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REFLEXION

Du temps de Grand-Maman ... C'était juste Hier !

Publié à 16:17 par yvonne92110 Tags : réflexion du temps de gd maman c était hier
Du temps de Grand-Maman  ...  C'était juste Hier !

Du temps de grand-maman !

 

Une petite fille parlait avec sa grand-mère de drogues à l'école et d'ordinateurs portables.

Et la grand-mère répondit :

 - Moi, je suis née avant la télévision et tout ceci n'existait pas encore :

 - Les mets surgelés ou congelés

 - les lentilles de contact

 - ni la pilule du lendemain

 

Il n'y avait pas non plus à cette époque :

- de radars

- de cartes de crédit

- de micro-ondes

- de climatiseurs

- de lave-vaisselle ni de sèche linge.

 

De mon temps on faisait sècher le linge dehors, au grand air.

 

Quand je me suis mariée avec ton papy, c'était pour la vie.

 

Chaque famille avait un papa et une maman.

 

On avait des cours de morale à l'école :

 

On y apprenait la politesse et le respect.

 

On n'avait pas internet pour trouver un amoureux.

 

Pas de crèches pour garder les petits.

 

Le sida ... on ne connaissait pas  !

 

Nous étions responsables et savions la différence entre le bien et le mal.

 

Faire le service militaire et servir notre pays était un devoir et un honneur.

 

Nous partagions notre temps en famille ou avec les ami(e)s, mais nous n'avions pas d'ordinateurs ni de jeux vidéos.

 

Les gars ne portaient pas de boucles d'oreilles et l'on ne voyait pas les filles avec des percings au nombril.

 

Tout ce qu'on achetait était " Made in France" et non pas " Made in China".

 

Et nous avons été la dernière génération à croire qu'il fallait un homme pour faire un bébé à une femme.

 

Pas étonnant que les jeunes nous traitent de " vieux jeu" !

 

- Tu crois que je suis très vieille, eh bien tu vas être surprise, j'ai à peine dépassé les 60 ans  !

Réflexion ... Mais en fait à quel âge est-on vieux ?

Publié à 15:48 par yvonne92110 Tags : réflexion mais à quel age devient on vieux
Réflexion ... Mais en fait à quel âge est-on vieux ?

A six ans, je pensais, je m'en souviens très bien,
Que tous étaient vieux sitôt les dix ans atteints.

Mais lorsque furent mes dix ans bien sonnés,
C'est à quinze ans que je voyais la maturité.

Puis, longtemps après, lorsque j'attrapais mes quinze ans,
Je croyais qu'on est vieux à 21 ans seulement ...

 

Mais lorsque je fus bientôt arrivé à cet âge,
J'opinais qu'à 30 ans on doit devenir sage.

Puis, une fois rendu à 30 ans, c'est curieux,
Je disais: "C'est à 40 ans qu'on devient vieux."

 

Mais la quarantaine vint et, tout fringant,
"Alors, me dis-je, ça doit être à 50 ans ?!"

Puis arrivé à cet âge, je résolus
Qu'on est jeune jusqu'à 60 ans révolus.

 

Mais voici que j'en ai 70 des ans,
Et me trouve aussi jeune qu'à sept quasiment,
Bien sûr, mes cheveux sont un tantinet gris,
Et je marche un peu courbé aussi.

Il est vrai que mes garnements, suivant mes pas,
Me disent parfois: "Dépêches-toi, grand-papa !"

 

Malgré tout, je suis aussi jeune maintenant,
Qu'aux jours où je croyais les gens vieux à dix ans.

Un peu assagi, peut-être par les années,
Et peut-être quelques illusions envolées,

Malgré le poids des ans, dis-moi, ô mon Dieu

Quand est-ce donc qu'on devient vraiment vieux ?!!

 

 (auteur :  Anonyme)

Lutter contre le vieillissement ... selon B. Pivot !

Publié à 15:47 par yvonne92110 Tags : réflexion par b pivot lutter contre le vieillissement
Lutter contre le vieillissement  ...  selon B. Pivot !

Lutter contre le vieillissement c’est, dans la mesure du possible, ne renoncer à rien.
Ni au travail, ni aux voyages, ni aux spectacles, ni aux livres, ni à la gourmandise, ni à l’amour, ni à la sexualité, ni au rêve.
Rêver, c’est se souvenir tant qu’à faire, des heures exquises.
C’est penser aux jolis rendez-vous qui nous attendent.
C’est laisser son esprit vagabonder entre le désir et l’utopie.
La musique est un puissant excitant du rêve. La musique est une drogue douce.
J’aimerais mourir, rêveur, dans un fauteuil en écoutant soit l’adagio du Concerto no 23 en la majeur de Mozart, soit, du même, l’andante de son Concerto no 21 en ut majeur, musiques au bout desquelles se révéleront à mes yeux pas même étonnés les paysages sublimes de l’au-delà.
Mais Mozart et moi ne sommes pas pressés.
 Nous allons prendre notre temps.
Avec l’âge le temps passe, soit trop vite, soit trop lentement.
Nous ignorons à combien se monte encore notre capital.
En années  ? En mois  ? En jours 
?
Non, il ne faut pas
considérer le temps qui nous reste comme un capital.
Mais comme un usufruit dont, tant que nous en sommes capables, il faut jouir sans modération. 
Après nous, le déluge  ? Non, Mozart.

(Bernard Pivot)

Réflexion judicieuse ... "Comment contenter Yvon" !

Publié à 16:11 par yvonne92110 Tags : réflexion jeu de mots comment contenter yvon
Réflexion judicieuse  ... "Comment contenter Yvon" !
Comment contenter Yvon ... (jeu de mots) !


Peu importe ce que tu dis et tu fais ....
Ou ne dis pas et ne fais pas ...
Il y aura des personnes qu' Yvon te critiquer !!!

Si t'es pauvre ... Yvon dire que tu sais pas t'administrer.
Si t'es riche ... Yvon dire que t'es malhonnête.

Si t'as absolument besoin de crédit...  Yvon te le refuser.
Si t'es prospère ...  Yvon te faire des faveurs.

Si t'es en politique ...  Yvon te dire que tu acceptes des pots de vin.
Si t'es pas en politique ...  Yvon dire que t'es pas patriote.

Si t'es charitable ...  Yvon dire que tu veux bien paraître.
Si t'es pas capable de donner ...  Yvon dire que t'es radin.

Si tu pratiques ta religion ...  Yvon dire que t'es "cul béni".
Si t'es pas pratiquant ... Yvon dire que tu fais une mauvaise vie.

Si t'as beaucoup d'peine ...  Yvon dire que tu veux de l'apitoiement.
Si t'es heureux ...  Yvon dire que tu vis sur un nuage rose.
Si t'es affectueux ...  Yvon dire que tu es faible.
Si t'es pas affectueux ...  Yvon dire que t'as pas de coeur.

Si tu meures jeune ...  Yvon dire que tu avais tout pour réussir.
Si tu vis vieux ...  Yvon dire que t'as manqué l' bateau.

Si tu économises ton argent ...  Yvon dire que t'es avare.
Si tu dépenses tes sous ...  Yvon dire que t'es irresponsable.

Si tu travailles fort ... Yvon dire que tu ne profites pas d' la vie.
Si tu ne travailles pas ...   Yvon dire que t'es lâche comme un âne.
 
Mais si tu te fiches d' Yvon ...
Yvon  ... te respecter   !!!

Réflexion très pertinente ... "Je te souhaite assez" !

Publié à 12:56 par yvonne92110 Tags : réflexion très pertinente je te souhaite assez
Réflexion très pertinente  ... "Je te souhaite assez" !
 
Je te souhaite "assez" ... 


Récemment, un père et sa fille dans leurs derniers moments ensemble à l'aéroport. On avait annoncé le départ.

Debout près de la porte de sécurité, ils se sont serrés et le père a dit  :    « Je t'aime et je te souhaite assez. »

La fille a répondu « Papa, notre vie ensemble a été plus qu'assez. Ton amour a été tout ce dont j’avais besoin. Je te souhaite assez, aussi, papa. »

Ils se sont embrassés et la fille est partie. Le père a marché vers la fenêtre où j'étais assis. Je pouvais voir qu’il avait besoin et qu’il voulait pleurer. J'ai essayé de ne pas m'imposer et respecter son intimité, mais il m'a demandé « Vous est-il déjà arrivé de dire au revoir à quelqu'un en sachant que vous ne vous reverriez jamais ? »

« Oui. » j'ai répondu. « Me permettez-vous de vous demander pourquoi vous croyez que vous ne vous reverrez jamais ? ».

« Je suis vieux et elle vit si loin. J'ai de gros défis devant moi et la réalité est que son prochain voyage sera pour mon enterrement» a-t-il dit.

« Quand vous vous disiez au revoir, je vous ai entendu dire « Je te souhaite assez. » Est-ce que je peux vous demander ce que cela signifie ? »

Il a commencé à sourire. « C’est un souhait qui nous vient de plusieurs générations qui nous ont précédé. Mes parents avaient l'habitude de le dire à chacun. » Il a fait une pause un moment et regarda au plafond, comme s’il essayait de se rappeler en détail, et il a souri encore plus. « Quand nous disons « Je te souhaite assez » nous souhaitons que l'autre personne ait une vie remplie de juste assez de bonnes choses pour les garder heureux. » Alors, se tournant vers moi, il a partagé ce qui suit comme s’il récitait un texte mémorisé : 


* Je te souhaite assez de soleil pour maintenir ton attitude lumineuse peu importe que la journée soit grise et moche.

* Je te souhaite assez de pluie pour apprécier le soleil encore plus.

* Je te souhaite assez de bonheur pour maintenir ton esprit vivant et éternel.

* Je te souhaite assez de douleur de sorte que même la plus petite des joies dans la vie puisse te sembler grande.

* Je te souhaite assez de gain pour satisfaire tes besoins.

* Je te souhaite assez de perte pour apprécier tout ce que tu possèdes.

* Je te souhaite assez d’ "Au revoir" pour te permettre de bien te rendre à l’ "Au revoir final".

Il a alors commencé à pleurer et il s’est éloigné ...

On dit que ça prend une minute pour trouver une personne spéciale, une heure pour l’apprécier, un jour pour l’aimer, mais que ça prend une vie entière pour l’oublier.

PRENDS LE TEMPS DE VIVRE … 

A tou(te)s mes ami(e)s et à tous ceux que j’aime,

*** JE VOUS SOUHAITE ASSEZ ! ***

Pensées Philosophiques ... Chinoises et Indiennes !

Publié à 15:40 par yvonne92110 Tags : réflexion pensées philosophiques chinoises indiennes
Pensées Philosophiques  ...  Chinoises et Indiennes !

 

Philosophie chinoise

Pensée du philosophe chinois Chang Ying Yue.

Celui qui, tout au long de la journée...
est actif comme une abeille,
fort comme un taureau,
travaille comme un cheval,
et qui le soir venu, est crevé comme un chien,
devrait consulter un vétérinaire ...
il est fort probable que ce soit un âne.







Quand le dernier arbre sera abattu,
la dernière rivière empoisonnée,
le dernier poisson pêché,
alors vous découvrirez,
que l'argent ne se mange pas.

Proverbe indien







Je ne te souhaiterai pas
de richesses
Ou la lumière des grands.

Mais que, où que tu ailles,

Un coeur malheureux
Soit empli de joie par ton sourire,

Qu'une femme attristée voie
Un rayon de soleil.

Alors ton chemin sera de lumière,
Comme les pas d'un ange dans la nuit.







Quand un homme est fou d'une femme, il n'y a qu'elle qui puisse le guérir de sa folie.



(proverbe chinois)







Aujourd'hui, c'est le grand jour du nettoyage mental.
Jeter au loin tout ce qui vous enchaîne au passé ; tout cela vous fait mal.
Envoyez tout cela aux poubelles ; nettoyez votre coeur ; préparez le à une nouvelle vie, à un nouvel amour ; car nous sommes des êtres passionnés.
Nous sommes capables d'aimer plusieurs fois, parce que nous sommes la manifestation de l'amour.






Le desespoir à l'heure du malheur
est signe de faiblesse.
Faite donc un effort sur vous même.
Pensez au remède
qui peut vous éloigner de vos soucis

(Hitopadesha).




Vieillir ... selon Bernard Pivot !

Publié à 16:28 par yvonne92110 Tags : réflexion vieillir selon bernard pivot
Vieillir  ...  selon Bernard Pivot !

VIEILLIR selon Bernard Pivot

(Extrait de son livre  paru en avril 2011 : "Les mots de ma vie" !)

Vieillir, c'est chiant. J'aurais pu dire : vieillir, c'est désolant, c'est insupportable, c'est douloureux, c'est horrible, c'est déprimant, c'est mortel. Mais j'ai préféré « chiant » parce que c'est un adjectif vigoureux qui ne fait pas triste.

Vieillir, c'est chiant parce qu'on ne sait pas quand ça a commencé et l'on sait encore moins quand ça finira.

Non, ce n'est pas vrai qu'on vieillit dès notre naissance. On a été longtemps si frais, si jeune, si appétissant.

On était bien dans sa peau. On se sentait conquérant. Invulnérable. La vie devant soi. Même à cinquante ans, c'était encore très bien.

Même à soixante. Si, si, je vous assure, j'étais encore plein de muscles, de projets, de désirs, de flamme.

Je le suis toujours, mais voilà, entre-temps ... mais quand ? j'ai vu le regard des jeunes, des hommes et des femmes dans la force de l'âge qu'ils ne me considéraient plus comme un des leurs, même apparenté, même à la marge.

J'ai lu dans leurs yeux qu'ils n'auraient plus jamais d'indulgence à mon égard. Qu'ils seraient polis, déférents, louangeurs, mais impitoyables. Sans m'en rendre compte, j'étais entré dans l'apartheid de l'âge. Le plus terrible est venu des dédicaces des écrivains, surtout des débutants. « Avec respect », « En hommage respectueux », Avec mes sentiments très respectueux ». Les salauds !

Ils croyaient probablement me faire plaisir en décapuchonnant leur stylo plein de respect... Les cons ! Et du «cher Monsieur Pivot» long et solennel comme une citation à l'ordre des Arts et Lettres qui vous fiche dix ans de plus !

Un jour, dans le métro, c'était la première fois, une jeune fille s'est levée pour me donner sa place. J'ai failli la gifler.

Puis la priant de se rasseoir, je lui ai demandé si je faisais vraiment vieux, si je lui étais apparu fatigué.

Non, non, pas du tout, a-t- elle répondu, embarrassée.

J'ai pensé que ? » Moi aussitôt : «Vous pensiez que ? --

Je pensais, je ne sais pas, je ne sais plus, que ça vous ferait plaisir de vous asseoir ... Parce que j'ai les cheveux blancs ... ?

Non, c'est pas ça, je vous ai vu debout et comme vous êtes plus âgé que moi, ça été un réflexe, je me suis levée ...--

Je parais beaucoup beaucoup plus âgé que vous ... ?

Non, oui, enfin un peu, mais ce n'est pas une question d'âge ... --

Une question de quoi, alors ... ?

Je ne sais pas, une question de politesse, enfin je crois ? »

J'ai arrêté de la taquiner, je l'ai remerciée de son geste généreux et l'ai accompagnée à la station où elle descendait pour lui offrir un verre.

Lutter contre le vieillissement c'est, dans la mesure du possible, ne renoncer à rien.

Ni au travail, ni aux voyages, ni aux spectacles, ni aux livres, ni à la gourmandise,

ni à l'amour, ni à la sexualité, ni au rêve.

Rêver, c'est se souvenir tant qu'à faire, des heures exquises.

C'est penser aux jolis rendez-vous qui nous attendent.

C'est laisser son esprit vagabonder entre le désir et l'utopie.

La musique est un puissant excitant du rêve. La musique est une drogue douce.

J'aimerais mourir, rêveur, dans un fauteuil en écoutant soit l'adagio du Concerto no 23 en la majeur de Mozart, soit, du même, l'andante de son Concerto no 21 en ut majeur, musiques au bout desquelles se révéleront à mes yeux pas même étonnés les paysages sublimes de l'au-delà.

Mais Mozart et moi ne sommes pas pressés. Nous allons prendre notre temps.

Avec l'âge le temps passe, soit trop vite, soit trop lentement.

Nous ignorons à combien se monte encore notre capital. En années ? En mois ? En jours ?

Non, il ne faut pas considérer le temps qui nous reste comme un capital.

Mais comme un usufruit dont, tant que nous en sommes capables, il faut jouir sans modération. Après nous, le déluge ? Non, Mozart.

Une belle réflexion ... Les différents âges de la Vie !

Publié à 16:09 par yvonne92110 Tags : réflexion les différents ages de la vie à méditer
Une belle réflexion ... Les différents âges de la Vie !

* Les âges de la Vie*

 

   6 ans : J'ai appris que j'aime mon institutrice parce qu'elle pleure un petit peu quand on chante « Petit Papa Noël ».

7 ans : J'ai appris que notre chien n'aime pas non plus mes brocolis.

9 ans : J'ai appris que quand je fais signe bonjour aux gens qui travaillent dans les champs, ils s'arrêtent et me font signe bonjour aussi.

 12 ans : J'ai appris que quand je viens juste d'arranger ma chambre comme je l'aime, maman me demande de la nettoyer !

14 ans : J'ai appris que si tu veux te donner du coeur à l'ouvrage, c'est mieux si tu commences par encourager quelqu'un d'autre.

 15 ans : J'ai appris que, bien qu'il ne soit pas question que je l'admette ouvertement, je suis secrètement heureuse que mes parents soient stricts avec moi.

24 ans : J'ai appris que tenir compagnie en silence est souvent bien mieux que saturer d'un tas d'avis inutiles.   

26 ans : J'ai appris que brosser les cheveux de ma fille est l'un des plus grands plaisirs de ma vie.

 29 ans : J'ai appris que, où que j'aille, les plus mauvais chauffeurs du monde m'y ont suivi !

 39 ans : J'ai appris que, si quelqu'un se répand en calomnies à mon sujet, il me suffit de continuer à vivre normalement pour démontrer silencieusement qu'il s'agit de mensonges.

42 ans : J'ai appris qu'il y a des gens qui vous aiment très fort mais qui, simplement, ne savent pas le montrer.

44 ans : J'ai appris que l'on peut rendre quelqu'un heureux rien qu'en envoyant un petit mot par la poste.

46 ans : J'ai appris que plus quelqu'un se sent coupable et plus il a besoin de rejeter la faute sur les autres.

47 ans : J'ai appris qu'enfants et grands-parents sont des alliés naturels et spontanés.

48 ans : J'ai appris qu'aujourd'hui la vie continue et qu'elle sera meilleure demain.

49 ans : J'ai appris que chanter "Les Copains d'Abord" peut me remonter le moral pendant des heures.

50 ans : J'ai appris que les matelas des hôtels sont plus confortables du côté opposé au téléphone.

 52 ans : J'ai appris que l'on peut se faire une idée très précise du caractère d'une personne selon sa façon de se comporter face à ces trois ennuis : un jour de pluie, des bagages égarés, ou des guirlandes de Noël complètement emmêlées.

 53 ans : J'ai appris que, quels qu'aient été vos contacts avec vos parents, ils vous manquent terriblement après leur décès.

 58 ans : J'ai appris que gagner sa vie n'est pas synonyme de la vivre.

61 ans : J'ai appris que si tu veux faire quelque chose de constructif pour tes enfants, tu dois faire en sorte d'améliorer la qualité de ta vie conjugale.

64 ans : J'ai appris qu'il ne faut pas se promener dans la vie en portant des gants de boxe : quelquefois, il faut pouvoir appuyer sur le bouton pour envoyer l'ascenseur.

65 ans : J'ai appris que si tu poursuis férocement le bonheur, il t'échappe. Mais si tu te concentres sur ta famille, ton prochain, ton travail, la rencontre des nouvelles relations, et si tu essaies toujours de faire de ton mieux, alors le bonheur te rattrapera.

66 ans : J'ai appris que quand je décide quelque chose simplement par gentillesse, c'est neuf fois sur dix la bonne décision.

72 ans : J'ai appris qu'une petite prière ne peut faire de mal à personne.

75 ans : J'ai appris qu'il est important de croire aux miracles. D'ailleurs j'en ai vu plusieurs.

82 ans : J'ai appris que ce n'est pas parce que j'ai mal que je dois faire du mal aux autres.

92 ans : J'ai appris que j'ai encore un tas de choses à apprendre.

(Auteure inconnue)

Non, les Ecolos de 2013 ... n'ont pas de leçons à donner !

Publié à 15:11 par yvonne92110 Tags : réflexion les écolos 2013 n ont pas de lecons à donner
Non, les Ecolos de 2013  ... n'ont pas de leçons à donner !
Le mouvement vert en 2013 ... versus de celui des années 50 !  
 
Lorsqu'une dame dans la soixantaine choisit le sac en plastique pour ses produits d'épicerie, la caissière lui a reproché de ne pas se mettre au "vert".
 
La caissière dit à la femme que la génération de la vieille femme ne comprenait tout simplement pas le mouvement environnementaliste ; que seuls les jeunes allaient payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources.
La dame s'est excusée auprès d'elle et lui a expliqué : " Je suis désolée, nous n'avions pas "le mouvement vert" dans mon temps." 
 
Alors qu'elle quittait le magasin, la mine déconfite, la caissière en rajouta :  "Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à notre dépens. C'est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l'environnement dans votre temps !" 
 
La dame admit qu'à l'époque, on retournait les bouteilles de lait, les bouteilles de Coke et de bière au magasin.  Le magasin les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau ; on utilisait les mêmes bouteilles à plusieurs reprises.
 
À cette époque, les bouteilles étaient réellement recyclées, mais on ne connaissait pas "le mouvement vert". 
 
En mon temps, on montait l'escalier : on n'avait pas d'escaliers roulants dans tous les magasins ou dans les bureaux.  On marchait pour aller à l'épicerie aussi.  On ne prenait pas un bolide de 300 chevaux-vapeur chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux coins de rue. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas "le mouvement vert".
 
À l'époque, on lavait les couches de bébé ; on ne connaissait pas les couches jetables. On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde à linge ; pas dans un machine énergétique avalant 220 volts. On utilisait l'énergie éolienne et solaire pour vraiment sécher les vêtements.
 
À l'époque, on recyclait systématiquement les vêtements qui passaient d'un frère ou d'une soeur à l'autre. C'est vrai ! On ne connaissait pas "le mouvement vert".
 
À l'époque, on n'avait qu'une TV ou une radio dans la maison ; pas une télé dans chaque chambre.  Et la télévision avait un petit écran de la taille d'une boîte de pizza, pas un écran de la taille du Mont Blanc. Dans la cuisine, on s'activait pour brasser les plats et pour préparer les repas ;  on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts. 
Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait des rembourrages comme du papier journal ou de la ouate, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.
 
À l'époque, on utilisait du "jus-de-bras" pour tondre le gazon ; on n'avait pas de tondeuses à essence auto-propulsées.
 
 À l'époque, on travaillait fort physiquement ; on n'avait pas besoin d'aller dans un club de santé pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité. Mais, vous avez raison : on ne connaissait pas "le mouvement vert".
 
À l'époque, on buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif ; on n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à chaque fois qu'on voulait prendre de l'eau. On remplissait les plumes fontaine au lieu d'acheter un nouveau stylo ; on remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir tout simplement à chaque rasage. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas "le mouvement vert".
 
À l'époque, les gens prenaient le tramway et les enfants prenaient leur vélo pour se rendre à l'école au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi de 24 heures sur 24. On avait une prise de courant par pièce (s'il y avait l'électricité, qui n'était pas encore en service partout), pas une bande multi-prises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 La dame avait raison : à son époque, on ne connaissait pas le mouvement "vert" : "mais on vivait chaque jour de la vie, dans le respect de l' environnement" !!! 

La Bienveillance ... Un beau sentiment à notre portée !

Publié à 12:39 par yvonne92110 Tags : réflexion la bienveillance un beau sentiment pour tous
La Bienveillance  ... Un beau sentiment à notre portée !
La bienveillance c’est ...   
de savoir s’émerveiller comme un enfant, 
de rire de bon coeur en agréable compagnie, 
de savoir dire « je t’aime », 
de s'autoriser des moments de tendresse, 
d’avoir assez de grandeur d’âme pour tout pardonner, 
de regarder un bon film et de laisser libre cours à ses sentiments, 
de regarder ce qui a été accompli et non ce qu’il nous reste à faire, 
d’être maître de soi et non des autres, 
de posséder l’humour nécessaire pour surmonter les difficultés 
de la vie, 
 de reconnaître que le négatif existe, mais de décider de ne pas lui ouvrir la porte.  
de ne pas se prendre au sérieux , de donner un sens à sa vie.
 
(auteur inconnu)