La vie est un escalier !

Certains d’entre nous montent,
d’autres descendent et certains restent assis un instant, parfois longtemps, sur une marche.

Dans cet escalier,
on y fait des rencontres, des bonnes, parfois même des mauvaises.
En fait, chaque marche est une rencontre.
Parfois une personne, d’autres fois un sentiment,
un souvenir, peu importe.

Quelque soit notre chemin, ascendant ou descendant,
prenons conscience de chaque marche,
Et de ce que l’on nous y laisse.

Ne jamais rater de marche,
Ne jamais rater une rencontre,
Même les pires ont leur importance.

(auteur inconnu)

                                        ♥  A IO ANS,  LE COEUR SE REPOSE,

                                ♥  A 20 ANS,  LE COEUR SOUPIRE,

                                ♥  A 30 ANS,  LE COEUR REGRETTE,

                                ♥  A 40 ANS,  LE COEUR SE BRISE,

                                ♥  A 50 ANS,  LE COEUR SE RANIME,  

                               "MAIS QUOIQU'IL EN SOIT, ON A TOUJOURS  

                       20 ANS DANS UN COIN DE SON COEUR " !

William Faulkner est un écrivain qui avait le sens de la formule. Ses nombreux romans et nouvelles sont parsemés de citations toutes plus époustouflantes les unes que les autres. DGS vous en fait découvrir cette sélection de 10 citations poétiques et philosophiques.

Tiré du livre Requiem pour une Nonne.

Tiré du livre Le Bruit et la Fureur.

Tiré du livre Le Bruit et la Fureur.

Tiré du livre Les Palmiers sauvages.

Tiré du livre Requiem pour une Nonne.

Tiré du livre Tandis que j’agonise.

Tiré du livre Le Bruit et la Fureur.

Tiré du livre Tandis que j’agonise.

Tiré du livre Les Larrons.

Tiré du livre L’Ours.

Abécédaire du Bonheur ...

J’ai appris ... que quand tu es amoureux, ça se voit.

J’ai appris ... qu’il suffit d’une seule personne, qui te dit un mot gentil,  pour que ta journée soit meilleure. 

J’ai appris ... que tu peux toujours prier pour quelqu’un, quand tu n’as pas la force de l’aider autrement. 

J’ai appris ... que même si la vie veut que tu sois sérieux, on a tous besoin d’un ami pour se divertir. 

J’ai appris ... que souvent ce dont une personne a besoin, c’est une main qui se tend et un coeur qui écoute. 

J’ai appris ... qu’ignorer les faits ne change  pas les faits. 

J’ai appris ... que l’argent n’achète pas le bonheur. 

J’ai appris ... que ce sont les petites choses de la vie qui la rendent si belle. 

J’ai appris ... que sous le blindage de chacun, il y a toujours quelqu’un qui désire être aimé et respecté. 

J’ai appris ... que quand tu veux te venger de quelqu’un, laisses le continuer à faire du mal. 

J’ai appris ... que c’est l’amour pas seulement le temps qui soigne les blessures. 

J’ai appris ... que le meilleur moyen de grandir c’est de s’entourer de personnes plus intelligentes que soi. 

J’ai appris ... qu’être bon est plus important qu’être fort. 

J’ai appris ... que le sourire est un moyen économique pour améliorer son aspect. 

J’ai appris ... que quand tu portes rancune et amerturme, le bonheur change de trottoir. 

J’ai appris ... que nous voulons tous vivre en haut de la montagne mais que toute la réussite est dans son ascension, pendant l’escalade. 

ET POUR TERMINER J’AI APPRIS AUSSI QUE... "MA VIE SANS MES AMI(E)S, SERAIT L’ENDROIT LE PLUS TRISTE AU MONDE".

(Auteur inconnu)

Le test des trois Passoires !

  Socrate avait, dans la Grèce antique, une haute opinion de la sagesse.

 Quelqu'un vient un jour trouver le grand philosophe et lui dit :

- Sais-tu ce que je viens d'apprendre sur ton ami ?

- Un instant, répondit Socrate. Avant que tu me racontes, j'aimerais te faire passer un test, celui des 3 passoires :

- Les 3 passoires ?

- Mais oui, reprit Socrate. Avant de me raconter toutes sortes de choses sur les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l'on aimerait dire. C'est ce que j'appelle le test des 3 passoires. La première passoire est celle de la vérité. As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai ?

- Non. J'en ai simplement entendu parler  ...

- Très bien. Tu ne sais donc pas si c'est la vérité. Essayons de filtrer autrement en utilisant une deuxième passoire, celle de la bonté. Ce que tu veux m'apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bon ?
- Ah non ! Au contraire.

- Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n'es même pas certain si elles sont vraies. Tu peux peut-être encore passer le test, car il reste une passoire, celle de l'utilité. Est-il utile que tu m'apprennes ce que mon ami aurait fait ?
- Non. Pas vraiment.

- "Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n'est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire" ?

(Extrait du "pouvoir du moment présent"d'Eckkart Tolle) 

Et vous, n'avez-vous pas un trésor caché tout près de vous ou ... peut-être même en vous ? 

LA CAISSE FERMÉE ...

Un mendiant était assis sur le bord d'un chemin depuis plus de trente ans.

Un jour, un étranger passa devant lui.
 
Vous avez quelques pièces de monnaie pour moi ?

 marmonna le mendiant, en tendant sa vieille casquette,   d'un geste automatique.

«Je n'ai rien à vous donner »

 répondit l'étranger,

qui lui demanda ensuite :

 « Sur quoi êtes-vous assis ? »

 Sur rien, répondit le mendiant, juste une vieille caisse.

Elle me sert de siège depuis aussi longtemps que je puisse m'en souvenir.

 Avez-vous jamais regardé ce qu'il y avait dedans  

« demanda l'étranger »

 Non, répliqua le mendiant,

pour quelle raison ?  «Il n'y a rien »

 Jetez-y donc un coup d'oeil, 

« insista l'étranger »

Le mendiant réussit à ouvrir le couvercle en le forçant.

Avec étonnement, incrédulité et le coeur rempli d'allégresse,

 il constata que la caisse était pleine d'or !!!

 Une ancienne légende raconte qu'un homme vertueux fut injustement accusé d'avoir assassiné une femme noble.

En réalité, le véritable auteur du méfait était une personne influente du royaume.

 C'est la raison pour laquelle on trouva un pauvre bouc émissaire  ...

L'homme vertueux fut jugé. Il savait déjà qu'il n'échapperait pas à la peine capitale.

Le juge, jouant son rôle jusqu'au bout, voulut donner au procès l'aspect de la justice.

 Il dit alors à l'accusé :

Nous connaissons tous ta réputation d'homme vertueux.

Regardes ces deux bouts de papiers :

 sur l'un est écrit le mot "coupable", sur l'autre le mot "innocent".

Tu dois choisir l'un des deux.  Ainsi c'est la main de Dieu qui guidera la tienne et le jugement sera juste.

Bien entendu, le juge qui avait reçu des ordres de la Cour, avait inscrit le mot "coupable" sur les deux bouts de papier.

L'accusé se rendait compte qu'on lui tendait un piège.

Il hésitait à tirer un papier ... Le juge le menaça.

L'accusé ferma les yeux, prit une profonde inspiration et resta silencieux quelques secondes.

La salle commençait à s'impatienter.

Il ouvrit alors les yeux et avec un sourire étrange, piocha l'un des papiers  ...   pour aussitôt l'avaler !

Les magistrats étaient surpris et indignés :

Misérable ! Qu'as-tu fait ? Comment allons-nous prendre connaissance du verdict maintenant ?
C'est très simple répondit l'homme :

Si nous lisons le papier qui reste, nous saurons ce que disait celui que j'ai avalé.

Avec force grognements et une rage mal dissimulée, les magistrats durent libérer leur accusé  ... qui ne fut plus jamais inquiété.

 (source le Net)

Puisque c'était aujourd'hui la "journée mondiale du Blog" ...