblématiquement sa relation avec George Sand.
Victor Hugo et sa maîtresse !!