Un décret annonce des sanctions encore plus sévères que prévu pour les demandeurs d'emploi ... Les sanctions encourues par les demandeurs d’emploi ont été durcies. Des mesures qui ont pris effet, par décret, le 30 décembre ... Détails :
« Le gouvernement dans les prochains mois devra poursuivre ce travail pour changer en profondeur les règles de l'indemnisation du chômage afin d'inciter davantage à reprendre le travail ». Tels sont les mots prononcés lundi soir par Emmanuel Macron, lors des traditionnels vœux de fin d’année du président de la République.
Une déclaration qui vient confirmer cette volonté gouvernementale de durcir l’encadrement des demandeurs d’emploi. Le nouveau panel de sanctions - plus sévère que prévu - est d’ailleurs détaillé dans un décret paru la veille, et dont nous vous dévoilons aujourd’hui les 5 mesures phares :
Radiation d’un mois dès le premier rendez-vous manqué :
C’est l’une des sanctions les plus sévères observées dans le décret. Désormais, les demandeurs d’emploi, qui ne se rendent pas à un rendez-vous prévu avec leur conseiller Pôle emploi, risquent d’être radiés pendant un mois.
Initialement, cette radiation ne devait être que de 15 jours mais elle a finalement été rehaussée. De plus, si d’aventure la personne fautive venait à « sécher » un deuxième rendez-vous, elle serait de nouveau radiée pour un mois supplémentaire. En cas de troisième manquement, la sanction s'élèvera à 4 mois.
Les allocations seront supprimées et non plus suspendues, dès le premier manquement à la recherche d’emploi :
Contrairement à ce qui avait été évoqué dans un premier temps, l’allocation chômage pourra être supprimée dès le premier manquement à la recherche d’emploi. Le refus de deux offres, considérées comme « raisonnables », constitue par exemple l’un de ces manquements.
Alors qu’une suspension gelait l’indemnité tout en garantissant de ne pas être radié définitivement, cette décision change beaucoup de choses car une suppression pure et simple ne permet plus au demandeur d’emploi de conserver ses droits.
Les refus d’offre d’emploi, motivés par une baisse de salaire, sont désormais proscrits :
Autre mesure coercitive prévue par le décret : l’interdiction de refuser des offres dont la rémunération est inférieure à celle perçue par le demandeur lors de sa dernière période d'activité. En effet, le texte « abroge la définition du salaire antérieurement perçu qui était pris en compte pour déterminer l'offre raisonnable d’emploi ».
Ainsi, le demandeur d'emploi sera désormais dans l’incapacité de refuser une offre, y compris lorsque cette dernière proposera un salaire en deçà de celui perçu auparavant.
Pôle emploi sera le seul décideur des sanctions :
À partir de maintenant, Pôle emploi décidera seul des sanctions infligées aux demandeurs d’emplois. Il s’agit d’un renforcement considérable des prérogatives des agences, qui, jusqu’à présent, ne pouvaient que suspendre les indemnisations.
Ainsi, comme le rappelle le quotidien Les Échos, jadis « le contrôle de la recherche effective d'emploi et sa sanction étaient légalement du ressort de la direction régionale du ministère du Travail ».
Un « journal de bord numérique » devra être tenu par les demandeurs d’emploi :
Les chômeurs devront également tenir un « journal de bord numérique » dans lequel ils auront l’obligation de consigner, chaque mois, toutes leurs démarches en lien avec leur recherche d’emploi.
Un dispositif qui sera d’abord expérimenté dès la mi-2019 et ce, pendant un an, dans deux ou trois régions qui n’ont pas encore été désignées.
MICHELLE OBAMA SERA À BERCY LE 16 AVRIL 2019 ...
Sa venue à Paris, initialement prévue le 5 décembre dernier, avait été annulée pour cause de manifestations des Gilets jaunes. Drôle de communication… Pour faire la promotion de son autobiographie «Devenir » publiée chez Fayard, Michelle Obama parcourt le monde comme une rockstar. Le producteur de sa tournée n’est autre que Live Nation, le promoteur de spectacles le plus puissant du monde.
Après le succès des 12 rencontres programmées en 2018 essentiellement aux Etats-Unis, Live Nation vient d’annoncer 21 nouvelles dates en 2019.
L’ancienne First Lady se produit dans de très grandes salles, principalement des arenas. Le concept de ces rencontres est présenté « comme une conversation avec Michelle Obama ». Star de la soirée, l’épouse de Barack joue à fond sur son image d’icône et de mentor. Il faut naturellement payer pour aller l’écouter et le prix du billet reste élevé. La mise en vente des nouveaux tickets se fera sur son site, le 15 décembre à 10 heures.
La date parisienne, initialement prévue le 5 décembre à la Seine Musicale, a été annulée pour cause de manifestations des Gilets Jaunes. Finalement, Michelle Obama reviendra le 16 avril en France, mais cette fois dans une salle encore plus grande. Elle s’offre Bercy, soit l’AccorHotels Arena.
« Les participants pourront entendre ses réflexions personnelles sur les événements », explique l’organisateur Live Nation dans un communiqué.
« Devenir » est sorti le 13 novembre et a été publié dans 33 langues. Il s’est vendu à plus de 3 millions d’exemplaires dans tous les formats et éditions au États-Unis comme au Canada. Après six tirages, l’édition reliée atteindra les 3,8 millions d’exemplaires aux États-Unis et au Canada et au total 6 millions dans le monde entier.
(source : leparisien.fr)
Gilets jaunes : la liste des lieux fermés ce week-end à Paris ...
Alors que la nouvelle manifestation des gilets jaunes prévue ce samedi 8 décembre dans la capitale, fait craindre des débordements plus importants encore que le week-end dernier, de nombreux établissements culturels, musées et théâtres en tête, ont prévu de fermer leurs portes par mesure de sécurité. Plusieurs événements ont également été annulés ou reportés par leurs organisateurs.
De nombreux musées et théâtres resteront portes closes : Un grand nombre de musées parisiens n’accueilleront aucun visiteur demain. C’est le cas notamment du Louvre, du Musée d’Orsay et de l’Orangerie, du Grand et du Petit Palais, du Palais de la découverte et du musée de l’Homme, du musée Cernuschi, du musée d’Art moderne de la Ville de Paris.
Quoique situés plus loin des manifestations, certaines musées ont tout de même décidé de fermer leurs portes : le musée Cognac-Jay, la maison de Victor Hugo, le musée des Arts et Métiers, les Catacombes de Paris, la Crypte archéologique de l’île de la Cité et les Archives nationales, notamment. Cette liste, à laquelle on peut ajouter la Tour Eiffel, devrait s’allonger encore un peu, de nombreux autres musées n’ayant pas encore annoncé leur décision. Quant à l’Arc de Triomphe, fermé depuis plusieurs jours, n’ouvrira pas au public avant la semaine prochaine.
Du côté des théâtres, le constat est le même : les théâtres des Champs-Elysées, Marigny et du Rond-Point seront fermés, tandis que la Comédie Française et l’Opéra de Paris (Garnier et Bastille) annulent toutes leurs représentations prévues ce samedi.
Des événements annulés, reportés ou déplacés : De nombreux événement sont également annulés : le Noël des animaux de la SPA, qui devait se tenir place de la République, n’aura pas lieu pour « raisons de sécurité », de même que le match du PSG qui est reporté. La première édition du festival électro INASOUND, qui devait se tenir au Palais Brongniart, a également été reportée. Quant au Téléthon qui devait avoir lieu sur la place de la Concorde, il sera finalement tourné hors de Paris, dans les locaux de « L’Émission Politique » à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine). Le parrain du Téléthon 2018 est le chanteur Pascal OBISPO !!!
Il est a noter que de nombreux commerçants du centre de la capitale risquent également de baisser leur rideau par mesure de sécurité ce samedi 8 décembre.
Gilets jaunes : une nouvelle grande manifestation prévue le 1er décembre ?
Après un samedi très agité sur les Champs-Elysées, une nouvelle journée de mobilisation serait prévue le samedi 1er décembre prochain, tandis qu’Emmanuel Macron devrait annoncer des mesures ce mardi.
Rien ne fera reculer les gilets jaunes, visiblement. Sur Facebook, un nouvel appel à manifester massivement dans les rues de la capitale a été lancé hier sur Facebook, pour le samedi 1er décembre. Unévénement qui comptabilise déjà plus de 26 000 participants et plus de 116 000 personnes intéressées.
Seulement voilà, derrière cet élan de contestation, les heurts survenus ce samedi sur les Champs-Elysées laissent planer le doute sur la tenue de cette troisième grande manifestation intitulée audacieusement : « Acte 3, Macron démission ! ». Parmi leurs principales revendications: plus de pouvoirs d’achats et la suppression des taxes sur les carburants.
Attendu au tournant, Emmanuel Macron a prévu d’annoncer plusieurs mesures pour tenter de calmer la colère, ce mardi 27 novembre. Déjà, le projet de loi « mobilités » présenté aujourd’hui par Elisabeth Borne, la ministre des Transports, prévoit de renoncer à l’installation des péages urbains ainsi qu’à la mise en place de la taxe poids lourds.
Une nouvelle manif des gilets jaunes le 1er décembre à Paris ?
À voir si tout cela aura le don d’apaiser la colère des gilets jaunes, entre ceux qui restent déterminés à suivre leur mobilisation et ceux qui préfèreraient que le mouvement se structure pour éviter les débordements. Des débordements qu’aimeraient aussi éviter les personnes à l’origine de l’appel à manifester le 1er décembre : « Il faudra faire ça proprement. Aucune casse et 5 millions de Français dans la rue » est-il écrit sur la page de l’événement. En effet, une chose est certaine, les gilets jaunes sont même divisés entre eux suite aux incidents survenus sur les Champs-Elysées samedi.
Interrogé par Le Parisien, Benjamin Cauchy, porte-parole des Gilets jaunes en région toulousaine, a, de son côté, nié la tenue d’une manifestation le 1er décembre : « Je suis en relation avec d’autres initiateurs du mouvement. Nous démentons formellement cet appel. Nous verrons ce que nous ferons en fonction de ce que dira Emmanuel Macron mardi » a-t-il précisé avant d’avertir la population sur les instigateurs de ce nouvelle date : « Je ne connais pas les gens qui ont créé cette page mais on est sur de la manipulation, de la récupération, je sais pas si c’est d’extrême droite ou d’extrême gauche ».
Même ton prudent chez Eric Drouet, porte-parole du mouvement en Seine-et-Marne : « Je vous confirme qu’un nouveau rendez-vous a été créé, pas par nous, mais il existe bien ». Idem pour Laëtitia Dewalle, représentante du Val d’Oise, qui assure n’être « au courant de rien ».
Pour ne pas « se mettre la population à dos », les instigateurs du 1er décembre envisagent même un service de sécurité, les gilets rouges, pour éviter tout débordements. Pour rappel, ce samedi 24 novembre, la manifestation a découlé sur 103 interpellations, dont 101 gardes à vue, et 24 personnes, dont 5 chez les forces de l’ordre, ont été blessées.
- Un appel à prendre avec des pincettes donc ! Confronté à la colère des « gilets jaunes », le gouvernement a décidé de renoncer à mettre en place les péages urbains.
Le gouvernement rétro-pédale. La mise en place des péages urbains a en effet été abandonnée et ne figure plus dans le projet de loi d’orientation des mobilités (LOM). S’agit-il d’une conséquence directe de la mobilisation des « gilets jaunes » ? Si le gouvernement s’en défend, difficile pourtant de pas y voir un lien de cause à effet.
L'Elysée porte plainte contre un habitant d'Annecy ...
Selon une information de l’Essor Savoyard, confirmée par l’Elysée auprès de BFM TV, un habitant d’Annecy a été placé en garde à vue pour avoir appelé le service téléphonique du palais présidentiel à 195 reprises en 24 heures.
C’est le chef du service des télécommunications et de l’informatique de l’Elysée qui a porté plainte pour harcèlement, arguant que l’individu avait appelé à de « très nombreuses reprises » et « pendant plusieurs semaines » le standard du palais présidentiel.
De plus, l’homme en question, un professeur de musique d’une quarantaine d’années, n’appelait pas pour exprimer son admiration pour Emmanuel Macron, mais plutôt pour le menacer et l’insulter. Le personnel de l’Elysée refusait de le mettre en relation avec le président jupitérien, donc l’homme s’est défoulé sur les standardistes de façon régulière.
Un habitant d’Annecy en garde à vue après avoir appelé 195 fois l’Elysée en 24h.
La plainte a été déposée durant le mois de septembre pour « menaces personnelles envers les standardistes » et « propos insultants » alors que, selon l’Essor Savoyard, l’homme se serait rendu lui-même au commissariat pour reconnaître ses actes.
En effet, ce dernier ne comptait pas forcément se cacher, n’appelant jamais en masqué. Il ne serait d’ailleurs pas à son premier coup. Lors du mandat de François Hollande, il en aurait fait de même et il s’en serait pris à un haut gradé de la police nationale après l’avoir entendu parler à la télévision.
D’après le Dauphiné Libéré, il revendiquerait tout simplement son droit d’exprimer son mécontentement. En tout cas, il a rendez-vous au tribunal au mois de janvier pour répondre de ses actes.
Photos du Palais de l'Elysée lors des Journées du Patrimoine 2018 ...
Salle à manger / réception de l'Elysée | Perron de l'Elysée |
Entrée par les jardins de l'élysée | Bureau du président de la république |
Historique de l'Hôtel d'Évreux - Palais de l'Élysée - En savoir plus sur le lieu :
Entre 1718 et 1720, l'architecte Armand-Claude Mollet édifie pour le Comte d'Évreux un hôtel qui constitue le corps principal du Palais de l'Elysée, de style classique, suivant les canons français de l'époque. Propriété successivement de la Marquise de Pompadour, de Louis XV, de Nicolas Beaujon qui fait transformer l'hôtel par Étienne-Louis Boullée, puis de Louis XVI, l'hôtel d'Évreux devient la propriété de Napoléon Ier en 1809, qui y signera son abdication le 22 juin 1815. Le 12 décembre 1848, l'Assemblée Nationale assigne "l'Élysée national" comme résidence du Président de la République. Le palais est entièrement rénové sous Napoléon III par Joseph-Eugène Lacroix. Fermé entre le 13 juin 1940 et 1946, le palais retrouve sa fonction présidentielle avec Vincent Auriol. Les visiteurs entreront par la grille du Coq, située au fond des jardins, avant de pénétrer successivement dans les différents salons, dont le salon Murat où se tient le conseil des ministres chaque mercredi, et la salle des fêtes qui accueille les dîners d'État. Les visiteurs emprunteront ensuite l'escalier menant au bureau du Président de la République avant de ressortir du palais par la cour d'honneur. Le collier de grand maître de la Légion d'honneur, des voitures présidentielles et des objets offerts au Président de la République lors de ses déplacements, notamment par d'autres chefs d'État, seront exposés au public.
Type de lieu : Château, hôtel urbain, palais, manoir, Espace naturel, parc, jardin, Lieu de pouvoir, édifice judiciaire, Monument historique, Ouverture exceptionnelle.
L'entrée pour les Journées du Patrimoine se situe par le fond du jardin : Avenue Gabriel, Hôtel d'Evreux, "Grille du Coq", 75008 Paris.
Attention ! Beaucoup de monde ! Fille d'attente jusqu'à la place de la concorde : arrivez tôt !! (attente d'environ 2 à 4h... mais ça vaut le coup ! #boncourage / prévoyez de la batterie, de l'eau, des amis...)
Les monuments les plus visités pour les Journées du Patrimoine :
Le Palais de l'Elysée fait partie des monuments les plus visités de Paris pour les Journées du Patrimoine avec aussi :
> Sénat, palais du Luxembourg (ouverture exceptionnelle) dans le 6ème arrondissement (Paris)
> Sainte-Chapelle et Conciergerie (CMN) dans le 1er arrondissement (Paris)
> Panthéon (CMN) dans le 5ème arrondissement (Paris)
> Animations RATP à Paris
> Banque de France (ouverture exceptionnelle) dans le 1er arrondissement (Paris)
> Assemblée nationale, palais Bourbon et hôtel de Lassay (ouverture exceptionnelle) dans le 7ème arrondissement (Paris)