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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
37578 articles
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La Carotte, l' Oeuf et le Café ...
Une jeune femme va chez sa mère et lui dit que sa vie est tellement difficile qu'elle ne sait pas si elle peut continuer. Elle veut abandonner, elle est fatiguée de se battre tout le temps. Il semble qu'aussitôt qu'un problème est réglé, un autre apparaît.
Sa mère l'amena dans la cuisine. Elle remplit trois chaudrons d'eau et les place chacun sur la cuisinière à feu élevé. Bientôt, l'eau commence à bouillir.
Dans le premier chaudron, elle place des carottes, dans le deuxième, elle met des oeufs et dans le troisième, elle met des grains de café moulus.
Elle les laisse bouillir sur le feu sans dire un mot. Après 20 minutes, elle retourne à la cuisinière.
Elle sort les carottes et les place dans un bol. Elle sort les oeufs et les place dans un bol. Puis, elle verse le café dans une carafe.
Se tournant vers sa fille, elle dit : "Dis-moi, que vois-tu?"
"Des carottes, des oeufs et du café", répondit sa fille.
La femme l'amena plus près et lui demanda de toucher les carottes. La fille leur toucha et nota qu'elles étaient toutes molles et souples.
La mère lui demanda alors de prendre un oeuf et de le briser. La fille enleva la coquille d'un oeuf et observa qu'il était cuit dur.
Finalement, la mère lui demande de goûter au café. La fille sourit comme elle goûtait son arôme riche.
La fille demanda alors, "Qu'est-ce que ça veut dire maman ? "
Sa mère lui expliqua que chaque objet avait fait face à la même eau bouillante, mais que chacun avait réagit différemment.
La carotte y est entrée forte, dure et solide. Mais après être passée dans l'eau bouillante, elle a ramolli et est devenue faible.
L'oeuf était fragile avec l'intérieur fluide. Mais après être passé dans l'eau bouillante, son intérieur est devenu dur.
Quant aux grains de café, eux, ont réagi de façon unique. Après avoir été dans l'eau bouillante, ils ont changé l'eau.
"Lequel es-tu ? ", demanda la mère à sa fille. "Lorsque l'adversité frappe à ta porte, comment réponds-tu ?
Es-tu une carotte, un oeuf ou un grain de café ? "
Penses-y !
Suis-je la carotte qui semble forte, mais qui dans la douleur et l'adversité devient molle et perd sa force ?
Suis-je un oeuf qui commence avec un coeur malléable, mais change avec les problèmes ?
Ai-je un esprit fluide qui devient dur et inflexible dans la douleur ?
Est-ce que ma coquille ne change pas, mais mon intérieur devient encore plus dur ?
Ou suis-je comme un grain de café ? Le grain change l'eau, il change la source de sa douleur.
Lorsque l'eau devient chaude, il relâche sa fragrance et sa saveur.
Si tu es comme un grain de café, tu deviens meilleure et change la situation autour de toi lorsque les choses en sont à leur pire.
Et vous, comment faites-vous face à l'adversité ?
Comme une carotte, un oeuf ou un grain de café ?
Cela faisait vingt ans que je conduisais un taxi
pour gagner ma vie.
Lorsque que je suis arrivé à 2h30 de l'après-midi,
l’immeuble était sombre, excepté une simple
lumière dans une fenêtre du rez-de-chaussée.
Dans ces circonstances, plusieurs chauffeurs
auraient seulement klaxonné une ou deux fois,
attendu une minute et seraient repartis.
J’ai trop vu de gens démunis dépendant des
taxis comme seul moyen de transport. Donc,
sauf dans des situations à risque, je me suis
toujours rendu à la porte de mes clients.
Cette cliente pourrait bien être quelqu’un
ayant besoin de mon aide. Alors, j’ai marché
jusqu’à sa porte et j’ai sonné.
« Une petite minute ! », a répondu une voix
frêle d’un certain âge.
Une petite femme dans les 80 ans se tenait
devant moi.
Elle portait une robe imprimée et un
chapeau sans bord avec un voile épinglé
dessus, comme quelqu’un sorti d’un film
des années 40.
A ses pieds, il y avait une petite valise
de cuir usagée.
L’appartement était sombre, comme
si personne n’avait vécu dedans depuis
des années. Tous les meubles étaient
recouverts de draps.
Il n’y avait pas d’horloges sur le mur,
pas d’objets de décoration ni de
bibelots sur les étagères. Dans le coin,
il y avait une boîte de carton remplie
de photos.
« Voudriez-vous porter mes bagages
à votre voiture, s’il vous plaît ? »
a-t-elle demandé.
J’ai transporté sa valise jusqu’au taxi,
puis je suis retourné vers elle.
Elle a pris mon bras et nous avons
marché lentement vers le taxi. Elle
continuait à me remercier pour ma
gentillesse.
« Ce n’est rien », lui ai-je répondu,
« J’essais simplement de traiter
mes passagers de la façon dont je
voudrais qu’on traite ma propre mère »
« Vous êtes un bon garçon », me
répondit-elle.
Nous sommes montés dans le taxi
puis, m’ayant donné une adresse,
elle m’a demandé : « Pourriez-vous
me conduire en ville ? »
« Ce n’est pas le chemin le plus
court ! », lui ai-je répondu.
« Oh, ça ne me dérange pas »,
Me répondit-elle, « Je ne suis pas
pressée, je me rends dans une
maison de retraite »
Je l’ai regardé dans le rétroviseur.
Ses yeux humides brillaient et elle
a ajouté : « Il ne me reste plus de
famille et j’ai entendu le docteur
dire que mes jours étaient comptés »
J’ai arrêté le compteur et je l’ai
écoutée. « Quelle route voudriez-
vous que je prenne ? », lui ai-je
demandé.
Pendant les deux heures suivantes,
nous sommes allés en ville. Elle
m’a montré les édifices où elle a
travaillé jadis.
Nous sommes allés dans le quartier
où elle et son mari avaient vécus
quand ils étaient jeunes mariés.
Elle m’a fait arrêter devant un vieil
entrepôt qui avait été, une salle de
danse. Elle s’y rendait souvent pour
danser quand elle était jeune fille.
Parfois, elle me demandait de ralentir
devant un immeuble particulier ou de
m’arrêter à un coin de rue. Là, elle
fixait la noirceur du quartier, ne
disant rien.
Plus tard, vers le déclin du soleil,
elle a soudain dit : « Je suis fatiguée
maintenant, allons-y »
Nous sommes allés en silence
jusqu’à l’adresse qu’elle m’avait
indiquée. C’était un édifice bas,
comme un petit foyer de
convalescence. Avec un chemin
qui passait sous un portique.
Deux infirmiers se sont approchés
du taxi dès notre arrivé. Soucieux
et prévenants, ils surveillaient
chacun de ses mouvements.
Ils devaient l’attendre depuis un
bon moment.
J’ai ouvert le coffre de la voiture
et porté la petite valise jusqu’à
l’entrée. La vieille dame a été
installée dans une chaise roulante.
« Combien je vous dois ? »,
a-t-elle demandé en cherchant dans
sa bourse. « Rien du tout »
« Mais vous devez gagner votre vie ! »
« Il y aura bien d’autres passagers »,
lui répondis-je en souriant …
Machinalement, je me suis penché
vers elle et l’ai serrée dans mes bras.
Essuyant discrètement une larme,
elle m’a dit : « Vous avez donné à
une vieille dame un petit moment
de joie, merci » !
Je lui ai fait un signe de la main,
puis je suis reparti avec mon taxi,
sous la faible lueur des
lampadaires.
Derrière moi, une porte s’est
refermée… Ce son résonne dans
ma tête comme la fermeture
définitive d’une vie.
Je n’ai pas pris d’autres
passagers ce jour-là. J’ai conduit
sans but, perdu dans mes pensées.
Pour le reste de la journée, je
pouvais difficilement parler.
Et si cette femme avait pris
un chauffeur pressé qui était
impatient de finir sa journée
de travail ?
J’aurais même pu refuser cette
course, ou j’aurais pu klaxonner
une fois, puis repartir.
En ressassant ces événements,
je me dis que je n’aurais pas pu
faire quelque chose de plus
important dans ma vie.
Nous sommes souvent conditionnés
à penser que nos vies ne tournent
qu’autour de grands évènements.
Mais de grands moments nous
attendent sans que nous le prévoyons.
Des moments magnifiques que
d’autres peuvent trouver sans intérêt.
Les gens peuvent oublier ce que vous
avez fait ou ce que vous leur avez dit.
Mais ils se rappelleront toujours
comment vous leur avez fait
comprendre qu’ils existaient.
La vie n’est peut-être pas toujours
le « grand bal » que nous espérions.
Mais puisque nous y sommes invités,
Prenons donc le temps de
« Bien danser » …
Les gros cailloux de la vie ...
Un professeur de philosophie se présente un jour devant sa classe, avec une série d'objets inhabituels, dont un bocal, qu'il pose sur son pupitre, face à ses étudiants.
Il commence par le remplir jusqu'au bord supérieur de pierres d'un diamètre situé entre 6 et 7 cm.
Une fois ceci terminé, il demande à la classe si le bocal est rempli. Les élèves répondent que oui.
Le professeur prend alors un sachet rempli de gravillons et le verse dans le bocal.
Il agite le tout, pour égaliser, et voilà que le gravier remplit tous les espaces restés vides.
Après avoir complété cette manipulation, le professeur demande une fois encore si le bocal est maintenant bien rempli.
La classe répond, hilare et intriguée, que oui.
Le professeur se saisit alors d'un petit sac de sable et en verse le contenu dans le bocal.
Évidemment, le sable se fraie un passage dans les interstices qui sont encore disponibles, au grand contentement de la classe.
« Voyez-vous », dit le professeur en s'adressant à ses étudiants, «j'aimerais que vous compariez ceci à votre propre existence ».
« Les grosses pierres représentent les choses extrêmement importantes, comme la vie, la santé, la famille, le couple, la joie de vivre, l'amitié, la foi.
Ces choses qui font que, même si vous perdez tout le reste, votre vie n'en demeurera pas moins remplie.
« Les gravillons représentent, quant à eux, les choses qui sont importantes, mais non essentielles, comme le travail, la maison, la voiture , un loisir, une piscine, des voyages, des bons amis...».
« Enfin, les grains de sable peuvent être comparés aux choses de moindre importance dont vous pouvez facilement vous passer comme les derniers gadgets à la mode, des bijoux, des fantaisies ... ».
« Si vous commencez par mettre le sable dans le bocal, il ne restera plus assez d'espace pour le gravier et les pierres ».
Le professeur demande alors, "pensez-vous vraiment que le bocal est tout à fait rempli ?
Les étudiants sont maintenant surs que la réponse est oui, puisque le sable arrive à raz du bocal mais hésitent un peu, au vu des preuves du professeur.
Il saisit alors un litre d'eau et tout doucement la verse dans le bocal l'eau se disperse harmonieusement dans les espaces, qui à l'évidence, existaient encore dans le bocal.
Voyez-vous, dit-il, l'eau représente l'amour !
Aussi remplie que soit votre existence, il reste toujours de la place pour exprimer votre amour et c'est lui qui fait le lien dans tous les aspects de votre vie et vous comble toujours ...
Et vous quels sont les gros cailloux dans votre vie?
Quelques années avant ma naissance, mon père connut un étranger récemment arrivé dans notre village.
Depuis le début, mon père fut subjugué par ce personnage, si bien que nous en arrivâmes à l’inviter à demeurer chez nous.
L’étranger accepta, et depuis lors il fit partie de la famille.
Moi je grandissais, je n’ai jamais demandé d’où il venait, tout me paraissait évident.
Mes parents étaient enseignants : ma maman m’apprit ce qu'était le bien et ce qu'était le mal, et mon père m’apprit l’obéissance.
Mais l’étranger était un vrai conteur, un véritable enjôleur.
Il nous maintenait pendant des heures fascinés par ses histoires mystérieuses ou rigolotes.
Il avait la réponse à tout ce qui concernait la politique, l’histoire ou les sciences.
Il connaissait tout du passé, du présent, il aurait presque pu parler de l'avenir !
Il fit même assister ma famille à une partie de football pour la première fois.
Il me faisait rire, et parfois il me faisait pleurer.
L’étranger n’arrêtait jamais de parler, mais ça ne dérangeait pas ma Maman.
Parfois elle se levait, sans prévenir, pendant que nous continuions à boire les paroles de l'étranger.
Je pense qu’en réalité, elle était partie à la cuisine pour avoir un peu de tranquillité.
(Maintenant je me demande si elle n’espérait pas en secret qu’il s’en aille.)
Mon père avait ses convictions morales, mais l’étranger lui ne semblait en tenir aucun compte.
Les blasphèmes, les mauvaises paroles, par exemple, personne chez nous, ni voisins, ni amis, ne s’y serait permis.
Ce n’était pas le cas de l’étranger, qui se permettait tout, offusquant mon père et faisant rougir ma maman.
Mon père nous avait totalement interdit l’alcool.
Lui, l’étranger il nous incitait à en boire souvent.
Il nous affirmait que les cigarettes étaient fraîches et inoffensives, et que pipes et cigares faisaient distingué.
Il parlait librement (peut-être trop) du sexe.
Ses commentaires étaient suggestifs, souvent vulgaires et dévergondés.
Maintenant je sais que mes relations ont été grandement influencées par cet étranger pendant mon adolescence.
Nous le critiquions, mais il ne faisait aucun cas de la présence de mes parents. Malgré cela, il était toujours là !
Cinquante ans sont passés depuis notre départ du foyer paternel.
Et depuis lors beaucoup de choses ont changé : nous n’avons plus cette fascination.
Il n’empêche que, si vous pouviez pénétrer chez mes parents, vous les retrouveriez quand même dans un coin, attendant que quelqu’un vienne écouter ses parlotes ou lui consacrer son temps libre...
Voulez-vous connaître son nom?
Nous, nous l’appelons ... Téléviseur !
Pire...
Maintenant, il a une épouse qui s’appelle Ordinateur !
Ils ont eu un fils qui s’appelle : Portable !
Une nièce qui s'appelle Tablette !
Et un neveu, le pire de tous : C’est le Smart Phone !
En En définitive, depuis l'invasion de cette famille d'étrangers,
qui prennent tout l'espace, nous oublions de nous parler...
Si un enfant vit dans ...
Si un enfant vit dans la critique,
Il apprend à condamner.
Si un enfant vit dans l'hostilité,
il apprend à se battre.
Si un enfant vit dans le ridicule,
Il apprend à être gêné.
Si un enfant vit dans la honte,
Il apprend à se sentir coupable.
Si un enfant vit dans la tolérance,
Il apprend à être patient.
Si un enfant vit dans l'encouragement,
Il apprend à être confiant.
Si un enfant vit dans la motivation,
Il apprend à se faire valoir.
Si un enfant vit dans la loyauté,
Il apprend la justice.
Si un enfant vit dans la sécurité,
Il apprend la foi.
Si un enfant vit dans l'approbation,
Il apprend à s'aimer.
Si un enfant vit dans l'acceptation et l'amitié,
Il apprend à trouver l'amour dans le monde !!!
(Dorothy (Dorothy Law Nolte)
15 faits importants de la Vie !
1. Il y a au moins 5 personnes dans ce monde qui t'aiment au point de mourir pour toi.
2. Il y a au moins 15 personnes qui t'aiment d'une certaine manière.
3. La seule raison pour laquelle une personne te déteste, c'est parce qu'elle veut être comme toi.
4. Un sourire de toi apporte de la joie à quelqu'un, même s'il ne t'aime pas.
5. Toutes les nuits, quelqu'un pense à toi avant d'aller se coucher.
6. Tu représentes le monde pour quelqu'un.
7. Si ce n'était pas pour toi, quelqu'un ne pourrait pas vivre.
8. Tu es spécial et unique.
9. Quelqu'un dont tu ignores l'existence t'aime.
10. Quand tu fais la plus grosse bêtise, quelque chose de bien provient de celle ci.
11. Quand tu penses que le monde te tourne le dos, regardes bien : c'est surtout toi qui tourne le dos au monde.
12. Quand tu penses que tu n'as pas de chance quand tu n'as pas ce que tu veux, tu ne l'auras probablement pas. Si tu crois en toi, probablement, tôt ou tard, tu l'auras.
13. Souviens-toi toujours des compliments que tu reçois. Oublies les remarques méchantes.
14. Dis toujours aux gens ce que tu ressens a propos d'eux ; tu te sentiras mieux quand ils le sauront.
15. Si tu as un meilleur ami, prends le temps de lui dire ce qu'il représente pour toi.
(Auteur Inconnu)
Cher Frère Blanc ...
Quand je suis né, j’étais Noir
Quand j’ai grandi, j’étais Noir
Quand je vais au soleil, je suis Noir
Quand j’ai peur, je suis Noir
Quand je suis malade, je suis Noir
Quand je mourrai, je serai Noir ...
Tandis que toi, Homme Blanc :
Quand tu es né, tu étais Rose
Quand tu as grandi, tu étais Blanc
Quand tu vas au soleil, tu es Rouge
Quand tu as froid, tu es Bleu
Quand tu es malade, tu es Jaune
Quand tu mourras, tu seras Gris
Et après cela tu as le toupet de m’appeler :
« Homme de » COULEURS » !