Thèmes

à méditer actualités amitié amour amitié tendresse animaux artiste peintre artistes divers automne belle journée belles femmes belles images bon mercredi les ptits bouts

Images
Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· POEMES et POETES (587)
· CITATIONS ET PROVERBES (779)
· NOEL ET JOUR DE L'AN (1150)
· HUMOUR (1093)
· LA PENSEE du JOUR (2490)
· ARTISTES DIVERS (457)
· ANIMAUX DOMESTIQUES ET AUTRES (789)
· BRETAGNE (405)
· ENFANTS (1166)
· PEOPLE (547)

Rechercher
Recherchez aussi :

Derniers commentaires Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "yvonne92110" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Articles les plus lus

· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !

· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
· citation : la valeur de l' Amitié
· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
· Sans dessus dessous ... texte de Raymond Devos !
· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !

Voir plus 

Statistiques

Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour : 29.05.2021
37578 articles


Restons toujours ZEN !

 cool     Notez que les commentaires malveillants, insultants ou racistes, ne seront  pas validés  ...    cool     Merci de laisser  éventuellement une trace de votre passage sur mon  "Livre d'Or"  !!!  Vous pouvez également cliquer sur "j'aime",  si vous  avez apprécié  la visite ...

 

REFLEXION

La science et moi ... Qui suis-je vraiment ?

Publié à 14:11 par yvonne92110 Tags : réflexion la science et moi qui suis je vraiment
La science et moi  ...  Qui suis-je vraiment ?
La science et moi : Qui suis-je vraiment ?
 

Certaines données scientifiques nous questionnent sur notre identité. Car face à certains chiffres, nous sommes en droit de nous demander : mais qui sommes-nous vraiment ? Vertige au pays du « Moi ».

 

Pour commencer, la science nous dit que nous sommes faits en moyenne à 70% d’eau. Mais si l’on compte le nombre de molécules d’eau dans une cellule, du fait que ces molécules sont plus petites, il y en a beaucoup. A vrai dire, énormément. « L’eau représente 70% de la masse d’une cellule. Mais si l’on compte les objets, c’est-à-dire le nombre de molécules présentes dans une cellule, celle-ci est alors faite à 99% d’eau. Il faut compter jusqu’à 100 pour trouver un objet qui ne soit pas de l’eau dans une cellule », nous dit le Pr Marc Henry, chercheur en chimie et spécialiste de l’eau. 99% des molécules qui composent nos cellules sont des molécules d’eau, ça commence fort.

                                                                                                                                                                                                           De plus il y a, non pas 2 fois, mais 10 fois, plus de bactéries dans notre corps que de nos propres cellules humaines. 10 puissance 15 bactéries contre 10 puissance 14 cellules. C’est simplement vertigineux. Un zéro de plus sur un chiffre déjà faramineux, ça fait une différence énorme. « C’est-à-dire que (plus de) la moitié de moi-même, ce n’est déjà pas moi-même en quelque sorte », explique Jeremy Narby, un anthropologue qui s’est penché sur la question. Que font-elles là, toutes ces bactéries ? Sont-elles en train de nous parasiter ? Pas du tout. « Nous avons besoin de ces bactéries pour préserver le bon fonctionnement de notre écologie interne. Par exemple, nous ne pouvons pas synthétiser toutes nos vitamines sans elles, ou encore, la présence de certaines bactéries ou certains champignons nous aide à éloigner d’autres bactéries ou champignons », explique Dorion Sagan, fils et collaborateur de Lynn Margulis, une biologiste spécialiste des bactéries.

                                                                                                                                                                                       Il y a aussi que les cellules humaines de notre corps, celles qui ne sont pas des bactéries, sont quand même issues de bactéries. Décidément. « Nos propres cellules, celles qui composent nos tissus, sont le résultat d’une symbiose de plusieurs bactéries qui ont accepté de fusionner pour former une cellule plus complexe », poursuit Dorion Sagan. Comme nous l’explique l’article « La coopération du vivant » (Inexploré n°21), il y a de cela des milliards d’années des bactéries ont accepté de s’emboîter pour être plus efficaces ensemble, ce qui a donné naissance à l’ancêtre de la cellule humaine. Et nous pourrions continuer à sortir d’autres données étonnantes du chapeau de la science, sur la composition de notre corps humain… La question qui émerge alors, est : qui sommes-nous dans tout ça ?

                                                                                                                                                                                                                      Le tout est plus que la somme de ses parties :

                                                                                                                                                                                                  Ce que ces données nous amènent surtout à comprendre, c’est que nous ne sommes pas une « chose » ou un objet spécifique, à part du reste du monde. Nous sommes composés des mêmes éléments chimiques et des mêmes bactéries qui composent la nature. Cela fait que nous ne pouvons pratiquement pas, par exemple, trouver de molécules qui soient exclusivement humaines. Nous aurions bien quelques gènes à nous, mais très peu au final. Nous partageons la très grande majorité de notre génome avec nos cousins les primates. Alors qu’est-ce qui explique nos caractéristiques ? Qu’est-ce qui fait de nous des êtres humains ? Car, si sous les microscopes la différence n’est pas frappante, il est indiscutable qu’à grande échelle nous avons nos spécificités.

                                                                                                                                                                                La réponse ne se trouverait pas dans les composants de notre corps, mais dans la manière dont ils s’organisent. De nombreux philosophes et scientifiques expliquent que c’est dans l’agencement spécifique des parties qui nous composent, et dans la manière qu’elles ont de produire un flux d’information, que la caractéristique de toute chose apparaît. Nous serions alors composés d’échantillons du monde, agencés de manière humaine. « En biologie, les nouvelles découvertes nous montrent que la cohérence d’ensemble émerge de l’interaction entre les parties, mais n’existe pas dans les parties elles-mêmes », nous explique le philosophe des sciences Erwin Laszlo dans ses cours à la Giordano Bruno Globalshift University. Une qualité autre que celle contenue dans les éléments émerge, se manifeste. Certains l’appellent information, d’autres conscience, car il semble quand même bien y avoir une intelligence à l’œuvre. Au cours de son évolution, la vie aurait donc tendance à se complexifier. Elle produirait constamment de nouvelles formules, avec les mêmes éléments de base, permettant l’apparition de capacités et états de conscience novateurs. « Comme l’explique le biologiste Ludwig Van Bertalanffy, l’évolution crée à chaque étape une nouvelle stabilité dynamique d’une complexité supérieure. Une nouvelle conscience émerge, qui unifie les informations échangées entre les composants », poursuit Erwin Laszlo. Nous sommes une sorte de table périodique des éléments organisée en une splendide mosaïque en 3 – et peut-être plus – dimensions qui donne la vie à la conscience humaine.

                                                                                                                                                                                                                     Un micro-écosystème en dialogue constant avec le monde :

                                                                                                                                                                                        Composé des mêmes éléments que le monde, notre corps s’inscrit dans une continuité de matière et d’information avec la biosphère – le monde vivant sur cette planète. Ce sont le même air, la même eau, les mêmes nutriments, les mêmes particules de lumière, qui sont à l’intérieur et à l’extérieur de nous et des autres êtres vivants. Ca circule constamment, majoritairement à notre insu. Nous sommes alors faits d’une danse de poussière d’étoiles car les atomes qui font notre corps sont vieux comme le monde et ils continuent de circuler. « La vie est un continuum qui n’a jamais été rompu depuis qu’elle est apparue et l’homme est totalement imbriqué dans ce système », souligne Dorion Sagan. Les bactéries avec lesquelles nous vivons en symbiose sont des témoins privilégiés de cet enchevêtrement. Elles participent à des transferts de gènes dont nous ne soupçonnons même pas la rapidité et l’ampleur. « En tant qu’individus, nous sommes déjà remplis de toutes sortes d’intelligences qu’on commence à découvrir. Sans parler du fait que n’importe quel être, n’importe quel brin d’herbe à côté de moi, est également une sorte de cathédrale cellulaire, un organisme sensible qui perçoit. Tout l’édifice de la vie sur terre grouille d’une intelligence énorme et biologique, et on en fait partie », raconte Jeremy Narby.

                                                                                                                                                                                                                           Un véritable tapis de vie, s’étendant d’à peu près 10 km en deçà de la croûte terrestre à 15 km au dessus, tissé des relations de tous les éléments qui le composent, serait alors traversé par des flots constants d’informations de différentes natures. Et nous sommes des perles entrelacées dans cette étoffe. « Nous sommes un système vivant ouvert, qui échange continuellement de la matière, de l’énergie et de l’information avec l’environnement. Le monde n’est pas en dehors de nous et nous ne sommes pas en dehors du monde », explique Erwin Laszlo. Ce que cela dit est que nous serions traversés de courants d’informations autres que purement humaines. « Notre sentiment d’unité n’est qu’une fraction de la multitude d’états théoriquement disponibles pour nous, et auxquels nous accédons en états modifiés de conscience. Donc il semblerait que ce dont nous faisons l’expérience, lorsque nous pensons être dans notre conscience individuelle, serait plus comme un raccourci. Cela ne veut pas dire que nous ne sommes pas, d’une certaine manière, des individus. Mais je ne pense pas que nous soyons des individus comme nous pensons que nous le sommes », conclut Dorion Sagan. Notre conscience humaine, précieuse, nécessaire à notre cohérence, ne serait qu’un bout d’une vaste conscience à laquelle nous aurions aussi potentiellement accès via notre matière et nos sens. Avons-nous oublié d’écouter aussi le monde en nous ?

                                                                                                                                                                                                                                                                                    (Source : INREES)

Si ... si seulement on pouvait !

Publié à 13:57 par yvonne92110 Tags : réflexion si si seulement on pouvait
Si  ...   si seulement on pouvait !

Si...

 

Si la « Note » disait :
"Ce n'est pas une note qui fait une musique"
il n'y aurait pas de symphonie !

Si le « Moi » disait :
"Ce n'est pas un mot qui peut faire une page"
il n'y aurait pas de livre !

Si la « Pierre » disait :
"Ce n'est pas une pierre qui peut monter un mur"
il n'y aurait pas de maison !

Si la « Goutte d`eau » disait :
"Ce n'est pas une goutte d'eau qui peut faire une rivière"
il n'y aurait pas d'océan !

Si le « Grain de sable » disait :
"Ce n'est pas un grain de blé qui peut ensemencer un champ"
il n'y aurait pas de moisson !

Si l' « Homme » disait :
"Ce n'est pas un geste d'amour qui peut sauver l'humanité" .
il n'y aurait jamais de justice et de paix,
de dignité et de bonheur sur la terre des hommes !

Comme la symphonie a besoin de chaque note,
Comme le livre a besoin de chaque mot,
Comme la maison a besoin de chaque pierre,
Comme l'océan a besoin de chaque goutte d'eau,
Comme la moisson a besoin de chaque grain de blé,

L'humanité tout entière a besoin de TOI, de NOUS !

Aimer la main ouverte ... d'après Ruth Sanford !

Publié à 15:06 par yvonne92110 Tags : réflexion aimer la main ouverte d après ruth sanford
Aimer la main ouverte   ...   d'après Ruth Sanford  !

Aimer la main ouverte !

 

 "Une personne compatissante, voyant un papillon lutter pour se libérer de son cocon, et voulant l'aider, écarta avec beaucoup de douceur les filaments pour dégager une ouverture. Le papillon libéré sortit du cocon et battit des ailes, mais ne put s'envoler. Ce qu'ignorait cette personne compatissante, c'est que c'est seulement au travers du combat pour la naissance que les ailes peuvent devenir suffisamment fortes pour l'envol. Sa vie raccourcie, il la passa à terre. Jamais il ne connut la liberté, jamais il ne vécut réellement."
 
Apprendre à aimer la main ouverte est une toute autre démarche. C'est un apprentissage qui a cheminé progressivement en moi, façonné dans les feux de la souffrance et les eaux de la patience. 
J'apprends que je dois laisser libre quelqu'un que j'aime, parce que si je m'agrippe, si je m'attache, si j'essaie de contrôler, je perds ce que je tente de garder.
 
Si j'essaie de changer quelqu'un que j'aime, parce que je sens que je sais comment cette personne devrait être, je lui vole un droit précieux, le droit d'être responsable de sa propre vie, de ses propres choix, de sa propre façon de vivre.
 
Chaque fois que j'impose mon désir ou ma volonté, ou que j'essaie d'exercer un pouvoir sur une autre personne, je la dépossède de la pleine réalisation de sa croissance et de sa maturation. Je la brime et la contrecarre par mon acte de possession, même si mes intentions sont les meilleures.

http://www.larousse.fr/encyclopedie/data/images/1310085-Mue_imaginale_dun_monarque.jpg
 
Je peux brimer et blesser en agissant avec la plus grande bonté, pour protéger quelqu'un. Et une protection et une sollicitude excessives peuvent signifier à une autre personne plus éloquemment que des mots:
 
"Tu es incapable de t'occuper de toi-même, je dois m'occuper de toi parce que tu m'appartiens. Je suis responsable de toi."
 
Au fur et à mesure de mon apprentissage et de ma pratique, je peux dire à quelqu'un que j'aime :
  
Je t'aime, je t'estime, je te respecte et j'ai confiance en toi. Tu as en toi ou tu peux développer la force de devenir tout ce qu'il t'es possible de devenir, à condition que je ne me mette pas en travers de ton chemin. Je t'aime, tant que je peux te laisser la liberté de marcher à côté de moi dans la joie et dans la tristesse. Je partagerai tes larmes mais ne te demanderai pas de ne pas pleurer. Je répondrai si tu as besoin de moi, je prendrai soin de toi, je te réconforterai, mais je ne te soutiendrai pas quand tu pourras marcher tout seul. Je serai prête à être à tes côtés dans la peine et solitude, mais je ne les éloignerai pas de toi. Je m'efforcerai d'écouter ce que tue veux dire, avec tes paroles à toi, mais je ne serai pas toujours d'accord avec toi.
 

  
 
Parfois, je serai en colère, et quand je le serai, j'essaierai de te le dire franchement, de façon à ne pas avoir besoin d'être irrité de nos différences, ni de me brouiller avec toi. Je ne peux pas toujours être avec toi ou écouter ce que tu dis, parce qu'il y a des moments où je dois m'écouter moi-même, prendre soin de moi. Quand cela arrivera, je serai aussi sincère avec toi que je pourrai l'être."
  
J'apprends à dire cela à ceux que j'aime et sont importants pour moi - que ce soit avec des mots ou par ma façon d'être avec les autres et avec moi-même.
 
Voilà ce que j'appelle aimer la main ouverte.
Je ne peux pas toujours m'empêcher de mettre mes mains dans le cocon ... mais j'y arrive mieux, beaucoup mieux, depuis que je me respecte aussi.
 

(RUTH SANFORD)

Le Bonheur est juste là ... à notre portée !

Publié à 14:44 par yvonne92110 Tags : réflexion le bonheur est juste là à notre portée
Le Bonheur est juste là    ...    à notre portée  !

Où est le bonheur ?

 

Si tu ne trouves pas le bonheur,
 c'est peut-être que tu le cherches ailleurs ...
Ailleurs que dans tes souliers.
Ailleurs que dans ton foyer.

 

Selon toi, les autres sont plus heureux.
Mais toi, tu ne vis pas chez eux.
Tu oublies que chacun a ses tracas.
Tu n'aimerais sûrement pas mieux leur cas.

 

Comment peux-tu aimer la vie
si ton coeur est plein d'envie,
si tu ne t'aimes pas,
si tu ne t'acceptes pas ?

 

Le plus grand obstacle au bonheur, sans doute,
c'est de rêver d'un bonheur trop grand.
Sache cueillir le bonheur au compte-gouttes :
ce sont de toutes petites qui font les océans.

 

Ne cherches pas le bonheur dans tes souvenirs.
Ne le cherches pas non plus dans l'avenir.
Cherches le bonheur dans le présent.
C'est là et là seulement qu'il t'attend.

 

Le bonheur, ce n'est pas un objet
que tu peux trouver quelque part hors de toi.
Le bonheur, ce n'est qu'un projet
qui part de toi et se réalise en toi.

 

Il n'existe pas de marchands de bonheur.
Il n'existe pas de machines à bonheur.
Il existe des gens qui croient au bonheur.
Ce sont ces gens qui font eux-mêmes leur bonheur.

 

Si, dans ton miroir, ta figure te déplaît,
à quoi te sert de briser ton reflet ?
Ce n'est pas ton miroir qu'il faut casser.
C'est toi qu'il faut changer !

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              (Charles-Eugène PLOURDE - Une lumière sur mes pas)

La rose et ses épines ... une réflexion à méditer !

Publié à 14:03 par yvonne92110 Tags : réflexion une rose est ses épines réflexion à méditer
La rose et ses épines   ...  une réflexion à méditer !
 La rose et ses épines  !


Un homme planta une rose et l'arrosa fidèlement, et avant qu'elle ne fleurisse,
Il l'examina. Il vit le bouton qui fleurirait bientôt et aussi les épines.
Et, il pensa, « comment est-il possible qu'une fleur si magnifique
Provienne d'une plante chargée d'autant d'épines pointues ? »
Attristé par cette pensée, il négligea d'arroser la rose,
Et avant qu'elle ne fût prête à fleurir,
Elle mourut.
Il en est ainsi pour beaucoup.
A l'intérieur de chaque âme, il y a une rose.
Les qualités divines plantées en nous à la naissance
Grandissent parmi les épines de nos erreurs.
Beaucoup d'entre nous se regardent eux-mêmes
Et voient seulement leurs épines, leurs défauts.
Nous désespérons, en pensant peut-être que rien de bon ne peut sortir de nous.
Nous négligeons d'arroser le bien qui est en nous
Et finalement il meurt.
Nous ne réalisons jamais notre potentiel.
Quelques personnes ne voient pas la rose à l'intérieur d'elles-mêmes
Quelqu'un d'autre doit la leur montrer.
Un des dons les plus extraordinaires qu'une personne puisse posséder
Est d'être capable de passer à travers les épines
Et de trouver la rose à l'intérieur des autres.
C'est la caractéristique de l'amour,
De regarder une personne, et connaissant ses erreurs,
De reconnaître la noblesse dans son âme,
Et de l'aider à réaliser qu'elle peut dépasser ses erreurs.
Si nous lui montrons la rose, elle fera la conquête des épines.
Alors elle fleurira, et plus loin fleuriront trente, soixante, une centaine de plants
Comme celui qui lui a été donné.
Notre devoir en ce monde est d'aider les autres
En leur montrant leurs roses et non leurs épines.
Alors seulement nous atteindrons l'AMOUR que nous devrions ressentir pour chacun ;
Alors seulement nous fleurirons dans notre propre jardin !




(texte : trouvé sur le net)

Le temps ... il suffit juste d' y penser parfois !

Publié à 17:19 par yvonne92110 Tags : réflexion le temps il suffit juste d y penser parfois
Le temps  ...   il suffit  juste d' y penser parfois !

Supposez qu'une banque dépose sur votre compte,chaque matin, un montant de 86.400 €.

Elle ne garderait aucun solde d'une journée à l'autre.

Chaque soir, on effacerait tout ce que vous n'auriez pas utilisé durant le jour.

Que feriez-vous ?

Retirer tout jusqu'au dernier sou, bien sûr !

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               Chacun de nous a une telle banque.

Son nom est la banque du TEMPS.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               Chaque matin on dépose à votre compte, 86 400 secondes.

Chaque soir, on efface tout ce que vous n'avez pas utilisé pour accomplir ce qu'il y a de mieux. Il ne reste rien au compte.

Vous ne pouvez pas aller dans le rouge.

Chaque jour, un nouveau dépôt est fait.

Chaque soir, le solde est éliminé. Si vous n'utilisez pas tout le dépôt de la journée, vous perdez ce qui reste.

Rien ne sera remboursé.

On ne peut emprunter sur «demain».

Vous devez vivre avec le présent, avec le dépôt d'aujourd'hui.

Investissez-le de façon à obtenir le maximum en santé, prospérité, bonheur et succès !

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                Les aiguilles tournent.

Faites le maximum aujourd'hui.

Appréciez chaque moment que vous avez !

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     Appréciez-le plus encore quand vous le partagez avec quelqu'un de spécial, assez spécial pour avoir besoin de votre temps.

 Rappelez-vous que le temps n'attend après personne !

Et vous que feriez-vous ... dans cette situation !

Publié à 12:49 par yvonne92110 Tags : réflexion et vous que feriez vous dans cette situation
Et vous que feriez-vous   ...  dans cette situation !

Une compagnie qui recrutait du personnel, a posé la question suivante à 200 candidats ( autant hommes que femmes ) et leur a demandé une réponse écrite.  

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             De retour à la maison, dans votre voiture sport, en plein milieu d'une terrible tempête, vous passez devant un arrêt de bus et vous y voyez 3 personnes  :

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                           a) Une dame âgée gravement malade et qui mourra si elle n'arrive pas à l'hôpital à temps.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 b) Un médecin, bon ami à vous, qui vous a sauvé la vie il y a quelques années.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              c) L'être le plus beau que vous n'ayez jamais eu la chance de rencontrer, la personne à qui vous avez toujours rêvé et avec laquelle vous seriez disposé à passer le reste de votre vie.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              Comme votre auto est du genre sport, vous pouvez  prendre un seul passager ... Que feriez-vous  ?

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         Ceci est un test de personnalité  ...   Réfléchissez bien :
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   a) La vie de la dame âgée est en jeu.
b) Le médecin qui vous a sauvé la vie, vous pourriez toujours le rétribuer d'une manière ou d'une autre.
c) Mais, comment faire pour ne pas perdre cet amour parfait ?

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                    Des 200 candidats, seulement un a obtenu le travail, et sa réponse vous la trouverez plus bas, mais auparavant, réfléchissez à ce que vous feriez si vous étiez dans cette situation et ensuite, comparez votre réponse avec celle de l'unique personne qui a été engagée par l'entreprise.

(ne trichez pas, regardez la réponse ci-dessous, seulement après avoir choisi !)

 

 

 

 

Voici la réponse de la seule personne qui a fait un excellent choix  :

" Je donne les clés de mon auto au médecin pour qu'il amène la dame âgée à l'hôpital et je reste pour attendre l'autobus avec la personne de mes rêves"

Quatre principes de ... sagesse !

Publié à 15:37 par yvonne92110 Tags : réflexion quatre principes de sagesse
Quatre principes de   ...  sagesse !

Quiconque vous rencontrez est la bonne personne.
 Personne n'arrive dans notre vie par hasard. Toute personne près de nous, toute personne avec qui nous entrons en contact, est là pour nous enseigner quelque chose, ou pour nous aider à améliorer une situation présente.


Peu importe ce qui est arrivé, c'est la seule chose qui pouvait arriver.
Rien, absolument rien de ce que nous avons expérimenté n'aurait pu être autre chose, même dans le moindre détail. Il n'y a pas de "Si seulement j'avais agi différemment ... ça aurait été différent". Non. Ce qui s'est passé est la seule chose qui aurait pu, et a du prendre place dans notre vie pour apprendre la leçon et avancer. Chacune des circonstance de notre vie est absolument parfaite.


Chaque moment est le bon moment.
Toute chose commence exactement au bon moment. Ni trop tôt ni trop tard. Quand nous sommes prêts pour quelque chose de nouveau dans notre vie, c'est là, prêt à débuter.


Ce qui est terminé est terminé.
Lorsque quelque chose se termine dans notre vie, cela aide notre évolution. C'est pourquoi, enrichis par l'expérience, il vaut mieux lâcher prise et avancer.

Le sexisme ordinaire ... au travail !

Publié à 13:38 par yvonne92110 Tags : réflexion le sexisme ordinaire au travail
Le sexisme ordinaire  ...   au travail  !
"Cocotte", "ma puce"  … Les mots du sexisme ordinaire au travail ...
 
Au bureau, le sexisme ordinaire travaille toujours à plein temps, rapporte une étude commandée par le Conseil supérieur de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes (CSEP) à l’institut LH2.
Les attitudes sexistes en entreprise ? Un vieux truc assurément. Et pourtant le sondage* de l’institut LH2 pour Conseil supérieur de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes (CSEP) a été réalisé au mois de septembre. Pas vraiment au moyen-âge et pas vraiment dans des milieux professionnels particulièrement masculins ni dans des métiers sous qualifiés, puisque la très grande majorité des répondants sont des cadres. On y apprend que 8 femmes sur dix considèrent que leurs congénères « sont régulièrement confrontées à des attitudes ou des décisions sexistes ». On pourrait se tranquilliser en se disant que les quolibets qu’elles subissent au boulot (elles sont 81% a en essuyer), les petits noms dont on les affuble, les « cocottes », les « Barbie » et autres « ma puce » n’auraient aucune prise sur elles. Mais au contraire. 92% d’entre elles estiment qu’ils « peuvent modifier le comportement des salariés », qu’ils « déstabilisent le travail de ceux qui les subissent » et « ont un impact sur la confiance en soi ». Et ce n’est pas seulement une projection, puisque 54% estiment avoir rencontré un frein dans leur carrière en raison de leur sexe. Difficile d’être plus clair envers ceux qui considèrent que ces petits noms sont de simples signes d’affection.

Les blagues sur les blondes ont la vie dure :

La publication de ces chiffres a choqué Abdel Aïssou. « Ils me replongent 6 ans en arrière ». A l’époque, le directeur général de Randstad France fait le même constat dans son entreprise. Mais il prend les choses en main, en interdisant les blagues sur les blondes et toutes les manifestations de sexisme, surtout, en expliquant et en formant ses managers. «L’exemple doit venir d’en haut ». Qui dit interdiction, dit punition ? « Non, il suffit d’y mettre de la bienveillance, expliquer que l’humour unilatéral employé par les hommes envers les femmes, doit devenir collatéral. » C’en est peut-être fini des « bons mots » sur les blondes dans l’entreprise d’intérim, pas dans les autres boîtes françaises, ou 69% des personnes interrogées affirment en avoir été victime. Une thématique suivie, dans 59% des cas du sempiternel « elle est de mauvaise humeur, elle doit avoir ses règles ».
Les hommes ne voient pas toujours le problème

Reste que pour faire évoluer les rapports hommes – femmes au bureau, la prise de conscience doit être réelle. Et si elle semble claire du côté féminin, leurs homologues masculins semblent avoir un bout de chemin à franchir. Lorsqu’elles sont 80% à pointer un problème, ces messieurs ne sont que 56%. De même, quand 49% des femmes expliquent qu’elles sont déjà été affublées de surnoms sexistes, les hommes ne sont que 38% à en avoir été témoins. Les convaincre eux pour qu’elles soient mieux dans leur entreprise semble donc nécessaire. « C’est aux dirigeants de s’en occuper, d’autant que c’est totalement bénéfique pour l’entreprise en termes de cohésion et de motivation » ajoute Abdel Aïssou. Une opération gagnant-gagnant, en quelque sorte. « Plutôt gagnantes-gagnants ».

* L’étude commandée par le Conseil supérieur de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes (CSEP) a été réalisée par l’institut LH2 sur la base de deux enquêtes. Un sondage national sur Internet du 12 au 18 septembre auprès d’un échantillon représentatif de 1 000 cadres (39 % de femmes et 61 % d’hommes) travaillant au sein d’établissements de 250 salariés et plus. Mais aussi une consultation en ligne réalisée du 24 septembre au 12 novembre auprès de 14 651 salariés (92 % de cadres, 55 % de femmes et 45 % d’hommes) de neuf entreprises françaises (Orange, LVMH, SNCF, Air France, Radio France, France Télévisions, RATP, GDF Suez, La Poste).


(Source : Cadremploi.fr)

Un texte fort émouvant ... l'homme et son chien !

Publié à 14:25 par yvonne92110 Tags : réflexion un texte fort émouvant l homme et son chien
Un texte fort émouvant  ...  l'homme et son chien  !

Un homme et son chien marchaient le long d’une route. L’homme admirait le paysage quand tout à coup il réalisa qu’il était mort.
Il se rappela sa mort et réalisa aussi que son chien était mort depuis des années.
Il se demandait où le chemin les amènerait.
Après un moment, ils approchèrent d’une grosse roche blanche. Elle ressemblait à une bille.
Rendus au sommet, elle était fendue et une lumière jaillit.
Quand il s’approcha, il vit une route en or pur et une magnifique entrée.
L’homme et son chien marchèrent jusqu’à la porte, et au fur et à mesure qu’ils approchèrent,
l’homme vit un autre homme assis à une table.
Quand il fut assez proche, il demanda à l’homme :

« Où sommes-nous ? »
« Vous êtes au paradis monsieur. » « Wowwwwwww ! Est-ce que vous auriez de l’eau » ?
« Certainement ! Entrez, je vais vous faire apporter de l’eau fraîche dans un instant. »

   L’homme fit quelques gestes et la porte s’ouvrit.

« Est-ce que mon chien peut entrer ? », en désignant le chien.
« Désolé monsieur, mais nous n’acceptons pas les animaux. »

  L’homme réfléchit et décida de reprendre le chemin aussitôt. 
 Après une longue marche, au sommet d’une colline,  il croisa une route de terre qui mena à une porte de grange qui avait l’air de n’avoir été jamais fermée. Il n’y avait pas de clôture. 
Alors qu’il s’approchait, il vit un homme adossé sur un arbre, qui lisait un livre.

« Excusez-moi monsieur est-ce que vous avez de l’eau » « Bien sûr, il y a une pompe un peu plus loin. »  !  « Venez en dedans, je vous la montre. »
« Est-ce que mon ami, peut venir aussi se désaltérer ?
« Bien sûr, il doit  y avoir un bol près de la pompe. »

Ils traversèrent la porte et virent une vieille pompe avec un bol à ses côtés. L’homme rempli le bol, pris une gorgée et donna le reste au chien. Quand  ils eurent fini, ils retournèrent voir l’homme qui était toujours près de l’arbre.

« Comment appelez-vous cet endroit ? »
« Mais ici c’est le paradis ! »
« C’est surprenant : L’homme que nous avons rencontré un peu plus tôt a dit la même chose tout à l’heure. »
« Ah vous parlez du chemin en or et de la porte en perle ? Non, c’est l’enfer. »
« Mais ça ne vous fâche pas qu’ils utilisent votre nom comme ça ? »
« Non, mais je comprends que vous me posiez la question. Nous sommes contents qu’ils gardent seulement  les gens qui laissent leurs amis derrière eux »

 

  (Auteur inconnu)

  Publié dans Textes à méditer
  Philosophies de vie
  Posté par emergence du coeur