Thèmes

à méditer actualités amitié amour amitié tendresse animaux artiste peintre artistes divers automne belle journée belles femmes belles images bon mercredi les ptits bouts

Images
Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· POEMES et POETES (587)
· CITATIONS ET PROVERBES (779)
· NOEL ET JOUR DE L'AN (1150)
· HUMOUR (1093)
· LA PENSEE du JOUR (2490)
· ARTISTES DIVERS (457)
· ANIMAUX DOMESTIQUES ET AUTRES (789)
· BRETAGNE (405)
· ENFANTS (1166)
· PEOPLE (547)

Rechercher
Recherchez aussi :

Derniers commentaires Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "yvonne92110" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Articles les plus lus

· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !

· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
· citation : la valeur de l' Amitié
· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
· Sans dessus dessous ... texte de Raymond Devos !
· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !

Voir plus 

Statistiques

Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour : 29.05.2021
37578 articles


Restons toujours ZEN !

 cool     Notez que les commentaires malveillants, insultants ou racistes, ne seront  pas validés  ...    cool     Merci de laisser  éventuellement une trace de votre passage sur mon  "Livre d'Or"  !!!  Vous pouvez également cliquer sur "j'aime",  si vous  avez apprécié  la visite ...

 

GRANDS PERSONNAGES

Léopold Sédar Senghor ... Faisons sa connaissance !

Publié à 13:07 par yvonne92110 Tags : grands personnages senghor faisons connaissance
Léopold Sédar Senghor ... Faisons sa connaissance !

Grand Homme Politique et Ecrivain reconnu, LEOPOLD SEDAR SENGHOR est "MEDAILLE d' OR" de la Langue Française.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   Grand prix international de poésie de la Société des poètes et artistes de France et de langue française (1963);
Médaille d'or du mérite poétique du prix international Dag Hammarskjoeld (1965);
Grand prix littéraire international Rouge et Vert (1966);Prix de la Paix des libraires allemands (1968);
Prix littéraire de l'Académie internationale des arts et lettres de Rome (1969);
Grand prix international de poésie de la Biennale de Knokke-le-Zoute (1970);
Prix Guillaume Apollinaire (1974);
Prince en poésie 1977 décerné par l'association littéraire française "L'Amitié par le livre" 
Prix mondial Cino del Duca en 1978,
Prix international du livre, attribué par le Comité international du livre (Communauté mondiale du livre, UNESCO, 1979)
Prix pour ses activités culturelles en Afrique et ses œuvres pour la paix, décerné par le président Sadate (1980)
Premier prix mondial Aasan ;
Prix Alfred de Vigny (1981) ;
Prix Athénaï, à Athènes (1985) ;
Prix international du Lion d'or, Venise (1986) ;
Prix Louise Michel, Paris (1986) ;
Prix du Mont-Saint-Michel, aux Rencontres poétiques de Bretagne (1986) ;
Prix Intercultura, Rome (1987).





Épitaphe

Quand je serai mort mes amis, couchez-moi sous Joal-l’Ombreuse
Sur la colline au bord du Mamanguerly, près de l’oreille du sanctuaire des serpents
Mais entre le Lion couchez-moi et l’aïeule Téning-Ndyaré.
Quand je serai mort mes amis, couchez-moi sous Joal-la-Portugaise. des pierres du Fort vous ferez ma tombe, et les canons garderont le silence
Deux Lauriers roses -blanc et rose embaumeront la Signare.

Quand j’aurai perdu les narines et soif de tendresse vivante, telle une boisson de prédilection
Versez mes amis sur ma tombe, le lait de vos prières le vin de vos chants frais. là-haut chanteront les alizés sur les ailes des palmes.
Ah! ce chant qu’il bruisse toujours le chant marin la nuit,soyeux sur les ailes des palmes
La rumeur doucement dans ma poitrine qui me tient éveillé, je dors et ne dors pas
Et je bois le lait le vin de la nuit qui ruisselle sur les palmes.
Et Marône la Poétesse ira rythmant
« Ci-gît Senghor, fils de Dyogoye-le-lion et de Ngilane-la-Douce. Si fort il aima le pays sévère - les paysans, les pasteurs, les pêcheurs
Les athlètes plus beaux que filaos et les voix contraltos des vierges -
Qu’à la fin son coeur se rompit. »
Quand je serai mort ma Signare, couche moi sous Joal-l’Ombreuse
A l’ombre des Ancêtres


Hans Christian Andersen ... Des Contes pour enfants !

Publié à 22:38 par yvonne92110 Tags : grands personnages andersen contes pour enfants
Hans Christian Andersen ...  Des Contes pour enfants !

Hans Christian Andersen(1805-1875) est un écrivain danois, qui, grâce à ses contes pour enfants, incarne le génie nordique.  

Il est né à Odense le 2 avril 1805, au sein d'une famille pauvre. Son père est cordonnier et meurt lorsqu'il a onze ans. Il part seul à quatorze ans chercher fortune à Copenhague. Il est tenté par le chant, le théâtre puis la danse et travaille quelque temps pour le directeur du Théâtre Royal, qui financera plus tard ses études.

Dès 1822, Andersencommence à publier ses premiers textes. Il obtient son premier succès en 1831, (avec Reflets d'un voyage dans le Harz), récit d'un voyage en Europe. Par la suite, il écrit d'autres romans,souvent autobiographiques et d'inspiration romantique ), mais aussi des poèmes, des pièces de théâtre et des récits.Entre 1832 et 1842, il publie en brochures ses premiers courts récits merveilleux, Contes pour enfants (1835), qu'il ne destine pas uniquement à un public enfantin. Le succès immédiat l'encourage à poursuivre et à publier chaque année d'autres textes.  Il écrit 164 contes, imprégnés de romantisme et associant le merveilleux et l'ironie. Loin d'imiter ses prédécesseurs dans le genre du conte (Perrault, Galland et Hoffmann, les frères Grimm), Andersen dont le style est remarquable par l'utilisation habile et équilibrée du langage courant et des expressions populaires, arrive à exprimer admirablement, dans une langue très simple, les émotions les plus subtiles et les idées les plus fines, passant sans difficulté de la poésie à l'ironie, de lafarce au tragique. Ses contes mettent en scène des rois, des reines réels ou légendaires; des animaux, des plantes, des créatures magiques (sirènes et fées) et même des objets.

Parmi ses contes, les plus célèbres sont «le Vilain Petit Canard», «la Reine des neiges», «les Habits neufs de l'empereur», «les Cygnes sauvages» et «la Petite Sirène» . Il meurt à Copenhague le 4 août 1875. Ses histoires, traduites en plus de quatre-vingt langues, connaissent un succès durable et inspirent des écrivains, des metteurs en scène, des réalisateurs, des chorégraphes, des sculpteurs et des peintres.


 (Trouvé sur le Net)

Un jour, un poème ... La Mi-Carême par A. de Musset !

Publié à 16:50 par yvonne92110 Tags : grands personnages Alfred de Musset poète
Un jour, un poème ... La Mi-Carême par A. de Musset !

A la mi-carême 

Alfred de MUSSET
Recueil : "Poésies nouvelles"

I

Le carnaval s’en va, les roses vont éclore ;
Sur les flancs des coteaux déjà court le gazon.
Cependant du plaisir la frileuse saison
Sous ses grelots légers rit et voltige encore,
Tandis que, soulevant les voiles de l’aurore,
Le Printemps inquiet paraît à l’horizon.

II

Du pauvre mois de mars il ne faut pas médire ;
Bien que le laboureur le craigne justement,
L’univers y renaît ; il est vrai que le vent,
La pluie et le soleil s’y disputent l’empire.
Qu’y faire ? Au temps des fleurs, le monde est un enfant ;
C’est sa première larme et son premier sourire.

III

C’est dans le mois de mars que tente de s’ouvrir
L’anémone sauvage aux corolles tremblantes.
Les femmes et les fleurs appellent le zéphyr ;
Et du fond des boudoirs les belles indolentes,
Balançant mollement leurs tailles nonchalantes,
Sous les vieux marronniers commencent à venir.

IV

C’est alors que les bals, plus joyeux et plus rares,
Prolongent plus longtemps leurs dernières fanfares ;
À ce bruit qui nous quitte, on court avec ardeur ;
La valseuse se livre avec plus de langueur :
Les yeux sont plus hardis, les lèvres moins avares,
La lassitude enivre, et l’amour vient au coeur.

V

S’il est vrai qu’ici-bas l’adieu de ce qu’on aime
Soit un si doux chagrin qu’on en voudrait mourir,
C’est dans le mois de mars, c’est à la mi-carême,
Qu’au sortir d’un souper un enfant du plaisir
Sur la valse et l’amour devrait faire un poème,
Et saluer gaiement ses dieux prêts à partir.

VI

Mais qui saura chanter tes pas pleins d’harmonie,
Et tes secrets divins, du vulgaire ignorés,
Belle Nymphe allemande aux brodequins dorés ?
Ô Muse de la valse ! ô fleur de poésie !
Où sont, de notre temps, les buveurs d’ambroisie
Dignes de s’étourdir dans tes bras adorés ?

VII

Quand, sur le Cithéron, la Bacchanale antique
Des filles de Cadmus dénouait les cheveux,
On laissait la beauté danser devant les dieux ;
Et si quelque profane, au son de la musique,
S’élançait dans les choeurs, la prêtresse impudique
De son thyrse de fer frappait l’audacieux.

VIII

Il n’en est pas ainsi dans nos fêtes grossières ;
Les vierges aujourd’hui se montrent moins sévères,
Et se laissent toucher sans grâce et sans fierté.
Nous ouvrons à qui veut nos quadrilles vulgaires ;
Nous perdons le respect qu’on doit à la beauté,
Et nos plaisirs bruyants font fuir la volupté.

IX

Tant que régna chez nous le menuet gothique,
D’observer la mesure on se souvint encor.
Nos pères la gardaient aux jours de thermidor,
Lorsqu’au bruit des canons dansait la République,
Lorsque la Tallien, soulevant sa tunique,
Faisait de ses pieds nus claquer les anneaux d’or.

X

Autres temps, autres moeurs ; le rythme et la cadence
Ont suivi les hasards et la commune loi.
Pendant que l’univers, ligué contre la France,
S’épuisait de fatigue à lui donner un roi,
La valse d’un coup d’aile a détrôné la danse.
Si quelqu’un s’en est plaint, certes, ce n’est pas moi.

XI

Je voudrais seulement, puisqu’elle est notre hôtesse,
Qu’on sût mieux honorer cette jeune déesse.
Je voudrais qu’à sa voix on pût régler nos pas,
Ne pas voir profaner une si douce ivresse,
Froisser d’un si beau sein les contours délicats,
Et le premier venu l’emporter dans ses bras.

XII

C’est notre barbarie et notre indifférence
Qu’il nous faut accuser ; notre esprit inconstant
Se prend de fantaisie et vit de changement ;
Mais le désordre même a besoin d’élégance ;
Et je voudrais du moins qu’une duchesse, en France,
Sût valser aussi bien qu’un bouvier allemand.          @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@                                                                                                                                                

- Alfred de Musset : (né à Paris le 11 décembre 1810 et mort également à Paris le 2 mai 1857) est un poète et un dramaturge     français de la période romantique -  Lycéen brillant, Alfred de Musset abandonne vite ses études supérieures pour se consacrer à littérature à partir de 1828-1829. Dès l’âge de 17 ans, il fréquente les poètes du Cénacle de Charles Nodier et publie en 1829, à 19 ans, « Contes d’Espagne et d’Italie », son premier recueil poétique qui révèle son talent brillant. Il commence alors à mener une vie de « dandy débauché ». En décembre 1830, sa première comédie « La Nuit Vénitienne » est un échec accablant qui le fait renoncer à la scène pour longtemps. Il choisit dès lors de publier des pièces dans « La Revue des Deux Mondes » avant de les regrouper en volume sous le titre explicite « Un Spectacle dans un fauteuil ». Il publie ainsi une comédie, « À quoi rêvent les jeunes filles ? » en 1832, puis « Les Caprices de Marianne » en 1833. Il écrit ensuite son chef d’œuvre, un drame romantique, « Lorenzaccio » en 1834 (la pièce ne sera représentée qu’en 1896) après sa liaison houleuse avec George Sand et donne la même année « Fantasio » et « On ne badine pas avec l’amour ». Il publie parallèlement des poèmes tourmentés comme « la Nuit de Mai » et « la Nuit de Décembre » en 1835, puis « La Nuit d’août » (1836), « La Nuit d’octobre » (1837), et un roman autobiographique « La Confession d’un enfant du siècle » en 1836.

Dépressif et alcoolique, au delà de trente ans, il écrit de moins en moins : on peut cependant relever les poèmes « Tristesse », « Une soirée perdue » (1840), « Souvenir » en 1845 et diverses nouvelles (« Histoire d’un merle blanc », 1842). Il reçoit la Légion d’honneur en 1845 et est élu à l’Académie française en 1852. Sa santé se dégrade gravement avec son alcoolisme et Alfred de Musset meurt à 47 ans, le 2 mai 1857, à peu près oublié : il est enterré dans la discrétion au Cimetière du Père-Lachaise.

Redécouvert au XXe siècle, Alfred de Musset est aujourd’hui considéré comme un des grands écrivains romantiques français dont le théâtre et la poésie lyrique montrent une sensibilité extrême, une interrogation sur la pureté et la débauche, une exaltation de l’amour et une expression sincère de la douleur. Sincérité qui renvoie à sa vie tumultueuse qu’illustre emblématiquement sa relation avec George Sand.

Mieux connaître ... Victor Hugo et Juliette Drouet

Publié à 15:31 par yvonne92110 Tags : grands personnages victor hugo et juliette drouet
Mieux connaître  ... Victor Hugo et Juliette Drouet

Victor Hugo et sa maîtresse  !!

Juliette Drouet, de son vrai nom Juliette Gauvain, est une comédienne de théâtre. En 1833, elle joue le rôle de la Princesse Négroni dans la pièce Lucrèce Borgia écrite par Victor Hugo. Ils s'éprennent l'un de l'autre et entament une longue liaison, alors que l'écrivain est déjà marié. Rapidement, Juliette arrête sa carrière et lui consacre entièrement sa vie. Elle est à la fois sa collaboratrice et son inspiratrice. Ils s'écrivent des milliers de lettres passionnées, qui témoignent du réel talent d'écriture de l'amante. C'est elle qui le sauve de la mort lors des évènements violents suite au coup d'Etat du 2 décembre 1851. Hugo, qui s'oppose à Louis-Napoléon Bonaparte, s'exile à Bruxelles puis à Jersey, toujours accompagné par Juliette et sa femme Adèle. A la mort de cette dernière, Juliette partage davantage la vie de Victor Hugo.

Elle s'éteint le 11 mai 1883 après 50 ans de dévotion.

Une pièce de théâtre a été créée au festival d'Avignon 2007. Cette pièce est un bouleversant hommage à la merveilleuse histoire d'amour qui a uni durant 50 ans Victor Hugo et sa maîtresse Juliette Drouet.

50 ans de passion, de joies, de bonheur intense mais aussi de souffrances, de querelles, qui furent couchées sur le papier par les deux amants sur 40,000 lettres d'amour.

A partir de la lecture et du choix de certains de ces écrits, Anthéa Sogno a conçu un spectacle théâtral ; bien loin de la simple lecture à deux voix. De ces lettres échangées sans relâche naît en effet un dialogue qui retrace l'histoire des deux amants, dont chaque étape marquante est jouée avec entrain, humour, colère ou désespoir.

Les dialogues reconstitués constituent une enfilade de scènes qui racontent tout de leur vie, de la première rencontre lorsque Juliette passait une audition pour jouer dans " Lucrèce Borgia ", une des pièces d'Hugo, jusqu'au jour où 50 ans plus tard, elle ferme les yeux. Ce jour là, il se passa une chose inouïe : Victor Hugo cessa d'écrire, et ferma son encrier pour toujours.

Juliette Drouet fut donc non seulement son grand amour mais aussi sa muse.

" Aimer, c'est plus que vivre " vous fera pénétrer dans l'intimité du grand homme, et découvrir Juliette Drouet, qui a vécu dans son ombre et qui est désormais reconnue comme l'un des grands écrivains de son siècle.

Cette pièce sensible a enchanté par ses textes, le jeu épatant de ses comédiens et un rythme virevoltant où se succèdent changements de costumes, empoignades et embrassades .....